ELEONORA STRANO DOSSIER ARTISTIQUE - 2009_2021
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PRESENTATION Eleonora Strano est une photographe franco-italienne qui vit et travaille en France. Lauréate du Prix EMI-CFD et diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles, son travail a été exposé en France et à l’étranger et a reçu de nombreux prix. Il a été présenté au BAL, au Musée de la Photographie de Mougins, et plu- sieurs fois, au Photo Vogue Festival à Milan. En 2019, son travail a été présélectionné pour le Salon Polyptyque et a été présenté à l’occasion de l’évènement «Des marches, démarches» porté par le Frac PACA, l’Espace de l’Art Concret à Mouans-Sartoux, le Cairn à Digne-les-Bains et Le Laboratoire à Grenoble. Citée par le British Journal of Photography comme l’une des 31 photographes à suivre en 2019, l’une des 250 photographes de l’année 2020 par le PHMuseum, l’une des 150 photographes européens émergents en 2021 par GUP Magazine, son travail a été présélectionné pour les Magnum Nominees et présenté à Jeune Création en 2020 et à Circulation(s) en 2021. Eleonora Strano est membre de Eyes On Talents, du Studio Hans Lucas et du réseau international de femmes photographes Women Photograph. Parallèlement à ses collaborations avec la presse, elle se consacre au développement de projets plastiques et documentaires dans la Région Sud. Elle répond actuellement à une commande de l’Université Nice Côte d’Azur, de la Villa Arson, et de l’Acadé- mie 5 sur le biocontrôle et prépare son prochain projet mettant en jeu l’anthropocène, la mémoire et le naufrage à Saint-Pierre et Miquelon.
DEMARCHE ARTISTIQUE «Toutes les grandes œuvres naissent au croisement du monde intérieur avec le monde extérieur. Je commence toujours par fixer exactement la frontière entre perception réelle et perception fictive, entre ce que je vois et ce qui se passe dans ma tête ; je peux être ainsi des deux côtés de l’objectif.» - Gilles Peress Photographe, journaliste, enseignante, Eleonora Strano évolue dans une pratique décloisonnée. Le rapport qu’elle entretient avec la photographie est celui qu’elle entretiendrait avec un.e semblable. Entre documentaire et journal intime, son travail nait d’une tentative de récolte de matière au sein du réel, jusque dans ses dimensions les plus invisibles, afin d’en faire naitre de nouvelles réalités. Celles-ci sont traversées par différents enjeux sociétaux, qu’ils soient po- litiques, sociaux ou environnementaux. Les notions d’invisibilité, d’apparition et disparition y sont notamment très présentes. Etre artiste, pour elle, ce n’est pas nécessairement s’en tenir aux modes d’expression traditionnels de l’objet et de son exposi- tion. Tout comme sa pratique permet de sculpter une forme qui n’est pas le reflet du monde mais qui, indéniablement, nous le donne à voir.
ELEONORA STRANO SOLASTALGIA - En cours Solastalgia envisage de traiter des défis climatiques que traversent les îles Saint-Pierre et Miquelon à cause de la montée du niveau de la mer, dans une perspective documentaire, participative et autobiographique autour de l’anthropocène, de la mémoire et du naufrage.
ELEONORA STRANO MOTIFS - 2021 Cette série, réalisée suite à une commande de la Villa Arson, de l’université Nice Côte d’Azur et de l’Académie 5, se construit autour de différents motifs retrouvés au centre des recherches d’Aura Parmentier Cajaiba sur la valeur du biocontrôle. Chacune des images produites portent des correspondances entre des motifs issus des acteurs du biocontrole comme les coccinelles, et joue autour de la forme des contenants de pesticides et des virages de couleur obtenus à partir de la betterave ou reproduit via des ektachromes périmées. L’accompagnement humain est central dans le changement des mentalités concernant la démocratisation du biocontrôle, d’où le choix de la couture pour symboliser le long et difficile effort que requiert la mise en place d’un tel chantier. Ainsi, deux pièces ont été conçues comme des patchworks entremêlant techniques bio et techniques industrielles où chaque passage de l’une à l’autre est symbolisé par une broderie confectionnée à la main.
ELEONORA STRANO EX MATERIA - 2018 - 2019 Ex Materia est une bataille. Une bataille pour la vie à l’ère nucléaire. Plus de 30 ans après l’accident de Tchernobyl, Eleonora Strano revient sur les lieux de son enfance, dans le sud-Est de la France et fait émerger des questions laissées sans réponses. Dans ce déséquilibre créé par le souvenir de la catastrophe, elle photographie un monde, entre passé et futur, où l’humain et l’animal tente d’investir un paysage menacé, altéré. En émergeant de l’obscurité, la force de vie prend la forme d’une danse, subtile, chargée d’émotions et d’énergies souterraines. Une chorégraphie complexe qui nous parle du futur à travers le prisme de la vie d’une vallée et de ses montagnes, et de ses cicatrices. La série propose d’emmener le spectateur dans les profondeurs de la vallée à la recherche d’une réparation possible. Projet soutenu par FujiFilm et la DRAC PACA.
ELEONORA STRANO ENTRE LE MOT ET LE MONDE (2017-EN COURS) Travail à partir de péllicules Ektachrome périmées et de Tri X Noir et Blanc. « L’événement n’est pas ce qui arrive, il est, dans ce qui arrive, le pur exprimé qui nous fait signe et nous attend » Deleuze Dans son livre « L’aventure », Giorgio Agamben cite tour à tour Deleuze, Benveniste et Bréhier pour parler des différents visages que l’aventure présente à l’homme. « C’est Emile Benveniste qui a montré que l’ici et le maintenant – comme aussi le je et le tu -, à la différence des termes qui ren- voient à une réalité lexicale, sont des indicateurs de l’énonciation et ne prennent une signification qu’en relation avec l’instance de discours qui les contient et, en dernière analyse, au locuteur qui les prononce. » C’est ce dicible que le locuteur, changé en médium photographique, cherche à saisir - entre le mot et le monde - un hommage au caractère incorporel de l’événement-aventure – le brusque surgissement de l’invisible matérialisé ici par la proximité du volcan Stromboli. L’aventure est alors un monde où tout peut disparaître, à tout instant, « ici » et « maintenant ».
ELEONORA STRANO IGNATIA AMARA (2015-2017) Tirages couleur, noir et blanc et cibachromes - 20x30 cm - limités à 3 exemplaires « Celui qui gravit les plus hautes montagnes, celui-là se rit de toutes les tragédies qu’elles soient réelles ou jouées. » Ainsi par- lait Zarathoustra (1885), Friedrich Nietzsche C’est en décembre 1883 que Friedrich Nietzsche arrive à Nice. En mauvaise santé, le moral au plus bas, Nietzsche va retrouver l’émotion créatrice nécessaire pour écrire. Eze, et en particulièrement le sentier qui mène de la petite gare d’Eze Bord de Mer au village, jouera un rôle prépondérant dans son œuvre. Je n’ai, alors, pas encore lu Nietzsche, mais, sur le chemin qui porte son nom, deux années durant, j’en fait l’expérience. Par un étrange parallèle, je me retrouve, moi aussi, affaiblie, en colère contre la violence du monde, quand je décide d’emprun- ter quotidiennement ce chemin dans l’espoir d’y laisser ce qui me pèse. Le poids est bien lourd encore lorsque débutent ces marches et mes chevilles s’y brisent. Mais c’est dans la persévérance et la répétition que le corps tout comme l’esprit commence à guérir. Et c’est dans la marche que je commence moi aussi à déclarer, comme Nietzsche, la guerre aux idoles, en redonnant au corps une place prépondérante, comme lui, je vais trouver dans cette nature un remède pour ne plus être jetée en dehors de ma propre réalité. « Mais dans le désert le plus solitaire s’accomplit la deuxième transformation : ici l’esprit se change en lion, il veut conquérir la liberté et être maître dans son propre désert. Il cherche ici son dernier maître : il veut être son ennemi comme il est l’ennemi de son dernier dieu ; il veut lutter pour la victoire avec le grand dragon. Quel est le grand dragon que l’esprit ne veut plus appeler ni dieu ni maître ? « Tu dois », s’appelle le grand dragon. Mais l’esprit du lion dit « je veux ».» Ainsi parlait Zarathoustra (1885), Friedrich Nietzsche Ces photographies, issues de pellicules périmées sont tirées sur papier cibachrome, un papier en train de disparaitre du pay- sage photographique. Elles sont la trace de l’éternel retour, comme une astreinte, une religion sans dieu ni maitre, où peu à peu l’artiste assoit sa position créatrice vis à vis du réel, et la femme se réconcilie avec le devenir et le chaos qui constituent parfois la réalité.
ELEONORA STRANO ONDES - 2015 9 photographies pigmentaires format variable « Nous ne sommes totalement mis à nu qu’en allant sans tricher à l’inconnu » Georges Bataille, L’expérience intérieure. Ondes. Elles peuvent être micro, radio, électro. Elles sont ici et puis là. Elles sont imperceptibles, et sont partout. Elles sont comme des âmes, vibrantes. Elles nous montrent la voie, connectant objets, pensées et êtres. Elles me connectent moi ? J’ai besoin de leur présence dans l’état où je me trouve. Je m’épuise à vouloir les attraper. Je ne sais pas où elles me mèneront, mais je les sais nécessaires.
ELEONORA STRANO UNE HISTOIRE TURKMENE (2011 - 2013) 15 photographies pigmentaires format variable Dans ce pays isolé, coupé du monde, les gens se passionnent pour les films Bollywood et font face à la dictature. Dans ce monde, où les gens rêvent encore d’une vie normale, entre traces du communisme et perte d’identité des jeunes gé- nérations qui doivent choisir entre deux nationalités qui ne leur conviennent ni l’une ni l’autre, les entreprises étrangères n’y voient qu’une occasion d’accroitre leurs profits. Dans ce pays qui jouit du statut de quatrième exportateur mondial de gaz et compte seulement 6 millions d’habitants pour une superficie équivalente à celle de la France, se jouent des enjeux majeurs pour le futur. Un pays à croissance forte, un pays jeune, un pays où les amoureux doivent se cacher dans les parcs pour exprimer leurs senti- ments et les étudiants défilent par tous temps et à toute heure selon les désirs du président. Un pays où le mot “existence” rime souvent avec “résistance”.
ELEONORA STRANO EN V(E)ILLE (2010) 10 photographies pigmentaires formats 40X60 cm et 60X80 cm «Initié à l’occasion d’un projet collectif lancé par Mat Jacob durant sa formation à l’EMI-CFD, Eleonora poursuit ici son travail sur le quotidien et l’art du portrait. Fascinée par les thématiques de la ville et de la nuit, elle pousse les portes des habitats parisiens. Quand la ville s’endort, l’individu s’adonne au silence et à la froideur des activités nocturnes. A l’image de son écran, partenaire d’insomnies, il se met en Veille. Des images lentes, intimes, presque immobiles, portées par une réflexion sur notre monde contemporain. Aurélie Martin
CV
EXPOSITIONS / PRIX 2021 : Finaliste Prix Photographie et Sciences - Résidence 1+2, ADAGP, CNRS, Fisheye, Sciences et Avenir – La Recherche 2021 : Présélectionnée pour le 35ème Festival de Mode, de Photographie et d’Accessoires de Mode d’Hyères 2018-2020-2021 : « Ex Materia» - Photo Vogue Festival, Milan 2021 : Citée parmi les 150 photographes européens émergents par GUP Magazine 2021 : Exposition Ex Materia - Circulation(s) - Fêtart – 104 – Paris 2021 : Finaliste Prix Polyptyque - Exposition 29/08 au 21/09 - Centre Photo Marseille 2021 : Commande photographique & exposition - Centre de la Photographie de Mougins 2021 : Nexus - Collective Exhibition - Photo Open Up & XLVI Space - Padova & London 2021 : Fresh Eyes Exhibition - Keilestraat 9 Rotterdam - GUP magazine 2021 : Aperçues - exposition collective - curation Bérangère Armand - Galerie Eva Vautier - Nice ; 2020 : Bons baisers de Nice – Exposition collective - Galerie Espace A VENDRE – Nice 2020 & 2019 : Finaliste Résidence 1+2 – Toulouse 2020 : Oh Oh Oh ! – Exposition collective – Materiaux Mixtes - Dojo – Nice 2020 & 2018 : Mention honorable « PHMuseum Women Photographer Grant » 2020 : Commande d’oeuvres photographiques - Académie 5, Villa Arson et UCArts- Chaîne de valeur du biocontrôle, Nice 2020 : Jeune Création – 69ème édition – Fondation Fiminco – Romainville 2020 & 2019 : Finaliste pour le Prix « Résidence pour la Photographie » de la Fondation des Treilles 2019 : Exposition de photographies – Ignatia Amara / Une histoire turkmène - Hôtel West End - OVNi Festival, Nice 2019 : Bis Repetita Placent - Exposition à l’Espace de l’Art Concret dans le cadre du projet collectif « Des marches, démarches » porté par le Frac PACA - Marseille, l’EAC, Mouans-Sartoux, le Cairn, Digne-les-Bains et Le Laboratoire, Grenoble 2018 & 2019: Finaliste « Brouillon d’un rêve Images Fixes » - SCAM 2019 : Finaliste pour le Prix Polyptyque 2019 – Centre Photographique de Marseille 2018 : Lauréate « Aide à la création 2018-2019 » - DRAC PACA 2018 : British Journal of Photography « 31 women to watch out for » 2019 : Finaliste « Magnum Nominees », Agence Magnum 2018 : Finaliste Bourse « Mécènes du Sud » - Marseille et son territoire 2018 : Nominée pour le projet «100 Heroines» 2015 & 2018 : Finaliste Prix Mentor Sessions #1& #4 – Freelens // SCAM - ENSP Arles, France 2018 : Exposition “Je n’attendrai pas que l’on me pardonne” - 1-12 Juillet - Life Framer + Hans Lucas - Arles, France 2018 : Projection «Une Histoire Turkmène» - TransPhotographiques - Lille 2017 : Exposition « Supernatural » - Hans Lucas – Rencontres Internationales de la Photographie Off – Arles, France 2016 : Exposition « It’s a confident girl ! » - Gender Hopes NGO - Columbus Hotel, Monaco 2015 : Limited Edition Artist Book – FUAM , /Rafal Milach/Ania Nałęcka workshop, Istanbul, Turkey 2015 : Exposition What’s up Photo Doc (ex Paris Photo Off), La Bellevilloise, Paris 2015 : In Your Face // Installation Photo Franco-Thai, Galleries Night BKK, Bangkok, Thailand 2014 : Finaliste de la bourse Photographe 2014 – Fondation Jean-Luc Lagardère 2014 : Mention Honorable - MIFA 2014 «Moscow International Foto Awards» 2014 : Exposition “Une Histoire Turkmène”, Festival Blow Up soutenu par Angkor Photo Festival 2014 : Exposition & Finaliste «Une Histoire Turkmène» - « Sept Off », Festival de la Photographie Méditerranéenne, Nice 2014 : “Une Histoire Turkmène” finaliste Emergentes dst – Encontros da Imagem, Braga, Portugal 2014 : 3ème Prix – La Quatrième Image Photo Fair “Une Histoire Turkmène” – Oct, 28, Nov, 2 – Paris 2014 : FAP & Projection PROVINCE : http://provinceaphotoproject.tumblr.com/, Italie 2014 : Selectionnée pour le «self made artist book» workshop avec Nico Baumgarten, ISSP, Riga, Latvia 2014 : «A Process» - Expostion collective, Der Greif Fotomagazin, Gallery Höhmannhaus, Ausburg 2013 : « Une Histoire Turkmène » - « Coup de cœur » - ANI - Visa Pour l’Image, Perpignan, 2-9 sept 2013 : Projection « Maxim, a Russian middle class portrait » - Rodchenko School of Photography à Moscou 2013 : Exposition « Se Dérober » - Musée de la Photographie de Mougins. Fev, 9 – Juin, 23 2011 : Exposition « En V(e)ille » au « Sept Off », Festival de la Photographie Méditerranéenne, Nice 2011 : Multimedia : Projection P.O.M. « En V(e)ille » - Le Bal, Paris 2011 : Multimedia : Projection P.O.M. « En V(e)ille » à « Fotografia Europea Reggio Emilia », Italie 2011 : Projection « En V(e)ille » - Circulations, Festival de la jeune Photographie Européenne, Paris 2010 : Exposition « En V(e)ille » - Paris Photo Off - Galerie Hautefeuille / Hôtel de Sauroy /La Maison des Photographes, Paris
2009 : Bloo Workshop - Elinor Carucci - Galerie Le Bleu du Ciel, Lyon 2009 : Exposition pour la remise du prix de l’EMI-CFD (Lauréate 2009-2010) - Hôtel de Sauroy, Paris 2004 et 2005 : Workshop Lionel Bayol-Thémines - « Art-Science » et « Corps et Identité », Toulouse. PUBLICATIONS Le Monde, The Curatorship, La Part Des Femmes, M, Forbes, Libération, Marianne, l’Obs, Pèlerin Magazine, Die Zeit, Bloom- berg Editorial, L’Express, Les Echos, Phosphore, Roads&Kingdoms, Courrier International, Les Jours, ARCHIVO, Gare de l’Est, Réponses Photo, Plateform Mag, Gavroche Magazine, catalogue OVNI 2019, contribution Cahiers #2 «L’amour toujours» Centre de la Photographie de Mougins, PhMuseum «Visualing the invisible and answering the unprovable», Fisheye Magazine Prix Photographie et Sciences, Photo Vogue Italia, , CLIENTS Cartier, Nouveau Musée National de Monaco, Musée National Marc Chagall , WeWantArtEverywhere, Huawei, Airbnb Luxury, Blink, Wework, Freuds, Bloomberg Editorial, Monoprix, Geneva International Film Festival, Hôtel La Vague de Saint Paul. EXPERIENCE Photographie Depuis 2019 : - atelier Photographie, le 109, pôle de cultures contemporaines – Université Nice Côte d’Azur, Nice ; - atelier 3-12 ans et résidence de recherche Rouvrir le Monde – DRAC PACA – Espace Magnan & Bonson ; - atelier Portrait – Collèges du bassin niçois, Nice ; - ateliers photo mensuels à l’ESAT Jean Médecin, Nice ; 2019 - atelier d’éducation artistique et culturelle – Espace de l’Art Concret dans le cadre de Bis Repetita Placent ; 2019 -Education aux Medias et à l’Image – programme soutenu par la DRAC PACA – Formation pour le personnel de la Biblio- thèque Magnan – Animation d’un atelier photo en bibliothèque – Stage d’éducation aux medias et à l’image et de photojourna- lisme à l’Espace Magnan (Nice, 10-12 ans) – Lauréat académique du concours « Vues de chez nous » avec le CLEMI, Mediapart, Images Singulières ; 2016 - Organisation et co-animation du workshop «Des livres et des chatons» avec Esteban Gonzalez : Indesign, les pho- to-books et le monde de l’édition photo - Collectif 23 - Chateau Landon - Paris ; 2016 – Conception de modules de formation à « L’analyse d’images médiatiques » pour Sciences Po Paris. Langue française Depuis 2006 : attachée de coopération pour le français (Ambassade de France en Thaïlande ), conceptrice de programmes uni- versitaires (Agence universitaire de la Francophonie au Laos), coopération scientifique et universitaire (Ministère des Affaires Etrangères et Européennes), responsable pédagogique (Institut français du Turkménistan), Formatrice référente Alpha (UFCM Cannes La Bocca), enseignante de français langue étrangère (Alliance française de Bangkok, Alliance française de Nice, GRETA Garonne Toulouse, Université de Nice Sophie-Antipolis, Centre Méditerranéen d’Etudes françaises de Cap d’Ail, Collège inter- national de Cannes, Le Rosey), préceptrice trilingue, assistante d’éducation (LEGTA d’Auzeville Tolosane). EDUCATION 2020 : Diplomée de l’Ecole Nationale de la Photographie – Arles ; 2019 : « Art, Activism, Environment : Practical Approaches to Contemporary Ecologies » Aoife Desmond – Node Curatorial Stu- dies Online ; 2016 : « The Art of the MOOC : Public Art and Pedagogy » – Duke University, USA ; 2010 : Lauréate Tremplin EMI CFD – Ecole des métiers de l’image – Paris ; 2007 : Master 2 « Ingénierie de formation pour les enseignements de français langue étrangère » - La Sorbonne Nouvelle, Paris ; L A N G U E S : Français, Anglais, Italien, Russe, Allemand, Espagnol, Arabe (débutant).
ELEONORA STRANO 22/08/1980 10, rue du docteur Calmette 06110 - Le Cannet 0651778670 eleonora.strano@gmail.com linktr.ee/Eleonora_Strano SIRET 810 722 041 00011 – APE 9003B URSSAF / AGESSA : 748 7200923337
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