COLLEGE NOTRE-DAME DE LA PAIX LILLE LILLE /BAKOU - Ensemble ...
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LILLE /BAKOU Bonjour chers amis de Bakou ! Nous sommes ravis d’avoir décou- vert votre ville et quelques traditions d’Azerbaïdjan. Nous aimerions tous partir décou- vrir votre ville et surtout vous rendre visite dans votre lycée qui est vraiment magnifique … mais il faudra nous dire comment vous faites pour ne pas bouger pendant les projec- tions de films ? A notre tour, nous vous avons réservé quelques petits articles pour vous faire découvrir Lille qui mérite aussi le détour ! Bonne lecture ! Les 6° LE VIEUX-LILLE Nous allons vous présenter le Vieux-Lille. Le Vieux-Lille est le quartier le plus riche en construc- tion antérieures au XIXe siècles, on trouve même encore une maison en bois du Moyen-Âge. Il y a enco- re beaucoup de pavés dans cet ancien quartier, ce qui ne facilite pas la marche! Il y reste encore quel- ques traces des canaux qui sillonnaient la ville aux siècles passés lorsque mais ces canaux ont été com- blés. Ce vieux quartier séduit les touristes par sa magnifique architecture. Aujourd’hui, c’est un quartier commercialement très dynamique, on y trouve beaucoup de bouti- ques diverses et chics, de restaurants, de cafés. Il y a encore quelques années tout le monde évitait ce quartier qui était sinistre et mal fréquenté mais la ville de Lille a décidé de le restaurer et depuis il attire plus de monde. Nous avons beaucoup de chance notre collège est juste à l’entrée du Vieux Lille ! HANNA
La braderie de Lille est une manifestation populaire qui toujours se déroule le premier dimanche du week-end de septembre. A l’origine , la braderie de Lille était une simple foire. Les premières braderies sont apparues au début du 12e siècle puis elles vont devenir une fête importante au 16 e siècle. La braderie de Lille est un gigan- tesque vide-grenier qui rassemble plus deux millions de visiteurs. La tradition culinaire est de manger des moules-frites avec une bière bien sûr ! Pendant le week-end des centaines de tonnes de moules sont déversées sur le trottoir. Des monts de coquilles vides sont formées, ils atteignent plusieurs mètre de hauteur et le restaurant qui aura le plus haut a le plus de renommée. Cette année la braderie aura lieu samedi 1er et dimanche 2 septembre, n’hésitez pas à venir vous plongez dans cette manifestation incroyable!
LE STADE PIERRE MAUROY Le stade Pierre Mauroy est un stade exceptionnel. Construit en 2012,il dispose d’un aréna, sorte de toit qui peut être fermé en 30 minutes , qui pèse 7 600 tonnes et qui peut couvrir le stade.. Le stade peut ainsi mettre a l’abri les spectateurs car la météo n’est pas toujours favorable à Lille !. C’est un pro- cédé unique au monde. Le stade peut accueillir plus de 50 000 spectateurs. La pelouse peut se soulever de moitié pour se superposer sur la moitié restante et libérer ainsi des gradins rétractables . Ce stade accueille de très grandes manifestations sportives ( foot, tennis, rugby) mais aussi artistiques (concerts). Il porte le nom d’un ancien maire lillois qui a fait beaucoup pour le développement de Lille. Il est situé a Villeneuve d’Ascq, une commune de la métropole européenne de Lille qui est facilement accessible en métro depuis Lille.
SPECIALITES CULINAIRES CHTIS Si vous venez à Lille, vous pourrez goûter à nos spécialités du Nord comme le Welsh ,les moules frites ,la carbonade et comme dessert le merveilleux ou les gaufres chez MEERT, la très belle pâtisserie du Vieux Lille où le général de Gaulle se fournissait ! Nous vous conseillons le Welsh si vous avez très faim et si vous aimez le fromage ! Le Welsh est composé d’une tranche de pain de mie recouverte de moutarde sur laquelle on rajoute du cheddar fon- du et du jambon blanc et en supplément on peut mettre un œuf au plat ! Dans la carbonnade il y a des morceaux de bœuf servi avec une sauce faite à base de bière et de pain d’épice ! Pour le dessert nous vous conseillons le merveilleux , délicieuse meringue fourrée et recouverte de chantilly au chocolat et roulée dans des copeaux de chocolat noir . C’est un délice ! Les gaufres fourrées sont aussi une vraie gourmandise … à vous de choisir ou mieux de goûter les deux ! Le merveilleux et sa pâtisserie Le welsh La gaufre de la célèbre pâtisserie Meert La carbonnade
LA GARE SAINT SAUVEUR C’est une ancienne gare de marchandises, ouverte en 1865 à Lille, en plein cœur de la ville. Depuis 2009, elle a été réhabilitée et accueille désormais des expositions temporaires, des fêtes, des concerts, des jeux et même un restaurant. Elle accueille en ce moment une exposition nommée « Ola Cuba » et également le projet « Ferme urbai- ne » qui propose au public de créer un grand potager hors sol en plein cœur de la ville. L’atelier « Fantasticité » propose aux enfants de venir gratuitement construire une ville en legos. De nombreuses activités y sont proposées tout au long de l’année. Chaëd, Alice, Inès et Hamza
PORTE DE GAND Bonjour, nous allons vous présenter la porte de Gand de Lille. Elle est un des vestiges des anciens remparts espagnols de Lille. Autrefois sous cette porte coulait de l’eau. Les remparts étaient destinés à protéger la ville et ont été construits en 1620. A la fin de la 2eme guerre mondiale, on a ouvert un restaurant au dessus de ce vestige mais malheu- reusement il a été fermé définitivement . Pour faire su sport, les professeurs nous emmènent à la plaine Churchill et nous passons régulière- ment spar cette porte ! Ce rempart donne sur une rue : la rue de Gand qui est LA rue des restaurants dont les plus connus sont : Ataaable !!! (celui du père d’Hugo ) ,la crêperie ,la vielle France, l’estaminet de la Vielle. Dans cette rue tout le monde se connait. L’été cette rue est piétonne et il y a beaucoup d’animations.
MAISON DU GENERAL DE GAULLE Nous allons vous présenter la maison de Charles de Gaulle qui est né à Lille le 22 novembre 1890. Il a vécu à Lille dans la maison de ses grands-parents maternels au 9, rue princesse. Il est issu d’une fa- mille bourgeoise d’industriels du textile du Nord. A l’âge de 4 ans il est scolarisé quelque temps en ma- ternelle dans notre école Notre-Dame de la Paix pour échapper à la contagion car ses deux frères à Paris étaient malades. Cette maison est à présent un musée où l’on trouve beaucoup de souvenirs de famille et d’objets ayant appartenu à Charles de Gaulle : son berceau, sa robe de baptême, son épée de St Cyr, école mili- taire où il a fait plus tard ses études. C’est vraiment une très belle maison qui mérite la visite ! Le Général de Gaulle 1890—1970
La porte de Paris La porte de Paris ressemble à l’arc de triomphe un peu classique. Elle a été construite par Simon Vollant entre 1685 et 1692. Elle a été classée monument historique à partir de 1875. Elle se trouve à quelques pas de l’Hôtel de Ville et du beffroi. Cette porte symbolise l’entrée de Lille dans le Royaume de France car avant Lille était sous domination espagnole. Cette année nous fêtons les 350 ans de Lille devenue ville française et de nombreuses mani- festations sont prévues. Si vous voyez la porte de Paris, et nous vous le souhaitons, vous remarquerez sûrement qu’une fa- çade est plus richement décorée que l’autre. Devinez pourquoi ?... Eh bien, quand Louis XIV libère Lille de l’occupation espagnole il y a tout juste 350 ans en 1668, on décide de construire la porte de Paris pour qu’il fasse une entrée triomphale dans la ville. Mais l’ar- chitecte, pour faire des économies décide de faire une façade très richement décorée, celle que le roi ver- rait, et une autre très sobre car le roi ne la verrait pas !... En effet un roi ne se retourne jamais ! PAUL
LES BEFFROIS A Lille il y a deux beffrois : celui de la chambre de commerce., plus petit, plus ancien et central et celui de l’Hôtel de Ville, plus récent, plus haut et plus éloigné du centre. Celui de l’Hôtel de Ville est le plus grand beffroi d’Europe, il a une hauteur de 104 mètres. Il a été construit par Emile Dubuisson. Il a commencé a être construit en 1924 et a été terminé en 1932. Il y a une cloche en haut du beffroi. Il y a également un phare perceptible à 30 km quand il fait noir car Lille est un port très important pour les transports fluviaux. C’estle 3° port fluvial après Paris et Strasbourg et c’est la rivière de la Deûle qui traverse Lille. La nuit le beffroi tout illuminé est magnifique. On peut visiter le beffroi, une partie avec l’ascenseur et une partie avec les escaliers. C’est vrai- ment sportif ! Mais une fois là-haut la vue et magnifique! Vous tentez l’expérience ? Beffroi de la chambre Beffroi de de commerce. l’Hôtel de Ville L’Hôtel de Ville
Bienvenue à Nausicaa Par Fantine, Imrane, Sinahy, Stanislas, 6ème 3 Nausicaa est le plus grand centre aquarium. Il a ouvert en 1991 à Boulogne-sur-Mer, dans le nord de la France. Avec plus de 600 000 visiteurs par an, c’est l’un des plus importants sites touristiques de la région. Depuis sa dernière extension, inaugurée en mai 2018, l’établissement est considéré comme le plus grand aquarium d’Europe et le quatrième du monde, avec un bassin principal de 10 000 m3 : avec cet agrandissement, le centre vise le million de visiteurs annuels. Nausicaa compte 4,5 millions de litres d’eau de mer, et 40 aquariums et terrariums. C’est l’équivalent de 4 bassins olympiques de 60m de long, 35 mètres de large et 8 mètres de profondeur. On y découvre 58.000 poissons et animaux, et en- viron 36.000 espèces marines venant du monde entier Nausicaa se trouve à Boulogne sur Mer premier port de pêche Français, situé au bord de la manche dans le Nord Pas de Calais, dans la région des Hauts de France. Nausicaa est également l’anagramme du mot « casino ». Ce nom a été choisi pour rappeler l’ancienne salle de jeux de Boulogne sur-Mer, très prisée à l’époque, qui se trouvait jadis sur ce site . Imrane, 6eme 3
Le carnaval de Dunkerque L’histoire: Certains racontent qu’au début du 18ème siècle, à l’occasion du départ des marins pour la pêche en Islande, l’armateur of- frait la « foye », une fête pour les pêcheurs. À cette époque, toutes les festivités se déroulaient dans une auberge. Puis petit à petit, à la fin du siècle, les hommes de la mer et leur famille se déguisèrent et envahirent les rues. Même si le carnaval et le départ des pêcheurs n’ont pas toujours correspondu sur le calendrier, les deux traditions se sont entremêlées. C’est la nais- sance de la « Visscherbende », la bande des Pêcheurs. Aujourd’hui, la passion continue et participer au carnaval consti- tue une fierté pour les Dunkerquois. Ce sont des dizaines de mil- liers de personnes qui assistent à la fête et participent à la folie qui s’empare de toute la ville .Les bandes, qui se déroulent en général le dimanche après-midi, consistent en un immense défilé dans le- quel les carnavaleux disposés en lignes successives se tiennent par les coudes. Il s’agit de marcher en chantant les airs traditionnels . Les géants : Reuze Papa, guerrier scandinave, aurait épousé la plus belle fille de la région, la Reuzine. Le combattant serait alors devenu le protecteur de la ville. À Dunkerque, le géant n’est pas brûlé mais respecté par la population. Il est généralement accompagné de sa femme, de ses fils et de 7 gardes du corps.
Le cortège: Les premières lignes : très enviées, sont constituées de « gros bras ». Par intermittence, lorsque la musique reprend les chansons les plus entraînantes, les carnavaleux forment les chahuts. Le but est de se tenir chaud en étant le plus serré possible. On assiste alors à des mouvements de foule impressionnants, mais le sa- voir-faire des Masquelours évite tout incident fâcheux. Les parapluies : Selon la légende, les carnavaleux ont pris des « berguenaeres » pour singer les paysans venant assister au défilé. Autrefois, fruit de la récupération des rebuts, ils sont aujourd’hui plus colorés et toujours plus hauts. Ils constituent un élément pri- mordial de l’allure du carnavaleux et peuvent servir à se retrouver dans la bande. Le tambour-major : En costume de soldat de l’Empire, il est chargé de diriger la musique composée de fifres et de tambours. Chaque partie de la ville a le sien. À Dunkerque, c’est Cô Schlock II qui a assuré la succession de Cô Pinard, le Cô qui a mené la bande pendant plus de 25 ans. Actuellement, c'est "Cô Boontche" (qui succède à "Co-Shlock II)" qui dirige la bande de Dunkerque. Les costumes : A l’origine tout tissu de récupération servait à se travestir, on voyait même des sacs de pommes de terre. Aujourd’hui des costumes plus sophistiqués ont fait leur apparition, mais ils gardent deux vertus : l’esprit de dérision et la solidité. Le déguisement le plus à la mode est celui de l’homme tra- vesti en femme avec chapeau à fleurs, décolleté, manteau de fourrure, mini-jupe et porte-jarretelles. MANON DERACHE ET MARYAM AITAMIR 6E4
LES FETES DE GAYANT A DOUAI Le dimanche suivant le 5 juillet, les Gayant descendent dans les rues du centre. Ce sont LES géants de la ville. Gayant est le géant porté qui symbolise la ville de Douai (Nord). Entouré de sa femme, Marie Cagenon, et de leurs trois en- fants, Jacquot, Fillon et Binbin, il parcourt la ville chaque année pendant trois jours à l'occasion des fêtes de Gayant, début juillet. Contrairement à d'autres villes, Douai n'a pas donné de nom à son géant, l'appelant simplement « gayant », c’est-à-dire géant en picard langue en vigueur à Douai à l'époque. Selon la légende locale, à la fin du IX e siècle, les habitants de la ville du bord de Scarpe, inquiets des attaques barba- . res, vinrent demander au sire de Cantin, Jehan Gelon, de venir les aider si la ville était attaquée L'homme, connu pour sa force herculéenne et sa bonté, accepta, leur conseilla de se réfugier dans la tour et de l'attendre en cas d'attaque. Lorsque la ville fut assiégée par les Normands, Jehan Gelon, accompagné de ses trois fils, arriva miraculeusement dans la ville (il avoue plus tard aux Douaisiens qu'un tunnel reliait la tour à son château), et entreprit la contre-attaque. Son courage et sa détermi- nation mirent en déroute les assaillants qui, en partant, détruisirent son château et y massacrèrent les femmes. Jehan et ses fils décidèrent d'aller guerroyer au loin pour tenter d'oublier la perte de leurs compagnes. Il mourut selon la légende près de Bavay. Mais les Douaisiens en souvenir de ses actes firent d'un géant le symbole de la ville.
LA LEGENDE DE LYDERIC ET PHINAERT A LILLE Aux alentours de l’an de grâce 620, le prince de Dijon, Salvaert, se rend au royaume d’Angleterre ac- compagné de sa femme Ermengaert, alors enceinte. Lors de leur trajet dans les Flandres, ils tombent dans une embuscade tendue par le seigneur local, le géant Phinaert. Celui-ci fait assassiner le prince et ses hommes, tan- dis qu’Ermengaert s’enfuit et trouve refuge auprès d’un ermite dans la forêt. Elle accouche d’un fils qu’elle confie à ce dernier. L’ermite nourrit l’enfant au lait de biche, l’élève, et le baptise de son propre nom : Lyde- ric. Devenue adulte, Lyderic apprend la vérité sur son passé et retrouve la trace de Phinaert à la court du roi Dagobert 1er à Soisson. Le 15 juin 640, au terme d’un duel judiciaire, Lyderic passe le géant Phinaert au fil de son épée et venge ainsi ses parents. Les terres de Phinaert échoient à Lyderic sur lesquelles il fonde la cité de Lille. Les deux géant ont été sculptés par Carlo Sarrabezzoles au pied du beffroi de Lille.
Le carambar Le carambar et fait d’un pur hasard. Le bonbon carambar à été crée en 1954 par le responsable de la production et le directeur de l’usine et de la société Deles- paul-Havez à Marcq-en-Barœul. Ceux-ci décidèrent de mélanger un surplus de cacao avec du caramel. Une machine déré- glée donna des bonbons plus longs que d’habitude. Ce qui fait qu’ils ont décidé d’appeler ce bonbon « carambar ». Et l’ont emballé dans un papier en inscrivant une petite blague à l’intérieur. Les blagues inscrites sur l’emballage, sont également désormais adaptées à notre génération (9- 12 ans). Les premiers caram- bars qui ont été crées sont ceux au caramel puis avec le temps 14 goûts sont apparus comme : fraise, orange, citron, mystère, nougat… et des versions mini sont apparues. On vous laisse goûter et n’hésitez pas à tester des recettes de desserts à base de carambar !
LES BETISES DE CAMBRAI CARTE D’IDENTITE DES BETISES DE CAMBRAI : LIEU : Cambrai PAYS : France DATE : XIXeme siècle TEMPERATURE : Froide GOUTS : Menthe, Tutti Frutti , Framboise , Pomme , Orange , Violette , Praliné , Chocolat – Menthe . INGREDIENTS : Sucre , Sirop de glucose , Arôme naturel . L’origine de ce bonbon remontre au XIXème (1830) Emile AFCHAIN , apprenti confiseur à Cambrai, fait une erreur en faisant tomber de la menthe dans la préparation d’un berlingot, pour le dimanche d’après. Pour camoufler son erreur, il tire sur la pâte pour qu’elle blanchisse. Les clients habi- tuels n’en disent que du bien. Depuis cette erreur, les bêtises de Cambrai existe grâce à EMILE AFCHAIN. On dit les « bêtises de Cambrai » parce qu’il a fait une « bêtise » à « Cambrai ». LES GOUTS : Le gout original est à la menthe, mais il a plusieurs créateurs à notre époque qui ont mis en place des goûts différents (Menthe, Tutti Frutti , Framboise , Pomme , Orange , Violette , Praliné , Chocolat – Menthe) Dans la littérature « Les Bêtises de Cambrai, roman pour la jeunesse d’Éric Cal- lens 2011 ». La bêtise de Cambrai apparaît dans l'album d'Astérix : Le Tour de Gaule d'Astérix Elle figure dans « Pater noster », poème de Jacques Prévert Elle est mentionnée dans Les cerfs-volants, chapitre premier, de Romain Gary. Au cinéma « La bêtise de Cambrai est citée dans les paroles d’Un clair de lune à Maubeuge, chanson centrale du film du même nom. Une très vieille boîte de Bêtises Dans le dessin animé Astérix chez les Bretons, un commerçant énumè- re plusieurs spécilités culinaires dont les bêtises de Cambrai . Clément Decouvelaere, 6ème 3
Jeanne de Flandres Origine Jeanne de Flandres ou Jeanne de Constantinople est née entre 1194 et 1200. Fille aînée de Baudouin VI de Hainaut et de Marie de Champagne, ayant pour conjoint : Ferrand de Flandres et Thomas II de Piémont. Elle est décédée le 5 décembre 1244. Son histoire Ses parents étant morts, elle fut élevée sous la tutelle du roi Philippe Auguste, qui la marie à Ferrand de Portugal, ce dernier provoque une guerre se terminant par la défaite de Bouvines et Ferrand de Portugal se retrouve emprisonné. Jeanne gou- verne seule la Flandre et le Hainaut, elle doit affronter la rivalité de sa sœur. A l’issue d’une guerre, son époux sera libéré mais meurt peu après. Son rôle dans l’histoire La comtesse Jeanne a mené une politique favorable au développement économique et à aussi joué un rôle important dans le développement des ordres mendiants et des communautés hospitalière… Sous son règne, les fondations féminines, rares auparavant, se sont multipliées, en transformant la place des femmes dans la société. Il existe plusieurs représenta- tions peintes ou sculptées de la comtesse en France ainsi que deux géants. Elle a créé un bâtiment à Lille se nommant Hospice Comtesse (Rue de la Monnaie) Hospice comtesse Jeanne de Flandres en géant Eva et Capucine 6°4
LA CITADELLE DE LILLE PAR VAUBAN : LA REINE DES CITADELLES La citadelle de Lille est l'œuvre de Sébastien Leprestre, Marquis de Vauban. Le Marquis de Vauban est né le 1er mai 1633. C’est un célèbre archi- tecte de Louis XIV Il a conçu notamment le Pré Carré de Vauban. Il est mort le 30 mars 1707 à l’âge de 73 ans. Elle est édifiée sur ordre de Louis XIV qui venait de conquérir la vil- le, sa construction se déroula sur trois ans de 1667 à 1670. À l'origine, c'est une petite ville entourée de cinq bastions, formant une étoile (circonvolution 2 200 mè- tres). Cette Citadelle en étoile (pentagone) permet de voir sous tous les angles. Le tout est entouré de fossés remplis d’eau et plantés de 20 000 pieux (pour qu’aucune embarcation) ne puisse y naviguer, et de li- gnes de défense. La porte royale de l'entrée arbore une inscription en latin, véritable louange à la gloire du Roi Soleil. Baptisée par Vauban lui-même la « reine des citadelles » cette forteresse, établie sur la frontière de la Flandre, faisait partie d'une double ligne de places fortes entre Gravelines, Dunkerque et Maubeuge/ Rocroi. C'était le fameux "Pré Carré", conçu par Vauban et comportant 28 villes fortifiées. Chronologie : De 1871 à 2007 : elle abrite le 43ème Régiment d’Infanterie. 1919 : déclassement des fortifications de Lille. Entre-deux-guerres, le démantè- lement de l’enceinte urbaine libère 368 hectares de terrain aux portes de la ville, tandis que la Citadelle demeure un site militaire. 1934 : Classé Monument Historique. 1960 : les ouvrages extérieurs sont cédés à la ville. Depuis le 1er juillet 2005 : elle abrite le Quartier Général du Corps de Réac- tion Rapide-France (QG CRR-FR). 5 septembre 2012 : Classée par l’UNESCO Aujourd’hui : Les 60 hectares du bois de Boulogne forment le plus grand espace vert de la ville, autour des remparts de la Citadelle et le long du canal de la Deûle. Une partie du parc accueille le parc zoologique et un petit parc d’attractions
LE PARC DE VAUBAN Le parc de Vauban est un parc où l’on peut se balader. Il se situe à côté du zoo de Lille, c’est un endroit où l’on peut se détendre. Je ne vais pas vous en dire plus, venez voir de vous-même et si vous passez par Lille, venez voir le parc c’est super ! (Joséphine Persyn) 6 ème 2
Le palais des Beaux-Arts Le palais des beaux-arts de Lille est un musée municipal d’arts et d’antiquité situé place de la Républi- que à Lille, dans la région des Hauts de France. Il s’agit du plus grand musée de France et du plus grand musée des beaux-arts, en dehors de Paris, en nombres d’œuvres exposées. Créé en 1792, les fonds initiaux du musée sont constitués d’œuvres confisquées aux immigrés et aux ins- titutions religieuses de la vie au lendemain de la révolution parmi lesquelles plusieurs tableaux de Ru- bens ou Van Dyck ou Fordaens. En 1881, la collection de tableaux atteint une dimension telle que Géri Legrand, maire de Lille, décide la construction d’un palais des beaux-arts pour les accueillir. Son ouverture, en 1892, offre l’occasion de regrouper plusieurs collections de peinture, et aussi de sculptures, de dessins, de pièces anciennes et d’objets d’arts jusqu’alors dispersées. Les acquisitions de la Première Guerre mondiale. Elles comprennent quelques œuvres majeures, de Da- vid, Goya , Delacroix , Courbet , Corot , ou Puvis de Chavannes , dont certaines ont marqué l’histoires de la peinture, mais surtout des œuvres anciennes ou contemporaines d’artistes régionaux qui viennent compléter les autres formes d’apports. Il en résulte des collections où les pièces flamandes et hollandai- ses du XVème au XVIIème siècle et françaises du XIXème tiennent une place de tout premier rang. Le musée des beaux-arts a été créé en1809. Il fait 22 000 m2 dont 12 000m2 de surface d’exposition. Dans ce musée il y a à peu près 72 000 œuvres. Le musée accueille un total de 301 073 visiteurs par an depuis 2015. Adrien Delval -Corbeyran Schmidt-Théo Février 6e3
Le potjevleesch Le potjevleesch (ou potjevlees, pot ’je vleesch, potjevleisch, selon certaines orthographes), est un plat flamand. Ce nom signifie « petit pot de viandes » (pot signifie « pot » et vleesch, signifie « viande » en néerlandais). Il est parfois abrégé à l’oral en « potch’ » en Flandre française. L’origine de ce plat est contestée : il est né dans le Westhoek au Moyen-Age, mais certains situent plus précisément son origine à la région dunkerquoise. Il s’agit de morceaux de viande blanches douces en gout, confites et cuites à l’étouffée qui garnissent la terrine du Potjevleesch. Ces viandes sont par exemple : de la poule, du lapin, du cochon, ou de la volaille. La subtilité de ce plat emblématique réside dans la composition de sa gelée et de ses frites (ce qui fait fondre la gelée) ou de façon dunkerquoise avec des pommes de la région. Les recettes sont multiples et propre à chacune des personnes. A chacun sa mode du Potch’. Culture Les rois du potjevleesch : Tout les deux ans les rois du Potjevleesch se dispu- tent la médaille au « concours International de Potje- vleesh » organisé par la Fédération de la charcuterie sous l’égide de l’association « Sauvegarde et Main- tien Gastronomique du véritable potjevleesch ». Les inscriptions sont ouvertes à Bailleul. Monsieur Van- poperringhe est en est l’initiateur et il est lui-même charcutier au Palais des Gourmets à la Madeleine.
MUSEE DE LA PISCINE Construction L’origine de la construction de la piscine date de 1922 le maire de Roubaix Jean baptiste Lebas charge l’architecte Albert Baert de construire la plus belle piscine de France. Il faudra 10 ans pour mener à bien le projet. Les travaux commencent réellement en 1927. Elle est construite dans un style art déco. Jean Baptiste Lebas Albert Baert Plan La piscine ouvre ses portes en 1932. Elle offre un équipement sportif et de grande qualité et met en avant les capacités d’une équipe municipale issue du monde ouvrier. Dans les ailes sud-ouest les baigneurs pouvaient accéder à des baignoires, douches et à des loisirs : solarium, bar, terrasse. On trouve l’intérieur de la piscine des verrières qui représentent des soleils couchants et des soleils levants. Au tour du bâti- ment il y a un jardin et une roseraie. Le bâtiment principal renferme le bassin. Dans le réfectoire, des nageurs il y a un salon de coiffure, un salon de manucure et pédicure, des bains de vapeurs et des laveries industrielles. Fermeture La piscine commence à se dégrader dans les années 1970, mais elle reste en activité jusqu’en 1985. Le musée En 2001 La Piscine devient un musée unique au monde !
Les origines de Lille Lille a été fondée en 640. Lille sera tour à tour flamande, bourguignonne (qui n’était pas encore française), espagnole avant de devenir française en 1667 lors de la conquête de la ville par Louis XIV. Ses agrandissements successifs, au cours des siècles, en ont fait aujourd’hui la quatrième plus grande métro- pole de France. La première trace écrite concernant Lille se trouve dans une charte de 1066. Dans cet écrit, la ville s’appelle Isla, du mot latin Insula signi- fiant île. En effet, à ses origines, Lille était un port.
Euralille C'est un centre commercial dans le centre de Lille près du collège et la gare Lille Flandres. Lille Euralille compte 104 boutiques et 24 restaurants. Le créateur de Euralille est Pierre Mauroy. Le bâtiment a été fondé en 1994. Ce centre commercial accueille plus de 12 millions de visiteurs par an. L'architecte du bâtiment est Jean NOUVEL, un célèbre architecte français. Au dernier étage, on peut faire du sport et même aller dans une salle de jeux vidéo. Nos magasins préférés sont Lego store, Micromania, Go sport. Les restaurants que nous aimons sont Burger King, Mac Donald, Subway. Il y énormément de visiteurs le weekend. Nous préférons y aller en semaine avec des amis ou la famille. C'est pratique quand il pleut. On vous souhaite une belle découverte et une bonne balade dans Euralille. A BIENTÔT Gwenaël et Bastien de la classe de 6eme 2
LE FORUM DES SCIENCES Le Forum des sciences est un établissement spécialisé dans la diffusion de la culture scientifique et technique et destiné notamment aux enfants et aux adolescents. Il se trouve Centre François Mitterrand, dans le quartier de l’hô- tel-de-ville à Villeneuve d’Ascq. L’architecte du bâtiment est Jean-Claude Bur- dèse. Le projet du forum des sciences a été lancé en 1985 par l’ALIAS (Association Lilloise d’Information et d’Animation Scientifique) pour mettre en valeur les sciences. Le forum est inauguré le 14 décembre 1996 en présence de Danielle Mitter- rand. Il s’appelait alors simplement « Forum des sciences – Centre François- Mitterrand ». Le 1er janvier 2006, il est devenu un forum départemental des sciences ce qui a garanti la durée d’un centre de culture scientifique, techni- que et industriel unique dans la région. Pour l’année 2014, la fréquentation est de 115 463 visiteurs internes et envi- ron 150 000 personnes pour les expositions externes. Le forum a créé en 2010, le réseau « Culture de Sciences » qui regroupe éga- lement les initiatives autour de la science. Guillemette Gautier 6ème2
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