41è Journée Internationale des Musées (JIM): Message du Ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme, Radio Burkindi

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41è Journée Internationale
des Musées (JIM): Message du
Ministre de la Culture, des
Arts et du Tourisme,
Instituée en 1977, par l’Organisation des Nations Unies pour
l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), la Journée
internationale des musées, commémorée chaque 18 mai, est une
occasion pour célébrer les musées à travers le monde.

Il s’agit d’un moment privilégié d’introspection et de
réflexion sur les défis à relever afin de faire des musées de
véritables leviers du développement. Aussi les professionnels
se doivent –ils de communiquer davantage avec le public sur
leurs rôles et actions dans la préservation du patrimoine
culturel des musées.
Plateformes de diffusion culturelle où la créativité se
combine harmonieusement au savoir et où les visiteurs peuvent
également créer, partager et interagir, les musées disposent
d’un pouvoir d’instaurer un dialogue entre les cultures, de
jeter les ponts pour un monde pacifique et de définir un
avenir durable. Tout en préservant leurs missions premières
(collecte,    conservation,    communication,     recherche,
expositions, etc.), les musées ont, au fil temps, transformé
leurs pratiques pour rester plus proches des communautés
qu’ils servent.
Tenue pour la première fois en 1977, sous la direction du
Conseil international des Musées (ICOM), la célébration de
cette journée offre l’opportunité à la communauté
internationale de sensibiliser le grand public au rôle des
musées dans le développement de la société. Sa popularité
s’est accrue au fil des années faisant des musées un moyen
important d’échanges, d’enrichissement des cultures, de
développement de la compréhension mutuelle, de la coopération
et de la paix entre les peuples.
Créé en 1946, le Conseil International des Musées (ICOM)
entretient des relations formelles avec l’UNESCO et établit
des normes professionnelles et éthiques pour les activités
muséales et patrimoniales. Organisation non gouvernementale
(ONG), avec pour mission la promotion et la protection du
patrimoine culturel et naturel, présent et futur, matériel et
immatériel, l’ICOM regroupe plus quarante mille (40 000)
membres répartis dans cent quarante un (141) pays organisés à
travers cent dix-neuf (119) comités nationaux et trente (30)
comités internationaux bénéficiant d’un statut consultatif au
sein du Conseil économique et social des Nations unies.
Cette année, la Journée Internationale des Musées met l’accent
sur le nouveau rôle des musées en tant qu’acteurs actifs dans
leurs communautés à travers le thème « les Musées, plateformes
culturelles : l’avenir de la tradition ». Ce thème qui sera
également au cœur des débats lors de la 25è Conférence
générale de l’ICOM, à Kyoto au Japon, du 01 au 07 Septembre
2019, induit une grande responsabilité des musées dont la
mission principale est d’œuvrer au développement de la
société. Dans un monde en pleine évolution, les musées se
réinventent constamment pour devenir toujours plus
interactifs, axés sur le public et leurs communautés,
flexibles, adaptables et mobiles.
Depuis 2009, le Burkina Faso dispose d’un comité national ICOM
qui œuvre à la vulgarisation des idéaux de l’ICOM
international et à l’application des normes professionnelles
dans les institutions muséales. Avec plus d’une cinquantaine
de membres actifs, le Burkina Faso est le premier pays en
Afrique qui réunit le plus de professionnels autour des
valeurs et des idéaux de l’ICOM.
La Journée Internationale des Musées y est célébrée
régulièrement en communion avec le comité national du Conseil
International des Musées, ICOM-Burkina Faso, une organisation
professionnelle partenaire au département en charge de la
culture. Cette année, la célébration fait l’objet d’un
dynamisme singulier dans plusieurs musées au Burkina Faso à
travers l’organisation de journées portes-ouvertes, de
vernissage d’expositions, d’émissions radiophoniques,
d’excursion sur des lieux de mémoire et l’organisation
d’animations avec les scolaires.
Célébrée au Burkina Faso dans un contexte marqué par une
succession d’évènements sociaux qui mettent à rude épreuve le
vivre ensemble, je nourris le souhait que l’édition 2019 de la
Journée Internationale des Musées soit le catalyseur qui
bonifiera davantage la contribution des musées au renforcement
de la cohésion sociale.
Dans un élan solidaire avec la communauté muséale nationale et
internationale, j’invite les professionnels à faire de la
manifestation du 18 mai, un cadre privilégié de réflexion et
d’émulation afin d’apporter à la pratique muséale plus
d’ingéniosité et de créativité.

BONNE CELEBRATION DU 18 MAI 2019 !
VIVE LA PROFESSION MUSEALE !!!!

Abdoul Karim SANGO
Officier de l’Ordre National

Showbiz: Don Sharp à Madiéga
“…j’écrirai personnellement
au FAMA … afin qu’il te
retire     le     “meilleur
journaliste culturel…”
De ta plume, je n’ai malheureusement autre que le souvenir de
capsules, de teasers souvent au détriment de l’enjeu pour
lequel tu as été invité, de spots sans oublier toutes ces
photos de belles femmes claires (très peu de noires) partout
où tu vas.

Qui sait? Peut-être que ça t’es rentable que de produire de
vrais papiers capable d’intéresser et de booster l’activité
culturelle qui a dépensé pour t’inviter auprès de mécènes et
d’autres philanthropes capables d’appuyer leurs éditions
d’après. Mais bref…c’est ton gombo je comprends et je ne dirai
plus rien.

Dire que notre showbiz ne décolle pas. De mémoire d’artiste,
jamais libellé ne fut aussi affirmatif. Affirmation que ma
curiosité m’envoie t’interroger.

1/Quelles sont tes statistiques ?
Es ce le volume des productions qui a diminué? Es ce le cachet
des artistes qui a stagné? Es ce la qualité des artistes qui
est en chute? Es ce les artistes qui sont de plus en plus
démunis où es ce leurs droits d’auteurs qui ne suivent plus?

J’attends   que   tu   me   réponde   avant   de   continuer.   Sois
convainquant sinon, j’écrirai personnellement au FAMA de
Youssef Ouedraogo afin qu’il te retire le “meilleur
journaliste culturel”. Ne pas le faire serait une insulte et
j’y prendrai acte tout simplement.

Royaume-Uni : un humoriste
meurt sur scène, le public
croit à un sketch et continue
de rire
Une “coïncidence” dramatique. L’humoriste britannique Ian
Cognito est mort, jeudi 11 avril, sur scène, juste après avoir
fait une blague sur un malade qui reprenait conscience après
une crise cardiaque.

  “Imaginez,    vous   vous   réveillez    et   vous   parlez
gallois !”, lance-t-il sur la scène du Bicester, près
d’Oxford.

Quelques minutes après, le comédien âgé de 60 ans s’est affalé
sur une chaise comme si, justement, il était pris d’un
malaise, raconte The Times (en anglais).

Pensant qu’il s’agissait d’un sketch, le public a continué à
rire mais au bout de quelques minutes, l’un de ses
collaborateurs est monté sur scène et a constaté qu’il ne
respirait plus.
Des soignants présents dans la salle ont commencé à lui faire
un massage cardiaque avant qu’une ambulance soit appelée et
que l’artiste soit déclaré mort.

Dans le public, plusieurs personnes ont fait part de leur
stupéfaction. “Nous pensions que cela faisait partie du
spectacle. On s’est sentis très mal après ça. On est juste
resté assis pendant cinq minutes, à le regarder et à se moquer
de lui’, raconte l’un d’entre eux au Times.

Rodrigo Duterte : «Si Dieu
m’avait donné un petit pénis,
je l’aurais coupé devant
l’autel».
Rodrigo
Duterte, dit Rody
Duterte, surnommé Digong,
Le président des Philippines dépuis
juin 2016, fait l’éloge de son pénis en public.

il aurait commencé par se
vanter de posséder un appendice masculin très impressionnant
qui “pointe à la
perfection”.
Duterte aurait ensuite ajouté que la beauté d’un homme ne
compte pas s’il
ne se montre pas à la hauteur. C’est pourquoi, explique-t-il,
il aurait été
furieux si Dieu lui avait donné un petit pénis.

«Si Dieu m’avait donné un petit pénis, je l’aurais coupé
devant l’autel»,
dit-il en faisant rire la foule.

Il aurait aussi raconté comment, lorsqu’il vivait au YMCA de
Manille en
tant qu’étudiant, il se promenait nu et attirait l’admiration
des autres
résidents qui fixaient sa taille de pénis.

«Ma serviette, je ne vais pas (l’enrouler autour de moi). Je
marchais vers
eux (nu)- ils m’admiraient. (Ils me disaient dit) “Duterte, tu
es si dur!”

Il ajouta,

“Quand j’étais jeune, (mon pénis) avait presque levé les yeux
au ciel.”

Duterte aurait par la suite déplacé
son microphone et l’a dirigé jusqu’au plafond du Colisée de la
ville de Puerto
Princesa à Palawan et a déclaré que son pénis était si droit
que le bout
atteindrait presque son nombril.

Le président a ajouté:

«Je suis très reconnaissant envers mon père. Au moins, il m’a
laissé dans
le monde hautement équipé. ”

Duterte se serait rappelé avoir visité un endroit qu’il a
simplement décrit
comme étant rempli de femmes.

“Elles se sont enfuies. «Nous ne l’aimons pas. Ce gars maigre.
Il ne
s’arrêtera pas (avoir des relations sexuelles).”

Yasmine Traoré.

Miss Etalon: qu’est qui se
passe ?
Alors que la prochaine édition de Miss Etalon
se prépare, un scandale ressemblant à une
arnaque semble être dévoilé par la Miss étalon
2018.
Selon cette dernière après son élection,
elle s’est rendue à Paris pour l’évènement Faso
Dafani. « Quand nous sommes arrivés à Paris,
nous sommes allés à la cérémonie, c’était un
évènement de taille bien organisé ».
“Mr Boureima m’a dit que lui et moi on devrait
partager la même chambre car il n’avait plus
d’argent pour en prendre une autre”.
Chose qu’elle a refusée et selon elle depuis
cela le promoteur ne lui a plus remis ses lots.
Mais selon lepromoteur ce sont les candidates
qui ont renoncé à récupérer lots après la
compétition.
« Arrivés en France,nous avons perdu nos
bagages. C’est ainsi que moi, j’ai logé avec un
autre
Monsieur. Un généreux donateur a offert une
semaine d’hôtel à la miss, pour soutenir le
comité. Une fois, la semaine terminée, la miss
est passée à l’hôtel pour prendre ses bagages
qui ont été ramené dans notre hôtel, puisque
c’est le lieu que nous avons réservé. La miss
qui devrait attendre dans deux heures que son
frère vienne la chercher, j’ai suggéré à cette
dernière d’attendre un peu dans notre chambre
avant l’arrivée de frère » a confié le
promoteur à notre confère Marius Diessongo.
En tout état de cause ce énième clash entre
lauréate et organisation vient une fois de plus
jeter le discrédit sur un secteur de récompense
qui n’a déjà pas bonne presse.
Cinéma : Saint-Pierre Yaméogo
repose   au   cimetière    de
Gounghin
Décédé le 1er avril 2019, le réalisateur burkinabè Pierre
Sakama Yaméogo, plus connu sous le nom de Saint-Pierre
Yaméogo, a été conduit à sa dernière demeure, au cimetière
municipale de Gounghin, ce jour 4 avril 2019.

Levée du corps à la clinique Suka El Fateh suivie de
l’exposition du corps à son domicile familial et prières pour
le repos de l’âme du disparu ont précédé l’inhumation.

Parents, acteurs du cinéma et de l’audiovisuel, autorités
administratives en charge du cinéma sont passés, tour à tour,
s’incliner sur le corps de l’illustre réalisateur, lui dire un
ultime au revoir et témoigner leur soutien et compassion à sa
famille.

Le cortège funèbre mettra ensuite le cap sur le cimetière de
Gounghin. Plusieurs personnalités dont le Ministre de la
Culture, des Arts et du Tourisme, Abdoul Karim Sango, des
acteurs du cinéma ont accompagné le défunt à son lieu de
repos.

Les comédiens, les réalisateurs, les producteurs, les
cinéastes étaient présents pour rendre un dernier hommage à St
Pierre. L’émotion et la tristesse se lisaient sur les visages.

« Tes œuvres ayant marqué l’histoire du cinéma burkinabè et
africain, tu resteras à jamais dans nos cœurs et dans nos
souvenirs. Ton franc-parler, ta sincérité, ton intégrité, ta
dignité et ton professionnalisme feront de toi une référence
et un modèle pour la jeune génération », a rappelé un de ses
compagnons, Pierre Rouamba, réalisateur et producteur.
Repose en paix l’artiste !
Que la terre libre du Burkina Faso te soit légère.

MCAT

Soirée d’hommage à St Pierre
Yaméogo: Séquences d’émotions
sur la vie du réalisateur
Parents, amis, cinéastes, réalisateurs, producteurs et autres
acteurs du 7 è art ont rendu un vibrant hommage au réalisateur
burkinabè Pierre Sakama Yaméogo décédé le 1er avril 2019, à
Ouagadougou.

C’était dans la nuit du 3 avril 2019, au Centre national des
arts du spectacle et de l’audiovisuel (CENASA). Plusieurs
séquences ont marqué cette cérémonie : projection de films,
portrait sur l’homme, suivis d’extraits de ses films tels
“Dunia, Wendemi” et de témoignages.
Plusieurs personnalités d’ici et d’ailleurs se sont succédé à
la tribune pour dire ce qu’ils savaient de l’illustre
disparu.

Toute la vie de St Pierre Yaméogo n’a pas été rose selon le
styliste François 1er. Il est ressorti de son temoignage que
Sakama, de son nom d’origine, a abandonné l’école très tôt.

Il s’est retrouvé à Abengourou, en Côte D’Ivoire dans les
plantations pour chercher sa pitance. De là, il apprend à
faire la couture et à faire la photographie. Grâce à ses
économies, il se rend en France où il a travaillé dans un
atelier de couture. Parallèlement, à cette activité, il
s’inscrit dans une école pour apprendre le cinéma.

Plus tard, il fera venir son cousin Sibiri, aujourd’hui
célèbre styliste François 1er.
On dit de l’homme qu’il n’était pas rancunier et qu’il aimait
partager. Le comédien burkinabè Abdoulaye Koumboudry, dit
“fils de l’homme”, lui a traduit toute sa reconnaissance.

”C’est Pierre Yaméogo qui m’a fabriqué comédien, grâce à ses
encouragements, j’ai pu remporter des prix en Afrique du Sud
et ailleurs”, a-t-il confié à l’assistance.

Le technicien béninois Grégoire Noudehoun, a relaté ses
souvenirs” de l’homme. Ses débuts dans le film ”Moi et mon
blanc”, et les grands plateaux qu’il a partagé avec le disparu
ont été évoqués.

La surprise de sa mort a été évoqué par le chroniqueur de
Radio france internationale (RFI), Sayouba traoré. Il a confié
avoir passé d’agréables moments avec le défunt le mercredi
passé à son domicile, à Gounghin. De retour en France et à sa
grande surprise, il apprend sa disparition.

Une mort qui lui rappelle les propos de St Pierre Yaméogo qui
aimait dire que .

MCAT

Zaara: “J’ai l’autorisation
de mon homme”
Azara Ouedraogo était plus connue comme danseuse, aujourd’hui
elle se lance dans une carrière de musicienne en mettant sur
le marché son premier opus nommé « Nèkré » (le réveil). Zaara
nous a accordé un entretient dans lequel elle se livre.

Présentez-vous à nos lecteurs.

Je suis Zaara artiste chanteuse, à l’état civil c’est
Ouédraogo Azaara.

Avant
d’entamer     une    carrière     musicale,     vous    étiez
danseuse,aujourd’hui artiste
chanteuse, comment s’est fait cette transition ?

La musique pour moi c’est une passion, toute
petite déjà j’aimais chanter. J’ai décidé de chanter en 2018,
par ce que c’est
la seule manière pour moi de m’exprimer véritablement, de
transmettre des messages
à mes jeunes frères et sœur

Parlez-nous
de vos débuts dans la musique

Ça se passe bien pour un début vu que      j’avais été par le
passé en contact avec le
monde de la musique avant de devenir ce que je suis. Au départ
j’étais danseuse
et je fréquentais déjà ce milieu. Partout où je vais-je suis
bien accueilli, je
peux dire que ça se passe bien pour moi.

C’est
quoi le genre musical de Zaara ?

J’évolue dans l’afro beat, et le Tradi-Moderne

Parlez-nous
de votre album

Je suis à mon premier album, un album de 6 titres
baptisé ’’ NèKré’’ Qui signifie le réveil en langue Mooré par
ce que j’ai arrêté
la danse il ya de cela plus de 20 ans, j’avais
marqué une pause et j’ai réalisé plus
tard que je dormais sur ma carrière et comme j’ai décidé de
reprendre les
choses en main, j’ai baptisé l’album nékré.

De
quoi parlent essentiellement vos chansons ?

Mes chansons traitent de l’actualité, elles parlent
de mariage, de divorce et d’espoir. Par ce que c’est ce que
nous vivons au
quotidien et j’ai donc voulu attiré l’attention des gens sur
ces maux

Comment
appréhendez-vous le milieu du show-biz, surtout que nous
savons que ce n’est
pas toujours aisé et qu’il faut d’une certaine manière payer
le prix pour avoir
la gloire ?

Personnellement je n’ai pas de problème, en venant
dans la musique je savais ce que je voulais, je suis toujours
bien reçu partout
où je vais que ce soit avec les animateurs, les promoteurs de
festivals, mes
collègues artistes…

Lorsque j’approche des gens pour de l’aide, ceux
qui peuvent m’aider le font et nos relations sont purement
professionnelles.

Comment
faites-vous pour joindre les bouts entre la vie de couple et
le travail?

J’ai l’autorisation de mon homme, c’est vrai que
le milieu du showbiz est compliqué pour nous les femmes mais
si vous avez la
confiance et le soutien de votre mari, c’est suffisant.

Parlez-nous
de vos projets !

je suis en studio pour l’enregistrement de mon
second album qui verra certainement je jour en fin 2020 si
tout va bien

Quels
conseils pouvez-vous donner à vos jeunes sœurs qui aimeraient
suivre vos
traces ?

Je leur dirais de croire en elles et surtout
d’avoir confiance en leur capacité. Car quand on a confiance
en ce que nous
faisons cela amènera également les gens à nous accepter et que
ce ne sont pas
les difficultés qui manquent, d’ailleurs c’est elles qui nous
forgent
Votre mot de
fin !

Je salue tous ceux qui aiment ma musique et qui me
soutiennent, et je remercie aussi toutes les personnes qui
œuvrent à promouvoir la musique burkinabè.

Assétou Compaoré

People:   Le   cinéaste   et
réalisateur burkinabé Saint
Pierre Yameogo s’est éteint
Le cinéaste et réalisateur burkinabé Saint Pierre Yameogo
s’est éteint ce lundi 1er avril 2019, à l’âge de 64 ans à
Ouagadougou des suites de maladie.

Le diplômé de l’université d’Harvard (USA) , fondateur de la
maison de production « Afix productions » produisait himself
ses propres films.

L’homme a réalisé plusieurs films dont :
-l’œuf silhouette (1984);
-DUNIA (1987);
-LAAFI, tout va bien (1991);
-WENDEMI « L’Enfant du Bon Dieu » (1993);
–DELWENDE « Lève toi et marche » (2005);
-BAYIRI « La patrie » (2010);
(…)

En 2005, son film Delwende a été nommé pour     les prix_Oscar (
récompenses cinématographiques américaines      décernées chaque
année à Los Angeles et destinées à saluer       l’excellence des
productions américaines et internationales du   cinéma ).

Cristalline                     accouche                   de
“Zounouon”
Cristalline, de son vrai nom Christine Somé, a au cours d’une
conference de presse le vendredi dernier présenté son premier
album composé de dix titres, dénommé «Zounouon» qui signifie
«la chance» en langue dagara.

Cet album est teintés de sonorités High-life et d’Afro beat
melangé a des rythmiques dagaré qu’elle a choisit de baptisée
le “Dag life”. Une inspiration du High-life Ghanaeen. Le
premier opus de celle là qui se surnommait à l’époque Dj
Christine évoque l’éternelle question de l’amour entre les
Hommes à travers les titres “ Aime moi “ et “ You and me “.

Pour Christine Somé, avec la présentation de son nouvel album,
c’est une passion d’enfance qui vient de se concrétiser. Son
inspiration vient de ses moments de solitude, de sa vie
d’orpheline.

Donnant son avis sur la musique burkinabè, l’artiste estime
qu’elle ne peut s’illustrer sans intégrer la fusion tout en
conservant sa souche et son identité folklorique.
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