Effondrement de Biden en 2022 ? - Nouveau Monde

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Effondrement de Biden en 2022 ?

[Source : Dedefensa.org]

RapSit-USA2021 : Spirale du vertige

Jamais un président n’a connu aussi complet désaveu que Joe Biden, dans tous
les domaines de son activité, tant pour sa popularité personnelle que pour la
perspective de sa politique avec le chiffre extraordinaire de 70% des
personnes interrogées (dont la moitié des démocrates inclus dans
l’échantillonnage) estimant que le pays évolue dans une « mauvaise/très
mauvaise direction ».

Ainsi jamais pareille situation d’un président n’a autant correspondu à la
situation du pays. Ainsi jamais autant l’observation de Paul McCulley
rapportée par Alastair Crooke et qui concerne la possibilité d’une crise
soudain déferlante et emportant le reste de la situation crisique partout
tendue jusqu’à craquer s’est autant avérée pertinente que dans le cas des
États-Unis et de son président :

   « Nous nous trouvons donc aujourd’hui dans un état critique de
   ce que Paul McCulley appelle une “stabilité du déséquilibre”,
   où tous les acteurs s’efforcent de maximiser leurs résultats
   personnels et de réduire leur exposition aux risques déchaînant
   l’instabilité.       Mais plus le jeu se prolonge, dit Paul
McCulley, plus il risque de se terminer par un violent
   déferlement, car les risques de l’instabilité ont plus de temps
   pour se renforcer dans leurs effets et l’état de stabilité du
   déséquilibre devient de plus en plus critique.

   » Quel risque se déchaînera en se transmutant en instabilité en
   premier ? Encore une fois, il s’agit d’imprévisibilité : tout
   risque rencontrant son point de fusion peut,       par une dynamique
   de type dominos, provoquer [comme dans un incendie de forêt] un
   enchaînement catastrophique précipitant et transmutant les
   risques voisins dans la même instabilité. »

Ces résultats d’une étude statistique sonnent enfin comme un signe quasiment
de panique chez les démocrates, en même temps que se termine (vote demain) la
campagne pour un nouveau gouverneur de Virginie alors que leur candidat
McAuliffe menait largement au début de la campagne dans ce bastion démocrate
et se trouve aujourd’hui distancé de 8% dans les sondages par le républicain
Youngkin.

Nick Arama, de ‘RedState.com’, un soutien indéfectible des conservateurs et
des républicains, est aussi stupéfait que le démocrate Chuck Todd,
progressiste et démocrate, présentant les résultats du sondage NBC :

   « Nous avons vu beaucoup de sondages qui ont montré comment Joe
   Biden s’effondre.

   » Mais je dois admettre que lorsque j’ai vu ce nouveau sondage
   de NBC News, en particulier les chiffres concernant le parti
   qui, selon les Américains, s’en sortirait le mieux sur
   pratiquement tous les sujets, je me suis dit ‘Wow !’, et ce
   n’est pas exagéré.
» Ce sont des chiffres comme ceux-là que les démocrates voient
   probablement dans leurs sondages internes, et c’est pourquoi
   ils paniquent dans la course en Virginie et essaient de lancer
   toutes sortes de choses pour aider Terry McAuliffe, dont la
   campagne s’effondre.

   » Même Chuck Todd, lorsqu’il a présenté le sondage, l’a
   qualifié d’“effrayant” pour les démocrates. »

Les résultats de l’enquête NBC sont effectivement dévastateurs pour Biden et
les démocrates, et ils marquent un tournant sans douter décisif pour un
retournement de la situation aux USA, dès 2022, avec les élections de mi-
mandat portant sur les deux chambres du Congrès :

• 42% des personnes sondées approuvent le travail de Biden, 54% désapprouvent
ce travail (contre 49% et 48% en août) ;
• 71% des personnes sondées, dont la moitié (48%) des démocrates de
l’échantillonnage pensent que le pays est engagé dans une « mauvaise/très
mauvaise direction » ;
• 37% pense que Biden est capable de maîtriser une crise, 47% pensent qu’il
n’est pas capable ; 37% pensent qu’il est compétent, 50% pensent qu’il ne
l’est pas ;
• les résultats concernant les capacités des républicains et des démocrates
de résoudre les principales crises montrent des résultats tous très
favorables aux républicains ; la question porte sur « Quel, parti ferait le
meilleur travail ? », avec les réponses montrant l’avance des républicains
sur les démocrates : la crise de la frontière Sud (+27% pour les
républicains), l’inflation (+24%), l’insécurité (+22%), la sécurité nationale
(+21%), l’économie (+18%), “réaliser les chos   nécessaires” (+13%).

   « “Les Américains ont perdu leur confiance” en Biden et “leur
   optimisme pour le pays”, dit [le pro-Biden, présentateur
   NBC] Chuck Todd. Sans blague… Cela doit être terrible de voir
tout cela, surtout à l’approche des élections en Virginie et
   des élections de mi-mandat de l’année prochaine. »

Ces résultats sont obtenus après neuf mois de présidence suivant quatre ans
de présidence Trump, l’une et l’autre accompagnées d’un formidable soutien
médiatique et de communication, avec la construction d’immenses simulacres
par toutes les institutions bureaucratiques et de sécurité nationale (CIA,
FBI, Pentagone), le Corporate Power (des GAFAM aux multinationales),
l’entertainment Power, favorisant exclusivement les démocrate, les courants
progressistes-sociétaux, les milieux activistes des minorités, le wokenisme
en général, à quoi il faut ajouter la politisation de la crise-Covid avec la
mise à l’index social et la rupture des ressources par décret fédéral des
antivaxx qui s’inscrivent dans la même poussée crisique d’attaque furieuse de
tout ce qui est anti-démocrate, anti-Biden, anti-wokeniste.

Vu le financement énorme disponible, les moyens utilisés, les technologies
mises en action, les alignements psychologiques collectifs et la terreur de
la bienpensance et du Politiquement-Correct wokeniste, cette offensive de
communication est, sans le moindre doute, sans le moindre précédent dans
l’Histoire, et de très loin. Même les résultats de popularité de Nixon après
de nombreux mois de Watergate n’étaient pas aussi mauvais et ont été assez
proches de ceux de Biden dans les quelques semaines précédant la démission
d’août 1974, quand Nixon n’avait plus aucun espoir ni plus aucun soutien de
quelque côté que ce soit ; ce qui ne constitue nullement une prévision de
démission de Biden, car nous sommes figés dans un système paralysé,
impuissant, totalement corrompu et faussaire, sans alternative possible dans
la configuration actuelle.

Le résultat obtenu, tel que le résume par exemple cette enquête statistique
importante, est absolument stupéfiant. Il marque sans aucun doute a
contrario l’influence énorme, au-delà de toute mesure statistique
puisqu’officiellement ignorée, la puissance et l’efficacité de la presse
dissidente, le Samizdat postmoderne ennemi acharné de la modernité tardive et
de toutes les branches subversives qui tiennent aujourd’hui le haut du pavé.
La situation de l’Amérique aujourd’hui est décrit par ce passage, exotique et
emphatique à la fois mais restituant nombre de faits réels, extraits du
rapport du 30 octobre 2021 du site ‘WhatDoesItMeans’ dont nos lecteurs
connaissent bien les caractéristiques originaux et sensationnalistes, – mais
l’Amérique de Biden justifie cela où l’on distingue l’essentiel de la vérité-
de-situation… Ainsi apparaît la notion de ‘Bidenville’ rappelant les
‘Hooverville’ [baptisées à partir du nom du président Hoover] des bidonvilles
de millions de chômeurs de la Grande Dépression des années 1930-1933, – et
ainsi, donnant une bonne mesure de la Grande Crise rassemblant plusieurs
crises diverses affectant aujourd’hui l’Amérique..

   « Selon ce rapport, le monde a été stupéfait lorsque le leader
   socialiste Biden est arrivé au sommet du G20 tel un monarque
   médiéval dans un énorme cortège de 85 voitures qui l’a d’abord
   amené au Vatican. Lors de sa rencontre avec le pape François,
   on a vu Biden bredouillant des plaisanteries à boire. Lorsque
   Biden a rejoint les autres dirigeants du G20 pour une séance
   photo, il a semblé s’égarer, a été vu en train de se parler à
   lui-même et a failli tomber de l’estrade ; une démonstration de
   démence si grave qu’elle a amené la journaliste australienne de
   Sky News, Rita Panahi, proclamer en direct à l’antenne que
   Biden “a besoin d’une maison de retraite et d’un bol de soupe
   chaud”.

   » Dans le même temps où Biden faisait étalage de sa démence
   devant le monde entier, des camps massifs de sans-abri appelés
   ‘Bidenvilles’ surgissent dans tous les États contrôlés par le
   Parti démocrate socialiste. Les ‘Bidenvilles’ se remplissent
   rapidement de millions d’Américains licenciés pour avoir refusé
   l’ordre de Biden de prendre les vaccins expérimentaux Covid.
   Aujourd’hui, on voit les antivaxx de American Airlines
   protester à tel point que plus de 1000 vols ont dû être annulés
   ce week-end. La ville de New York voit aujourd’hui ses
‘Bidenvilles’ s’agrandir rapidement avec les pompiers refusant
le vaccin Covid, avec des licenciements entraînant la fermeture
de 26 casernes de pompiers de New York. Les forces socialistes
du Parti démocrate ignorent ces ‘Bidenvilles’ alors qu’elles
font pleurer les mères [en leur interdisant de protester contre
l’enseignement donné à leurs enfants] tout en détruisant les
mariages de ceux qu’elles détestent. Le plus intéressant est
qu’aucune ‘Bidenville’ n’est apparue dans l’État libre de
Floride, contrôlé par le Parti républicain, où aucun
réfractaire au vaccin n’a été renvoyé, où aucun masque n’est
requis et où le taux d’infection-Covid est aujourd’hui le plus
bas de tous les États-Unis.

» Pour des raisons laissées à l’appréciation des futurs
historiens et/ou professionnels de la santé mentale, au milieu
de ce chaos la vice-présidente et leader socialiste Kamala
Harris s’est rendue en Virginie ce week-end et a haussé la
course au poste de gouverneur au niveau national en proclamant
pour le public : “Chacun d’entre vous a en sa possession la
capacité de déterminer, oui, qui sera le prochain gouverneur,
mais aussi par extension, étant donné l’importance de cette
élection en Virginie, dans quelle direction le pays va
évoluer”. Cette proclamation a été suivie d’un rassemblement du
candidat socialiste du Parti démocrate, Terry McAuliffe, auquel
n’ont participé que 40 personnes. Dans le même temps, le
candidat du Parti républicain, Glenn Youngkin, a tenu un
rassemblement dans la ville républicaine d’Alexandria, en
Virginie, auquel ont participé des centaines de supporters
enthousiastes. McAuliffe estime que le vote des Virginiens pour
Youngkin est un votre pour Trump, tandis que Youngkin veut que
les Virginiens sachent qu’un vote pour McAuliffe est un vote
pour la Critical Race Theory [wokenisme]… »
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