WAM Référencement at LONDRES - 16 & 17 octobre 2017 - WAM Référencement
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PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS LIEN DE LA PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/paddy_moogan/link-building-case-studies-myths-and-fails-searchlove-2017 RÉSUMÉ : La création de liens reste un critère très important de référencement cependant les méthodes de créations ont beaucoup évolué depuis les différents garde-fous mis en place. Comment cela a changé durant les dernières années ? Paddy partage des études de cas de link building qui ont fonctionnée ainsi que celles qui n’ont pas marché afin de tirer les enseignements nécessaires de ces échecs. 2
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS ENSEIGNEMENTS : La création de liens est souvent fastidieuse pour peu de performance. Cependant, à travers les Relations Presse, vous pouvez baisser considérablement le coût d’acquisition de liens autoritaires. Pour cela, il faut : ▪ Préparer son action Définir sa cible d’internautes, définir ses cibles journalistiques correspondantes, bien cadrer son message. Offrir la bonne histoire au bon moment dans le meilleur contexte favorisera la reprise de vos informations et la création de vos liens. ▪ Etre régulier Les Relations Presse impliquent une relation régulière avec ses cibles journalistiques. Les RP se travaillent sur le long terme. Maintenir la relation sur la durée vous rendra plus audible auprès de vos journalistes et vous permettra de mieux travailler votre visibilité dans la presse. L’acquisition des liens également se fera sur le long terme. Il ne faut pas forcément attendre une acquisition de liens soudaine mais plutôt pérenne. ▪ Pensez à l’animation de votre contenu La création des liens n’est pas évidente. Pourtant, vous pouvez les favoriser en animant votre contenu. Partage sur les réseaux sociaux, landing page, outreach personnalisé sont autant de moyens de favoriser la création de liens. Mettez à jour votre contenu l’année suivante s’il s’agit de données chiffrées. C’est un bon moyen de créer une couverture média à bas coût. 3
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS LES INDISPENSABLES AUX RP : Paddy Moogan explique la réussite des actions RP ne se fait pas sur du vent. Pour leur réussite, il faut rassembler les conditions suivantes : ▪ Un contenu et un angle pertinents : un message audible, des visuels pertinents (data-visualisation, contenus interactifs) ; ▪ Une stratégie communication pertinente ; ▪ Des relations avec des journalistes sur le long terme ; ▪ Le timing. Selon lui, chacun de ces élément est indispensable dans les présentations classiques sur le linkbuilding. Or, lui, considère qu’ils ne le sont pas tous et il nous donne des exemples concrets. Il ne faut plus penser la création des liens de manière isolée. C’est un travail qui doit se faire dans le cadre de votre stratégie de communication. C’est la pertinence de votre communication qui vous permettra d’acquérir les liens les plus autoritaires. 4
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS EXEMPLE N°1 : LES CONSTRUCTEURS AUTO LES PLUS VENDUS DANS LE MONDE Dans ce premier exemple, Paddy montre un exemple de contenu créé par son agence. Il s’agit d’une carte du monde sur laquelle ils ont précisé quel constructeur vendait le plus de voitures. Le contenu recevait quelques liens, sans faire le buzz. Toutefois, ils se sont rendus compte que les journalistes rédigeaient tous leurs articles sous l’angle suivant : “Toyota était le premier constructeur mondial”. L’équipe de Paddy a donc décidé de modifier le message du contenu afin de le travailler sous le même angle : Toyota, premier constructeur mondial. C’est à ce moment-là qu’ils vont vu arriver un grand nombre de liens depuis de nouveaux journaux. Retrouvez le contenu ici : https://www.regtransfers.co.uk/content/worlds-top-selling-car-manufacturers-country/ 5
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS EXEMPLE N°2 : TROUVER UNE IDÉE DE CONTENU RÉUTILISABLE POUR RÉDUIRE LES RISQUES Paddy explique ensuite que la création d’un contenu peut être risquée : on peut passer du temps et dépenser du budget sans être sûr d’obtenir des résultats satisfaisants. Il a donc eu l’idée de créer un contenu qui pouvait être utilisé à de multiples occasions et qui en plus pouvait être mis à jour régulièrement. Le contenu repose sur l’idée suivante : une cartographie interactive des pays dans lesquels on consomme le plus d’alcool. Ce contenu leur a permis d’être repris par des journaux lors de plusieurs événements : “Dry January”, “Sober October”. De plus, le contenu a été créé en 2015 mais il est remis à jour chaque année, ce qui leur permet d’être repris année après année par les journalistes. Retrouvez le contenu ici : https://www.vouchercloud.com/booziest-countries 7
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS 8
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS EXEMPLE N°3 : DOUCEMENT MAIS SUREMENT Dans son troisième exemple, Paddy expose un autre exemple créé par son équipe. Il s’agit d’une infographie assez simple dans laquelle ils illustrent la part de femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises technologiques. Le contenu reçoit régulièrement des liens, à chaque fois que les journalistes parlent de l’égalité hommes - femmes. Le message de Paddy est le suivant : ce n’est pas forcément parce que la campagne ne fait pas le buzz, que c’est une campagne ratée. Son exemple illustre qu’il vaut parfois mieux une idée qui dure qu’une idée qui fait le buzz de manière temporaire. Retrouvez le contenu ici : http://www.ecardshack.com/blog/ladies-gentlemen-board 9
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS 10
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS EXEMPLE N°4 : APPRENDRE DES BONNES PRATIQUES DES AGENCES DE RP TRADITIONNELLES Le quatrième mythe du linkbuilding repose sur le constat suivant : il ne faut pas forcément d’image, de vidéo ou d’infographie afin d’obtenir des liens. Il explique que les RP traditionnelles n’ont jamais eu besoin de toute cette matière. Il faut donc se servir de ces méthodes pour obtenir des liens. Il insiste toutefois sur le fait d’avoir des “data” ou au moins donner un avis hors de ce qui existe sur un sujet pour espérer obtenir des liens. Exemple : https://www.recruitment-international.co.uk/blog/2016/08/when-fishing-for-candidates-content-is-the-best-hook-dot- dot-dot Dans cet exemple, Paddy a demandé au CEO de son client de faire une interview sur le blog de l’entreprise et d’y donner des conseils très pointus aux chercheurs d’emploi pour faire la différence dans leur recherche. Cet article, avec des conseils qu’on ne retrouve nulle part ailleurs, a permis d’obtenir une centaine de liens depuis des sites à très fort DA, dont businessinsider.com 11
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS EXEMPLE N°5 : IL NE SUFFIT PAS D’ÊTRE UNE GROSSE MARQUE ! Paddy démonte un 5ème mythe du linkbuilding avec un exemple de contenu créé par une grosse marque, qui n’a toutefois pas trouvé le succès escompté. Il s’agit de la page suivante : https://www.vouchercloud.com/millionaire-one-liners L’idée est la suivante : un contenu interactif qui liste les “phrases cultes” les plus rentables de toute l’histoire du cinéma. Bien que le client soit gros, ils n’ont pas réussi à avoir beaucoup de liens. Au contraire, pour un autre client, ils ont reçu des centaines de liens pour le contenu suivant : http://www.eco2greetings.com/c/air-pollution/ , bien que le client soit très peu connu. Paddy explique que ce deuxième contenu a généré des liens car le pitch est bien plus puisant. Représenter une grosse marque ne suffit pas. Il faut développer une stratégie de communication et de contenus cohérente et à la hauteur de la puissance de la marque. 12
PADDY MOOGAN LINK BUILDING CASE STUDIES, MYTHS AND FAILS EXEMPLE N°6 : NE PAS SUIVRE LES RÈGLES ! Paddy explique qu’il avait pour principe de base de ne jamais mettre en ligne un contenu un vendredi (pas de mise en prod le vendredi). Il avait d’ailleurs insufflé cette règle auprès de ses collaborateurs depuis de longues années. Toutefois, un jour, un de ses collaborateurs a un jour mis en ligne un contenu plutôt moyen un vendredi, et bien que personne n’y croyait, le contenu a généré de nombreux liens. Sa conclusion est la suivante : quand il s’agit de netlinking il ne faut pas toujours suivre les règles ! 13
SAMANTHA NOBLE BEYOND THE REACH OF KEYWORD TARGETING : THE EVOLUTION OF PAID MEDIA LIEN DE LA PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-samantha-jane-noble-beyond-the-reach-of-keyword- targeting-the-evolution-of-paid-media RÉSUMÉ : L’achat média a considérablement changé depuis 5 ans. Nous sommes passés progressivement d’un ciblage strictement par mots-clés à un développement de l’audience. La publicité prend désormais une place de choix dans les SERP et les réseaux sociaux. Tout au long de son intervention, Samantha vous plongera dans l’offre pléthorique disponible aujourd’hui sur le web. Vous quitterez cette conférence avec une meilleure compréhension des opportunités quasi infinies qu’offrent ces médias. 14
SAMANTHA NOBLE BEYOND THE REACH OF KEYWORD TARGETING : THE EVOLUTION OF PAID MEDIA ENSEIGNEMENTS : L’évolution de l’achat média repose sur deux piliers : un meilleur ciblage et une meilleure prise en compte de la data. ▪ UN CIBLAGE PAR PERSONNAS Auparavant, l’achat média correspondait à promouvoir une landing page pour un mot-clé. Désormais on s’applique à promouvoir plusieurs landing page en fonction du public visé. Il faut désormais penser sa landing page en fonction de l’internaute et non plus en fonction du mot-clé. ▪ UNE EVOLUTION FORCEE On a assisté depuis 2015 à une baisse conséquente des clics sur le SEO sur mobile (-55%) et sur desktop (-25%). Dans le même temps, les annonceurs ont pris conscience de l’intérêt d’apparaître au-dessus de la ligne de flottaison. Ce cotexte a considérablement fait monter les prix en SEA. La data est donc un élément indispensable pour le pilotage d’un budget SEA. ▪ UN CIBLAGE PAR MICRO-MOMENT On assiste aujourd’hui à une nouvelle évolution avec les Demographic Search Ads. L’objectif est de cibler l’internaute en fonction des différents moments qui jalonnent sa journée. Le remarketing est un atout redoutable pour cela. Ce ciblage peut également se faire sur d’autres plateformes au ciblage très fin comme Facebook (79% des adultes y sont présents). 15
SAMANTHA NOBLE BEYOND THE REACH OF KEYWORD TARGETING : THE EVOLUTION OF PAID MEDIA LES NOUVEAUTES SUR L’ACHAT MEDIA : ▪ Nouvelle extensions d’annonces : structured snippets, call extensions, message extensions, location extensions, afiliate location extensions, price extensions, app extensions, review extensions, previous visits, seller ratings, consumer ratings. ▪ DFSA : Demographic For Search Ads et RFSA : Remarketing For Search Ads. ▪ La mise en avant de vidéos et images dans les Ads. ▪ La création de promotions en temps réel. ▪ Mise en avant de la disponibilité des produits dans les pages de résultats. ▪ La création de 4 Ads en bas de page. ▪ Mise en place de Description additionnelle dans Adwords : Google peut choisir de l’afficher ou non. ▪ Mise en place de nouveaux formats de pub sur les Vidéos Youtube avec différents affichages lors de la lecture de la vidéo. 16
ROB BUCCI REVERSE-ENGINEERING GOOGLE’S RESEARCH ON WHAT SEARCHERS ARE LOOKING FOR PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-rob-bucci-reverseengineering-googles-research-on-what- searchers-are-looking-for RÉSUMÉ : Les résultats de recherche sont la partie visible de l’iceberg. En coulisse, Google apprend de toutes les recherches effectuées par les internautes. Rob dévoile comment connaître ce que Google sait déjà des internautes et comment tirer partie de toutes ces informations afin de proposer le meilleur contenu au meilleur moment au bon internaute. Liens vers les PREZ : https://getstat.com/searchlove/ https://getstat.com/volatility 17
ROB BUCCI REVERSE-ENGINEERING GOOGLE’S RESEARCH ON WHAT SEARCHERS ARE LOOKING FOR ENSEIGNEMENTS : ▪ LE PARCOURS UTILISATEUR : BOUSSOLE DE LA VISIBILITE ORGANIQUE… Les comportements des internautes ont changé. L’intention de l’internaute a pris le pas sur l’identité de la marque tout comme l’immédiateté a pris le pas sur la fidélité à la marque. La prime revient à la marque qui identifie le mieux le parcours utilisateur de l’internaute décomposée en 3 phases : informationnelle, commerciale et transactionnelle ▪ ET DU CONTENU Après avoir identifié ce parcours, il est important de se demander quel contenu mettre en face de chacune des intentions et des requêtes. Il est nécessaire de s’interroger sur la nature de ce contenu également pour obtenir un meilleur CTR. ▪ LE SEO : UN LEVIER PARMI D’AUTRES Le benchmark des SERPs est devenu indispensable. Il faut envisager le SEO dans son environnement organique et non plus de manière isolée par mot-clé et par position. Cela permet d’identifier les opportunités de visibilité et d’activer d’autres leviers pour avoir sa place dans la SERP (SEA, vidéo, news box, etc). La solution ne se trouve pas forcément dans les résultats organiques mais peut aussi résider dans les résultats complémentaires. 18
JES SCHOLTZ THE NEW ERA OF VISUAL MARKETING PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-jes-scholz-the-new-era-of-visual-marketing RÉSUMÉ : Pour la première fois depuis la télévision, nous ajoutons une nouvelle couche d'expérience au marketing avec des images et des vidéos immersives. Toutefois, l'importance des visuels n'est pas seulement essentielle pour l'engagement social. L’image est devenue une composante essentielle du parcours utilisateur que ce soit sur Google, Facebook ou Amazon. Jes revient sur les moyens mis en places par les marques pour s’approprier la recherche visuelle en faveur d’un bon positionnement. 19
JES SCHOLTZ THE NEW ERA OF VISUAL MARKETING ENSEIGNEMENTS : ▪ LES RÉSULTATS ORGANIQUES TEXTUELS NE SUFFISENT PLUS Plus qu’un quart des recherches effectuées sur Google sont des recherches images. 3 quarts des utilisateurs disent que les résultats organiques textuels ne sont pas pertinent pour trouver un produit précis. Une image vaut plus que 1000 mots. Google Lens permet de faire une recherche visuelle en direct via une caméra. ▪ LA RECHERCHE PAR L’IMAGE : LE FUTUR DU E-COMMERCE ? Google a depuis mis en place un cadre pour la recherche visuelle. Les pré-requis pour s’afficher avec un label product sont la contribution de données structurées, le nom du produit, le prix, la disponibilité et bien sûr l’image. Il faut également soumettre un sitemap image à Search Console. Ce cadre permet d’envisager un « snap to shop » (ex : je prends en photo un produit dans la rue via une appli et la fiche produit s’affiche). Le tunnel de conversion serait significativement réduit en passant directement du désir à l’achat sans passer par le search. C’est déjà une réalité sur Pinterest où le pouvoir de la photo est centrale. 20
JON MYERS (DEEPCRAWL) MOBILE-FIRST PREPAREDNESS : WHAT WE’VE LEARNED FROM THE TOP 1 MILLION WEBSITES PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-jon-myers-mobilefirst-preparedness-what-weve-learned- from-crawling-the-top-1-million-websites RÉSUMÉ : Everyone’s been talking about mobile-first all year long, but with 2018 looming, are you prepared for it? By now you’ve probably heard of the Majestic Million report and we thought we’d have a little fun and crawl it! Jon will show how many of the world’s largest sites are shaping up for Google’s mobilefirst Index. His talk will give an analytical overview of all key mobile aspects, such as site configuration, AMP, fetch time, mobile navigation, crawl depth, content differences, and mobile/desktop differences. Google offers best practice, but we will show you the data on how well the top sites are adjusting to mobile-first indexation. 21
JON MYERS (DEEPCRAWL) MOBILE-FIRST PREPAREDNESS : WHAT WE’VE LEARNED FROM THE TOP 1 MILLION WEBSITES ENSEIGNEMENTS : ▪ 2 trillions de recherches par an ; ▪ 60% des recherches se font sur mobile ; ▪ PWA est le futur (en AMP ?) ; ▪ AMP est aujourd’hui disponible pour le e-commerce et de plus en plus mis en place ; ▪ Google veut que tout le monde aille sur du responsive car c’est plus simple, une URL = 1 code source ; ▪ Si vous avez un Header qui retourne une page différente pour Mobile (site mobile dédié), Google prendra en compte cette page plutôt que la version en Responsiv. ETUDE MOBILE SUR 1 MILLION DE SITES : LES SITES LES PLUS IMPORTANT EN TERME DE TRAFIC : Les différentes configuration mobile rencontrées : ▪ 795 000 sont en Responsiv design ▪ 190 000 sont en Dynamique Serving ▪ 15 000 ont des sites mobiles dédiés 22
JON MYERS (DEEPCRAWL) MOBILE-FIRST PREPAREDNESS : WHAT WE’VE LEARNED FROM THE TOP 1 MILLION WEBSITES DONNÉES SUR LES 15 000 SITES MOBILES DÉDIÉS : ▪ 61% possèdent les bonnes balises Canoniques ; ▪ 21% n’ont pas de Canoniques ; ▪ 18% ont des balises Canoniques pointant vers les mauvaises pages ; ▪ Seulement 7% des balises Titles match entre le Desktop et le Mobile ; ▪ Seulement 7,9% des balises Meta Desc match entre le Desktop et le Mobile ; ▪ Seulement 5,8% ont les 2 balises qui matchent. DONNÉES SUR LE HTTPS : ▪ 78% de tous les sites sont en HTTP et 22% en HTTPS ; ▪ Données pour chaque configuration mobile : 63% des sites mobiles dédiés sont en HTTP, 66% des sites en Responsiv et 73% en Dynamic Serving ; ▪ 12,7% des sites ont le double protocole HTTP et HTTPS. 23
ROSS SIMONDS CONTENT DISTRIBUTION: HOW TO GIVE YOUR CONTENT MORE LIFE PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-ross-simmonds-content-distribution-how-to-give-your- content-more-life RÉSUMÉ : A huge factor in making social media work for you is an understanding of platforms and the creation of social content that is right for those platforms. As Creative Director at social agency That Lot, David creatively drives the day-to-day social output for clients such as Channel 4, B&Q, HSBC, and Jamie Oliver, for whom one of the core focuses is platform specificity. In his talk, David will talk through examples of platform-specific content on Twitter, Facebook and Instagram, with tips on how to approach particular types of content on those platforms. As part of the agency behind such social feeds as ‘Have I Got News For You’, expect some laughs as well as social inspiration. 24
ROSS SIMONDS CONTENT DISTRIBUTION: HOW TO GIVE YOUR CONTENT MORE LIFE ENSEIGNEMENTS : ▪ IF CONTENT IS KING Pendant des années, nous avons tous écrit et publier du contenu sans se soucier de la vie du contenu après sa publication. Aujourd’hui, le web est submergé de contenus. Cette abondance de contenus a contribué à l’évolution es SERP. De nouvelles problématiques et chassé les précédentes et il est de plus en plus difficile de se positionner sur ses mots-clés du fait de l’offre pléthorique disponible sur les moteurs de recherche. Ce n’est plus le contenu qui gère le trafic mais sa distribution. La vie d’un contenu ne s’arrête pas à sa publication. ▪ OUREACH IS QUEEN Le but aujourd’hui est de trouver de nouvelles voies de diffusion en se servant des différentes statistiques d’audience mises à disposition par des outils comme Facebook Audience par exemple. L’identification de l’audience et des sujets qui le préoccupent est le futur du contenu. La clé est désormais dans la compréhension de sa cible : Qui est-elle ? Que veut-elle ? Où est-elle ? 25
WIL REYNOLDS 10 STEPS TO MAKE POWER BI HELP YOU BUST SILOS IN SEARCH AND WITH THE C-SUITE PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/wilreynolds/powerbi-for-search-marketers-seo-ppc-analytics RÉSUMÉ : Cette présentation vise à montrer 10 façons d’utiliser l’outil Power BI de Microsoft pour reporter à sa hiérarchie l’apport du search et le volume d’affaires généré sur votre site. 26
WIL REYNOLDS 10 STEPS TO MAKE POWER BI HELP YOU BUST SILOS IN SEARCH AND WITH THE C-SUITE ENSEIGNEMENTS : ▪ POWER BI POUR EVALUER LA RENTABILITE DE VOTRE PLAN D’ACTIONS L’intérêt de Power BI réside dans sa faculté à ROIser l’ensemble de vos actions. L’outil permet ainsi de voir de manière très visuelle l’intérêt pécunier de chaque levier search (quelle demande pour quel mot-clé pour quel taux de clic). La volonté est d’avoir un tableau de bord globale qui croise plusieurs sources de données afin d’avoir une vue 360 pour piloter au mieux ses leviers search. Wil Reynolds recommande la lecture du livre « The 4 disciplines of execution » de Sean Covery. ▪ LE RETOUR SUR INVESTISSEMENT TROP PEU ABORDE PAR LE SEO Selon Wil Reynolds, les budgets et la rentabilité de ces budgets ne sont que trop peu abordés par consultants et chefs de projet SEO alors qu’il s’agit pourtant du nerf de la guerre et des meilleurs arguments. A contrario, les référents SEA se sont très bien appropriés ces sujets afin de justifier chaque levier. La rentabilité des actions devraient être au cœur de chacun des chantiers SEO. C’est ce rapport coût / revenu qui jugera de l’intérêt à mener les actions. 27
WIL REYNOLDS 10 STEPS TO MAKE POWER BI HELP YOU BUST SILOS IN SEARCH AND WITH THE C-SUITE ENSEIGNEMENTS : ▪ QUELLE METHODOLOGIE POUR QUELLE MESURE DE RENTABILITE ? L’étude mot-clé est le meilleur biais pour prioriser les chantiers SEO. Il trouve que la méthodologie ci-dessous traditionnelle a ses limites : ▪ Prendre des informations auprès du client, ▪ Passer le vocabulaire du client dans un outil de mot-clé (Google Keyword Planner ou SEMrush), ▪ Appliquer des données de CTR provenant d’études globales, ▪ Prioriser le travail sur les mots-clés, ou pivots qui ont le plus de potentiel. Pour améliorer cette méthodologie, il propose de faire un mix SEA / SEO. Afin de piloter les chantiers, il récupère les données de conversions provenant des campagnes Adwords, notamment le CTR, le taux de conversion et le CA, afin de définir quels sont les pivots qui doivent être travaillés en priorité. Pour illustrer les données, il utilise Power BI de Microsoft, qui propose des vues sous forme de graphiques. Cela lui permet d’être beaucoup plus convaincant auprès des décideurs en se basant sur la rentabilité de chaque action. 28
WIL REYNOLDS 10 STEPS TO MAKE POWER BI HELP YOU BUST SILOS IN SEARCH AND WITH THE C-SUITE ENSEIGNEMENTS : En conséquence, voici la méthodologie qu’il propose : ▪ Etape 1 : exporter la liste de toutes les URL de destination depuis Google Analytics ; ▪ Etape 2 : exporter la liste des mots-clés recherchés (pas ciblés) depuis Adwords, ainsi que les URL de destination ; ▪ Etape 3 : ajouter la position en SEO sur Google (afin de ne pas travailler inutilement) ; ▪ Etape 4 : mettre en relation les mots-clés saisis par les internautes, les données de conversion, les données de recherche ainsi que les URL dans Power BI. Cela permet d’avoir une vue globale sur les mots-clés, mais également les groupes d’annonces SEA qui ont VRAIMENT le plus de potentiel. 29
ZEE HOFFMANN JONES THE SEO CASE FOR COMPETITIVE ANALYSES PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-zee-hoffman-jones-a-competitive-analysis-that-saved- 337000 RÉSUMÉ : Le benchmark est une étape inévitable dans la stratégie SEO à définir. Il est utile pour savoir comment se démarquer de la concurrence, pour connaître leurs leviers marketing et voir comment ils répondent aux besoins exprimés par les internautes. Cette présentation démontre comment Distilled effectue ses propres analyses concurrentielles. 30
ZEE HOFFMANN JONES THE SEO CASE FOR COMPETITIVE ANALYSES ENSEIGNEMENTS : Dès lors que l’on se prépare à réaliser une action d’envergure, le benchmark SEO devient indispensable afin de prendre conscience de l’ampleur de la tâche en comparant l’état de son propre site face à la concurrence. Cependant le benchmark ne doit pas simplement faire état du diagnostic mais doit également déjà donner les pistes de travail. Le benchmark doit s’attacher à analyser : ▪ LA TECHNIQUE : L’arborescence est-elle optimisée ? Les pages principales bénéficient-elles d’un bon maillage interne ? Ces pages sont-elles bien structurées Le contenu présent répond-il aux contraintes techniques ? ▪ LE CONTENU : Le contenu est-il optimisé ? Le maillage est-il effectué depuis le contenu ? Les contenus informationnels et transactionnels sont-ils appropriés ? Le contenu est-il de qualité ? Les contenus multimedia sont-ils bien optimisés ? 31
ZEE HOFFMANN JONES THE SEO CASE FOR COMPETITIVE ANALYSES ▪ LE LINKING : Les pages bénéficient-elles d’un bon maillage externe ? Les liens sont-ils autoritaires ? Les liens sont-ils présents sur des pages de contenu ? Les liens proviennent-ils de pages autoritaires ? ▪ LA CONVERSION : Les pages proposent-elles des Call to Action adaptées ? Les Call to Action sont-ils adaptées au parcours de l’internaute ? Les Call to Action sont-ils adaptées aux recherches des internautes ? Existe-t-il un lien clair entre conversion et revenu ? RESSOURCES : ▪ https://moz.com/blog/competitive-analysis ▪ https://docs.google.com/spreadsheets/d/1o_Z3udq3qbdh4eRaW0juUepqUUBg9kNK2IjT4t_iLBo/edit#gid=0 32
KIRSTY HULSE THE CAMPAIGN FLOP: WHAT TO DO WHEN YOUR CONTENT FAILS PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-kirsty-hulse-the-campaign-flop-what-to-do-when- your-content-fails RÉSUMÉ : Certains contenus marchent et d’autres non. Cette présentation vise à vous donner quelques conseils afin que les contenus que vous créer marchent auprès des médias et influenceurs visés. Elle vous donnera également des conseils sur comment réagir à la suite d’un contenu n’ayant pas rencontré le succès escompté. 33
KIRSTY HULSE THE CAMPAIGN FLOP: WHAT TO DO WHEN YOUR CONTENT FAILS ENSEIGNEMENTS : ▪ L’ACQUISITION DE LIENS PASSE PAR LES RP Bien que l’un des objectifs soient l’acquisition de lien, il ne s’agit pas du cœur du sujet. Le cœur du problème est le sujet à proposer aux journalistes. C’est en fonction de celui-ci que l’on parviendra à acquérir des liens. Le succès d’une action repose sur information : ▪ Forte ▪ Fraîche ▪ Exclusive ▪ Bien présentée Sans ces atouts, votre contenu ne sera pas relayé et les liens ne seront pas acquis. Les backlinks ne sont ainsi pas l’objectif principal mais un objectif annexe. Il faut garder à l’esprit OGSM lorsqu’on travaille les RP : Objectives, Goal, Strategy & Measurement. 34
SAMUEL SCOTT THE DAY AFTER TOMORROW: WHEN ADBLOCKERS STOP ALL ANALYTICS PLATFORMS PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/samuelscott/the-day-after-tomorrow-when-ad-blockers-stop-all-analytics-platforms-80871890 RÉSUMÉ : Les Ad blockers n’ont pénalisent non seulement les publicitaires mais aussi bien d’autres sites qui se voient ainsi amputés d’un volume toujours plus croissant de données Analytics. Samuel Scott propose d’aborder les raisons qui permettent l’adoption toujours plus croissante des ad blockerse et propose des actions à mettre en œuvre afin de dépasser ce problème. 35
SAMUEL SCOTT THE DAY AFTER TOMORROW: WHEN ADBLOCKERS STOP ALL ANALYTICS PLATFORMS ENSEIGNEMENTS : ▪ 63% DES MILLENIALS DISPOSE D’UN AD BLOCKER Les internautes sont de plus en plus nombreux à adopter les ads blockers. Les publicitaires s’adaptent en conséquence pour continuer à toucher les internautes via le retargeting. Cependant, le recours croissant au retargeting encourage les internautes à installer des ads blockers. Les publicitaires alimentent donc un cercle vicieux qui mènera à la perte de la publicité en ligne telle que nous la connaissons aujourd’hui. Les différentes forment de publicités sur le web sont vécus comment autant de pollution par les internautes. Aujourd’hui, 63% des Millenials dispose d’un ad blocker. Les ad blockers bloquent également certains scripts de tracking sur les réseaux sociaux et Google Analytics. On estime dans le monde qu’environ 220 millions de personnes bloquent le tracking via leur ad blocker ce qui fausse les données de trafic récoltées. En parallèle, les VPN faussent également les données de trafic. Au Royaume-Uni, on estime que 16% des données de trafic sont biaisés à cause des VPN. ▪ MIEUX RECOLTER LA DATA POUR MIEUX L’UTILISER Le 25 mai 2018 entre en vigueur le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) qui cadrera la récolte de données personnelles. Cette récolte devra être approuvée par les internautes via un formulaire. Le site ne pourra pas bloqué la navigation en cas de refus. Aujourd’hui seulement 5% des utilisateurs acceptent le tracking lorsqu’il est proposé. La data se fera de plus en plus rare. Il faudra parvenir à la récolter autrement et à mieux l’interpréter afin de mettre en place des actions ciblées et qualitatives. 36
JUSTIN BRIGGS THE WHY AND HOW OF CREATING VIDEO CONTENT FOR SEARCH PRÉSENTATION : https://www.slideshare.net/DistilledSEO/searchlove-london-2017-justin-briggs-the-why-and-how-of-creating-video- content-for-search RÉSUMÉ : Cette session vise à vous apprendre es astuces pour produire vous-même des vidéos qui serviront votre stratégie webmarketing. La présentation abordera donc l’algorithme de Youtube et l’ensemble des techniques qui vous permettront de produire vos vidéos tout en les référençant efficacement à moindre coût. 37
JUSTIN BRIGGS THE WHY AND HOW OF CREATING VIDEO CONTENT FOR SEARCH ENSEIGNEMENTS : ▪ QUELLE OPTIMISATION POUR LES VIDEOS DANS LA SERP ? La session commence par un cas pratique. Justin Briggs nous montre les résultats de recherche sur la requête « how to paint a room ». Cette page de résultat ne montre qu’un seul résultat naturel avec une vignette vidéo. Toutefois, 9 résultats naturel sur 10 contiennent une vidéo dans la page proposée sur le moteur de recherche. Google détecte les vidéos contenues dans les pages mais ne les affiche pas systématiquement. Le travail du référent SEO sur ce point est donc de pouvoir identifier les critères qui permettent de propulser les vidéos directement dans les résultats de recherche. Cependant, ces critères sont assez méconnus voir inconnus car Google ne communique pas sur ces points… 38
JUSTIN BRIGGS THE WHY AND HOW OF CREATING VIDEO CONTENT FOR SEARCH ▪ L’INTENTION ET LA QUALITE GAGES DE REFERENCEMENT Les pages avec une vidéo ressortent d’ailleurs dans l’onglet “vidéos” de Google, cette fois-ci avec la vignette : Il y a selon lui, 2 conditions pour apparaître avec une vignette dans les résultats Web : ▪ L’intention de la recherche doit suggérer une vidéo ; ▪ Le contenu de la vidéo doit être suffisamment bon pour être proposé en vignette. 39
JUSTIN BRIGGS THE WHY AND HOW OF CREATING VIDEO CONTENT FOR SEARCH ENSEIGNEMENTS : ▪ QUELQUES ASTUCES Selon Justin Briggs, certaines recherches ont tendance à présenter des résultats vidéos avec des vignettes. C’est notamment le cas de recherches de type tutoriels – « how to » - ainsi que les recherches d’avis. Pour identifier les mots-clés sur lesquels il est possible d’obtenir une vignette, il suffit de se servir de Semrush et d’exporter les mots-clés sur lesquels Youtube est positionné en 1er. Il est également possible de passer le site Youtube.com dans Semrush et d’exporter les mots-clés sur lesquels Youtube est positionné à plusieurs reprises. Les résultats de recherche sur ces mots-clés ont de fortes chances de proposer des résultats vidéo. Pour analyser la concurrence sur le référencement des vidéos, il est possible d’extraire les liens faits par les concurrents vers le site Youtube. Ensuite, à l’aide de Screaming Frog et de XPath, il faut récupérer le nom de la vidéo, les mots-clés et voir si ces mots-clés sont recherchés dans Google. Aussi l’outil YTCockpit permet d’obtenir des informations sur le volume de vues d’une vidéo. 40
JUSTIN BRIGGS THE WHY AND HOW OF CREATING VIDEO CONTENT FOR SEARCH ENSEIGNEMENTS : L’algorithme Youtube est assez simple. Il obéit à « l’exact match ». Pour ressortir sur une requête, il suffit d’utiliser le mot-clé. Il n’y a pas encore de rapprochement sémantique opéré comme sur le moteur de recherche. Afin de maximiser les résultats, il faut donc segmenter les contenus, afin de répondre à un maximum de demandes. Ainsi une question / un mot-clé = une vidéo. Si l’on reprend l’exemple cité précédemment – « how to paint a room » -, Justin Briggs recommande de traiter plusieurs sujets. Ainsi : ▪ Comment nettoyer le pinceau? ▪ Comment utiliser le rouleau ? ▪ Etc. Aussi, Youtube semble renvoyer de plus en plus les internautes vers un moment précis d’une vidéo (pas forcément au début), mais plutôt vers le moment précis qui répond à la demande de l’internaute. 41
JUSTIN BRIGGS THE WHY AND HOW OF CREATING VIDEO CONTENT FOR SEARCH ▪ 22 CONSEILS POUR REALISER DES VIDEOS QUI REPONDENT AUX REQUETES : - La somme du temps de vidéo regardé est l’indicateur le plus important. Voici le calcul : impressions x CTR x rétention x durée. Il faut donc travailler chacun de ces facteurs (impressions, CTR, rétention sur la vidéo & durée). - Il faut optimiser la somme de temps passé. Cet indicateur est calculé par mot-clé, l’objectif est donc de conserver l’internaute le plus longtemps sur sa vidéo. - Utiliser YTCockpit pour benchmarker les résultats de recherche de Youtube : il donne tous les indicateurs des 10 vidéos positionnées dans le top 10. - Tubebuddy est une extension Chrome qui permet de comparer sa vidéo avec les autres vidéos positionnées. - Obtenir un featured snippet avec une vidéo : pour être affiché en featured snippet avec une vidéo, il faut absolument soigner le titre et la description de la vidéo, notamment intégrer la question dans ces deux zones, mais également la réponse de manière rédigée dans la description. - Il ne faut pas être trop générique avec les mots-clés utilisés lors de l’upload de la vidéo Youtube. Plus ils sont générique, moins c’est utile. - Il est possible d’utiliser des playlists Youtube pour cibler certains mots-clés. Celles-ci se positionnent plutôt bien. 42
JUSTIN BRIGGS THE WHY AND HOW OF CREATING VIDEO CONTENT FOR SEARCH - Inspirez-vous des vidéos suggérées pour créer de nouvelles vidéos et donc conserver les internautes sur ces vidéos. L’objectif est de se placer dans les vidéos suggérées, afin de maximiser le nombre de vidéos vues. Afin d’améliorer son positionnement dans les vidéos suggérées, utilisez les mêmes tags dans les vidéos publiées. - Utilisez TubeBuddy pour automatiser l’ajout de tags et de liens dans les vidéos. - Afin de conserver les internautes sur vos vidéos, n’hésitez pas à identifier à quel moment la plupart des internautes quittent vos vidéos et placez un lien vignette à ce moment-là, pour ne pas perdre le visiteur. - Afin de fidéliser les internautes et rendre le phénomène de cowatch naturel, c’est à dire pour que l’internaute revienne par lui- même, créer des séries de vidéos, comme les WhiteBoard Friday. N’oubliez pas de grouper vos vidéos par thème pour le cowatch. - N’hésitez pas à vous servir de l’espace proposé dans la description d’une vidéo pour placer des liens HTML vers vos autres vidéos (« A voir aussi »). - Les vignettes de vidéo sont très importantes, elles améliorent de manière significative le taux de clic lorsqu’elles sont soignées - Les vidéos doivent être dynamiques, au début de la vidéo, n’ennuyez pas le visiteur avec de longues présentations sur vous- mêmes, introduisez le sujet. Faites comme s’ils vous connaissaient déjà. - Utilisez vos succès SEO déjà acquis : le nombre de vues pour une vidéo « embedded » est tout aussi important que les vues sur Youtube. Profitez de vos pages à fort trafic pour développer le nombre de vues sur vos vidéos. - Youtube utilise des indicateurs de linking externe vers ses vidéos pour promouvoir les vidéos en tendance. Il peut donc être intéressant de faire des liens vers vos URL Youtube. 43
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