SYNTHÈSE DE L'ENQUÊTE - JANVIER 2018 EN PARTENARIAT AVEC - Eurogroup ...
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Sommaire Sommaire Profil des répondants et méthodologie 1 Plus d’une centaine de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre- L’2016. AtlasLa2017 desdesGrandes typologie répondants rapport à l’année dernière) est la suivante : 1 • Les résultats quantitatifs Entreprises (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par p.4 p. 6 2 Secteur d’activité Autre Finance / - 2Les •Lsoldes d’opinion détaillés es prévisions : le match France / Étranger qualitatives 6% p.10Assurance p. 8 21% 27% 3 3•L a question d’actualité p.14 Services - Les prévisions qualitatives : les préoccupations et défis pour 23% 2017 23% p.14 4•P rofil des répondants et méthodologie Infrastructures p.15Industrie 4 - salariés < 5 000 Effectifs Les attentes des dirigeants vis-à-vis > 50 000 15% salariés du prochain gouvernement < 1,5 Mds € Taille : CA 15% > 20 Mds € p.18 46% 15% Entre 20 000 et 46% 20% 50 000 salariés Entre 5 et 20 Mds € 24% Entre 5 000 et Entre 1,5 19% 20 000 salariés et 5 Mds € À l’occasion de son 10ème anniversaire, le questionnaire a – avec 2016 (première année de digitalisation du Maison évolué : les de conseilparties deux premières volontairement – l’Atlas eteuropéenne les soldes et indépendante, questionnaireEurogroup avec réponse Consulting obligatoire) assiste s’estsesfaite avec d’opinion clients, depuis plus (précédemment de 35 ans, dans « indicateurs la réalisation d’optimisme ») de leurs ambitions l’hypothèse que stratégiques, les non concernésau travers ont dûde sonannée-là cette réseau en ont été ajustées international incluant une de possibilité 1500 consultants de réponseprésents dans 30 pays. répondre en « stabilité ». « non concerné », évitant des biais dans un questionnaire désormaisEurogroupdigitalisé Consulting accompagne à 100%. acteursPages de multiples dans 14 les et 15, le classement domaines desde de la Banque, risques a été effectué l’Assurance, sur une note moyenne, calculée des Fonctions Publiques, de la Santé, de l’Energie, des Transports, de l’Industrie et de la Distribution. en chiffrant les niveaux Surtout, une refonte des questions sur les prévisions de 0 (faible) à 3 (très fort), à l’exclusion des réponses qualitatives donne plus Eurogroup de compacité Consulting (lessur intervient risques d’une de stratégie, des projets « nondeconcerné ». Les résultats transformation vont digitale, de de 1,93/3 pour les gouvernance, part, les défis de l’autre) et plus de finesse (les réponses risques juridiques et législatifs de réorganisation, d’amélioration de la qualité de service, d’innovation managériale et d’évaluation à 0,36/3 pour le risque oui / non des ont organisations. été remplacées par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. les non concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, sous la forme plus parlante des % pour chaque risque, en Le Baromètre des Grandes Entreprises françaises (BGE) fête cette année sa onzième édition. Comme pour Les risques internes et externes ont été regroupés en particulier sur le cumul des « fort » et « très fort ». les précédentes, une question commune. il évalue, à travers ses dirigeants, le dynamisme et les défis de l’économie française. On notera que l’ordre selon les moyennes n’est pas Réalisé Les questions surenlespartenariat défis et lesavec l’Observatoire actions prioritairesBFM ontBusinesscalqué et L’Express, le BGE sur celui desacumuls pour originalité d’associer: dans le de pourcentage été fusionnées visionetprospective, regroupéesanalyse en 3 thèmes : Développe- de l’entreprise du fonctionnement tableau page 15, les risques et priorités retenus sont ceux dont la opérationnelles. ment / maintien de l’activité, Rentabilité, RH et gouver- moyennes est inférieure à 1 (0,36 à 0,96), et corres- nance. *** pondent à une part faible mais croissante des risques « fort » à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des Cette année, nous avons inclus une question spécifique Nous remercions l’ensemble des dirigeants des grandes cumuls de pourcentages, entreprises on auraitcette qui en participant, pu faire année figurer « le au vu du calendrier encore, au Baromètre des Grandes Entreprises françaises, nous ont fait partager leur vision sur la électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de attentes des performance économique de leurs entreprises et leur navigation au sein d’un environnement global forts dirigeants à l’égard des candidats à la clients » (moyenne 1,0, mais 20% et 24% de risques présidentielle. fait de contraintes, d’opportunités et d’incertitudes. ou très forts). Et pour la première fois, nous avons posé directement la question du moral optimiste ou pessimiste des dirigeants Le même classement a été utilisé pour retenir les défis (là aussi sur une échelle de 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- taires : notes de 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires Page 6 : l’introduction de la réponse « non concerné » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. 19 2 EN PARTENARIAT AVEC
Profil des répondants et méthodologie 2018 : L’ENGAGEMENT Plus d’une centaine de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre 2016. La typologie des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par rapport à l’année dernière) est la suivante : LES CHIFFRES Secteur d’activité Pour la 1ère fois depuis 7 ans, toutes les prévisions Autre sont à la hausse… Finance / 6% Assurance 9/10 se déclarent 3/4 prévoient Services 1/2 21% envisage 27% optimistes ou une croissance un23 accroissement % 23% très optimistes de l’activité Infrastructures des effectifs Industrie …autant en France qu’à l’International Effectifs Taille : CA > 50 000 salariés > 20 Mds € < 5 000 salariés < 1,5 Mds € 15% LES DÉFIS 15% LES RISQUES 15 PRIORITAIRES FORTS 46 % une culture du Développer % Entre 20 000 et 46 % Des risques juridiques et législatifs 20% changement et de l’innovation 50 000 salariés+1 (nouvelles réglementations...) = Entre 5 et Maintenir et développer les compétences clés -1 Le niveau de la croissance = 20 Mds € 24% Digitaliser les métiers/Moderniser les SI Entre 5 000 et+5 Entre 1,5 Les cyber-risques 19% +4 Alléger, accélérer, simplifier 20 000 salariés = et 5 géopolitiques Des risques Mds € et sécuritaires -1 le fonctionnement Le niveau des contraintes sociales Améliorer la performance managériale = et fiscales en France -1 À l’occasion de son 10Renouveler ème anniversaire, l’offre le questionnaire +3 a – avec 2016 (première La concurrence année de digitalisation internationale = du évolué : les deux premières parties Améliorer la qualité de service client – l’Atlas et les soldes -4 questionnaire avec réponse obligatoire) s’est faite avec d’opinion (précédemment « indicateurs d’optimisme ») l’hypothèse que les non concernés ont dû cette année-là ont étéTout ajustées en incluant s’accélère, lesune possibilité s’adaptent entreprises de réponse répondre en « stabilité Explosion des».cyber-risques dans « non concerné », évitant des technologiquement et humainement. biais dans un questionnaire un classement stable par ailleurs. désormais digitalisé à 100%. Pages 14 et 15, le classement des risques a été effectué NON PRIORITAIRES sur une note moyenne, calculée FAIBLES en chiffrant les niveaux Surtout, une refonte des questions sur les prévisions de 0 (faible) à 3 (très fort), à l’exclusion des réponses Réduire les coûts d'achat -6 EU qualitatives donne plus de compacité (les risques d’une « non concerné ». Les résultats vont de 1,93/3 pour les Optimiser l'organisation du travail -1 part, les défis de(RTT,l’autre) etoffice) télétravail, flex plus de finesse (les réponses risques juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque -2 oui / non ont étéOptimiser remplacées la supply chain par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. Privilégier la croissance externe = les nonen France via des acquisitions concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, sous Externaliser / Outsourcer / Délocaliser -2 la forme plus parlante des % pour chaque risque, en Les risques internes et externes ont été regroupés en particulier sur le cumul des « fort » et « très fort ». Des espoirs une question de rentabilité fondés sur commune. L’UE n’est plus vue comme un risque. le développement et non la réduction des coûts.On notera Plutôt une que opportunité l’ordre selon les ?moyennes n’est pas Les questions sur les défis et les actions prioritaires ont calqué sur celui des cumuls de pourcentage : dans le été fusionnées et regroupées en 3 thèmes : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la LES IMPACTS ment / maintien de l’activité, Rentabilité, RH et gouver- DES MESURES moyennes GOUVERNEMENTALES est inférieure à 1 (0,36 à 0,96), et corres- nance. pondent à une part faible mais croissante des risques « fort » à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des Cette année, nous avons inclus une question spécifique cumuls de pourcentages, on aurait pu faire figurer « le au vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de attentes des dirigeants à l’égard des candidats à la clients » (moyenne 1,0, mais 20% et 24% de risques forts Positif présidentielle. ou très forts). Sans effet Et pour la première fois, nous avons posé directement la question du moral optimiste ou pessimiste des dirigeants Négatif Le même classement a été utilisé pour retenir les défis Les mesures gouvernementales sont (là aussi sur une échelle de 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- plébiscitées par les dirigeants d’entreprises. taires : notes de 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires Réforme du droit Mesures fiscales Réforme de Un paradoxe sur les mesures fiscales : Page 6 : l’introductiondu travail de la réponse « non concerné visant les entreprises la formation » 0,76 top2àdes 0,98), avec1 une +, top des adaptation -. de la présentation professionnelle cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. 19 3 EN PARTENARIAT AVEC
1. Les résultats quantitatifs Profil des répondants et méthodologie 1.1PlusL d’une es centaine chiffres bruts de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre 2016. La typologie des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par Tous les indicateurs sont au vert rapport à l’année dernière) est la suivante : Secteur d’activité Autre Pour l’ensemble 75% 18% Finance7% / 6% Assurance Prévision 21% 27% 9% d’activités 2018 En France 65% 26% Services À l’étranger 63% 30% 7% 23% 23% Infrastructures Industrie Pour l’ensemble 58% 35% 7% Effectifs Taille : CA Prévision de < 5 000 salariés rentabilité 2018 En France > 50 000 salariés 46% < 1,5 Mds € 39% 16% > 20 Mds € 15% 15% À l’étranger 46% 44% 11% 46% 15% Entre 20 000 et 46% 20% 50 000 salariés Entre 5 et 20 Mds € Pour 24 l’ensemble 60% 1932% % 9% Prévision % Entre 5 000 et 20 000 salariés Entre 1,5 et 5 Mds € d’investissement En France 49% 40% 11% 2018 À l’occasion de son 10ème anniversaire, le questionnaire a – avec 2016 (première année de digitalisation À l’étranger 49% 40% 11%du évolué : les deux premières parties – l’Atlas et les soldes questionnaire avec réponse obligatoire) s’est faite avec d’opinion (précédemment « indicateurs d’optimisme ») l’hypothèse que les non concernés ont dû cette année-là ont été ajustées en incluant une possibilité de réponse répondre en « stabilité ». « non concerné », évitant Pour des biais dans un questionnaire l’ensemble 47% 39% 14% désormais digitalisé à 100%. Pages 14 et 15, le classement des risques a été effectué Prévision des effectifs En France 39% sur une note moyenne,42% calculée en chiffrant19%les niveaux Surtout, une2018 refonte des questions sur les prévisions de 0 (faible) à 3 (très fort), à l’exclusion des réponses qualitatives donne plus de compacité (les risques d’une À l’étranger part, les défis de l’autre) et plus de finesse (les réponses 39% «risques non concerné ». Les résultats vont de 1,93/3 pour les 46% 16% juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque oui / non ont été remplacées par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. les non concernés). ÉVOLUTION VS 2017 Les tableaux reprennent En hausse Stable cet ordre de présentation, En baisse sous la forme plus parlante des % pour chaque risque, en Les risques internes et externes ont été regroupés en particulier sur le cumul des « fort » et « très fort ». une question commune. On notera que l’ordre selon les moyennes n’est pas Les questions sur les défis et les actions prioritaires ont calqué sur celui des cumuls de pourcentage : dans le été fusionnées et regroupées en 3 thèmes : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la ment / maintien de l’activité, Rentabilité, RH et gouver- moyennes est inférieure à 1 (0,36 à 0,96), et corres- nance. L’optimisme est majoritaire pour tous les indicateurs, aux mêmes pondent à une part niveaux faible et en France mais croissante des risques à l’International. « fort » à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des Après deux années Cette année, de tassement, nous avons inclus une les prévisions question de rentabilité spécifique repartent cumuls à la hausse et de pourcentages, onreviennent à leur aurait pu faire niveau figurer « le de au 2015. vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de attentes Cette des dirigeants évolution repose surà l’égard des candidats des prévisions à la forte de croissance clients et en» augmentation (moyenne 1,0, mais 20% et 24% constante de risques depuis 3 ans. forts présidentielle. ou très forts). Et pour la première fois, nous avons posé directement la question du moral optimiste ou pessimiste des dirigeants Le même classement a été utilisé pour retenir les défis (là aussi sur une échelle de 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- taires : notes de 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires Page 6 : l’introduction de la réponse « non concerné » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. 6 EN PARTENARIAT AVEC 19 4 EN PARTENARIAT AVEC
BGE BGE BGE BGE BGE SOLDE D’OPINION 2018 2017 2016 2015 2014 1. Les résultats quantitatifs Profil des répondants et méthodologie ACTIVITÉ 68 50 51 43 47 1.2PlusL d’une es centaine soldes d’opinion globaux de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre 2016. La typologie des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par Croissance à l’année dernière)généralisée +122% RENTABILITÉrapport 51 : est la suivante de23l’optimisme 34 57 24 Secteur d’activité INVESTISSEMENTS 51 41 23 Autre 17 Finance / 7 6% Assurance 21% 27% EFFECTIFS +74% 33 19 11 3 9 Services 23% 23% Solde d’opinion =Infrastructures % des « en hausse » - % desIndustrie « en baisse » BGE BGE BGE BGE BGE SOLDE D’OPINION Effectifs 2018 2017 2016 Taille 2015 : CA 2014 > 50 000 salariés > 20 Mds € < 5 000 salariés < 1,5 Mds € 15% 15% 46% 15% 46% 20% ACTIVITÉ 68Entre 20 000 et 50 000 salariés 50 51 43 475 et Entre 20 Mds € RENTABILITÉ +122% 24% 51Entre 5 000 et 23 341,5 Entre 5719% 24 20 000 salariés et 5 Mds € INVESTISSEMENTS 51 41 23 17 7 À l’occasion de son 10ème anniversaire, le questionnaire a – avec 2016 (première année de digitalisation du évolué : les deux premières parties – l’Atlas et les soldes questionnaire avec réponse obligatoire) s’est faite avec EFFECTIFS +74% « indicateurs33 d’opinion (précédemment d’optimisme ») 19 l’hypothèse11 que les non concernés 3 ont dû cette année-là9 ont été ajustées en incluant une possibilité de réponse répondre en « stabilité ». « non concerné », évitant des biais dans un questionnaire désormais digitalisé à Solde d’opinion 100%. Pages =14% etdes 15, «leen hausse »des classement -% des « aenétébaisse risques » effectué sur une note moyenne, calculée en chiffrant les niveaux Surtout, une refonte des questions sur les prévisions de 0 (faible) à 3 (très fort), à l’exclusion des réponses qualitatives donne plus de compacité (les risques d’une « non concerné ». Les résultats vont de 1,93/3 pour les part, les défis de l’autre) et plus de finesse (les réponses risques juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque oui / non ont été remplacées par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. les non concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, sous Voir les 4 graphiques pages suivantes : évolution de cet laindicateur depuisdes2006, forme plus parlante % pourpour chaque lesrisque, prévisions en des Grandes Entreprises en France vs à l’International Les risques internes et externes ont été regroupés en particulier sur le cumul des « fort » et « très fort ». une question commune. On notera que l’ordre selon les moyennes n’est pas Les questions sur les défis et les actions prioritaires ont calqué sur celui des cumuls de pourcentage : dans le été fusionnées et regroupées en 3 thèmes : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la ment / maintien de l’activité, Rentabilité, RH et gouver- moyennes est inférieure à 1 (0,36 à 0,96), et corres- nance. L’indicateur « solde d’opinion » a plus que doublé pour les prévisions pondent à de unerentabilité. part faible mais croissante des risques 7 « fort » à « trèsENfort » (de 6% PARTENARIAT AVEC à 28%). Sur ce critère des La progression Cette année, nous deavons l’optimisme est question inclus une également particulièrement spécifique marquée cumuls concernantonlesaurait de pourcentages, effectifs. pu faire figurer « le au vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de attentes des dirigeants à l’égard des candidats à la clients » (moyenne 1,0, mais 20% et 24% de risques forts présidentielle. ou très forts). Et pour la première fois, nous avons posé directement la VoirVoir lesles4 4graphiques question du graphiques pagesou moral optimiste pages suivantes pessimiste suivantes : évolution des dirigeants : évolution de cetdeindicateur cetLeindicateur même depuis classement depuis 2006, pour a2006, pour étélesutilisé lesretenir pour prévisions prévisions des des les défis Grandes Grandes (là Entreprises aussi Entreprises sur en FranceenvsFrance une échellevs à l’International de à l’International 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- taires : notes de 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires Page 6 : l’introduction de la réponse « non concerné » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. 7 EN PARTENARIAT AVEC 19 5 EN PARTENARIAT AVEC
Un retour de l’international 1.3 L es soldes d’opinion comparés France / International Profil des répondants et méthodologie Activité : à égalité, croissance pour tous Plus d’une centaine de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre100 2016. La typologie des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par rapport à l’année dernière) est la suivante : 80 76 Secteur d’activité 60 Autre 56 Finance / 60 6% Assurance 56 40 21% 27% Services 20 23% 23% 0 Infrastructures Industrie -20 2006 Effectifs 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016Taille2017 : CA 2018 > 50 000 salariés > 20 Mds € < 5 000 salariés < 1,5souveraine Mds € Pour la France 15% Crise du crédit Crise de la dette 15% Le match France Pour / étranger l'Internationnal sur la rentabilité 46% 15% Entre 20 000 et 46% 20% 50 000 salariés Entre 5 et Brutale rechute de la France, mais l’euphorie pour La France gagne 30 points et rejoint l’étranger à 56 points. 20 Mds € l’international Elle atteint pour la première24 est fois en bien 10 ans, Entre 5un % etterminée 000niveau d’optimisme équivalent 19 Entre 1,5 à l’avant-crise. % 20 000 salariés et 5 Mds € À l’occasion de son 10ème anniversaire, le questionnaire a – avec 2016 (première année de digitalisation du évolué : les deux premières parties – l’Atlas et les soldes questionnaire avec réponse obligatoire) s’est faite avec d’opinion (précédemment « indicateurs d’optimisme ») l’hypothèse que les non concernés ont dû cette année-là Rentabilité : nouveau départ après la chute en 2017 Les soldes ont été ajustées d’opinion mettent en incluant bien en lumière une possibilité combien la stabilité de réponse globale des répondre enprévisions « stabilité sur».l’activité masque une réelle disparité entre France et étranger. « non concerné », évitant des biais dans un questionnaire 80 désormais L’étranger 71 digitalisé à en perd 100%. regagne 12 points, la France Pagesle 14 11 : l’étranger reprend et 15, dessus pourle lesclassement des risques indicateurs d’activité, après a été effectué 70 l’inversion historique de 2016. sur une note moyenne, calculée en chiffrant les niveaux Surtout, une refonte des questions sur les prévisions de 0 (faible) à 3 (très fort), à l’exclusion des réponses 60 L’écart résultant est toutefois nettement plus modéré que celui des années 2013 à 2015. qualitatives donne plus de compacité (les risques d’une « non concerné ». Les résultats vont de 1,93/3 pour les part, les défis 50 de l’autre) et plus de finesse (les réponses risques juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque oui / non 40ont été50remplacées par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. 35 les non concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, sous 30 la forme plus parlante des % pour chaque risque, en Les risques internes et externes ont été regroupés en particulierENsur le cumul 30 des « fort » et « très fort ». 20 8 PARTENARIAT AVEC une question commune. 10 On notera que l’ordre selon les moyennes n’est pas Les questions0 sur les défis et les actions prioritaires ont calqué sur celui des cumuls de pourcentage : dans le été fusionnées -10 et regroupées en 3 thèmes : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la ment / maintien2006 de l’activité, 2007 Rentabilité, 2008 2009 RH2010 et gouver- 2011 2012 moyennes 2013 est inférieure 2014 2015 à 1 (0,36 2016 2017 à 0,96), 2018 et corres- nance. pondent à une part faible mais croissante des risques Pour la France Crise du crédit Crise de la» dette souveraine « fort à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des Pour l'Internationnal Cette année, nous avons inclus une question spécifique cumuls de pourcentages, on aurait pu faire figurer « le au vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de attentes des dirigeants à l’égard des candidats à la clients » (moyenne 1,0, mais 20% et 24% de risques forts Après la brutale rechute de l’année dernière, les prévisions ou présidentielle. detrès forts). repartent à la hausse pour la France rentabilité Et pour la première fois, nous avons posé (+ 26 points) comme pour l’International (+ 11 points). directement la question du moral optimiste ou pessimiste des dirigeants Le même classement a été utilisé pour retenir les défis L’évolution de la France, bien plus importante que les niveaux observés à l’International, confirme cette année (là aussi sur une échelle de 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- la fin de l’écart observé entre 2012 et 2015 entre les deux indicateurs. taires : notes de 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires Page 6 : l’introduction de la réponse « non concerné » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. L’indicateur à l’international retrouve ses plus bas niveaux de 2009 et 2010. La France décroche à nouveau, après 2 années de hausse : les prévisions de baisse annulent quasiment celles de hausse. De multiples facteurs d’explication possible : effet pétrole,19 6parité euro / dollar, reprise EN PARTENARIAT AVEC des taux d’intérêt… ?
Un Lesretour de l’international deux augmentent, avantage pour l’étranger Investissement : un effort Profil des répondants etde long terme récompensé méthodologie pour la France Plus d’une centaine de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre100 2016. La typologie des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par rapport à l’année dernière) est la suivante : 80 80 76 70 60 Secteur d’activité 60 Autre 56 Finance / 40 60 6% 39 Assurance 56 40 41 21% 2739 % 20 Services 20 0 0 23% 23% -20 Infrastructures Industrie -20 -40 2006 Effectifs2008 2007 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016Taille2017 : CA 2018 > 50 000 salariés > 20 Mds € < 5 000 salariés Crise du crédit Crise Crise de de la < 1,5souveraine la dette dette Mds € souveraine 15% Pour la France 15% Pour l'Internationnal Le match 15% Entre 46% France / étranger sur leset effectifs 20 000 46% 20% 50 000 salariés Entre 5 et Poursuite de la progression de la France pour la cinquième année consécutive qui rejoint désormais les niveaux 20 Mds € Retour à la de l’étranger à 39 points. 24 case départ % Entre 5 000 et 19% Entre 1,5 Comme pour l’activité, cet indicateur retrouve – pour la France – le niveau 20 000 salariés et 5 Mds €de 2007. À l’occasion de son 10ème anniversaire, le questionnaire a – avec 2016 (première année de digitalisation du Effectifs : accélération prévue des recrutements évolué : les deux premières parties – l’Atlas et les soldes d’opinion (précédemment « indicateurs d’optimisme ») questionnaire avec réponse obligatoire) s’est faite avec l’hypothèse que les non concernés ont dû cette année-là Les soldes d’opinion mettent bien en lumière combien la stabilité globale des prévisions sur l’activité masque une en France ont été ajustéesUn en incluant graphique une possibilité raisonnablement positif réelle disparité entre France et étranger. : lade réponse France continue sa répondre progression endepuis initiée « stabilité ». 2013, l’étranger la reprend après « non concerné 2 années de baisse », évitant desoubiais de stagnation, dans un etquestionnaire l’écart entre les deux demeure très mesuré. désormais 80L’étrangerdigitalisé à regagne 12 points, la France en perd100%. Pagesle14 11 : l’étranger reprend et 15, dessus pourlelesclassement des risques indicateurs d’activité, après a été effectué Globalement, l’inversion les dirigeants historique des grandes entreprises sont tournés vers l’avenir à moyen et long terme de 2016. sur une note moyenne, calculée en chiffrant les niveaux 70 Surtout, uneL’écart refonte desestquestions résultant sur les plus toutefois nettement prévisions modéré que celui desde années 0 (faible) 2013 àà 2015. 3 (très fort), à l’exclusion des réponses 60 qualitatives donne plus de compacité (les risques d’une « non concerné ». Les résultats vont de 1,93/3 pour les 50 part, les défis de l’autre) et plus de finesse (les réponses risques juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque 40 oui / non ont été remplacées 24 par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. les 30 non concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, 23 sous 20 la forme plus parlante des % pour chaque risque, en Les risques 10internes et externes ont été regroupés en 10 8 particulier ENsur le cumul ENPARTENARIAT PARTENARIATAVEC AVEC 19 des « fort » et « très fort ». 0 une question commune. 9 -10 On notera que l’ordre selon les moyennes n’est pas -20 Les questions sur les défis et les actions prioritaires ont calqué sur celui des cumuls de pourcentage : dans le été fusionnées -30 et regroupées en 3 thèmes : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la ment / maintien -40 de 2006 l’activité, 2007 Rentabilité, 2008 2009 RH et 2010gouver- 2011 2012 moyennes 2013 est inférieure 2014 2015 à 1 (0,36 2016 2017 à 2018 0,96), et corres- nance. pondent à une part faible mais croissante des risques Pour la France Crise du crédit Crise « fort de la»dette à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des souveraine Pour l'Internationnal Cette année, nous avons inclus une question spécifique cumuls de pourcentages, on aurait pu faire figurer « le au vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de attentes des dirigeants à l’égard des candidats à la clients » (moyenne 1,0, mais 20% et 24% de risques forts présidentielle. Une inversion de la tendance observée en 2017 : la France monte ou très quand forts). l’International stagne. Et pour la première fois, nous avons posé directement la Cet indicateur est le seul qui dépasse - et de 10 points - son niveau de 2006 pour la France. question du moral optimiste ou pessimiste des dirigeants Le même classement a été utilisé pour retenir les défis (là aussi sur Conséquence de laune réforme échelle du droit de du1travail à et 4).de la réforme les plus ou deleslamoins formation prioritaires pages 16 (les àplus professionnelle priori- venir ? Les mesures engagées ou annoncées semblent redonner confiance taires : notesauxde 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires dirigeants. Page 6 : l’introduction de la réponse « non concerné » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. La France baisse, l’étranger monte : même schéma qu’en 2007 et 2009 (mais avec moitié moins d’écart entre les 2 courbes qu’à l’époque). 19 7 EN PARTENARIAT AVEC Les prévisions d’augmentation d’effectifs sont en croissance en France et à l’étranger, mais en France, les dirigeants prévoient à quasi-égalité de recruter ou de réduire leurs effectifs.
Synthèse : remontée Confiance historique dans l’avenir, et forte poussée tempérance de la France sur l’international Profil des répondants et méthodologie 100 Indicateur d'optimisme Plus d’une centaine de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 sur l'activité décembre 2016. La typologie 80 des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par rapport à l’année dernière) est la suivante60: 56 56 40 Secteur d’activité 20 Autre Finance / 0 6% Assurance -20 21% 27% 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 Services Indicateur d'optimisme 80 23% 23% 71 Infrastructures Industrie sur la rentabilité 70 60 Effectifs 50 50 Taille : CA Le match France / étranger sur l’activité > 50 000 40 salariés 35 < 5 000 salariés > 20 Mds € < 1,5 Mds € 15% 15% 30 20 30 Un retour de l’international 15 10 46% Entre 20 000 et % 0 46% 20% 50 000 salariés Entre 5 et -10 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 20 Mds € 2018 24% Entre 5 000 et Entre 1,5 19% 20 000 salariés et 5 Mds € Indicateur d'optimisme 100 sur l'investissement 70 80 À l’occasion de son 10 anniversaire, le questionnaire ème a – avec 2016 (première année de digitalisation du évolué : les deux premières parties – l’Atlas et les soldes 60 questionnaire avec réponse obligatoire) s’est faite avec 39 d’opinion (précédemment « indicateurs d’optimisme 40 ») l’hypothèse que les non concernés ont dû cette année-là 100 41 39 ont été ajustées en incluant une possibilité20 de réponse répondre en « stabilité ». « non concerné », évitant des biais dans un questionnaire désormais 80 76 digitalisé à 0 100%. Pages 14 et 15, le classement des risques a été effectué -20 sur une note moyenne, calculée en chiffrant les niveaux Surtout,60une refonte des questions sur -40les prévisions 56 des réponses de 0 (faible) à 3 (très fort), à l’exclusion 60 plus de compacité (les risques qualitatives donne 2006 d’une 2007 2008 « non concerné ». Les résultats vont de56 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 1,93/3 2017 2018 pour les part, les40défis de l’autre) et plus de finesse (les réponses risques juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque oui / non ont été remplacées Indicateur par une échelle d'optimisme 80 de 1 à 4 + d’OPA hostiles. les 20 non sur les effectifs 70 concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, sous 60 50 la forme plus parlante des % pour chaque risque, en Les risques 0 internes et externes ont été 40regroupés en particulier sur le cumul des « fort » et « très fort ». 24 23 une question commune. 30 20 -20 10 On notera que l’ordre selon les moyennes19n’est pas Les questions2006 sur les2007 défis et2008 les actions 2009 prioritaires 02010 9 2011ont 2012 calqué 2013 sur 2014celui2015 des cumuls 2016 de 2017pourcentage 2018 : dans le été fusionnées et regroupées en 3 thèmes-10 : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la -20 ment / maintien de Pour la France Rentabilité, RH Crise l’activité, du crédit Crisemoyennes et gouver- de la dette souveraine est inférieure à 1 (0,36 à 0,96), et corres- -30 Pour l'Internationnal nance. -40 2006 2007 2008 2009 pondent 2010 à 2011 une 2012 part 2013 faible 2014 mais 2015 croissante 2016 2017 des 2018 risques « fort » à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des Cette année, nous avons inclus une question spécifique cumuls de pourcentages, on aurait pu faire figurer « le au vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de Après attentes des prévisions des dirigeants moroses à pour l’égard 2017 des en candidats Globalement les prévisions négatives sur la rentabilité ne freinent France, à cette la nouvelle pas»édition clients (moyenne les marque un 1,0, mais perspectives regain 20% etd’optimisme d’investissement24% deà risques moyen pour forts la France présidentielle. terme. comme pour l’International. Trois constats majeurs ou : très forts). Et pour . pour la la première première fois,fois nous avons2011 depuis posé (prévisions directementexpriméesla fin 2010), l’ensemble des indicateurs progresse question Dansen du le match moral FranceFrance optimiste comme / étranger,ou pessimiste va-t-on vers un amortissementLedes à l’International des dirigeants mêmeexcèsclassement ? a été utilisé pour retenir les défis (là aussi sur une 2011-2015 : cap à l’international. échelle de 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- . le dynamisme de la France lui fait rejoindre l’International, taires exactement : notes de pour 2,26 à les et 1,93) indicateurs 17 (les moins d’activité et prioritaires 2016 : inversion brutale des tendances. Page d’investissement, 6 : l’introduction et de quasiment la réponse pour « non les deux concerné autres » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation 2017 : retour Lesplus soldesmodéré d’opinionde la préférence mettent pourcombien bien en lumière l’international. la stabilité globale des prévisions sur l’activité masque une cette . lesannée soldes fait réelle apparaître disparité d’opinion qu’1/4 entre France pour du panel laetFrance étranger. n’est pas retrouvent leurs niveauxpage 16 dedans 2006l’ordre du cumulde (à l’exception deslapourcentages rentabilité). « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. L’étranger regagne 12 points, la France en perd 11 : l’étranger reprend le dessus pour les indicateurs d’activité, après l’inversion historique de 2016. 12 EN PARTENARIAT AVEC 19 8 des années 2013 à 2015. L’écart résultant est toutefois nettement plus modéré que celui EN PARTENARIAT AVEC
Le moral des dirigeants Optimisme généralisé pour les dirigeants Profil des répondants et méthodologie 90% des dirigeants se déclarent optimistes pour 2018 Les dirigeants ont envie d’y croire Plus d’une centaine de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre 2016. La typologie des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par 80% des dirigeants se déclarent plutôt voire très optimistes pour 2017 rapport à l’année dernière) est la suivante : Secteur d’activité Autre Finance / 6% Assurance 21% 27% Services 2018 : L’engagement 23% 23% Infrastructures Industrie Effectifs 2017 : L’envie Taille : CA > 50 000 salariés > 20 Mds € < 5 000 salariés < 1,5 Mds € 15% 15% 2016 15 : La lucidité 46% %Entre 20 000 et 46% 20% 50 000 salariés Entre 5 et 20 Mds € 24% 2015Entre:5 000L’endurance et Entre 1,5 19% 20 000 salariés et 5 Mds € 2014 : La résistance À l’occasion de son 10ème anniversaire, le questionnaire a– avec 2016 (première année de digitalisation du évolué : les deux premières parties – l’Atlas et les soldes questionnaire avec réponse obligatoire) s’est faite avec d’opinion (précédemment « indicateurs d’optimisme ») l’hypothèse que les non concernés ont dû cette année-là ont été ajustées en incluant une possibilité de réponse répondre en « stabilité ». digitalisé à 2013 : Le pragmatisme « non concerné », évitant des biais dans un questionnaire désormais 100%. Pages 14 et 15, le classement des risques a été effectué sur une note moyenne, calculée en chiffrant les niveaux Surtout, une refonte des questions sur les prévisions de 0 (faible) à 3 (très fort), à l’exclusion des réponses 2012 : Le fatalisme qualitatives donne plus de compacité (les risques d’une part, les défis de l’autre) et plus de finesse (les réponses « non concerné ». Les résultats vont de 1,93/3 pour les risques juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque oui / non ont été remplacées par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. les non concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, sous 2011 : L’espoir la forme plus parlante des % pour chaque risque, en Les risques internes et externes ont été regroupés en particulier sur le cumul des « fort » et « très fort ». une question commune. 2010 : Le pessimisme On notera que l’ordre selon les moyennes n’est pas Les questions sur les défis et les actions prioritaires ont calqué sur celui des cumuls de pourcentage : dans le été fusionnées et regroupées en 3 thèmes : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la ment / maintien de l’activité, Rentabilité, RH et gouver- moyennes est inférieure à 1 (0,36 à 0,96), et corres- nance. 2009 : Le volontarisme pondent à une part faible mais croissante des risques « fort » à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des Cette année, nous avons inclus une question spécifique cumuls de pourcentages, on aurait pu faire figurer « le au vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de présidentielle. 2008 : La confiance attentes des dirigeants à l’égard des candidats à la clients » (moyenne 1,0, mais 20% et 24% de risques forts ou très forts). Et pour la première fois, nous avons posé directement la question du moral optimiste ou pessimiste des dirigeants Le même classement a été utilisé pour retenir les défis (là aussi sur une échelle de 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- taires : notes de 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires Page 6 : l’introduction de la réponse « non concerné » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente 13 et « très fort » ENpour plusAVEC PARTENARIAT de lisibilité. 19 9 EN PARTENARIAT AVEC
Des risques es risques de lourdeur jugés faibles, parfoisenenFrance, de natures contradiction diverses à avec l’international 2. Les résultats qualitatifs r médiatisation Profil des répondants et méthodologie Des dirigeants majoritairement moins inquiets… Plus d’une centaine de grandes entreprises (CAC40, SBF120, non cotées) ont été sollicitées entre le 16 novembre et le 16 décembre 2016. La typologie des répondants (avec une légère évolution à la hausse des plus grandes entreprises par mi lesParmi les risques risques Parmi rapport suivants, suivants, quels lesdernière) à l’année risques sont quels sont : ceux suivants, est la suivante qui ceux quels sont qui vous vous qui préoccupent préoccupent ceux vous préoccupent moins lepour plus2017 lepour plus ?2017 pour? 2018 ? Secteur d’activité Autre Finance / 6% Assurance 21% 27% Evolution/ Services Classement Les défaillances de 2017 la part des clients Des risques 2 et législatifs juridiques 23% 31% 40% 4 23% (nouvelles réglementations...) 19% 46%Infrastructures 21% 23% 13% Industrie = Le niveau de l'inflation 2 15% Effectifs 42% 38% 2 Taille : CA Le niveau de la croissance 17% > 50 000 salariés 42% 31% 10% > 20 Mds € = < 5 000 salariés < 1,5 Mds € tion de l'Union Européenne 15% 15% sur la scène internationale 2 15% 31% 40% 12% Les cyber-risques 46% 1513% % Entre 20 000 et 44% 46%27% 2013% % 2 +4 50 000 salariés Entre 5 et 20 Mds € Le cours du pétrole Des risques8% 8% 24%19% géopolitiques 33% 33% 19% et sécuritaires 13% Entre 5 000 et 20 000 salariés 33% 27% Entre 1,5 et 5 Mds € 17% 10% -1 Une instabilité politique Le Européenne en Union niveau de 2 son 13% des contraintes À l’occasion anniversaire, 31% 10èmesociales le questionnaire a – avec44% 2016 (première année10%de digitalisation du évolué : lesetdeux premières parties fiscales en France – 13% l’Atlas et les soldes 29% questionnaire29% 27%s’est faite2 avec-1 avec réponse obligatoire) d’opinion (précédemment « indicateurs d’optimisme ») l’hypothèse que les non concernés ont dû cette année-là e réchauffement climatique ont été ajustées en15% 33%de réponse incluant une possibilité 29% en « stabilité ».23% répondre La concurrence internationale 15% « non concerné », évitant des biais dans 25% un questionnaire 25% 23% 12% = désormais digitalisé à 100%. Pages 14 et 15, le classement des risques a été effectué La question du respect de sur une note moyenne, calculée en chiffrant les niveaux Surtout, une refonte la laïcité en entreprise 6% 19% des questions sur les prévisions 52% de 0 (faible) à 3 (très fort), 23%à l’exclusion des réponses qualitatives donne plus de compacité (les risques Très d’une fort «Fort non concernéMoyen ». Les résultats Faible vont nonde 1,93/3 pour les concerné part, les défis de l’autre) et plus de finesse (les réponses risques juridiques et législatifs à 0,36/3 pour le risque oui / non ont été remplacées par une échelle de 1 à 4 + d’OPA hostiles. les non concernés). Les tableaux reprennent cet ordre de présentation, sous Très fort Fort Moyen la forme plus parlante Faible des % pour chaque risque, en non concerné Les risques internes et externes ont été regroupés en particulier sur le cumul des « fort » et « très fort ». une question commune. On notera que l’ordre selon les moyennes n’est pas Les questions sur les défis et les actions prioritaires ont calqué sur celui des cumuls de pourcentage : dans le été fusionnées et regroupées en 3 thèmes : Développe- tableau page 15, les risques retenus sont ceux dont la ment / maintien de l’activité, Rentabilité, RH et gouver- moyennes est inférieure à 1 (0,36 à 0,96), et corres- nance. Les cyber-risques font leur entrée sur le podium, conséquence pondent logique à une part faible mais de l’exposition croissante croissante des risques de l’économie du fait de sa digitalisation. La « fort » à « très fort » (de 6% à 28%). Sur ce critère des types de risquesLessont dirigeants jugés attendent comme fortsbeaucoup ou très de vague forts par moins de piratages la simplification de 30%dedes informatiques l’Etat mais craignent dirigeants. delel’année passée et l’anticipation des nouvelles contraire. Cette année, nous avons inclus une question spécifique réglementations sur les données personnelles ont probablement joué un rôle. cumuls de pourcentages, on aurait pu faire figurer « le au vu du calendrier électoral particulier de 2017, sur les cours du pétrole » et « des défaillances de la part de Les risques e façon surprenante, Le enrisque fontgéopolitiques de taux partie des et sécuritaires disparait thèmes très des se maintiennent préoccupations médiatisés que lalogiquement à un niveau prioritaires. élevé. attentes des dirigeants à l’égard destelscandidats laïcité à laen entreprise, clientsle»réchauffement (moyenne 1,0, mais 20% et 24% de risques forts matique, et dans une Lesmoindre autresmesure présidentielle.risques lesont vieillissement stables en desclassement, salariés. mais baissentou entrès forts). valeur absolue. Une accentuation du caractère mondialisé des préoccupations. Et pour la première fois, nous avons posé directement la eci pose une question Les: lesfacteurs question médias de«risques en du moral font-ils »perçus optimiste trop, ouou sont moins desnombreux les dirigeants pessimiste des grandes: seuls dirigeants 3 dépassent entreprises Le sont-ils même 50%une pour classement contre a été6utilisé grande pour pour 2017.retenir les défis art déconnectésTrois disparitions de ces (làproblèmes du topsociété aussi desur 6 : les ?cyber-risques se répartissent à part égale entre très fort ou fort, et moyen ou faible (sans une échelle de 1 à 4). les plus ou les moins prioritaires pages 16 (les plus priori- corrélation avec la taille de l’entreprise) ; la volatilité des marchés financiers et le contexte déflationniste reculent dans les taires : notes de 2,26 à 1,93) et 17 (les moins prioritaires préoccupations. Page 6 : l’introduction de la réponse « non concerné » 0,76 à 0,98), avec une adaptation de la présentation cette année fait apparaître qu’1/4 du panel n’est pas page 16 dans l’ordre du cumul des pourcentages « fort » concerné par l’international. La comparaison – prudente et « très fort » pour plus de lisibilité. 15 14 19 10 EN PARTENARIAT AVEC EN PARTENARIAT EN PARTENARIAT AVEC AVEC
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