SYNTHESE PRESSE TELESPAZIO FRANCE - Semaine du 17 mai 2021
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PRESSE
SYNTHESE PRESSE TELESPAZIO FRANCE
Semaine du 17 mai 2021
Revue de presse
Sommaire 18 mai 2021 - www.nextimpact.com : « L’ESA précise son projet de satellites autour de la terre » 19 mai 2021 - www.lefigaro.fr : « Une constellation européenne autour de la Lune » 19 mai 2021 - podcast.ausha.co/deuxieme-shift : « EP. 32 - Sophie Flamant, DRH de Telespazio France : Mère, belle-mère et femme dirigeante dans l'aérospatial » 20 mai 2021 - www.businessinsider.fr : « L’Europe veut lancer une constellation de satellites autour de la Lune » 20 mai 2021 - www.fr24news.com : « Ce que les plans de satellites lunaires de l’ESA signifient pour les futures missions lunaires »
www.nextinpact.com 18 mai 2021
www.lefigaro.fr 19 mai 2021
www.lefigaro.fr 19 mai 2021
www.lefigaro.fr 19 mai 2021
www.lefigaro.fr 19 mai 2021
podcast.ausha.co/deuxieme-shift 19 mai 2021
www.businessinsider.fr 20 mai 2021
www.fr24news.com 20 mai 2021
www.fr24news.com 20 mai 2021
www.businessinsider.fr 20 mai 2021
Veille presse
Sommaire 22 septembre 2021 - La Lettre A : « Florence Parly épinglée sur les équipements » 26 mars 2021 - La Lettre A : « Les connexions de Nicolas Fournier, nouveau pilote du numérique aux armées » 29 avril 2021 - La Lettre A : « La numéro 2 de la Dicod Anne- Cécile Ortemann attendue au numérique des armées » 17 mai 2021 - La Lettre A : « Armées : nouveau conseiller de Nicolas Fournier à la DGNum » 18 mai 2021 - www.lemonde.fr : « États-Unis - Chine : un match spatial en trompe- l’œil » 20 mai 2021 - La Lettre A : « Agence du numérique de défense : Dominique Luzeaux prépare le rassemblement des troupes » 20 mai 2021 - www.start.lesechos.fr : « Portrait. Elodie Viau, le cerveau derrière l’opération Moonlight, le futur Wifi lunaire élaboré par l’ESA » 21 mai 2021 - www.lepoint.fr : « L’Agence spatiale européenne veut connecter la Lune à la Terre ! » 21 mai 2021 - www.telesatellite.com : « Nouveau satellite d’observation chinois » 22 mai 2021 - www.lesechos.fr : « Comment la Chine s’est affirmée, en deux ans, comme une grande puissance spatiale » 23 mai 2021 - www.entreprendre.fr : « Tribune - Starlink : « Les constellations de satellites mettent à mal l’observation et la recherche spatiales » »
22/09/2020
EXÉCUTIF
Florence Parly épinglée sur les
Exemplaire destiné exclusivement à Anne KASSUBECK - Compte n°108131513
équipements
Les députés Jean-Pierre Cubertafon (Modem) et André
Chassaigne (PCF) vont publier un état des lieux inquiétant des
équipements des militaires. Après des années de coupes
budgétaires, la situation des matériels - radios, munitions,
etc. - est particulièrement dégradée.
Un épais rapport de la commission de la défense sur l'équipement des armées
devrait prendre Florence Parly à contre-pied sur sa communication. Les députés
Jean-Pierre Cubertafon (Modem) et André Chassaigne (PCF) créditent la
ministre des armées de quelques efforts et de bonnes intentions en matière de
petits équipements (munitions, armes, vêtements, etc.). Cette dernière était en
effet censée mettre en œuvre une "loi de programmation à hauteur d'homme" qui,
selon la formule lancée par Emmanuel Macron le 13 juillet 2019, devait permettre
d'améliorer les conditions de vie et d'entraînement des troupes. Lors de leurs
visites et auditions, les deux parlementaires ont toutefois trouvé une situation qui
reste très dégradée. Leur rapport montre que ces petits équipements - souvent
produits par des PME - sont les premières cibles des plans d'économies, là où les
grands groupes disposent de ressources importantes pour défendre leurs
commandes.
Equipements obsolètes
En scrutant l'historique des autres opérations d'armements (AOA) des lois
budgétaires, les rapporteurs constatent que ces lignes de crédits ont été
régulièrement malmenées. A l'hôtel de Brienne depuis trois ans, Florence Parly a
toutefois permis de redresser la barre sur certains matériels, comme c'est le cas
pour des treillis ignifugés achetés depuis 2018. D'autres, comme les gilets pare-
balles, sont passés en dotation individuelle, une vieille revendication des militaires
qui prend tout son sens en période de Covid-19.
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client@indigo-net.com - Lalettrea.frFlorence Parly épinglée sur les équipements - 22/09/2020 - La
Lettre A
Mais, sur le terrain, les conséquences des coupes budgétaires ont sauté aux yeux
des deux députés. Lors d'une visite au 92e régiment d'infanterie, Jean-Pierre
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Cubertafon et André Chassaigne ont découvert les deux types de radios employés
dans l'armée de terre. L'un des modèles est franchement antédiluvien, et l'autre
franchement obsolète : en manœuvre ou en opération, les militaires doivent
choisir entre transmission de voix ou de données sur les ondes. Une réalité très
éloignée de la numérisation des systèmes de radio évoquée dans les discours de
Florence Parly.
Un seuil de 500 millions d'euros en 2025 ?
Le prix des matériels augmentant parfois beaucoup d'une génération à la suivante,
la tentation est souvent d'en acheter moins. Résultat : certains spécialistes du
ciblage - une mission pourtant basique, mais qui demande de l'équipement - n'ont
pas les moyens de s'entraîner correctement. Seulement 20 équipements sont
disponibles pour 120 personnels formés. Le rapport évoque aussi la situation des
munitions, dont certains stocks sont historiquement bas. Certains militaires
décrivent des promesses tenues au prix d'absurdités. La marine a ainsi promis à
ses nouvelles recrues un sac d'équipement textile un mois au plus tard après leur
intégration. L'objectif n'a été atteint qu'en réduisant le nombre de tenues
promises dans le sac.
Alors que certains gradés évoquent une "paupérisation" des militaires, c'est
toutefois bien l'armée de terre qui reste la plus pénalisée car la plus numérique, la
plus engagée en opération et nécessitant le plus de petits équipements. L'ancien
chef des programmes de l'armée de terre, le général Charles Beaudouin -
désormais au Groupement des industries de défense et de sécurité terrestres et
aéroterrestres (Gicat) -, a ainsi rappelé que son armée avait besoin, à ses yeux de
500 millions d'euros d'investissement par an pour ces petits équipements.
Le seuil n'a pas été franchi depuis 2013. En 2015, le niveau avait même plongé à
300 millions d'euros sous Jean-Yves Le Drian. Les attentats de novembre ont
permis de débloquer de nouveaux crédits. Dans la dernière loi de programmation
militaire, ce niveau était à nouveau en baisse en 2019, avec seulement 300 millions
d'euros. L'objectif de 500 millions d'euros ne devrait être atteint qu'en 2025, a
expliqué le général Bernard Barrera, qui rejoindra bientôt Thales. Le major
général de l'armée de terre a d'ailleurs rappelé qu'une vingtaine de radars sol-air
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Lettre A
vont partir à la retraite accélérée, alors que seulement cinq exemplaires ont été
prévus pour les remplacer.
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EXÉCUTIF
Les connexions de Nicolas
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Fournier, nouveau pilote du
numérique aux armées
Nicolas Fournier, directeur général du numérique et des systèmes d'information et de
communication des armées. © DICoD
A la tête de la DGNum des armées depuis six mois, Nicolas
Fournier doit mener à bien les chantiers liés à la migration cloud
et au big data. Pur produit de la DGA, ce polytechnicien dispose
de quelques appuis stratégiques au sein des industries de défense,
mais devra surtout ménager le cabinet de Florence Parly pour
s'imposer.
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aux armées - 26/03/2021 - La Lettre A
L'ingénieur de l'armement Nicolas Fournier, qui a pris le 3 septembre la tête de la
Direction générale du numérique et des systèmes d'information et de
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communication (DGNum) doit s'accommoder de la dispersion des forces
numériques au sein de l'administration du ministère des armées. Directement
rattaché à Florence Parly, il doit absolument maintenir un lien étroit avec le
cabinet de la ministre des armées pour imposer son pilotage de la transformation
numérique. Au sein d'une institution marquée par de nombreux échecs sur ses
chantiers informatiques - du logiciel de paie Louvois au projet Scalp (Système
centralisé d'appui à la logistique pétrolière) - le nouveau DGNum met en avant un
management plus collégial pour faire avancer ses chantiers.
Son mille-feuille numérique
Plus diplomate que son prédécesseur, le vice-amiral d'escadre Arnaud Coustillière,
réputé pour son franc-parler, Nicolas Fournier avance sur une ligne de crête.
Courant décembre, à l'occasion d'une intervention à l'European Cyber Week,
l'ingénieur de la Direction générale de l'armement (DGA) a appelé ses troupes à
travailler de la façon la plus mutualisée et la plus collégiale possible, comme pour
tourner la page des différentes luttes de chapelles de ces dernières années.
Dans un rapport sur la "conduite des grands projets informatiques de l'Etat" paru
en octobre 2020, la Cour des comptes soulignait la fragilité de la position de cette
direction depuis sa création en 2018. Pilote de la transformation numérique, la
Dgnum n'a en effet pas autorité directe sur le Secrétariat général de
l'administration des armées d'Isabelle Saurat, instigateur du schéma directeur de
la transformation numérique. La Dgnum doit aussi composer avec l'état-major
des armées qui mène sa propre transition numérique.
Quant à la DGA, elle est dotée depuis 2018 de sa propre Agence de l'innovation et
de la défense, sans autorité hiérarchique sur ses projets. Au sein de ce mille-
feuille, Nicolas Fournier devra obtenir l'appui inconditionnel du cabinet de
Florence Parly, et plus particulièrement de Nassima Auvray, la conseillère
innovation de la ministre.
Les liens avec la DGA et l'Anssi
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aux armées - 26/03/2021 - La Lettre A
Ex-conseiller affaires industrielles d'Hervé Morin au ministère de la défense de
2007 à 2009, Nicolas Fournier suit de près les premiers pas de l'Agence du
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numérique de défense confiée à l'ingénieur général de l'armement Dominique
Luzeaux. La future articulation entre la DGNum et cette agence, qui doit devenir
son maître d'œuvre sur les grands chantiers, est particulièrement sensible. La
création administrative de la structure, qui doit être formalisée dans les semaines
à venir, mobilise également Jean-Jacques Pellerin, le chef de la division stratégie
numérique des armées. Au sein de l'état-major, ce dernier entend influer sur les
sujets numériques.
Le polytechnicien doit travailler avec les équipes de l'Agence nationale de la
sécurité des systèmes d'information (Anssi) de Guillaume Poupard pour la mise
sur pied d'un cloud souverain des armées. Nicolas Fournier suit également les
chantiers entamés sur le big data et l'intelligence artificielle, alors que la DGA
peine toujours à départager les consortiums menés par Thales et Atos sur le projet
Artemis (Architecture de traitement et d'exploitation massive de l'information
multisource). Le futur outil doit, théoriquement, permettre aux armées de se
doter d'une solution française alternative au logiciel américain Palantir.
Sa garde rapprochée
A la Dgnum, Nicolas Fournier conserve la petite équipe formée par son
prédécesseur. Il est secondé par le général de brigade Olivier Serra, l'ancien
numéro deux du commandement des systèmes d'information et de
communication de l'armée de terre. Le général de brigade Jérôme Bordellès,
chargé des fréquences, le colonel Philippe Sennedot, patron de la sous-direction
de la gouvernance du numérique, et l'ingénieur civil Hervé Cicchelero, sous-
directeur de la transformation numérique, complètent cette garde rapprochée. Le
colonel Eric Alardet, ancien chef du pôle opération du Comcyber, joue également
un rôle clé à la tête de la sous-direction de la sécurité numérique. Ce dernier
assiste Guillaume Duveau, responsable de la sécurité des systèmes d'information
du ministère.
Ses connexions dans l'industrie
Sorti de Polytechnique en 1993, Nicolas Fournier a été le chef de cabinet François
Lureau à la DGA en 2004. C'est au sein de cette direction qu'il a patiemment
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aux armées - 26/03/2021 - La Lettre A
grimpé les échelons, de la division radar et guerre électronique à la sous-direction
technique. Il a été l'adjoint de Thierry Baud à l'unité de management"espace et
systèmes d'information opérationnels", avant d'être chargé de la sous-direction
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des plans et des programmes.
Un parcours qui lui a permis de nouer de solides liens au sein des industries de
défense, comme avec Antoine Bouvier, responsable de la stratégie d'Airbus, Jean-
Marc Nasr, patron de la division Airbus Space Systems, ou avec Marc Darmon,
chef de la cybersécurité à Thales. Entre 2012 et 2016, Nicolas Fournier a
également été l'attaché d'armement à l'ambassade de France au Royaume-Uni, où
il a travaillé sous les ordres de l'ambassadeur Bernard Emié, désormais patron de
la DGSE.
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EXÉCUTIF
La numéro 2 de la Dicod Anne-
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Cécile Ortemann attendue au
numérique des armées
La générale Anne-Cécile Ortemann, actuelle numéro 2 de la Délégation à
l'information et à la communication de la défense (Dicod), va rejoindre Nicolas
Fournier à la Direction générale du numérique et des systèmes d'information et de
communication (DGNum), dont elle sera la directrice générale adjointe au
ministère des armées. Cette direction dédiée au numérique vient de perdre
brutalement le général Olivier Serra, son directeur général adjoint, décédé à son
domicile le 5 avril.
Cette prise de poste permettra à Anne-Cécile Ortemann, qui a commandé le 40e
régiment de transmission, de retrouver en partie sa spécialité d'origine sur les
réseaux informatiques. Cette dernière ne laissera pas un souvenir étincelant à la
direction de la communication, un poste qu'elle avait pris à reculons en 2019 et
dont la promotion devait contribuer à donner plus de visibilité aux femmes
militaires. Elle n'a quasiment pas présenté de point presse au ministère des
armées, pourtant l'une de ses missions à la Dicod.
La nomination du nouveau porte-parole Hervé Grandjean au ministère des
armées, en décembre 2020, en provenance du cabinet de Florence Parly, a
rapidement consacré la perte d'influence de la Dicod, dirigée par Yasmine-Eva
Farès-Emery. Le successeur d'Anne-Cécile Ortemann au sein de cette direction
devrait être issu, comme elle, de l'armée de terre.
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EXÉCUTIF
Armées : nouveau conseiller de
Exemplaire destiné exclusivement à Anne KASSUBECK - Compte n°108131513
Nicolas Fournier à la DGNum
Jusqu'ici sous directeur de la transformation numérique de la Direction générale
du numérique et des systèmes d'information et de communication (DGNum),
Hervé Cicchelero prend du grade. L'ingénieur civil de la défense vient en effet
d'être nommé conseiller de Nicolas Fournier, chef d'orchestre du numérique des
armées, où il devrait notamment suivre les dossiers de la coordination et des
échanges avec l'industrie. Sa nomination intervient alors que Florence Parly vient
de clôturer une séquence autour du numérique avec l'inauguration d'un data
center à Bordeaux, puis par un discours sur l'intelligence artificielle où le tandem
industriel formé par Thales et Atos sur le projet Artemis a été officialisé.
C'est le second changement enregistré à la DGNum après l'arrivée attendue de la
générale Anne-Cécile Ortemann, la numéro 2 de la Délégation à l'information et à
la communication de la défense (Dicod), qui va remplacer l'ancien directeur
général adjoint, le général Olivier Serra, décédé début avril (LLA du 29/04/21).
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20/05/2021
Agence du numérique de défense :
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Dominique Luzeaux prépare le
rassemblement des troupes
Alors que Florence Parly veut disrupter l'organisation du
numérique de son ministère, l'Agence du numérique de défense
prévoit d'être totalement opérationnelle début 2022. Dirigée par
Dominique Luzeaux, la structure doit clore une série de ratés sur
différents chantiers d'envergure.
L'ingénieur général de l'armement Dominique Luzeaux démarre la mise en place
de l'Agence du numérique de défense, un projet initié par Florence Parly en
novembre (LLA du 05/11/20). Placée sous la tutelle de la Direction générale de
l'armement, l'agence, qui doit inaugurer une "révolution de l'organisation du
numérique au ministère des armées", vient d'être créée à la fin du mois d'avril
2021, mais reste au stade de la préfiguration jusqu'en septembre. Le nouveau
directeur, qui prendra alors la main sur son budget opérationnel, aura pour
mission de remédier à la dispersion des ressources au sein du ministère. Le projet
semble d'autant plus ambitieux que les armées comptent près de 1 500 systèmes
d'information et communication et près 22 000 agents mobilisés sur le
numérique, répartis dans ses différents services.
19 DSI en appui
L'agence du numérique, qui doit trouver son rythme de croisière à partir de
janvier 2022, disposera d'un effectif de 400 agents et de quatre sous-directions.
Elle devra constituer un portefeuille de projets qui sont pour moitié issus
d'anciens dossiers gérés par la DGA, et pour l'autre moitié par d'autres structures
du ministère des armées. Pour se repérer dans le maquis ministériel, l'agence va
pouvoir s'appuyer sur 19 directions du ministère, dont 11 sont rattachées à l'état-
major des Armées. Les têtes de pont identifiées, parmi lesquelles celles dédiées à
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rassemblement des troupes - La Lettre A
la préparation des forces ou au maintien en condition opérationnel naval,
aéronautique ou de l'armée de terre, seront délestées de leurs chantiers
numériques les plus complexes au profit de l'Agence du numérique.
Exemplaire destiné exclusivement à Anne KASSUBECK - Compte n°108131513
La nouvelle organisation doit mettre fin aux dérives pointées par la Cour des
comptes après une succession de ratés. Plusieurs chantiers numériques
d'envergure, comme le Système d'information des armées lancé en 2010 et
rebaptisé depuis Licorne, peinent toujours à aboutir. Le système Source solde
vient seulement - six ans après son lancement - d'être étendu depuis janvier aux
personnels de l'armée de l'air et du Service de santé des armées. Le logiciel de
recrutement Sparta, qui vise à simplifier le suivi des candidatures des militaires
doit prochainement aboutir en 2022.
Enfin, le contrat du progiciel Brasidas dédié à la rationalisation du maintien en
condition opérationnelle (MCO) aéronautique, abandonné en 2016 avant de
renaître sous une nouvelle forme, vient d'être récemment attribué à l'entreprise
de services numériques Sopra Steria.
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www.start.lesechos.fr 20 mai 2021
www.lepoint.fr 21 mai 2021
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www.telesatellite.com 21 mai 2021
www.lesechos.fr 22 mai 2021
www.lesechos.fr 22 mai 2021
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www.lesechos.fr 22 mai 2021
www.entreprendre.fr 23 mai 2021
www.entreprendre.fr 23 mai 2021
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