REVUE DE PRESSE DU 9 AU 15 AVRIL 2017 - Commission scolaire des Patriotes

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REVUE DE PRESSE DU 9 AU 15 AVRIL 2017 - Commission scolaire des Patriotes
REVUE DE PRESSE
DU 9 AU 15 AVRIL 2017

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REVUE DE PRESSE DU 9 AU 15 AVRIL 2017 - Commission scolaire des Patriotes
Pénurie d’enseignants dans la région métropolitaine                                                                    Page 1 sur 3

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pneus-laval/)                                                                                                pneus-laval/)
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  Pénurie d’enseignants dans la région
  métropolitaine

  «Des enseignants doivent aller remplacer dans la classe de leurs collègues, mais en surplus de leurs tâches à eux, donc ça crée
  une certaine pression dans l’école», souligne la vice-présidente du Syndicat des enseignants de la région de Laval (SERL),
  Jennifer Gagnon. Rien, donc, pour aider à diminuer la charge de travail.

  ©(Photo TC Media - Archives)

  ENSEIGNEMENT. Des commissions scolaires de la région métropolitaine
  peinent à trouver des enseignants pour de la suppléance, et même pour des
  postes réguliers.

http://www.courrierlaval.com/actualites/2017/4/12/penurie-d_enseignants-dans-la-region-metr... 2017-04-12
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Pénurie d’enseignants dans la région métropolitaine                                          Page 2 sur 3

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  «Cette année, c’est particulièrement criant, il y a une vague de départs à la retraite et davantage
pneus-laval/)                                                                         pneus-laval/)
  de congés de maladie», expose la vice-présidente de la Fédération autonome de l’enseignement
  (FAE), Nathalie Morel.

  La représentante syndicale montre du doigt une charge de travail démesurée, qui pousse à
  l’épuisement. «Cinq jours, c’est tellement lourd que des professeurs demandent de travailler
  20% ou 40% de tâche en moins, illustre-t-elle. Mais maintenant, on leur refuse, et ça fait en sorte
  qu’ils finissent par tomber en congé de maladie à temps plein.»

  À plusieurs endroits, les listes de suppléance sont carrément vides. «Des enseignants doivent
  aller remplacer dans la classe de leurs collègues, mais en surplus de leurs tâches à eux, donc ça
  crée une certaine pression dans l’école», souligne la vice-présidente du Syndicat des enseignants
  de la région de Laval (SERL), Jennifer Gagnon. Rien, donc, pour aider à diminuer la charge de
  travail.

  Si les enseignants ont des horaires chargés partout, la pénurie de suppléants se fait davantage
  sentir sur les îles de Montréal et de Laval. «On n’entend pas ça de nos syndicats en Outaouais ou
  à Granby», rapporte Mme Morel.

  La Commission scolaire de Montréal (CSDM) met de son côté les bouchées doubles pour
  recruter. Juste pour les enseignants, elle a rehaussé ses cibles de recrutement de 25% en vue de
  la prochaine rentrée. L’ajout de financement de la part de Québec, mais aussi l’augmentation de
  sa clientèle – environ 1000 élèves de plus par année – explique en grande partie la révision de
  ses besoins de main-d’œuvre, qui sont davantage criants en adaptation scolaire, au préscolaire
  et au primaire.

  La présidente de la Commission scolaire de Laval, Louise Lortie, donne l’exemple de l’argent
  pour la francisation qui a été distribué essentiellement à «cinq ou six commissions scolaires».
  «Par exemple, nous avons accueilli des Syriens l’an dernier, c’est une école pleine. Ce sont
  beaucoup d’enseignants», dit-elle.

  À la commission scolaire Marguerite-Bourgeoys aussi les défis de recrutement sont importants,
  en raison notamment de l’ouverture prochaine de deux nouvelles écoles. On précise toutefois
  qu’il n’y a pas de pénurie d’enseignants puisqu’on dispose d’une banque de près de 750 can-
  didats.

  Des besoins, mais pas de pénurie à l’extérieur de Laval et de Montréal

  Ailleurs au Québec, les commissions scolaires ne parlent pas de pénurie d’enseignants, bien que
  leurs besoins soient importants.

  À LIRE AUSSI: Recruter les jeunes enseignants, un enjeu
  (http://www.courrierlaval.com/national/2017/4/12/recruter-les-jeunes-enseignants--un-
  enjeu.html)

http://www.courrierlaval.com/actualites/2017/4/12/penurie-d_enseignants-dans-la-region-metr... 2017-04-12
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Pénurie d’enseignants dans la région métropolitaine                                                           Page 3 sur 3

(https://www.oktir
  C’est ce qu’avancent le syndicat de Champlain, qui représente les professeurs des(https://www.oktir
                                                                                     commissions
pneus-laval/)                                                                      pneus-laval/)
  scolaires Marie-Victorin et des Patriotes, deux commissions en croissance sur la Rive-Sud de
  Montréal, de même que la Commission scolaire de la Seigneurie- des-Mille-Îles (CSSMI).

  «Bon an mal an, en novembre, puis en février-mars, nous avons plus de besoins et moins de
  ressources disponibles parce que les étudiants en éducation sont en stage», explique la
  directrice des ressources humaines de la CSSMI, Sylvie Hall. Elle dit toutefois évaluer la
  possibilité d’avoir des suppléants qui auraient une tâche garantie à 100 %, afin de prévenir une
  éventuelle pénurie.

  Dans la région de Québec, c’est la suppléance au jour le jour qui est davantage un enjeu. «On n’a
  pas de craintes pour remplacer des tâches à temps plein ou à temps partiel, explique Annie-
  Christine Tardif, du Syndicat de l’enseignement de la région de Québec. Les principales
  difficultés sont au niveau des spécialités, comme anglais et musique.» (En collaboration avec
  Marie-Eve Shaffer)

                                                  (http://tctranscontinental.com/)

           Médias Transcontinental S.E.N.C. 1100 boul. René-Lévesque Ouest, Montréal, QC H3B 4X9 (514) 392-9000

http://www.courrierlaval.com/actualites/2017/4/12/penurie-d_enseignants-dans-la-region-metr... 2017-04-12
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Long transport inutile pour des élèves | JDM                                                                    Page 1 sur 2

Long transport inutile
pour des élèves
Mardi, 11 avril 2017 23:12
MISE à JOUR Mardi, 11 avril 2017 23:12
Des parents craignent que leurs enfants doivent faire 45 minutes de transport pour aller à l’école, alors qu’une
autre se trouve à distance de marche.

«Nous habitons à 10 minutes à pied de l’école secondaire Monseigneur-Richard, de la commission scolaire Marguerite-
Bourgeoys, mais mes enfants devraient faire au moins 45 minutes à pied et en métro pour aller à Saint-Henri, de la
commission scolaire de Montréal (CSDM)», s’indigne la mère de Milo, Céline Bianchi.

Elle déplore que la CSDM ne prenne pas en compte la proximité et la présence d’un frère ou d’une sœur pour accepter une
demande de changement d'école.

Des parents de Saint-Basile-le-Grand déplorent une situation semblable. Justine, une patineuse artistique, aimerait pouvoir
fréquenter l’école Saint-Lucien à Saint-Jean-sur-Richelieu, où elle pourrait évoluer en sports-études, mais elle ne peut pas
parce que le programme n’est pas reconnu par le ministère de l’Éducation. «Le patin est un gros facteur de motivation pour
elle. La Commission scolaire des Patriotes lui refuse son rêve», dénonce sa mère, Mylène Le Saux.

Le député de Chambly, Jean-François Roberge, a soutenu les deux familles mardi à l’Assemblée nationale. «Tant qu’il y a de
la place dans les écoles, de telles demandes devraient être acceptées», dit-il.

Réactions

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, s’est défendu en soulignant que les règles actuelles font en sorte que la
décision finale revient aux commissions scolaires.

La CSDM «analyse au cas par cas les demandes», soutient la présidente Catherine Harel-Bourdon. «Entre l’automne et la fin
mars, nous avons reçu 160 nouvelles demandes de changement pour la rentrée scolaire 2017-2018. 108 ont été acceptées»,
fait-elle valoir.

«La proximité n’est pas reconnue, car toutes les commissions scolaires sont proches à Montréal. Avec davantage de critères
[...] il serait difficile de prévoir le bon nombre de personnels, les groupes à créer», affirme Mme Harel-Bourdon.

Il était impossible pour la CS des Patriotes de commenter le dossier, mardi.

http://www.journaldemontreal.com/2017/04/11/long-transport-inutile-pour-des-eleves                               2017-04-12
Long transport inutile pour des élèves | JDM                                                       Page 2 sur 2

       3 commentaires                                                          Trier par Plus ancien

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                                                                                                       

                Jean Bon · Université Lyon 2
                Encore une preuve que les commissions scolaires ne servent à rien sinon de parader
                comme des paons de cirque
                J’aime · Répondre ·       2·7h

                Pierre Guay · Centre Asticou
                Pff, rien de nouveau, je demeurait près du Boul Gamelin à Hull et on nous envoyait à
                Aylmer, 13 Km plus loin plutôt qu'a l'école Gamelin ( 750 m).
                J’aime · Répondre · 5 h

                Pierre Addy · Université de Montréal
                En effet, nous voulons tous des écoles justes au coin de notre rue, une pharmacie aussi
                et pourquoi pas aussi un guichet de banque ou de caisse, un resto, un mini centre
                d'achat, mais pas trop gros quand même, mais assé où nous pourrions avoir de tout.
                Mais pas dans ma cour Heil!!! Pas trop proche.
                J’aime · Répondre · 4 h

http://www.journaldemontreal.com/2017/04/11/long-transport-inutile-pour-des-eleves                     2017-04-12
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