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La dématérialisation des backoffices bancaires, TRACE et les FinTechs : Pourquoi les banques dépositaires doivent désormais digitaliser et automatiser la récupération des retenues étrangères sur les titres 1
APERÇU Trade Republic, la startup la plus prestigieuse d’Allemagne, vaut plus de cinq milliards de dollars après sa dernière levée de fonds. Un coup de tonnerre qui devrait réveiller jusqu’aux derniers tradi tionalistes du secteur bancaire allemand. Le domaine financier est confronté à une crise mondiale. Plus que dans toute autre activité, les grands prestataires de services financiers luttent pour leur suprématie dans un monde nouveau. Un monde contrôlé par de jeunes FinTechs et par la richesse des connaissances d’une nouvelle génération de digital natives. Dans le même temps, les procédures de demande numérique et l’intro duction de TRACE en Finlande créent des problèmes pour les banques dépositaires. Si les institutions financières veulent survivre dans ce climat de développement rapide des compétences numériques, elles doivent explorer de nouvelles pistes et innover. Et ces pistes passent par les technologies numériques les plus modernes, en externe comme en interne. Parce que l’introduction d’une appli cation bancaire ne suffit pas. Ce sont les processus internes qui offrent un potentiel énorme pour une plus grande efficacité, plus de productivité et de valeur ajoutée dans la gestion des titres et au-delà. Éviter les retenues à la source grâce à une exonération anticipée ne fait pas exception. Dans notre livre blanc, vous apprendrez pourquoi les banques dé positaires doivent exploiter les mécanismes des startups si elles veulent remporter la course aux clients à long terme et découvrir des opportunités inimaginables. 2
WHITEPAPER La dématérialisation des backoffices bancaires, TRACE et les FinTechs : Pourquoi les banques dépositaires doivent désormais digitaliser et automatiser la récupération des retenues étrangères sur les titres La pression de la transformation numérique sur les banques dépositaires européennes est de plus en plus forte. En externe comme en interne, de nouvelles technologies doivent être introduites et mises en œuvre afin de suivre le rythme d’un secteur en pleine numérisation. Le recouvrement de la retenue à la source est également concerné. C’est un excellent exemple de la fracture numérique que connaissent les banques dépositaires. Alors que des pays comme la Suisse, l’Autriche, le Danemark et les Pays-Bas s’appuient depuis longtemps sur des procédures numériques pour la transmission des demandes de retenues à la source, le traitement manuel de ces demandes est toujours la norme dans de nombreux services boursiers et fiscaux euro péens. Ceci en raison d’un manque de technologies, de ressources et de savoir-faire adaptés pour numériser le processus de retenue à la source. Dans ce processus, ce ne sont pas seulement les services, mais aussi l’en semble de l’organisation, qui perdent énormément en efficacité et en pro ductivité. Avec l’introduction de TRACE en Finlande, cette fracture numérique est désormais encore plus perceptible. Dans le même temps, les néobanques et les services bancaires mobiles défient les banques traditionnelles. Pour la plupart des grands établissements ban caires, la course pour rattraper ces pertes imminentes de clients a commencé depuis longtemps. Car s’il y a bien une chose que les FinTechs innovantes ont compris, c’est comment satisfaire les besoins de leur cible, en terme d’expérience utilisateur numérique comme de prestations de services ren tables. Les plateformes de trading en ligne ne tarderont probablement pas à s’intéresser à la question de la retenue à la source. Après tout, accroître les gains est la grande priorité. Et les gains qui restent à l’étranger grâce à la retenue à la source se chiffrent en milliards. Si les banques dépositaires veulent rester attractives pour leurs petits et grands investisseurs et ne pas être perdantes dans le déséquilibre des forces, elles devront trouver de nouveaux moyens à long terme pour rattraper l’avance des pionniers du numérique en matière d’efficacité. Dans le même temps, il appartient aux banques dépositaires de saisir les opportunités de la transformation numérique par une automatisation intelligente des processus. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : il n’y a aucun moyen de contourner la numérisation du processus de retenue à la source. → 3
“ However, the pandemic is reshaping the industry on a number of dimensions: ushering in a new competitive landscape, stifling growth in some traditional product areas, prompting a new wave of innovation, recasting the role of branches, and of course, accelerating digitization in almost every sphere of the B&CM space. – Deloitte Banking and Capital Markets Outlook 2021 Le statu quo dans le secteur financier : où en sont les banques en matière de numérisation ? Le secteur financier a toujours brillé en tant que pionnier de la transformation numérique. Depuis 2017, les efforts de numérisation dans le secteur financier ont même triplé (Gartner). Mais même le monde bancaire a été durement touché par la pandémie. Dans une étude Deloitte publiée fin 2020, quatre personnes interrogées sur cinq ont déclaré que la crise avait mis en évidence les carences numériques de leur organisation. Gartner précise également que les banques ne doivent pas se reposer sur leurs lauriers malgré leur niveau de numérisation supérieur à la moyenne et que les établissements figurant au milieu du classement doivent notamment continuer à promouvoir active ment la numérisation afin de pouvoir tenir tête à la concurrence à long terme. 1 Le fait est que dans de nombreuses banques, le potentiel numérique est gaspillé. Par conséquent, de nombreux avantages qui pourraient découler de l’automatisation des processus internes, par exemple, restent tout simplement inutilisés. Les banques traditionnelles perdent ainsi de précieuses occasions de se démarquer de leurs concurrents, pour la plupart plus jeunes. Numérisation du processus de retenue à la source : exploiter des possibilités insoupçonnées Le processus de recouvrement et d’exonération anticipée des retenues à la source perçues à l’étranger est un excellent exemple de la fracture numérique bancaire. Car le fait est que dans la plupart des cas, le dépôt de demande se fait encore manuellement. Et, en raison de la complexité du processus, il nécessite un apport important de ressources pour un résultat limité. En effet, les retenues à la source ne sont généralement recouvrées en tant que service que pour une sélection de clients très investis. Ainsi, seuls quelques investisseurs en valent la peine. La procédure de retenue à la source offre donc aux prestataires de 1 Gartner 2021 CIO Agenda Banking services financiers un énorme potentiel d’optimisation. → 4
En effet, les méthodes de gestion moderne des processus donnent depuis longtemps la possibilité d’automatiser au maximum l’ensemble de la pro cédure de retenue à la source. Le facteur décisif ici est d’avoir une vue cohé rente de bout en bout du processus de recouvrement et la mise en réseau numérique des différentes étapes. De la collecte, en passant par l’analyse et l’évaluation des données, jusqu’au dépôt de demande et la décomptabilisation, la numérisation du processus de retenue à la source permet un contrôle centralisé des informations, faisant passer presque toutes les étapes d’une exécution manuelle à une exécution numérique. 100% High-Cost New Sustainable New Banking Trend Line Business Models Business Models (Most Mature Industry) (Externally Facing, Average %) Total Trend Line Digital “Business” 50% 2022 Old Business Models Low-Cost Old Business Models Oil and Gas Trend Line 2020 (Least Mature Industry) 2018 0% 0% 100% Digital Processes (Internally Facing, Average %) ↑ Autre avantage : seules les demandes rentables sont générées grâce aux Average Percentage of Revenue calculs de rentabilité et aux contrôles de plausibilité. Cela permet de garantir from Digital Sales vs. Average Percentage of Digitized Processes la clarté absolue des données relatives à la demande et donc de réduire Source: 2021 Gartner CIO Survey complètement le taux d’erreur des processus manuels. En fait, les banques sont conscientes depuis longtemps des opportunités offertes par la numérisation des processus. Ces dernières années, les ini tiatives de numérisation ont porté non seulement sur la création de sec teurs d’activités numériques, mais aussi sur la numérisation des processus internes. Les raisons invoquées par Gartner sont bien connues : la baisse des marges pour les produits et services traditionnels, les taux d’intérêt bas et les nouveaux concurrents sont les principaux facteurs de la numéri sation du secteur bancaire. C’est ce que prévoit le cabinet d’analystes pour le secteur financier : d’ici 2022, en moyenne, plus de 50 % des processus internes seront numérisés. Ce taux sera même beaucoup plus élevé chez les pionniers du numérique dans le secteur bancaire. → 5
Pour la gestion des titres, la numérisation signifie avant tout une chose : la flexibilité. Contrairement à la lenteur bureaucratique du traitement des pro cessus manuels, la numérisation des différentes étapes du processus de recouvrement ou d’exonération anticipée des retenues à la source perçues à l’étranger permet également de réagir avec souplesse aux nouvelles exi gences. Ce ne sont pas seulement les différents taux d’imposition qui com pliquent énormément le processus d’exonération. Les exigences des autorités fiscales compétentes en matière de transmission de données sont également très variables. Cette évolution s’est accélérée dans le monde entier dans le sil lage des efforts de numérisation et implique le remplacement à moyen terme des formulaires papier par de nouvelles procédures numériques. Liste des pays européens ↑ disposant de procédures → SUISSE dématérialisées pour le → AUTRICHE recouvrement des retenues étrangères sur les titres → DANEMARK → FINLANDE → PAYS-BAS Prenons l’exemple de la Suisse : le pays a récemment numérisé sa pro cédure de recouvrement et, depuis l’année de rendement 2020, exige que toutes les informations et tous les documents pour les demandes prove nant d’Allemagne soient exclusivement transférés de manière numérique. L’Autriche, le Danemark et les Pays-Bas exigent également, entre autres, la transmission des données relatives à la retenue à la source via une interface Web spécifique. À cela s’ajoute l’énorme quantité de documents et de for mulaires des pays sources. Selon le nombre de marchés qu’un prestataire de services financiers dessert avec le service de retenue à la source, le nombre de demandes de modification est d’environ 15 par an. La flexibilité est de mise ici. La pression exercée de toutes parts sur les institutions financières pour qu’elles réagissent rapidement ne cesse donc de croître. Interface numérique : sécurité maximale, effort d’intégration minimal En effet, le transfert de données entre le système bancaire et le service de demande ne fonctionne qu’à l’aide d’une interface numérique appropriée entre la banque dépositaire et l’administration fiscale. Deux options s’offrent aux institutions financières. La première : un lien direct avec toutes les auto rités fiscales concernées, ce qui implique généralement un important effort d’intégration. L’autre option est l’utilisation d’une interface numérique appro priée. Les avantages : le système forme une interface orientée vers l’intérieur en ce qui concerne la technologie et le format des données. Cela signifie que → 6
les systèmes internes ne doivent être reliés qu’une seule fois, réduisant ainsi considérablement les efforts d’intégration par rapport à une liaison directe avec chaque service individuel de demande. L’interface est généralement intégrée au système interne et, dans le meilleur des cas, s’appuie sur des formats standard, permettant une intégration technique dans tout système existant. Autre point positif : la sécurité des données est assurée. Selon l’étude Gartner, la cybersécurité est l’un des aspects les plus importants de la numérisation dans le secteur financier. Ici aussi, la numérisation du processus de retenue à la source révèle ses atouts. Car si les demandes ma nuelles semblent offrir une protection des données complètement rudimen taire, les solutions numériques tiennent leur promesse face aux problèmes de sécurité si importants pour les banques. La sécurité des données et des processus est donc un facteur déterminant dans l’introduction d’interfaces numériques pour la transmission des données fiscales. TRACE : Les interfaces apportent de la flexibilité dans un monde qui change rapidement Une fois qu’une banque dépositaire a mis en place l’interface appropriée, elle peut réagir de manière rapide et flexible face à tous les développements fu turs dans les pays sources et, en plus des avantages concurrentiels directs, assurer également un haut degré d’efficacité des processus. Les évolutions récentes de la procédure TRACE développée par l’OCDE montrent que la de mande de flexibilité de la part des prestataires de services financiers dans la transmission des données des retenues à la source ne cesse de croître. En tant que pionnière parmi les pays de l’OCDE, la Finlande a officiellement introduit la procédure TRACE (Treaty Relief and Compliance Enhancement) le 1er janvier 2021 et l’a mise en œuvre dans sa législation. Les institutions financières disposent donc d’une autre option en plus des procédures existantes de rem → ↑ Helsinki, Finlande 7
boursement de la retenue à la source finlandaise (le remboursement standard et la Tax at Source Card finlandaise) si elles souhaitent exonérer leurs inves tisseurs de la retenue à la source sur les paiements de dividendes finlandais. Il est vrai que la participation à la procédure TRACE n’est pas une obligation pour les pays de l’OCDE. Néanmoins, on peut supposer que d’autres pays feront cette démarche à moyen terme dans le cadre du plan de relance éco nomique de l’UE adopté en 2020. Si les institutions financières souhaitent exo nérer par anticipation leurs investisseurs de la retenue à la source finlandaise ou demander un remboursement rapide à l’avenir, elles doivent suivre deux étapes du processus : 1 Enregistrement en tant qu’intermédiaire agréé (AI) : les banques déposi taires ou les dépositaires qui souhaitent participer à la procédure TRACE doivent s’enregistrer une fois au préalable auprès de l’autorité fiscale finlandaise en tant qu’AI. 2 Transmission du rapport annuel : dans le cadre d’une déclaration fiscale au pays de l’émetteur (actuellement : la Finlande), l’AI est tenu de divul guer une fois par an tous les revenus de dividendes (finlandais) versés sur les comptes clients ou de fournir un rapport « néant ». L’investisseur doit donner son consentement à la transmission de ces informations à l’autorité fiscale finlandaise, le Vero Skatt. Pour les banques dépositaires, cela signifie davantage de bureaucratie et un niveau encore plus élevé de sécurité des données. En effet, l’intermédiaire responsable, généralement la banque dépositaire, est responsable de l’exacti tude des informations. L’automatisation du processus de retenue à la source garantit une fiabilité absolue du processus, notamment avec les nouvelles procédures de transmission telles que TRACE. Ce qui rend les banques vraiment attrayantes : le service client Les clients ont-ils encore besoin de banques ? Pas nécessairement, comme le suggère le triomphe des néobanques. Mais ce dont ils ont besoin, c’est d’un service. Ainsi, la bataille pour les plus grands avantages concurrentiels ne se jouera pas seulement dans le domaine de la numérisation, mais aussi dans celui des prestations de services. Après tout, les technologies numé riques constituent la meilleure base pour le développement des banques. La Suisse montre comment y parvenir. → 8
Comprendre la numérisation comme une opportunité : L’exemple de la VZ Depotbank FAITS → Siège en Suisse → Spécialisé dans la négociation de titres → Priorité : un service → L’activité principale : la complet et orienté gestion des dépôts et vers le client des comptes pour les clients privés. → Gère des actifs clients à hauteur de 25 milliards d’euros SITUATION DE DÉPART → Traitement fastidieux, manuel et source d’erreurs des recouvrements des retenues à la source pour certains clients. BUT → Digitalisation du processus de retenue à la source au moyen de logiciels RÉSULTAT → Service de couverture des coûts de la retenue à la source → Économies de temps et de coûts grâce à l’automatisation du traitement → La retenue à la source comme service client pour tous les clients 9
Le service d’abord : ce que les banques privées suisses font de mieux De plus en plus de prestataires de services financiers sont conscients de l’importance des services. De bonnes conditions peuvent attirer des clients. Cependant, seules des prestations de service exceptionnelles permettent de fidéliser les investisseurs à long terme. C’est une idée que les banques privées suisses défendent depuis longtemps, en offrant à leurs clients non seulement la discrétion mais aussi un excellent service client. Les banques dépositaires suisses montrent l’exemple : celles qui donnent la priorité au service client peuvent également s’imposer dans le secteur très concurrentiel des investissements. Et l’approche de VZ Depotbank se distingue également par un autre facteur : en matière de numérisation, la banque ne laisse pas le champ libre à ses jeunes concurrents sans se battre. Au contraire, elle illustre comment un excellent service fonctionne aujourd’hui : de manière numérique. L’exemple de VZ Depotbank montre également que plus de services ne signifie pas plus de coûts. Bien au contraire : grâce à des frais de service peu élevés pour leurs clients, la numérisation du processus de retenue à la source peut certainement être rentable pour les prestataires de ser vices financiers. Les coûts des logiciels, des licences et du traitement sont compensés par une immense économie de ressources. Ainsi, l’utilisation d’un logiciel automatisé de retenue à la source permet de gagner jusqu’à 80 % de temps par rapport au traitement manuel du processus. Toutefois, seuls les investisseurs ayant un volume d’investissement élevé bénéfi cient du service de recouvrement. Le traitement manuel chronophage de la procédure bureaucratique n’en vaut tout simplement pas la peine pour les très petits montants. En fin de compte, seul un petit pourcentage d’in vestisseurs se voit effectivement rembourser la retenue à la source sur les plus-values. Cela signifie que les banques dépositaires s’adressent à un petit groupe cible en matière de services de retenue à la source, et perdent ainsi un énorme potentiel en termes de masse d’investisseurs restante. Quand les banques dépositaires saisiront-elles les opportunités ? La baisse des revenus d’intérêts et l’arrivée de concurrents perturbateurs né cessitent que la banque dépositaire opère des changements. Un pas important et, surtout sûr, dans la bonne direction suit une logique bien connue : celui qui profite des armes de la concurrence a déjà gagné. Dans le cas des banques → 10
dépositaires et des activités d’investissement, cela signifie que la numérisa tion est la clé du succès et une énorme opportunité de bénéficier de processus plus efficaces et de clients satisfaits à long terme. Les plateformes de négociation en ligne et les néobanques, qui ont depuis longtemps compris dans quelle époque elles vivent, sont très attrayantes, en particulier pour un segment de clientèle jeune et friand de change ments, à savoir les grands investisseurs du futur. Et elles peuvent réagir de manière flexible face aux nouvelles exigences grâce à des structures numériques de grande envergure. Une flexibilité qui fait généralement dé faut aux banques dépositaires, même dans le processus de recouvrement de la retenue à la source. Avec la procédure de demande numérique en Suisse, en Autriche, au Danemark et aux Pays-Bas, la récente introduction de TRACE en Finlande met également la pression sur les banques dépo sitaires pour qu’elles donnent enfin la priorité au processus de retenue à la source dans leurs efforts de numérisation. Après tout, tant les services fiscaux que l’ensemble de l’organisation bénéficient des possibilités of fertes par la numérisation du traitement de la retenue à la source. Cela permet non seulement aux banques dépositaires de répondre avec plus de souplesse aux exigences des pays sources, mais aussi d’augmenter de fa çon exponentielle l’efficacité de la demande par rapport au traitement ma nuel. Enfin, le recouvrement de la retenue à la source est un service dont les banques dépositaires peuvent bénéficier en tant que tel. Des banques suisses telles que VZ Depotbank le démontrent brillamment. La question qui se pose maintenant est la suivante : à quelle vitesse les concurrents européens vont-ils suivre le mouvement ? Sources : → Gartner 2021 CIO Agenda Banking → 2021 Banking and Capital Markets Outlook 11 Avez-vous des questions ? +49 8031 2979-0 info@raquest.de www.raquest.de
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