Le programme la musique nous rapproche - Jeudi 4 avril Théâtre des Champs-Élysées - Orchestre de chambre de Paris

La page est créée Jean-Marc Moreau
 
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la musique
nous rapproche

le programme
Jeudi 4 avril
Théâtre des Champs-Élysées

                                  Christian Tetzlaff
                                          —
                                      © Giorgia Bertazzi

  orchestredechambredeparis.com
le concert
      Christian Tetzlaff, violoniste et chef

                               MOZART
                Concerto pour violon n o 3 en sol majeur

                           SCHÖNBERG
                           La Nuit transfigurée

                             — Entracte —

                                HAYDN
                     Symphonie n o 80 en ré mineur

                         MENDELSSOHN
                Concerto pour violon n o 2 en mi mineur

                 Christian Tetzlaff direction et violon

         Durée du concert : environ 2h30, entracte compris

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les œuvres
  QUI ?                    Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)

  QUOI ?
                           Concerto pour violon et orchestre n o 3 en sol majeur,
                           K. 216
  QUAND ET OÙ ?            Création : le 12 septembre 1775, à Salzbourg

  COMMENT ?                I. Allegro, II. Adagio, III. Rondeau : Allegro

  QUELLE DURÉE ?           25 minutes environ

M
                  ozart était un extraordinaire pianiste, on le sait, mais il était tout
                  autant organiste, violoniste et altiste. Son père, Léopold, ne fut-il
                  pas l’un des plus célèbres pédagogues de l’histoire du violon,
                  et sa méthode traduite et publiée en plusieurs langues ? C’est
                  l’alto que Wolfgang préférait tenir, quand il jouait en quatuor
à cordes, pour se trouver plus au cœur de l’œuvre. Mais rien d’étonnant à ce
qu’il ait écrit plusieurs concertos pour le violon : quatre concertos éclosent en
quelques mois seulement de l’année 1775 – il a dix-neuf ans – pour ses concerts
salzbourgeois. Et le miracle mozartien se reproduit : tous sont marqués par une
grâce et un charme qui transcendent allègrement le style galant de rigueur en
ce temps, mais tout en étant très individualisés, par un renouvellement constant
de l’imagination et de la fantaisie.
Style galant, donc influence française, certes, mais la « patte » de Mozart est
bien là, avec les fermes dialogues entre soliste et orchestre, et l’incessant et
inépuisable renouveau des idées mélodiques. Le finale présente un thème
original, que Mozart lui-même, dans une lettre, indique comme le souvenir d’un
air populaire strasbourgeois. On n’a pas encore véritablement identifié cet air…
mais il a fait surnommer l’œuvre Concerto « strasbourgeois ». ■

                        Tendez l’oreille
                        Extrêmement poétique, le motif du deuxième mouvement
                        est marqué d’une grâce toute particulière, ineffable chant
                        d’amour parfois murmuré à demi-mots…

                                                                                           3
QUI ?                  Arnold Schönberg (1874-1951)

      QUOI ?                 Verklärte Nacht, op. 4 (La Nuit transfigurée)
      QUAND ET OÙ ?          Création : en 1919, à Vienne

      COMMENT ?              Un seul mouvement

      QUELLE DURÉE ?         30 minutes environ

    Q
                  uoique créé en 1919 dans sa version orchestrale, ce poème
                  symphonique est de beaucoup antérieur à cette date puisqu’il
                  s’agit de l’orchestration d’un sextuor à cordes achevé dès 1899.
                  Jeune autodidacte de vingt-cinq ans, Schönberg se trouve immergé
                  dans le courant symboliste et expressionniste des successeurs
                  de Wagner. Sa partition commente un long poème de Richard
    Dehmel, écrivain qui lui est cher.
    C’est le dialogue d’un homme épris d’une femme qui lui avoue être enceinte
    d’un autre, mais leur amour les illumine et rachète leur union – thème wagnérien
    bien connu de la rédemption par l’amour. La scène se passe sous un clair de lune
    dans une nature digne de Gustav Klimt. La superbe phrase du thème principal
    finira par se voir transfigurée, et donc par s’épanouir dans la lumière d’un mode
    majeur, qui triomphe des modulations douloureuses qui l’ont précédé. On a peine
    à croire que cette musique tendue et puissamment expressionniste, certes, mais
    inscrite encore dans le langage tonal, ait provoqué à sa création un véritable
    scandale avant de devenir un « classique » du xxe siècle. ■

                    Tendez l’oreille
                    C’est la pleine Sécession viennoise. Il suffit de contempler
                    les tourbillons de fleurs de la maison des majoliques de Vienne !

      QUI ?                  Joseph Haydn (1732-1809)

      QUOI ?                 Symphonie n o 80 en ré mineur, Hob.I:80
      QUAND ET OÙ ?          Création : en 1784, à Eszterháza

      COMMENT ?              I. Allegro spiritoso, II. Adagio, III. Menuetto – Trio, IV. Finale : Presto

      QUELLE DURÉE ?         25 minutes environ

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L
        a célébrité de Joseph Haydn dépassa très largement les frontières de
        son champ d’activité, le château de la famille Eszterházy et Vienne,
        capitale de l’empire, puisqu’on lui commanda à Paris une douzaine de
        symphonies, dont six pour le Concert de la Loge Olympique, et que peu
        après, c’est Londres qui lui demandait douze nouvelles symphonies.
Mais avant que sa musique ne conquière Paris, en 1785, Haydn avait déjà
composé plus de quatre-vingts symphonies, dont celle-ci, l’une des dernières
avant les « parisiennes ».
Ici plus que jamais, peut-être, le compositeur fait briller son imagination
débordante et souvent imprévisible. Vous avez dit ré mineur ? Mais on y passe
sans cesse du mineur au majeur, tant Haydn aime surprendre et fuir tout
conformisme. Contretemps et syncopes, changements abrupts de climats et
même de tonalités, permanentes boutades sonores, il nous étonne toujours. Et
avec quel chic ! Celui que l’on nommait « Papa Haydn » n’a rien, en musique,
d’un père tranquille. Et dès le début de l’œuvre : on y passe du tragique au
spirituel, du savant au populaire, de la tendresse à une violence parfois presque
beethovénienne. Un bonheur sans cesse renouvelé. ■

                   Tendez l’oreille…
                   … pour prendre en flagrant délit le musicien en train de changer
                   de point de vue !

  QUI ?                    Felix Mendelssohn (1809-1847)

  QUOI ?                   Concerto pour violon et orchestre n o 2 en mi mineur
  QUAND ET OÙ ?            Création : le 13 mars 1845, à Leipzig

                           I. Allegro molto appassionato, II. Andante,
  COMMENT ?
                           III. Allegretto non troppo – Allegro molto vivace

  QUELLE DURÉE ?           25 minutes environ

P
           rodigieusement doué et précoce, au moins autant que Mozart, dont il
           est un peu le fils spirituel au xixe siècle, Mendelssohn, comme Mozart,
           maîtrisait le piano, l’orgue et le violon. Il pratiquait admirablement
           aussi, nous dit-on, l’escrime, l’équitation, la peinture – ses merveilleuses
           aquarelles en témoignent –, et encore la danse, le chant… Il fut le
premier chef d’orchestre au sens moderne de l’histoire. Voyageur et organisateur
infatigable, fondateur du Conservatoire de Leipzig, où il fit de l’Orchestre du
Gewandhaus l’un des meilleurs du monde, en poste simultanément à Berlin et
à Leipzig, il mourut à la tâche à trente-huit ans seulement.
                                                                                          5
Les mélomanes français ne lui accordent pas dans leur cœur la véritable place
    qu’il mérite, mais le Concerto pour violon et orchestre en mi mineur s’est imposé
    comme un chef-d’œuvre absolu de la musique. Ce concerto ruisselant de lumière
    a tout pour lui : l’originalité, l’aisance mélodique, la richesse de motifs au charme
    enivrant et ces thèmes qui ne vous lâchent plus – cette phrase du mouvement
    central, qui n’en finit pas et que l’on a envie de chanter à perdre haleine ! Et
    quelle joyeuse fantaisie dans le finale ! ■

                                     Bon à savoir
                                     Tous les grandes violonistes d’hier et d’aujourd’hui
                                     l’ont adopté, depuis son dédicataire et créateur,
                                     Ferdinand David, ami de Mendelssohn,
                                     en passant par Joseph Joachim, l’ami de Brahms
                                     et jusqu’aux plus jeunes virtuoses d’aujourd’hui.

                                                              Textes : Gilles Cantagrel

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la direction d’orchestre
et le violon
                                               Christian TETZLAFF
                                               violoniste et chef d’orchestre

                                               Christian Tetzlaff est l’un des violonistes les plus
                                               recherchés et passionnants de la scène classique.
                                               S’il renouvelle l’écoute des œuvres les plus classiques,
                                               il porte également son attention sur
                                               des chefs-d’œuvre oubliés, auxquels il donne
                          © Giorgia Bertazzi

                                               un souffle nouveau, et enrichit le répertoire
                                               de son instrument en créant de nouvelles œuvres,

C
                                               comme le Concerto pour violon de Jörg Widmann.

            hristian Tetzlaff est régulièrement artiste en résidence auprès d’orchestres
            ou de lieux prestigieux, afin de présenter ses interprétations musicales
            sur un long cours – Philharmonie de Berlin, Wigmore Hall de Londres,
            Metropolitan Opera Orchestra à New York. Au cours de la saison 2018-
            2019, il est simultanément en résidence à l’Orchestre philharmonique
de Séoul et à la Philharmonie de Dresde.
Au cours de sa carrière, il est invité par de prestigieux orchestres du monde entier
tels que les Wiener Philharmoniker, le New York Philharmonic Orchestra, l’Orchestre
royal du Concertgebouw d’Amsterdam et toutes les grandes formations de Londres,
aux côtés de chefs d’orchestre comme Christoph Eschenbach, Manfred Honeck,
Andris Nelsons, Antonio Pappano, Robin Ticciati, Paavo Järvi et Vladimir Jurowski.
Parmi les points forts de sa saison 2018-2019, citons des concerts aux États-Unis
avec le Boston Symphony Orchestra et Thomas Adès au Festival de Tanglewood ou
encore avec le Cleveland Orchestra et le Detroit Symphony Orchestra, ainsi qu’une
tournée avec le San Francisco Symphony Orchestra et Michael Tilson Thomas. Il se
rend également au Vietnam avec l’Orchestre symphonique de la NHK et en Europe
avec l’Orquesta Nacional de España, les orchestres philharmoniques de Bergen et
d’Helsinki, l’Orchestre symphonique de Londres, le Deutsches Symphonie-Orchester
Berlin, les Münchner Philharmoniker et le Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin.
La musique de chambre compte pour lui autant que son travail de soliste. Il fonde
son propre quatuor à cordes en 1994, le Quatuor Tetzlaff, récompensé d’un Diapason
d’or en 2015, et effectue chaque année au moins une tournée avec lui – en 2018-
2019, au Gewandhaus de Leipzig et à la Pierre Boulez Saal de Berlin. Il forme
également un trio avec sa sœur Tanja Tetzlaff et le pianiste Lars Vogt, nominé pour
un Grammy Award. Cette saison, il se produit avec lui dans le cadre des festivals
de Hitzacker et de Klosters, à l’Alte Oper de Francfort ainsi qu’aux États-Unis.
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Le trio vient de faire paraître un disque Dvorák (Ondine). La vaste discographie
    de Christian Tetzlaff comprend également les Concertos pour violon de Bartók avec
    l’Orchestre symphonique de la radio finlandaise et Hannu Lintu (Diapason d’or,
    Gramophone Award 2018).
    Christian Tetzlaff joue un violon de Stefan-Peter Greiner. Il enseigne régulièrement
    à la Kronberg Academy. ■

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trois questions à…
                                                   Christian TETZLAFF

                                                Pouvez-vous nous présenter le programme
                                                de ce soir ?
                           © Giorgia Bertazzi

                                 Christian Tetzlaff La joie et la fantaisie du
                                 Concerto en sol majeur de Mozart le rendent unique,
                                 comparé aux œuvres composées à la même époque.
La musique de Mozart est généralement empreinte d’une tristesse sous-jacente,
même dans les pièces les plus « souriantes », mais je dirais que, pour une fois, il
parle ici réellement de joie innocente, sans aucun nuage.
La Nuit transfigurée de Schönberg est bien sûr une œuvre très connue, mais à chaque
fois que je l’entends je suis impressionné par les idées poétiques du compositeur,
transformées en paysages musicaux sensuels. C’est un vrai plaisir de jouer cette
œuvre, à la fois sous sa forme originale de sextuor, mais également dans l’adaptation
pour formation de chambre.
Quant à la Symphonie no 80 de Haydn… Ce qui est excitant avec ses symphonies,
c’est que vous pouvez extraire de cet immense corpus une pièce extraordinaire tout
en étant sûr qu’une grande partie du public ne la connaîtra pas. Je me donne donc
pour mission de promouvoir la beauté sauvage de cette musique auprès du public.
Il y a peu à dire sur le Concerto pour violon de Mendelssohn, qui est extrêmement
célèbre. Il s’agit d’une œuvre pleine d’enthousiasme et de tourments, et dont les
sentiments s’intensifient au fil des mouvements. Je ne me lasse pas de la jouer et
d’essayer d’exprimer toute la force qu’elle dégage.

Comment imaginez-vous votre travail en collaboration avec un orchestre
de chambre, et en particulier avec l'Orchestre de chambre de Paris ?
Christian Tetzlaff Je suis très enthousiaste car je n'ai jamais joué avec
l'Orchestre de chambre de Paris. Mais ce que j’ai pu entendre est fantastique !

Que pensez-vous du joué-dirigé ?
Christian Tetzlaff Jouer tout en assurant la direction est une manière de se
connecter de façon très proche à l'orchestre, qui joue alors de manière plus spontanée
que sous la baguette d’un chef. Cela présente des avantages et des inconvénients.

                                                                                          9
L’avantage est que nous devons être très attentifs aux interactions de chacun, car
cette écoute est notre seul lien. L’inconvénient majeur est qu’il n’y a pas cette touche
unique qu’un chef peut apporter à son orchestre. Mais je me réjouis d’établir une
connexion plus directe avec les musiciens de l’orchestre à travers cette collaboration.
Nous pouvons faire naître quelque chose de fort. ■
les musiciens
VIOLONS                                VIOLONCELLES                         BASSONS
Deborah Nemtanu                        Benoît Grenet                        Fany Maselli
solo super soliste                     solo                                 solo
Philip Bride                           Étienne Cardoze                      Henri Roman
premier solo                           Livia Stanese
                                       Sarah Veilhan                        CORS
Franck Della Valle                     Sébastien Renaud
solo                                                                        Nicolas Ramez
                                                                            solo
Olivia Hughes                          CONTREBASSES
solo                                   Eckhard Rudolph                      Gilles Bertocchi
Suzanne Durand-Rivière                 solo
co-solo                                                                     TROMPETTES
                                       Caroline Peach
                                       co-solo                              Julien Lair
Nicolas Alvarez
                                                                            solo invité
Jean-Claude Bouveresse                 Ricardo Delgado
Nathalie Crambes                                                            Jean-Michel Ricquebourg
Marc Duprez                                                                 solo honoraire
                                       FLÛTES
Kana Egashira
Hélène Lequeux-Duchesne                Marina Chamot-Leguay
Gérard Maître                          solo                                 TIMBALES
Florian Maviel                         Fleur Grüneissen                     Nathalie Gantiez
Mirana Tutuianu                                                             solo
Matilda Daiu                           HAUTBOIS
                                       Ilyes Boufadden-Adloff
ALTOS                                  solo
Jossalyn Jensen
solo                                   Guillaume Pierlot
                                                                            L’Orchestre de chambre de Paris
Sabine Bouthinon                       CLARINETTES                          utilise également des cors
Aurélie Deschamps                                                           et des trompettes naturels
                                       Florent Pujuila
Claire Parruitte                                                            ainsi que des timbales d’époque,
                                       solo
Deanna Anderson                                                             des instruments adaptés
Anna Brugger                           Kevin Galy                           pour chaque répertoire.

                  Mme Brigitte Lefèvre                                M. Nicolas Droin
                  présidente du conseil d’administration              directeur général

                        Conseil d’administration, équipe administrative et technique sur
                                     orchestredechambredeparis.com
Orchestre de chambre
     de Paris
     Créé en 1978, l’Orchestre de chambre de Paris,
     l’un des orchestres de chambre de référence en Europe,
     franchit cette saison quarante ans d’existence.

12
A
                                vec son directeur musical Douglas Boyd, il recherche
                                l’excellence artistique et porte une nouvelle vision de
                                la musique et de son rôle dans la cité. Communauté
                                de quarante-trois artistes engagés à Paris, l’orchestre
                                donne vie à quatre siècles de musique et s’attache à
                   renouveler la relation entre un orchestre et sa ville.
                   Depuis quarante années, l’Orchestre de chambre de Paris collabore
                   avec les plus grands chefs et solistes, avec lesquels il poursuit la
                   mise en valeur d’un vaste répertoire allant de la période baroque
                   jusqu’à la création contemporaine, et défend une lecture chambriste
                   originale. Innovant dans son rapport au public, il propose des
                   expériences musicales participatives et immersives, et développe
                   de nouveaux contenus digitaux. Sa démarche citoyenne revendique
                   une volonté de partage et l’ambition de nouer des liens entre tous.
                   Associé à la Philharmonie de Paris, l’Orchestre de chambre de Paris
                   se produit également au Théâtre des Champs-Élysées et propose
                   des concerts au Centquatre-Paris, à la cathédrale Notre-Dame, au
                   Théâtre 13 et à la Salle Cortot.
                   Les artistes associés à la saison 2018-2019 partagent la démarche
                   artistique de l’Orchestre de chambre de Paris : Fabio Biondi,
                   premier chef invité, accompagné du pianiste François-Frédéric
                   Guy, du ténor Mark Padmore et du compositeur Arthur Lavandier.
                   Au fil des concerts, l’orchestre s’entoure de chefs et de solistes
                   renommés comme Sascha Goetzel, François Leleux, Emmanuel
                   Pahud, Speranza Scappucci, Christian Tetzlaff, Lars Vogt, Alisa
                   Weilerstein, et, plus que jamais, de grandes voix comme Stéphanie
                   d’Oustrac et Sonya Yoncheva. Il est présent dans des productions
                   lyriques à l’Opéra-Comique et au Théâtre des Champs-Élysées.
                   À la Philharmonie de Paris, il célèbre les cent cinquante ans de
                   la mort d’Hector Berlioz avec L’Enfance du Christ et propose une
                   orchestration inédite de ses mélodies irlandaises, un « Gala bel
                   canto » qui réunit les étoiles montantes du chant, un Stabat Mater
                   de Rossini mais aussi un week-end autour de la Syrie. Tourné vers
                   l’international, l’Orchestre de chambre de Paris donne cette saison
                   une importante série de concerts en Allemagne et en Espagne. ■

© Pierre Morales

                   L’Orchestre de chambre de Paris, labellisé Orchestre national en région, remercie
                   de leur soutien la Ville de Paris, le ministère de la Culture (Drac Île-de-France),
                   les entreprises partenaires, accompagnato, cercle des donateurs de l’Orchestre de
                   chambre de Paris, ainsi que la Sacem, qui contribue aux résidences de compositeurs.
                                                                                                         13
Partageons une philanthropie
   responsable et engagée
C’est une vision philanthropique responsable et engagée que nous
vous proposons avec accompagnato, le cercle des donateurs de
l’Orchestre de chambre de Paris. Il a pour ambition d’entretenir une
relation de partage et de proximité entre ses membres et l’orchestre
tout en étant attentif aux évolutions et à la diversité de notre société
contemporaine.
Pour développer une programmation d’excellence à Paris et dans
les plus belles salles du monde et favoriser l’accès à la musique
de tous les publics, l’Orchestre de chambre de Paris a besoin de
votre soutien. Rejoignez accompagnato et entrez dans une relation
privilégiée avec l’Orchestre de chambre de Paris !

                       Plus d’informations sur
                 orchestredechambredeparis.com
                     rubrique « soutenez-nous »
SAISON 2019/2020
        Découvrez la nouvelle saison
    de l’Orchestre de chambre de Paris !

                             Abonnez-vous
       en choisissant au minimum cinq concerts de la saison
         et bénéficiez d'une réduction allant jusqu'à 40 % !

                              Être abonné,
                  c’est aussi rencontrer les musiciens
                     à travers différentes activités
               et profiter d’invitations et de réductions
                       tout au long de la saison.

     Offre de bienvenue
     Abonnez-vous avant le 30 mai 2019 et recevez une invitation
     à un concert de votre choix salle Cortot pour découvrir la saison de
     musique de chambre des solistes de l’Orchestre de chambre de Paris.

  Découvrez la saison sur notre site à partir du 18 avril
   Ouverture des abonnements le 19 avril :
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les prochains concerts
  Jeudi 18 avril – 20 h
  Théâtre des Champs-Élysées
  FRANÇOIS LELEUX JOUE STRAUSS
  MENDELSSOHN Ruy Blas, ouverture en do mineur
  STRAUSS Concerto pour hautbois en ré majeur
  SCHUMANN Symphonie n o 2 en do majeur
  Antonio Méndez direction
  François Leleux hautbois

  Mercredi 24 avril – 20 h
  Théâtre des Champs-Élysées
  CARTE BLANCHE À
  FRANÇOIS-FRÉDÉRIC GUY / OPUS 2
  MOZART Concerto pour piano n o 22 en mi bémol majeur
  BRAHMS Concerto pour piano n o 1 en ré mineur
                                                         Licence entrepreneur de spectacle : 2-1070176
  François-Frédéric Guy direction et piano

                        #OCP1819
              orchestredechambredeparis.com
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