3e COTISANT : Marche forcée vers la diversification - Pensinvest - Edmond de Rothschild
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PROGRAMME Le programme 8h15 Message de bienvenue Gilbert Hellegouarch Responsable Clientèle institutionnelle Edmond de Rothschild Asset Management (Suisse) 8h30 Diversification : historique, enjeux et défis Thomas Cho Fondateur et Directeur Eigen Innovation SA et Eigen Financial SA Enseignement & Recherche HEC Lausanne et HEG Genève 9h00 Enjeux actuels et objectifs de diversification : réponses « alternatives » Jean-Paul Guyon Directeur, Fondation interprofessionnelle sanitaire de prévoyance (FISP) 9h30 Gestion diversifiée : l’exemple de la Caisse de pensions Migros Christoph Ryter Directeur, Caisse de pensions Migros 10h00 Pause 10h30 Introduction au débat Gilbert Hellegouarch 10h45 Immobilier : passer les frontières ? Débat animé par Emmanuel Garessus, éditorialiste au journal Le Temps, avec : Amine Hamdani, Head of Capital Markets, CBRE (Geneva) S.A., CBRE (Zurich) AG Pierre Jacquot, Head of Real Estate, Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. Alain Lapaire, Directeur, Retraites Populaires, Division immobilier Damian Tobler, Chief Financial Officer, AFIAA Christoph Zimmermann, Head of External Investments, Fonds de compensation AVS/AI/APG 12h00 Message de clôture Christian Lorenz Président du Comité exécutif de Edmond de Rothschild Asset Management (Suisse) Membre de la Fondation de Prévoyance Edmond de Rothschild 12h15 Cocktail déjeunatoire 14h00 Fin 3
4e SÉMINAIRE DE LA PRÉVOYANCE PROFESSIONNELLE LE BESOIN DE CONQUÊTE La prévoyance professionnelle est l’une des principales victimes collatérales de la politique de taux négatifs. Le troisième cotisant n’est plus au rendez-vous. Une baisse de moitié du rendement conduit au doublement du coût des retraites. Les caisses de pension partent à la conquête de nouvelles sources de rendement. L’attentisme n’est pas une stratégie. Il serait illusoire d’espérer une rapide normalisation des taux d’intérêt. La Réserve fédérale américaine devrait procéder à un relèvement progressif des taux directeurs et La Banque centrale européenne lui emboîter le pas. Mais le mouvement prendra du temps. Les investissements alternatifs n’ont pas tous répondu aux promesses de supplément de rendement. Les hedge funds en particulier continuent de décevoir les investisseurs qui s’y aventurent. Le gain de diversification n’est pas un atout suffisant. Le private equity a davantage contribué au rendement espéré. Mais il n’est pas aisé de distinguer les véhicules d’investissement les plus performants. La tentation d’investir dans l’immobilier étranger s’inscrit dans une quête logique de sources de rendement alternatives. Mais les caisses de pension suisses ne sont pas les premières à partir à la découverte des meilleurs objets immobiliers de Singapour, Stockholm ou Miami. Le savoir-faire nécessaire ne peut être acquis qu’en maintenant un strict contrôle des risques et en augmentant les coûts, sans être certain du rendement futur. L’abondance de liquidités déversées par les banques centrales produit des effets exceptionnels dans certaines régions, mais le rendement immobilier n’est de loin pas uniformément attractif. Comment trouver les perles d’un marché mondial de 28 200 milliards de dollars ? Londres a gagné 80 % depuis 2008, mais est-ce le moment d’acheter ? San Francisco commence-t-il vraiment à baisser et Houston à se reprendre ? Les investisseurs en quête d’exposition au risque immobilier international doivent également distinguer entre les nombreux instruments à disposition et prendre garde aux risques réglementaires ou fiscaux supplémentaires. L’amélioration du rendement est possible, comme le montre Keith Ambachtsheer dans The Future of Pension Management. L’absence de négoce et l’engagement de l’institution dans le processus d’investissement peuvent faire des miracles, à l’image du fonds de pension Ontario Teachers. Mais pour cela, il faut changer la gouvernance des caisses de pension. Un vaste défi. Emmanuel Garessus Éditorialiste, journal Le Temps 4
ÉDITO LE 3E COTISANT, UN CONTRIBUTEUR CLÉ POUR UN FINANCEMENT PÉRENNE DE NOS RETRAITES En Suisse, nous le savons bien, le financement des prestations vieillesse à la retraite repose sur la subtile combinaison entre un système de répartition au niveau de la prévoyance étatique et un système basé sur la capitalisation au niveau de la prévoyance professionnelle. Dans le cadre du régime obligatoire de la LPP, les cotisations des employeurs et celles des employés sont calculées sur le salaire assuré coordonné et rémunérées par un taux d’intérêt annuel permettant la constitution d’une épargne retraite minimale tout au long de la vie active. Pour autant que le minimum obligatoire LPP soit respecté, l’employeur bénéficie dans les faits d’un cadre réglementaire relativement souple qui lui permet de s’organiser avec beaucoup de flexibilité au niveau de l’objectif de prestations qu’il souhaite pour ses employés dans le cadre de la prévoyance professionnelle. Une forme en fait de compromis social, typiquement helvétique, permettant la perspective de prestations attractives à la retraite financées par un système de capitalisation performant basé sur trois cotisants. Personne ne devrait s’en plaindre, et pourtant… La distance que beaucoup de PME et d’entrepreneurs tendent à prendre avec la prévoyance professionnelle devient préoccupante. Depuis quelques années, certains employeurs ne veulent en effet plus assumer les mêmes niveaux de prestations pour qu’ils s’étaient pourtant engagés moralement à suivre, sous prétexte d’une charge financière liée à la prévoyance professionnelle devenue trop lourde dans le contexte économique actuel. Faiblesse du tiers cotisant, niveau élevé des primes de risque, participation financière accrue aux mesures d’assainissement, prise en compte dans les normes comptables internationales d’un engagement de prévoyance significatif, les raisons invoquées pour se détourner des promesses de prestations sont multiples, mais c’est bien en finalité la question du financement de ces dernières qui aujourd’hui cristallise les inquiétudes. Alors, comment maintenir les promesses de prestations qui ont été faites tout en renforçant leur financement devenu si fragile ? Une partie de la réponse se trouve sans doute au niveau des paramètres techniques de la LPP. Leur adaptation paraît désormais indispensable tout en sachant que la baisse des rentes est une voie délicate ; la votation de 2010 avec ses 72,7% de non à la baisse du taux de conversion n’est pas si lointaine… La réforme « Prévoyance 2020 » a le mérite de poser dans ces circonstances l’équation de base sur laquelle les acteurs du 1er et du 2e pilier vont devoir s’accorder, afin de la résoudre ensemble. Il n’en demeure pas moins que le principe stipulé dans l’article 113 de la Constitution fédérale portant sur le maintien, pour un assuré, de son niveau de vie antérieur à la retraite fait porter majoritairement à la prévoyance professionnelle — et par corollaire à son système de financement par la capitalisation — la responsabilité de la réussite de cet objectif. La constitution d’un avoir vieillesse obligatoire ou réglementaire combiné au principe des intérêts composés représente, de manière synthétique, la clé de voûte du financement par la capitalisation. Quelle que soit l’organisation de prévoyance adoptée par une entreprise, l’apport d’un tiers cotisant performant que représente le rendement de la fortune est déterminant pour la réussite du financement de l’objectif de prestations. Or, la faiblesse actuelle du taux d’intérêt minimal LPP, les espérances de rendement constamment revues à la baisse et les intérêts négatifs favorisent les opinions de ceux qui présagent non seulement la disparition de l’apport du tiers cotisant, mais également la fin du financement du 2e pilier par la capitalisation. En fin de compte pourtant, tout n’est qu’une question de patience et d’horizon à longue échéance. La caractéristique de long terme des engagements de prévoyance et celle des intérêts composés font, soulignons-le, généralement bon ménage : un capital d’épargne augmente sur le long terme de manière substantielle même en présence d’un intérêt relativement faible. Simple constat de mathématiques financières… L’adaptation des paramètres techniques est certes nécessaire et passe sans aucun doute par une baisse du taux de conversion des rentes ; mais le postulat que font certains de taux d’intérêt éternellement bas n’est pas non plus réaliste. Les cycles économiques peuvent être longs à se retourner et provoquer par conséquent un ralentissement de la contribution du tiers cotisant dans le système de la capitalisation, mais ceci ne signifie en en aucun cas sa disparition. Patience et confiance dans l’avenir sont les vertus cardinales de la prévoyance professionnelle ! Alexandre Michellod CAIA, Spécialiste de la prévoyance en faveur du personnel avec brevet fédéral Responsable du secteur prévoyance professionnelle, Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. 5
INTERVENANTS Les intervenants Thomas Cho Fondateur et Directeur Eigen Innovation SA et Eigen Financial SA Enseignement & Recherche HEC Lausanne et HEG Genève Docteur en probabilités de l’Université Pierre et de mathématiques et de finance dans différentes Marie Curie (Paris VI), Thomas Cho bénéficie d’une universités en Corée du Sud, en France et en Suisse. double expérience dans l’académie et la pratique Thomas Cho valorise à cœur le travail bien fait en matière de finance quantitative. Il a notamment et apprécie le temps de loisir pour la musique et été responsable de la recherche quantitative, la peinture ; il est en outre adepte de golf et de sa ingénierie financière et développement de produits culture « fairplay ». Thomas est né en 1959, a épousé au sein de Swiss Life Asset Management SA à Minjung et ils ont deux fils : Daniel (25 ans) et Zurich. Sa recherche académique porte sur des Damien (18 ans). sujets variés, tels que microstructure du marché, produits dérivés et gestions des risques, allocation Sa devise professionnelle est « big picture, yet d’actifs et optimisation du portefeuille et politique accurate ». monétaire. Il a également enseigné divers cours Emmanuel Garessus Éditorialiste Le Temps Né en 1957 dans le Jura, Emmanuel Garessus a Journaliste à l’Agefi à Zurich depuis 1983, il a été obtenu une maturité littéraire au Collège Saint- nommé rédacteur en chef du quotidien économique Charles à Porrentruy et une licence en économie en 1990, puis directeur de la rédaction en 2001. politique à l’université de Genève. Depuis 2005, il est correspondant du Temps à Zurich et éditorialiste. 7
4e SÉMINAIRE DE LA PRÉVOYANCE PROFESSIONNELLE Jean-Paul Guyon Directeur Fondation interprofessionnelle sanitaire de prévoyance (FISP) Jean-Paul Guyon travaille depuis 1990 dans le Il agit dans les domaines technico-financier et domaine des 2e et 3e piliers, dont 17 ans pour AXA à budgétaire, comme dans les relations avec les Lausanne et Winterthur. adhérents, afin de réunir les conditions optimales pour des prestations satisfaisant aux attentes Ses responsabilités (Directeur Vie, Actuaire spécifiques des employés et employeurs. responsable, Président de Fondation) impliquent connaissance intime des fondamentaux financiers À cet effet, il s’attache à doter l’institution des et compréhension systémique de dynamiques au meilleures pratiques, via une organisation évolutive confluent d’enjeux sociétaux et commerciaux. À intégrant les impératifs de gestion des risques et de l’heure de défis inédits pour la prévoyance, il choisit bonne gouvernance. de se mettre au service d’un Conseil de Fondation Diplômé en Actuariat (Institut de Science financière visionnaire, dans un modèle 2e pilier dédié aux et d’Assurances de Lyon, Association Suisse des assurés. Actuaires), ses activités lui ont permis d’enrichir Directeur de la FISP depuis 2007, il est chargé de son bagage par une formation financière auprès du définir et mettre en œuvre des solutions répondant Swiss Finance Institute à l’EPFL de Lausanne. à l’évolution des besoins 2e pilier des assurés, en optimisant les coûts d’opportunités inhérents à cette activité. Amine Hamdani Head of Capital Markets CBRE (Geneva) S.A., CBRE (Zurich) AG Amine Hamdani a débuté sa carrière dans le conseil Pendant ses années chez UBS, Amine Hamdani a en investissement immobilier auprès du cabinet conseillé des clients institutionnels et investisseurs d’audit PKF à Londres et Dubaï. Il a pu conseiller privés internationaux pour les services de différents types d’investisseurs internationaux sur transaction immobilière, ainsi que le financement leur biens immobiliers. structuré et syndiqué. Il a ensuite rejoint CBRE Dubaï, où il a créé Depuis le 1er septembre 2014, il est revenu chez le département de conseil en investissement CBRE où il dirige actuellement l’équipe Capital hôtelier. Durant ses années chez CBRE, il a Markets Suisse, réalisant un volume transactionnel accompli plusieurs missions allant du conseil en en Suisse de plus d’un milliard de CHF par an. développement, de l’expertise pour introduction Amine Hamdani est diplômé de l’Ecole Hôtelière de en bourse, à la structuration de fonds et conseils de Lausanne et a terminé la formation des cadres de la placement pour une large base de clientèle. Harvard Business School. En janvier 2011, il rejoint l’UBS à Zurich en qualité de responsable Suisse romande de l’équipe Real Estate Advisory du département Corporate Finance. 8
INTERVENANTS Gilbert Hellegouarch Responsable Clientèle institutionnelle Suisse romande Edmond de Rothschild Asset Management (Suisse) S.A. Gilbert Hellegouarch a rejoint Edmond de Gilbert Hellegouarch est diplômé d’un MBA option Rothschild en janvier 2011 en tant que responsable Finance de la Saint-Xavier University of Chicago. du développement commercial du département Avant de rejoindre le groupe Edmond de Rothschild, Fonds de Placement. Il est aujourd’hui responsable Gilbert Hellegouarch a occupé différents postes de la clientèle institutionnelle sur la Suisse romande liés au développement et au suivi des clients de Edmond de Rothschild Asset Management, pour institutionnels, notamment chez Pictet Asset toutes les expertises de gestion du groupe Edmond Management, E.I.M. SA, ainsi qu’auprès de la de Rothschild. Banque Fiduciary Trust (groupe Franklin Templeton Investments). Pierre Jacquot Head of Real Estate, Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. CEO, Orox Asset Management Pierre Jacquot supervise les activités d’Immobilier au développement de ces diverses activités depuis direct du groupe Edmond de Rothschild en le siège à Genève mais aussi depuis le bureaux de Suisse. A ce titre, il est en charge de la gestion des Zurich. Ingénieur Civil de formation, il a occupé, fonds Edmond de Rothschild Real Estate SICAV entre 1995 et 2007, des positions de management et Notenstein Real Estate SICAV. En outre, il est au sein d’un grand groupe de construction de CEO d’Orox Asset Management SA, filiale depuis développement immobilier. Il est Professeur à 2014 qui couvre les mandats d’investissement et l’Institut des Etudes Immobilières de Genève et la transactions, d’advisory et de gestion de projets SVIT School. Il est administrateur d’Orox Capital pour le compte des portefeuilles gérés ou des clients Investment et d’Acuro Immobilien AG. tiers. Depuis 2007, il a participé à la création, puis Alain Lapaire Directeur Retraites Populaires, Division immobilier Né à Lausanne le 10 mars 1962, marié et père de de l’immobilier et de la finance, ayant notamment deux enfants, Alain Lapaire possède la nationalité dirigé l’immobilier romand des CFF comme suisse. Économiste d’entreprise HES et titulaire responsable de la Gérance de la région Ouest d’un Master of Advanced Studies (MAS) en depuis l’an 2000. Précédemment, il a occupé divers expertise dans l’immobilier décerné par l’EPFL, postes à responsabilité au sein d’Avireal SA Genève il a rejoint Retraites Populaires en 2013 en tant (SAirGroup) ainsi que chez Geilinger SA, après que Directeur de la division immobilier. Il est au plusieurs années à Credit Suisse Vaud, Bâle et bénéfice de 30 ans de carrière dans les secteurs Zurich. 9
4e SÉMINAIRE DE LA PRÉVOYANCE PROFESSIONNELLE Christian Lorenz Président du Comité exécutif d’Edmond de Rothschild Asset Management (Suisse) S.A. Membre de la Fondation de prévoyance Edmond de Rothschild Christian Lorenz est diplômé de HEC Saint-Gall institutionnels, dans laquelle il a dirigé la cellule et a occupé, au début de sa carrière, divers postes géographique couvrant la Suisse, l’Allemagne et à responsabilité dans le domaine financier, au l’Autriche, en tant que responsable de la clientèle sein d’entreprises internationales en Suisse, institutionnelle. avant de rejoindre le cabinet de conseil Andersen Depuis 2014, il est Président du comité exécutif Consulting à Zurich où il a travaillé sur des projets de Edmond de Rothschild Asset Management et de risk management, notamment auprès de la responsable du développement commercial au Confédération Helvétique. niveau institutionnel et distribution de l’ensemble Il a ensuite rejoint la Compagnie Benjamin de de la gamme de produits/services sur la Suisse, Rothschild, entité spécialisée dans la gestion de l’Allemagne et l’Autriche. risques financiers pour le compte d’investisseurs Christoph Ryter Directeur Caisse de pensions Migros Christoph Ryter débute sa carrière en 1988 au De 2007 à 2016, Christoph Ryter était également département actuariel d’une compagnie suisse Président de l’Association suisse des institutions d’assurance-vie. Ensuite, il travaille en qualité de prévoyance ASIP, qui regroupe 1’050 caisses d’expert en caisses de pensions auprès d’une firme de de pension, 2,5 millions d’assurés et quelque 400 consultants en prévoyance professionnelle. En 1999, milliards de francs sous gestion. il rejoint Alusuisse et devient, dès 2002, Directeur de Christoph Ryter détient un diplôme fédéral d’expert la caisse de pensions. Au 1er janvier 2010, il reprend la en assurances de pension ainsi qu’un diplôme fédéral direction de la caisse de pensions Migros, l’une des de gérant de caisse de pensions. plus importantes institutions de prévoyance en Suisse avec des actifs de 21 milliards de francs et environ 82’000 assurés. 10
INTERVENANTS Damian Tobler Chief Financial Officer, AFIAA, Anlagestiftung für Immobilienanlagen im Ausland Fondation suisse d’investissement immobilier à l’étranger Depuis mars 2016, Damian Tobler est responsable du développement et de l’exploitation des services par intérim des finances auprès de la Fondation administratifs et comptables, de l’Investment d’investissement AFIAA et de la société Avadis Reporting et des conseils spécialisés pour les Immobilier SA. AFIAA est une fondation de droit sociétés d’investissement, les placements collectifs suisse qui effectue des placements immobiliers à internationaux pour les investisseurs qualifiés, les l’étranger. AFIAA offre aux caisses de pensions suisses Family Offices et les œuvres de prévoyance. Depuis un instrument de placement en détenant actuellement le 1er avril 2016, il est partenaire chez Kendris une trentaine des biens immobiliers commerciaux en AG à Zurich et dirige la sous-division Accounting Amérique du Nord, Australie et en Europe. et Investment Reporting pour des structures internationales. M. Tobler a travaillé durant ces 20 dernières années dans l’industrie de gestion des actifs. D’abord en tant Damian Tobler est titulaire d’un diplôme de sciences que conseiller d’entreprise et partenaire chez PwC économiques (lic. Oec. Publ.) de l’Université de et IBM, puis en qualité de cofondateur et membre Zurich avec spécialisation en banque, marketing et de la direction de FinOps AG. Il était responsable informatique. Christoph Zimmermann Head of External Investments Fonds de compensation AVS/AI/APG Christoph Zimmermann a rejoint les Fonds de fonds et il gère un portefeuille des titres sous stress compensation AVS/AI/APG en octobre 2003. (Special Situations – distressed securities) depuis Comme « Head of External Investments », il est 2008. Il travaille dans la finance depuis 35 ans et il a responsable de la sélection des gérants externes occupé des postes auprès de sociétés comme Merrill et de leur suivi dans tous les classes d’actifs. Il est Lynch et Lehman Brothers. membre votant du « Investment Committee » des 11
CONTACTS Les partenaires Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. Succursale de Lausanne 18, rue de Hesse - 1204 Genève Avenue de Rumine 60 - 1005 Lausanne www.edmond-de-rothschild.ch www.pens-expert.ch Alexandre Michellod Pasquale Zarra Responsable du secteur prévoyance Directeur PensExpert Suisse Romande professionnelle & stratégies OPP2 siam Tél. 021 331 22 11 Tél. 058 818 83 11 pasquale.zarra@pens-expert.ch a.michellod@edr.com La Collective de prévoyance - Copré PKRück - Compagnie d’assurance-vie Rue Jacques-Grosselin 8 pour la prévoyance professionnelle S.A. 1227 Carouge GE Chemin des Charmettes 7 www.copre.ch CP 7063 - 1002 Lausanne www.pkrueck.com Marçal Decoppet Directeur de la Collective de prévoyance Copré Bernard Pasche Tél. 022 308 86 31 Actuaire ASA marcal.decoppet@copre.ch Tél. 021 653 60 20 bernard.pasche@pkrueck.com Mercer (Suisse) SA Tellco Prévoyance SA Avenue Reverdil 8-10 - 1260 Nyon Bahnofstrasse 4 - CP 713 - 6431 Schwyz www.mercer.ch www.tellco.ch Jacques-Antoine Baudraz Alexander Spillmann Conseil en prévoyance Responsable Grands Comptes Tél. 022 918 10 68 Tél. 058 442 28 02 jacques.a.baudraz@mercer.com alexander.spillmann@tellco.ch 13
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