Présentation " Chien visiteur " - IFJS
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
LE CHIEN VISITEUR A) La médiation animale 1. Evolution en France 2. Les différentes interventions 3. Lieux d’interventions et actions de l’animal médiateur
LE CHIEN VISITEUR B) Le chien visiteur 1. Limites et actions possibles 2. Public rencontré 3. Résultats constatés.
LE CHIEN VISITEUR C) Interventions 1. Déroulement 2. Actions et limites du binôme maître/chien 3. Les risques
A) LA MEDIATION ANIMALE Une dénomination 1. Evolution en France controversée devenue source de La proximité d’animaux est utilisée dans tensions… diverses actions à visées thérapeutiques. Elle apporte une aide sur différents troubles : • Mentaux, • Physiques, • Sociaux.
A) LA MEDIATION ANIMALE En France A. F. I. R. A. C Association Française d’Information et de Recherche sur l’Animal de Compagnie Créée en 1976 Présidée par : 1. Dr vétérinaire Ange Condoret 2. Pr Hubert Montagner chercheur à l’Inserm 3. Depuis 2001 Dr Didier Vernay neurologue.
A) LA MEDIATION ANIMALE En Europe F. I. T. R. A. M Fédération Internationale de Thérapie de Relation et d’Aide par la Médiation Reconnue ONG en 2007 Présidée par le Dr Jean-Pierre Klein psychiatre et chercheur en psychiatrie.
A) LA MEDIATION ANIMALE Les animaux présents en France en médiation Les principaux : chiens, chats, chevaux. Les autres : oiseaux, rongeurs… Ceux qui pourraient arriver : Dauphins et NAC
A) LA MEDIATION ANIMALE Les formations en France La médiation une façon de travailler - Diplôme Universitaire « relations Homme-Animal » non une Université René Descartes –Paris V-. profession - Diplôme Universitaire «Relation d’Aide par la Médiation Animale» CHU Clermont Ferrand. ATTENTION Aucun diplôme d’état de « Zoothérapeute » ou « Intervenant en médiation animale » reconnu actuellement en France. .
A) LA MEDIATION ANIMALE 2. Les différentes interventions Ni remède, ni thérapeute, l’animal reste un médiateur. Chaque médiation implique une méthode particulière s’adaptant au public et aux problématiques rencontrées.. Effets thérapeutiques à prouver. Bienfaits démontrés
A) LA MEDIATION ANIMALE Deux lignes directrices T.A.A Thérapie Assistée par l’Animal • L’animal, un médiateur entre soignant et soigné. • Appui d’une thérapie déjà en place. • Thérapie conduite par un professionnel. • Public nécessitant soins et/ou thérapie
A) LA MEDIATION ANIMALE Deux lignes directrices A.A.A Animation ou Activité Assistée par l’Animal • L’animal devient source et centre d’intérêt • Amélioration du cadre de vie du bénéficiaire • Dynamisation des motivations • Intervention non dirigée par un professionnel de soins • Public divers ne requérant pas obligatoirement de soins
A) LA MEDIATION ANIMALE 3. Lieux d’interventions et actions de l’animal médiateur HOPITAUX Des normes sanitaires drastiques ne permettent pas actuellement le développement de l’activité. Bénéfices pour les patients : • Anti-stress pré ou post opératoire. • Stimulation permettant un retour des motivations premières. • Apport de joie de vivre pour les jeunes patients.
A) LA MEDIATION ANIMALE 3. Lieux d’interventions et actions de l’animal médiateur ETABLISSEMENTS SPECIALISES Foyers pour handicapés mentaux, centres de réadaptation, de rééducation, de réinsertion, d’hébergement, de détention… La présence permanente ou spontanée de l’animal offre : • Accompagnement thérapeutique individualisé. Action définie avec les soignants. • Stimulation des différents sens par l’exploration du corps de l’animal. • Mobilisation physique et augmentation de la motivation.
A) LA MEDIATION ANIMALE 3. Lieux d’interventions et actions de l’animal médiateur ETABLISSEMENTS SCOLAIRES ET PERISCOLAIRES Difficilement accessibles en France pour des normes d’hygiène et de sécurité. Un but éducatif et valorisant : • Prévention et respect des codes propres à certaines espèces. • Responsabilisation et investissement personnel. • Valorisation et dépassement de soi.
A) LA MEDIATION ANIMALE 3. Lieux d’interventions et actions de l’animal médiateur E. H. P. A. D. Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes En visite ou à demeure, l’animal offre la continuation d’une relation sociale. Il accroit le confort de vie et vient en soutien de certains soins. Peuvent être travaillés : • Amélioration spatio-temporelle. • Poursuite ou reprise d’une activité physique. • Progression de l’expression orale. Limiter l’ennui et offrir une source d’intérêt récréative et ludique
B) LE CHIEN VISITEUR Les chiens visiteurs de la Commission Nationale d’Education et d’Activités Cynophiles, sont agréés par la Société Centrale Canine régissant toutes les activités propres à la cynophilie en France. La S. C. C. dépend du ministère de l’agriculture.
B) LE CHIEN VISITEUR Ses atouts : • Entraînement spécifique au sein d’un club affilié. • Formation officielle dispensée par un formateur national. • Diplôme National • Suivi sanitaire régulier et pointu. • Visite vétérinaire annuelle. • Licence.
B) LE CHIEN VISITEUR Lieux d’interventions : • Ecoles. • E. H. P. A. D. • Structures spécialisées. • Hôpitaux. • Maisons d’arrêt. • Centres de rééducation. • Chez des particuliers • …
B) LE CHIEN VISITEUR 1. Buts et limites Buts des visites • Apporter chaleur et réconfort. • Rendre sourire et joie de vivre. • Briser l’isolement et l’ennui • Etablir un lien avec l’entourage • Prévenir et éduquer pour une meilleure approche de l’animal.
B) LE CHIEN VISITEUR Limites de l’animal et de son conducteur • Attitudes et comportements du chien permettront de mesurer ses limites. • Bien-être et intérêt du conducteur seront véhiculés au chien et aux bénéficiaires. IMPORTANT • Choisir le public visité. • Savoir prendre en compte ses expériences et son vécu. • Définir les buts recherchés. • Adapter le chien au public rencontré. • Prendre en compte la maturité du chien. • Proposer des temps de visite en adéquation avec les capacités du chien.
B) LE CHIEN VISITEUR Limites des visites et des attentes • Les interventions « chiens visiteurs » ne sont ni une thérapie ni un soin. • Les rencontres n’ont pas pour but d’aboutir à une amélioration de l’état de santé. • Formés et diplômés chiens et maître ne sont ni thérapeutes ni soignants. • Une convention préalable permettra de définir les buts et attentes. • La présence du personnel soignant ou encadrant reste une obligation. • Dialogue et retours permettront d’affiner les visites.
B) LE CHIEN VISITEUR 2. Public concerné Personnes âgées • Accueil spontané et volontaire dans les institutions. • Déroulement des visites dans les pièces de vie. • Visites en chambre restant difficiles.
B) LE CHIEN VISITEUR Personnes hospitalisées ou en soins. • Normes sanitaires trop drastiques en France pour développer l’activité . • Profits et bénéfices auprès des enfants et adultes lors des moyens et longs séjours.
B) LE CHIEN VISITEUR Détenus • Difficultés liées à un milieu collectif fermé. • Moins de 5 établissements en France permettent ce genre de rencontre. • Choix du chien primordial en fonction du bénéficiaire. • Préparation du conducteur.
B) LE CHIEN VISITEUR Les enfants Vaste public difficilement accessible ! • Prévenir les morsures. • Responsabiliser, éduquer, établir des liens. 70% des enfants ont une appréhension des chiens… Education, bousculades, morsures…
B) LE CHIEN VISITEUR En institution ou chez des particuliers le chien visiteur côtoie un vaste public. La difficulté réside aujourd’hui à coordonner les demandes et les visiteurs. Notre vigilance permettra de ne pas dépasser la limite du cadre « chien visiteur ». Conflits d’intérêts entre médiateurs et visiteurs, bénévoles et professionnels. Le bien être des visités a parfois un prix…
B) LE CHIEN VISITEUR 3. Résultats constatés Aucune étude médicale ne permet de mettre en avant, de façon scientifique et quantifiée, les bienfaits obtenus par l’action des chiens visiteurs. Sur le terrain, les constatations se font naturellement au fil des rencontres.
B) LE CHIEN VISITEUR Nos expériences
B) LE CHIEN VISITEUR En foyer pour adultes handicapés mentaux Intervention 1 fois par mois depuis 5 ans. Une dizaine de résidents. Environ 6 à 8 chiens par visite. • Changement d’attitude d’un public très peu réceptif voir complètement fermé à la relation avec les chiens. • Développement d’une relation affective et d’un attachement fort avec l’équipe et les chiens. • Intérêt croissant pour l’activité. Attente des visites. Rencontres ponctuelles, volontaires et spontanées à l’extérieur de la structure. • Meilleure mobilisation pour certains résidents avec participation à des activités permettant de solliciter la gestuelle et de dynamiser les déplacements. Travail sur la locomotion en faisant franchir des obstacles avec les chiens. • Amélioration de la mémoire avec l’apprentissage des noms, des races et des spécificités de chaque chien. • Travail de la coordination et de la rigueur pour faire exécuter au chien les exercices d’éducation mais aussi les numéros de complicités.
B) LE CHIEN VISITEUR • L’attachement est constaté lors de l’absence de certains membres ou chiens • Le dépassement des appréhensions a permis l’acceptation et le contact.. - Pour les animateurs du foyer, l’activité est à poursuivre. - En plus du bien être ponctuel, cela permet parfois un travail « inter-visites ». - Le lien crée est pérenne. - Pour certains résidents les efforts fournis lors des rencontres ont permis une amélioration de la gestuelle.
B) LE CHIEN VISITEUR E. H. P. A. D. 3 résidences visitées régulièrement + interventions ponctuelles. Intervention 1 fois par mois en général. Notre demande est de 18 résidents maximum. 4 chiens minimum par rencontre. • Beaucoup d’engouement pour les rencontres. • Amélioration de la communication grâce à la présence du chien. • Retour et évocation de souvenirs. • Gestuelle améliorée pour brosser ou caresser. • Motivation aux déplacements lors de promenade en double laisse. • Amélioration de l’élocution et reprise du dialogue pour certains. • Mieux être et joie des bénéficiaires volontaires. 45mn de visite en plusieurs phases est un maximum pour le chien
B) LE CHIEN VISITEUR • Les visites coupent l’isolement en apportant un peu de chaleur et de contact. • La demande est forte de la part des résidents pour pérenniser les rencontres. • A ce jour le souhait du renouvellement de la convention est systématique. - Travail en relation avec l’équipe soignante qui guide et accompagne. - Sélection des résidents. - Adaptation des chiens en fonction des lieux et personnes rencontrées. - Le conducteur n’est pas un soignant, son action est de gérer son chien. - Le besoin de contact et les mouvements parfois mal gérés sont à prendre en compte. - La chaleur et l’ambiance des lieux ne permettent pas de longues visites.
B) LE CHIEN VISITEUR I.T. E. P Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique 2 interventions par mois. 6 enfants (2 animatrices). 6 chiens (6 conducteurs). Après 4 années de rencontre, le bilan est positif avec une réelle implication des enfants et pour la majorité, une meilleure acception des règles de vie.
B) LE CHIEN VISITEUR NOS BUTS • Travailler en collaboration pour respecter les demandes des soignants. • Proposer un travail individualisé afin d’améliorer des problèmes précis. • Encadrer les rencontres de façon individuelle et étroite. • Valoriser chaque enfant et lui faire prendre conscience de ses qualités. • Permettre la découverte de disciplines cynophiles. • Préparer des démonstrations présentées à l’ITEP en fin de convention. • Créer un lien au-delà des rencontres (cahier souvenir, travaux pratiques, goûters). NOS MOYENS • Séances de travail théoriques et pratiques en salle. • Travail pratique sur le terrain du club ou en extérieur.
Cinéma : complicité, exhibition, Agility : Rapidité, Guidance anticipation, : confiance, précision, réflexion, mémorisation protectionobservation. et repère dans et l’espace. vigilance. Agility : Coordination, motricité, respect du AttelageEducation : guider, :prévoir, Calme, décoration concentration, écoutedu commune et matériel. respect. règlement pour réussir Education : échange, ensemble. collaboration, entente, réussite.
B) LE CHIEN VISITEUR -Convention signée suite à la demande de l’animatrice. -Nous chercherons à valoriser les compétences et connaissances de chacun. -Les enfants présentant des troubles dans leur relation avec les autres, le chien leur faire prendre conscience de l’importance de l’éducation et du respect des règles. -Les séances de travail sont découpées en plusieurs phases permettant la concentration, l’écoute, le respect et le jeu. -Les retours sont aussi positifs qu’encourageants et l’intérêt, l’implication et la motivation des enfants réels.
C) INTERVENTIONS 1. Déroulement Prise de contact La rencontre initiale va permettre : • De faire connaissance avec le personnel. • De juger de la motivation et de l’intérêt des soignants pour l’activité. • De découvrir les lieux afin de voir si l’intervention des chiens y sera possible. • De présenter l’activité et au besoin quelques chiens.
C) INTERVENTIONS Convention La convention engage les deux parties. Elle comporte principalement : • La fréquence et durée des interventions. • Le déroulement des rencontres. • Le nombre de participants. • Le descriptif de l’activité dans ses grandes lignes. • Les maîtres et les chiens autorisés à prendre part aux rencontres. • Les règles sanitaires liant les deux parties.
C) INTERVENTIONS Intervention (1h environ) Nos interventions en institution se déroulent en différentes phases : • Présentation des chiens aux résidents. • Séance de caresses et de contacts permettant l’échange et la rencontre. • Activités spécifiques (brossage, marche, pose de collier, travail de mobilité…). • Démonstrations, spectacle avec les chiens. -Selon le public rencontré, le déroulement sera plus ou moins dynamique. -Chaque intervention est à adapter en fonction du public et des attentes.
C) INTERVENTIONS 2. Actions et limites du binôme Les actions : • Restent des visites et n’empiètent pas sur les thérapies en cours. • Non thérapeutiques, les rencontrent contribuent au mieux-être des bénéficiaires. • .Le conducteur n’est pas un thérapeute. • Aucun diplôme d’état de Zoothérapeute n’existe actuellement. • Le bénévole chien visiteur intervient sous couvert d’un référent et d’une structure. • Les interventions ne peuvent donner droit à rémunération.
C) INTERVENTIONS Limites Elles sont propres et personnelles au binôme Maître/Chien. • Le conducteur doit savoir lire son chien pour analyser comportement et demandes. • La moindre faiblesse ou fatigue du chien indiquera le terme de la rencontre. • Pousser dans ses retranchements le chien met en danger le public visité. • La carrière du chien dépendra du bon déroulement des rencontres. • Chaque visite est différente et la démobilisation peut intervenir à tout instant. - Le conducteur véhicule ses émotions à son chien. - Le conducteur doit être capable de prendre du recul après les interventions.
C) INTERVENTIONS 3. Les risques Liés principalement aux limites du chien, ils seront amenés par le stress, la fatigue ou la maladie qui limiteront sa patience et le pousseront à se défendre. Fuite et morsure seront ses derniers moyens d’expression. Engagé, le conducteur doit faire la part des choses et conserver son rôle de visiteur sans chercher à devenir thérapeute. Son empathie est forte mais il doit être capable de détachement pour gérer ses émotions.
D) FORMATION 1. Le conducteur • Pas formation spécifique. • Les échanges se feront principalement au club et avec l’équipe • 2 jours de formation vont permettre de répondre aux questions principales. .
D) FORMATION 1. Le chien Qualités requises : • Sociable, • Obéissant, • Adaptable, • Aimant l’humain, • Dénué d’agressivité, • Emotionnellement stable, • Récupérant rapidement après un stress, • …
D) FORMATION Sélection En dehors des chiens de 1ere et de 2ème catégorie et à condition de posséder les qualités requises, tous les chiens peuvent prendre part à l’activité, sans distinction de taille, de volume ou de poids. Choisir un chiot pour pratiquer l’activité chien visiteur, implique de choisir un sujet parfaitement équilibré et ayant bénéficié d’une parfaite sociabilisation. Il convient d’adapter le chien au maître en fonction de la force de l’animal, de son potentiel, de son besoin d’activités… Certains maîtres font le choix d’avoir deux chiens afin de pouvoir diversifier les publics rencontrés et limiter les temps d’intervention.
D) FORMATION Education Le chien doit bénéficier d’une éducation lui permettant de canaliser son énergie et de répondre aux demandes. Bases indispensables : La marche au pied avec et sans laisse. Les positions. L’immobilité et l’immobilisation. Le rappel. Le bonus… Quelques numéros de complicité permettant de proposer une petite animation et apportant une note spectaculaire et enjouée aux interventions
D) FORMATION Formation La formation débutera sous le contrôle d’un moniteur et se terminera lors d’un week-end conduit par un formateur national. • Education de base, • Habituation aux manipulations extrêmes, aux bruits et aux odeurs, • Mise en présence de personnes alités, en fauteuil, en déambulateur,… Le moniteur, aide, entoure, encadre, soutien. Il s’assure du bon comportement du maître et vérifie les motivations du conducteur. Le travail se fait en club mais aussi en extérieur pour multiplier les stimuli.
D) FORMATION Diplôme A partir de 12 mois, le chien pourra être présenté à la formation nationale officielle « chien visiteur » dispensée par la CNEAC. • Vérification des capacités et de la sociabilisation du chien. • Ateliers pratiques. • Mises en situation. • Examen pratique sur simulation d’intervention. La réussite autorise, après acquisition d’une licence, les interventions. 400 chiens visiteurs validés en 9 ans d’existence.
D) FORMATION Suivi Testés sanitairement et nerveusement le jour de l’examen, les chiens le seront tous les ans lors d’une visite obligatoire au renouvellement de leur licence. A jour de vaccination et en parfait état d’entretien le chien bénéficiera d’un suivi particulièrement vigilant. Aucun accident à ce jour sur les interventions de chiens diplômés
E) CONCLUSION Bien dans sa tête et dans ses poils, le chien est en confiance avec son maître qui le seconde en intervention. Maladie, mort, faiblesse, tristesse, fatigue, dépression,… le chien a un ressenti 10 à 100 fois plus développé que nous. Même parfaitement préparé, la multiplication des interventions peut s’avérer néfaste sur le moral ou l’équilibre du chien.
E) CONCLUSION Des chiens de taille et poids différents permettent des visites variées. Les interventions communes offrent un meilleur partage des informations, des ressentis et des expériences. Elles permettent une vigilance accrue de l’état des chiens en situation. Condition unique : respecter le bien-être du chien
E) CONCLUSION Contrairement à d’autres types de médiations, le chien est interactif, participatif et directement stimulant. Lorsque la maladie, la vieillesse, l’enfermement, le handicap isolent ou excluent, le chien visiteur ouvre une porte vers le monde et l’espoir. Chien visiteur ou médiateur… Qu’importe le nom Il permet le lien avec « l’autre »
F I N . . .
Vous pouvez aussi lire