Elon Musk contre le ministère de la Vérité : Les gauchistes radicaux ne veulent pas d'un débat où les meilleurs faits peuvent gagner - Guy Boulianne

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Elon Musk contre le ministère de la Vérité : Les gauchistes radicaux ne veulent pas d'un débat où les meilleurs faits peuvent gagner - Guy Boulianne
Elon Musk contre le ministère
de la Vérité : Les gauchistes
radicaux ne veulent pas d’un
débat où les meilleurs faits
peuvent gagner
written by Copyright © Guy Boulianne | 12 mai 2022

Plusieurs personnes sur internet affirment, non sans raison, que
Elon Musk « fait partie du plan », c’est-à-dire le plan des
Globalistes. Depuis qu’il a conclu un accord en vue d’acquérir
le réseau social Twitter pour 44 milliards de dollars, Elon Musk
est la cible de critiques très variées, tant positives que
négatives. Suite à l’annonce de ce rachat, Musk a déclaré
dans un communiqué : « La liberté d’expression est le fondement
d’une démocratie qui fonctionne, et Twitter est la place
publique numérique où sont débattues des questions vitales pour
Elon Musk contre le ministère de la Vérité : Les gauchistes radicaux ne veulent pas d'un débat où les meilleurs faits peuvent gagner - Guy Boulianne
l’avenir de l’humanité ». Certaines personnes n’y croient tout
simplement pas, affirmant que cela cache probablement une autre
stratégie. Mon amie Rachel Fontaine écrit sur le réseau
VKontakte : « Il parle de liberté d’expression certes, mais il
est main dans la main avec Bill Gates et vantent ouvertement la
micropuce dans le cerveau et les robots… il n’est pas de notre
côté…. lui non plus. »

Pourtant, depuis le rachat de Twitter, Elon Musk est en guerre
ouverte avec Bill Gates. S’exprimant devant le Conseil des PDG
du Wall Street Journal, celui-ci a commenté le projet d’Elon
Musk d’acheter Twitter et comment il pourrait aggraver la
désinformation en ligne. Les commentaires du milliardaire
technologique interviennent après que Musk l’ait accusé d’avoir
vendu à découvert l’action Tesla le mois dernier. Musk a
également tweeté une blague grossière sur Gates que CNBC a
décidé de ne pas publier. Gates a déclaré que les insultes ne le
dérangeaient pas. Dans un échange de texte entre les deux
milliardaires divulgué en ligne, que Musk a qualifié
d’authentique, le PDG de Tesla a demandé à Gates s’il était
toujours en train de vendre à découvert l’action. Gates a dit
que oui et qu’il voulait parler de philanthropie à Musk. Musk a
carrément rejeté la demande. « Désolé, je ne peux pas prendre au
sérieux votre philanthropie sur le changement climatique lorsque
vous avez une position courte massive contre Tesla, la société
qui fait le plus pour résoudre le changement climatique »,
aurait déclaré Musk dans l’échange de texte. Mais Gates a
déclaré le 4 mai à la BBC que ce n’est pas parce qu’il pariait
contre Tesla qu’il était contre l’essor des voitures
électriques. Musk et Gates ont une histoire de relations
glaciales, et Musk a attaqué Gates sur Twitter à plusieurs
reprises. Plus récemment, au milieu de la prise de contrôle de
Twitter par Musk, le PDG de Tesla et SpaceX a tweeté une photo
de Gates côte à côte avec un emoji d’un homme enceinte, en
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disant : « au cas où vous auriez besoin de perdre une érection
rapide ».

Évidemment, on pourra toujours répliquer que tout ceci n’est
qu’une mise en scène cachant une réalité beaucoup plus sordide.
Au moment où j’écris ces lignes, je ne suis pas de cet avis. Et
ne croyez surtout pas que je sois un naïf méconnaissant certains
dossiers. Je connais très bien les projets controversés de Elon
Musk comme Neuralink, dont les affirmations de ce dernier ont
été décrites par la revue scientifique MIT Technology Review
comme “hautement spéculatives” et “théâtre de neuroscience”. Je
sais très bien qu’il portait une veste avec l’inscription “Novus
Ordo Seclorum” lors du MET Gala 2018 (alors qu’il portait une
tenue beaucoup plus classique en 2022). Mais comme l’écrit
Caroline Pugnotti sur VKontakte : « Saul le persécuteur des
chrétiens, sur la route de Damas, fut transfiguré ! et cela peut
arriver à chacun… »

Depuis quelques temps,— surtout depuis le rachat de Twitter —,
Elon Musk semble être dans une phase de transition personnelle.
C’est l’impression qu’il donne lorsqu’on l’observe
attentivement. Bien qu’il fasse lui-même partie de l’élite, il
ne semble pas craindre de se mettre à dos le reste de l’état
profond par ses prises de position. Il semble s’être réveillé à
une autre réalité. À l’image de Vladimir Poutine qui combat le
nouvel ordre mondial unipolaire, Elon Musk fait cavalier seul
pour rétablir la liberté d’expression au sein des réseaux
sociaux, c’est-à-dire une part de vérité dans ce monde de
ténèbres. D’ailleurs, le 5 mars dernier, il a déclaré que son
service haut débit par satellite Starlink avait été invité par
certains gouvernements à bloquer les sources d’information
russes. « Nous ne le ferons que sous la menace d’une arme », a-
t-il déclaré sur Twitter, ajoutant : « Désolé d’être un
absolutiste de la liberté d’expression ». Croyons-nous toujours
que ceci n’est qu’une simple mise en scène pour jeter de la
poudre aux yeux du public ? Je crois plutôt que Elon Musk se
fait de nombreux ennemis au sein du Big Tech, des médias de
propagande et des gouvernements occidentaux de la gauche
radicale.

Le commissaire européen Thierry Breton s’est rendu au Texas pour
« expliquer » à Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, le
nouveau règlement européen, c’est-à-dire la législation sur les
services numériques qui vise à réguler les contenus internet
(en anglais : Digital Services Act, DSA) : « je suis d’accord
avec tout ce que vous avez dit », répondit le futur propriétaire
de Twitter au Commissaire. Ceci donne la franche impression que
l’homme d’affaire se soumettra servilement aux directives des
autorités européennes. Or, à peine 24 heures plus tard, Elon
Musk annonçait lors du sommet du Financial Times sur l’avenir de
la voiture (Future of the Car conference) qu’il annulerait la
suspension de Donald Trump de Twitter, ajoutant que
l’interdiction était « moralement répréhensible » et «
complètement stupide ». L’interdiction de Twitter de Trump était
« insensée à l’extrême », dit Musk. Ce n’est certainement pas ce
que Thierry Breton espérait entendre. Mais il est évident que
Elon Musk respectera les lois en vigueur, c’est-à-dire qu’il
n’autorisera certainement pas les propos litigieux : crime,
violence, pornographie, etc.

Il écrivait le 26 avril 2022 : « Par “liberté d’expression”,
j’entends simplement ce qui est conforme à la loi. Je suis
contre la censure qui va bien au-delà de la loi. Si les gens
veulent moins de liberté d’expression, ils demanderont au
gouvernement d’adopter des lois à cet effet. Par conséquent,
aller au-delà de la loi est contraire à la volonté du peuple. »
Il me semble qu’on ne peut pas être plus clair. Malgré cela,
Carėne Tardy écrivit sur Twitter : « Il n’y a que vous pour
croire Elon Musk. Je n’attends rien de lui en matière de liberté
d’expression, mais s’il veut rentabiliser son investissement, il
faudra passer par une mutation de Twitter. C’est pas en
obéissant à la technocratie européenne qu’il réussira. »

Elon Musk est un personnage paradoxal et difficile à cerner,
comme tous les individus qui font preuve d’originalité et
d’excentricités. Est-il un franc-maçon comme certaines personnes
le suggèrent sans preuve ? À la lecture de son commentaire
publié le 3 mai 2022, il semble plutôt s’y opposer : « En fin de
compte, la chute des francs-maçons a été de donner leurs
services de taille de pierre pour rien. » Elon Musk est-il un
sataniste comme d’autres personnes le prétendent ? Certains
l’affirment car ils croient l’avoir aperçu faisant le signe des
cornes, alors qu’il faisait simplement le geste de la main «
Hook ’em Horns » de l’Université du Texas à Austin, aux côtés du
gouverneur du Texas, Greg Abbott (comme si le gouverneur
républicain était lui-même un sataniste !). Elon Musk est un
scientifique ainsi qu’un agnostique, et de ce fait il est
tiraillé intérieurement entre « croire ou ne pas croire ». Mais
il est évident à la lueur des informations que nous avons que —
contrairement à toutes les rumeurs — Elon Musk semble se trouver
dans une quête spirituelle permanente et ne rejette aucunement
l’existence de Dieu. En effet, lors d’une entrevue sur la
plateforme d’information “The Babylon Bee”, il affirma : « Si
Jésus sauve des gens … Je ne me mettrai pas en travers de son
chemin. Bien sûr, je serai sauvé. Pourquoi pas ? »

Elon Musk craint-il désormais pour sa vie ? Se sent-il en danger
? Anticipe-t-il sa mort ? Il écrivait sur Twitter le 8 mai : «
Si je meurs dans des circonstances mystérieuses, ça fut un
plaisir de vous connaître. » Ceci ressemble étrangement au
message publié le 15 octobre 2020 par John McAfee,— libertarien,
créateur du premier logiciel antivirus commercial et défenseur
de la Constitution américaine : « Sachez que si je me pends, à
la Epstein, ce ne sera pas ma faute. » Le 23 juin 2021, McAfee a
été retrouvé mort dans sa cellule de prison près de Barcelone,
apparemment par suicide selon les autorités. Le lendemain de sa
mort, son avocat a déclaré aux journalistes qu’il n’y avait
aucun signe d’intention suicidaire.

Le 30 novembre 2019, McAfee avait déjà publié sur Twitter : «
Recevoir des messages subtils d’officiels américains disant, en
effet : « Nous venons vous chercher McAfee ! Nous allons vous
tuer ». Je me suis fait tatouer aujourd’hui au cas où. Si je me
suicide, je ne l’ai pas fait. J’étais foutu. Vérifiez mon bras
droit. » Il nous est donc permis de prendre ce genre de message
au sérieux. Répondant à Yasser Al-Mishal, Elon Musk écrivit dans
le même tweet : « Merci pour la bénédiction, mais je suis
d’accord pour aller en enfer, si c’est bien ma destination,
puisque la grande majorité de tous les humains y seront. » Syl
Johnoneone écrit sur VKontakte : « He bien, il y va fort ! Il
doit pourtant avoir une idée de ce qu’est l’enfer. Mais Musk a
un côté provocateur quelquefois. Donc qui sait si une fois
rentré tout seul chez lui, il ne s’achemine pas dans la bonne
direction. » Seul Elon Musk peut désormais décider du chemin
qu’il veut emprunter.
Vous trouverez ci-dessous un excellent article de Stephen
Flurry qui complètera votre lecture.

 « Moi c’est mon épicier que je ne sens pas. C’est pas pour
 autant que j’en déduis que c’est un satanique franc-maçon nazi.
 Mais, c’est que, en toute vérité, je n’en sais rien. Donc on
 reste vigilant, mais comme disait Balavoine, “il ne suffit pas
 d’être pauvre pour être honnête”. »

 — Théo D’italia, VKontakte, mercredi le 11 mai 2022

 If I die under mysterious circumstances, it’s been nice knowin
 ya

 — Elon Musk (@elonmusk) May 9, 2022

 Thank you for the blessing, but I’m ok with going to hell, if
 that is indeed my destination, since the vast majority of all
 humans ever born will be there.

 — Elon Musk (@elonmusk) May 9, 2022
Getting subtle messages from U.S. officials saying, in effect:
"We're coming for you McAfee! We're going to kill yourself". I
got a tattoo today just in case. If I suicide myself, I didn't.
I was whackd. Check my right arm.$WHACKD available only on
https://t.co/HdSEYi9krq pic.twitter.com/rJ0Vi2Hpjj

— John McAfee (@officialmcafee) November 30, 2019

I am content in here. I have friends.

The food is good. All is well.

Know that if I hang myself, a la Epstein, it will be no fault
of mine.

— John McAfee (@officialmcafee) October 15, 2020
Elon Musk contre le ministère de la
Vérité
Un article de Stephen Flurry
La guerre culturelle est maintenant un conflit national ouvert.
Les révolutionnaires ont capturé et consolidé leur pouvoir sur
les médias d’information et les médias sociaux. Ils utilisent ce
pouvoir pour briser la tradition, la religion, l’histoire, la
famille, l’enfance et même la biologie, se rebellant contre la
réalité elle-même. Et ils utilisent leur pouvoir pour censurer
les personnes qui s’opposent à eux.

Maintenant, ils frappent contre l’existence même de la liberté
d’expression. En réaction à la censure technologique radicale,
l’entrepreneur Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, a
conclu un accord pour acheter Twitter pour plus de 40 milliards
de dollars. Il est un utilisateur actif de Twitter depuis des
années et dit qu’il l’aime comme peut-être la meilleure “place
de la ville” au monde, un moyen d’échanger et de débattre
librement des idées. Il se considère comme un libéral modéré
laissé pour compte par ses collègues libéraux au cours des
dernières années alors qu’ils sont devenus de plus en plus
radicaux. Il a également remarqué, comme beaucoup d’autres, que
Twitter semblait secrètement rejeter certaines personnes, idées
et même candidats politiques tout en augmentant l’influence de
l’autre côté. Cette suspicion a été confirmée au monde entourant
l’élection présidentielle de 2020.

Les dirigeants de Twitter sont activement intervenus pour
interdire les informations négatives mais vraies sur Joe Biden
en octobre 2020 lorsque des informations obtenues légalement sur
l’ordinateur portable de son fils ont été rendues publiques. Ils
ont bloqué puis gelé le compte d’un très ancien, très grand
éditeur de nouvelles légitime, le New York Post, pour avoir
rendu compte de l’histoire et ont empêché tous les utilisateurs
de Twitter de partager ces informations. Plus tard, après les
élections, le directeur général de Twitter, Jack Dorsey, a
affirmé qu’il s’agissait d’une « erreur totale » et d’une «
erreur de processus » qui n’était « pas contre eux [le Post]
d’une manière particulière ». Il a fait cette déclaration avec
Joe Biden en toute sécurité à la Maison Blanche – et a refusé de
répondre à un membre du Congrès qui a demandé à qui appartenait
la décision d’interdire cette information.

Les dirigeants de Twitter ont pris une mesure tout aussi
radicale au début de 2021. Après que des preuves ont émergé que
l’élection de 2020 avait non seulement été injustement
influencée par la couverture médiatique et la censure, mais
aussi que des dizaines de milliers de votes réels avaient été
manipulés, les Américains ont protesté, le président américain
Donald Trump parmi eux. Ils ont exigé que les tribunaux, les
législatures et les procureurs compétents enquêtent sur la
fraude, disqualifient les votes illégaux et veillent à ce que
l’élection    soit   constitutionnelle,     voire    simplement
démocratique. Mais le gros vol s’est poursuivi, du soir de
l’élection du 3 novembre à la certification du Congrès le 6
janvier. En fait, plus de 100 représentants et sénateurs
américains étaient prêts à contester la certification en raison
de preuves de fraude dans six États swing, mais ceux derrière le
gros vol étaient prêts pour ça. La manifestation du 6 janvier
est devenue indisciplinée et, dans quelques cas, violente. Des
preuves ont émergé que le gouvernement fédéral lui-même, par
l’intermédiaire du Federal Bureau of Investigation (FBI), a
contribué à ce que ce comportement d’émeute discrédite
l’opposition et force la certification. Ça a marché.
Quelques heures plus tard, les censeurs de Twitter sont entrés
en action, suspendant en fait le compte du président pour le
bloquer de l’une de ses formes de communication les plus
utilisées. Le lendemain, l’ancienne première dame Michelle Obama
a exigé que Twitter bannisse définitivement le président.
Twitter a obéi dans les 24 heures. Il a définitivement bloqué le
compte, y compris tous les messages antérieurs, du président
Donald Trump, le coupant de ses 85 millions de followers (Joe
Biden en avait 8 millions).

Musk était l’un de ceux qui ont protesté contre la censure de
style activiste de Twitter. Il n’était pas connu pour soutenir
Trump, ne pensait pas nécessairement qu’il était un bon
président et avait d’importants différends avec lui, y compris
l’opposition à ce que Trump retire l’Amérique des accords de
Paris sur le climat, une priorité majeure de Barack Obama et
d’autres gauchistes. Musk n’était pas un partisan de Trump. Il
vient de reconnaître le fait évident que la liberté d’expression
fait partie intégrante de la liberté elle-même. Il a dit à un
associé qu’une entreprise de technologie interdisant un
président en exercice de sa plate-forme était « folle ».

Maintenant, Musk voit s’il peut faire quelque chose à ce sujet.
Il a déclaré que si son achat de Twitter réussit, il souhaite le
rendre impartial et transparent, en ouvrant même le code
informatique sous-jacent afin que les utilisateurs puissent
prouver par eux-mêmes comment les dirigeants de Twitter
déterminent ce qu’ils voient et s’ils refusent artificiellement
la portée de certains contenus et augmenter la portée d’autres
contenus. Il a déclaré qu’une autre priorité absolue était de se
débarrasser des « bots ». Il s’agit de comptes Twitter
automatisés utilisés pour promouvoir des produits ou des
individus, perpétrer des escroqueries monétaires et amplifier
artificiellement certains points de vue. Cela aurait pour effet
de révéler combien de personnes réelles soutiennent quelles
idées et combien de comptes sont l’équivalent sur les réseaux
sociaux de bulletins de vote frauduleux.

Musk souhaite que les dirigeants de Twitter utilisent leur
contrôle de la plate-forme pour appliquer les lois applicables,
mais peu de règles supplémentaires au-delà. Dans une république
constitutionnelle comme l’Amérique, si les gens veulent arrêter
quelque chose, ils font une loi par l’intermédiaire de leurs
représentants élus. Musk a déclaré que ces lois devraient régir
ce qui peut être publié sur une plate-forme de médias sociaux,
et non un conseil de censure aux idées radicales. C’est un cas
clair pour la liberté d’expression.

Les gauchistes radicaux ne veulent pas ça !

Ils sont furieux ! La ligne d’attaque pour beaucoup d’entre eux
n’est pas que Musk échouera à apporter la liberté d’expression
sur Twitter : c’est qu’il réussira, et la liberté d’expression
est mauvaise.

Un animateur libéral radical a tout mis en œuvre et a déclaré
que les changements de Musk sur Twitter « pourraient affecter le
sort de la planète ». Ils ont des raisons impérieuses de
combattre Musk et de continuer à refuser la liberté d’expression
sur Twitter et ailleurs. Que pourrait-il se passer si les gens
pouvaient discuter plus librement des effets indésirables des
vaccins covid-19, des véritables effets de la pandémie covid-19
elle-même, de la corruption endémique de la famille Biden et du
niveau de fraude lors de l’élection présidentielle de 2020 ?
Leur emprise sur le pouvoir dépend de la censure de la vérité.

 Some of the nation's biggest brands including Coca-Cola, Disney
 and Kraft are facing calls to boycott Twitter if the company's
 soon-to-be owner, billionaire Elon Musk, rolls back content
 moderation policies limiting hate speech and election
 misinformation https://t.co/3QMimVsfso
— CNN (@CNN) May 3, 2022

Fusion libérale
L’hôte de MSNBC, Ari Melber, a déclaré : « Si vous possédez tout
Twitter ou Facebook ou autre, vous n’avez pas à vous expliquer,
vous n’avez même pas besoin d’être transparent. Vous pourriez
secrètement interdire le candidat d’un parti, ou tous ses
candidats, tous ses candidats. » Il a poursuivi : « Ou vous
pourriez simplement refuser secrètement la portée de leurs
affaires et augmenter la portée de quelque chose d’autre, et le
reste d’entre nous pourrait même ne pas le découvrir avant les
élections. » Melber et ses amis radicaux de gauche MSNBC ont agi
comme s’ils n’avaient aucune idée que le monde savait que c’est
exactement ce que les censeurs de Twitter ont ouvertement fait
autour de l’élection capitale de 2020 ! Twitter a complètement
bloqué les informations légitimes et légales sur l’ordinateur
portable du fils de Joe Biden, et il a définitivement interdit
le président en exercice des États-Unis, Donald Trump !

C’est le « politiquement correct » de la dernière étape. C’est
une censure radicale en faveur d’une révolution culturelle et
littérale.

Des employés de Twitter ont été filmés en train d’admettre que
l’entreprise « interdit » les conservateurs et signale les
messages contenant des mots comme “Dieu” ou “Amérique”. Et après
l’annonce de l’acceptation de l’offre de Musk, les dirigeants de
Twitter semblent avoir modifié leurs algorithmes pour réduire
l’ampleur de la manipulation des informations. Les conservateurs
éminents ont soudainement découvert qu’ils avaient beaucoup plus
d’adeptes, et les libéraux éminents ont découvert qu’ils en
avaient beaucoup moins.
Censurer vos adversaires ne leur donne pas tort. Cela prouve
seulement que vous craignez ce qu’ils pourraient dire. C’est
pourquoi les gauchistes radicaux et les propagandistes
médiatiques explosent de colère contre Elon Musk. Ils projettent
leurs propres crimes sur lui.

Musk dit que la parole ne devrait être régie que par les lois
adoptées par des représentants démocratiquement élus. Des gens
comme Elizabeth Warren, une élue, disent que c’est « dangereux
pour la démocratie ». Mais utiliser Twitter comme une machine de
propagande alignée sur les démocrates ? « Ce n’est pas dangereux
pour la démocratie », disait-elle, « car elle est démocrate ».
Les gauchistes radicaux comme Warren craignent non seulement que
Twitter reflète les opinions réelles de vraies personnes à un
ratio de 1:1 à l’avenir, mais que ce que Twitter a fait dans le
passé soit révélé.

On pourrait penser que les sénateurs et autres politiciens ou
surtout les journalistes, même s’ils sont démocrates,
éviteraient d’attaquer avec véhémence et hypocrisie une valeur
aussi fondamentale et chère qu’est la liberté d’expression. Mais
nous sommes maintenant aux derniers stades de la guerre
culturelle. Les gauchistes radicaux sont très profondément
engagés dans leur longue marche de destruction des institutions
américaines.

Le magazine Time a récemment publié un article intitulé « Elon
Musk et l’obsession des frères technos avec la “liberté
d’expression” ». l’élite technologique, qui a gagné des
milliards au cours des décennies avant qu’une main-d’œuvre en
pleine diversification ne change la culture de bon nombre des
plus grandes entreprises de la Silicon Valley.

Même les élites technologiques californiennes — dont la plupart
votent démocrate, dont beaucoup promeuvent les démocrates, font
des dons aux démocrates et utilisent la liberté d’expression
pour amplifier les politiques démocrates — sont racistes si
elles favorisent la liberté d’expression.

Joy Reid de MSNBC a accusé Musk de faire pression pour la
liberté d’expression parce qu’il veut ramener l’ère de
l’apartheid de son Afrique du Sud natale. Vous avez bien lu.
Musk est un milliardaire libéral qui dépense une grande partie
de sa fortune pour lutter contre le changement climatique et qui
a soutenu Barack Obama. Mais il veut la liberté d’expression sur
Twitter, alors maintenant les forces d’attaque libérales le
qualifient de raciste blanc.

George Soros, qui pendant des décennies a utilisé ses milliards
pour détruire la Constitution et les traditions de l’Amérique, a
utilisé son Open Markets Initiative pour, ironiquement, essayer
de bloquer l’achat de Musk. Les militants, dont beaucoup
remontent presque certainement à des personnes comme Soros,
ciblent les plus grands annonceurs de Twitter pour tenter
d’intimider ou de contrecarrer Musk.

Une autre attaque contre l’acquisition est venue de 26
organisations non gouvernementales et groupes de défense qui ont
signé une lettre exhortant les plus grandes marques du pays,
dont Coca-Cola, Disney et Kraft, à boycotter Twitter si Elon
Musk met son plan à exécution. « Sous la direction de Musk,
Twitter risque de devenir un cloaque de désinformation »,
indique leur lettre. « Vos dollars publicitaires peuvent soit
financer le projet de vanité de Musk, soit lui demander des
comptes. Nous vous demandons d’exiger que Musk respecte ces
normes de base de confiance et de sécurité de la communauté, et
de retirer vos dépenses publicitaires de Twitter si ce n’est pas
le cas. »

Musk a répondu à cette lettre en demandant qui finance ces
groupes. La réponse est l’Open Society Foundations de George
Soros, diverses organisations non gouvernementales fondées par
d’anciens membres du personnel de l’administration Clinton et
Obama, de riches donateurs démocrates, des syndicats et, dans
certains cas, les gouvernements des nations européennes. Tous
ces divers groupes de gauche sont unis par leur conviction que
la liberté d’expression doit jouer le second rôle par rapport à
la parole socialiste. Mais comment Barack Obama a-t-il réagi ?

Maintenant que les gauchistes pourraient perdre la capacité
d’amplifier leur propre message et de censurer les conservateurs
sur Twitter, Obama a appelé à l’intervention du gouvernement.
Lors d’un discours à l’Université de Stanford qu’il a prononcé
pendant que Musk négociait l’accord, Obama a envoyé un message
disant que plus de « réglementation doit faire partie de la
réponse ». Moins d’une semaine plus tard, comme au bon moment,
le département de la Sécurité intérieure a annoncé qu’il créait
ce qu’il appelle le Conseil de gouvernance de la désinformation.

Ministère de la Vérité
Le Conseil de gouvernance de la désinformation a été comparé au
« ministère de la vérité » dystopique dans le roman de George
Orwell de 1984. Son objectif présumé est de conseiller le
secrétaire du DHS sur la manière d’analyser le contenu en ligne.
Mais quand on regarde les décennies de censure «politiquement
correcte» et maintenant la manipulation effrontée de
l’information, on peut voir que ce conseil est une étape majeure
sur la voie d’une censure semblable au Parti communiste chinois.

La personne la plus puissante de ce conseil est Nina Jankowicz,
une ancienne « experte » en désinformation au Woodrow Wilson
Center. Elle a apparemment soutenu, lorsque Trump était
président, « je ne voudrais jamais voir notre pouvoir exécutif
avoir ce genre de pouvoir » — le genre de pouvoir qu’elle a
maintenant. Lorsque Twitter a décidé de réduire une partie de sa
censure sur la liberté d’expression concernant les élections de
2020, Jankowicz a déclaré qu’elle était « consternée par cette
décision » compte tenu « des dommages à long terme que ces
mensonges causent à notre démocratie          ». Elle doit être
doublement consternée maintenant que          Twitter se dirige
entièrement vers une nouvelle propriété. En fin de compte, les
gauchistes radicaux croient que la vraie information est ce que
le parti dit être une vraie information.

Jankowicz   est   surtout   connue     pour   avoir   répandu   la
désinformation selon laquelle l’ordinateur portable Hunter Biden
était de la « désinformation russe ». Maintenant que même le New
York Times radicalement libéral admet que l’ordinateur portable
de Hunter Biden était l’ordinateur portable de Hunter Biden,
Jankowicz se révèle comme quelqu’un dont l’expertise en matière
de désinformation ne l’arrête pas mais la diffuse.

 Interesting. I wonder if those funding these organizations are
 fully aware of what the organizations are doing.
 https://t.co/YzVZIvF68E

 — Elon Musk (@elonmusk) May 4, 2022

Lorsque la nouvelle est sortie du tristement célèbre dossier
Steele, douteux et maintenant complètement discrédité, une
tentative de dépeindre Donald Trump comme vulnérable au chantage
de la Russie, Jankowicz s’est porté garante de l’authenticité du
dossier. En octobre 2020, alors que les élections étaient en
jeu, Jankowicz est allée jusqu’à dire à CNN qu’elle pensait que
les gens à travers le pays craignaient que les partisans de
Trump ne se présentent aux bureaux de vote avec des armes à feu
pour effrayer les démocrates afin qu’ils ne votent pas. Cette
désinformation sans fondement vous dit tout ce que vous devez
savoir sur la façon dont Jankowicz utilisera le pouvoir du
Conseil de gouvernance de la désinformation.

L’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a affirmé
que Jankowicz était une « experte » avec des « qualifications
étendues » pour son nouveau poste. Le secrétaire du DHS,
Alejandro Mayorkas, l’a qualifiée d’« éminemment qualifiée, une
experte renommée dans le domaine de la désinformation ». « Et
neutre ? » demanda l’intervieweur. « Absolument. » Mais même le
Wall Street Journal peut voir que cette nomination partisane
radicale à une nouvelle institution radicale est une conception
délibérée des démocrates pour contrôler ce que vous êtes
autorisé à voir et à entendre.

Le DHS a pris la décision de former un conseil pour « examiner
les questions de confidentialité et de liberté civile pour le
contenu en ligne » l’année dernière, mais le fait que le
Disinformation Governance Board ait été officiellement lancé
juste après le discours d’Obama et deux jours après que l’achat
de Twitter par Musk a été annoncé, n’est probablement pas un
hasard. Pour la gauche, lorsqu’un doigt lâche son étau sur Big
Tech, sa réponse est le « Ministère de la Vérité » du
département bien armé de la Sécurité intérieure.

Les gauchistes ont beaucoup de travail de censure à faire.
L’immigration clandestine est hors de contrôle. Des faits covid
sortent. Des informations sur le vaccin covid sont publiées. Des
fraudes éhontées de plusieurs types ont été commises à la vue de
tous dans tout le pays le soir des élections 2020. Des
informations émergent selon lesquelles le FBI a joué un rôle
important dans l’incitation à la violence lors de la
manifestation du 6 janvier.
Le commentateur conservateur Jack Posobiec a déclaré que Musk «
ne s’est pas contenté d’acheter une entreprise, il a acheté des
preuves ». Que ce soit son intention ou non, posséder Twitter
pourrait signifier posséder des preuves que les gauchistes
radicaux censurent et bannissent les conservateurs depuis des
années. Nous pouvons nous attendre à des révélations choquantes
si et quand Musk prend Twitter privé et reprogramme la plate-
forme pour permettre la liberté d’expression. Le monde pourrait
bien avoir un aperçu de ce que fait Twitter, et cela lui
donnerait un aperçu de ce que fait la gauche radicale.

Des démocrates aux socialistes en passant par les communistes,
les gauchistes ciblent la liberté d’expression depuis des
années. Le politiquement correct est passé d’une idée absurde à
accepter à un facteur majeur dans notre politique et notre
culture.

De temps en temps, vous entendrez des démocrates dire des choses
positives sur la « liberté d’expression ». Mais ce droit donné
par Dieu fait partie du côté originel, constitutionnel et
conservateur de la guerre culturelle. Le côté progressiste,
socialiste et communiste de la guerre rejette fondamentalement
la Constitution, le droit à la liberté d’expression et les
croyances sur Dieu qui sous-tendent finalement tout le concept
de droits inaliénables. Ils n’y croient pas au départ.

Les gauchistes radicaux ne veulent pas         d’un débat où les
meilleurs faits peuvent gagner. Comme tout     le reste dans notre
société, ils veulent utiliser l’information    comme une arme. Ils
veulent que leurs adversaires soient réduits   au silence.

Nous voyons bien jusqu’où la gauche radicale est prête à aller
pour maintenir son emprise sur le pouvoir. Dans son article de
2018 « Sauver l’Amérique de la gauche radicale — temporairement
», mon père, le rédacteur en chef de La Trompette Gerald Flurry,
a écrit : « Si Hillary Clinton avait été élue, les tendances
destructrices qui se sont déroulées pendant la présidence
d’Obama se seraient poursuivies sans contrôle, et elles se
serait sûrement intensifié. Beaucoup de gens – dont moi –
pensent que cela aurait signifié la fin de notre république
constitutionnelle ! » À l’époque, ce point de vue aurait pu
sembler extrême. Je ne pense pas que le président Obama était un
grand leader, ont peut-être pensé certains. Mais détruire notre
république ? Vraiment ?

La guerre contre Twitter et la désinformation en général donne
un aperçu de la justesse de mon père. La gauche radicale est sur
le point de transformer ce bastion historique de la liberté en
une nation totalement différente. Ce n’est rien de moins que
miraculeux qu’Elon Musk soit allé aussi loin qu’il l’a fait dans
sa tentative de restaurer la liberté d’expression. Mais la
gauche riposte avec audace de diverses manières, jusqu’à et y
compris un Conseil de gouvernance de la désinformation.

Le prophète Daniel a dit qu’un Antiochus des temps de la fin «
jetterait la vérité par terre » (Daniel 8:12). Cela s’applique à
un dirigeant destructeur qui a utilisé son pouvoir sur l’Église
de Dieu pour la détruire. Mais cela s’applique également à ce
qui se passe en Amérique en ce moment.

Barack Obama était à l’épicentre de l’effort de la gauche
radicale pour empêcher la réélection de Donald Trump, et il est
à l’épicentre de l’effort pour empêcher les gens de le
découvrir. C’est pourquoi ses alliés politiques et ses
organisations ciblent Twitter.

Stephen Flurry
Rédacteur exécutif, laTrompette.com
Elon Musk : « Nous invoquons                le   démon    avec
l’intelligence artificielle »
Elon Musk a averti que l’intelligence artificielle pourrait être
notre plus grande menace existentielle et estime qu’il devrait y
avoir une certaine surveillance réglementaire aux niveaux
national et international, lors d’un discours lors du symposium
du centenaire du département d’aéronautique et d’astronautique
du MIT le 24 octobre 2014. « Je pense qu’il faut faire très
attention à l’intelligence artificielle. Si je devais deviner
quelle est notre plus grande menace existentielle, c’est
probablement ça. Nous devons donc être très prudents avec
l’intelligence artificielle. De plus en plus de scientifiques
pensent qu’il devrait y avoir une certaine surveillance
réglementaire, peut-être au niveau national et international,
juste pour s’assurer que nous ne faisons pas quelque chose de
très stupide. Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons
le démon. Dans toutes ces histoires où il y a le gars avec le
pentagramme et l’eau bénite, c’est comme ouais il est sûr qu’il
peut contrôler le démon. Ça n’a pas fonctionné. » Le directeur
général de Tesla a déjà mis en garde contre l’intelligence
artificielle, tweetant qu’elle pourrait être plus dangereuse que
les armes nucléaires.
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