Représentations Scolaires - Orchestre du Conservatoire (OCC) Petit Orchestre du Conservatoire (POC)
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Année
2010-2011
CONSERVATOIRE CANTONAL
Association des Amis des Orchestres du Conservatoire
Représentations
Scolaires
Orchestre du Conservatoire (OCC)
Petit Orchestre du Conservatoire (POC)
O R C H E S T R E D U C O N S E R V A T O I R E C A N T O N A L
Découverte de la musique du
Nord et du grand orchestre
symphonique et vivre une
création (OCC)
Programme
Edvard Hagerup Grieg
Peer Gynt – suite symphonique
Concerto de piano
Jean Sibelius
Finlandia – œuvre symphonique
Thierry Epiney
Conte musical (création)
Composition de
Bois : 2 flûtes (1 poccolo) - 2 haut bois – 2 clarinettes
l’orchestre
(lab et sib) - 2 bassons
Cuivre : 4 cors – 2 trompettes – 3 trombones (1
trombone basse) - 1 tuba
Percussion : timbales, caisse claire, cymbales, grosse
caisse, triangle, tambourin
Cordes : violon I - violon II - alto - violoncelle -
contrebasse - harpe - piano
Dates
Jeudi 18 novembre 2010 – matin et après-midi
Vendredi 19 novembre 2010 – matin et après-midi
Lieu
Jeudi et vendredi matin – toutes régions
Vendredi après-midi : région de Sierre
Public cible
Musique du nord : 5 et 6ème primaire – CO – Lycée-Collège
Conte musical : 2, 3 et 4ème primaire
Conditions
Fr. 1'500.- par représentation jusqu’à 300 élèves
générales
(plus de 300 élèves, Fr. 5.- par élève supplémentaire)
Présentation de
Chaque scolaire est précédée d’une présentation des
l’orchestre
instruments de l’orchestre symphonique (50 musiciens)
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O R C H E S T R E D U C O N S E R V A T O I R E C A N T O N A L
La musique du Nord
Edvard Hagerup Grieg (né le 15 juin 1843, à Bergen – décédé le 4 septembre 1907,
également à Bergen) est un compositeur et pianiste norvégien de la période
romantique. Il est surtout connu pour ses œuvres Concerto pour piano en la
mineur et Peer Gynt, la célèbre musique de scène spécialement composée pour le
drame d'Henrik Ibsen.
Peer Gynt est un drame poétique devenu pièce de théâtre de l'auteur norvégien
Henrik Ibsen sur une musique du compositeur Edvard Grieg. Elle est jouée pour la
première fois au théâtre national de Christiana le 24 février 1876 et reçoit un accueil
triomphal auquel la scénographie vivante et surtout la musique époustouflante
concourent.
La pièce est une farce satirique douce-amère proposant une quête de
l'identité indéfinissable, remplie d'humour sous des dehors graves et
débordants de charges satiriques. L'histoire peut se résumer ainsi : un
antihéros, prétentieux et aventureux, part défier le vaste monde et rate tout
ce qu'il entreprend avant de découvrir, seulement à la fin, la vérité de la
solitude de son unique individu.
Le quinquagénaire Ibsen demande à Edvard Grieg de composer une musique
d'accompagnement pour la pièce. La pièce particulièrement difficile à mettre en
scène de façon classique est plutôt lue, scandée, chantée en une succession de
scénographies animées. Huit des vingt-deux morceaux de musique
d'accompagnement écrite pour le spectacle sont ultérieurement réordonnés,
rassemblés et repris par Grieg. Ainsi naissent deux suites, l'une référencée comme
opus 46 publiée en 1888 et l'autre comme opus 55 en 1891. Elles obtiennent un
succès considérable en tant que musique de concert.
Le concerto pour piano fait partie des œuvres de jeunesse de Grieg, étant
composé en 1868. Trois mouvements le composent :
Allegro molto moderato
Adagio
Allegro moderato molto e marcato
L'œuvre de Grieg montre tout l'intérêt du compositeur pour la musique populaire
norvégienne : l'ouverture virtuose du piano est basée sur le motif de la seconde
descendante, suivie par une tierce descendante, structure typique de la musique
populaire du pays de Grieg. Dans le dernier mouvement du concerto, des
similitudes avec le springar (une danse norvégienne) et des imitations du violon de
Hardanger (le violon populaire norvégien) peuvent être observées.
Soliste Né à Isérables en 1978, Lionel Monnet obtient un diplôme de piano au
Conservatoire de Lausanne dans la classe de Christian Favre et une virtuosité avec
mention à la SSPM de Genève. Il poursuit sa formation auprès de son mentor
Abdel Rahman El Bacha à Paris. Il reçoit aussi les conseils de Roberto Szidon et
Clifton Matthews.
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En 1997, Lionel Monnet obtient son baccalauréat littéraire qui lui est conféré par
l’Académie de Grenoble.
Il remporte en 1995 trois premiers prix suisses au concours des Jeunesses
Musicales, au concours de Moudon et à celui du Lion’s Club à Genève. En 2001, il
reçoit le Prix de la Fondation Irène Dénéréaz. En 2003, il est finaliste du Concours
International de Piano « Elio Santangelo » à Pescara (Italie).
Il se produit avec Tibor Varga, Jacques Mauger, ainsi qu’avec Leonid Gorokhov,
assistant de Sir Yehudi Menuhin.
Jean Sibelius, né le 8 décembre 1865 à Tavastehus, dans le grand-duché de
Finlande et mort le 20 septembre 1957 à Järvenpää, près d'Helsinki, est un
compositeur finlandais de musique classique. Il est l'un des Finlandais qui
symbolise le mieux la naissance de l'identité nationale finlandaise.
Son poème symphonique Finlandia, écrit en 1899-1900, devint le symbole de la
résistance finlandaise vis-à-vis de l'occupation russe. Elle est considérée comme
l'hymne national officieux de la Finlande.
La musique est, en fait, extraite d'une œuvre plus longue, Musique pour la célébration de
la presse, composée le 3 novembre 1899 à l'occasion des manifestations pour la
défense de la presse finlandaise réprimée par le régime russe. Cette partition a été
secondairement scindée en deux par le musicien, les six premiers tableaux devenant
son op. 25, Scènes historiques et le dernier son Finlandia.
Vivre une création musicale originale
Thierry Epiney est né à Sierre (Suisse) en 1986. Ses parents, musiciens, l'initient
rapidement à la musique. Après quelques balbutiements au piano, il se tourna vers
les instruments à percussion dès l'âge de six ans. Cela lui permit d'obtenir en 2004
un certificat de percussion que le conservatoire de Sion lui délivra.
Parallèlement à ses activités de percussionniste, Thierry se trouva une autre passion
: l'écriture musicale. En effet, il s'essaya à la découverte de sonorités agréables et
surprenantes.
Cela le conduisit à la Haute Ecole de Musique de Genève, suite à l'obtention de sa
maturité en 2005. Après avoir payé ses galons dans la musique militaire et après
trois années d'étude au sein de cette HEM, il obtint en octobre 2009 un Bachelor
of Arts en musique, avec, pour branche principale, la composition, qui précèdera
un Master. Conjointement à ses études musicales, Thierry s'initie au métier
d'ingénieur du son.
Création Conte musical pour enfants pour grand orchestre symphonique, récitant avec
projection d’illustrations originales
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Musique concertante
Antonio Vivaldi (OCC)
Programme
Antonio Vivaldi
Les Concertos
Composition de
Cordes : violon I - violon II - alto - violoncelle -
l’orchestre
contrebasse
La composition de l’orchestre sera variable en fonction des solistes
qui seront choisis lors d’un concours interne prévu le 9 octobre 2010
Dates
Jeudi 31 mars 2011 matin et après-midi
Vendredi 1 avril 2011 – matin et après-midi
Lieu
Jeudi et vendredi – toutes régions
Public cible
3, 4, 5 et 6ème primaire – Cycle d’orientation – Lycée-Collège
Conditions
Fr. 1'500.- par représentation jusqu’à 300 élèves
générales
(plus de 300 élèves, Fr. 5.- par élève supplémentaire)
Présentation de
Chaque scolaire est précédée d’une présentation des
l’orchestre
instruments de l’orchestre (40 musiciens)
Antonio Lucio Vivaldi, né le 4 mars 1678 à Venise et mort le 28 juillet 1741 à
Vienne, était un violoniste et compositeur italien. Vivaldi a été l’un des virtuoses du
violon les plus admirés de son temps ; il est également reconnu comme l’un des
plus importants compositeurs de la période baroque, en tant qu'initiateur principal
du concerto de soliste, genre dérivé du concerto grosso. Son influence, en Italie
comme dans toute l’Europe, a été considérable, et peut se mesurer au fait que Bach
ait adapté et transcrit plus d’œuvres de Vivaldi que de n'importe quel autre
musicien. Son activité s’est exercée dans les domaines de la musique instrumentale,
particulièrement au violon, et de celui de la musique lyrique, et elle a donné lieu à la
création d’un nombre considérable de concertos, sonates, opéras, pièces religieuses:
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il se targuait de pouvoir composer un concerto plus vite que le copiste ne pouvait le
transcrire3.
Prêtre catholique, sa chevelure rousse le fit surnommer il Prete rosso « Le Prêtre
roux », sobriquet peut-être plus connu à Venise, que son véritable nom. Comme ce
fut le cas pour de nombreux compositeurs du XVIIIe siècle, sa musique, de même
que son nom, fut vite oubliée après sa mort. Elle ne devait retrouver un certain
intérêt auprès des érudits qu’au XIXe siècle, à la faveur de la redécouverte de Jean-
Sébastien Bach ; cependant sa véritable reconnaissance a eu lieu pendant la
première moitié du XXe siècle, grâce aux travaux d'érudits ou musicologues
Aujourd’hui, certaines de ses œuvres instrumentales, et notamment les quatre
concertos connus sous le titre « Les Quatre Saisons » comptent parmi les plus
populaires du répertoire classique.
L’ensemble des concertos composés par Vivaldi est d’une extraordinaire variété. La
variété réside entres autres dans les instruments utilisés. Vivaldi composa le plus
grand nombre de ses concertos pour le violon, afin de les interpréter lui-même.
Mais il a, plus que tout autre compositeur, fait appel à presque tous les instruments
en usage à son époque : violoncelle, viole d'amour, hautbois, basson, flûte à bec,
flûte traversière, flûte piccolo, salmoè (chalumeau), clarinette, cor, trompette, luth,
mandoline, orgue. Les concertos pour des instruments plus rares ont été écrits à
l’intention de jeunes instrumentistes virtuoses de la Pietà ou de riches amateurs
Vivaldi aurait produit 507 concertos (approximativement99), répartis comme
suit :
1, 2, 3 ou 4 violons : 255
1 ou 2 violoncelles : 30
combinaisons diverses de violon(s) et violoncelle(s) : 11
violon et orgue : 5
viole d’amour : 7
orchestre à cordes sans soliste : 61
1 ou 2 mandolines : 2
luth et viole d’amour : 1
flûte (traversière, à bec, flautino) : 19
1 ou 2 hautbois : 23
basson : 39
2 trompettes : 2
2 cors : 2
concertos grossos : 26
concertos da camera : 24
Solistes Les solistes seront choisis lors d’un concours interne qui se déroulera le 9 octobre
2010.
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Théâtre et musique (POC)
Molière & Jean-Baptiste Lully
Le Bourgois Gentilhomme (extraits)
Composition de
Violon, violoncelle, contrebasse, flûte, hautbois, percussion -
l’orchestre
(Petit Orchestre du Conservatoire)
Dates
Jeudi 26 mai 2011 - matin et après-midi
Vendredi 27 mai 2011 – matin et après-midi
Lieu
Jeudi et vendredi – toutes régions
Salle
Salle avec gradins
Public cible
5 et 6ème primaire
Conditions
150 étudiants au maximum par représentation
générales
Tarif : Fr. 750.- par représentation
Présentation de
Chaque scolaire est précédée d’une présentation des
l’orchestre
instruments de l’orchestre
Le Bourgeois gentilhomme est une comédie-ballet de Molière, en cinq actes
(comportant respectivement 2, 5, 16, 5 et 6 scènes) en prose (sauf les entrées de
ballet qui sont en vers), représentée pour la première fois le 14 octobre 1670,
devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière. La
musique est de Jean-Baptiste Lully, les ballets de Pierre Beauchamp, les décors de
Carlo Vigarani et les costumes turcs du chevalier d'Arvieux.
Dans cette pièce, Molière se moque d'un riche bourgeois qui veut imiter le
comportement et le genre de vie des nobles. Ce spectacle fut beaucoup apprécié
par la Cour et Louis XIV qui le redemandèrent plusieurs fois.
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Étant un bourgeois, M. Jourdain entend acquérir les manières des gens de qualité. Il
décide de commander un nouvel habit plus conforme à sa nouvelle condition et se lance
dans l'apprentissage des armes, de la danse, de la musique et de la philosophie, autant
de choses qui lui paraissent indispensables à sa condition de gentilhomme.
Il courtise Dorimène, amenée sous son toit par son amant, un comte autoritaire, qui
entend bien profiter de la naïveté de M. Jourdain et de Dorimène.
Sa femme et Nicole, sa servante, se moquent de lui, puis s'inquiètent de le voir aussi
envieux, et tentent de le ramener à la réalité du prochain mariage de sa fille Lucile avec
Cléonte. Mais ce dernier n'étant pas gentilhomme, M. Jourdain refuse cette union.
Cléonte décide alors d'entrer dans le jeu des rêves de noblesse de M. Jourdain, et avec
l'aide de son valet Covielle, il se fait passer pour le fils du Grand Turc. Il obtient ainsi le
consentement de M. Jourdain, qui se croit parvenu à la plus haute noblesse après avoir
été promu « Mamamouchi » lors d'une cérémonie turque burlesque organisée par les
complices de Covielle
Jean-Baptiste Lully, né Giovanni Battista Lulli à Florence le 28 novembre 1632
et mort à Paris le 22 mars 1687, est un compositeur italien puis français de la
période baroque, surintendant de la musique de Louis XIV.
Par ses dons de musicien et d'organisateur aussi bien que de courtisan et d'intrigant,
Lully domina l'ensemble de la vie musicale en France à l'époque du Roi-Soleil.
À partir de 1664, Lully travailla régulièrement avec Molière (qui le surnommait « le
paillard »), créant le genre de la comédie-ballet, sans cependant renoncer aux ballets
de cour. Les pièces de ce dernier sont alors une combinaison de comédie, de ballet
et de chant : L'Amour médecin en 1665, la Pastorale comique en 1667, George
Dandin en 1668, Monsieur de Pourceaugnac en 1669, Le Bourgeois gentilhomme
et sa turquerie. Mais en 1671 les deux hommes se fâchèrent et devinrent ennemis.
Il n'est toutefois pas prouvé que, même s'ils collaborèrent, ils furent amis. Aucun
rédacteur de gazette, mémorialiste ou biographe ne fait mention d'une amitié, pas
plus que de leur brouille qui fut à l'époque un non-événement.
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 et mort
à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français.
Considéré comme l'âme de la Comédie-Française, il en est toujours l'auteur le plus
joué. Impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins
ignorants, la prétention des bourgeois enrichis, Molière aime la jeunesse qu'il veut
libérer des contraintes absurdes. Très loin des rigueurs de la dévotion ou de
l'ascétisme, son rôle de moraliste s'arrête là où il l'a défini : « Je ne sais s'il n'est pas
mieux de travailler à rectifier et à adoucir les passions des hommes que de vouloir les retrancher
entièrement »3, et son but a d'abord été de « faire rire les honnêtes gens »4. Il fait donc
sienne la devise Castigat ridendo mores (en riant, elle châtie les mœurs) qui apparaît sur
les tréteaux italiens dès les années 1620 en France, au sujet de la comédie.
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Concert de Noël (POC)
Divers compositeurs
Chants de Noël et œuvres de circonstance
Composition de
Cordes : violon – violoncelle – contrebasse & divers autres
l’orchestre
instruments
Dates
Lundi 13 décembre 2010 - matin et après-midi
(4 représentations au maximum)
Lieu
Lundi – toutes régions
Public cible
1 & 2ème primaire
Conditions
Fr. 1'500.- par représentation jusqu’à 300 élèves
générales
(plus de 300 élèves, Fr. 5.- par élève supplémentaire)
Présentation de
Chaque scolaire est précédée d’une présentation des
l’orchestre
instruments de l’orchestre (30 musiciens)
Le Petit Orchestre du Conservatoire se propose d’accompagner 3 chants de Noël
chantés par les enfants qui participeront aux représentations scolaires. Les chants
accompagnés, adaptés aux 1 et 2ème primaire, seront tirés du répertoire traditionnel
de Noël et les partitions seront envoyées aux enseignants intéressés à fin septembre
2010.
Le programme sera complété par d’autres œuvres de circonstance afin de
sensibiliser les enfants à la découverte de l’orchestre.
Personnes de Degré primaire: M. Jean-Maurice Delasoie, HEP (027 606 96 23 - jean-
contact maurice.delasoie@hepvs.ch)
Degré CO: M. Claude-Eric Clavien, HEP (027 321 12 28 - claude-
eric.clavien@hepvs.ch).
Degré Lycée-Collège: Mme Maria Córdoba, Conservatoire (027 322 25 82 -
events@conservatoirevs.ch).
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