ZSPOT - apparences - Péruwelz
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SPOT L’info des jeunes N°14-JANVIER19 Péruwelziens Z Maga ine e là d e s Au-D e n c e s app a r Édito 02 Annonce 02 Dans la peau d’un reporter 03 Échappée belle 04 Coup de gueule 06 Jolies petites histoires… 08 À dormir debout 09 Histoires vécues 10 Sors tes couverts 12
Bo nne Édito no uvelle Ton Spot Mag. est de retour après une période que l’on pourrait qualifiée d’hibernation inopinée... Au programme de ce numéro tant attendu : entre autres un retour d’expérience sur l’exposition consacrée à Niki de Saint Phalle au BAM (Musée des Beaux-Arts) à Mons. L’artiste décomplexée est surtout connue pour ses Nanas, des sculptures de femmes colorées aux formes généreuses qui incarnent, à ses yeux, la féminité par excellence. On est loin des diktats de la mode qui nous imposent des brindilles filiformes. Et pourtant, dans ce monde, sensations éprouvées par d’aucuns, les préjugés ont la peau dure... et ce, qu’ils concernent la physionomie ou l’identité culturelle et collective. Voir au-delà des apparences, rencontrer l’autre, se forger une opinion neutre et toute personnelle, défendre ses idées, les exprimer et prendre la plume au travers de Ton magazine, Annonce ! c’est une façon d’exister et de s’affirmer. Bienvenue au sein de notre équipe ! L’équipe du Spot Mag. Tu souhaites toi aussi devenir reporter comme Amandine (Cfr. p3) ? Contacte-nous dès à présent, par mail, à spotmagazine@peruwelz.be ou, par téléphone, au 069 77 96 31. Nous La « première » recherchons des étudiants SPOT MAG. N°14 - Janvier 2019 Converse All Star MAGAZINE D’INFOS DE LA VILLE DE PÉRUWELZ passionnés, férus d’images, de 1917. Éditeur responsable : rédacteurs en herbe, Collège communal, 35 rue Albert Ier à 7600 Péruwelz photographes amateurs, Coordination : Service prévention - sécurité : dessinateurs et/ou illustrateurs Tél. 069 77 96 31 talentueux, qui ont le souhait de E-mail : spotmagazine@peruwelz.be s’exprimer librement et à leur Mise en page - graphisme - impression : manière sur la vie de leur école Bruno Bosilo - 7608 Wiers – www.bosilo.net et de leur commune. Ont participé à la réalisation du présent numéro : A. Bachy, P. Bekaert, F. Carlier, D. Damme, F. Debliquy, 02 S. Deghilage, C. Homerin, B. Schils, V. Palermo.
Dans la peau d’un reporter À la suite de notre annonce (Cfr. p2) « Deviens reporter, illustrateur ou photographe pour le Spot Mag ! » diffusée l’année dernière dans ton école, Amandine, étudiante à l’Institut Saint-Charles, nous a contactés… Puis, elle a rejoint notre équipe, en novembre dernier. Qu’est-ce qui l’a poussée ? Quelle mouche l’a donc piquée ? Lisez plutôt… Sp ot sur Am an dine Bonjour à tous ! Je m’appelle Amandine, nouvelle reporter pour le Spot Magazine ! Âgée de 16 ans, je suis étudiante en 3ème année, en option « services sociaux », à l’Institut Saint-Charles. Ecouter de la musique, lire des mangas, pratiquer le MMA Amandine Bachy. (sport de combat) font partie de mes hobbies. Je me suis lancée dans l’aventure du Spot Mag tout simplement parce que j’aime discuter sur Internet et faire de nouvelles rencontres. En outre, je dessine, j’adore prendre des photos et m’exprimer au travers de la peinture. Ci-joint, deux de mes réalisations sur toile ! Dans le cadre du Spot Mag, je serai peut-être amenée à vous interviewer… N’hésitez, dès lors, pas à venir vers moi pour me parler de choses et d’autres ! À bientôt ! Amandine Bachy, Reporter 03
Echappée belle N ik i de S a in t P h a lle o u le s N a n a s au p o u v o ir Les élèves de l’option littéraire de l’Athénée royal ont eu la chance de se rendre au BAM (Musée des Beaux-Arts) à Mons pour découvrir l’exposition sur Niki de Saint Phalle. Présentons cette femme sans limites qui gagne à être connue. Niki de Saint Phalle est née en 1930 en France et elle est décédée en 2002 en Californie. C’est une artiste dite « touche à tout » : elle peint, elle sculpte en plus d’être plasticienne. Elle est la première femme ayant réussi à s’imposer dans un domaine exclusivement réservé aux hommes. Son art déborde de sentiments complexes issus de son enfance, de recherche de liberté face aux freins de la société. Elle souhaite par-dessus tout l’égalité des sexes. Comme vous l’aurez compris, c’est une féministe acharnée et, pour montrer au monde son combat, elle a créé les Nanas. Ses sculptures de femmes volumineuses et très colorées sont réalisées en plâtre, papier mâché et avec de la résine polyester pour les plus grandes. Elles servent à contrer les diktats de la mode et représentent la femme qui reprend sa place dans la société en se battant pour ses convictions. En conclusion, les Nanas de Saint Phalle représentent la féminité qui s’impose dans un monde dominé par les hommes. Niki n’aura de cesse de prouver que la femme est l’égale de l’homme. Niki a souvent lutté contre le racisme, c’est pour cela que Floria Doyen, Jade Leleux et Isaaura Olivier, élèves en 4ème année à l’Athénée royal certaines Nanas sont de couleur. Nana moyenne danseuse 04 © Niki Charitable Art Foundation
L’art a aidé Niki à surmonter toutes les épreuves qu’elle a subies au cours de sa vie. Cela m’a rappelé que le combat pour l’égalité homme/femme est assez récent. Les femmes ne sont libres que depuis peu et nous avons la chance de vivre dans une société qui reconnaît les droits de la femme. Bien que le combat ne soit pas fini, les femmes d’hier, comme Niki de Saint Phalle, nous ont aidées à acquérir des droits, certaines libertés et surtout, à affirmer que nous avions les mêmes droits que les hommes. Léa, en 5ème année à l’Athénée royal Les Nanas colorées, dynamiques, charnues et sensuelles telles des déesses de la fertilité apportent de la joie à une œuvre parfois sombre et violente. Niki de Saint Phalle au Stedelijk Museum Amsterdam, en 1967 © Jack de Nijs / Anefo Niki de Saint Phalle. Les Trois Graces, 1994 © 2017 Niki Charitable Art Foundation, All rights reserved. Photo: unknown 05
Coup de gueule En décembre dernier, les journaux français titraient à la suite du couronnement de la nouvelle Miss, « De monstre à Miss France ». En surpoids durant son enfance au point d’être qualifiée de « monstre », Vaimalama Chaves, alias Miss Tahiti, est devenue Miss France 2019. Une belle revanche sur la vie… © François Lo Presti AFP or Licensors Aujourd’hui, la grossophobie représente une cause des plus actuelles, de vue, l’importante vague de féminisme déferlant sur l’entièreté des car son appellation est entrée dans la liste des nouveaux mots moyens médiatiques depuis quelques années a encouragé la population apparaissant dans l’édition du dictionnaire Le Petit Robert 2019. Durant en surpoids à dénoncer ce qu’elle subit depuis (bien) trop longtemps. ces derniers mois, différents sites internet, vidéos YouTube ou autres articles Iournalistiques ont également révélé de nombreux témoignages Premièrement, la grossophobie est définie comme de l’hostilité envers de personnes obèses ayant subi des discriminations. De mon point les personnes grosses ou obèses qui repose sur des préjugés selon 06
La p h o b ie d e s r o n d e u r s lesquels les personnes grosses le sont parce qu’elles le veulent bien. Elle du coin. Lorsque l’on passe au-dessus de ces idées reçues, nous pouvons se manifeste par des comportements stigmatisants et discriminants à découvrir qu’un surpoids a une infinité de raisons possibles : manque l’égard des personnes en surpoids. Le racisme, quant à lui, est caractérisé de sommeil, choc émotionnel, troubles alimentaires (anorexie/boulimie), par de la discrimination, de l’hostilité violente envers un groupe humain. dérèglements hormonaux, génétiques… Je m’autorise ce parallèle, car dans notre société actuelle, nous éprouvons de la difficulté à utiliser le mot « noir » lorsque nous parlons d’une Troisièmement, le mode de pensée des jeunes mais aussi des adultes personne d’origine africaine, par exemple. Nous préférons employer des est complétement à revoir sur ce sujet. Une personne obèse subit de mots tels que « couleur chocolat » ou « black », comme si le simple fait nombreuses discriminations : harcèlement de rue, urbanisme inadapté, d’utiliser le mot « noir » avait une connotation péjorative. Avez-vous impossibilité de trouver des vêtements adaptés, rejet dans les transports déjà remarqué que la situation était similaire avec le mot « gros(se) » ? en commun ou encore les parcs d’attraction, etc. L’exemple qui me parait Nous cherchons des mots similaires, mais qui sonnent plus valorisants : le plus affligeant est le rejet de quelqu’un en surpoids dans le monde « rond(e) », « pulpeuse » pour une femme ou encore « costaud » du travail. Passer un entretien d’embauche requiert tout le courage du pour un homme. Comment un simple adjectif ayant comme fonction monde et se trouve souvent être un échec, car ça ne convient pas à première la description neutre a pu se transformer en véritable injure ? l’image de la marque ou de l’industrie… Deuxièmement, j’ai été à la limite de l’obésité durant mon enfance et Enfin, rappelons-le : le terme « gros » n’est pas une injure ! La la première réaction de mes parents a été de m’encourager à maigrir, grossophobie est simplement un sujet particulièrement touchant, qui ne cherchant pas à comprendre les raisons qui me poussaient à manger mériterait davantage d’intérêt et de compréhension dans notre société davantage. Aujourd’hui encore, la majorité des adolescents de notre actuelle. âge se plaisent à penser que la seule raison possible à un surpoids est une alimentation trop riche et de quantité trop importante. Ils s’imaginent que cette partie de la population ne se nourrit que de chips et ne se lèvent de son canapé seulement pour aller au McDonald’s ou à la friterie Emma Vanderstraeten, en 5ème année à l’Athénée royal 07
Jolies petites histoires… La fée Al ix Dans le cadre de leur situation d’intégration de Noël, les élèves de 4ème année de l’enseignement professionnel de l’Institut Saint-Charles ont chacun écrit, à destination des élèves de 2ème et 3ème années de l’enseignement maternel, un conte sensoriel, personnel, inspiré d’albums pour enfants et issu du fruit de leur imagination. Julie Handequin, étudiante en 4ème année « Services Sociaux », nous conte l’histoire d’Alix, la fée qui découvre Noël… Alix était une petite fille de 10 ans qui n’était pas tout à fait comme les autres. C’était une fée dont le papa Palix était pirate et dont la maman Malix était fée. La petite fille vivait dans la forêt et adorait courir dans les bois. Mais un jour, tout devint différent… Alix découvrit par la fenêtre de sa maison ce qu’était la neige par un scintillant paysage blanc. Alors qu’Alix s’apprêtait à descendre les escaliers, elle sentit une délicieuse odeur de gâteaux qui se propageait depuis la cuisine. - C’est Papa Palix qui a fait de délicieux gâteaux ! s’exclama Alix. - Et oui petite Alix, sais-tu qu’aujourd’hui c’est Noël ? dit Maman Malix. ©pxhere - Oui, répondit la petite fille, mais je ne sais pas ce que c’est Noël. - Eh bien ! pourquoi ne pas le découvrir dehors ? s’exclama maman - Ouh ! Ah ! Ah ! Ouhah ! Malix. Ton cadeau est caché quelque part dans la forêt. Alix glissa, glissa, glissa sans pouvoir s’arrêter. Alix s’empressa alors - Au secours ! Hurla-t-elle. Je vais tomber à l’eau ! de se couvrir et de Mais, à sa grande surprise, l’eau était gelée. courir dans la forêt afin de chercher son Après s’être relevée, Alix vit plein de jolis bonshommes de neige. cadeau. - Waouh ! Que c’est beau ! Mais où est donc mon cadeau ? - Bouh ! Mais dis La fée décida alors de continuer sa route et vit au loin un magnifique donc c’est très froid sapin décoré de plein de couleurs différentes. En s’approchant, elle la neige ! Dit la petite aperçut de jolies boules de Noël en forme de fées et de pirates. fée. Et là… surprise ! En avançant pas à pas, celle-ci allait découvrir - Mon cadeau ! s’exclama la fée. des tas de choses… Elle décida alors de l’ouvrir et découvrit une baguette magique. Quand soudain… - J’adore Noël ! Finit-elle par dire. @ pixabay 08
À dormir debout S ac rée b e lle bête… À l’occasion des fêtes de fin d’année, Maria et Loïc, élèves en 3ème année à l’Institut Saint-Charles, ont revisité, à leur sauce et au goût du jour, le conte de la Belle et la Bête… Un soir, la Bête lui demanda si elle allait rester pour toujours avec lui. Mais elle lui dit qu’elle aimerait beaucoup revoir son père. Dans sa bonté, la Bête lui dit qu’elle pourrait le voir pendant huit jours et que quand elle voudrait rentrer, elle n’aurait qu’à déposer sa bague sur sa table de nuit. Mais si elle restait plus, la Bête en mourrait de chagrin. La Bête lui offrit une robe et elle partit vers son père. Lorsqu’elle arriva, son père fut si heureux qu’il appela les deux sœurs pour qu’elles viennent. Toutes deux étaient mariées mais tristes et voulurent jouer un tour à Belle pour qu’elle ©Pixabay reste plus que huit jours. La version « narcotique » de Loïc La version « Mickey Mouse » de Maria Elles lui demandèrent si elle était mariée, mais elle ne répondit pas. Le premier jour, les sœurs de Belle lui demandèrent si elle voulait sortir Le soir arriva, Belle se proposa pour faire le repas, mais les sœurs dans le village et faire les magasins. Elle accepta bien évidemment ; cela décidèrent qu’après ce temps passé sans son père, elle devait faire une faisait tellement longtemps qu’elle n’était plus sortie. sortie avec lui. Belle et son père partirent. Le deuxième jour, les sœurs de Belle préparèrent un coup pour que Gladys et Géraldine, ses sœurs, eurent l’idée d’empoisonner le repas Belle reste plus de huit jours. Les sœurs décidèrent que, pendant de leur gentille et magnifique sœur, en y mettant une plante magique 3 jours, ils iraient à Disneyland Paris avec leur père. Ils s’amusèrent afin de plonger Belle dans un profond sommeil. Du moins, assez long tous ensemble ; cela faisait tellement longtemps qu’elle ne s’était plus pour qu’elle ne revienne pas au bout de 8 jours. amusée. La belle avait déjà oublié la Bête qui l’attendait au château... Après une petite heure, Belle et son père rentrèrent à la maison et Le sixième jour, le père demanda si elle voulait aller faire les magasins. s’installèrent, avec les deux autres sœurs, devant ce fabuleux festin. Elle accepta de passer du temps avec son père. Les heures passèrent et Bien évidemment, elles n’avaient pas empoisonné tout le repas, mais les sœurs organisèrent un bal de 3 jours. Après être rentrées, les seulement celui qui se trouvait dans l’assiette de Belle. Elle se mit à filles dirent qu’elles avaient organisé un bal de 3 jours, le père accepta manger et s’écroula de sommeil. Seul son père était inquiet. si elles faisaient très attention à elles. Belle s’amusa, dansa, rit… Elle était tellement heureuse. Mais, après huit jours, Belle avait complètement Elle se réveilla 10 jours après et ses sœurs lui racontèrent tout leur plan. oublié de retourner au château. Loïc Maria Triste d’avoir laissé la Bête à son chagrin, Belle rentra au château et trouva la bête allongée sur le sol. Elle vint vers elle et lui avoua son amour pour elle, même si elle n’était pas belle à regarder et qu’elle n’avait pas beaucoup d’esprit. 09
Histoires vécues Ha lte au x préjugés Élèves en 4ème année à l’Athénée Au final, ce qui ne devait royal, nous nous sommes rendus à être, à nos yeux, qu’une Arrêt 59 pour visiter l’exposition simple visite d’exposition « MigrationS », organisée dans le s’est transformé en prise « Accueillons-les dans cadre de la thématique « Un autre de conscience et poussée nos maisons, plutôt que regard sur l’immigration », de l’artiste créative. Pour poursuivre dans nos prisons. » plasticien et enseignant en littérature, cette activité, nous avons Eddy Devolder. Pour l’artiste, les décidé de réaliser aussi migrations sont plurielles. Au travers des œuvres, à la façon de l’écriture et de la peinture, ce d’Eddy Devolder (mais dernier se nourrit de la rencontre avec sans prétention aucune) autrui pour évoquer le dépaysement, Œuvre de Solène, Louisa, afin de sensibiliser les la déterritorialisation, la rencontre Paloma, Laure et Charlotte autres élèves à la cause entre les cultures, la transmission… des réfugiés. Les élèves de 4ème année de l’Athénée royal 10
« Tous unis contre les « La Méditerranée préjugés qui touchent passée, nous pouvons les réfugiés. » vous aider. » Œuvre de Matteo, Œuvre de Vincent, Maxime, Cédric,Cyril et Samuël Sylvain et Quentin « Accélérons la « Pourquoi les rejeter régularisation alors qu’ils cherchent des réfugiés par la paix ! » humanité. » Œuvre de Loane, Hélène, Œuvre de Maëva, Arthur, Livia, Solène et Ophélia Leelou et Othilie « Au lieu de leur « Liberté, égalité, bloquer l’accès fraternité doivent et de détruire aussi s’appliquer des vies, autorisez- aux réfugiés ! » les à construire leur avenir ! » Œuvre de Sébastien Œuvre d’Arnaud, Erinne, et de Nicolas Antonin, Basile 11
Péruwelz JOBday – Salon de l’emploi Sors tes couverts Jeudi 14 mars, de 14h à 18h Tu cherches un job pour les vacances ? Alors, viens faire un tour au salon de l’emploi « Péruwelz JOBday ». Une partie du salon sera dédiée aux jobs étudiants avec de nombreuses offres d’emploi, de stages mais aussi des stands plus informatifs. Arrêt 59 - Programmation Plus d’infos prochainement sur www.peruwelz.be/jobday . LA FEMME MOUSTIQUE Jeudi 24 janvier 2018, à Arrêt 59, à 20h Un conte monstrueux et merveilleux, riche de symboles et sans jugement aucun. Prix : 9 € (7 € en prévente) © Arrêt59 MARC YSAYE : ROCK’N’ROLL Vendredi 15 février 2018, à Arrêt 59, à 20h Marc Ysaye, voix mythique de Classic 21, mais aussi fondateur du groupe culte Machiavel, vous emmène dans les loges, arrière-salles, coulisses et recoins sombres des @ Nathalie Barat plus grandes légendes de la musique. © Arrêt59 Prix : 9 € (7 € en prévente). SAMEDI SUPER FAMILLE ET SPECTACLE « MA TACHE » Plaines de vacances Samedi 23 février 2018, à Arrêt 59, dès 14h Spectacle « Ma tache » à 16h30 Deviens moniteur ou aide-mono ! Une après-midi ludique, créative et récréative autour des ombres et de l’imaginaire ! Durant les vacances scolaires (hiver, détente, printemps et automne), Tarif pour le samedi super famille : 7 € (5 € en prévente). le service Jeunesse de la Ville de Péruwelz recrute des moniteurs brevetés et aides-monos pour encadrer et animer des enfants âgés de 4 à 12 ans sur le site de l’école communale STAGE DE CARNAVAL du Centre. AUTOUR DE LA MARCHE DU CASSEU D’QUINQUETS Conditions d’engagement pour les aide-monos : avoir 16 ans accomplis le 1er jour de Du lundi 4 au vendredi 8 mars 2018. Prix : 60 € par semaine. la plaine. MARCHE DU CASSEU D’QUINQUETS Conditions d’engagement pour les moniteurs : Samedi 16 mars 2018 • avoir 18 ans accomplis le 1er jour de la plaine et être détenteur d’un brevet ou diplôme (horaire à définir) de moniteur reconnu par un organisme tel que Hainaut Culture et Tourisme, BAFA, CFA, SGP ou être porteur d’un diplôme assimilé (instituteur, éducateur, puériculteur…) ; Marche spectacle nocturne dans les sentiers et ruelles du péruwelzis. Prix : 3 €. • fournir un extrait de casier judiciaire (même pour les mineurs). Attention, validité de 3 mois maximum ; Infos complémentaires sur www.arret59.be, au 069 45 42 48 • transmettre une photocopie recto-verso de la carte d’identité pour les personnes ou par mail à contact@arret59.be étrangères ; © Arrêt59 • fournir une photo récente ; Maison de quartier – Calendrier congés de détente • remplir correctement et lisiblement l’acte de candidature. • Les actes de candidature pour les (aide-)moniteurs sont disponibles à l’accueil de l’administration communale et/ou téléchargeables sur ww.peruwelz.be/jeunesse. Animations et activités sportives, culturelles et ludiques pour les jeunes de 12 à 18 ans Infos complémentaires auprès d’Arnaud Demasy, au 069 59 04 88 ou 0496 27 01 62. La maison de quartier sera ouverte durant les congés de détente, du 4 au 8 mars 2019. Le programme détaillé des activités sera disponible en ligne sur www.peruwelz.be/mqr, « Spot Magazine PZ » début février. Infos et inscriptions sur www.peruwelz.be/mqr et auprès de Geoffrey Courtin, Animateur de quartier, au 0472 74 27 13 - 069 77 96 43 ou par mail à geoffrey.courtin@peruwelz.be C’est également une page Facebook ! « Like » sans modération... 12
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