Capture Beauty - Villa Rose Paris
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Dossier de presse Capture Beauty Une exposition collective et caritative proposée par Wise Women en partenariat avec Wacoal au bénéfice de femmes artistes en exil en collaboration avec Thanks for Nothing & L’atelier des artistes en exil du vendredi 8 au samedi 16 mars 2019. www.wisewomen.fr
Wise Women organise, en partenariat avec Wacoal, sa toute première exposition Capture Beauty, à l’occasion de la Journée Internationale des femmes à la Villa Rose du vendredi 8 au samedi 16 mars 2019. Wise Women, cercle de femmes engagées dans la culture, représentée par Maroussia Rebecq (co- fondatrice de Wise Women) et Margaux Barthélemy (commissaire d’exposition indépendante) invite six artistes, Leslie David, Alice Guittard, Inès Longevial, Célia Nkala, Apolonia Sokol et Camille Vivier, à produire une œuvre qui sera vendue au profit de femmes artistes en exil. Saisir la beauté, voici le point de départ de cette exposition caritative intitulée Capture Beauty. L’incarner au féminin s’inscrit dans le contexte de Wise Women – communauté féminine et culturelle chère aux deux commissaires d’exposition. La représentation de la beauté à travers le corps féminin rythme l’histoire de l’art depuis l’origine. La beauté est tantôt érotisée, intellectualisée, exagérée. Sa représentation change et l’histoire de l’art devient alors le témoin de l’évolution de nos canons de beauté, marqueurs de nos époques. Plus près de nous, les artistes semblent exprimer une vision renouvelée du beau, instaurant de nouvelles beautés. À l’heure 2.0 où la beauté n’a jamais été aussi retouchée et formatée, ces 6 femmes artistes s’emparent du sujet le temps d’une exposition organisée autour de la Journée internationale de la femme. Elles ne tenteront pas de définir la beauté ni d’en donner une réponse universelle, mais incarneront cette question, miroir de nos sociétés, à travers des oeuvres qui prendront le pouls de nos visions actuelles de la beauté. Que racontent-elles de notre époque ? Parlent-elles alors de diversité, d’enveloppes charnelles qui abritent nos âmes et nos forces créatrices ? Si cette exposition a pour objectif de porter un regard différent sur la beauté et mettre en valeur une féminité nouvelle, diverse et assurée, elle permet également de mettre en lumière des talents féminins dans un monde où les femmes sont encore sous représentées. Organisée avec la collaboration de Thanks for Nothing, l’intégralité des fonds issus de la vente des œuvres d’art permettra la production d’une exposition de 6 femmes artistes en exil présentée en juin à la Villa Rose. Ces artistes seront sélectionnées conjointement par les curatrices de l’exposition et les artistes du projet, Thanks for Nothing et l’atelier des artistes en exil. SAVE THE DATE : Jeudi 7 mars à 18h30 : Vernissage de l’exposition en présence des curatrices et artistes. Vendredi 8 mars 2019 à 19h30 : Table ronde A l’invitation de Wise Women et à l’occasion de la Journée de la Femme, Thanks for Nothing met en place une table-ronde sur l’accomplissement et la réussite des femmes de la culture. En mobilisant le réseau des Wise Women, Thanks for Nothing entre en dialogue avec une personnalité des médias afin de dresser le portrait de femmes engagées et inspirantes. Artiste, commissaire d’exposition, galeriste, metteuse en scène, historienne, représentante d’association… les personnalités invitées partageront leur parcours tout en évoquant leur volonté de transmission et de valorisation des femmes dans la société. L’exposition est ouverte à tous du lundi au samedi de 12h à 19h, du 8 au 16 mars 2019. Villa Rose : 84 rue d’Amsterdam 75009 Paris Découvrez les vidéos interview des artistes sur notre instagram @wisewomen_paris www.wisewomen.fr
« Les femmes ont-elles besoin d’être nues pour entrer au Metropolitan Museum ? » Déesses, madones, odalisques… l’histoire de l’art est ponctuée de multiples représentations féminines, alors qu’il est complexe de citer des femmes artistes autres que Camille Claudel, Rosa Bonheur, ou Berthe Morisot. Comme si la création était un domaine réservé aux hommes, les femmes ont souvent été reléguées au rang de « muses » ou de « femmes de ». Pourtant elles créent depuis toujours… dans l’anonymat. Dès le Moyen Age, leurs productions n’étaient pas signées ; à la Renaissance, leurs œuvres étaient signées par les maîtres qui dirigeaient les ateliers dans lesquels elles travaillaient. Au XIXème, une femme, déclarée par le Code Civil incapable juridiquement, était sous tutelle masculine et réduite à créer dans sa sphère privée. Pendant longtemps, les femmes ont été exclues des écoles d’art et des académies : ce n’est qu’en 1896 que les cours magistraux de l’École des Beaux-Arts s’ouvrent à elles, tandis que les classes de nu leur restent interdites. Les femmes furent ainsi reléguées aux portraits, compositions florales et arts dits « mineurs » tels que la tapisserie ou broderie. D’après la « Base Joconde » qui répertorie les œuvres des musées en France, le musée du Louvre comptabiliserait seulement une quarantaine de peintures exécutées par des femmes sur un total de plus de 5 000. Les collections du Musée d’Orsay regroupent moins de 7% de créatrices. Et pas plus tard que dans les années 2000, les collections du Centre Pompidou comptaient seulement 18% de femmes. Avec ce slogan de 1989, c’est précisément ce déséquilibre que désignaient les Guerrilla Girls, constatant que dans la section d'art moderne du MET, moins de 5 % des œuvres étaient créées par des femmes artistes tandis que 85 % des nus étaient féminins. Ce collectif d'artistes féministes, fondé à New York en 1985, entend encore aujourd’hui dénoncer la discrimination présente dans le monde artistique. Après de nombreuses années d’activisme, les femmes s’émancipent et leurs œuvres gagnent en reconnaissance, notamment celles d’artistes engagées telles que Orlan ou Niki de Saint Phalle. En 1976, l’historienne de l’art, Linda Nochlin co-réalisait non sans débat aux Etats-Unis une exposition pionnière : « Women Artists, 1550-1950 ». Depuis, plusieurs expositions montrent que l’attention portée à la production des femmes artistes a évolué : « Elles » au Centre Georges Pompidou de 2009 à 2011, Sonia Delaunay au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 2014, Elisabeth Louise Vigée- Lebrun au Grand Palais en 2015… Parallèlement, des femmes ont pu accéder à des postes clefs ces dernières années : Jennifer Flay a fondé la FIAC et la dirige depuis quinze ans ; Christine Macel assurait en 2017 le commissariat de la Biennale de Venise ; Frances Morris est arrivée à la direction de la Tate Modern en 2016. Camille Morineau devient directrice artistique de la Monnaie de Paris en 2016 et veut – après le succès de « Women House » (Oct. 2017-Janv. 2018) - consacrer une exposition sur deux aux femmes. Les femmes artistes bénéficient désormais d’une visibilité, certes récente mais croissante, grâce à une prise de conscience qui doit être encouragée : aujourd’hui en France, les femmes sont majoritaires dans les écoles d’art (60%), mais une fois diplômées, disparaissent des circuits et font face à des difficultés de commercialisation. D'après une étude réalisée par des chercheurs de la Luxembourg School of Finance l’année dernière 1, 95% des transactions concernent des œuvres réalisées par des hommes. Et les œuvres de femmes seraient sous-évaluées par rapport à celles des hommes. Cadrées par un système de quotas, la majorité des grandes institutions américaines ont exposé plus de femmes sur les dernières décennies, contrairement à l’Europe et la France. Lors de Frieze 2016, les Guerrilla Girls ont organisé “Est-ce encore pire en Europe ?”, une exposition soulignant les efforts faits par les institutions espagnoles, ou anglaises mais dénonçant les maigres progrès des établissements français. 1 https://wwwfr.uni.lu/universite/actualites/a_la_une/la_bulle_du_marche_de_l_art_a_eclate Contacts : Séverine Redon Maroussia Rebecq Margaux Barthélémy Co-fondatrice Wise Women Co-fondatrice Wise Women Co-curatrice de l’exposition +33 6 07 63 01 46 +33 6 61 83 79 05 Capture Beauty severine@wisewomen.fr maroussia@wisewomen.fr +33 6 50 60 86 51
A propos de Wise Women Créé en juin 2017 par Séverine Redon, entrepreneure et fondatrice d’artdicted et la Villa Rose et par Maroussia Rebecq, artiste entrepreneure, Wise Women est un cercle de femmes de la culture et de la création qui ont choisi de faire du partage de leurs expériences et de leurs actions une nouvelle source d’inspiration. Wise Women a pour objet de valoriser les initiatives portées par des femmes, de favoriser les échanges et de faciliter la transmission. www.wisewomen.fr Instagram : wisewomen_paris A propos de Wacoal Wacoal, marque de lingerie japonaise entretient depuis sa création en 1946 un lien fort avec l’art. Koichi Tsukamoto, son fondateur, collectionnait des toiles impressionnistes réalisées exclusivement par des femmes. Il avait réuni en son temps les œuvres de 48 peintres, qui ont fait l’objet d’expositions à Londres puis aux Etats-Unis, et sont désormais visibles à Tokyo au cœur du « Spiral Building », l’équivalent d’un « Wacoal Art Centre » construit en 1985. A propos des curatrices Margaux Barthélémy Fondatrice de Hashtagart.fr et co-fondatrice de Early- Work.com (première plateforme en ligne dédiée aux étudiants en écoles d’art et jeunes diplômés), critique et commissaire d'exposition indépendante basée à Paris. Après avoir étudié l’histoire et le marché de l’art, Margaux rejoint certaines galeries, dont la Carpenters Workshop Gallery à Paris puis à Londres, puis l’atelier de l’artiste Mathias Kiss. Avant de rejoindre il y a trois ans l’agence de communication David Giroire où elle dirige le département architecture, design et art contemporain. Parallèlement, et plusieurs fois par an, Margaux s’adonne à l’exercice du commissariat d’exposition lors d’expositions collectives mettant en lumière la scène émergente française et internationale. Dernièrement, en marge de l’édition 2018 de la foire Art-O-Rama à Marseille, elle a co-curaté une exposition collective de jeunes artistes et projects spaces internationaux avec Sans Titre (2016). Maroussia Rebecq Artiste entrepreneure, Maroussia Rebecq a fondé la marque Andrea Crews. Pionnière de l’upcycling, elle a imposé son style avant-gardiste sur la scène internationale et présente chaque saison des collections innovantes dans le calendrier officiel de Paris Fashion Week. Maroussia Rebecq aime créer des ponts entre l’art, la mode, elle travaille aussi bien avec des institutions comme le Palais de Tokyo ou le Centre Pompidou dans lesquels elle créé des performances participatives, ou des géants comme NIKE ou IKEA pour lesquels elle design des produits exclusifs. Maroussia Rebecq a aussi co-fondé le project space Le Coeur dont elle est la directrice artistique et le cercle de femmes de la culture et la création Wise Women avec Séverine Redon. Féministe et activiste, elle enseigne aussi à casa93, école de mode pour des jeunes défavorisés.
A propos des artistes Leslie David Leslie David est une graphiste, illustratrice et directrice artistique française. Elle a lancé son studio de création en 2009, à Paris. Curieux, boulimique d'expériences et de rencontres le Studio se concentre sur des sujets créatifs très divers dans les secteurs de la mode, la beauté, l'art, la musique ou plus généralement la culture. Son large champ d’action inclut : éditions, logos, identités visuelles, films, animations, produits, imprimés textile, illustrations, projets digitaux… leslie-david.com Alice Guittard Née en 1986 à Nice, Alice Guittard est diplômée de la Villa Arson en 2013. La démarche artistique d’Alice Guittard n’est jamais définie à l’avance et se dessine à partir des rencontres que l’artiste fait dans sa vie. Le marbre est entré dans la vie d’Alice Guittard il y a un an, avec la rencontre d’un jeune graveur lapidaire qui l’a initié à la gravure sur tombe. Après avoir parcouru les cimetières et les marbreries d’Île de France, et récolté beaucoup de fragments, l’artiste a décidé de faire parler les pierres avec des images. Alice Guittard cultive une pratique chronophage de la photographie et elle possède plusieurs milliers de clichés qu’elle n’a jamais vraiment pu exploiter et venant d’une école où elle entendit un jour en 2009 : « les photographes, c’est pas des vrais artistes ». L’alliance paradoxale entre la photographie immatérielle et la roche est concrétisée par un procédé complexe et archaïque : le développement aux sels d’argent en chambre noire - et qui plus est sur un support noble et lourd - est pour l’artiste un vrai retour à une pratique qu’elle affectionne. La plaque de marbre, évocation funéraire, entretient autant que la photographie, qui fige une image dans le temps, l’idée du souvenir et de la mort. aliceguittard.com
A propos des artistes Inès Longevial Inès Longevial, née en 1983, est une peintre travaillant à Paris. Originaire du Sud-Ouest de la France, l'influence espagnole est l'une des clés pour comprendre son travail qui incarne l'esprit de maîtres tels que Pablo Picasso et Pedro Almodovar. Elle a commencé à dessiner et à peindre très jeune et a étudié dans un lycée d'arts appliqués avant d'obtenir son diplôme en arts appliqués. Ses peintures à l'huile, à la fois tendres et fortes, se concentrent sur deux thèmes principaux: la féminité et la nature. En utilisant des parties du corps, du visage et de la couleur de la peau, son art a développé une image corporelle nouvelle et sensuelle dans laquelle les femmes peuvent être rondes et leur peau peut avoir différentes nuances et couleurs. L'enfance d'Inès, passée «dans la petite maison de la prairie», comme elle le dit, alimente toujours son travail où des éléments floraux accompagnés de nombreuses nuances de couleurs se retrouvent dans ses toiles. ineslongevial.com Celia Nkala Celia Nkala est née en 1983, elle vit et travaille à Paris. Après des études d’Arts plastiques à la Sorbonne, de Design puis de Design textile (Esad, Reims et Lisaa, Paris), elle travaille durant plusieurs années au sein de la maison Christian Lacroix en tant que designer textile. En 2013, elle fonde la galerie Perception Park dédiée à la création émergeante, dans le 5e arr. de Paris. A partir de 2016, elle se concentre sur sa propre pratique et participe à de multiples expositions collectives et manifestations culturelles notamment, et pour les plus récentes, à la galerie Daend, Paris, à l’édition 2018 du Parcours St- Germain et à la Villa Belleville où elle effectue également une résidence. Les sculptures de Célia Nkala épousent une géométrie minimaliste et viennent sophistiquer des matériaux bruts tels que le marbre, le cuivre ou le laiton. celiankala.com
A propos des artistes Apolonia Sokol Apolonia Sokol, née en 1988, vit et travaille à Paris. Après avoir terminé sa maîtrise à l’Académie des beaux-arts de Paris, l’artiste a déménagé à New York (États- Unis) et a travaillé comme assistante de Dan Colen. Le travail d'Apolonia Sokol a été présenté dans plusieurs expositions de groupes institutionnels tels que Tainted Love (conservateur Yann Chevalier) dans le nouveau spectacle inaugural en France de l'art contemporain Espace Confort Moderne, Peindre dit-elle (conservateurs Julie Crenn, Anabelle Teneze et Amélie Lavin) Musée des Beaux-Arts de Dole et Prix Emerige 2018 (conservateur Gaël Charbau). Elle travaille parfois en collaboration avec Azzedine Saleck alliant peinture et poésie sculpturale. L’œuvre de l’artiste fait partie de plusieurs collections privées prestigieuses. apoloniasokol.com Camille Vivier Photographe, née à Paris en 1977, Camille Vivier est reconnue pour ses ambiances mystiques et ses lumières aux frontières du réel. Après des études aux Beaux-arts de Grenoble et à Central Saint Martins à Londres, elle commence à travailler à la fois dans le champ de l’art et celui de la mode. En 1998, elle gagne le prix photo du XIIème Festival de Hyères, en 2002 elle obtient une bourse de la Villa Médicis Hors-les-murs. Elle a collaboré avec différents magazines : Dazed&Confused, Another magazine, SSAW, Interview, I-D, Double, Purple, Numéro, Tmagazine, NY Times... et travaillé pour Maison Martin Margiela, Stella McCartney, Cartier, Chanel, Erès, Hermès... Elle a exposé dans différentes galeries et institutions comme le CAPC de Bordeaux (« Jean- Luc Blanc/Opéra rock »), Galerie Kamel Mennour, à MEP, lors des rencontres d’Arles ainsi qu’à l’étranger, Galerie Koal à Berlin, Gallery Stuart Shave Modern Art à Londres (Sphinxx). camillevivier.com
A propos de la cause A l’invitation de Wise Women, Thanks for Nothing a mis en place une collaboration permettant de soutenir l’atelier des artistes en exil. Thanks for Nothing est une plateforme philanthropique qui fédère les acteurs du monde de l’art et du monde associatif pour réaliser des projets artistiques ayant un impact concret sur la vie des associations. Ces événements culturels sont organisés afin de contribuer au progrès social selon 3 axes : le développement économique, la défense des droits de l’homme et la protection de l’environnement. La première initiative portée par Thanks for Nothing a pris la forme d’une exposition de 26 artistes et de 5 conférences au Palais de Tokyo, suivies d’une vente aux enchères caritative organisée avec Christie’s. Elle a rassemblé plus de 2 millions d’euros reversés intégralement à 5 associations qui accompagnent les réfugiés en Europe. Pour Nuit Blanche 2018, Thanks for Nothing a conçu un festival de performances d'artistes contemporains sur le Pont Alexandre III. Thanks for Nothing a également organisé une collecte d'objets culturels, réunissant plus de 35 000 livres et 3 500 instruments au profit de 5 associations qui permettent l'accès à la culture des publics défavorisés. Ce projet a réuni plus de 450 000 visiteurs. Thanks for Nothing a été créée en juin 2017 par Bethsabée Attali, Blanche de Lestrange, Anaïs de Senneville, Marine Van Schoonbeek et Charlotte von Stotzingen. Thanksfornothing.fr L’atelier des artistes en exil L’atelier des artistes en exil, structure unique en France, a pour mission d’identifier des artistes en exil de toutes origines, toutes disciplines confondues, de les accompagner au regard de leur situation et de leurs besoins administratifs et artistiques, de leur offrir des espaces de travail et de les mettre en relation avec des professionnels afin de leur donner les moyens d’éprouver leur pratique et de se restructurer. L’Europe assiste sur son territoire au plus grand mouvement de population de ses soixante-dix dernières années. Parmi ces personnes se trouvent des artistes contraints de fuir leur pays. Parce que réfugié n’est pas un métier, que le rôle de l’art est celui de dire et de montrer ce qui dérange et de faire entendre la voix des opprimés, que c’est à travers la voix de ses artistes que les cultures des pays en péril peuvent continuer à se perpétuer, il est important que les artistes puissent continuer à exercer leur art. aa-e.org
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