Justin Trudeau propose des baisses d'impôts pour la classe moyenne

 
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Justin Trudeau propose des baisses d'impôts pour la classe moyenne
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Justin Trudeau propose des
baisses d'impôts pour la classe
moyenne
     Yannick Boursier
     Publié le 04 mai 2015

FÉDÉRAL. Le chef du Parti libéral du Canada, Justin Trudeau, propose des
baisses d'impôts et des allocations familiales pour venir en aide à la classe
moyenne canadienne.

                                            C'est dans un restaurant de Gatineau, lors d'un
                                            dîner avec des familles, que Justin Trudeau a
                                            présenté son plan visant à «redonner à la
                                            classe moyenne», le groupe au centre de sa
                                            prochaine campagne électorale, a-t-il affirmé.

                                            S'il est élu, le PLC baissera les impôts pour les
                                            Canadiens dont le revenu imposable se situe
                                            entre 44 700$ et 89 401$. Le taux d'imposition
                                            passerait de 22% à 20,5%.

                                            Pour financer ce changement, le chef ajouterait
© TC Media - Yannick Boursier
                                            une nouvelle tranche d'impôt (à 33%) pour les
                                            gens dont le revenu est supérieur à 200 000$.
Justin Trudeau
                                            Ce projet est à l'opposé des propositions des
                                            Conservateurs, affirme Justin Trudeau. «M.
Harper a favorisé les baisses d'impôt pour les mieux nantis. C'est la mauvaise priorité.»

Justin Trudeau a aussi annoncé qu'il créerait une nouvelle Allocation canadienne aux
enfants, qui transformerait la prestation fiscale pour les enfants, le supplément de la
prestation nationale pour enfants et la prestation universelle pour la garde d'enfant.

Cette nouvelle somme serait non imposable et accordée selon le revenu. Le montant initial
serait plus élevé que les prestations actuelles et diminuerait jusqu'à 0$ pour les gens qui
gagnent près de 200 000$. Pour Justin Trudeau, il n'est pas logique que les familles
gagnant 200 000$ et plus reçoivent encore cette prestation.

Pour financer ce projet, Justin Trudeau éliminerait le fractionnement du revenu et d'autres
allégements fiscaux pour les mieux nantis. Deux milliards en argent neuf seront aussi
nécessaires. Justin Trudeau indique que l'argent sera trouvé en prenant des décisions
différentes de celles du Parti conservateur du Canada.

http://www.journallarevue.com/Actualites/2015-05-04/article-4134782/Justin-Trudeau-pr... 2015-05-12
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« Le gouvernement fédéral doit payer ses taxes ! » | Le Pharillon                                                      Page 1 sur 2

  ACTUALITÉS

  Décision dans le paiement prévu pour le Parc national Forillon

  « Le gouvernement fédéral doit payer ses
  taxes ! »
  Mercredi 6 mai 2015 11:36:49 HAE

                                                                                                 (Photo TC Media – Camille Marcotte)
   Le maire Daniel Côté dénonce la décision du gouvernement fédéral de ne plus payer ses paiements en remplacements d'impôt.

  TAXES - La Ville de Gaspé a dénoncé ce matin la décision du gouvernement fédéral et du ministère des Travaux
  publics et Services gouvernementaux Canada de ne pas payer 500 000 $ à la Ville de Gaspé en paiements en
  remplacement d’impôt (PRI) pour le Parc Forillon. Afin de récupérer cet argent, Gaspé a déposé un recours
  judiciaire afin de faire respecter ses droits.

  En effet, depuis 2013, le gouvernement fédéral a décidé unilatéralement, à l’encontre des évaluations
  municipales, de changer la classe des immeubles du Parc Forillon, diminuant ainsi les paiements des taxes
  municipales de plus de 150 000 $ par année. Malgré une décision rendue en mai 2014 par le Comité consultatif
  chargé de l’application de la Loi sur les PRI recommandant à la ministre des Travaux publics de payer les
  montants réclamés par la Ville de Gaspé, le gouvernement fédéral s’entête à ne pas payer les taxes réclamées
  par la ville. Selon elle, la ville n’a d’autre choix que d’aller plus loin dans les démarches juridiques en mandatant
  ses procureurs pour déposer un recours à la Cour fédérale afin de contraindre le gouvernement de respecter ses
  obligations.

  « Connaissant tout l’historique du Parc Forillon depuis sa création, il est inconcevable, voire même méprisant, que
  le gouvernement fédéral s’entête à ne pas vouloir payer sa juste part à la municipalité en ce qui concerne les
  taxes municipales. Malgré un avis de leur propre comité qui recommande à la ministre de payer le juste prix,
  l’appareil gouvernemental fédéral […] tente de faire des économies de bout de chandelle sur le dos des citoyens
  de la Ville de Gaspé » a déclaré le maire de Gaspé, Daniel Côté. « Il est regrettable que cette décision survienne
  alors que les relations entre le milieu et Parcs Canada étaient excellentes depuis quelques années et que
  l’achalandage au Parc Forillon est en hausse » précise le maire Côté.

http://www.lepharillon.ca/2015/05/06/-le-gouvernement-federal-doit-payer-ses-taxes                                      2015-05-12
« Le gouvernement fédéral doit payer ses taxes ! » | Le Pharillon                                                Page 2 sur 2

  En date d’aujourd’hui, les montants dus à la Ville de Gaspé (incluant les intérêts) s’élèvent à 171 359,12 $ pour
  l’exercice financier 2013, à 163 582,20 $ pour l’exercice financier 2014 et à 164 268,67 $ pour l’exercice financier
  2015.

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              LE PHARILLON

  Respectez le stationnement pour les                                  Une conférence de Pétrolia vire au vinaigre
  handicapées                                                                              •
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                       — Si cela peut en dompter                              vraiment?
          quelques uns-unes!!!

  Municipalités : prendre le virage Facebook                           C’est la rentrée scolaire pour 2 931 élèves
                 •                                                                     •
                            — La psuissance des réseaux                            — Nous ne vivons pas cette situation à
          sociaux est l'intéraction avec la population. Je                    Cap-Chat à l'école St-Norbert, car nous ne
          crois sincérement qu'une …                                          devons faire face à un …

http://www.lepharillon.ca/2015/05/06/-le-gouvernement-federal-doit-payer-ses-taxes                                2015-05-12
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LE PIPELINE, LE CRTC, HARPER, PKP… ET LE BLOC !
07 mai 2015
Pierre Dubuc

PKP est-il pour ou contre le projet de pipeline d’Énergie Est? Au départ, il ne s’opposait pas au
projet, tout en disant qu’il devait être soumis à une consultation.
Aujourd’hui, il se retranche derrière la Constitution : « Ce sont aux Québécois de décider. Or, la
constitution de 1867, aux articles 91 et 92, interdit aux Québécois de se prononcer sur cette
question », proclame-t-il.
Alors, quoi !, on se croise les bras?! On attend d’être indépendant? Alors, que, de toute
évidence, le pipeline serait déjà construit.
Ou bien, on vote, au mois d’octobre prochain, pour un parti à Ottawa qui va stopper le projet.
Le problème, c’est que les trois partis politiques susceptibles de former le prochain
gouvernement, soit le Parti conservateur, le Parti libéral et le NPD, sont favorables au projet !
Reste à voter pour le Bloc Québécois pour exprimer son opposition au pipeline et soutenir ainsi,
au plan politique, l’action citoyenne sur le terrain.
Mais Pierre Karl Péladeau a déjà affirmé « douter de la pertinence du Bloc » et que « le Bloc ne sert strictement à rien, sauf à
justifier le fédéralisme »!
Alors, les bloquistes feraient mieux de ne pas trop compter sur l’appui d’un PQ dirigé par PKP, lors de la prochaine campagne
électorale.

Tirer sur le sans-fil
Comment démêler l’écheveau des positions de PKP sur l’oléoduc et le Bloc?
Tout simplement, en tirant sur le fil – ou plutôt le sans-fil – de Vidéotron et des récentes décisions du CRTC sur les frais
d’itinérance et l’octroi du spectre par le ministère fédéral de l’Industrie, deux décisions avantageuses pour Québecor.
Depuis son arrivée au pouvoir, Stephen Harper favorise l’émergence de nouveaux joueurs dans le marché, aujourd’hui évalué à 20
milliards $, de la téléphonie. Si, en 2006, les Trois Grands, soit Bell, Rogers et Telus, détenaient 98% du spectre, il est prévu que,
dès cet été, les nouveaux joueurs en possèderont 25%. Cependant, les Trois Grands contrôlent toujours 90% des abonnés.
Depuis 2008, le gouvernement fédéral réserve du spectre aux nouveaux joueurs à un prix de beaucoup inférieur à celui que
doivent payer les Trois Grands.
Par exemple, lors des plus récentes enchères, Vidéotron n’a payé que 11 cents le mégahertz, alors que Telus a déboursé 3,02 $ et
Bell 2,96$. Des représentants de Bell ont calculé que Vidéotron avait ainsi bénéficié d’une subvention de 857 millions $.
Lors d’enchères précédentes, Vidéotron a acquis du spectre dans trois autres provinces du Canada (Ontario, Alberta et Colombie-
Britannique) mais, pour l’utiliser, l’entreprise doit pouvoir compter sur un réseau d’antennes.
Monter un tel réseau serait prohibitif pour Vidéotron et les autres petits joueurs, aussi ont-ils demandé de pouvoir utiliser à bas
tarifs les antennes des Trois Grands.
C’est ce que le CRTC vient de leur accorder. Il réglementera les frais d’itinérance facturés par les Trois Grands aux petites
entreprises qui ont recours à leur réseau pour les cinq prochaines années.
Le CRTC précise toutefois que Bell, Rogers et Telus auront jusqu’au 4 novembre pour proposer leurs tarifs. Le CRTC décidera si leur
proposition est raisonnable.
La date est importante. La décision interviendra APRÈS l’élection fédérale.

Une élection cruciale pour PKP
Comme il est loin d’être certain que les libéraux ou le NPD avantageraient les petits joueurs de la téléphonie comme l’ont fait les
conservateurs, Vidéotron, Québecor et PKP ont grand intérêt à ce que le Parti conservateur soit réélu.
Il serait donc « inapproprié » qu’un Parti Québécois, dirigé par PKP, se prononce contre ce projet chéri de Stephen Harper que
constitue l’oléoduc de TransCanada, d’autant plus que le nouveau gouvernement néo-démocrate de l’Alberta a déjà annoncé qu’il
renonçait aux projets de pipeline Northern Gateway et Keystone, qui devaient écouler le pétrole des sables bitumineux
respectivement vers le Pacifique et les États-Unis.
La nouvelle première ministre de l’Alberta a cependant déclaré qu’elle appuyait avec enthousiasme le projet Énergie Est de
TransCanada.
Il serait encore plus mal vu par Stephen Harper que PKP vienne compromettre les chances du Parti conservateur de faire élire plus
de députés au Québec. Avec la déconfiture des conservateurs en Alberta, l’élection d’un gouvernement majoritaire conservateur
dépendra peut-être de ses succès au Québec.

Des relations à examiner de près
Ces relations « amicales » entre Harper et PKP ne sont pas nouvelles. Sun Media et Sun News, détenues jusqu’à tout récemment
par Québecor, appuyaient allègrement le gouvernement conservateur et ses politiques.
La veille de la dernière campagne électorale fédérale, les journaux de Sun Media avaient publié en page frontispice une photo de
Stephen Harper avec ce titre : « He’s our man ».
Quel est aujourd’hui l’état de ces relations? Il serait intéressant que les journalistes s’y intéressent et, plus particulièrement, au fait
que Brian Mulroney, qui a introduit PKP auprès de Harper et de l’élite d’affaires nord-américaine, est aujourd’hui président du
Conseil d’administration de Québecor.

Vidéotron, la vache à lait
Enfin, soulignons l’importance de Vidéotron pour Québecor. Déjà, l’achat de Vidéotron en 2000, avec l’aide de la Caisse de dépôt et
placement du Québec, avait sauvé Québecor de la faillite, selon Michel Nadeau, vice-président de la Caisse à l’époque.
Aujourd’hui, après les déconfitures de Quebecor World, Sun Media, Sun News, des journaux régionaux de Québecor, Vidéotron est
plus que jamais la vache à lait de l’empire Québecor.
Le Journal de Montréal et le Journal de Québec perdent de l’argent, TVA est déficitaire et le nombre d’abonnés au câble chez
Vidéotron est en régression.
L’avenir est à la téléphonie sans-fil. Mais le marché est hautement compétitif. Selon les analystes, Vidéotron n’a pas les reins assez
solides pour se lancer à la conquête du Canada. L’hypothèse la plus plausible est que Vidéotron cède le spectre qu’il détient hors-
Québec à Wind Mobile en échange d’actions de la compagnie.
Mais la clef du succès pour Vidéotron demeure de conserver de bonnes relations avec un gouvernement conservateur, ce qui
implique ne pas l’embêter en s’opposant au projet Énergie Est et s’assurer qu’il soit réélu!
Que les candidats et les partisans du Bloc Québécois se le tiennent pour dit!

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Du même auteur :
01 mai 2015 101 artistes signent une lettre d’appui à PKP
01 mai 2015 31e anniversaire de l’aut’journal
À lire également :
11 mai 2015 Montréal, grande métropole mondiale grâce à l'indépendance du Québec
11 mai 2015 Débutons un nouveau cycle pour l'indépendance

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GRAHAM FRASER DÉCONNECTÉ DE LA RÉALITÉ LINGUISTIQUE QUÉBÉCOISE
08 mai 2015
SSJB et MQF

Le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal, Me Maxime Laporte,
et le coordonnateur général du Mouvement Québec français (MQF), Éric Bouchard, ont tenu à
répondre aujourd’hui à la sortie du Commissaire aux langues officielles du Canada, monsieur
Graham Fraser, à la suite du dépôt de son rapport annuel. Monsieur Fraser a notamment
affirmé que «l’État québécois ne fournit pas les ressources nécessaires aux organismes capables
d'offrir un soutien de qualité aux immigrants anglophones».

On peut se passer des conseils du Canada en matière linguistique…

Monsieur Laporte a affirmé: «D’une part, il m’apparaît que le Commissaire n’a pas à s’immiscer
dans nos affaires d’État, et certainement pas dans nos politiques linguistiques. D’autre part, le Canada, en ayant fait pratiquement
disparaître les communautés francophones dans les provinces canadiennes, en a déjà assez fait et devrait se taire, car il a toujours
nui historiquement à la vitalité du français. S’il avait voulu être constructif pour l’avenir de l’équilibre linguistique au Québec, le
Commissaire aurait dû insister sur les coupes en matière de francisation qui se multiplient depuis plusieurs années, et le sabrage
dans la promotion et la protection de la langue française au Québec, qui atteint plus de 1,6 million depuis l’arrivée du
gouvernement Couillard. D’ailleurs, une étude que nous avons commandée sur la question sera publiée à l’automne 2015, et
dressera le portrait financier de la trop faible francisation de l’immigration».

«En 1977 avec la Charte de la langue française, les Québécois ont décidé collectivement que la seule langue officielle et commune
du Québec est le français, tout en réservant à la communauté historique anglophone et à ses institutions, aujourd’hui
hypertrophiées, les très généreuses exceptions législatives qu’on connaît. Or, les nouveaux arrivants, c’est évident, ne font pas
partie de cette communauté historique, qui forme environ 8,3% de la population», a ajouté le président de la SSJB.

L’anglais nettement sur-représenté dans l’immigration

Éric Bouchard, coordonnateur général de Mouvement Québec français (MQF), a soutenu : «Le Commissaire devrait savoir que le
ratio relatif réel de la population de langues maternelles anglaise et française au Québec, qui correspond à environ 1 anglophone
pour 9 francophones, n’est pas reflété par nos politiques d’immigration, alors que le ratio relatif des gens de langues maternelles
anglaise et française qui ont immigré au Québec entre 2009 et 2013 correspond quant à lui à environ 1 anglophone pour 5
francophones, ce qui est beaucoup. Par ailleurs, chez les immigrants dont la langue maternelle n’est ni le français ni l’anglais, mais
qui ont déclaré connaître l’une des deux langues officielles du Canada, 38% connaissaient seulement l’anglais, alors que 62%
connaissaient seulement le français».

«Bref, qu’on regarde sous l’angle de la langue maternelle des nouveaux arrivants ou de la connaissance d’une des deux langues
officielles, dans les deux cas le français est sous-représenté et l’anglais, sur-représenté», a conclu monsieur Bouchard.

Ce n’est pas une blague, le français recule

Pendant ce temps, comme le démontrent ces tableaux, le français recule de manière inquiétante au Québec et les perspectives
d’avenir ne se révèlent guère plus reluisantes:

Financement des groupes et institutions anglophones

Monsieur Bouchard a souligné: «Quand monsieur Fraser enjoint le Québec d’investir davantage dans la recherche pour aider à
l’immigration anglophone, rappelons que l'Association des études canadiennes reçoit plus de 425 000$ par année pour faire des
recherches qui vont en ce sens. Ce n’est pas tout, Patrimoine Canada donne 5 millions par années aux organisations anglophones
du Québec. L’hypertrophie des institutions anglophones au Québec est telle que les universités anglophones, pour ne prendre que
cet exemple, sont subventionnées en proportion trois fois plus que le poids démographique de la population anglaise. Il y a un
manque à gagner de plus d’un milliard par année pour les universités francophones. Ce n’est pas l’anglais qu’il faut mieux financer
au Québec, mais le français.»

#speakVERT : plaintes contre l’ONÉ restées sans réponse de la part du Commissariat aux langues officielles

Lancé à l’hiver dernier, le front commun #speakVERT (speakvert.quebec) qui regroupe de nombreuses organisations
environnementales et de défense du français, réclame la suspension des procédures en cours à l’Office national de l’énergie (ONÉ)
alors que l’organisme fédéral refuse de traduire en français 30 000 pages de documents déposés en anglais seulement sur le projet
Énergie Est de TransCanada. En plus d’une requête en injonction déposée en Cour fédérale par le Centre québécois du droit en
environnement, laquelle a été rejetée, plusieurs groupes du front commun, dont la SSJB, ont formulé des plaintes adressées au
Commissariat aux langues officielles.

Ce dernier avait affirmé qu’une réponse serait envoyée au courant du mois d’avril. Or, les plaignants n’ont rien reçu, ce qui a
permis à l’ONÉ de gagner du temps, au profit de l’avancement du projet Énergie Est, qui comporte des risques environnementaux
majeurs pour la population québécoise.

Fondée en 1834, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal a pour mission de veiller aux intérêts nationaux du peuple québécois.
En se rendant à l’adresse http://bit.ly/1zGo8fY, on peut consulter un mémoire déposé cet hiver par la SSJB dans le cadre de la
consultation publique sur la future politique d’immigration, où la question de l’équilibre linguistique est notamment abordée.

RETOUR

http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=6043&printmode=true                                              2015-05-12
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