Beauport Paul Trépanier - Continuité - Érudit
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Document généré le 17 déc. 2020 23:04 Continuité Beauport Paul Trépanier Splendeur du mobilier victorien Numéro 38, hiver 1988 URI : https://id.erudit.org/iderudit/18707ac Aller au sommaire du numéro Éditeur(s) Éditions Continuité ISSN 0714-9476 (imprimé) 1923-2543 (numérique) Découvrir la revue Citer cet article Trépanier, P. (1988). Beauport. Continuité, (38), 49–55. Tous droits réservés © Éditions Continuité, 1987 Ce document est protégé par la loi sur le droit d’auteur. L’utilisation des services d’Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d’utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l’Université de Montréal, l’Université Laval et l’Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. https://www.erudit.org/fr/
UNE VILLE Entre les battures et les Laurentides, Beauport s'étend sur un territoire de 68 kilometres carrés dont près de la moitié Depuis sa fondation en 1634 par le sieur est encore occupée par la forêt, (photo: Robert Giffard, le petit Bourg-du-Fargy est devenu Roger Rainville) Beauport, l'une des quinze villes en importance au Québec. O is entre Québec et la côte de Il y a à peine 40 ans, le B e a u p o r t - E s t ( 1 9 2 1 ) , Beau- O Beaupré, bordé par les cé- territoire de Beauport regrou- p o r t - O u e s t e t Sainte-Thérèse lèbres b a t t u r e s du S a i n t - pait une demi-douzaine de mu- (1937). La fusion à Beauport de Laurent et les Laurentides, nicipalités que reliait le cordon ces six villes, en 1976, a permis Beauport est, avec ses 63 000 sinueux du chemin Royal. Au de reconstituer la presque tota- habitants, la 14' ville en impor- fil des ans, les anciens villages lité du territoire d'origine. Fait tance au Québec. U n peu s'étaient détachés de la paroisse surprenant, près de la moitié de comme la ville de Charlesbourg mère, comme le village indus- la superficie de 68 kilomètres (11e), Beauport représente bien ttiel du Sault-Montmorency carrés est encore occupée par la le cas de ces vieux villages qué- (aujourd'hui Saint-Grégoire) forêt. bécois que le développement qui devint autonome en 1890. suburbain de l'après-guerre a La cité de Giffard est créée en propulsé au rang des grandes 1912, puis s'ajoutent Saint- villes de banlieue. Louis-de-Courville (1916), COIYnNUTKhlvrr 1988 49
Sous le signe de I éclectisme, les mai- sons en rangée de la rue du Couvent, (photo: B. Ostiguy) LE BOURG-DU-FARGY Le Bourg-du-Fargy est dé- Du Régime français jus- Le Vieux-Beauport, ou limité à l'ouest par la rivière que vers 1900, le tracé des rues comme on l'appelait au XVIL Beauport et à l'est pat la rue Pie évolue peu. Il existe deux axes siècle, le Bourg-du-Fargy, est le XII. C'est dans ce périmètre que importants: l'avenue Royale et noyau du vaste arrondissement s'installent, à partir de 1634, les l'actuelle rue des Cascades, historique reconnu par l'État en premiers colons après que cette coupées par les rues Saint-Jules 1964. En plus de regrouper des seigneurie ait été concédée au et Seigneuriale. Une seule ar- dizaines d'édifices remar- sieur Robert Giffard. En 1700, tète est ouverte au sud de l'ave- quables, ce secteur présente une le village est déjà bien établi. Il nue Royale, en direction de l'é- trame urbaine ancienne que possède une église, un presby- glise: l'actuelle rue du Temple. 350 ans de développement ont tète et une quinzaine d'habita- C'est dans cette partie de peu altérée. tions donnant sur l'avenue la vieille ville, parmi des bâti- Royale. Une enceinte de pieux ments institutionnels, qu'on re- entoure le bourg. En 1642, le trouve encore aujourd'hui la seigneur avait construit un im- maison Bellanger-Girardin posant manoir ainsi que deux dont le début de la construction moulins, tous trois le long de la remonte à 1727. Maintenant rivière Beauport, à moins d'un restaurée, cette maison loge le kilomètre à l'ouest du village. centre d'exposition de la So- 50 roOT.NMTt.hl.fr 1988
ciété d'art et d'histoire de Beau- L'EXPANSION Montmorency, l'industriel Pe- pierre à chaux. Les gisements de port et témoigne éloquemment Au cours du XIX' siècle, ter Patterson, le nouveau sei- pierre à chaux sont d'ailleurs de la première architecture qué- la population beauportoise gneur de Beauport qui habite le omniprésents sur le territoire de bécoise, simple et solide, rare- double tous les 40 ans, passant manoir Montmorency, la paroisse; vers 1860, plus ment conservée avec autant de 870 en 1790 à 6 800 en 1900. construit des scieries dont on a d'une centaine d'agriculteurs d'intégrité. Le Beauport histori- Le village, essentiellement agri- dit qu'elles étaient les plus exploitent des fours à chaux sur que ne contient pas moins de cole, se densifie, on y construit grandes au monde. L'industtie une base artisanale. 140 maisons traditionnelles de vastes bâtiments institution- textile prendra la relève des L'accroissement de la po- québécoises; elles s'élèvent nels et l'industrie vient occuper scieries après leur fermeture pulation et l'avènement de l'in- pour la plupart le long de l'ave- une main-d'oeuvre maintenant vers 1885; un siècle plus tard, dustrie exigent de nouveaux nue Royale et des quelques ar- abondante. en 1986, l'usine Dominion édifices institutionnels. Le tères anciennes. Le mode d'im- Au début du XIX' siècle, Textile a dû, à son tout, fermer coeut du Bourg-du-Fargy troque plantation de ces maisons est deux centres industriels vont ses portes. Saint-Grégoire-de- son apparence de vieux village fort intéressant; orientés dans prendre leur essor. Le premier Montmorency doit sa très forte agricole contre celle d'une mu- l'axe de la division des terres se trouve près de la rivière Beau- densité de population à son im- nicipalité prospère, moderne et seigneuriales que traverse en port, à l'endroit même où Ro- portant passé industriel. Un diagonale le chemin Royal, les bert Giffard avait implanté autre secteur de l'industrie bâtiments sont disposés en Les maisons traditionnelles de l'ave- deux moulins; une distillerie et beauportoise, celui-ci encore nue Royale implantées «en dents de scie - dents de scie, créant des pers- trois moulins occupent alors ce bien vivant, remonte au Ré- offrent des perspectives de rue uniques en pectives de rue bien singulières. secteur. Au pied de la chute gime français: l'extraction de la leur genre, (photo: B. Ostiguy) I O M I M I I I lil.i-i 1988 51
coquette. Les grands travaux commencent en 1850 par le remplacement de l'église pa- roissiale de 1722. Le jeune ar- chitecte Charles Baillairgé dresse les plans d'une vaste église, d'une longueur de 200 pieds, dans un style tout nou- veau: le néo-gothique. Le décor intérieur est confié à un autre architecte québécois: F.-X. Berlinguet. Incendiée à deux reprises, en 1890 et 1916, l'é- glise de la Nativité est recons- truite aussitôt selon les mêmes plans, les flèches des clochers en moins. On dote aussi la pa- roisse d'un nouveau presbytète en 1864, plus spacieux et mo- numental. Avec la construc- tion du très beau couvent des Dames de la Congtégation et des maisons en tangée de la rue du C o u v e n t , le c e n t r e du Vieux-Beauport acquiert un ca- ractère éclectique fort harmo- nieux qui contraste avec la pré- sence de la sobre maison Bel- langer-Girardin. Le toit mansarde, une composante architecturale dominante dans les mai- sons bourgeoises construites à Beauport à la fin du siècle dernier, (photo: B. Os- tiguy) En vente dans nos librairies, LA RENOVATION chez nos concessionnaires, par commande postale et chez votre libraire habituel. i Les Publications du Québec Façades et devantures C.P. 1005 Québec (Québec) Guide de rénovation G1K 7B5 % & * & des bâtiments commerciaux Vente et information : E n f i n u n g u i d e sur la rénovation des (418)643-5150 façades des b â t i m e n t s c o m m e r c i a u x . Il (Sans frais) présente u n e d é m a r c h e d'ensemble q u i 1-800-463-2100 p e r m e t d ' i d e n t i f i e r les travaux à effectuer et leurs étapes de réalisation. Grâce à ce guide, les rues c o m m e r c i a l e s devraient nous offrir u n nouveau c o u p d'oeil. Ministère des Affaires municipales 1987. 136 pages EOQ 23924-4 18,95 $ Québec 52 MWmiM ITK hiver 1988
La chapelle du parc des Saints- Martyrs construite entre le cimetière de Giffard et l'esplanade qui domine le fleuve, (photo: B. Ostiguy) LES GRANDS La famille Gugy avait subsiste encore quelques-uns de DOMAINES aussi acquis le domaine de Sala- ces châteaux de bois sut le bou- Le paysage urbain de berry adjacent au domaine sei- levard Sainte-Anne, masqués Beauport conserve encore des gneurial. Un incendie détruisit par les motels et les restaurants traces de la plupart de ses grands la vieille résidence en 1969 qui font la renommée de la domaines bourgeois. Seul l'an- mais les magnifiques grilles de route de S a i n t e - A n n e - d e - cien manoir de Robert Giffard, fer ouvragé subsistent encore. Beaupré. détruit pat un incendie en C'est sur des concessions de ce Le plus fameux domaine 1878, fait exception à la tègle. domaine que sont construites, à de Beauport est sans contredit Cette demeure seigneuriale que la fin du XIX' siècle, les grandes celui du manoir Montmorency, les successeurs de Giffard, les demeures bourgeoises de cette construit en 1790 pour le gou- Juchereau du Chesnay, occupe- partie de l'avenue Royale qui verneur Haldimand et agrandi à ront pendant près de deux bénéficient toutes d'une vue plusieurs reprises. Maintenant siècles, est vendue en 1844 au imprenable sur le fleuve et la un établissement hôtelier, le colonel B.C.A. Gugy. De 1845 capitale. D'ailleurs, Beauport manoir est, par son architec- à 1850, le vieux manoir loge possède au tournant du siècle ture, ses jardins et son site qui l'Asile de Beauport avant le dé- un secteur de villégiature près surplombe la chute, un haut ménagement de l'institution sur des battures, au sud du Bourg- lieu de l'histoire de la villégia- le chemin de la Canardière. du-Fargy: Everell Station. Il ture au Québec. Études d'impact sur l'environnement - Programmes de recherche ethnoscop Projets de mise en valeur CONSULTANTS EN ARCHÉOLOGIE 360 Saint-François-Xavier Bureau 300 Montréal (Québec) H2Y2S8 Tél.: (514)849-3791 ..OVriMITI.lll.rr I98H 53
L'Asile de Beauport s'ins- tecte bénédictin Dom Paul Bel- PERSPECTIVES L'entrée en service d'un archi- talle en 1850 sur un autre grand lot, dont les oeuvres ont mar- D'AVENIR tecte à la Ville de Beauport dé- domaine de Beauport, celui du qué l'architecture religieuse du La mise en valeur d'un montre qu'elle entend prendre juge Amable de Bonne. Dé- XX' siècle. Dufresne obtiendra arrondissement historique aussi en main la destinée de son pa- vasté plusieurs fois par des in- la célébrité grâce à une oeuvre vaste et varié que celui de Beau- trimoine. Des interventions cendies, l'hôpital fait toujours en particulier: la basilique de port n'est pas chose facile, d'où éclairées dans un environne- partie de ce grand domaine Cap-de-la-Madeleine. À Beau- le besoin d'études approfondies ment ancien aussi riche ne peu- dont les dimensions sont celles port, Adrien Dufresne construi- sur toutes les facettes du paysage vent que se transformer en un d'une ville à l'intérieur d'une ra plusieurs bâtiments impor- utbain ancien. Une première actif culturel et économique de autre ville. tants. Il conçoit à son retour étude d'ensemble du patri- première importance. d'Europe, au début des années moine vient d'être effectuée à la LE XX' SIÈCLE trente, l'imposant maîtte-autel suite d'une entente entre le mi- La g r a n d e è r e de de l'église de la Nativité, oeuvre nistère des Affaires culturelles Paul Trépanier construction se poursuit au XX' que les critiques d'art du temps et la Ville de Beauport. L'utilité Historien d'art et rédacteur siècle avec la constitution de ont salué avec grand enthou- d'un tel document est bien sûr adjoint de Continuité. cinq nouvelles municipalités. siasme. En 1946, il livre les de permettre une meilleure C'est pendant cette période que plans du nouvel édifice princi- connaissance du patrimoine l'architecte Adrien Dufresne pal de l'hôpital Saint-Michel- pour ceux qui ont le mandat de (1904-1982) laissera sa marque Archange (maintenant centre l'administrer mais aussi de pro- dans Beauport. Natif et résident hospitalier Robert-Giffard). poser des priorités dans la plani- de Beauport, Adrien Dufresne a On doit aussi à cet architecte la fication des interventions. étudié à l'Ecole des Beaux-Arts conception des hôtels de ville de Québec avant d'aller se per- de Beauport et de Giffard ainsi fectionner en Europe vers 1930 que l'église Sainte-Thérèse-de- auprès de son maître, l'archi- Lisieux. 54 COVriM ITI. hher 1988
À VOIR 6. Maison Bellanger-Girardin, (HORS C A R T E ) populaire s'intègre assez bien à 1. Secteur de la rivière Beauport. 600, avenue Royale (XVIII* 1 1 . Parc des Saints-Martyrs, du cet ensemble ancien. Au sud de U n des sites archéologiques siècle). U n des plus célèbres nord de l'avenue Royale, à la la place se dresse la maison majeurs de la région de vestiges du Régime français au hauteur de l'avenue des Martyrs Tessier dit Laplante, un Québec. Le manoir de Robert Québec, la maison dans le quartier Giffard. Cette monument classé et restauré Giffard se trouvait dans ces Bellanger-Girardin profite d'un vaste esplanade créée dans les par l'État. environs ainsi que plusieurs environnement champêtre années 1920 relie l'avenue 14. Manoir Montmorency, 2490, moulins et la distillerie de intact. Restaurée et ouverte au Royale au cimetière paroissial. avenue Royale. Construite pour Beauport en activité de 1792 à public, elle loge le centre De l'aménagement originel le gouverneur Haldimand, cette 1910. Ce site maintenant d'exposition de la Société d'art subsistent le monument grande villa connut la célébrité reconquis par la nature est et d'histoire de Beauport. commémoratif, les plantations en devenant la résidence du menacé par l'éventuelle 7. Maisons en rangée, 2-12, rue et la chapelle dont on doit les duc de Kent, le père de la reine ouverture de l'axe routier du Couvent (v. 1920). plans à l'historien d'art Gérard Victoria. Maintenant un Saint-David qui doit relier le Morisset. établissement hôtelier, le Alignées sur un terrain en boulevard Sainte-Anne à pente et entretenues 12. Église Sainte-Thérèse-de- manoir conserve encore tout l'autoroute de la Capitale. jalousement par leur Lisieux (1936), boulevard son cachet dans 2. Emplacement de la maison propriétaire, ces six maisons Bertrand, Adrien Dufresne, l'environnement des chutes Salaberry, 482-488, avenue forment un ensemble d'architecture architecte. Malgré ses petites Montmorency. Royale. Lieu de naissance de éclectique des plus original. dimensions, l'église 15. Centre hospitalier Charles-Michel de Salaberry, le g. Couvent de la congrégation Sainte-Thérèse est Robert-Giffard (anciennement héros de la Châteauguay. La Notre-Dame, 11, rue du probablement l'une des oeuvres hôpital Saint-Michel- vieille résidence reconstruite en Couvent (1886), F.-X. les plus achevées et sûrement Archange, 1946) 2601, chemin 1882 après un incendie fut de Berlinguet, architecte. Le l'une des plus attachantes du de la Canardière. Adrien nouveau ravagée par les couvent de Beauport dresse sa style Dom Bellot au Québec. Dufresne, architecte. Construit flammes en 1969 puis démolie. silhouette élancée dans un petit O n doit à Henri Angers dans un grand parc paysager, le Les grilles de fer ouvragé de boisé au coeur de la ville l'admirable sculpture au complexe hospitalier nous l'entrée principale, quoique fort trumeau du portail. rappelle encore qu'à l'origine le historique. Au fond du terrain, délabrées, rappellent toujours ce une dépendance reprend les 1 3 . Le noyau institutionnel de domaine en était un de grand domaine maintenant occupé formes architecturales de Saint-Louis de Courville, au villégiature. Le bâtiment par des immeubles d'habitation. l'édifice principal. nord de l'avenue Royale, à la principal, colossal, est 3 . Alignement de belles 9. Presbytère, 25, rue du hauteur de l'avenue Vachon. maintenant le point de repère résidences à toit mansardé, 492 Couvent. Le monumental Grande place publique du majeur de la côte de Beauport. à 550 avenue Royale. Ces presbytère de Beauport fut début du XX' siècle entourée maisons construites à la fin du construit en 1864 et réaménagé par l'église, le presbytère et le XIX' siècle possèdent toutes de vers 1900. Tout comme les poste de pompiers. Fait grands terrains et une vue maisons bourgeoises de la ville, surprenant, la nouvelle Caisse panoramique sur le Saint-Laurent. le bâtiment profite d'un 4 . Centre administratif panorama enviable par son Louis-Juchereau, 10, rue de implantation sur une pente qui O U S'ARRÊTER Langlois, Michel. Les ancêtres l'Hôtel de Ville. Bien qu'elle domine le fleuve. Manoir Montmorency, 2490, Beauportois 1 6 3 4 - 1 7 6 0 . Québec, l'ait agrandi récemment, la 10. Église de la Nativité, rue du avenue Royale, (418) 663-2955. l'Éclaireur, 1984, 367 p. Ville de Beauport conserve Couvent. Construite une Le Baron Rouge, 350, boulevard Lortie, Marcel. Beauport et son encore son bel hôtel de ville première fois en 1850 par Sainte-Anne, (418) 667-1355. curé. Sainte-Anne-de-Beaupré, Art déco, oeuvre de l'architecte l'architecte Charles Baillairgé, 1983, 149 p. beauportois Adrien Dufresne. l'église de Beauport est À LIRE Tardif-Painchaud, Nicole. Dom 5. Maison Marcoux, 588, avenue incendiée à deux reprises en Dufresne, Michel. Beauport: de Bellot et l'architecture religieuse au Royale. Construite en partie au 1890 et en 1916. Elle fut la côte à l'arrière-pays. Québec, Québec. Québec, Les Presses de Régime français, la maison reconstruite chaque fois selon ministère des Affaires culturelles, l'Université Laval, 1978, 262 p. Marcoux possède encore sa les mêmes plans, à l'exception 1977, 79 p. (Les cahiers du grange, fait inusité dans un des deux clochers tronqués patrimoine n" 8) POUR EN SAVOIR PLUS centre-ville. L'ajout d'une depuis 1916. Le maître-autel Gagnon Pratte, France. La Société d'art et d'histoire de grande lucarne centrale en néo-gothique (v. 1930), conçu L'architecture et la nature à Beauport, Maison Bellanger- 1921 est une remise au goût du par l'architecte Adrien Québec au X I X ' siècle: les villas. Girardin, 600, avenue Royale, jour inspirée par les formes Dufresne, se pare d'un bel Québec, ministère des Affaires Beauport, Que., G 1 E 6 Y 9 . (418) éclectiques des maisons en ensemble de statues en ronde- culturelles, Musée du Québec, 1980, 666-2199. rangée de la rue du Couvent. bosse du sculpteur Henri Angers. 334 p. .:OVHMm.lil,er I98B 55
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