2019-2020 Littérature - Linguistique - University of Toronto French Department
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Pourquoi faire des études supérieures à l’Université de Toronto ? ● UofT est une grande université de renommée internationale, riche en ressources, classée en tête des universités canadiennes. ● Elle possède la meilleure bibliothèque de recherche universitaire du Canada, qui se classe parmi les cinq premières en Amérique du Nord (Robarts). ● Le Département d’Études françaises compte plus de vingt professeur.e.s-chercheur.e.s habilité.e.s à encadrer des travaux de recherche. ● Plus de vingt cours de maîtrise-doctorat sont donnés chaque année en littérature (couvrant toutes les périodes) et linguistique françaises. ● Le Département compte plus de cinquante étudiant.e.s à la maîtrise et au doctorat et tient un colloque annuel organisé par les étudiant.e.s aux cycles supérieurs depuis 1991. ● Le Département offre un soutien financier garanti à la maîtrise et au doctorat et propose une formation et une expérience en enseignement à ses étudiant.e.s. ● Des admissions au doctorat en co-tutelle (Joint Educational Placement) sur la base d’une collaboration existante ou en développement entre certaines institutions et ses professeur.e.s sont possibles pour les étudiant.e.s canadien.ne.s ou ayant le statut de résident permanent au Canada. ● Toronto, au centre d’une région de 5 millions et demi d’habitants, est une des villes les plus multiculturelles au monde. Avec plus de 30 musées, deux opéras et deux orchestres symphoniques, une cinquantaine de théâtres et plus de 300 festivals, Toronto jouit d’une vie culturelle riche et variée. Plus de 70 000 francophones habitent la région de Toronto, ce qui lui insuffle une vie culturelle en français dynamique. Le Département d’Études françaises est au cœur de cette vie francophone. 2 ● Beaucoup de nos docteurs deviennent des professeur.e.s dans les universités canadiennes et étrangères. DÉCOUVREZ TOUS LES DÉTAILS PERTINENTS DANS LES PAGES QUI SUIVENT...
Intérêts de recherche des professeur.e.s Anne-Marie Brousseau: morphologie (théorie et inventaires) / Andreas Motsch : histoire des idées / littérature et autres savoirs créoles à base lexicale française (philosophie, anthropologie, etc.) / littérature de voyage James Cahill : théorie et histoire du cinéma français / surréalisme Juvénal Ndayiragije : théorie minimaliste / syntaxe et parasurréalisme Emmanuel Nikiema : théorie linguistique / phonologie / langues Sébastien Drouin : siècle des Lumières / libertinage / littérature romanes, africaines et créoles et histoire des idées Janet Paterson : altérité / postmodernisme / littérature migrante Charles Elkabas : théories du comique / réalisme et naturalisme / et québécoise didactique des langues Mihaela Pirvulescu : acquisition de la langue maternelle / Fatima Hamlaoui : théorie linguistique / structure bilinguisme / théorie linguistique (syntaxe et morphologie) informationnelle / interface syntaxe-phonologie / prosodie Yannick Portebois : histoire du livre / histoire de la langue Barbara Havercroft : écrits autobiographiques / écriture au française / XIXe siècle féminin / extrême contemporain Pascal Riendeau : éthique et littérature / roman de l’extrême Grégoire Holtz : littérature de voyage / humanisme et classicisme contemporain / théorie littéraire / histoire du livre Yves Roberge : théorie linguistique / syntaxe française et romane Laura Kastronic : sociolinguistique / variation linguistique et / français canadien / acquisition du français L1 changement linguistique / bilinguisme / contact des langues Jeffrey Steele : acquisition des langues secondes / phonologie Dorothea Kullmann : littératures romanes médiévales / épopée / expérimentale / évaluation langagière littérature vernaculaire et l’Église Alexie Tcheuyap : littératures et cinémas francophones / théories Roland Le Huenen : romantisme / littérature de voyage / Balzac postcoloniales / intertextualité / Chateaubriand / Sand Patrick Thériault : XIXe siècle / modernité poétique / Mallarmé / Julie LeBlanc : rapports texte/image / écriture autobiographique / théories et histoire de l’interprétation. littérature contemporaine 3 Marie-Paule Lory : didactique du français langue première / Vous pouvez obtenir plus de détails sur les publications de langue seconde et plurilinguisme nos professeur.e.s à la page http://www.french.utoronto. Pascal Michelucci : roman et poésie du XXe siècle / extrême ca/research/publications/professeurs contemporain
Spécialisations conjointes Trois spécialisations conjointes sont disponibles pour les étudiant.e.s inscrit.e.s à un programme de maîtrise ou de doctorat en littérature : Book History and Print Culture – Cette spécialisation interdisciplinaire porte sur les multiples aspects de la création, de la transmission et de la réception de la parole écrite. http://bookhistory.ischool.utoronto.ca/ Sexual Diversity Studies – Le Mark S. Bonham Centre for Sexual Diversity Studies propose une spécialisation mettant en valeur les études sur la diversité sexuelle dans le contexte d’études interdisciplinaires. Les participant.e.s à cette spécialisation s’intéressent aux questions entourant le genre, l’ethnicité, le statut aborigène, les déficiences et les classes afin de mieux mettre en relief l’importance des différences sexuelles. http://www.uc.utoronto.ca/sexualdiversity Women and Gender Studies – Cette spécialisation porte sur tous les sujets se rapportant aux études féministes. Elle offre un riche environnement interdisciplinaire où l’on étudie les questions de genre sexuel (gender), sexualité, ethnie, citoyenneté, colonialisme, etc. http://www.wgsi.utoronto.ca/ Ressources L’Université de Toronto jouit d’une excellente réputation internationale, entre autres pour la qualité de l’encadrement intellectuel qu’elle fournit à ses étudiant.e.s aux études supérieures. La revue Times Higher Education l’a tout récemment 4 classée en tête de toutes les universités au Canada et 19ème dans son prestigieux palmarès universitaire mondial en 2015-2016. Elle a également été nommée par le Newsweek College Rankings Report comme étant l’une des trois meilleures universités du monde (avec Oxford et Cambridge) à l’extérieur des États-Unis. Ses diplômes sont donc très reconnus sur le plan international. Le Département d’Études françaises possède une longue et riche histoire
( http://french.chass.utoronto.ca/dept-of-french/history/default.html ) et figure parmi les meilleurs départements d’études françaises du Canada, ayant formé un grand nombre de professeur.e.s en études françaises œuvrant aujourd’hui dans des universités canadiennes et étrangères. Nos étudiant.e.s aux études supérieures disposent de nombreuses ressources cruciales à leur formation, à leur recherche et à leur réussite. Ils ont accès au fonds très riche de la bibliothèque Robarts, un leader mondial dans le déploiement des outils numériques de recherche et de référence avec 8 millions d’ouvrages, dont plus d’un demi-million en français, 54 000 titres de revues et plus de 300 000 ressources électroniques. Ils peuvent aussi accéder à la bibliothèque Thomas Fisher de livres rares, la plus riche au Canada. Au sein du Département se trouvent plusieurs groupes et projets de recherche qui offrent à nos étudiant.e.s de nombreuses occasions stimulantes et fructueuses de collaboration (participation à des colloques internationaux, à des journées d’étude, aux publications, etc.). Certains de ces groupes collaborent régulièrement avec des centres de recherche en France et au Québec. Le Département accueille souvent des professeur.e.s renommé.e.s venant du Québec, de France et de plusieurs autres pays pour présenter des conférences, ce qui donne aux étudiant.e.s l’occasion de rencontrer des spécialistes dans leur domaine et d’échanger avec eux. Le Département publie aussi sa propre revue savante, Arborescences, à laquelle les étudiant.e.s aux études supérieures collaborent. Notre département entretient des liens intellectuels importants avec d’autres unités à l’Université de Toronto, tels le Centre de littérature comparée, le Centre d’études médievales, le Centre d’études sur la Réforme et la Renaissance et le Centre de recherche éducative en langues et littéracies de l’Institut d’études pédagogiques de l’Ontario. Comme il se doit, tout se passe en français au Département, offrant ainsi aux étudiant.e.s une ambiance et un encadrement chaleureux. Les étudiant.e.s participent aussi aux activités de la SESDEF (Société des Études Supérieures du Département d’Études Françaises), qui organise des activités d’orientation, des sorties culturelles, le forum de littérature et de linguistique, le colloque étudiant annuel et la publication des actes qui en sont issus. http://sesdef.sa.utoronto.ca 5
Programmes des cycles supérieurs Le Département d’Études françaises de l’Université de Toronto offre des programmes en études littéraires et en linguistique qui conduisent aux diplômes de Maîtrise ès Arts (M.A.) et de Doctorat (Ph.D.) en études françaises. Le programme de maîtrise est à la fois un programme en soi et la première étape vers les études de doctorat. Les objectifs du programme sont les suivants : a) permettre à l’étudiant.e de développer des connaissances approfondies de la discipline par le biais d’une série de cours en études littéraires ou en linguistique; b) développer leurs aptitudes à la recherche. Il s’agit d’un programme de 12 mois à temps plein, mais on peut aussi le faire à temps partiel. Pour certain.e.s étudiant.e.s, la maîtrise est le dernier diplôme de leur parcours universitaire; ce diplôme leur permet alors d’obtenir un meilleur salaire ou de pouvoir se faire embaucher dans la fonction publique et autres agences gouvernementales. Pour d’autres, elle constitue la préparation pour les études avancées et la recherche au niveau doctoral. Il existe trois combinaisons possibles à la maîtrise: (1) 4 cours complets*; (2) 3,5 cours complets plus un mémoire court d’environ 35 pages ; (3) 3 cours complets plus un mémoire d’environ 70 pages. Le choix est déterminé par les besoins universitaires de l’étudiant.e, en consultation avec la Directrice adjointe des études supérieures et Coordonnatrice des admissions et du soutien financier. Chaque étudiant.e en littérature doit suivre les trois demi-cours** obligatoires en études littéraires; chaque étudiant.e en linguistique suit les trois demi-cours obligatoires en linguistique. Il existe, pour certain.e.s étudiant.e.s à la maîtrise, une possibilité d’embauche comme assistant.e.s de recherche et d’enseignement. L’admission des étudiant.e.s se fait selon les règlements généraux de l’École des études supérieures (School of Graduate Studies) et selon les règlements départementaux suivants : ● une moyenne de B+ ou plus, avec une moyenne d’au moins B+ en français (une moyenne de B+ ne garantit toutefois pas l’admission au programme); une très bonne compétence en français; une concentration en littérature de langue française ou 6 en linguistique avec un minimum d’au moins 7 cours complets (ou l’équivalent) en français. Un minimum de 5 des 7 cours complets doivent être dans le champ d’études proposé (littérature ou linguistique). *Un cours complet ou « full-course equivalent » signifie un cours de deux trimestres. / **Un demi-cours signifie un cours d’un trimestre.
Le programme de doctorat vise à approfondir les connaissances des étudiant.e.s en littérature ou en linguistique et à développer davantage leurs aptitudes à la recherche. Ce programme sert surtout à préparer les candidat.e.s pour une carrière universitaire qui comprendra l’enseignement et la recherche au plus haut niveau dans des universités canadiennes et étrangères. Ces objectifs sont atteints grâce à une combinaison de cours, d’examens de synthèse, d’assistanats d’enseignement et de recherche et la rédaction d’une thèse. Au début du programme, chaque étudiant.e rencontre la Directrice adjointe des études supérieures et Coordonnatrice des admissions et du soutien financier pour recevoir des conseils concernant son choix de cours et ses intérêts de recherche, afin d’assurer l’équilibre et l’excellence de son parcours. Chaque étudiant.e de doctorat a l’occasion d’enseigner des cours au premier cycle, ce qui lui donne une expérience pédagogique précieuse. Le Département possède un système de programmes de formation rémunérés en enseignement universitaire auquel s’ajoutent des évaluations d’enseignement en salle de cours faites par des professeur.e.s expérimenté.e.s qui donnent des conseils et des commentaires utiles. NOTE: Des admissions au doctorat en co-tutelle (Joint Educational Placement) sont possibles sur la base d’une collaboration existante ou en développement entre certaines institutions et ses professeur.e.s. Il y a deux possibilités d’admission au programme de doctorat : après l’obtention d’un B.A. dans un domaine approprié (littérature / linguistique) avec des résultats scolaires exceptionnels, accordé par une université reconnue. Ce diplôme de premier cycle doit inclure au moins 7 cours complets («full-course equivalents») en langue et littérature ou linguistique françaises, avec une moyenne d’au moins A- dans le programme 7 d’études. L’admission est limitée aux candidat.e.s exceptionnel.le.s. après l’obtention d’une M.A. en littérature de langue française ou en linguistique avec d’excellents résultats universitaires, avec une moyenne d’au moins A- dans le programme d’études.
Projets de recherche en linguistique Projet Acquisition langue seconde : Développement du University of Toronto French Proficiency Test. Chercheur principal : Jeffrey Steele. Projet Bidirectional language interactions in trilingual acquisition (CRSH 2017-2022). Ce projet vise à analyser le développement linguistique des étudiants trilingues dans le système scolaire d`immersion française dans le but d`identifier les interactions entre les langues. Les domaines d`analyse portent sur la syntaxe, le lexique et la structure narrative. Chercheure principale : Mihaela Pirvulescu. Projet Improving French learners’ Writing through Corpus Work and Automatic Assessment (CRSH 2017-2019). Ce projet consiste à développer un corpus de textes écrits par des locuteurs natifs et non natifs du français. Ce corpus servira à entraîner un algorithme d’évaluation automatique qui, avec le corpus, sera employé pour aider les apprenants à améliorer leur français écrit. Chercheur principal : Jeffrey Steele. Groupe de lecture en linguistique et littérature Groupe de lecture d’ancien français (OFRG) : Dirigé par Dorothea Kullmann, ce groupe de lecture se réunit une fois par semaine pendant le semestre pour lire et traduire des textes entiers en ancien français, du début à la fin. Le groupe est 8 entièrement facultatif et ouvert à tous ceux et celles qui ont déjà suivi un cours d’ancien français et qui sont prêts à participer de façon active. Les nouveaux participants sont toujours les bienvenus !
Groupes de recherche en littérature Groupe de recherche et d’étude sur la littérature française d’aujourd’hui (GRELFA). Chercheurs : Barbara Havercroft, Pascal Michelucci, Pascal Riendeau. Pratique du cinéma documentaire en Afrique subsaharienne francophone. Chercheurs : Alexie Tcheuyap (Université de Toronto), Sada Niang (University of Victoria), Suzanne Crosta (McMaster University). Boko Haram, Media and the Security Discourse. Chercheur : Alexie Tcheuyap. Word and Image : A Cultural and Interdisciplinary Enquiry. Chercheurs : Julie LeBlanc et Roland Le Huenen. Groupe d’Étude sur l’Ancien Régime (GEAR). Chercheurs : Sébastien Drouin, Grégoire Holtz, Dorothea Kullmann, Andreas Motsch. 9
Événements récents Journée d’étude « Les Oulipiennes : genres, jeux, différences » - GRELFA, 31 mars 2017 Colloque international « Pratiques du documentaire en Afrique » - 19 janvier 2017 10
Journée d’étude « Médiation, promotion et effets publicitaires dans la littérature de la première modernité » - GEAR, 19 février 2016 Journée d’étude « Découvrir les interactions entre les médias visuels et verbaux - Uncovering Interactions between Visual and Verbal Media » - Word and Image: A Cultural and Interdisciplinary Enquiry, Northrop Frye Centre, Victoria College, 30 mars 2017 11
Revue électronique Arborescences Revue électronique du Département : Arborescences www.erudit.org/revue/arbo Codirection : Patrick Thériault et Anne-José Villeneuve Membres professeurs : Francis Langevin et Joëlle Papillon Membres étudiants : Eric Chevrette et Julie St-Laurent Secrétaire de la revue : Eric Chevrette Conception graphique : Daviel Lazure-Vieira Considérant que rien de ce qui touche la langue française ne lui est étranger, Arborescences se veut un espace de réflexion sur les enjeux actuels des études françaises aussi bien en littérature ou en linguistique qu’en didactique. Afin de contribuer à l’établissement et à la diffusion de nouveaux savoirs, la revue privilégie une perspective théorique et critique permettant d’explorer à chaque parution un domaine thématique. Fondée en 2010 et désireuse de dépasser les limites géographiques par l’utilisation de moyens de diffusion modernes, cette revue pluridisciplinaire vise à investir et à initier de nouvelles formes d’échanges intellectuels. 12 N’hésitez pas à consulter en ligne nos sept premiers numéros :
• No 1, mars 2011 : Identités linguistiques, langues identitaires : à la croisée du prescriptivisme et du patriotisme - sous la direction de Anne-Marie Brousseau • No 2, mai 2012 : La littérature de voyage - sous la direction de Grégoire Holtz et Vincent Masse • No 3, juillet 2013 : Lire le texte et son espace : outils, méthodes, études - sous la direction de Janet Paterson, Caroline Lebrec et Antje Ziethen • No 4, novembre 2014 : Le dispositif texte/image - sous la direction de Julie LeBlanc • No 5, juillet 2015 : Acquisition du français L2 - sous la direction de Jeffrey Steele et Mihaela Pirvulescu • No 6, août 2016 : Polyphonies : Voix et valeurs du discours - sous la direction de Francis Langevin et Raphaël Baroni • No 7, août 2017 : La norme orale en français laurentien - sous la direction d’Anne-José Villeneuve et de Marie- Hélène Côté 13
Des chiffres qui parlent ! L’Association canadienne pour les études supérieures (ACES) enquête régulièrement auprès des étudiant.e.s des cycles supérieurs afin de déterminer leur niveau de satisfaction et la qualité de leur expérience dans les programmes de maîtrise et de doctorat des universités canadiennes. Voici les résultats de l’enquête menée en 2016 auprès des étudiant.e.s des cycles supérieurs dans notre département : • 95% des étudiant.e.s inscrit.e.s évaluent la qualité intellectuelle des membres du corps professoral comme étant très bien ou excellente; • 94,7% des étudiant.e.s inscrit.e.s collaborent dans la recherche d’un.e ou plusieurs professeur.e.s du département; • 89,5% des étudiant.e.s inscrit.e.s présentent des communications ou par affiche aux conférences ayant lieu au Canada; • 78,9% des étudiant.e.s inscrit.e.s ont publié à titre d’auteur unique ou de premier auteur dans des revues avec arbitrage (un résultat nettement supérieur à la moyenne de 51,7% de UofT). 14
Témoignages « J’ai choisi le Département d’Études françaises de l’Université de Toronto en raison de son excellente réputation et pour l’expertise des professeur.e.s qui y enseignent. J’y ai trouvé un environnement très stimulant qui m’a permis de développer mon aptitude pour la recherche et qui m’a préparée d’une façon excellente pour une carrière universitaire. Les professeur.e.s qui m’ont entourée m’ont offert un encadrement irréprochable, ont fait preuve d’un intérêt sincère pour mon travail et mes idées, et m’ont donné plusieurs occasions de participer à leurs propres projets de recherche et de développer les miens. » Joëlle Papillon, PhD 2011, professeure adjointe en littérature francophone nord-américaine à l’Université McMaster. « Pendant les cinq années que j’ai passées au sein du Département d’Études françaises j’ai rencontré de grands amis et de merveilleux professeurs. Grâce à eux, mon doctorat a été rempli de bons moments, tant académiques que sociaux. Toronto est aussi une ville qui me convenait pour les études. Sa diversité et sa richesse déteignent beaucoup, je crois, sur la vie départementale qui est elle-même riche et très variée. Il y a quelque chose pour tout le monde. » Richard Spavin, PhD 2014, boursier postdoctoral, York University. « L’Université de Toronto a représenté pour moi l’ouverture au monde, le brassage des cultures, la rencontre des gens et des idées diverses. Le Département d’Études françaises a été, avec ses professeur.e.s, mes collègues et camarades de classe, le lieu où j’ai «grandi» non seulement professionnellement, mais aussi personnellement. Les activités culturelles, les rencontres intellectuelles, les ressources mises à ma (notre) disposition ont toutes contribué à faire de moi la personne que je suis maintenant. Ce sera toujours l’endroit qui me tiendra à cœur, où que je me trouve dans le monde. En outre, la ville de Toronto constitue pour moi la concrétisation du terme de transculturalité. Tout y est : de la culture populaire des matchs de hockey et de basketball au Air Canada Centre; des bars, restaurants 15 ethniques et cafés du centre-ville ou du Midtown que je fréquentais régulièrement; des festivals d’été en plein air jusqu’à l’hétéroglossie et la haute culture des musées et des salles de concerts. » Ramona Mielusel, PhD 2011, professeure adjointe, Département des Langues modernes, University of Louisianna at Lafayette.
Aide financière Chaque étudiant.e qui entame son Ph.D. bénéficie automatiquement d’un programme de soutien financier, sur une durée garantie de quatre ans et demi : les frais de scolarité sont couverts ; l’Université de Toronto accorde une bourse d’études; et une formation professionnelle rémunérée est comprise, sous la forme d’assistanats de recherche et d’enseignement. À compter de l’année académique 2018-2019, le soutien financier min. sera de 17 000 $ plus frais de scolarité par année lors des quatre premières années et à 8 500 $ plus frais de scolarité pour les six mois suivants. NOTE: Le ou la meilleur-e candidat-e (domestique) au doctorat peut se mériter la bourse FAST d’une valeur de 5 000 $ par année pendant les 4 premières années de son programme OU la bourse Jackman Junior Fellowship (JFF) d’une valeur de 15 000 $ la première année et de 5000 $ (top-up) pendant les 3 années suivantes (domestique ou visa). Ces bourses s’ajoutent au soutien financier minimum promis par le département. Chaque étudiant.e à temps plein qui commencera une Maîtrise en septembre 2018 bénéficiera automatiquement d’un soutien financier min. de 8 500 $ plus la moitié des frais de scolarité, dont une partie est une formation professionnelle rémunérée dans le cadre d’un assistanat de recherche ou d’enseignement. En plus du soutien garanti, tous les étudiant-e-s à la maîtrise et au doctorat peuvent aussi bénéficier des Bourses d’excellence que le Département attribue aux étudiant-e-s exceptionnel.le.s au moment de leur admission au doctorat et à la maîtrise. Par ailleurs, le Département organise tous les ans des ateliers de préparation aux demandes de bourses et aide les étudiant.e.s à constituer des demandes de financement auprès des organismes publics fédéraux comme la Bourse du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH / SSHRC), ou provinciaux comme la Bourse d’études supérieures de l’Ontario (BESO / OGS). Le taux de réussite de nos étudiant.e.s à ces concours est généralement supérieur à la moyenne nationale et un bon nombre des demandes déposées au Département sont fructueuses. 16 Enfin, les étudiant.e.s peuvent aussi bénéficier de nombreuses bourses offertes ou relayées par l’Université de Toronto. Le Département informe les étudiant.e.s et leur offre toute l’aide disponible pour que leurs demandes réussissent.
Formation professionnelle En plus de vous accompagner dans votre recherche et dans la préparation de votre thèse, le Département dispense une formation professionnelle en deux parties. D’une part, nos étudiant.e.s bénéficient d’une initiation à la recherche sous la forme d’un assistanat de recherche qui leur permet de collaborer avec des professeur.e.s dans le cadre de projets ponctuels ou de grande envergure. En fonction de leurs compétences et intérêts, les étudiant.e.s ont l’occasion de travailler à des projets tels que la transcription, l’édition de livres ou d’articles, la traduction, le dépouillement de documents, les recherches bibliographiques, les activités de diffusion et de promotion de la recherche, etc. D’autre part, nous proposons un programme rémunéré de formation à la pédagogie constitué d’une formation initiale et d’un assistanat d’enseignement encadré chaque année par des spécialistes qui vous permettra de formuler votre philosophie d’enseignement et de vous constituer un dossier d’enseignement substantiel au cours de l’obtention de votre doctorat. Cette formation comprend des séminaires pédagogiques liés à des situations en salle de classe, une mise en responsabilité progressive dans des cours de langue ou de littérature, ainsi qu’un accompagnement personnalisé pour vous soutenir dans vos fonctions d’instructeur. Ces assistanats font partie du soutien financier garanti et sont donc rémunérés. 17
Comment faire une demande d’admission pour 2019-2020 Les demandes d’admission au Département d’Études françaises se font à partir du site web des demandes d’admission en ligne de l’École des études supérieures (School of Graduate Studies) à l’adresse https://apply.sgs.utoronto.ca . Le Département d’Études françaises considérera votre demande d’admission une fois que tous vos renseignements personnels et universitaires auront été fournis en ligne, que les frais d’évaluation de dossier auront été payés et que les documents de confirmation auront été ajoutés au dossier en ligne. La date butoir pour la demande d’admission en ligne est le 15 janvier 2019, et celle pour les documents de confirmation est le 31 janvier 2019. Votre dossier devra inclure les documents suivants d’ici le 31 janvier 2019 afin d’être considéré par le Département : Pour la Maîtrise (M.A.) : 1) Une copie des relevés de notes officiels pour chacune des universités fréquentées; 2) Deux lettres de références universitaires; 3) Un échantillon d’un travail écrit de premier cycle en français soumis électroniquement; 4) Une lettre d’intention en français (maximum : 500 mots) spécifiant entre autres vos intérêts pour le programme de littérature ou de linguistique françaises et mentionnant si vous avez l’intention de poursuivre vos études au doctorat; et 5) Une copie de votre curriculum vitae à jour (en anglais et en français, si possible). 18
Pour le Doctorat (PhD) : 1) Une copie des relevés de notes officiels pour chacune des universités fréquentées; 2) Deux lettres de références universitaires; 3) Une copie de votre mémoire ou d’un chapitre d’un travail en français rédigé durant votre maîtrise; 4) Une lettre d’intention en français (maximum : 500 mots) décrivant le domaine de la littérature ou de la linguistique françaises dans lequel vous avez l’intention de poursuivre votre recherche; et 5) Une copie de votre curriculum à jour (en anglais et en français, si possible). Que ce soit pour une demande d’admission à la maîtrise ou au doctorat, nous nous ferons un plaisir de répondre à vos 19 questions si vous nous écrivez à l’adresse french.gradcounsellor@utoronto.ca . Dans l’espoir de pouvoir vous compter des nôtres, Le Comité des admissions, Département d’Études françaises, University of Toronto
Département d’Études françaises University of Toronto 50, rue St-Joseph, 2e étage Toronto (ON), Canada M5S 1J4 Téléphone : (416) 926-2307 Télécopieur : (416) 926-2328 french.gradcounsellor@utoronto.ca h osep St. J http://french.utoronto.ca sley Welle Graphisme et photos : André Tremblay
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