PIERRE LEGENDRE MINI TRANSAT 2019 : Team Pitou - Connecting-sponsors
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
PIERRE LEGENDRE
MINI TRANSAT 2019 : Team Pitou
Sommaire :
Contact :
Le projet……………………………………………….… P2
Pierre LEGENDRE
Qu'est-ce que la Classe Mini 6.50 ?........................... P3
06 21 80 81 28 Témoignages d’anciens participants…………….…… P3
Pourquoi ce projet ?....................................................P4
pierrelegendre.mini2019@gmail.com
Le skipper………………………………………….……. P4
Le bateau………………………………………………...P5
Organisation et programme 2018-2019…….…………P7
Quels intérêts pour un Sponsor ?................................P9
Devenir Partenaire……………………………….…… P11
Coût du projet sur les 2 ans……………………………P11
1
Le projet :
Mon objectif, est de participer à la mini transat 2019 et, ainsi, de traverser l’Atlantique à la voile en
solitaire, sans aucune communication et sans assistance à bord d’un bolide des mers de 6,50 mètres au
côté de 80 concurrents.
Quand ? Départ début octobre 2019 et arrivée prévue mi-novembre 2019
Combien ? : 4000 miles (7400 Km) en solitaire
2
Qu'est-ce que la Classe Mini 6.50 ?
La Classe Mini 6.50 a été́ créée en 1977 en Angleterre. 24 voiliers de 6,50 m prenaient le départ d’une course
transatlantique qui devait les mener, après avoir fait une escale à Tenerife (Canaries), jusqu’à Antigua
(Antilles). A bord, un seul marin. Les plus petits voiliers de la course au large venaient de naître et cette
course s’appelait : la Mini Transat.
Depuis, elle s’est déroulée tous les deux ans, les années impaires. L’itinéraire évolue. Le nombre de
participants également. Ainsi, l’édition 2017 (la 21ème) réunit 83 coureurs sur autant de voiliers. Ils se sont
élancés à travers l’Atlantique entre La Rochelle et la Martinique avec une escale aux Canaries le 1er octobre
dernier.
Imaginez-vous, seul, sur un bateau de 6,50m de long pendant 1 petit mois. Imaginez-vous devoir gérer
votre navigation, la météo, l’énergie du bord, votre alimentation sous forme de repas lyophilisés, vos
« heures » de « sommeil » qu’il faut optimiser sous peine de se faire distancer par celui qui dormira moins.
Imaginez-vous sur un bateau balayé par les embruns de l’Atlantique 24h/24 sans pouvoir vous arrêter pour
souffler un peu. A bord, pas de moyens de communication avec la Terre ni de routage météo. Vous êtes
le seul décideur de votre navigation et de vos choix. C’est le défi que propose la Classe Mini aux participants
de cette fabuleuse course/aventure qui a révélé de grands noms de la course au large comme Isabelle
AUTISSIER, Thomas COVILLE, Yves PARLIER, Loïc PEYRON, Yvan BOURGNON ou encore le
« professeur » Michel DESJOYEAUX.
https://www.classemini.com/
Témoignages d’anciens participants :
« En dehors des tours du monde, je ne connais pas une course aussi extraordinaire. Il y a autant de
vainqueurs possibles que de marins au départ. Sportivement parlant, je préfèrerais gagner une Transat 6.50
qu’une Route du Rhum ! ». Jean-Luc Van Den Heede, deuxième de l’édition 1979.
« Tu es seul face à l’océan. Là, pas de contact radio permanent. Tu ne peux pas appeler maman. Si tu
veux aller au bout de toi-même, c’est la course qu’il te faut. Quand tu la termines – à fortiori quand tu as la
chance de la gagner ! – tu peux voir plus loin. Cette transat reste mon plus beau souvenir ». Yvan Bourgnon,
vainqueur de l’édition 1995.
« Humainement, cette transat est idéale pour ceux qui rêvent d’une grande aventure et sert toujours de
révélateur à ceux qui visent plus haut. » Michel Desjoyeaux – 31 ème en 1991
« C’est elle qui m’a donné le goût du large. Je n’oublierai jamais ». Ellen Mac Arthur, 17 ème de l’édition
1997.
3
Pourquoi ce projet ? :
Après avoir suivi de nombreux projets de Mini Transat et rêvé de faire de la course au large en solitaire, il
m’était impossible de ne pas me dire « un jour ce sera moi ». J’ai ainsi décidé que mon tour était venu, et de
me lancer dans cette fabuleuse et un peu folle aventure afin de vivre mes rêves et de les partager avec le
plus grand nombre.
Même s’il est très prenant, un projet mini-transat permet d’associer passion, métier et vie privée.
Cet incroyable défi est l’occasion unique de pouvoir apprendre à se connaître dans ses derniers
retranchements, d’aller puiser loin dans ses ressources autant mentales que physiques. De plus, l’aventure
Mini 6.50 permet de mettre mon intérêt pour la gestion de projet au service de ma passion.
Je me retrouve dans les valeurs de « l’esprit mini » :
Cette course mythique pour de nombreux marins, s’adresse aussi bien aux professionnels qu’aux amateurs.
Si de nombreux grands noms de la course au large y ont fait leurs débuts, nous sommes de nombreux
passionnés comme moi à s’élancer tous les deux ans pour réaliser le projet, le rêve et l’aventure d’une vie.
Le skipper
• Pierre LEGENDRE
Þ 26 ans, né le 11 janvier 1991
Þ Pratique la voile depuis plus de 15 ans
Þ Profession : Ingénieur Consultant en Qualité et Affaires
Réglementaires dans les dispositifs médicaux
Þ Passionné, autodidacte, soif d’apprentissage et motivé comme
jamais
• Expériences principales :
Þ + de 6000 miles parcourus
Þ Nombreuses croisières et convoyages sur la côte atlantique, en Manche ou en Méditerranée
Þ 2011 – monitorat fédéral de voile, nombreux encadrement à l’école de voile des Glénans.
Þ Traversée de l’Atlantique en août 2015 en tant que co-skipper sur un voilier de 40 pieds soit 12 mètres
(3 personnes à bord). Port de départ Las Palmas de Gran Canariaà Port d’arrivée : Le Marin (Martinique)
temps en mer 21 jours.
Þ Champion Méditerranéen 2017 : vainqueur SNIM monotype Surprise (poste : n°1)
Þ Novice en course au large
4
Le bateau :
Les « mini 6,50 », bien que petits, sont des bateaux parfaitement conçus pour traverser l'Atlantique. Ce
sont des bateaux fiables, rapides et puissants (même puissance qu’un bateau de 12 mètres pour un poids
cinq fois moins important). Bien évidemment, c'est un bateau de course et il y aurait beaucoup plus
confortable. Cependant, le concept de cette course est d'être accessible au plus grand nombre et donc,
que le budget ne soit pas un frein. Par ailleurs, nombreux régatiers et marins s'entendent à dire : « petits
bateaux petits problèmes, grands bateaux grands problèmes »
• Il existe deux catégories de bateaux donc deux classements en mini :
Þ Les bateaux prototypes : berceau de la R&D de la course au large :
A l'origine, les 6,50 étaient tous différents. Chaque coureur développait son propre bateau ou le rachetait à
un autre participant. Aujourd'hui, les prototypes sont des bateaux à la pointe de la technologie (foil, mat
basculant, etc...) qui n'existent qu'en un seul exemplaire et qui font face à une jauge (ensemble de règles)
très libre à condition de faire 6 mètres 50 de long. C'est le jouet idéal pour tester de nouvelles idées. Le
coût de développement est plus important.
Þ Les bateaux de série : tous égaux, la bataille fait rage :
Depuis quelques éditions, une nouvelle catégorie de bateaux a vu le jour : les bateaux de séries. Ce sont
des bateaux respectant une jauge très stricte et ils doivent exister au minimum en 10 exemplaires. Les
bateaux de séries, ne peuvent pas être en carbone, ne peuvent pas avoir de mât en carbone ni de dérive
etc. L'idée, est de se rapprocher le plus possible d'une forme de monotypie pour augmenter la
compétitivité de la classe et accroître le rôle du skipper dans la performance et les résultats. Aujourd'hui, il
existe différents plans de bateaux de séries sur le circuit : les Argo, les Ofcet, les Pogo 2 et 3 ou encore les
dingos. Certains de ces modèles sont plus récents (Pogo 3 et Ofcet 6,50) et donc plus performants.
Néanmoins, les différentiels de vitesse n'ont rien à voir avec ceux observés dans la catégorie prototype.
• Mon choix :
Þ Ofcet 6,50 : bateau de série de dernière génération,
Þ Pourquoi ? : En monotypie, si on ne performe pas, on en connait la raison !
5
Photo : Voilure maximum au portant (Grand-Voile + Solent + Grand Spi = 116,50m2)
• L'Ofcet 6.50:
Þ Bateau conçu par Etienne Bertrant, l'Ofcet est à la fois un bateau très performant comme
le démontre son palmarès mais aussi confortable ce qui est important pour le skipper et
ses performances.
Þ 2 premières places de la dernière édition de la mini transat
Þ Vainqueur de la Trans Gascogne 2015
• Caractéristiques Techniques : • Voiles :
Þ Longueur : 6,50 m Þ Grand-Voile : 24m2
Þ Largeur max : 3 m Þ Foc (solent) : 17,50 m2
Þ Quille fixe : 1,60 m Þ Gennaker : 23,50 m2
Þ Poids : 915 Kg Þ Grand Spi : 75m2
Þ Spi Medium : 57m2
Þ Code 5 (petit spi) : 38m2
Þ Tourmentin (voile tempête) : 4,50m2
6
Organisation et programme 2018-2019 :
La Classe Mini 6.50 offre tous les ans un programme de courses reparties sur le bassin Atlantique. Certaines
se courent en double et d’autres en solitaire. A chaque fois, deux classements sont établis : les « Prototypes
» d’un côté́ , les « Séries » de l’autre.
• La Mini Transat, ça ne s’improvise pas !! Une procédure de qualification doit être respectée :
Þ En course : 1000 milles (1800km) à parcourir en solitaire ou en double à Pendant ces 2 années
préparatoires, je participerai donc un certain nombre de courses.
Þ Hors course : 1000 milles à parcourir en solo sans escale sur un parcours entre la Bretagne et
l’Irlande.
Þ Un stage survie : 3 jours de formation (mi-novembre 2017) et d’essai avec les outils de survie.
Þ Autres stages et formations : météo, réparation, gestion du sommeil…
Þ Les mots clés sur les 2 ans à venir : Persévérer à Oser à Apprendre àPartager.
• 2018 :
Þ Janvier : Acquisition du bateau (achat ou location)
Þ Février à Juin : Premières navigations d’entraînements, premières régates qualificatives et
apprentissage des « bases minimums » (notions de mécanique, de stratification, de météo,
positionnement).
Þ Entre Juillet et Août : Qualification (parcours obligatoire de 1000 milles en solitaire entre les côtes
françaises et la pointe sud de l’Irlande) pour valider l’aptitude du skipper à supporter et gérer la
navigation en solitaire. Il faut « juste » terminer le parcours. Cette navigation se fera en fonction d’une
météo favorable. Navigation de 7 à 9 jours.
Þ Hiver : chantier de préparation sur le bateau.
• 2019 :
Þ Janvier-Juillet : Entraînements et suite des régates d’entrainement, perfectionnement personnel en
stratégie, sécurité, réparation de bateaux.
Þ Eté 2019 : dernier chantier de préparation pour la Transatlantique.
Þ Octobre : départ de la 1ère étape de la Mini Transat.
Þ Arrivée en Martinique prévue vers fin novembre 2019.
Þ Cette épreuve sera la concrétisation de mon projet et de deux saisons d’intense travail, de
compétition et de partage.
7
• Le calendrier des régates de préparation (estimation basée sur la saison 2016-2017) :
Þ Début avril 2018 et 2019 : Lorient Bretagne Sud-Mini à150 miles en double
entre Lorient, les iles des Glénans, l’ile de Groix et Quiberon. Organisé par le pôle
Lorient Grand Large (le centre d’entrainement de nombreux « Ministes »)
Þ Fin avril 2018 et 2019 : Pornichet Select à300 miles en solitaire entre la
baie de La Baule, Belle Ile, l’ile de Groix, l’ile d’Yeu, les Sables d’Olonne et
de nouveau Belle Ile. Course organisée par le Centre Nautique La Baule le
Pouliguen Pornichet.
Þ Mai 2018 et 2019 : Mini en Mai à500 miles en solitaire. Directeur de course
Yves Le Blevec (skipper du trimaran Ultim Actual et ancien vainqueur de la mini
transat en 2001 en classe proto), parcours entre La Trinité sur Mer le raz de Sein,
l’ile d’Oléron, l’ile de Ré et la Trinité sur mer.
Þ Juin 2018 et 2019 : Trophée Marie–Agnès Péron à220 miles en
solitaire puis Mini Fastnet à 600 miles en double. Départ et arrivée
à Douarnenez en contournant le mythique phare du Fastnet au sud de
l’Irlande
Parcours Mini Fastnet
Parcours Trophée MAP
Ø Juillet 2019 : Trans-Gascogne à 600 miles en solitaire ou en double. Le parcours change à
chaque édition. 2017 était un aller-retour entre les Sable d’Olonne et Aviles en Espagne. Comme
toutes les courses de la saison, une cartographie est à disposition pour suivre les concurrents en
direct.
Octobre 2019 : Mini Transat La Boulangère à 4000 miles en solitaire
8
Quels intérêts pour un Sponsor :
• Un puissant outil de communication :
• Etre sponsor d’un projet de course au large, c’est également le moyen pour vous de :
Þ Passionner vos salariés, vos client et partenaires,
Þ Recevoir vos partenaires, vos clients ou encore vos fournisseurs sur un départ de course,
Þ Leur donner l’occasion de rencontrer un jeune skipper au départ d’une course transatlantique,
Þ Tisser ensemble des liens uniques en partageant des moments d’exception dans la simplicité,
Þ D’échanger, de visiter ou encore de naviguer en Mini 6,50… de préférence à la belle saison,
Þ Profitez de l’ambiance sportive pour consolider vos relations et votre image.
• Pour Vous :
Þ S’ouvrir au monde de la course au large avec un budget raisonnable. La mini transat est aujourd’hui
la course au large en solitaire la plus internationale au monde.
Þ Le sponsoring d’un projet de course au large en solitaire est extrêmement fédérateur en interne. Le
dépassement de soi et la combativité véhiculés par une telle aventure passionneront vos équipes.
Þ Une occasion de promouvoir votre société sur la côte Atlantique.
9
Le volet humain de la course au large soulève une vague d’adhésion bien au-delà des amateurs de voile.
Tout l’entourage sent que les entreprises sponsors de la course au large ont un supplément d’âme.
Devenir sponsor de la classe Mini, c’est rejoindre un « club » d’entreprises variées et unies dans un esprit
de simplicité et d’exception
• Témoignage d’entreprises sponsors de la course au large :
Þ « Ce sport présente l’un des meilleurs rapport qualité prix. Il a une image saine, propre et est
associé à des valeurs de courage, de volonté et d’esprit d’équipe. La voile à l’avantage d’être
autant suivie par les hommes que par les femmes. » Patricia Brochard - SODEBO
Þ « Très intéressant pour les entreprises de toutes tailles. L’équivalent en retombées médias est de X3
à 4 par rapport à notre investissement. » Bertrand Chabert-Loir – DG Crêpes Wahou.
Þ « La Transat 6,50 est une épreuve fantastique pour les clients et le personnel du sponsor. L’équipe
est totalement impliquée. Elle vit et partage de grands moments d’émotion avec le skipper. »
Patrick Régnier – CULTISOL
• Sponsoring financier et défiscalisation :
Þ Charge déductible pour la détermination du résultat fiscal pour le sponsoring : Article 39-1-7° du
code général des impôts prévoit que les dépenses de parrainage sont déductibles des résultats
imposables de l’entreprise qui les engage lorsqu’elles sont exposées dans l’intérêt direct de
l’exploitation.
Þ Réduction d’impôts pour le mécénat : Pour les entreprises, 60% de réduction d’impôt plafonnée à
0,5% du chiffre d’affaires, avec possibilité, en cas de dépassement de ce seuil, de reporter l’excédent
au titre des cinq exercices suivants.
Þ Pour les particuliers : 66% de réduction d’impôt plafonnées à 20% du revenu imposable
• Sponsoring en nature :
Þ Don de matériel (sécurité, accastillage…), de vêtements techniques ou autres fournitures utiles et
nécessaires à cette aventure.
10Devenir Partenaire :
Le budget du projet sur les 2 ans :
Ce tableau ne prend pas en compte le marquage du bateau et du skipper aux couleurs du sponsor le coût
étant variable.
11Ils soutiennent déjà le projet :
Þ Mr Olivier Desport : Troisième de l’édition 1999 et vainqueur de l’édition 2001. Développeur du
logiciel Aquillon (1er logiciel de calcul des polaires).
Þ Mr Cédric Faron : Participant de l’édition 2017, soutien dans la prise en main du bateau, sa
préparation et son entretien.
Þ Société Hans Anders
Þ Société GK Techniques
Þ Stereden Mor : Immobilier
Vous souhaitez voguer vers de nouveaux horizons ?
La solution :
⛵!!! Traversons ensemble !!!⛵
Pour cela :
Contactez-moi dès maintenant
Pierre LEGENDRE
06 21 80 81 28
pierrelegendre.mini2019@gmail.com
12Vous pouvez aussi lire
