WAGNER, À L'ORIGINE DOUBLE ORCHESTRE - SAISON 2021 I 2022 - Insula orchestra
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SAISON 2021 I 2022 WAGNER, À L’ORIGINE DOUBLE ORCHESTRE PÉRIODE DE DIFFUSION 7 - 23 JANVIER 2022 insulaorchestra.fr
WAGNER, À L’ORGINE DOUBLE ORCHESTRE Durée : Richard Wagner (1813-1883) 1h40 avec entracte Colombus (Musique de scène) Ouvertures et grandes scènes d’opéra : Effectif : Die Feen, Rienzi, Der Fliegende Holländer (soprano) Soprano solo, 77 musiciens Akademie für Alte Musik Berlin Période de diffusion : Insula orchestra 7 - 23 janvier 2022 Laurence Equilbey, direction En mars 2022, Insula orchestra retrouve son compagnon Akamus pour former à nouveau un double orchestre sur instruments d’époque. Pourquoi réunir deux orchestres sur instruments d’époque ? « Nous menons des recherches autour de la dimension des orchestres « festivals » de l’époque beethovénienne. Leurs proportions sont très importantes, les bois et les cuivres sont par 4 au lieu de 2, le chemin de jeu très architecturé, avec des passages soli et d’autres en tutti... Tout cela nous passionne, notamment sur le rendu sonore et expressif. Après avoir donné en décembre 2018 la Cinquième Symphonie de Beethoven à double orchestre, avec Insula orchestra et Akamus, nous présentons ce programme Wagner À l’Origine. » Laurence Equilbey En unissant les timbres de deux orchestres sur instruments historiques, c’est-à-dire aux couleurs sonores pareilles à celles que Wagner entendait, ce programme Wagner / À l’origine propose un voyage rare et des perspectives inédites – une fenêtre avec vue sur demain. Entre 1833 et 1840, de Colombus au Fliegende Holländer (Le Vaisseau fantôme), le jeune Richard invente Wagner. L’ouverture de l’explorateur Christophe Colomb a étonné tout le monde à sa création. Cette musique nouvelle suscita un véritable tumulte. Réinventer le genre et user de la forge de l’orchestre pour fondre des bijoux d’orfèvre, Wagner y pense peut-être déjà quand il achève son premier opéra : Die Feen (Les Fées), œuvre qui se souvient de Carl Maria von Weber. A en écouter l’ouverture, tout Wagner est là ou presque. Aux cuivres les fanfares de chasse, les rythmes de marche, le frémissement du drame, c’est déjà le premier acte de la Walkyrie. Dans le scintillement des timbres qui s’élèvent vers la lumière, Lohengrin se devine, et plus loin, Parsifal se dessine en attendant sa future liberté d‘écriture. Rienzi est le dernier opéra de jeunesse de Wagner, mais aussi son premier grand succès qui le propulsa vers son premier chef d’oeuvre, Der Fliegende Holländer (Vaisseau fantôme). Plus tard, Tristan und Isolde réalisera ce qu’on ne fait ici que supposer : la mélodie infinie, la dilution de la tonalité. Wagner aura alors accompli l’œuvre promise par Richard. 2 insulaorchestra.fr
BIOGRAPHIES LAURENCE EQUILBEY DIRECTION Chef d’orchestre, directrice musicale d’Insula orchestra et d’accentus qu’elle a créés, Laurence Equilbey est reconnue pour son exigence et son ouverture artistique. Ses activités symphoniques la conduisent à diriger les orchestres de BBC National Orchestra of Wales, Hessischer Rundfunk, Lyon, Bucarest, Liège, Leipzig, Brussels Philharmonic, Café Zimmermann, Akademie für alte Musik Berlin, Concerto Köln, Camerata Salzburg, Mozarteumorchester Salzburg, etc. Avec le soutien du Département des Hauts-de-Seine, elle fonde en 2012 Insula orchestra, ensemble qui interprète le répertoire classique et pré-Romantique sur instruments d’époque. Avec le chœur accentus, Laurence Equilbey continue d’explorer le grand répertoire de la musique vocale. Ses nombreux enregistrements avec accentus sont largement salués par la critique. Avec Insula orchestra, elle enregistre le Requiem de Mozart (naïve, 2014) puis Orfeo ed Euridice de Gluck (Deutsche Grammophon, 2015). Ses disques Mozart (Vêpres solennelles d’un confesseur / Messe du Couronnement) et Schubert, Lieder orchestrés, enregistrés avec Insula orchestra et accentus, paraissent en 2017. En 2018, elle enregistre deux disques consacrés à Beethoven avec Insula orchestra pour Warner Classics - Erato : le premier avec Nicholas Angelich, le second avec accentus, Alexandra Conunova, Natalie Clein et David Kadouch. Laurence Equilbey a étudié la musique à Paris, Vienne et Londres, notamment auprès des chefs Eric Ericson, Denise Ham, Colin Metters et Jorma Panula. INSULA ORCHESTRA Le projet artistique d’Insula orchestra est construit autour d’un répertoire allant principalement du classicisme au romantisme, avec des programmes aussi bien symphoniques qu’avec chœur et solistes ou lyriques. Mozart, Beethoven, Schubert et Weber sont au centre de ce répertoire. L’orchestre joue sur instruments d’époque, avec un travail sonore adapté aux grandes salles françaises et internationales. Fondé en 2012 par Laurence Equilbey grâce au soutien du Département des Hauts-de-Seine, Insula orchestra a inauguré en avril 2017 La Seine Musicale, réalisée par les architectes Shigeru Ban et Jean de Gastines. L’orchestre est en charge d’une partie de la programmation de l’Auditorium de 1 150 places, au sein duquel il est en résidence sur l’île Seguin. Insula orchestra rayonne également en France et à l’international, dans de grands lieux et festivals prestigieux : Philharmonie de Paris, Schlossfestspiele de Ludwigsbourg, Stadtcasino à Bâle, Elbphilharmonie de Hambourg, Philharmonie d’Essen, Barbican Centre de Londres, ou encore Louvre Abu Dhabi pour son inauguration officielle en 2017. Un projet complet et innovant d’actions culturelles et pédagogiques est développé sur l’ensemble du territoire des Hauts-de-Seine. L’orchestre revisite les formats et les codes de la musique classique pour aller à la conquête de tous les publics, en créant un dialogue constant entre la musique symphonique, l’espace et la scène. 3
REVUE DE PRESSE Extraits de presse sur Insula orchestra et Laurence Equilbey « Insula orchestra est un ensemble sur instruments d’époque dont la fondatrice et chef d’orchestre, Laurence Equilbey, est réputée pour sa programmation intelligente. » Richard Morrison, The Times, 12 mars 2018 « Oui, [Laurence Equilbey] aime ajouter à ses concerts un soupçon de magie technologique. Oui, La Seine Musicale, dont Insula est l’orchestre en résidence, ressemble à un mélange futuriste de ruche et de station spatiale. Mais Laurence Equilbey présente le meilleur en termes de concert historiquement informé : énergie, légèreté, et attention au détail. » Hannah Nepil, The Financial Times, 26 février 2018 « Laurence Equilbey, dont la direction gagne chaque jour en souplesse, dispose décidément d’une phalange de très haut niveau, qui lui permet dans Der Freischütz des effets sonores d’une saisissante puissance théâtrale. » Richard Martet, Opéra Magazine, mai 2017 « Pour l’heure, c’est Laurence Equilbey qui est aux manettes de la soirée. [...] Ce concert inaugural est à l’image de son projet. Moderne, inattendu, élégant. » Thierry Hillériteau, Le Figaro, 24 avril 2017 « L’Insula orchestra a démontré qu’il est parvenu à une très vivante maturité. On doit cette ‘genèse’ symphonique qui ne s’est pas faite en sept jours, à la direction de Laurence Equilbey, qui sert avec intelligence cette musique à la fois intimiste et grandiose. Sens des couleurs, sensibilité dramaturgique, précision, son geste musical s’est assoupli, amplifié, démultiplié. » Marie-Aude Roux, Le Monde, 16 mars 2017 DISCOGRAPHIE BEETHOVEN 248 CONCERTOS POUR PIANO N O 4 ET 5 Nicholas Angelich, Laurence Equilbey, Insula orchestra Warner Classics – Erato 21 septembre 2018 NOS PARTENAIRES CONTACTS Samuel Serin, Directeur général délégué David Bodou, Responsable des relations extérieures s.serin@insulaorchestra.fr d.bodou@insulaorchestra.fr 06 03 21 13 67 06 87 88 26 32 insulaorchestra.fr 4
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