LEVÉE D'EMBARGO : VENDREDI 17 FEVRIER 2023 A 17H - Les Français et la mobilisation contre la réforme des retraites du jeudi 16 février 2023 - Odoxa
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Les Français et la mobilisation contre la réforme des retraites du jeudi 16 février 2023 LEVÉE D’EMBARGO : VENDREDI 17 FEVRIER 2023 A 17H Sondage réalisé avec pour
Méthodologie Recueil Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par internet du 16 au 17 février 2023. Echantillon Echantillon de 1 005 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération.
Précisions sur les marges d’erreur Chaque sondage présente une incertitude statistique que l’on appelle marge d’erreur. Cette marge d’erreur signifie que le résultat d’un sondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part et d’autre de la valeur observée. La marge d’erreur dépend de la taille de l’échantillon ainsi que du pourcentage observé. Si le pourcentage observé est de … Taille de l’Echantillon 5% ou 95% 10% ou 90% 20% ou 80% 30% ou 70% 40% ou 60% 50% 100 4,4 6,0 8,0 9,2 9,8 10,0 200 3,1 4,2 5,7 6,5 6,9 7,1 300 2,5 3,5 4,6 5,3 5,7 5,8 400 2,2 3,0 4,0 4,6 4,9 5,0 500 1,9 2,7 3,6 4,1 4,4 4,5 600 1,8 2,4 3,3 3,7 4,0 4,1 800 1,5 2,5 2,8 3,2 3,5 3,5 900 1,4 2,0 2,6 3,0 3,2 3,3 1 000 1,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 2 000 1,0 1,3 1,8 2,1 2,2 2,2 3 000 0,8 1,1 1,4 1,6 1,8 1,8 Lecture du tableau : Dans un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage observé est de 20% la marge d’erreur est égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dans l’intervalle [17,5 ; 22,5].
Principaux enseignements 6 Français sur 10 soutiennent le blocage du 7 mars 1. Où en est la mobilisation ? Les Français sont partagés. 52% estiment qu’elle se maintient à un haut niveau quand 46% trouvent qu’elle s’essouffle. 2. Mais le soutien au mouvement anti-réforme demeure toujours aussi élevé : 68% sont derrière les manifestants et grévistes. 3. 59% des Français estiment que les syndicats ont raison de vouloir mettre « la France à l’arrêt » … 4. … car les annonces d’Elisabeth Borne n’ont pas fait bouger les lignes : 66% des Français sont toujours opposés à la réforme et ceux qui sont désormais « pour » (9%) sont aussi nombreux que ceux qui sont désormais « contre » (8%). 5. L’article 7 au cœur du projet de loi ne sera peut-être pas discuté à l’Assemblée nationale : 55% des Français pensent que c’est la faute du gouvernement, 42% que c’est à cause de l’opposition. ➢ Dans son analyse des réseaux sociaux, Véronique Reille-Soult, de Backbone Consulting observe que la réforme des retraites, toujours aussi rejetée par les internautes, est de moins en moins comprise. L’affaire des 1200€ de retraite minimale qui ne concernerait finalement pratiquement personne a fait mal en termes de confiances. Résultat, les différentes concessions faites ne sont pas perçues comme des avancées mais plutôt comme le signe d’une forme de fuite.
Synthèse détaillée du sondage (1/3) Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa 6 Français sur 10 soutiennent le blocage du 7 mars 1) Où en est la mobilisation ? Les Français sont partagés. 52% estiment qu’elle se maintient à un haut niveau quand 46% trouvent qu’elle s’essouffle La 5e journée contre la réforme des retraites a eu lieu hier : moins de manifestants dans les rues, moins de grévistes… Les chiffres montrent une mobilisation est moins forte qu’à la mi-janvier. Mais les Français -interrogés hier soir et ce matin- n’en concluent pas pour autant de manière claire et nette que la mobilisation s’essouffle au fur et à mesure des semaines : 46% le disent quand 52% considèrent qu’elle se maintient à un haut niveau. Sur les réseaux sociaux analysés par Véronique Reille-Soult, les chiffres plus bas concernant le nombre de manifestants ne semblent pas être considérés comme un échec mais plutôt comme le reflet d’une « journée intermédiaire dans le combat ». En réalité, chacun est influencé par son opinion sur cette mobilisation : ceux qui y sont favorables sont les deux-tiers (65%) à trouver qu’elle est toujours massive alors que ceux qui s’y opposent sont les trois quarts (76%) à juger qu’elle s’essouffle. 2) Mais le soutien au mouvement anti-réforme demeure toujours aussi élevé : 68% sont derrière les manifestants et grévistes Si le succès de la mobilisation dans les rues parait moins évident que lors des précédentes journées, depuis près d’un mois le soutien à celle-ci, lui, ne se dément pas. Les Français sont toujours 7 sur 10 à soutenir la mobilisation (dont 17% en y participant d’une manière ou d’une autre) contre la réforme : 68% aujourd’hui contre 69% la semaine dernière et 66% le 19 janvier lors de la première journée. Pour le moment, la lassitude ne guette donc pas l’opinion, surtout chez les sympathisants Insoumis qui sont 97% à soutenir la mobilisation (+5 points/la semaine dernière), dont 35% en y participant d’une manière ou d’une autre.
Synthèse détaillée du sondage (2/3) Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa 3) 59% des Français estiment que les syndicats ont raison de vouloir mettre « la France à l’arrêt » L’annonce par les syndicats d’une « France à l’arrêt » le 7 mars (et peut-être au-delà) aurait pu émousser le soutien au mouvement… Ce n’est donc pas le cas. Logique, car les Français sont une majorité de 59% à penser que ces syndicats ont eu raison de décider de ces blocages et d’envisager des grèves reconductibles « visant à bloquer les transports ou encore les raffineries ». Ceux qui soutiennent le mouvement sont 81% à approuver cette idée de blocage. L’approbation est majoritaire dans toutes les catégories de la population, à part chez les retraités (59% sont contre) pas concernés par cette réforme ou de manière positive (revalorisation des petites retraites). Politiquement, le blocage remporte un franc succès : 83% des sympathisants de gauche y sont favorables, c’est le cas aussi des sympathisants du Rassemblement national (65%). Bien sûr, les sympathisants Renaissance y sont opposés (71%) autant que les sympathisants LR, moins enthousiastes sur la réforme, mais structurellement hostiles aux grèves et blocages. 4) Les annonces d’Elisabeth Borne n’ont pas fait bouger les lignes : 66% des Français sont toujours opposés à la réforme et ceux qui sont désormais « pour » (9%) sont aussi nombreux que ceux qui sont désormais « contre » (8%) Si le soutien ne faiblit pas, c’est que les évolutions du projet de loi n’ont pas du tout convaincu. L’élargissement du dispositif « carrière longue » aux personnes ayant commencé à travailler à 20 ou 21 ans, destiné à s’assurer au Parlement du soutien de LR, rend la réforme un peu plus illisible et « casse » sa colonne paramétrique. L’opinion comprend encore moins pourquoi le gouvernement « s’accroche » aux 64 ans. Entre ceux qui étaient opposés au projet et n’ont pas changé d’avis (58%) et ceux qui y étaient favorables mais y sont désormais opposés (8%), cela fait 66% de jugements négatifs. Ces 8% annulent (ou presque) les 9% de Français qui étaient opposés à la réforme et y sont désormais favorables.
Synthèse détaillée du sondage (3/3) Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa 5) L’article 7 au cœur du projet de loi ne sera peut-être pas discuté à l’Assemblée nationale : 55% des Français pensent que c’est la faute du gouvernement, 42% que c’est à cause de l’opposition Le débat, extrêmement houleux, régulièrement interrompu par des saillies ou posts injurieux de la part des Insoumis, est, il est vrai, aussi pénible qu’alambiqué. À stratégie, stratégie et demie : la Nupes a présenté des milliers d’amendements pour éviter que le gouvernement -qui a raccourci avec l’article 47-1 le temps des débats- ne fasse voter trop vite la réforme des retraites. Résultat, le fameux article 7 qui prévoit le report de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite ne sera peut-être même pas discuté à l’Assemblée nationale avant la clôture des débats prévue ce soir. A qui la faute ? Au gouvernement « qui a limité le temps de discussion » répond une majorité de 55% de Français, contre 42% qui rejettent la faute sur l’opposition « qui a déposé trop d’amendements et a fait de l’obstruction parlementaire ». Au bout du compte la réforme des retraites voulue par le gouvernement sera peut-être votée, mais la période actuelle laissera des cicatrices. Le peuple et son président rêvaient initialement d’un dépassement des clivages pour aboutir à des projets aussi consensuels qu’enthousiasmants. Or, nos concitoyens considèrent que le gouvernement tente un passage en force dans une assemblée désunie et survoltée.
Synthèse de la résonance sur les réseaux sociaux Véronique Reille Soult – CEO de BACKBONE Consulting Sur les réseaux sociaux, le rejet d’une réforme « injuste » ne faiblit pas et le débat sur le nombre de bénéficiaires réels des retraites à 1200€ a renforcé la défiance à l’égard du gouvernement De moins en moins comprise, la réforme des retraites reste pour autant rejetée. Les différentes évolutions de son contenu ne sont pas perçues comme des avancées mais plutôt comme le signe d’une sorte de fuite. En ce qui concerne la mobilisation du 16 février, elle a été perçue par les internautes comme intéressante car donnant de la visibilité aux villes de taille moyenne et aux régions. L’unité des syndicats a également été saluée sur les réseaux sociaux et leur apporte un nouveau crédit dans l’opinion. Et les chiffres plus bas concernant le nombre de manifestants ne semblent pas être considérés comme un échec mais plutôt comme le reflet d’une « journée intermédiaire dans le combat ». Parmi les points de cristallisations critiques dans les commentaires des internautes, le nombre de bénéficiaires potentiels de la mesure revalorisant certaines retraites à 1200€ est le plus commenté et repris. Perçue comme un leurre voire comme un mensonge, cette mesure et son impact réel sont devenus le symbole du flou et des injustices. On note aussi que de nombreux commentaires pointent la perception d’une forme d’impréparation : « on a l’impression que le gouvernement découvre les différentes situations des salariés ». La colère reste perceptible en ligne et il faut souligner qu’elle n’est pas uniquement liée à la réforme des retraites mais souvent plus aux réalités de la vie quotidienne et à un manque global de perspectives. Sur les réseaux sociaux, le sentiment d’injustice au sens large est le sentiment le plus partagé, c’est lui qui mobilise le plus aujourd’hui.
Regard porté sur la mobilisation dans le temps Depuis le début des manifestations et grèves contre la réforme des retraites, avez-vous plutôt le sentiment que… ? (NSP) 2% … la mobilisation se maintient à un haut niveau … la mobilisation s’essouffle au fur et à mesure des semaines 52% 46% Français soutenant les mobilisations : 65% Français opposés aux mobilisations : 76%
Soutien aux mobilisations Vous personnellement, quelle est votre attitude par rapport à ces journées de mobilisation ? Vous la soutenez enles Vous y participant soutenez end’une manière y participant 17% oud’une d’unemanière autre ou d’une autre 68% des Français soutiennent la mobilisation contre la Vous les soutenez, sans y participer 51% réforme des retraites Vous y êtes opposé(e) 16% Vous y êtes indifférent(e)/vous ne savez pas trop 71% 69% Vous y êtes indifférent(e) 15% 66% 68% quoi en penser (NSP) 1% Mobilisation Mobilisation Mobilisation Mobilisation du 19 janvier* du 31 janvier** du 7 février*** du 16 février * Sondage Odoxa – Backbone Consulting pour Le Figaro, publié le 20 janvier 2023 ** Sondage Odoxa – Backbone Consulting pour Le Figaro, publié le 2 février 2023 *** Sondage Odoxa – Backbone Consulting pour Le Figaro, publié le 9 février 2023
Soutien aux mobilisations selon la proximité partisane Vous personnellement, quelle est votre attitude par rapport à ces journées de mobilisation ? % Soutien Ensemble des Français 17% 51% 16% 15% 1% 68% Symp. LFI 35% 62% 2% 1% 97% Symp. PS 30% 49% 10% 11% 79% Symp.EELV 23% 52% 8% 15% 2% 75% Symp. Renaissance 9% 23% 49% 19% 32% Symp. LR 13% 30% 43% 14% 43% Symp. RN 16% 61% 9% 13% 1% 77% Vous les soutenez en y participant d’une manière ou d’une autre Vous les soutenez, sans y participer Vous y êtes opposé(e) Vous y êtes indifférent(e) (NSP)
Perception de la mobilisation et de l’objectif de « blocage » du 7 mars prochain Le 7 mars, les syndicats prévoient de mettre « la France à l’arrêt » et envisagent des grèves reconductibles visant à bloquer les transports ou encore les raffineries. A propos de cet objectif de « blocage » du pays, diriez-vous plutôt que les syndicats… (NSP) 1% … ont tort, rien ne peut justifier que le pays soit bloqué … ont raison, c’est le seul moyen 40% de faire reculer le gouvernement sur la réforme des retraites 59% Français soutenant les mobilisations : 81%
Perception de la mobilisation et de l’objectif de « blocage » du 7 mars prochain selon la proximité partisane Le 7 mars, les syndicats prévoient de mettre « la France à l’arrêt » et envisagent des grèves reconductibles visant à bloquer les transports ou encore les raffineries. A propos de cet objectif de « blocage » du pays, diriez-vous plutôt que les syndicats… Ensemble des Français 59% 40% 1% Symp. LFI 92% 8% Symp. PS 71% 29% Symp.EELV 74% 26% Symp. Renaissance 28% 71% 1% Symp. LR 29% 71% Symp. RN 65% 34% 1% … ont raison, c’est le seul moyen de faire reculer le gouvernement sur la réforme des retraites … ont tort, rien ne peut justifier que le pays soit bloqué (NSP)
Conséquences de l’élargissement du dispositif « carrières longues » sur l’opinion Elisabeth Borne a annoncé l’élargissement du dispositif « carrières longues » aux personnes ayant commencé à travailler à 20 ou 21 ans. Cette mesure est-elle de nature à modifier votre opinion sur la réforme des retraites ? Favorables à la réforme : 33% Opposé(e)s à la réforme : 66% Oui, Oui, vous étiez opposé(e) à la réforme et vous y vous étiez opposé(e) à la réforme êtes désormais favorable 9% et vous y êtes désormais favorable % Changement d’opinion sur Oui, la réforme des retraites : Oui, vous étiez favorable à la réforme et vous y vous étiez favorable à la réforme êtes désormais opposé(e) 8% 17% et vous y êtes désormais opposé(e) Non, Non, vous étiez opposé(e) à la réforme et vous y vous étiez opposé(e) à la réforme restez toujours opposé(e) 58% et vous y restez toujours opposé(e) % Pas de changement d’opinion Non, sur la réforme des retraite : Non, vous étiez favorable à la réforme et vous y vous étiez favorable à la réforme 24% restez toujours favorable et vous y restez toujours favorable 82% (NSP) 1%
Responsable perçu d’une éventuelle non discussion de l’article 7 prévoyant de reporter l’âge de départ de 62 à 64 ans La discussion du projet de loi de réforme des retraites doit s’arrêter ce vendredi soir à l’Assemblée nationale. Compte-tenu du nombre d’amendements déposés, en particulier par les députés de la NUPES, il est possible que l’article 7 prévoyant de reporter l’âge de départ de 62 à 64 ans ne soit pas discuté. Qui serait selon vous le principal responsable de cette situation ? (NSP) 3% L’opposition qui a déposé trop d’amendements et a fait de l’obstruction parlementaire Le gouvernement qui a limité le 42% temps de discussion du projet de loi à l’Assemblée nationale 55%
Responsable perçu d’une éventuelle non discussion de l’article 7 prévoyant de reporter l’âge de départ de 62 à 64 ans selon la proximité partisane La discussion du projet de loi de réforme des retraites doit s’arrêter ce vendredi soir à l’Assemblée nationale. Compte-tenu du nombre d’amendements déposés, en particulier par les députés de la NUPES, il est possible que l’article 7 prévoyant de reporter l’âge de départ de 62 à 64 ans ne soit pas discuté. Qui serait selon vous le principal responsable de cette situation ? Ensemble des Français 55% 42% 3% Symp. LFI 84% 16% Symp. PS 74% 26% Symp.EELV 69% 27% 4% Symp. Renaissance 16% 81% 3% Symp. LR 40% 57% 3% Symp. RN 59% 39% 2% Le gouvernement qui a limité le temps de discussion du projet de loi à l’Assemblée nationale L’opposition qui a déposé trop d’amendements et a fait de l’obstruction parlementaire (NSP)
Résonance sur les réseaux sociaux
Résonance sur les réseaux sociaux Méthodologie Les données sont collectées par BACKBONE consulting et son équipe spécialiste de l’écoute et de l’analyse de l’opinion en ligne à l’aide des Social Media et du web. Pour effectuer leur analyse, ils utilisent les outils d’analyse de social media et de veille on line les plus pertinents pour leur requête que ce soit des outils propriétaires ou des outils du marché. Les principaux outils du marché utilisés sont seematik, visibrain et talkwaker. Seemantik : l’actualité décryptée grâce aux émotions. Une technologie d’analyse sémantique qui permet d’identifier et localiser les sujets montants qui feront l’actualité de demain. www.seemantik.com Visibrain : Logiciel de veille des médias en ligne. Outil de veille médiatique à l’ère de l’information massive et instantanée, grâce à une plateforme qui couvre tous les médias en ligne, en temps-réel, sans se laisser noyer par le bruit. http://www.visibrain.com/fr/ Une utilisation particulière, suite à des développement spécifiques, est effectuée avec l’outil Talkwalker Outil de veille pour suivre les conversations pertinentes des médias en ligne en temps réel à partir d’une seule interface, permet aussi de suivre les mentions sur un homme politique ou un sujet spécifique en effectuant une veille des réseaux sociaux comme Twitter, Facebook, Instagram, YouTube, Google+, tiktok, ainsi que les blogs, les forums et les sites d’actualité en ligne. http://www.talkwalker.com/fr/social-media-intelligence/
Réforme des retraites sur les réseaux sociaux en France du 9 au 16 février 2023 1 million de messages du 2 au 8 février 2023 990 000 messages du 9 au 16 février 2023 Source : Talkwaker / BACKBONE Consulting
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Réforme des retraites sur les réseaux sociaux en France du 9 au 16 février 2023 Source : Talkwaker / BACKBONE Consulting
Réforme des retraites sur les réseaux sociaux en France du 9 au 16 février 2023 Source : Talkwaker / BACKBONE Consulting
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