Lignes directrices pour la planification et la formulation du programme de coopération technique de l'AIEA pour 2024-2025
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Lignes directrices pour la planification et la formulation du programme de coopération technique de l’AIEA pour 2024–2025 Sommaire A. Objectif B. Introduction C. Principes directeurs pour la planification et la formulation de projets D. Rôles et responsabilités E. Processus de planification et d'élaboration des projets F. Services d’appui à la conception des projets G. Calendrier de préparation du programme de CT pour 2024–2025 A. Objectif 1. Les présentes lignes directrices constituent le cadre d'élaboration du programme de coopération technique de l’Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) pour 2024–2025. Elles définissent les rôles et responsabilités, le processus et le calendrier, ainsi que les services disponibles pour la planification, la formulation et l'élaboration du programme de CT pour 2024–2025. B. Introduction 2. L’AIEA est un organisme international indépendant entretenant des relations spéciales avec le système des Nations Unies. Son programme de CT renforce les capacités humaines et institutionnelles des États Membres en vue de permettre une application sûre, sécurisée et pacifique de la science et de la technologie nucléaires, conformément au mandat statutaire de l’AIEA1 et aux décisions de ses organes directeurs en la matière. Le programme contribue ainsi à répondre aux principales priorités de développement durable de chaque pays, avec comme objectif la promotion croissante d'un impact socioéconomique tangible. L'AIEA travaille en étroite collaboration avec les États Membres et appuie leurs efforts visant à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD). 3. Le programme de CT est basé sur le principe de la responsabilité partagée entre le Secrétariat et les États Membres, lesquels jouent un rôle de premier plan. Les projets de chaque programme national sont élaborés dans le cadre d'un processus consultatif associant toutes les parties concernées, en utilisant la méthodologie du cadre logique (MCL) et le critère central de la CT2 pour recenser les priorités, les problèmes et les insuffisances devant être pris en compte, ainsi que les résultats escomptés, compte tenu des ressources disponibles. 4. Le cycle du programme de CT est aligné sur le programme ordinaire de l'AIEA pour permettre l'allocation et la mobilisation stratégiques de toutes les ressources du Secrétariat disponibles (gestion du programme, financement et compétences techniques). 1 Conformément à l’article II du Statut de l’AIEA : « L’Agence s’efforce de hâter et d’accroître la contribution de l’énergie atomique à la paix, la santé et la prospérité dans le monde entier. Elle s’assure, dans la mesure de ses moyens, que l’aide fournie par elle-même ou à sa demande ou sous sa direction ou sous son contrôle n’est pas utilisée de manière à servir à des fins militaires ». 2 Voir le document GOV/INF/2002/8/Mod.1 de l’AIEA.
C. Principes directeurs pour la planification et la formulation de projets 5. Les principes directeurs établis de l'AIEA pour la formulation du programme de CT sont énoncés dans le Statut de l’AIEA et dans le Texte révisé des principes directeurs et règles générales d'application concernant l'octroi d'assistance technique par l'Agence (document INFCIRC/267). Cette formulation est aussi guidée par les décisions des organes directeurs sur la question. 6. Le programme de CT est basé sur les besoins et la demande. Les priorités sont établies au niveau national d'après les programmes-cadres nationaux (PCN) mis en place, le cas échéant, et les plans de développement nationaux/plans sectoriels. Au niveau régional, les priorités du programme sont basées sur les cadres stratégiques et les profils régionaux. 7. Chaque État Membre désireux d’avoir un programme national de coopération technique est vivement encouragé à disposer d'un PCN valide. Le PCN est un outil de programmation stratégique préparé ensemble par les États Membres et le Secrétariat. Il définit les besoins et priorités du développement national auxquels la science et la technologie nucléaires peuvent être appliquées pour produire des résultats tangibles. Il fournit au programme national une structure axée sur les résultats, fondée sur des analyses par pays et sur les enseignements tirés de la coopération technique passée, à laquelle les projets de CT prévus doivent être clairement liés. Les PCN sont alignés sur les plans nationaux de développement, les stratégies et politiques sectorielles pertinentes et les ODD. Les plans stratégiques, les profils et les cadres régionaux, documents de référence clés pour l'élaboration des projets régionaux et interrégionaux, permettent l'alignement avec les besoins régionaux et interrégionaux définis et hiérarchisés. 8. Le Secrétariat travaille en étroite collaboration avec les États Membres afin que les besoins et priorités qu’ils ont recensés soient dûment pris en compte dans le programme de CT et que les propositions de projets soient conformes aux critères de qualité de celui-ci, à savoir la pertinence, la cohérence, la prise en charge, la durabilité, l’efficience et l'efficacité. Pour une efficience accrue, les projets de grande portée susceptibles d’avoir une incidence plus grande doivent faire l’objet d’une attention particulière 3 . Les États Membres sont encouragés à mettre davantage l'accent sur des projets intégrés pluriannuels 4 . 9. Des partenariats avec d'autres parties prenantes (y compris des donateurs potentiels) susceptibles de contribuer au projet proposé sont fortement recommandés et devraient être recherchés, trouvés et établis au début du processus de conception du projet. 10. L’AIEA est déterminée à respecter l'égalité des sexes et à aider toute personne, quel que soit son sexe, à contribuer en toute égalité à ses programmes et activités et à en bénéficier. Conformément à la politique en matière d'égalité des sexes de l’AIEA et à son objectif d’intégration, selon qu’il convient, de la perspective hommes-femmes dans le cadre de la planification des programmes, les incidences et les avantages en lien avec cette question devraient être pris en considération dans tous les projets. Les États Membres sont donc encouragés à s'efforcer d'intégrer les préoccupations et les expériences des hommes et des femmes dans l'identification, la hiérarchisation, la planification, la conception, la mise en œuvre, le suivi et l'évaluation des projets, par une participation et des opportunités égales. 11. La méthodologie du cadre logique est l'outil standard utilisé par l’AIEA pour la mise en œuvre de la gestion axée sur les résultats pendant toute la durée de vie des projets de CT. Tous les projets doivent être formulés sur la base d’une analyse approfondie pour donner les résultats escomptés. Il est essentiel de définir des résultats mesurables et réalistes à l'aide d'indicateurs de performance et 3 Voir le document GOV/INF/2002/8/Mod.1 de l’AIEA. 4 Voir le document INFCIRC/267.
d'informations de référence claires. Il s'agit là d'outils nécessaires pour mesurer les progrès et l'impact, qui faciliteront le suivi et la présentation des résultats dans les rapports annuels d’évaluation de l’état d’avancement des projets. Les États Membres sont encouragés à prendre en considération les meilleures pratiques et les enseignements tirés de projets antérieurs en se basant sur les informations recueillies grâce aux outils de surveillance et aux évaluations, et à mettre à profit ces informations lors de la formulation des nouveaux projets. 12. Les stratégies d'accord régional/d'accord de coopération et les profils stratégiques régionaux constituent les bases de la planification et de la formulation des projets régionaux. Les propositions de projet devraient comporter des éléments démontrant que l'appui demandé vise à répondre à des besoins communs, constitue une priorité régionale déterminée et correspond aux plans de développement nationaux et aux priorités des États Membres participants. 13. Les projets interrégionaux peuvent être des projets transrégionaux, définir des normes internationales ou permettre à des candidats de pays en développement de participer à des conférences, des séminaires et des ateliers approuvés. Ils peuvent aussi servir à des activités conjointes de CT avec une entité internationale. Ils contribuent à promouvoir le partage de connaissances et de données d’expérience entre les États Membres participants et à renforcer la coopération technique entre pays en développement (CTPD), la coopération Sud-Sud et la coopération triangulaire. 14. Étant donné les ressources limitées du Fonds de coopération technique (FCT), les projets devraient être appuyés conjointement par les États Membres et/ou des partenaires de développement/donateurs. La source, la nature et l'étendue de l'appui devraient être clairement indiquées dans le descriptif de projet. En principe, des contributions extrabudgétaires, telles que des participations des gouvernements aux coûts, devraient être fournies en contribution aux achats importants, et être clairement indiquées dans le document du projet. 15. Il est conseillé aux États Membres de se baser sur le montant des ressources du FCT du précédent cycle de CT pour planifier le budget des projets de CT du cycle suivant. Des sources supplémentaires de financement devraient être clairement indiquées pour les activités spécifiques. D. Rôles et responsabilités 16. Les États Membres sont responsables de la sélection des projets à proposer au Secrétariat sur la base des PCN et des profils stratégiques régionaux existants. Seuls les projets dans lesquels les techniques et les technologies nucléaires et apparentées bien établies et éprouvées ont un avantage comparatif ou sont utilisées en complément de méthodes traditionnelles seront pris en considération. 17. Les États Membres sont responsables de la sélection des établissements de contrepartie, des contreparties de projets, des coordonnateurs de projets régionaux, des équipes de projet et des partenaires, compte tenu des besoins et des objectifs des projets. Ils devront notamment s'assurer que les établissements choisis disposent de l'infrastructure physique et technique requise, de ressources humaines qualifiées pour exécuter les projets et d'une infrastructure de sûreté adéquate pour une utilisation sûre de la technique proposée dans le cadre du projet, mais aussi qu'ils appuient la diffusion des connaissances et de la technologie transférée au niveau national et régional, et y soient attachés. Les contreparties de projets devraient être bien informées et motivées, posséder de bonnes compétences de gestion et être capables de coordonner l'élaboration et la mise en œuvre de projets. Elles sont encouragées à suivre et réussir la formation en ligne à la méthodologie du cadre logique, de préférence avant de commencer un processus de conception. Les outils de gestion de projets sont disponibles sur le « Reference Desk » du cadre de gestion du cycle de programme (CGCP).
18. Les États membres sont responsables du suivi des projets, de l'établissement des rapports et de la réalisation des résultats, ainsi que de la durabilité des ressources humaines et des capacités infrastructurelles après la fin du projet. Il s’agira notamment pour eux de recenser, d’analyser, d’atténuer et de constamment surveiller les risques qui pourraient avoir des incidences sur la mise en œuvre des projets et sur l'impact souhaité. 19. Le Secrétariat appuie activement les États Membres dans tous les aspects de la conception des projets, notamment pour ce qui est d’assurer l'intégrité et la pertinence techniques des projets proposés et de veiller à ce que la planification financière soit appropriée à la teneur du projet. Le Secrétariat se charge également d'évaluer les descriptifs de projets en fonction des critères de qualité établis et de veiller à ce qu’un retour d’information sur tous les descriptifs de projets présentés soit fourni en temps voulu aux États Membres au moyen du CGCP. 20. Il est rappelé aux États Membres que le Conseil des gouverneurs exige que tous ceux d’entre eux qui reçoivent une assistance technique de l'AIEA aient conclu un Accord complémentaire révisé concernant la fourniture d'une assistance technique par l'AIEA (ACR). Conformément aux dispositions de cet accord, l'obtention en temps voulu du dédouanement des biens et du matériel fournis au titre du programme de CT relève de leur responsabilité. Ceci comprend le paiement des taxes éventuelles, le transport du matériel du point d’entrée au site du projet, les faux frais de manutention ou d'entreposage et autres dépenses connexes, l’assurance et la maintenance du matériel. 21. Le Département de la sûreté et de la sécurité nucléaires examine les projets qui prévoient la livraison de sources de rayonnements (sources scellées, matières radioactives non scellées et générateurs de rayonnements) ou d'équipements connexes pour s’assurer qu’ils sont conformes à l’article III A.6 du Statut, qui autorise l’AIEA à prendre des dispositions pour appliquer les normes de sécurité destinées à protéger la santé des personnes et à réduire au minimum les dangers auxquels sont exposés ces personnes, les biens (y compris de telles normes pour les conditions de travail), les opérations de l’AIEA et celles dans lesquelles des produits, des services, du matériel, des installations et des informations fournis par l’AIEA ou à sa demande ou sous sa direction ou sous son contrôle sont utilisés. Au niveau opérationnel, cet examen permet aussi d’assurer le respect des recommandations du Conseil des gouverneurs (documents GOV/1999/67 et GOV/2001/48), selon lesquelles la fourniture de sources de rayonnements ou de tout équipement impliquant l'utilisation de sources de rayonnements ne sera appuyée au titre des projets pertinents qu'après que le pays bénéficiaire aura satisfait aux principales prescriptions des Normes fondamentales internationales de sûreté relatives à la mise en place d'une infrastructure nationale de sûreté radiologique. Étant donné que l’infrastructure de sûreté radiologique d'un État Membre peut évoluer de manière positive ou négative au cours de la mise en œuvre d’un projet, les États Membres sont encouragés à consulter leurs organismes de réglementation respectifs et à dialoguer avec eux au sujet de tous les projets nécessitant l'utilisation de sources de rayonnements et d'équipements connexes pour veiller au respect des principales prescriptions des Normes fondamentales internationales de sûreté. 22. L’appréciation de l’infrastructure de sûreté radiologique d’un État Membre se fonde sur l’évaluation des informations stockées dans le Système de gestion des informations sur la sûreté radiologique (RASIMS) pour tous les ensembles thématiques de sûreté à l’exception du numéro 5 (préparation et conduite des interventions d'urgence), pour lequel elle se fond sur les informations enregistrées dans le Système de gestion de l’information pour la préparation et la conduite des interventions d’urgence (EPRIMS). Pour des raisons de confidentialité, l’accès à ce système est limité, de sorte que les États Membres ne puissent consulter que leurs propres données nationales. Les informations enregistrées dans le RASIMS proviennent aussi bien des États Membres que du Secrétariat. Les États Membres ont intérêt à veiller à ce que les informations du RASIMS soient exactes et à jour, cet outil étant utilisé pour évaluer l'infrastructure de sûreté radiologique avant qu'un État Membre reçoive des sources de rayonnements ou le matériel connexe. Ils ont aussi intérêt à veiller à ce que
les informations de l’EPRIMS soient exactes et à jour, cet outil étant utilisé pour évaluer les besoins et priorités des États Membres en matière de préparation et de conduite des interventions d’urgence. 23. À l'exception des pays les moins avancés, les États Membres doivent verser des coûts de participation nationaux (CPN) équivalents à 5 % du financement de base estimé pour les nouveaux projets nationaux approuvés. La moitié au moins de ces coûts, soit 2,5 % du financement de base, doit être versée avant que ne commence l'exécution du projet. Il est essentiel que le paiement correspondant aux CPN soit effectué rapidement pour que le projet puisse être mené de façon efficace et en temps voulu. Cependant, la date de début du projet devrait être fixée en fonction de la date prévue de paiement des CPN. Pour de plus amples informations sur les CPN, veuillez vous référer au document GOV/2004/46. E. Processus de planification et d'élaboration des projets 24. Le processus de planification et d'élaboration des projets commence lorsque le Secrétariat publie, à l'intention des États Membres, une note verbale accompagnée des présentes lignes directrices. Les États Membres doivent alors entamer des discussions internes sur les thèmes et questions à traiter dans le cadre du programme de CT au cours du cycle 2024–2025. Les États Membres sont priés de se référer au programme-cadre national et/ou aux plans de développement nationaux lors de leur processus interne d'identification de projets, ainsi qu'aux critères de qualité du programme de CT, conformément au calendrier établi à la section G. Les États Membres sont encouragés à faire participer toutes les parties prenantes concernées à l'élaboration de propositions relatives au cycle de CT suivant. Une liste des projets proposés fondée sur la note de présentation du programme national (NPN) doit être soumise sur la plateforme informatique du CGCP (http://pcmf.iaea.org/). 25. Tout groupe d’États Membres, liés ou non par un accord régional/accord de coopération en vigueur, peut soumettre des propositions de projets régionaux ou interrégionaux en tenant compte des critères de qualité du programme de CT établis, et après consultation des parties prenantes régionales/interrégionales concernées. Par ailleurs, les projets régionaux de CT sont censés contribuer clairement aux priorités nationales de développement des pays participants et seront évalués en conséquence. Le Secrétariat de l’AIEA, en étroite consultation avec les États Membres, peut aussi soumettre des projets régionaux et interrégionaux pertinents compte tenu des informations dont il dispose sur les besoins existants et les tendances. 26. Le programme proposé pour un accord régional/accord de coopération est soumis par le président de cet accord conformément au processus de planification et au calendrier déterminé. Ces programmes et les projets régionaux de CT extérieurs à un accord seront regroupés par la division régionale pertinente pour former des programmes régionaux généraux de CT. Le Secrétariat aura aussi la responsabilité d'intégrer les projets interrégionaux de CT au programme interrégional général. La soumission des notes de présentation du programme national, régional et interrégional (NPN, NPR, NPI) sur la plateforme du CGCP déclenche processus de planification des projets. À tous les stades de la conception du projet, les États Membres et le Secrétariat ont le temps d'interagir. 27. Les agents de liaison nationaux (NLO), responsables de la gestion de programmes (RGP), administrateurs techniques, contreparties de projets et partenaires de coopération potentiels sont censés travailler ensemble à la conception des projets sélectionnés dans la liste initiale de concepts de la note de présentation du programme, en tenant compte des retours d’information fournies par le Secrétariat au moyen du CGCP. Les États Membres sont encouragés à profiter des services proposés par le Secrétariat (présentés à la section F ci-après) à l’appui du processus d'élaboration des programmes et des projets nationaux. Un retour sur les descriptifs de projet leur sera fourni par le Secrétariat au moyen de la plateforme du CGCP. On y trouve également tous les modèles de descriptifs de projets et des indications détaillées.
F. Services d'appui à la conception des projets 28. Le cas échéant et selon qu'il convient, le Secrétariat consultera les États Membres en ce qui concerne la fourniture d'un appui à la planification, à la conception et à l'élaboration de projets, notamment : 1) une assistance à l'élaboration de PCN et de cadres/profils stratégiques régionaux, 2) une assistance préparatoire, 3) une assistance à l'élaboration d'un projet axé sur les résultats, 4) une planification en amont, 5) des réunions d'examen des programmes de projets, 6) des formations et des cours d'initiation destinés aux nouvelles contreparties et aux nouveaux agents de liaison nationaux et assistants de liaison nationaux, et 7) une assistance aux activités de mobilisation de ressources. Une description complète de tous les services relatifs au programme de CT est disponible dans la Reference Desk du CGCP. 29. La phase de conception du programme de CT se fait entièrement sur la plateforme CGCP, qui permet un processus transparent de planification et de conception et contient des informations et des références sur les services pouvant aider les États Membres à concevoir leur programme, notamment sur le Reference Desk du CGCP. La plateforme favorise également les interactions entre toutes les parties prenantes.
G. Calendrier de préparation du programme de CT pour 2024–2025 Phase Activité/étape Responsabilité Date limite Publication des lignes directrices Secrétariat Janvier/février 2022 concept/programme (note verbale) Soumission de la note de présentation États Membres 30 avril 2022 Phase de la note de présentation du du programme national (NPN) sur la plateforme informatique du CGCP Soumission de la note de présentation États Membres/ 31 mai 2022 du programme régional et interrégional Secrétariat (NPR/NPI) sur la plateforme informatique du CGCP Retour d'information sur la NPN Secrétariat 31 mai 2022 aux États Membres Concertation avec les États Membres à États Membres/ Continu travers les services du programme de CT Secrétariat Soumission des projets de descriptifs de États Membres 31 août 2022 projets nationaux, régionaux ou interrégionaux sur la plateforme informatique du CGCP Les équipes de projet améliorent les États Membres/ Continu projets de descriptifs de projet Secrétariat Finalisation de l'examen technique et Secrétariat 15 janvier 2023 Phase de formulation programmatique initial Premier exercice d'amélioration de la Secrétariat Février 2023 qualité avec retour d'information aux équipes de projet Les équipes de projet intègrent au États Membres/ 31 mars 2023 descriptif de projet le retour Secrétariat d'information issu du premier examen de la qualité Deuxième exercice d'amélioration de la Secrétariat Avril 2023 qualité avec retour d'information aux équipes de projet Finalisation et soumission de tous les États Membres 17 mai 2023 descriptifs de projets sur la plateforme informatique du CGCP Acceptation du programme national États Membres 12 juillet 2023 Approbation du programme de CT Secrétariat 30 juillet 2023 Phase d'approbation régional proposé Diffusion des documents de programme Secrétariat Octobre 2023 de CT aux États Membres Examen du programme de CT États Membres Novembre 2023 par le Comité de l’assistance et de la coopération techniques Approbation du programme de CT États Membres Novembre 2023 par le Conseil des gouverneurs Information aux États Membres Secrétariat Décembre 2023 concernant le programme national approuvé
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