EXPOSITION TEMPORAIRE - Hasta siempre ! Ajaccio à l'heure de Cuba - ESPACE DIAMANT
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ESPACE DIAMANT EXPOSITION TEMPORAIRE ¡ Hasta siempre ! Ajaccio à l’heure de Cuba Chefs-d’œuvre des musées de La Havane 21 février – 18 mai 2015
FICHE PRESSE 01 ESPACE CUBA DIAMANT PRÉSENTATION DE L’EXPOSITION CUBA Chefs-d’œuvre des musées de La Havane PALAIS FESCH- « Les hommes peuvent mourir, mais jamais leurs idées » MUSÉE DES Ernesto « Che » Guevara BEAUX-ARTS En 2010, l’ambassadeur de Cuba en France, accompagné ESPACE DIAMANT de ses conseillers culturels, était reçu officiellement à Ajaccio. À cette occasion, il a exprimé le souhait 21 FÉVRIER-18 MAI 2015 d’engager avec la ville un partenariat durable autour de projets artistiques et culturels. Cuba est un pays en pleine mutation, où la créativité est foisonnante, dynamique, joyeuse, diverse, ouverte sur le monde, et les formes artistiques contemporaines qui sont proposées, encore trop peu connues, sont à la fois innovantes, originales et ancrées dans la tradition. Avec le concours du Ministère de la Culture cubain, de nombreux responsables culturels, des artistes et le soutien de la Fondation Gilbert Brownstone, nous avons décidé, Museo Nacional autour de la grande exposition qui sera réalisée par le de Bellas Artes, Art cubain Palais Fesch-musée des Beaux-Arts, durant trois mois à partir de février 2015, de mettre Ajaccio aux couleurs de Cuba. Danse, musique, apéros musicaux, films, photographies, conférences, rencontres avec des artistes, des réalisateurs, des auteurs… égayeront dans divers lieux de la ville, l’hiver corse de la chaleur et de la générosité des Caraïbes! Au Palais Fesch-musée des Beaux-Arts sera organisée, à partir du 21 février 2015, une exposition temporaire dédiée aux chefs-d’œuvre des musées nationaux de La Havane, qui s’inscrira ainsi dans la saison culturelle Museo Nacional cubaine programmée par la Direction de la Culture et du de Bellas Artes, Art universel Patrimoine de la Ville d’Ajaccio. Cette exposition, première du genre en France, présentera une sélection provenant des grands établissements culturels cubains : El Museo Nacional de Bellas Artes, La Fototeca de Cuba et El Consejo Nacional de Artes Plasticas.
Le Museo Nacional de Bellas Artes, véritable musée universel, conserve une importante collection de peintures françaises du XIXe siècle, mais est avant tout le grand musée de l’art cubain allant de l’époque coloniale à la révolution de 1959 et de la révolution à nos jours. Cet étonnant et monumental musée a été fondé en 1913 dans l’euphorie de la jeune république cubaine et visait à développer le processus de conscience nationale. Deux sections de l’exposition du Palais Fesch seront consacrées à ces exceptionnelles collections. La partie française est une sélection de peintures du XIXe siècle composée d’œuvres mythiques jamais exposées en France, dont des peintures de François Gérard, Georges Clairin…, mais surtout de Delacroix, Corot et Courbet. La seconde partie mettra en valeur, d’une part l’esprit pictural colonial chez Guillermo Collazo et Armando Garcia Menocal, mais également, toute l’avant-garde cubaine de la première moitié du XXe siècle, menée par Amelia Peláez, Wilfrido Lam et Raúl Martinez. La photographie est un médium artistique majeur eu égard aux bouleversements de la société cubaine dans la seconde moitié du XXe siècle. La Fototeca de Cuba a d’ailleurs été fondée en1986 afin de sauvegarder et de promouvoir cet ensemble artistique, témoignage unique de l’actualité cubaine. C’est grâce à la photographie que le monde occidental a pris connaissance de la dimension artistique de Cuba, en particulier lorsque Alberto Korda immortalise le portrait de Che Guevara sous le titre Guerillero heroico. Témoins de la révolution cubaine, les œuvres d’Alberto Korda, Raúl Corrales et José Agraz côtoieront celles de Jorge Valiente et José Marti, reporters de la réalité sociale. Cuba est enfin un foyer artistique contemporain de premier ordre comme en atteste la qualité des collections Consejo Nacional de Artes Plasticas, fondé pour préserver et mettre en valeur la création cubaine post révolutionnaire. Projet d’émancipation par excellence, il est basé sur trois principes fondamentaux qui sont le dialogue avec l’intellectualisme, la sauvegarde et la démocratisation du patrimoine culturel national. Le Palais Fesch exposera donc une sélection des principaux créateurs contemporains cubains dont Glenda León, Esterio Segura et Julio Neira. Cette saison cubaine a été conçue dès l’origine afin de soutenir la volonté du gouvernement cubain de donner un rôle primordial à la culture afin d’accompagner son ouverture démocratique. Museo Nacional de Bellas Artes
FICHE PRESSE 02 CUBA ESPACE DIAMANT Peinture française du XIXe siècle Peinture française du XIXe siècle PALAIS FESCH- Le Museo Nacional de Bellas Artes possède des MUSÉE DES œuvres de toutes les écoles européennes. L’école BEAUX-ARTS française du XIXe siècle, provenant surtout de 21 FÉVRIER-18 MAI 2015 collectionneurs privés, y est particulièrement bien représentée, ce qui témoigne du goût des riches Cubains de l’époque coloniale pour la peinture et la culture venues de France, notamment la peinture de paysage. L’École de Barbizon y est tout spécialement à l’honneur, avec entre autres Corot et Diaz. Dès les années 1840, ces peintres travaillaient d’après nature, dans les environs de Fontainebleau, renouvelant le genre du paysage. Les autres genres sont bien illustrés aussi dans les Sarah Bernhardt collections cubaines, qui offrent un bel Georges Jules Victor Clairin échantillon représentatif de l’art français de cette époque, couvrant tout le siècle : depuis Gérard, grand peintre néo-classique, jusqu’à Clairin, peintre et décorateur académique, auteur de plusieurs portraits de son amie Sarah Bernhardt. La grande actrice était venue jouer La Dame aux Camélias à La Havane, en 1887, avec un immense succès. L’amour vaincu par la chasteté François-Pascal Gérard, dit baron Gérard
Les figures principales de l’art officiel français, dit « pompier », comme Bouguereau et Meissonnier, sont représentées par des œuvres importantes. Breton, sur un mode monumental, exalte la vie paysanne traditionnelle. Enfin, deux des plus grands génies du siècle, Delacroix et Courbet, respectivement têtes de file du romantisme et du réalisme, apportent une touche plus audacieuse et moderne à cette salle. Tigre Eugène Delacroix La vague Gustave Courbet
FICHE PRESSE 03 CUBA ESPACE DIAMANT Art cubain La peinture cubaine de l’époque coloniale PALAIS FESCH- La peinture cubaine est marquée à son origine par MUSÉE DES le goût européen. Mais très vite, l’intérêt pour les BEAUX-ARTS sujets locaux affirme une certaine identité 21 FÉVRIER-18 MAI 2015 nationale. À l’époque coloniale, c’est la peinture de paysage qui domine les autres genres. Elle s’épanouit dès le milieu du XIXe siècle. Les pionniers du genre, Chartrand et Laplante, sont d’origine française. Ils représentent, en peinture et en lithographie, les villes et les sites naturels de l’île, avec sa végétation tropicale caractéristique, mais aussi les activités agricoles liées à la culture et à la transformation de la canne à sucre. Leurs œuvres peuvent être vues comme des documents En chaussant ses gants historiques, ou une illustration de l’économie Víctor Patricio Landaluze florissante de la colonie espagnole. La scène de genre se développe aussi parallèlement, témoignant de la vie quotidienne. Les petits tableaux de Landaluze évoquent les origines africaines d’une grande partie de la population de Cuba, où l’esclavage n’est aboli qu’en 1887. Petit diable Víctor Patricio Landaluze
Les guerres d’indépendance débutent en 1895. Certains peintres, comme Garcia Menocal, y prennent part. Il enseignera plus tard à l’Académie de San Alejandro, l’école d’art de La Havane, de même que Romañach. Leur enseignement prolongera jusqu’aux années 1940 un certain classicisme, celui du paysage en particulier, avant que leur influence ne pâlisse devant celle de la modernité européenne. Le tableau de Ramos est un exemple tardif, mais particulièrement somptueux, de cette veine du paysage cubain. Les rives de l’Almendares Domingo Ramos Tornade tropicale Antonio Rodríguez Morey
FICHE PRESSE 04 CUBA ESPACE DIAMANT Art cubain La peinture cubaine des avant-gardes PALAIS FESCH- Une nouvelle saison artistique s’ouvre avec les MUSÉE DES BEAUX-ARTS années 1920 et le contact des artistes avec la modernité européenne, parisienne surtout. 21 FÉVRIER-18 MAI 2015 Plusieurs artistes de cette génération, tels Pogolotti, Pelàez ou García séjournent plus ou moins longtemps à Paris, alors foyer artistique le plus attractif du monde occidental et théâtre de toutes les avant-gardes. En 1927 est organisée à La Havane l’Exposition d’art nouveau, première exposition d’art moderne à Cuba. Influencés aussi par l’art mexicain, qui développe à cette époque une esthétique originale, les peintres cubains se construisent leur propre Le capitalisme Marcelo Pogolotti identité latino-américaine : leur art reste ancré sur la réalité sociale et paysanne, comme sur la créolité et l’héritage africain, avec ses mythes et ses rituels (Mendive). Sans abstraction ni déconstruction de la perspective, les artistes cubains pratiquent un art stylisé, aux couleurs intenses, fidèle toujours à leur cadre de vie, à leur paysage, y compris dans les portraits. Joueur d’échecs Rafael Blanco Estera
Les natures mortes de Pelàez, saturées de couleur, expriment elles-mêmes une ambiance proprement créole. Wifredo Lam, qui a côtoyé Picasso, est sans conteste le mieux connu en France parmi ces artistes. Son cubisme plein de chaleur peut incarner à lui seul la modernité cubaine du milieu du XXe siècle. Raúl Martínez, à partir de la nouvelle imagerie révolutionnaire et de la culture populaire, crée un art pop cubain drôle et politique. Nature morte au melon Amelia Peláez Le baiser Manuel Mendive
FICHE PRESSE 05 CUBA ESPACE DIAMANT L’art contemporain L’art contemporain PALAIS FESCH- L’art cubain a recours aujourd’hui, comme MUSÉE DES partout ailleurs, à des matériaux et des langages BEAUX-ARTS aussi variés que ceux de l’art occidental : 21 FÉVRIER-18 MAI 2015 photographie, vidéo, installation, performance. Mais l’extrême dynamisme et foisonnement de l’art cubain vient peut-être de la valeur particulière acquise par l’art dans l’île, d’une urgence à créer, d’un désir particulier d’ouverture et d’expression à travers le médium artistique. Le gouvernement socialiste cubain, contrairement au régime soviétique, n’a jamais rejeté la liberté formelle de l’art moderne. Au contraire, l’expression individuelle et démocratique y est, de plus en plus, encouragée. Sans titre, de la série Mains (Fidel dormant), 2010 Les artistes cubains, malgré la diversité des Jose Angel Toirac personnalités, ont en commun la force de leur attachement à l’identité nationale, afro-cubaine notamment (Ayón, Díaz) et aussi l’intérêt qu’ils portent aux questions sociales, économiques ou politiques (León, Barreto, Barroso). Le poids écrasant de l’héritage historique et politique cubain est parfois traité avec humour (Neira, Tamayo, Francisco). L’état de pénurie des années 1990, dû à l’embargo américain comme à la disparition du soutien soviétique, et qui a vu tant Le batteur de Cubains s’exiler, se traduit parfois par Reynerio Tamayo l’utilisation de matériaux pauvres, récupérés (Diago Durruthy).
Les préoccupations des artistes se font souvent aussi plus universelles : l’intimité féminine (Poblet, León), l’homosexualité (Segura, Saavedra), la mémoire (Fors), le devenir objet de l’homme (López Pardo). Triplés Série Desapariencia, 2013 Mabel Poblet Le passage difficile des grecs vers la culture populaire et internet Lázaro Saavedra
FICHE PRESSE 06 CUBA ESPACE DIAMANT Photographie révolutionnaire La photographie révolutionnaire PALAIS FESCH- MUSÉE DES BEAUX-ARTS 21 FÉVRIER-18 MAI 2015 Les photographies présentées ici sont parmi les plus connues des images de Cuba. Elles sont surtout le fait de deux photographes, Corrales et Korda, qui ont accompagné Fidel Castro et Che Guevara dès les premiers temps de la Révolution de 1959. Une propagande efficace organisée par le lider lui-même, mais surtout l’expression d’une fièvre et d’un enthousiasme ressentis en premier lieu par les photographes eux-mêmes. Ils sont devenus de ce fait des acteurs autant que des témoins de la Révolution en marche. Il s’agissait en tout premier lieu de convaincre le Che Guevara jouant au golf peuple cubain de la réalité de ces Alberto Korda bouleversements inespérés, de montrer, après les années de la dictature de Batista, que l’impossible était devenu possible. Ces images étaient à cet effet largement diffusées par des journaux comme Révolución. David et Goliath Alberto Korda
On pourra admirer bien sûr l’icône mondiale qu’est devenue le portrait du Che par Korda, dite Guérillero héroïque, mais aussi l’homme de la rue dans sa participation aux évènements. Les photographes saisissent les mouvements collectifs, les défilés, en leur donnant une dimension épique, mais ils s’attachent aussi à saisir les individus, guerriers fatigués et endormis ou porteurs d’instruments de musique. En contrepoint critique, quelques photographies contemporaines apporteront une perspective plus iconoclaste à la Légende. La cavalerie Raúl Corrales Explosion du cargo La Coubre José Agraz
FICHE PRESSE 07 CUBA ESPACE DIAMANT Photographie cubaine La photographie cubaine ESPACE DIAMANT 21 FÉVRIER-18 MAI 2015 L’histoire de la photographie à Cuba remonte aux tout débuts de l’apparition du nouveau médium. Cette section propose un large panorama de photographies, de 1920 environ aux années 2010. Dans les photographies les plus anciennes, l’intérêt documentaire pour la réalité du pays est manifeste. Mais on est frappé tout autant par la pureté de l’esthétique, la luminosité du noir et blanc, la recherche formelle de ces images de la première partie du XXe siècle. Tous les sujets y sont représentés : scènes de rue, paysages marins, Sans titre ruraux, coins de ville pittoresques. Ils Abelardo Rodríguez documentent, tout en la magnifiant, la beauté de l’île. Les habitants y sont très présents, vus dans leur vérité sociale, quotidienne, loin des clichés touristiques, pourtant très présents aussi à cette époque où La Havane constituait pour les riches Américains une villégiature de plaisirs. La vision de Cuba qui est donnée ici est paisible, douce, un peu hors du temps. Sans titre Tito Álvarez
Les photographies plus récentes se situent toujours dans une certaine ligne humaniste : retours sur l’histoire cubaine, scènes de fête, de travail…Mais c’est aussi le vide et l’inquiétude qu’évoquent les photographies les plus contemporaines. Les villes semblent vidées de leurs habitants, les visages sont vus de si près qu’ils en perdent leur humanité, la terre est aride et inhospitalière. Enfin, les photographies de Rottenberg apportent un peu d’incongruité et d’humour. Sans titre de la série Chemins d’errance Jorge Luiz Alavarez Sans titre, de la Série Punta Alegre Enrique de la Luz
FICHE PRESSE 08 CUBA ESPACE DIAMANT VISUELS VISUELS LIBRES DE DROIT D’autres visuels sont disponibles sur demande La vague Gustave Courbet Huile sur toile 49.50 x 60 cm La Havane, Museo Nacional de Bellas Artes Brunoy. Chemin de promenade près de la ferme, 1855 Jean-Baptiste Camille Corot Huile sur toile 45 x 56 cm La Havane, Museo Nacional de Bellas Artes Le château de Chorrera, 1882 Esteban Sebastián Chartrand Dubois Huile sur toile 30.5 x 45.5 cm La Havane, Museo Nacional de Bellas Artes En chaussant ses gants Víctor Patricio Landaluze Huile sur toile 34 x 26.7 cm La Havane, Museo Nacional de Bellas Artes Le capitalisme, 1934-1935 Marcelo Pogolotti Huile sur toile 92.5 x 73 cm La Havane, Museo Nacional de Bellas Artes
Nous sommes tous les enfants de la patrie, 1965 Raúl Martínez Huile sur toile 191 x 200 cm La Havane, Museo Nacional de Bellas Artes Parole, 2007 Adonis Flores Photographie 67.5 x 90 cm La Havane, Fototeca Triplés Série Desapariencia, 2013 Mabel Poblet Impression digitale sur pvc, sérigraphie sur acétate transparent, méthacrylate 103 x 153 cm La Havane, Fototeca David et Goliath Alberto Korda Photographie 35.6 x 27.9 cm La Havane, Fototeca Le messager de Ochún, 8 janvier 1959 (entrée de Fidel à La Havane) José Agraz 36 x 50 cm La Havane, Fototeca Sans titre, série Les anges romantiques de cette terre, La Havane 1991 Humberto Mayol Photographie 30 x 44 cm La Havane, Fototeca
FICHE PRESSE 09 CUBA ESPACE DIAMANT LE PALAIS FESCH LE PALAIS FESCH ET LES COLLECTIONS Le Palais Fesch a été construit suivant la volonté du cardinal Fesch, oncle maternel de Napoléon 1er, qui souhaitait créer à Ajaccio, dans le quartier Saint-Roch en bord de mer, un « Institut des Arts et des sciences » pour éduquer les jeunes Corses. Les collections du musée des Beaux-Arts sont constituées en grande partie du legs du cardinal Joseph Fesch, oncle de l’empereur Napoléon 1er. Par son testament, le cardinal Fesch voulait que soit fondé à Ajaccio un « Grand Institut des Études », nanti d’une collection d’œuvres d’art. Joseph Bonaparte, comte de Survilliers, contesta le legs ; la ville dût ériger le bâtiment à ses propres frais, mais elle reçu toutefois, provenant des collections du cardinal, approximativement 1 500 objets d’art, une partie du mobilier du cardinal et la statut de Napoléon 1er consul sculptée par Massimiliano Laboureur. On ne parle donc plus de legs Fesch, mais de donation Survilliers. La collection du cardinal constitue néanmoins le fonds principal du musée d’Ajaccio. Palais Fesch Galerie du cardinal Différents dons et legs enrichiront par la suite les collections du Palais Fesch, notamment ceux de Félix Baciocchi en 1866, du duc de Trévise en 1892, de Jérôme Napoléon en 1897, de la famille Rothschild en 1889 et 1909, du baron et de la baronne Vognsgaard en 1974 et 1992, et de François et Marie- Jeanne Ollandini en 2007 et 2009. L’État, pour sa part, procède dès 1854 et régulièrement jusqu’en 1973 à des dépôts à la ville d’Ajaccio. Ainsi le Palais Fesch abrite une collection d’œuvres d’art qui présente un choix important de peintures italiennes : les Primitifs italiens, la peinture baroque napolitaine ; des paysages, des scènes populaires et des natures mortes de l’école flamande, une collection napoléonienne et une collection de peintures corses.
FICHE PRESSE 10 CUBA ESPACE DIAMANT ESPACE DIAMANT ESPACE DIAMANT L’Espace Diamant rouvert depuis mars 2010 comprend notamment une scène d’une capacité d’accueil de 326 places, d’une profondeur de 8,50 mètres, des moyens techniques à la pointe de la technologie, des conditions d’accueil optimales et un accès pour handicapés. L’Espace Diamant est le principal lieu de programmation culturelle pour la ville d’Ajaccio, mais également un outil pour les associations culturelles. Si le spectacle vivant y occupe une place importante, les arts plastiques sont aussi présents grâce à la salle d’expositions située au premier étage. C’est dans cet espace que seront présentées les œuvres de l’exposition Cuba, chefs d’œuvres des musées de La Havane afin, de mettre en avant la vocation de l’Espace Diamant. Ce centre culturel a aussi pour mission d’être populaire et éducatif. Espace Diamant Salle de spectacle Cette structure est ouverte à tous.
FICHE PRESSE 11 CUBA ESPACE DIAMANT INFORMATIONS PRATIQUES INFORMATIONS PRATIQUES Palais Fesch Espace Diamant Musée des Beaux-Arts 50, rue Fesch Boulevard Pascal Rossini 20 000 Ajaccio 20 000 AJACCIO Tel : +33 4 95 26 26 22 Tel : +33 4 95 50 40 80 Site internet : www.musee-fesch.com Adresse mail : billetterie.diamant@ville- ajaccio.fr Ouverture au public Ouverture au public, salle d’exposition Du 1er octobre au 30 avril Du mardi au vendredi de 9h00 à 12h et de 14h00 Lundi, mercredi, samedi : 10 heures- 17 heures à 19h00 Jeudi, vendredi : 12 heures-17 heures Le samedi de 9h00 à 12h00 Dimanche : 12 heures-18 heures (le 3è dimanche de chaque mois) Du 1er mai au 30 septembre Lundi, mercredi, samedi : 10 heures 30- 18 heures Jeudi, vendredi, dimanche : 12 heures – 18 heures Fermé le mardi Tarifs Tarifs Plein tarif : 8 € Entrée libre Tarif réduit : 5 € Tarif abonnement : 4 € (pour les professionnels du tourisme ayant une convention avec le musée) Carte de fidélité : 30 € Contact presse : Catherine Cristofari +33(0)4 95 26 26 22 ccristofari.musee@ville-ajaccio.fr
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