LE FESTIVAL LITTÉRAIRE EN SEINE-SAINT-DENIS

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LE FESTIVAL LITTÉRAIRE EN SEINE-SAINT-DENIS
LE FESTIVAL LITTÉRAIRE HORS LIMITES
        EN SEINE-SAINT-DENIS

Les parcours de lecture du festival
samedi 30 mars et 6 avril 2019        10 ans !
PARCOURS
#1

HORS
LIMITES
Au croisement des routes,                                                                       4     sam. 30 mars 14h                                                                             5
de l’espace et du temps                                                                               ‘L’Aquarius est notre Antigone’
Un parcours de lecture                                                                                Rencontre avec Laurent Gaudé, suivie
avec Laurent Gaudé                                                                                    d’une projection de Nulle part en France
                                                                                                      de Yolande Moreau
En 2011, le chemin de Laurent Gaudé croisait pour la première fois celui du festival Hors             En 2005, alors que les morts de la Méditerranée transformaient déjà celle-ci en cimetière
limites. Depuis, compagnon de route parmi les plus fidèles, il participa à chacune de ses éditions.   et que les grands médias ne jugeaient encore bon que d’en alerter très timidement l’opinion
       Nos dix ans – et la parution de son dernier livre, Salina, les trois exils (Actes Sud) –       publique, Laurent Gaudé se saisissait résolument de cette tragédie en train d’advenir. Deux
étaient donc l’occasion à ne pas manquer de le remercier pour cette présence précieuse : en           ans plus tard et au terme d’un travail d’enquête, il publia Eldorado : un roman poignant
lui proposant de le suivre à notre tour !                                                             plongeant son lecteur dans les affres de plusieurs consciences mises à mal. Celle du com-
       C’est donc à lui, cette année, que nous avons confié les clés de notre ‘bibliotourbus’ : lui   mandant Piracci, qui intercepte depuis vingt ans les embarcations des émigrants clandestins
demandant de nous guider dans ses pérégrinations, à travers son œuvre et notre territoire. Et,        au large des côtes italiennes, et dont une rencontre ébranlera la foi qu’il porte en sa mission,
à l’image de cette œuvre profuse et passionnante, l’itinéraire promet des paysages contrastés !       et celles de Jamal et Soleiman, deux frères partis du Soudan.
       Car depuis son prix Goncourt en 2004 pour Le Soleil des Scorta (Actes Sud), qui                        Homme de conviction ayant récemment publié une tribune dans le journal Le
élargira pour de bon le cercle de ses lecteurs, Laurent Gaudé leur donna régulièrement                Monde en faveur de l’association SOS Méditerranée, auteur également de la préface du livre
rendez-vous, autour de livres alternant récits mythologiques et sujets d’actualité, tout en           photo L’Odyssée de l’Aquarius (Muséo, 2018), c’est à Laurent Gaudé que Yolande Moreau
poursuivant son travail de dramaturge, explorant les possibles de cette parole mise en acte           fit appel pour écrire le texte qu’elle lit en voix off tout au long de son film Nulle part en
qui caractérise le passage à la scène.                                                                France, sur la ‘jungle’ de Calais. C’est lui, également, que le photographe Reza invita sur le
       Écrivain solaire et tragique, pouvant suivre le fil de vies complètement hors du               camp de réfugiés syriens de Kawergosk, au nord de l’Irak, afin qu’il mette des mots sur ce
temps aussi bien que les désarrois d’existences ancrées dans le monde moderne lorsqu’elles            qu’il aura vu là-bas. Occasion de revenir sur ses engagements et les projets littéraires aux-
touchent au tragique, c’est sur les traces des unes et des autres que nous conduira ce ‘par-          quels ils ont donné lieu, il sera bien évidemment question, au cœur de cette première étape
cours de lecture’ avec Laurent Gaudé…                                                                 du parcours, de la politique d’hospitalité qu’il y a urgence à mener à l’échelle européenne, et
                                                                                                      en faveur de laquelle Laurent Gaudé milite avec conviction.
Écrivain et dramaturge, Laurent Gaudé a obtenu le prix Goncourt des lycéens et le prix des
libraires avec La Mort du roi Tsongor (Actes Sud, 2003), puis le prix Goncourt pour son
roman Le Soleil des Scorta (Actes Sud), en 2004. Depuis 2013, il a également effectué des
voyages (Port-au-Prince, le Kurdistan irakien ou la jungle de Calais) qui ont donné lieu à des
reportages. De ces expériences, il tirera également un premier recueil de poèmes, De sang et de
lumière (Thélème), publié en 2017.

Parcours en navette sur réservation               Rendez-vous à 13h30 devant la Gare
sebastien.zaegel@bibliotheques93.fr               du Nord (au pied de la statue Angel Bear,           Rendez-vous à la Médiathèque
ou par téléphone au 01 48 45 95 52                l’ours ailé rouge de Richard Texier)                Roger-Gouhier – Noisy-le-Sec
                                                                                                      3 rue Jean-Jaurès – 01 49 42 67 19
                                                  Toutes les étapes ne sont pas obligatoires,         RER Ⓔ Noisy-le-Sec – Bus 105                     À lire Eldorado, Laurent Gaudé,
                                                  venez ou filez quand bon vous semble !              Jeanne-d’Arc                                     Actes Sud, 2017
sam. 30 mars 16h                                                                             6     sam. 30 mars 18h                                                                                 7
Laurent Gaudé côté scène                                                                           Aux pieds et à la face des murs
Lecture par Marilou Aussilloux suivie                                                              Rencontre avec Laurent Gaudé,
d’une rencontre avec Laurent Gaudé                                                                 suivie d’un dialogue avec l’artiste
                                                                                                   Ernest Pignon-Ernest (sous réserve)
Avant d’avoir été romancier, puis en parallèle, Laurent Gaudé écrit pour le théâtre : quinze       Laurent Gaudé n’a jamais fait mystère de son admiration – doublée d’une amitié – pour
pièces et monologues à ce jour, publiés chez Actes Sud-papiers.                                    l’artiste Ernest Pignon-Ernest dont, par un heureux hasard, plusieurs œuvres sont exposées
       Pourquoi ces deux langages qui parfois s’interpénètrent et se répondent ?                   au Centre culturel Jean-Cocteau qui jouxte la bibliothèque, dans la cadre de l’exposition que
       Comment passe-t-il du récit au fait d’écrire pour des comédiens ?                           la ville des Lilas lui consacre.
       Faut-il que l’héroïne Salina l’ait hanté, à proprement parler, pour que quinze ans                  Précurseur de l’art urbain en France, celui-ci colle ses dessins – des personnages réalistes
après avoir écrit une pièce la mettant en scène dans un texte éponyme, il livre aujourd’hui        grandeur nature – sur les murs des villes du monde entier depuis les années soixante. Ses œuvres
un roman, Salina, les trois exils, dont elle est le personnage principal ?                         sont engagées, et s’ancrent toujours dans le contexte du site choisi. En rappelant ou en révé-
       La scène lui permet-elle de débusquer des émotions qu’il ne trouve pas dans les             lant des événements qui s’y sont produits, il jette ainsi des ponts entre la peinture classique et
romans – et inversement ?                                                                          l’énergie de la rue ou les combats de ses contemporains (le Caravage dans les rues de Naples,
       Laurent Gaudé, selon qui le théâtre ‘se construit sur une série de dons ’ (celui de         Mahmoud Darwich en Palestine, Pasolini dans l’Italie d’aujourd’hui, etc.), révélant des choses
l’auteur qui offre un texte à un metteur en scène, lui-même l’offrant à des comédiens qui          enfouies, une mémoire des lieux qu’il réactive dans le présent du spectateur qui les traverse.
doivent se l’approprier avant de l’offrir, à leur tour, au public), aura donc fort à répondre et           Or – et sans compter la fascination commune qu’ils ont pour l’Italie - cette façon de faire
à donner de sa personne ! Tandis que, des grandes figures empruntées aux mythologies de            se superposer les époques rapproche les démarches des deux artistes qui, l’un par la voix, l’autre
toutes les cultures aux tragédies de nos vies contemporaines – et en passant, bien sûr, par        par le visage, font voir et entendre ce surgissement d’un monde passé. Un dialogue fécond entre
Salina – la comédienne Marilou Aussilloux proposera une traversée de son œuvre de dra-             deux univers, où sont ré-invoquées parmi nous les figures illustres ou anonymes de l’Histoire,
maturge, afin que nous puissions l’appréhender ‘sur pièces’...                                     afin que nous écoutions ce qu’elles ont à nous dire : comme une (fausse) façon de clore cette
                                                                                                   conversation au long court avec les mille existences à l’œuvre de Laurent Gaudé…
Actrice, on a pu voir Marilou Aussilloux dans la série Dix pour cent de Fanny Herrero,
et bientôt au cinéma dans Raoul Taburin de Pierre Godeau, avec Benoît Poelvoorde et                Hanté par les ombres laissées sur les murs, à Nagasaki et à Hiroshima, par les corps volatilisés,
Édouard Baer.                                                                                      Ernest Pignon-Ernest crée depuis 1966 des images éphémères, peintes ou dessinées, sérigra-
                                                                                                   phiées sur du papier fragile, qu’il colle sur les murs des grandes villes.

Rendez-vous à la Médiathèque
Romain-Rolland – Romainville
Rue Albert-Giry, quartier Marcel-Cachin
01 71 86 60 16                                                                                     Rendez-vous à la Bibliothèque
Métro ⑪ Porte-des-Lilas puis bus 105                                                               André-Malraux – Les Lilas                          À noter Dans le cadre de l’exposition
ou 129 Mairie-de-Romainville                                                                       Espace culturel d’Anglemont, 35 place              d’Ernest Pignon-Ernest au Centre culturel
Métro ③ Garibaldi ou ⑤ Bobigny-                                                                    Charles-de-Gaulle – 01 48 46 07 20                 Jean-Cocteau des Lilas
Pablo-Picasso puis Bus 318 Les-Noyers                                                              Métro ⑪ Mairie-des-Lilas
ou Bus 76 Louise-Michel                                                                            Bus 129, Till’Bus Paul-de-Kock                     En bonus Eldorado (voir p. 67)
PARCOURS
#2

HORS
LIMITES
Département fictions (bureau 93)            10                                                     sam. 6 avril     12h30                                                                     11
Un parcours de lecture en Seine-Saint-Denis                                                        Ce que le goût livre à la bouche
                                                                                                   Rencontre avec Ryoko Sekiguchi
                                                                                                   et brunch d’arrière-saison

Narrateur des lieux invisibles, explorateurs des zones délaissées qu’il sait nous faire investir   Ah, Saint-Denis… ses vergers et ses champs…
par l’imaginaire, Philippe Vasset, dans son dernier livre, nous a soufflé l’idée d’un ‘parcours            C’est bien parce que peu de gens se font une image aussi bucolique de cette ville du
de lecture’ dont il occupe aujourd’hui, en toute légitimité, la place centrale.                    93 que le Parti poétique a décidé de baptiser ‘Zone Sensible’ cette ferme du XIXe siècle –
       En effet, si dans Une vie en l’air, le monorail d’un projet abandonné d’aérotrain peut      héritage d’un temps où toute une partie de la Seine-Saint-Denis était maraîchère – qu’ils
lui servir de rampe de lancement vers la fiction, pourquoi ne pourrions-nous pas, en ce qui        ont investi pour en cultiver les terres sur le modèle de la permaculture. Ayant pour projet
nous concerne, utiliser l’élan de nos pas de côté pour faire des bonds en avant, des sauts         d’approvisionner en circuit-court l’Académie de cuisine développée en collaboration avec
de puce de part et d’autre de cette frontière ténue que la littérature instaure entre réel et      Alain Ducasse, ce collectif d’artistes ambitionne de faire pousser cent trente variétés du
fabulation ?                                                                                       monde entier dans cette ville aux cent trente-cinq nationalités. Leur slogan ? ‘Nature,
       Oui : pourquoi pas ? Il n’en fallait pas plus au département des fictions pour ouvrir       culture et nourriture ’ !
un bureau d’étude dans le 93, et commander à l’Association Bibliothèques en Seine-Saint-                   Or, s’il y a bien une autrice qui ne peut que souscrire à cette association du savoir et
Denis un rapport qu’elle lui rendit sous forme de feuille de route !                               des saveurs, c’est évidemment Ryoko Sekiguchi, ‘traiteur littéraire ’ comme elle aime à se
       Et s’il s’avère effectivement qu’un détour par Saint-Denis peut se transformer très         qualifier elle-même, dont le dernier livre déploie avec subtilité aussi rigoureusement poli-
facilement en ronde des saisons, qu’une visite du musée Rosny-Rail nous conduit en trave-          tique que poétique les implications de ce terme japonais, le Nagori, qui désigne le goût des
ling arrière vers le rétro-futur et que – tu l’as dit Eddy ! –, les dernières séances au cinéma    fruits et des légumes qui ne sont plus de saison, mais également la nostalgie de cette saison
Le Trianon de Romainville se terminent parfois sur un retour à l’origine du monde, nous            qu’on ne laisse partir qu’à regret...
invitons à suivre cette dernière comme une carte au trésor...                                              Dès lors, autour d’un brunch roboratif et récolté sur place, cette première étape du
                                                                                                   parcours sera l’occasion de déguster cette œuvre qui mêle le poème au traité de cuisine...
                                                                                                   et qui dit combien la nourriture révèle le lien de l’homme à son propre corps, à sa propre
                                                                                                   histoire, à son propre monde.

                                                                                                   Écrivaine et traductrice, Ryoko Sekiguchi écrit en japonais et en français. Fille d’une cuisi-
                                                                                                   nière, son rapport à la littérature est empreint de ce goût pour la gastronomie qui fait qu’elle
                                                                                                   une autrice passionnante et tout à fait à part. Elle a été lauréate de la Villa Médicis en 2013-
                                                                                                   2014. Parmi ses ouvrages : L’Astringent (Argol, 2012), Le Club des gourmets et autres cui-
                                                                                                   sines japonaises (P.O.L, 2013) et Dîner Fantasma (Manuella Éditions, 2016).
Parcours en navette sur réservation              Rendez-vous à 11h45 devant la Gare
sebastien.zaegel@bibliotheques93.fr              du Nord (au pied de la statue Angel Bear,         Rendez-vous à La Ferme Urbaine –
ou par téléphone au 01 48 45 95 52               l’ours ailé rouge de Richard Texier)              Zone Sensible – Saint-Denis
                                                                                                   112 avenue de Stalingrad – 01 42 35 84 34
                                                 Toutes les étapes ne sont pas obligatoires,       Métro ⑬ Saint-Denis-Université                   À lire Nagori – La Nostalgie de la saison
                                                 venez ou filez quand bon vous semble !            Bus 255 Clos-Hanot                               qui s’en va, Ryoko Sekiguchi, P.O.L, 2018
sam. 6 avril      15h30                                                                       12     sam. 6 avril      19h                         13
Une vie en l’air, mais sur des rails                                                                 Sur les traces de l’image manquante
Lecture de Agnès Sourdillon sur un film                                                              ‘Dernière séance’ avec Ava Gardner et Thierry
de Raphaël Dallaporta & Philippe Vasset,                                                             Froger / Rencontre et projection du film
suivie d’une rencontre avec l'auteur                                                                 La Comtesse aux pieds nus de Joseph L. Mankiewicz
Il n’aura pas échappé aux voyageurs contemplatifs de la ligne ferroviaire Paris-Orléans qu’à         Comme dans Sauve qui peut (la Révolution), son premier roman, Thierry Froger entrelace
l’approche d’Artenay, une mystérieuse rampe de béton apparait soudain dans le paysage de             deux époques et deux personnages célèbres. Après la Révolution française et son bicente-
la Beauce, culminant sur dix-huit kilomètres à sept mètres du sol.                                   naire, Danton et Jean-Luc Godard, il croise un épisode de la vie d’Ava Gardner et le Paris
        Ce sont les vestiges d’une voie d’essai pour un moyen de transport d’un type nouveau         de Gustave Courbet, au moment où il peint L’Origine du monde.
qui, dans la France des Trente glorieuses, avait été conçu pour relier à très grande vitesse les            Et si, lors d’une nuit d’ivresse, Ava Gardner avait embarqué un chef opérateur italien
centres des villes nouvelles : le fameux Aérotrain sur coussin d’air de l’ingénieur Jean Bertin.     dans une séance photo inspirée des grands nus de l’histoire de la peinture ? Réflexion sur le
Philipe Vasset naquit tout près, peu de temps avant l’abandon du projet au profit du TGV             dévoilement et le pouvoir vénéneux des images, Les Nuits d’Ava nous embarque dans une
et, dans ses rêveries d’enfant puis d’adolescent, ce rail sans issue vers un avenir radieux devint   enquête échevelée sur les traces de l’image manquante...
le quai de mille départs d’imaginaire, et, pour cet écrivain des friches et des zones intersti-             ‘ Dernière séance’ de notre parcours Département fictions (bureau 93), le cinéma
tielles, la ‘gare de triage’ de son œuvre à venir…                                                   le Trianon de Romainville – qui servit de décor, pendant quinze ans, à l’émission culte
        Il n’y avait donc pas de meilleur endroit que le beau milieu des collections merveil-        d’Eddy Mitchell – nous accueille dans ses velours rouges pour une rencontre avec Thierry
leuses du Musée Rosny-Rail, niché dans le sous-sol de la gare RER, pour qu’il vienne nous            Froger, suivie de la projection de La Comtesse aux pieds nus, le chef œuvre de Joseph L.
parler du magnétisme qu’exerce sur lui cette ‘ruine du futur’, et qui rayonne entre les pages        Mankiewicz !
d’Une vie en l’air. L’actrice Agnès Sourdillon, quant à elle, nous lira des passages de ce drôle
de livre drôle et, en exclusivité, des extraits des carnets de son propre père, qui travailla au     Thierry Froger enseigne les arts plastiques. Son travail questionne les transports de l’image,
côté de Jean Bertin sur le prototype !                                                               ses fragilités et ses fantômes (réels ou imaginaires, cinématographiques ou historiques).
                                                                                                     En 2013, il publie un recueil de poèmes, Retards légendaires de la photographie (Flammarion,
Philippe Vasset est journaliste et écrivain. Diplômé en géographie, en philosophie et en             prix Henri-Mondor de l’Académie française en 2014), puis Sauve qui peut (la révolution)
relations internationales, il est aujourd’hui rédacteur en chef d’Intelligence Online, publi-        (Actes Sud, 2016), son premier roman, pour lequel il a reçu le prix Envoyé par la Poste. Les
cation spécialisée dans le renseignement industriel et politique. Il est l’auteur de plusieurs       Nuits d’Ava est son dernier roman.
romans et récits d’investigations.
Actrice, Agnès Sourdillon a travaillé avec de grands metteurs en scène et réalisateurs tels que
Valère Novarina, Stéphane Braunschweig ou Jean-Luc Godard. En 2015, elle est nominée
                                                                                                     Rendez-vous au cinéma Le Trianon –              À lire Les Nuits d’Ava, Thierry Froger,
pour le Molière de la comédienne dans un second rôle pour Le Malade imaginaire.
                                                                                                     Romainville                                     Actes Sud, 2018.
                                                                                                     Place Carnot – 01 83 74 56 00
Rendez-vous au Musée Rosny Rail –                                                                    Métro ⑪ Mairie des Lilas puis bus 105           À noter Avec la collaboration de la librairie
Rosny-sous-Bois                                                                                      ou 129 Place Carnot – Métro ③ Gallieni          Les Pipelettes et la médiathèque Romain-
1 bis Place des martyrs de la résistance                                                             puis bus 318 Place-Carnot – Métro ⑨             Rolland – Bar et restauration sur place
01 41 60 44 74                                                                                       Mairie-de-Montreuil puis bus 322 Place-
RER Ⓔ Rosny-sous-Bois                             À lire Une vie en l’air, Philippe Vasset,          Carnot – RER Ⓔ Noisy-le-Sec puis                Tarifs de la séance de cinéma 6€ plein,
Bus 143 Rosny-sous-Bois RER                       Fayard, 2018                                       bus 105 Place-Carnot                            5€ abonné, 4€ réduit
DEPUIS SA CRÉATION LE FESTIVAL
HORS LIMITES ASSUME PLEINEMENT
SES ORIGINES ; NÉ EN SEINE-
SAINT-DENIS POUR LES LECTEURS
DU 93 ET PORTÉ PAR L’ASSOCIATION
DES BIBLIOTHÈQUES DU DÉPARTEMENT,
IL VALORISE DEPUIS TOUJOURS
UNE LITTÉRATURE REMUANTE
ET AMBITIEUSE, COMPLEXE
ET VIVANTE, AUPRÈS D’USAGERS
QUI NE LE SONT PAS MOINS.
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