Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage

 
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Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
Programme 2015-2016 Neuchâtel
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
***
                 hôtel alPes et lac
                                   neuchâtel

30   chambres avec vue exceptionnelle sur le lac et les                           a lpes

                     •   mariages,   repas de fêtes jusqu ’ à   100   personnes

                     •   salon   de séminaire et conférence

                     •   restaurant,   terrasse

                     •   cuisine   du moment aux goûts du terroir

Place de la Gare 2            www.alPesetlac.ch
2002 Neuchâtel                +41 32 723 19 19
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
Nous soutenons la culture
    dans le canton»

www.bcn.ch
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
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é d i t o s

Le             Passage fête ses 15 ans. Né avec le siècle,
               il continue de nous faire rêver comme aux
premiers jours et de nous séduire comme un adolescent
                                                              Pas               sage depuis 15 ans ! Tant de coups de
                                                                                foudre, quelques coups de sang, et des
                                                              coups durs (quand partent vers d’autres horizons des
à qui l’on souhaite de ne jamais devenir adulte… Avec         collègues et des mécènes devenus amis), mais aussi de
de la danse, de la chanson, de l’opéra, du rire et du         palpitants coups de théâtre. Comme ce récent soutien
théâtre, la saison 2015 – 2016 s’annonce palpitante,          inespéré de la Loterie Romande à l’Association des amis
voire déroutante parfois. Quel plaisir ce sera d’entendre     du Passage nous permettant de poursuivre les nom-
la si subtile Olivia Pedroli, sur le fil du rasoir musical,   breuses actions favorisant l’accès des élèves au théâtre.
d’écouter le sémillant Robert Bouvier en un François          Rencontres souvent surprenantes comme lors de cette
d’Assise s’adressant aux oiseaux et de rendre hommage         répétition d’un ballet classique ouverte à des classes
à Dürrenmatt décédé il y a 25 ans à travers son Romulus       de l’école primaire, quand un petit garçon conseilla au
le Grand! Il faudrait pouvoir dire aussi tous les autres      chorégraphe d’engager des danseuses plus grandes plutôt
bijoux qui font de cette 15e saison une merveille… Mais       que de les obliger… à déambuler sur la pointe de leurs
mieux que dire, faisons et allons les voir !                  pieds et que celui-ci lui répondit que l’art demandait
                                                              toujours un dépassement de soi! Bel envol à vous tous !
Thomas Facchinetti
Président du comité de direction du Syndicat                                                         Robert Bouvier
intercommunal du Théâtre régional de Neuchâtel                                                               Directeur

         Le Théâtre du Passage remercie chaleureusement pour leur engagement et leur précieux soutien

               les communes membres du Syndicat intercommunal du Théâtre régional de Neuchâtel

Bevaix                             Boudry                        Corcelles – Cormondrèche                   Cornaux
Cortaillod                  Gorgier – Chez-le-Bart                       Hauterive                          La Tène
Milvignes                         Neuchâtel                                Peseux                       Saint-Blaise

                                               ses partenaires officiels

                                              ses partenaires principaux
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
L’Association des amis
du Passage présente          pa agedemidi
                             rencontres
                             concerts
                             Un passage au théâtre mercredi à midi (12h15 – 13h) pour…
                             écouter passer le temps | passer à autre chose | passer les bornes | se passer le mot
                             passer d’un sujet à l’autre | passer, tout simplement…

21 octobre    studio         Gilles Bouillon, metteur en scène | autour de La cerisaie d’A. Tchekhov rencontre & visite des coulisses
4 novembre    petite salle   Eloge de l’amertume | avec I. Yomtovian, V. Harmandjieva & O. Fuchs (chocolat) spect. musical et chocolaté
25 novembre   studio         Faire du théâtre, les premiers pas | de Laurent Sandoz                               rencontre avec l’auteur
9 décembre    petite salle   Friedrich Dürrenmatt, un Suisse universel | par M. Betschart, directrice du Centre Dürrenmatt conférence
27 janvier    studio         La fille qui posait des lapins / La ragazza che tirava i bidoni | de Davide Giglioli rencontre avec l’auteur
3 février     petite salle   Concert | en collaboration avec la HEM                                                   musique classique
24 février    studio         Le Neuchâtelois, son caractère, vu d’ailleurs et d’ici | d’Adi-Pierre Glanzmann      rencontre avec l’auteur
9 mars        grande salle   Concert | en collaboration avec la HEM                                                   musique classique
16 mars       studio         Le bain et la douche froide | de Mélanie Richoz, avec Emilie Zoé (guitare)              lecture en musique
6 avril       petite salle   Concert | en collaboration avec la HEM                                                   musique classique

              précisions: www.theatredupassage.ch/passage-de-midi | entrée libre, sauf concerts HEM: 10.– / 5.–

            association
        des amis u                                                       Rejoignez l’Association

            pa age                                                       des amis du Passage et soutenez
                                                                         ce lieu d’accueil et de création!

                             Créée en 2006, l’Association des amis du Passage compte actuellement quelque 160
                             membres. Elle soutient notamment les rencontres et concerts du Passage de midi. Grâce
                             au don qu’elle a obtenu de la Loterie Romande, elle a permis à ceux pour qui la venue au
                             théâtre ne constitue pas un geste naturel, d’accéder aux spectacles à des prix abordables
                             et de les découvrir dans le cadre d’actions de médiation culturelle ciblées. Elle a aussi
                             rendu possibles de fructueux échanges entre élèves et comédiens. Elle participe en outre à
                             l’amélioration du parc de matériel technique du Passage.
                             Devenir membre, c’est avoir le privilège d’assister à des répétitions de spectacles en création,
                             de visiter les coulisses du théâtre et parfois de recevoir des invitations. Avis aux amateurs.

Cotisation:                  membre ami 40.–              membre passion 200.–                     autres dons bienvenus
Adhésions et rens.:          032 717 82 00                amis@theatredupassage.ch                 www.theatredupassage.ch/amis
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
c o n t e s                                                                     de et par Ariane Racine
hors les murs · tout public · dès 8 ans                                         avec la complicité de Robert Bouvier

                                                                                Cornaux                       23 août
Contes de la                                                                                                       dimanche

nuit des temps                                                                             17h                 15.- 1 0.-

Dans le cadre titanesque de la Carrière du Roc sur                                                                Carrière du Roc
les hauts de Cornaux, place aux récits mythiques,                                                     Forêt des hauts de Cornaux,
les plus anciens.                                                                                           près du lieu-dit Le Roc

«Il            était un autrefois quand nous, les humains,
               n’étions pas encore nés...» Les contes des
origines s’enracinent dans les mythes, nous apprennent
                                                                                                                           Accès
                                                                                                         Navette sur réservation
                                                                                                       depuis la gare de Cornaux
d’où nous venons, qui nous a imaginés, façonnés, et par
quels moyens. Ils savent pourquoi nous sommes au monde,                                                                  durée: 1h
mortels, femmes ou hommes, à la fois fragiles et forts,
avec nos peurs, nos rêves et notre désir de rencontre...

                                                                             Neuchâtel                6 septembre
D’a mour                                                                                                           dimanche

et d’eau fra che                                                                         15h & 17h             15.- 1 0.-

Verger, roseraie, potager, prairie, clairière, fontaine                                                          Jardin Botanique
et oiseau sur la branche. Neuchâtel a son Jardin                                                               Pertuis-du-Sault 58
des Délices, lieu rêvé pour un bouquet d’été!

Q
                                                                                                                         durée: 1h
          uand l’histoire passe par un jardin, le mer-
          veilleux n’est jamais loin. Approcher l’Arbre
          de Vie, la rose, les fées, et même le jardinier,
peut se révéler une épreuve. Et les contes amoureux?
                                                             photos © Guillaume Perret

On laboure, on plante, on sème (très fort). L’arrosage
devient un art, la cueillette, une poétique, afin que
s’accomplisse le «Ils vécurent heureux et eurent beau­
coup d’enfants».

                                                www.arianeracine.ch                                                             7
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
22 · 23 octobre                                                 m u s i q u e
jeudi · vendredi

           20h
Plein tarif: 35.-
Tarif réduit: 25.-                      Olivia Pedroli
                                                                A Thin Line

                                                                Qu’elle compose ses propres chansons,
Avec                                                            la musique d’un spectacle, d’un film

                                               © Yann Mingard
Olivia Pedroli (voix, piano, guitare)                           ou d’une installation muséale, l’artiste
Maxime Steiner                                                  neuchâteloise apporte un supplément
(programmation, piano, percussions)                             d’âme inoubliable.
Denis Corboz (bugle, sax horn)

                                                                E
                                                                         lle revient envoûter le Passage
Durée: 1h30                                                              avec les titres, cette fois, de
                                                                         son quatrième album, enre-
www.oliviapedroli.com                                           gistré à Reykjavik par l’Islandais Valgeir
                                                                Sigurðsson, producteur aussi de Björk,
                                                                CocoRosie, Feist… Elle vient suspendre
                                                                le temps dans l’équilibre fragile où se
                                                                rencontrent les doutes et les certitudes,
                                                                lorsque tout est clair, mais que rien n’est
                                                                sûr. On entend souffler le vent, un hori-
                                                                zon se profile, comme un mirage, dans
                                                                lequel évolue celle qui aime frôler l’in-
                                                                fini. Son charisme et sa voix séduisent
                                                                un public toujours plus nombreux qui,
                                                                de Bruxelles à Hambourg (sans oublier
                                                                Vidy et Paléo), succombe à son univers
                                                                empreint d’authenticité et de grâce. C’est
                                                                dans l’écrin de la petite salle que nous
                                                                avions envie de la retrouver, comme pour
                                                                rêver de toucher du doigt l’inaccessible!

« D’une richesse et d’une beauté rares. »                       « Son quatrième album est d’une
Rolling Stones                                                  indicible beauté. » L’Hebdo

« D’un raffinement absolu. »                                    « Un chant venu du ciel. Sa présence est
Libération                                                      magique, sa musique éthérée. » Le Figaro

8                                                                  avec le soutien de
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
t h é â t r e                                                        22 · 24 octobre
                                                                                 jeudi · samedi

                                                                             je 20h · sa 18h

La cerisaie                                                                  Plein tarif: 45.-
                                                                             Tarif réduit: 35.-

d’Anton      Tchekhov            par la   Cie du Passage et la Cie G. Bouillon        Mise en scène
                                                                                      Gilles Bouillon

Treize personnages tiraillés entre un                                                     Production
monde qui se termine et un monde qui va                                              Cie du Passage
naître. Autour d’une maison qu’on perd,                                              Cie G. Bouillon
d’un «jardin des cerises» à l’abandon
s’affrontent des êtres aimantés par le                                                          Avec
profit et l’avenir, d’autres, prisonniers de                                          Robert Bouvier
leurs sentiments, et de leurs souvenirs.                                             Thibaut Corrion
                                                                                        Dorin Dragos

Il
            n’y a pas de héros dans La                                                 Etienne Durot
            cerisaie. C’est le temps, le per-                                       Antonin Fadinard
            sonnage principal: le temps                                              Coline Fassbind
des saisons, l’enfance, le temps d’aimer,                                               Xavier Guittet
le temps qui passe, le temps perdu, la                                                  Julie Harnois
vieillesse. « Ce que j’écris, c’est la vie »,                                            Roger Jendly
confia Tchekhov à sa femme. Pour sa                                                   Barbara Probst
quinzième création, la Compagnie du                                                 Christine Vouilloz
Passage a fait appel au metteur en scène                                           Emmanuelle Wion
Gilles Bouillon (dont on se souvient de
Cyrano de Bergerac, Le chapeau de                                                     Durée: env. 2h
paille d’Italie et Dom Juan) et a réuni
d’excellents comédiens suisses et fran-
çais – parmi lesquels Roger Jendly – pour
une pièce tout en éclats, une mosaïque
d’humanités, sans cesse recompo-
sée, bousculée et troublée. Le génie de
Tchekhov, c’est que chez lui le drame
est aussi une comédie. Ici, entre deux
scènes virevoltantes, les anges passent,
cocasses et tristes, graves et légers.
                                                © Cosimo Terlizzi

     nouvelle création de la                                                                       9
Programme 2015-2016 Neuchâtel - Théâtre du Passage
25 octobre                                                                    h u m o u r
dimanche                                                                                               dès 12 ans

         17h
Plein tarif: 35.-
Tarif réduit: 25.-
Tarif enfant: 15.-
                                L’art du rire
                                       de et par                        Jos Houben

                                                                         Une conférence désopilante d’un genre
Production                                                               bien particulier, donnée par un expert

                                            © Giovanni Cittadini Cesi
Cie Rima                                                                 de la mécanique du rire: mimiques,
                                                                         gestes et comportements, qu’est-ce qui
Durée: 1h                                                                provoque l’hilarité chez l’être humain?

Rencontre avec Jos Houben
di 25 oct | 11h au                                                       Un              spectacle entre philosophie
                                                                                         et anthropologie, qui tient
                                                                         surtout de la dissection: un plongeon au
                                                                         cœur de ce réflexe étrange et si humain
                                                                         qu’est le rire. Comédien (pour Peter Brook
dans le cadre de                                                         notamment), clown, mime, Jos Houben,
l’exposition « Emotions »                                                nominé aux Molières 2015, a conquis la
                                                                         Grande-Bretagne par ses séries burlesques,
                                                                         il s’est souvent produit dans le West End
                                                                         londonien, sur Broadway à New York ou
                                                                         encore aux Bouffes du Nord à Paris où ce
                                                                         spectacle a été plusieurs fois repris avec
« On ne se lasse pas de                                                  un immense succès. Fort de son expé-
voir ce long comédien                                                    rience d’enseignant à l’école de théâtre
dégingandé. Il se met à                                                  Jacques Lecoq à Paris, il met en lumière
disséquer le pourquoi du
rire, au fil d’une conférence                                            les ressorts du comique, passe au crible
tissée de cas pratiques                                                  ce qui stimule nos zygomatiques à travers
et d’exercices physiques                                                 de nombreux exemples puisés dans la vie
décoiffants. Des éruptions
                                                                         quotidienne: une chute, l’ivresse ou le com-
de rire comme des éclats
d’intelligence. »                                                        portement du nouveau-né. Avec grande
Télérama                                                                 maîtrise et une précision quasi scienti-
                                                                         fique, il s’amuse de tout et le public itou!

                                                                         « Une merveilleuse leçon de théâtre,
                                                                         une irrésistible conférence, très logique et
                                                                         complètement folle. »
                                                                         Le Figaro

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t h é â t r e                                                            27 · 28 · 29 octobre
                     dès 16 ans                                                                                 mardi · mercredi · jeudi

                                                                                                                              20h

                     D’acier                                                                                        Plein tarif: 40.-
                                                                                                                    Tarif réduit: 30.-

                     d’après le roman de Silvia       Avallone         mise en scène     Robert Sandoz              Equipe de création
                                                                                                                    Anne-Laure Futin
                                                                                                                    Olivier Gabus
                     Deux adolescentes dans la fournaise d’un été à Piombino, cité désolée de Toscane.              Stéphane Gattoni
                     La plage omniprésente, tout comme l’aciérie qui engloutit les hommes jour et nuit.             Nicole Grédy
                                                                                                                    Nina Vogt

                     A
                              vec fougue et inventivité, Robert Sandoz s’entoure de jeunes interprètes pour
                              s’emparer, avec la fidèle équipe de L’outil de la ressemblance, du premier roman      Avec
                              très remarqué d’une Italienne de vingt-cinq ans, saisissant avec un talent rare       David Casada
                     l’essence de l’adolescence, ses amitiés fusionnelles et son obsession de la beauté. Portrait   Océane Court
                     d’une jeunesse méditerranéenne en mal d’espérance, tourmente d’une plongée sans filet          Marion Duval
                     dans le monde adulte, D’acier donne la parole à une génération en manque de repères,           Noé Favre
                     avec l’amitié pour seule arme. Des voitures qui roulent trop vite, des accidents de travail,   Rachel Gordy
                     de la cocaïne, des pères qui battent leurs filles, des mères qui courbent l’échine, des        Lola Riccaboni
                     discos pour danseurs sur rollers, des premières de classe, des filles qui s’aiment, des        Simon Romang
                     salopards qui profitent d’une jeunesse à la dérive et l’île d’Elbe comme rêve d’évasion.
                                                                                                                     Durée: 1h55
© Guillaume Perret

                                                                                                                    « D’Acier aimante. »
                                                                                                                    Le Temps

                                                                                                                                           11
28 octobre                                                                   t h é â t r e
mercredi                                                                                                   dès 7 ans

         18h
Plein tarif: 40.-
Tarif réduit: 30.-
Tarif enfant: 15.-
                              M nchhausen
                              de   Fabrice Melquiot   mise en scène               Joan Mompart

                                                                           Fabrice Melquiot et Joan Mompart
d’après l’œuvre de                                                         allient leurs talents pour retracer les
Rudolf Erich Raspe                                                         aventures rocambolesques du Baron de
Gottfried August Bürger                                                    Münchhausen. Un récit fantastique et
                                                                           un spectacle festif pour interroger notre
Avec                                                                       approche du vrai et du faux.

                                                                           Le
Melanie Bauer
Baptiste Gillieron                                                                       Baron de Münchhausen a
Jacques Michel                                                                           295 ans et cela fait 100
Christian Scheidt                                                          ans qu’il vit dans une chambre d’hôpi-
Bastien Semenzato                                                          tal. Quand l’un de ses fils vient le voir, il
                                                                           l’emmène dans un voyage au bout du rêve.
Production                                                                 Fabrice Melquiot, directeur du Théâtre
Théâtre Am Stram Gram –                                                    Am Stram Gram, dont le Passage a déjà
Genève                                                                     programmé six textes (dont Le poisson
Le petit théâtre – Lausanne                                                combattant), narre les aventures extra-
L’Ensemble Contrechamps –                                                  vagantes de ce personnage fabuleux et
Genève                                                                     s’interroge sur le dialogue entre création,
Cie Llum Teatre                                                            enfance et mort. En quoi l’imagination, le
                                                                           fantasme – le mensonge même – sont-ils
Durée: env. 1h                                                             les premiers outils de la vérité à venir?
                                                                           Et Joan Mompart (qui a déjà présenté ici
                                                                           La reine des neiges) a inventé une scé-
                                                                           nographie particulièrement astucieuse,
                                                                           multidimensionnelle, un paysage rempli
                                                                           de miroirs, de tigres et de labyrinthes, où
                                                                           Münchhausen peut brandir ses armes fic-
                                                                           tionnelles contre un réel mortifère, pour
                                                                           mieux embrasser le vivant.
                                                        © Jeanne Roualet

                                                                           « Melquiot écrit des histoires universelles et
                                                                           bouleversantes. » Figaroscope

12
théâtre d’objets                                                                  1er novembre
dès 7 ans                                                                                        dimanche

                                                                                       14h & 17h

Le jardinier                                                                        Plein tarif: 35.-
                                                                                    Tarif réduit: 25.-
                                                                                    Tarif enfant: 15.-
de   Mike Kenny            mise en scène        Agnès Renaud
                                                                                    Avec
                                                                                    Brice Coupey
Une véritable pépite! Un théâtre éminemment poétique, s’inspirant de la nature,
des relations familiales, du temps qui passe et de la transmission.                 Traduction
                                                                                    Séverine Magois
                                                                                    (éd. Actes Sud/Heyoka

Les
                                                                                    Jeunesse)
                      pièces de Mike Kenny
                      sont jouées dans le                                           Production
monde entier et couronnées par de nom-                                              Cie l'Esprit de la Forge
breux prix. Celle-ci questionne notre façon                                         Cie de l'Arcade
d’être au monde et renoue le fil entre les
générations. A la naissance de sa petite                                            Coproduction
sœur, Joe se sent délaissé par ses parents.                                         MCL de Gauchy
Heureusement, son oncle Harry, dont le                                              Théâtre Le Nickel -
grand âge lui fait oublier les choses et                                            Rambouillet
leur nom, lui enseigne le jardinage. Harry
ressemble à l’hiver, dans la contemplation                                          Durée: 55 min
de la vieillesse. Joe, lui, est le printemps,
l’apprentissage de la vie. En creusant la                                           « Brice Coupey fait vivre
terre, Harry extirpe pour Joe des pans de                                           ce jardin et fait surtout
son passé. Et le décor de se métamorpho-                                            passer des émotions qui
                                                                                    ne laissent personne indif-
ser au gré de ses découvertes. Tournant                                             férent. Son interprétation
au rythme des saisons, sous la pluie ou le                                          est un bonheur du début
soleil, le jardin se déploie, livre ses mys-                                        à la fin. Une pièce sur les
tères, devient mémoire vivante et source                                            racines, les liens familiaux
de nombreux émerveillements.                                                        et la mémoire émotion-
                                                                                    nelle qui nous lie pour
                                                                                    toujours aux personnes qui
                                                                                    ont compté dans nos vies. »
                                                                                    Courrier picard
                                                  © Marc Braem

Goûter offert avant la représentation de 17h
par le restaurant Chez Max et Meuron                                                                           13
du    11 au 15 novembre                                                                        do ap né sr ae
du mercredi au dimanche                                                                                           dès 7 ans

       17h
        -h
      ve- 20h
          h
Plein tarif: 40.-
Tarif réduit: 30.-
                             Carmencita
Tarif enfant: 20.-
                             d’après Georges      Bizet
Mise en scène                ensemble instrumental Histoires                     de Musique
Marianne Radja
                             Passion, jalousie et trahison, autant de thèmes rappelant toute la difficulté
Avec                         d’aimer. Une adaptation concentrée, tout en légèreté, accessible aux plus jeunes,
Rubén Amoretti (Escamillo)   de l’un des opéras les plus célèbres au monde.
Anna Maske (Micaëla)

                                                                                  R
José Pazos (Don José)                                                                        ubén Amoretti aime inciter le
Manon Vautravers (Carmen)                                                                    jeune public à découvrir un opé-
                                                                                             ra dans une version condensée.
Production                                                                        Après avoir revisité à son intention des
Association RR                                                                    œuvres de Rossini (Le petit barbier de
                                                                                  Séville) et de Donizetti (Perlimpinpin et
Durée: 1h                                                                         cie, Don Pasqualadino), il s’entoure une
                                                                                  nouvelle fois de talentueux artistes de la
                                                                                  région pour proposer cette adaptation de
                                                                                  Carmen qui sera accompagnée d'une pro-
                                                                                  jection vidéo réalisée par Nicolas Meyer. A
                                                                                  Séville, le brigadier Don José, fiancé à la
                                                                                  jeune Micaëla, rencontre l’étourdissante
                                                                                  Carmen, une bohémienne d’une rare beau-
                                                                                  té, courtisée par le toréador Escamillo. La
                                                                                  passion le poussera aux actes les plus
                                                                                  extrêmes. Assumant le rôle de narratrice,
                                                                                  Marianne Radja signe aussi la mise en
                                                                                  scène de cette histoire d’abord légère,
                                                                                  puis tragique; une mise en scène qui sera
                                                                                  ludique, mettant l’accent sur le respect de
                                                                                  l’œuvre et sa compréhension par les plus
                                                                                  jeunes ainsi sensibilisés à la musique.
                                                               © Nicolas Meyer

                                                                                  Goûter offert me, je, sa et di avant la représen-
                                                                                                                          représen
14                                                                                tation par le restaurant Chez Max et Meuron
d a n s e                                                                                 12 novembre
                                                                                                             jeudi

                                                                                                    20h

Up                                                                                         Plein tarif: 40.-
                                                                                           Tarif réduit: 30.-

chorégraphie      József Trefeli & Mike Winter                                             Avec
                                                                                           Gyula Cserepes
                                                                                           Leif Firnhaber
                                                                                           Dávid Mikó
Six danseurs masculins pour un                                                             Amaury Réot
titre court, Up, une virile énergie qui          « Une parade érectile, pop et foraine,    Carl Staaf
soulève un enthousiasme immédiat.                qui fait du bien. » Le Temps              Mike Winter

Un                envol ! Six garçons explo-
                  rent et combinent toute
la gamme imaginable de portés, dans une
                                                                                           Production
                                                                                           Association pour la danse
                                                                                           contemporaine – Genève
esthétique de mouvements bruts, sans fio-
ritures. Sur scène, la tension entre apesan-                                               Durée: 1h
teur et élévation se trouve à son paroxysme:
les danseurs, très ancrés et aériens en                                                    « Une histoire d’énergie,
même temps, portent l’un des leurs à l’hori-                                               de bonne énergie,
                                                                                           largement communicative
zontale, un autre à la verticale, à l’oblique,                                             au plus grand nombre,
dans une ambiance de joyeuse parade où                                                     tous âges confondus. »
le groupe prime sur l’individu. Tout l’art des                                             Le Courrier
chorégraphes et de leurs danseurs tient
à cela: ils misent sur la gaieté, la beauté
du geste, ils défient la gravité qui englue
tant de créations de danse contemporaine.
Australien d’origine hongroise, József Trefeli
s’est produit dans plus de trente pays. Né
au pays de Galles, Mike Winter a été engagé
par de nombreux chorégraphes, metteurs
en scène et cinéastes. Ils signent ensemble
une pièce aussi complice que jubilatoire.

« Ils multiplient les portés virtuoses et ori­
ginaux, accumulent contrastes et effets de
surprise. » Le Matin Dimanche
                                                                                                                  © Gregory Batardon

                                                                                                                 15
20 novembre                                                                t hh ué mâ ot ur er
vendredi

          20h
Plein tarif: 35.-
Tarif réduit: 25.-
                                Q uand j ’étais
Production
Le Préau – Centre
                                Charles
                                texte & mise en scène Fabrice       Melquiot
Dramatique Régional de
Basse-Normandie – Vire          avec   Vincent Garanger
Durée: 1h25                     Ode à la musique populaire, chant d’amour désarmant, cri du cœur d’un homme
                                dont la vie familiale s’étiole, un spectacle poignant d’humanité.

     C
            harles est un concessionnaire de moisson-         que Fabrice Melquiot décrit comme «un chevalier
            neuses-batteuses en province. Sa passion:         sans costume, un forcené du cœur, qui le brandit
            interpréter les chansons du grand Aznavour,       comme une promesse, une prophétie, un trophée». Et
     le vendredi soir à l’Attitude Club Karaoké. Son          d’ajouter: «Je ne sais écrire que des gens amoureux,
     amour: Maryse, sa femme, qui s’est lassée de lui.        des gens qui espèrent et des gens qui rient, surtout
     Debout sur scène, il tente de la retenir, en chansons.   quand il n’y a pas de quoi rire». Un monologue par-
     Vincent Garanger a su rendre toutes les faiblesses,      ticulièrement remarqué au festival d’Avignon et qui
     mais aussi la bonté, la tendresse, la flamme d’un        a laissé une empreinte profonde chez tous ceux qui
     personnage auquel on s’attache immédiatement et          l’ont découvert.

« Vincent Garanger
s’approprie ce texte puissant
à l’humour incisif avec une
maîtrise de chaque instant.
Son interprétation est
captivante de bout en bout.
Brillant! » Theatres.com

« Vincent Garanger s’empare
de son rôle avec une
jouissance évidente et
communicative. Il tient le
spectacle sur ses solides
épaules et son talent
nécessaire. » Reg’Arts
                                                                                                                     © Tristan Jeanne-Valès

« Très émouvant. »
La Provence

16
h u m o u r                                                           du     25 au 29 novembre
                                                                                       du mercredi au dimanche

                                                                                                    20h

Karim Slama                                                                                        di 17h
                                                                                             Plein tarif: 35.-
                                                                                             Tarif réduit: 25.-
A part ça, globalement, ça va plutôt bien
                                                                                             Mise en scène
                                                                                             Jean-Luc Barbezat
                                                                                             Michel Courtemanche

Karim Slama traque avec inventivité les
aléas du quotidien et ses petits tracas.
Un spectacle tendre et malicieux.

L
          orsqu’il fait des confidences,
          Kar im Slama n’est pas du
          genre à les faire en catimini. Au

                                                                                                                   © Claude Dussez
contraire, il arpente la scène, gesticule, se
projette dans chaque personnage et cou-
ronne le tout d’un environnement audio
et vidéo soutenu. Aimant jouer avec les
images, les musiques et les bruitages, il
crée un spectacle très visuel et entraînant.
Aidé à la mise en scène par son complice
neuchâtelois Jean-Luc Barbezat et l’illus-
trissime Québécois Michel Courtemanche,
il multiplie les saynètes illustrant les
diverses facettes de sa vie et s’attarde
notamment sur ses expériences de père
de famille, ses origines multiculturelles
et les contrariétés de son quotidien. Ses
mésaventures sont, au final, très proches
de ce que tout un chacun expérimente au
jour le jour, et il est bien agréable d’en
rire avec lui. A part ça, globalement, un
spectacle qui va vraiment bien !                « Tout son corps est continuellement
                                                en mouvement, de son entrée en scène         Production
« Karim Slama enchaîne consécrations et         jusqu’à l’ultime rappel. Quelle intensité    CréeAct
succès dans toute la Suisse, comme en           sur scène, quelle précision et quel soin
témoigne son dernier one man show. »            dans le geste, dans la finition du gag. »
Le Matin Dimanche                               Journal de la région de Cossonay             Durée: 1h20

   avec le soutien de                                                                                              17
26 novembre                                                           mt uh sé iâ qt ur e
     jeudi

                    20h
     Plein tarif: 50.-
     Tarif réduit: 40.-       Trahisons
                              de   Harold Pinter          mise en scène     Daniel Mesguich

                              Prix Nobel de littérature, Harold Pinter
                              est ici servi par d’excellents interprètes
                              dans une mise en scène toute de
                                                                           La               pièce commence par la
                                                                                            fin: Emma annonce à Jerry
                                                                           qu’elle compte quitter son mari, Robert, à
                              subtilité et d’élégance.                     qui elle a avoué sa relation extraconjugale.
                                                                           Par une chronologie inversée qui permet
                                                                           de remonter le temps comme une piste
                                                                           d’indices ou de symptômes, on assiste à
      Avec                                                                 une série de courts tableaux à la fois drôles
      Sterenn Guirriec                                                     et réalistes, décortiquant la succession de
      Daniel Mesguich                                                      micro-trahisons qui détruisent une histoire
      Grégory Corre                                                        d’amour. La pièce aborde le triangle amou-
      Eric Verdin                                                          reux et la déconstruction du couple sous
                                                                           un angle avant tout psychologique, par
                                                                           le poids des non-dits et des mensonges
                                                                           menant aux ruptures émotionnelles. Acteur
                                                                           dans une quarantaine de films, Daniel
      Production                                                           Mesguich a mis en scène plus d’une cen-
      Le Théâtre Miroir                                                    taine de spectacles, invités sur les plus
      et Métaphore                                                         grandes scènes, de la Cour d’honneur du
      Théâtre du Chêne Noir                                                Palais des Papes d’Avignon à la Comédie-
                                                                           Française, en passant par le théâtre natio-
       Durée: 1h15                                                         nal de Chaillot ou l’Opéra de Pékin.

                                                                           « Daniel Mesguich donne une seconde vie
                                                                           à Trahisons en signant une mise en scène
                                                                           inventive et réfléchie. »
                                                                           La Marseillaise
                                                                           « Une mise en scène dans les règles de l’art
                                                                           à la précision implacable et portée par des
                                                                           acteurs brillants! »
                                                                           Theatres.com
© Chantal Palazon

     18
m u s i q u e                                                                                 3 décembre
                                                                                                                     jeudi

                                                                                                         20h

Welt                                                                                          Plein tarif: 45.-
                                                                                              Tarif réduit: 35.-

concert klezmer                par le   David Bursztein Orchestra                             Conception et écriture
                                                                                              David Bursztein

Des mélodies chavirantes et un humour corrosif pour rendre hommage à la                       Arrangements musicaux
culture yiddish. Un récital empreint de l’irrépressible force créatrice du souvenir.          Alain Territo

A
         vec humour, David Bursztein voyage au cœur de la rue du Shtetl, où s’interpellent    Avec
         ses dibbouks, fantômes d’un autre temps qui l’habitent et l’inspirent malicieu-      David Bursztein (chant)
         sement. Accompagné d’un quintet virtuose, il revisite son propre rapport au          Marie-Claire Dupuy
judaïsme, partageant l’universalité de cette culture avec tous les publics, quel que soit     (vibraphone, cymbalum)
leur milieu d’origine. Par ses anecdotes et son chant gouailleur très habité, comme à tra-    Jonathan Mathis
vers les sonorités du cymbalum, du violon ou de l’orgue de barbarie, il ravive notre imagi-   (orgue de barbarie, accordéon)
naire collectif avec des personnages emblématiques, leur lot d’histoires, de destins, leur    Vincent Pagliarin (violon)
gamme infinie d’ombres et de lumières. Les dibbouks, comme des esprits voyageurs, se          Alain Territo (contrebasse,
déplacent de génération en génération pour s’inviter sur scène et, sur un fond de pilpoul –   scie musicale, bandonéon)
discussion et remise en cause incessante –, proposent un véritable hymne à la nuance.         Lucas Territo (guitare)
                                                                                              Florian Vella (guitare)

                                                                                              Production
                                                                                              Life Is Not A Picnic

                                                                                              Durée: 1h30
                                                                                                                            © Gérard Brun

                                                                                                                          19
9 décembre                                                             danse-musique
    mercredi

                         20h
    Plein tarif: 60.-
    Tarif réduit: 50.-                  Coup fatal
     D’après une idée de                direction artistique   Alain Platel         par   KVS & les Ballets C de la B
     Serge Kakudji
     Paul Kerstens
                                        Treize musiciens de Kinshasa qui ont créé l’événement au festival in d’Avignon
      Direction musicale                2014! Alain Platel, le fondateur des réputés Ballets C de la B, a rejoint ce
      Fabrizio Cassol                   projet fou, initié par Serge Kakudji, Rodriguez Vangama et Fabrizio Cassol.

                                        H
     Avec                                           ändel, Vivaldi, Bach, Monteverdi et Gluck sont à la fête ! Leurs composi-
     Deb’s Bukaka (balaphone)                       tions fusionnent d’une façon naturelle et exubérante avec le rock, le jazz et
     Cédrick Buya (percussion)                      la musique congolaise. Tandis que les musiciens se réapproprient les arias
     Tister Ikomo (xylophone)           baroques au moyen d’instruments peu conventionnels, des «sapeurs», dandys fanfarons
     Serge Kakudji (contre-ténor)       et majestueux, dansent devant un décor de douilles de munitions, affirmant par leurs
     Bouton Kalanda (likembe)           excès la victoire de la vie sur un sol miné par la guerre. Et lorsque le contre-ténor cherche
     Silva Makengo (likembe)            son Eurydice dans un moment d’égarement, c’est comme s’il cherchait un cadavre dans
     Jean-Marie Matoko (percussion)     le fleuve Congo. Un pari osé que cet assemblage de rumba congolaise et de baroque
     Bule Mpanya (chant)                européen, mais qui aboutit à une création musicale parfaitement équilibrée et à un
     Erick Ngoya (likembe)              spectacle populaire, anarchique, éclectique et engagé, d’une beauté foudroyante.
     Costa Pinto (guitare acoustique)
     36 Seke (percussion)
     Russell Tshiebua (chant)           « Quatorze hommes en scène, avec leur époustouflant talent, leur malice, leur intelligence,
     Rodriguez Vangama                  sous la houlette d'Alain Platel. La salle était debout, applaudissant à tout rompre. »
     (chef d'orchestre, guitare         Le Figaro
     électrique, balaphone)

      Production
      KVS
      Les Ballets C de la B

      Durée: 1h45
© Chris Van Der Burght

   20
o p é r a                                                                    12 · 13 décembre
                                                                                              samedi · dimanche

                                                                                              sa 18h · di 17h

Romulus le Grand                                                                              Plein tarif: 65.-
                                                                                              Tarif réduit: 55.-

d’après l’œuvre de    Friedrich Dürrenmatt                       opéra d’ Andreas   Pflüger                        Livret
                                                                                                     Wolfgang Willaschek

Pour la première fois, cette œuvre est
mise en musique. Une création mondiale                                                                 Direction musicale
                                             © com-garance.com

rappelant que vingt-cinq ans après sa                                                                     Facundo Agudin
disparition, Dürrenmatt continue d’ins-                                                      Mise en espace et costumes
pirer des artistes de tous les horizons.                                                               Barbora Horáková

476
                                                                                                                       Avec
                   après J.C., l’Empire
                                                                                    Alejandro Meerapfel (Romulus Augustus)
                   romain s’effondre. Tous
                                                                                                          Anna Wall (Julia)
                   tentent désespérément                                                              Léonie Renaud (Rea)
de le sauver. Tous, sauf l’empereur lui-                                                          Jérémie Brocard (Achille)
même, Romulus Augustus, apparemment                                                                Michael Laurenz (Zeno)
indifférent au désastre imminent. Créé en                                                 Rubén Amoretti (Emilien/Odoacre)
1949, au sortir de la Deuxième Guerre                                                     Daniel Issa (Spurius Titus Mamma)
mondiale, Romulus le Grand contient                                                          Xavier Robledano (Cäsar Rupf)
tous les thèmes chers à Dürrenmatt:                                                                      et la participation de
l’apologie de l’humilité, la condamnation                                             HEM Neuchâtel-Genève, HEM Bâle
des systèmes totalitaires et de la vio-                                                                         Production
lence. Compositeur d’opéras, de ballets                                                                        Romulus 25
mais aussi de nombreuses musiques de
                                                                                                            Coproduction
film, Pflüger a su créer des atmosphères
                                                                                                      Théâtre du Passage
contrastées que la mise en espace et ses
nombreuses projections rendent très ciné-                                                         Partenaires artistiques
matographiques, réussissant par exemple                                                      Neue Opern Projekte Basel
                                                                                        Orchestre Musique des Lumières
à faire de l’orchestre une armée en
                                                                                             Philharmonie der Nationen
déroute ou même un poulailler. Alejandro
Meerapfel, qui fut une véritable révéla-                                                                        Durée: 2h
tion pour les Neuchâtelois qui le décou-                                                                     avec entracte
vrirent dans Don Giovanni ou Don Carlo,                                                       Performance musicale de
incarne l’empereur mi-clown, mi-Falstaff                                               Ruth Dürrenmatt di 13 déc | 14h
des temps modernes. On s’en réjouit déjà !                                              au Centre Dürrenmatt Neuchâtel

                                                                                                                          21
19 · 25 décembre                                                  c i n é - m u s i q u e
samedi · vendredi                                                                                         dès 6 ans

      sa 18h
      ve 17h
Plein tarif: 45.-
Tarif réduit: 35.-
                             La ruée vers l’or
Tarif enfant: 20.-
                              de Charlie      Chaplin          par l’Orchestre      des Jardins Musicaux
                              direction   Valentin Reymond

     Deux ans après Les temps modernes, l’Opéra Décentralisé Neuchâtel revient au Passage accompagner
     deux autres chefs-d’œuvre du grand Chaplin.

     K
                londike, 1898. Charlot, chercheur d’or,        féroce que touchant de l’être humain, une dénoncia-
                s’aventure dans la montagne enneigée           tion crue de ce qu’est le capitalisme et une référence
                et trouve refuge contre le froid dans une      très personnelle à la biographie du réalisateur. De
     vieille cabane. Tourné en 1925, La ruée vers l’or garde   ce génie salué par tous ses pairs, Fellini affirmait:
     aujourd’hui encore la même force: inventivité, excep-     «Il était une sorte d’Adam dont nous sommes tous
     tionnel talent d’observation du quotidien et onirisme     les descendants. Sa personnalité était double: il y
     omniprésent qui transfigure la plupart des situations.    avait le vagabond mais aussi l’aristocrate solitaire, le
     On peut tout à la fois y admirer un portrait aussi        prophète, le prêtre, le poète».

Production
Opéra Décentralisé –
Neuchâtel
La Lanterne Magique
Cinémathèque suisse –
Lausanne

Durée: 1h35
                                                                                                                          © Roy Export S.A.S

22
c i n é - m u s i q u e                                                           20 · 24 décembre
dès 6 ans                                                                                     dimanche · jeudi

                                                                                                    17h
The Kid                                                                                     Plein tarif: 45.-
                                                                                            Tarif réduit: 35.-
                                                                                            Tarif enfant: 20.-
de Charlie       Chaplin          par l’Orchestre                    des Jardins Musicaux
direction   Valentin Reymond

Après une série de projections en France et en Suisse (notamment au Cinéma Capitole – Cinémathèque
de Lausanne), Valentin Reymond et l’Orchestre des Jardins Musicaux interprètent une fois encore
avec fougue et sensibilité une partition inoubliable.

V
           alentin Reymond a dirigé plus
           de cinquante opéras dans des                                                     Production
           lieux aussi prestigieux que le                                                   Opéra Décentralisé –
Queen Elizabeth Hall de Londres, l’Opéra                                                    Neuchâtel
de Dublin, le Théâtre Gogol de Moscou,                                                      La Lanterne Magique
l’Opéra de Lausanne ou encore l’English                                                     Cinémathèque suisse –
National Opera. Avec Maryse Fuhrmann, il                                                    Lausanne
a fondé, il y a trente ans, l’Opéra Décentra-
lisé Neuchâtel. Tous deux créent en 1998,                                                   Durée: 1h
à Cernier, Les Jardins Musicaux, un festi-
val principalement dédié à la musique des
20e et 21e siècles. Ils y ont présenté plus
de 600 œuvres parmi lesquelles, en 2014,
la partition du Kid, composée par Chaplin
et jouée en direct pendant la projection du
film. Ce premier long métrage de Charlot
est le récit d’une rencontre entre deux
solitudes, celle d’un enfant et celle d’un
adulte, tous deux sans famille. Un film
culte de l’histoire du cinéma qui, dès sa
sortie en 1921, obtint un grand triomphe !

« La magie de l’orchestre agit si puissam­
ment que le film respire comme au premier
                                                © Roy Export S.A.S

jour, emportant parents et enfants dans
son flot d’émotions. » 24 Heures

                                                                                                                    23
31 décembre                                                 h u m o u r
jeudi

         20h
Plein tarif: 55.-
Tarif réduit: 45.-   Bl nd Bl nd
                     Bl ndHømåj à la chonson française

                                                       Détournant allègrement les grands
Production                                             classiques et les tubes du moment,
Little Bros                                            un frère et deux sœurs viscéralement
Taktic Music                                           suédois revisitent la chanson française.
                                                       Un hommage pas comme les autres.

                                                       «U
Durée: 1h20
                                                                    ne création musicale déjantée.
                                                                    On adore! » (Pariscope), « Origi­
                                                       nal et inventif.» (Télérama), «Très drôle et
                                                       complètement azimuté.» (Europe 1)… La
                                                       presse est unanime. Avec leur accent à
                                                       couper au couteau et leur dégaine invrai-
                                                       semblable, Mår, Tø et Glär reprennent A
                                                       la queue leu­leu, chantent Gainsbourg
                                                       ou Voulzy, faisant de chaque morceau un
                                                       grand moment d’autodérision. Et rendent
                                                       une série d’hommages plus ou moins irré-
                                                       vérencieux à notre culture musicale et à
                                                       l’image véhiculée par la Suède. Le concert
                                                       fourmille de bien jolies trouvailles – comme
                                                       cette reprise silencieuse de The sound of
                                                       silence ou ce Voyage, voyage dénonçant les
                                                       expulsions. Hommage, parodie ou assassi-
                                                       nat en règle, aucun genre musical n’est
                                                       épargné par la guitare et les voix de cette
                                                       drôle de fratrie, issue d’un milieu rural légè-
                                                       rement en retard sur son temps !
                              © Emmanuelle Trompille

                                                       « Un croisement entre les Monty Python
                                                       et Abba. » Le Parisien
                                                       « Une création musicale déjantée, œuvre
                                                       de trois artistes fort doués. On adøre! »
                                                       Pariscope

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h u m o u r                                                                                        14 janvier
                                                                                                                                        jeudi

                                                                                                                            20h

                 Les Chiche Capon                                                                                  Plein tarif: 40.-
                                                                                                                   Tarif réduit: 30.-

                 LA 432

                 Les Chiche Capon sont fous, de cette folie communicative qui emporte avec                         Mise en scène
                 elle les spectateurs loin, très loin ! Avec eux, on ne se demande plus jusqu'où                   Les Chiche Capon
                 l’on peut aller trop loin ! On y court !                                                          Karim Adda
                                                                                                                   Raymond Raymondson

                 C
                          oqueluches du public et admirés par     laisse joyeusement vampiriser par ses per-
                          leurs pairs (dont Pierre Aucaigne       sonnages aussi absurdes que loufoques. Il        Avec
                          qui les a en très grande estime),       y a le petit chef autoritaire à la voix aiguë,   Fred Blin
                 ces délirants clowns sous acide n’ont peur       l’ingérable prêt-à-tout en perruque blonde,      Patrick De Valette
                 de rien. Attendez-vous à faire face aux situa-   le géant maladroit et le seul musicien digne     Ricardo Lo Giudice
                 tions les plus extrêmes: de l’incendie en cou-   de ce nom, qui tente vainement de cadrer         Matthieu Pillard
                 lisses à la transe d’un escogriffe qui arpente   ses trois acolytes fous furieux. Hors normes,
                 la salle en escaladant les sièges des specta-    ils affichent dans des sketchs déjantés et       Durée: 1h30
                 teurs ! Ce quatuor improbable, à mi-chemin       de très approximatifs numéros chantés
                 entre Elie Kakou et les Robins des Bois, se      une crétinerie contagieuse et flamboyante.
© Esther Marek

                                                                                                                   « Ces clowns des temps
                                                                                                                   modernes sont déjantés,
                                                                                                                   voire complètement
                                                                                                                   barrés, et on les adore.
                                                                                                                   Du plaisir pur. Une heure
                                                                                                                   trente de déchaînement
                                                                                                                   hors du commun! »
                                                                                                                   Pariscope
                                                                                                                   « Quatre clowns­
                                                                                                                   comédiens, faussement
                                                                                                                   simples d’esprit, dont le
                                                                                                                   délire scénique pousse le
                                                                                                                   spectateur à lâcher prise,
                                                                                                                   à éclater d’un rire franc
                                                                                                                   et libérateur, comme le
                                                                                                                   font les enfants. »
                                                                                                                   Le Monde

                                                                                                                                          25
19 · 20 janvier                                                       t h é â t r e
mardi · mercredi

          20h
Plein tarif: 30.-
Tarif réduit: 20.-   Faust
                     d’après   Johann Wolfgang von Goethe                              par   Elie Triffault

                                                                    Un jeune comédien, issu du Conser-
                                                                    vatoire national de Paris, revisite le
                                                                    mythe de Faust (sans se priver de
Mise en scène                                                       lorgner du côté de L’enfer de Dante)
Elie Triffault                                                      dans un spectacle virtuose qui n’est
                                                                    pas sans rappeler La danse du diable
Production                                                          de Philippe Caubère.
Cie Elie Triffault

                                                                    I
                                                                          ci aussi on rit, on est ému et on se
Durée: 2h15                                                               laisse fasciner par ce rêve éveillé,
Faust I: 1h10                                                             d’une fantaisie particulièrement sti-
Faust II: 45 min                                                    mulante. Depuis 2011, Elie Triffault peau-
avec entracte                                                       fine ce solo lors d’ateliers en France, à
                                                                    Delhi et à Princeton. C’est l’histoire d’un
                                                                    jeune comédien qui, suite à des restric-
                                                                    tions budgétaires, se retrouve seul (muni
                                                                    d'un masque de la commedia dell’arte !)
                                                                    pour jouer une pièce à 180 personnages.
                                                                    Afin de les incarner, il puise alors dans ses
                                                                    souvenirs comme s’il devenait l’auteur de
                                                                    sa propre histoire et s’inspire de celles et
                                                                    ceux qu’il a croisés sur sa route. Comme
                                                                    Faust, il s’offre une seconde jeunesse en
                                                                    convoquant la magie. Et quand fatale-
                                                                    ment son personnage meurt, il n’hésite
                                                                    pas à aller le rechercher dans le théâtre
                                                                    de l’Enfer et ses écrans vidéo. Un spec-
                                                                    tacle plongeant dans les coulisses de la
                                                                    création. L’illusion n’en est que plus belle.
                                              © Laurent Duquerroy

                                                                    «Bluffant!» La Nouvelle République

26
t h é â t r e                                                                                24 janvier
                                                                                                                                    dimanche

                                                                                                                                 17h

                         Le sorelle Macaluso                                                                          Plein tarif:    60.-
                                                                                                                      Tarif réduit: 50.-
                                                                                                                      Italianissima: 100.-*
                          d' Emma       Dante          par la   Cie Sud Costa Occidentale                             Mise en scène
                                                                                                                      Emma Dante
                          Une tragi-comédie en sicilien (surtitrée en français), une série de tableaux
                          contrastés au travers desquels les vivants côtoient les morts sur fond de                   Avec
                          règlements de compte, d’allégresse et parfois d’insouciance.                                Serena Barone

                         La
                                                                                                                      Elena Borgogni
                                         chronique à la fois intimiste   corps et le dialecte chantant de Palerme,    Sandro Maria Campagna
                                         et épique d’une famille         leur histoire est une fable sociale magis-   Italia Carroccio
                          sicilienne contée par sept sœurs mi-ingé-      tralement écrite. Un hommage poétique à      Davide Celona
                          nues, mi-tragiques qui, à l’enterrement        la Sicile, posant un regard empathique et    Marcella Colaianni
                          de l’une d’elles, se remémorent le passé.      sans concession sur ses traditions. Après    Alessandra Fazzino
                          Des scènes se rejouent sous leurs yeux,        avoir été invitée au festival in d’Avignon   Daniela Macaluso
                          le passé collectif ressurgit, avec ses non-    2014, la pièce a été jouée sur les plus      Leonarda Saffi
                          dits et ses explosions de joie. Entre danse    grandes scènes internationales, de Moscou    Stéphanie Taillandier
                          et théâtre, Emma Dante tisse une trame         à São Paulo en passant par Stuttgart ou
                          douce-amère où la vie le dispute à la mort.    Bruxelles. Sa venue au Passage est l’un      Durée: 1h10
                          S'incarnant uniquement dans le jeu des         des événements de la saison.
© Clarissa Cappellani

                                                                                                                      Production
                                                                                                                      Teatro Stabile di Napoli
                                                                                                                      Théâtre National –
                                                                                                                      Bruxelles
                                                                                                                      Festival d’Avignon
                                                                                                                      Folkteatern – Göteborg

                                                                                                                      « Ainsi va le théâtre
                                                                                                                      d’Emma Dante qui avec
                                                                                                                      ses incroyables actrices
                                                                                                                      si peu actrices et sans
                                                                                                                      grands moyens laisse fleu­
                                                                                                                      rir cette chose devenue
                                                                                                                      si rare et si précieuse: le
                                                                                                                      sentiment de la vie. »
                                                                                                                      Le Monde
                                                                                                                             ine
                                                                                                                           ma                A
                                                                                                                      se

                                                                                                                                  IS   SIM
                                                                                                                          L   IAN
                                                                                                                      ITA
                                                                                                                                    ne

                        * Tarif unique valable pour                                                                           it a lie n
                          les 3 spectacles de cette semaine italienne                                                                            27
29 janvier                                                                    m u s i q u e
vendredi

           20h
Plein tarif:    50.-
Tarif réduit: 40.-
Italianissima: 100.-*
                                 Vinicio Capossela
                                  Qu’Art de siècle
Avec                              Sentimental, ironique, exubérant, Vinicio Capossela est considéré comme le
Vinicio Capossela                 plus doué des chanteurs italiens de sa génération.

                                  D
(chant, piano, guitare)
Vincenzo Vasi                                epuis son premier album en 1990, Vinicio Capossela, encensé par une
(thérémine, sampler, marimba)                presse enthousiaste, ne cesse de parcourir les salles européennes. Il reçoit
Alessandro Stefana                           en 2008 le disque platine, récompense très convoitée en Italie. Son réper-
(guitare, banjo, harmonium)       toire s’inspire du jazz, des chansons surréalistes de Brecht et aussi de mélodies
Glauco Zuppiroli (contrebasse)    méditerranéennes. Ses paroles sont marquées de fortes références au cinéma et à
Zeno De Rossi (batterie)          la littérature, abordant des thèmes universels et s’inspirant autant de Melville que
                                  de Céline, Dante ou encore Homère. Ce qui n’empêche pas ce chanteur atypique de
Production                        lorgner vers des univers plus fantasques, voire carrément rock. France Inter a d’ail-
Ponderosa Music & Art             leurs salué en lui «une véritable rock star». Avec sa voix envoûtante, il transcende le
                                  folklore dans une Italie baroque et visionnaire.
Durée: env. 1h30

« Vinicio Capossela, c'est
un don. Un paquet cadeau.
Lorsque tu l'ouvres, surgit
une épiphanie. »
La Nuova Venezia
« La musique de Vinicio
Capossela est une lueur
d’espoir, de rêve et de
redressement. »
Les InRocks
                                                                                                                            © Elettra Mallaby

                                                                                                ine
                                                                                              ma                 A
                                                                                         se

                                                                                                      IS   SIM
                                                                                              L   IAN
                                                                                          ITA
                                                                                                        ne

            * Tarif unique valable pour                                                           it a lie n
28            les 3 spectacles de cette semaine italienne
t h é â t r e                                                                                  31 janvier
                                                                                                                            dimanche

                                                                                                                         17h

                 François d’Assise                                                                             Plein tarif:    35.-
                                                                                                               Tarif réduit: 25.-
                                                                                                               Italianissima: 100.-*
                 d’après Joseph          Delteil         avec Robert   Bouvier
                 Créé en 1994, François d’Assise n’a jamais cessé de tourner depuis, se jouant                 Mise en scène
                 en Suisse, en France, au Québec ou en Guadeloupe, affichant aujourd’hui près                  Adel Hakim
                 de 350 représentations dans 78 lieux, tels que le théâtre Vidy-Lausanne ou le
                 Petit Montparnasse à Paris.                                                                   Traduction

                 Le
                                                                                                               René Corona
                               texte de Joseph Delteil se révèle toujours aussi puissant et évocateur, et
                               le Poverello, huit siècles après sa mort, reste exemplaire dans sa façon        Production
                 de résoudre les conflits, fascinant notre époque confrontée à tant de violence et à une       Cie du Passage
                 modernisation qui lui fait perdre son âme. Poète, philosophe, guerrier, provocateur,
                 amoureux, il est dépeint ici non comme un saint, mais comme un homme cherchant                Durée: 1h25
                 quel sens donner à sa vie. Un moment de partage fou, sensuel et joyeux qui sera joué en
                 français (e un pò in italiano) et surtitré en italien, dans la mise en scène enlevée d’Adel   « Une performance
                 Hakim. Une invitation au bonheur. Allegria !                                                  exceptionnelle, une soirée
                                                                                                               palpitante. »
                                                                                                               Le journal de Montréal
                                                                                                               « Bouvier allumerait des
                                                                                                               cierges avec la seule
                                                                                                               flamme de ses yeux. »
                                                                                                               24 Heures

                                                                                                               « Une mise en scène pétil­
                                                                                                               lante de liberté. Un régal. »
                                                                                                               Télérama
                                                                                                               « Un acteur au sommet
                                                                                                               de son art. Bouvier est
                                                                                                               superbe de sensualité et
                                                                                                               de force. »
© Camille Lamy

                                    ine                                                                        Figaroscope
                                  ma                 A
                             se

                                          IS   SIM
                                  L   IAN
                              ITA
                                            ne

                                      it a lie n
                                                                                                                                        29
6 · 7 février                                                                                           d a n s e
samedi · dimanche

      sa 18h
      di 17h
Plein tarif: 60.-            Salue pour moi
Tarif réduit: 50.-
                             le monde!
Production                   d’après   Tristan et Iseut de Richard Wagner
Grand Théâtre de Genève
                             par le   Ballet du Grand Théâtre de Genève
Durée: 1h30
                             chorégraphie   Joëlle Bouvier
« Sans doute l’une des
plus belles compagnies
européennes, qui se glisse
tout aussi bien dans le
registre néoclassique que
                             Après Roméo et Juliette, la chorégraphe
                             Joëlle Bouvier retrouve le ballet du
                             Grand Théâtre de Genève pour créer
                             la première version dansée du célèbre
                                                                                           «       Salue pour moi le monde, mon
                                                                                                   père et ma mère, et apporte le
                                                                                           breuvage, verse-le dans la coupe d’or.»
                                                                                           Ce sont les mots d’Iseut à sa suivante,
dans le contemporain. »      opéra de Wagner !                                             avant de partager avec Tristan le philtre
Paris Capitale
                                                                                           d’amour qui les unira pour l’éternité. Les
                                                                                           amants se laissent envelopper par la nuit
                                                                                           éternelle pour ne plus jamais être arrachés
                                                                                           l’un à l’autre. Joëlle Bouvier a trouvé une
                                                                                           œuvre à sa démesure, entraînant les vingt-
                                                                                           deux interprètes de la célèbre compagnie
                                                                                           genevoise dans des moments d’extase où
                                                                                           la haine côtoie les flammes d’un amour
                                                                                           incendiaire et où le lyrisme prend racine
                                                                                           dans des cœurs mis à vif. Avec elle, une
                                                                                           fois encore, la passion règne en maître.
                                                                                           Elle a construit un formidable espace où
                                                                                           résonnent le fracas de l’amour et le désir
                                                                                           irrépressible de l’autre. L’opéra et la danse,
                                                                                           tous deux sortent gagnants de ce pari fou!

                                                                                           « Un lyrisme saisissant, un exceptionnel sens
                                                                © GTG - Gregory Batardon

                                                                                           dramatique, un talent magistral. »
                                                                                           Le Nouvel Observateur

30
h u m o u r                                                                        du     10 au 14 février
                                                                                             du mercredi au dimanche

                                                                                                                  20h

Philippe Cohen                                                                                                   di 17h
                                                                                                       Plein tarif: 35.-
                                                                                                       Tarif réduit: 25.-
Le Cid improvisé

La passion de Rodrigue et Chimène,
la guerre et les duels contés par un
seul comédien? Avec une bonne dose                                                                                  Durée: 1h30
de dérision, Philippe Cohen rend un
hommage enlevé et drôle à Corneille.

C
         omédien confirmé et grand impro-
         visateur (il a été président de la
         ligue d’impro suisse), Philippe
Cohen est co-fondateur et directeur de
Confiture, la compagnie qui étale la
culture, à Genève. Il a donné des cen-
taines de représentations de ce spectacle
culte en Suisse, en France, en Belgique
et au Québec. Et partout on a salué le
prodige qu’il accomplit en rendant le
chef-d’œuvre de Corneille aussi dyna-
mique et hilarant. Tout à la fois concis et
volontiers digressif, il joue tous les per-
sonnages, recour t par fois au mime,
invente des bruitages, raconte avec ironie
et commente la pièce du grand drama-
turge français, tout en mettant le public
à contribution. Un spectacle décalé, inter-
actif et irrévérencieux !

« Un spectacle à recommander ! »
Télérama
                                                                  « Une étourdissante performance de plus
                                              © Rebecca Bowring

« Pétillant et même carrément gondolant !                         d’une heure trente qui laisse pantois, qu’on
Cet acteur a un don du caméléonage bien                           apprécie autant pour le rire que pour ses
sympathique ! »                                                   qualités intellectuelles. »
Libération                                                        Le Devoir (Montréal)

      parrainage                                                                                                            31
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