Elon Musk contre le ministère de la Vérité : Les gauchistes radicaux ne veulent pas d'un débat où les meilleurs faits peuvent gagner - Guy Boulianne
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Elon Musk contre le ministère de la Vérité : Les gauchistes radicaux ne veulent pas d’un débat où les meilleurs faits peuvent gagner written by Copyright © Guy Boulianne | 12 mai 2022 Plusieurs personnes sur internet affirment, non sans raison, que Elon Musk « fait partie du plan », c’est-à-dire le plan des Globalistes. Depuis qu’il a conclu un accord en vue d’acquérir le réseau social Twitter pour 44 milliards de dollars, Elon Musk est la cible de critiques très variées, tant positives que négatives. Suite à l’annonce de ce rachat, Musk a déclaré dans un communiqué : « La liberté d’expression est le fondement d’une démocratie qui fonctionne, et Twitter est la place publique numérique où sont débattues des questions vitales pour
l’avenir de l’humanité ». Certaines personnes n’y croient tout simplement pas, affirmant que cela cache probablement une autre stratégie. Mon amie Rachel Fontaine écrit sur le réseau VKontakte : « Il parle de liberté d’expression certes, mais il est main dans la main avec Bill Gates et vantent ouvertement la micropuce dans le cerveau et les robots… il n’est pas de notre côté…. lui non plus. » Pourtant, depuis le rachat de Twitter, Elon Musk est en guerre ouverte avec Bill Gates. S’exprimant devant le Conseil des PDG du Wall Street Journal, celui-ci a commenté le projet d’Elon Musk d’acheter Twitter et comment il pourrait aggraver la désinformation en ligne. Les commentaires du milliardaire technologique interviennent après que Musk l’ait accusé d’avoir vendu à découvert l’action Tesla le mois dernier. Musk a également tweeté une blague grossière sur Gates que CNBC a décidé de ne pas publier. Gates a déclaré que les insultes ne le dérangeaient pas. Dans un échange de texte entre les deux milliardaires divulgué en ligne, que Musk a qualifié d’authentique, le PDG de Tesla a demandé à Gates s’il était toujours en train de vendre à découvert l’action. Gates a dit que oui et qu’il voulait parler de philanthropie à Musk. Musk a carrément rejeté la demande. « Désolé, je ne peux pas prendre au sérieux votre philanthropie sur le changement climatique lorsque vous avez une position courte massive contre Tesla, la société qui fait le plus pour résoudre le changement climatique », aurait déclaré Musk dans l’échange de texte. Mais Gates a déclaré le 4 mai à la BBC que ce n’est pas parce qu’il pariait contre Tesla qu’il était contre l’essor des voitures électriques. Musk et Gates ont une histoire de relations glaciales, et Musk a attaqué Gates sur Twitter à plusieurs reprises. Plus récemment, au milieu de la prise de contrôle de Twitter par Musk, le PDG de Tesla et SpaceX a tweeté une photo de Gates côte à côte avec un emoji d’un homme enceinte, en
disant : « au cas où vous auriez besoin de perdre une érection rapide ». Évidemment, on pourra toujours répliquer que tout ceci n’est qu’une mise en scène cachant une réalité beaucoup plus sordide. Au moment où j’écris ces lignes, je ne suis pas de cet avis. Et ne croyez surtout pas que je sois un naïf méconnaissant certains dossiers. Je connais très bien les projets controversés de Elon Musk comme Neuralink, dont les affirmations de ce dernier ont été décrites par la revue scientifique MIT Technology Review comme “hautement spéculatives” et “théâtre de neuroscience”. Je sais très bien qu’il portait une veste avec l’inscription “Novus Ordo Seclorum” lors du MET Gala 2018 (alors qu’il portait une tenue beaucoup plus classique en 2022). Mais comme l’écrit Caroline Pugnotti sur VKontakte : « Saul le persécuteur des chrétiens, sur la route de Damas, fut transfiguré ! et cela peut arriver à chacun… » Depuis quelques temps,— surtout depuis le rachat de Twitter —, Elon Musk semble être dans une phase de transition personnelle. C’est l’impression qu’il donne lorsqu’on l’observe attentivement. Bien qu’il fasse lui-même partie de l’élite, il ne semble pas craindre de se mettre à dos le reste de l’état
profond par ses prises de position. Il semble s’être réveillé à une autre réalité. À l’image de Vladimir Poutine qui combat le nouvel ordre mondial unipolaire, Elon Musk fait cavalier seul pour rétablir la liberté d’expression au sein des réseaux sociaux, c’est-à-dire une part de vérité dans ce monde de ténèbres. D’ailleurs, le 5 mars dernier, il a déclaré que son service haut débit par satellite Starlink avait été invité par certains gouvernements à bloquer les sources d’information russes. « Nous ne le ferons que sous la menace d’une arme », a- t-il déclaré sur Twitter, ajoutant : « Désolé d’être un absolutiste de la liberté d’expression ». Croyons-nous toujours que ceci n’est qu’une simple mise en scène pour jeter de la poudre aux yeux du public ? Je crois plutôt que Elon Musk se fait de nombreux ennemis au sein du Big Tech, des médias de propagande et des gouvernements occidentaux de la gauche radicale. Le commissaire européen Thierry Breton s’est rendu au Texas pour « expliquer » à Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, le nouveau règlement européen, c’est-à-dire la législation sur les services numériques qui vise à réguler les contenus internet (en anglais : Digital Services Act, DSA) : « je suis d’accord avec tout ce que vous avez dit », répondit le futur propriétaire de Twitter au Commissaire. Ceci donne la franche impression que l’homme d’affaire se soumettra servilement aux directives des autorités européennes. Or, à peine 24 heures plus tard, Elon Musk annonçait lors du sommet du Financial Times sur l’avenir de la voiture (Future of the Car conference) qu’il annulerait la suspension de Donald Trump de Twitter, ajoutant que l’interdiction était « moralement répréhensible » et « complètement stupide ». L’interdiction de Twitter de Trump était « insensée à l’extrême », dit Musk. Ce n’est certainement pas ce que Thierry Breton espérait entendre. Mais il est évident que Elon Musk respectera les lois en vigueur, c’est-à-dire qu’il
n’autorisera certainement pas les propos litigieux : crime, violence, pornographie, etc. Il écrivait le 26 avril 2022 : « Par “liberté d’expression”, j’entends simplement ce qui est conforme à la loi. Je suis contre la censure qui va bien au-delà de la loi. Si les gens veulent moins de liberté d’expression, ils demanderont au gouvernement d’adopter des lois à cet effet. Par conséquent, aller au-delà de la loi est contraire à la volonté du peuple. » Il me semble qu’on ne peut pas être plus clair. Malgré cela, Carėne Tardy écrivit sur Twitter : « Il n’y a que vous pour croire Elon Musk. Je n’attends rien de lui en matière de liberté d’expression, mais s’il veut rentabiliser son investissement, il faudra passer par une mutation de Twitter. C’est pas en obéissant à la technocratie européenne qu’il réussira. » Elon Musk est un personnage paradoxal et difficile à cerner, comme tous les individus qui font preuve d’originalité et d’excentricités. Est-il un franc-maçon comme certaines personnes le suggèrent sans preuve ? À la lecture de son commentaire publié le 3 mai 2022, il semble plutôt s’y opposer : « En fin de compte, la chute des francs-maçons a été de donner leurs services de taille de pierre pour rien. » Elon Musk est-il un sataniste comme d’autres personnes le prétendent ? Certains l’affirment car ils croient l’avoir aperçu faisant le signe des cornes, alors qu’il faisait simplement le geste de la main « Hook ’em Horns » de l’Université du Texas à Austin, aux côtés du gouverneur du Texas, Greg Abbott (comme si le gouverneur républicain était lui-même un sataniste !). Elon Musk est un scientifique ainsi qu’un agnostique, et de ce fait il est tiraillé intérieurement entre « croire ou ne pas croire ». Mais il est évident à la lueur des informations que nous avons que — contrairement à toutes les rumeurs — Elon Musk semble se trouver dans une quête spirituelle permanente et ne rejette aucunement l’existence de Dieu. En effet, lors d’une entrevue sur la
plateforme d’information “The Babylon Bee”, il affirma : « Si Jésus sauve des gens … Je ne me mettrai pas en travers de son chemin. Bien sûr, je serai sauvé. Pourquoi pas ? » Elon Musk craint-il désormais pour sa vie ? Se sent-il en danger ? Anticipe-t-il sa mort ? Il écrivait sur Twitter le 8 mai : « Si je meurs dans des circonstances mystérieuses, ça fut un plaisir de vous connaître. » Ceci ressemble étrangement au message publié le 15 octobre 2020 par John McAfee,— libertarien, créateur du premier logiciel antivirus commercial et défenseur de la Constitution américaine : « Sachez que si je me pends, à la Epstein, ce ne sera pas ma faute. » Le 23 juin 2021, McAfee a été retrouvé mort dans sa cellule de prison près de Barcelone, apparemment par suicide selon les autorités. Le lendemain de sa mort, son avocat a déclaré aux journalistes qu’il n’y avait aucun signe d’intention suicidaire. Le 30 novembre 2019, McAfee avait déjà publié sur Twitter : « Recevoir des messages subtils d’officiels américains disant, en effet : « Nous venons vous chercher McAfee ! Nous allons vous tuer ». Je me suis fait tatouer aujourd’hui au cas où. Si je me suicide, je ne l’ai pas fait. J’étais foutu. Vérifiez mon bras droit. » Il nous est donc permis de prendre ce genre de message au sérieux. Répondant à Yasser Al-Mishal, Elon Musk écrivit dans le même tweet : « Merci pour la bénédiction, mais je suis d’accord pour aller en enfer, si c’est bien ma destination, puisque la grande majorité de tous les humains y seront. » Syl Johnoneone écrit sur VKontakte : « He bien, il y va fort ! Il doit pourtant avoir une idée de ce qu’est l’enfer. Mais Musk a un côté provocateur quelquefois. Donc qui sait si une fois rentré tout seul chez lui, il ne s’achemine pas dans la bonne direction. » Seul Elon Musk peut désormais décider du chemin qu’il veut emprunter.
Vous trouverez ci-dessous un excellent article de Stephen Flurry qui complètera votre lecture. « Moi c’est mon épicier que je ne sens pas. C’est pas pour autant que j’en déduis que c’est un satanique franc-maçon nazi. Mais, c’est que, en toute vérité, je n’en sais rien. Donc on reste vigilant, mais comme disait Balavoine, “il ne suffit pas d’être pauvre pour être honnête”. » — Théo D’italia, VKontakte, mercredi le 11 mai 2022 If I die under mysterious circumstances, it’s been nice knowin ya — Elon Musk (@elonmusk) May 9, 2022 Thank you for the blessing, but I’m ok with going to hell, if that is indeed my destination, since the vast majority of all humans ever born will be there. — Elon Musk (@elonmusk) May 9, 2022
Getting subtle messages from U.S. officials saying, in effect: "We're coming for you McAfee! We're going to kill yourself". I got a tattoo today just in case. If I suicide myself, I didn't. I was whackd. Check my right arm.$WHACKD available only on https://t.co/HdSEYi9krq pic.twitter.com/rJ0Vi2Hpjj — John McAfee (@officialmcafee) November 30, 2019 I am content in here. I have friends. The food is good. All is well. Know that if I hang myself, a la Epstein, it will be no fault of mine. — John McAfee (@officialmcafee) October 15, 2020
Elon Musk contre le ministère de la Vérité Un article de Stephen Flurry La guerre culturelle est maintenant un conflit national ouvert. Les révolutionnaires ont capturé et consolidé leur pouvoir sur les médias d’information et les médias sociaux. Ils utilisent ce pouvoir pour briser la tradition, la religion, l’histoire, la famille, l’enfance et même la biologie, se rebellant contre la réalité elle-même. Et ils utilisent leur pouvoir pour censurer les personnes qui s’opposent à eux. Maintenant, ils frappent contre l’existence même de la liberté d’expression. En réaction à la censure technologique radicale, l’entrepreneur Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, a conclu un accord pour acheter Twitter pour plus de 40 milliards de dollars. Il est un utilisateur actif de Twitter depuis des années et dit qu’il l’aime comme peut-être la meilleure “place de la ville” au monde, un moyen d’échanger et de débattre librement des idées. Il se considère comme un libéral modéré laissé pour compte par ses collègues libéraux au cours des dernières années alors qu’ils sont devenus de plus en plus radicaux. Il a également remarqué, comme beaucoup d’autres, que Twitter semblait secrètement rejeter certaines personnes, idées et même candidats politiques tout en augmentant l’influence de l’autre côté. Cette suspicion a été confirmée au monde entourant l’élection présidentielle de 2020. Les dirigeants de Twitter sont activement intervenus pour interdire les informations négatives mais vraies sur Joe Biden en octobre 2020 lorsque des informations obtenues légalement sur
l’ordinateur portable de son fils ont été rendues publiques. Ils ont bloqué puis gelé le compte d’un très ancien, très grand éditeur de nouvelles légitime, le New York Post, pour avoir rendu compte de l’histoire et ont empêché tous les utilisateurs de Twitter de partager ces informations. Plus tard, après les élections, le directeur général de Twitter, Jack Dorsey, a affirmé qu’il s’agissait d’une « erreur totale » et d’une « erreur de processus » qui n’était « pas contre eux [le Post] d’une manière particulière ». Il a fait cette déclaration avec Joe Biden en toute sécurité à la Maison Blanche – et a refusé de répondre à un membre du Congrès qui a demandé à qui appartenait la décision d’interdire cette information. Les dirigeants de Twitter ont pris une mesure tout aussi radicale au début de 2021. Après que des preuves ont émergé que l’élection de 2020 avait non seulement été injustement influencée par la couverture médiatique et la censure, mais aussi que des dizaines de milliers de votes réels avaient été manipulés, les Américains ont protesté, le président américain Donald Trump parmi eux. Ils ont exigé que les tribunaux, les législatures et les procureurs compétents enquêtent sur la fraude, disqualifient les votes illégaux et veillent à ce que l’élection soit constitutionnelle, voire simplement démocratique. Mais le gros vol s’est poursuivi, du soir de l’élection du 3 novembre à la certification du Congrès le 6 janvier. En fait, plus de 100 représentants et sénateurs américains étaient prêts à contester la certification en raison de preuves de fraude dans six États swing, mais ceux derrière le gros vol étaient prêts pour ça. La manifestation du 6 janvier est devenue indisciplinée et, dans quelques cas, violente. Des preuves ont émergé que le gouvernement fédéral lui-même, par l’intermédiaire du Federal Bureau of Investigation (FBI), a contribué à ce que ce comportement d’émeute discrédite l’opposition et force la certification. Ça a marché.
Quelques heures plus tard, les censeurs de Twitter sont entrés en action, suspendant en fait le compte du président pour le bloquer de l’une de ses formes de communication les plus utilisées. Le lendemain, l’ancienne première dame Michelle Obama a exigé que Twitter bannisse définitivement le président. Twitter a obéi dans les 24 heures. Il a définitivement bloqué le compte, y compris tous les messages antérieurs, du président Donald Trump, le coupant de ses 85 millions de followers (Joe Biden en avait 8 millions). Musk était l’un de ceux qui ont protesté contre la censure de style activiste de Twitter. Il n’était pas connu pour soutenir Trump, ne pensait pas nécessairement qu’il était un bon président et avait d’importants différends avec lui, y compris l’opposition à ce que Trump retire l’Amérique des accords de Paris sur le climat, une priorité majeure de Barack Obama et d’autres gauchistes. Musk n’était pas un partisan de Trump. Il vient de reconnaître le fait évident que la liberté d’expression fait partie intégrante de la liberté elle-même. Il a dit à un associé qu’une entreprise de technologie interdisant un président en exercice de sa plate-forme était « folle ». Maintenant, Musk voit s’il peut faire quelque chose à ce sujet. Il a déclaré que si son achat de Twitter réussit, il souhaite le rendre impartial et transparent, en ouvrant même le code informatique sous-jacent afin que les utilisateurs puissent prouver par eux-mêmes comment les dirigeants de Twitter déterminent ce qu’ils voient et s’ils refusent artificiellement la portée de certains contenus et augmenter la portée d’autres contenus. Il a déclaré qu’une autre priorité absolue était de se débarrasser des « bots ». Il s’agit de comptes Twitter automatisés utilisés pour promouvoir des produits ou des individus, perpétrer des escroqueries monétaires et amplifier artificiellement certains points de vue. Cela aurait pour effet de révéler combien de personnes réelles soutiennent quelles
idées et combien de comptes sont l’équivalent sur les réseaux sociaux de bulletins de vote frauduleux. Musk souhaite que les dirigeants de Twitter utilisent leur contrôle de la plate-forme pour appliquer les lois applicables, mais peu de règles supplémentaires au-delà. Dans une république constitutionnelle comme l’Amérique, si les gens veulent arrêter quelque chose, ils font une loi par l’intermédiaire de leurs représentants élus. Musk a déclaré que ces lois devraient régir ce qui peut être publié sur une plate-forme de médias sociaux, et non un conseil de censure aux idées radicales. C’est un cas clair pour la liberté d’expression. Les gauchistes radicaux ne veulent pas ça ! Ils sont furieux ! La ligne d’attaque pour beaucoup d’entre eux n’est pas que Musk échouera à apporter la liberté d’expression sur Twitter : c’est qu’il réussira, et la liberté d’expression est mauvaise. Un animateur libéral radical a tout mis en œuvre et a déclaré que les changements de Musk sur Twitter « pourraient affecter le sort de la planète ». Ils ont des raisons impérieuses de combattre Musk et de continuer à refuser la liberté d’expression sur Twitter et ailleurs. Que pourrait-il se passer si les gens pouvaient discuter plus librement des effets indésirables des vaccins covid-19, des véritables effets de la pandémie covid-19 elle-même, de la corruption endémique de la famille Biden et du niveau de fraude lors de l’élection présidentielle de 2020 ? Leur emprise sur le pouvoir dépend de la censure de la vérité. Some of the nation's biggest brands including Coca-Cola, Disney and Kraft are facing calls to boycott Twitter if the company's soon-to-be owner, billionaire Elon Musk, rolls back content moderation policies limiting hate speech and election misinformation https://t.co/3QMimVsfso
— CNN (@CNN) May 3, 2022 Fusion libérale L’hôte de MSNBC, Ari Melber, a déclaré : « Si vous possédez tout Twitter ou Facebook ou autre, vous n’avez pas à vous expliquer, vous n’avez même pas besoin d’être transparent. Vous pourriez secrètement interdire le candidat d’un parti, ou tous ses candidats, tous ses candidats. » Il a poursuivi : « Ou vous pourriez simplement refuser secrètement la portée de leurs affaires et augmenter la portée de quelque chose d’autre, et le reste d’entre nous pourrait même ne pas le découvrir avant les élections. » Melber et ses amis radicaux de gauche MSNBC ont agi comme s’ils n’avaient aucune idée que le monde savait que c’est exactement ce que les censeurs de Twitter ont ouvertement fait autour de l’élection capitale de 2020 ! Twitter a complètement bloqué les informations légitimes et légales sur l’ordinateur portable du fils de Joe Biden, et il a définitivement interdit le président en exercice des États-Unis, Donald Trump ! C’est le « politiquement correct » de la dernière étape. C’est une censure radicale en faveur d’une révolution culturelle et littérale. Des employés de Twitter ont été filmés en train d’admettre que l’entreprise « interdit » les conservateurs et signale les messages contenant des mots comme “Dieu” ou “Amérique”. Et après l’annonce de l’acceptation de l’offre de Musk, les dirigeants de Twitter semblent avoir modifié leurs algorithmes pour réduire l’ampleur de la manipulation des informations. Les conservateurs éminents ont soudainement découvert qu’ils avaient beaucoup plus d’adeptes, et les libéraux éminents ont découvert qu’ils en avaient beaucoup moins.
Censurer vos adversaires ne leur donne pas tort. Cela prouve seulement que vous craignez ce qu’ils pourraient dire. C’est pourquoi les gauchistes radicaux et les propagandistes médiatiques explosent de colère contre Elon Musk. Ils projettent leurs propres crimes sur lui. Musk dit que la parole ne devrait être régie que par les lois adoptées par des représentants démocratiquement élus. Des gens comme Elizabeth Warren, une élue, disent que c’est « dangereux pour la démocratie ». Mais utiliser Twitter comme une machine de propagande alignée sur les démocrates ? « Ce n’est pas dangereux pour la démocratie », disait-elle, « car elle est démocrate ». Les gauchistes radicaux comme Warren craignent non seulement que Twitter reflète les opinions réelles de vraies personnes à un ratio de 1:1 à l’avenir, mais que ce que Twitter a fait dans le passé soit révélé. On pourrait penser que les sénateurs et autres politiciens ou surtout les journalistes, même s’ils sont démocrates, éviteraient d’attaquer avec véhémence et hypocrisie une valeur aussi fondamentale et chère qu’est la liberté d’expression. Mais nous sommes maintenant aux derniers stades de la guerre culturelle. Les gauchistes radicaux sont très profondément engagés dans leur longue marche de destruction des institutions américaines. Le magazine Time a récemment publié un article intitulé « Elon Musk et l’obsession des frères technos avec la “liberté d’expression” ». l’élite technologique, qui a gagné des milliards au cours des décennies avant qu’une main-d’œuvre en pleine diversification ne change la culture de bon nombre des plus grandes entreprises de la Silicon Valley. Même les élites technologiques californiennes — dont la plupart votent démocrate, dont beaucoup promeuvent les démocrates, font
des dons aux démocrates et utilisent la liberté d’expression pour amplifier les politiques démocrates — sont racistes si elles favorisent la liberté d’expression. Joy Reid de MSNBC a accusé Musk de faire pression pour la liberté d’expression parce qu’il veut ramener l’ère de l’apartheid de son Afrique du Sud natale. Vous avez bien lu. Musk est un milliardaire libéral qui dépense une grande partie de sa fortune pour lutter contre le changement climatique et qui a soutenu Barack Obama. Mais il veut la liberté d’expression sur Twitter, alors maintenant les forces d’attaque libérales le qualifient de raciste blanc. George Soros, qui pendant des décennies a utilisé ses milliards pour détruire la Constitution et les traditions de l’Amérique, a utilisé son Open Markets Initiative pour, ironiquement, essayer de bloquer l’achat de Musk. Les militants, dont beaucoup remontent presque certainement à des personnes comme Soros, ciblent les plus grands annonceurs de Twitter pour tenter d’intimider ou de contrecarrer Musk. Une autre attaque contre l’acquisition est venue de 26 organisations non gouvernementales et groupes de défense qui ont signé une lettre exhortant les plus grandes marques du pays, dont Coca-Cola, Disney et Kraft, à boycotter Twitter si Elon Musk met son plan à exécution. « Sous la direction de Musk, Twitter risque de devenir un cloaque de désinformation », indique leur lettre. « Vos dollars publicitaires peuvent soit financer le projet de vanité de Musk, soit lui demander des comptes. Nous vous demandons d’exiger que Musk respecte ces normes de base de confiance et de sécurité de la communauté, et de retirer vos dépenses publicitaires de Twitter si ce n’est pas le cas. » Musk a répondu à cette lettre en demandant qui finance ces
groupes. La réponse est l’Open Society Foundations de George Soros, diverses organisations non gouvernementales fondées par d’anciens membres du personnel de l’administration Clinton et Obama, de riches donateurs démocrates, des syndicats et, dans certains cas, les gouvernements des nations européennes. Tous ces divers groupes de gauche sont unis par leur conviction que la liberté d’expression doit jouer le second rôle par rapport à la parole socialiste. Mais comment Barack Obama a-t-il réagi ? Maintenant que les gauchistes pourraient perdre la capacité d’amplifier leur propre message et de censurer les conservateurs sur Twitter, Obama a appelé à l’intervention du gouvernement. Lors d’un discours à l’Université de Stanford qu’il a prononcé pendant que Musk négociait l’accord, Obama a envoyé un message disant que plus de « réglementation doit faire partie de la réponse ». Moins d’une semaine plus tard, comme au bon moment, le département de la Sécurité intérieure a annoncé qu’il créait ce qu’il appelle le Conseil de gouvernance de la désinformation. Ministère de la Vérité Le Conseil de gouvernance de la désinformation a été comparé au « ministère de la vérité » dystopique dans le roman de George Orwell de 1984. Son objectif présumé est de conseiller le secrétaire du DHS sur la manière d’analyser le contenu en ligne. Mais quand on regarde les décennies de censure «politiquement correcte» et maintenant la manipulation effrontée de l’information, on peut voir que ce conseil est une étape majeure sur la voie d’une censure semblable au Parti communiste chinois. La personne la plus puissante de ce conseil est Nina Jankowicz, une ancienne « experte » en désinformation au Woodrow Wilson Center. Elle a apparemment soutenu, lorsque Trump était président, « je ne voudrais jamais voir notre pouvoir exécutif avoir ce genre de pouvoir » — le genre de pouvoir qu’elle a
maintenant. Lorsque Twitter a décidé de réduire une partie de sa censure sur la liberté d’expression concernant les élections de 2020, Jankowicz a déclaré qu’elle était « consternée par cette décision » compte tenu « des dommages à long terme que ces mensonges causent à notre démocratie ». Elle doit être doublement consternée maintenant que Twitter se dirige entièrement vers une nouvelle propriété. En fin de compte, les gauchistes radicaux croient que la vraie information est ce que le parti dit être une vraie information. Jankowicz est surtout connue pour avoir répandu la désinformation selon laquelle l’ordinateur portable Hunter Biden était de la « désinformation russe ». Maintenant que même le New York Times radicalement libéral admet que l’ordinateur portable de Hunter Biden était l’ordinateur portable de Hunter Biden, Jankowicz se révèle comme quelqu’un dont l’expertise en matière de désinformation ne l’arrête pas mais la diffuse. Interesting. I wonder if those funding these organizations are fully aware of what the organizations are doing. https://t.co/YzVZIvF68E — Elon Musk (@elonmusk) May 4, 2022 Lorsque la nouvelle est sortie du tristement célèbre dossier Steele, douteux et maintenant complètement discrédité, une tentative de dépeindre Donald Trump comme vulnérable au chantage de la Russie, Jankowicz s’est porté garante de l’authenticité du dossier. En octobre 2020, alors que les élections étaient en jeu, Jankowicz est allée jusqu’à dire à CNN qu’elle pensait que les gens à travers le pays craignaient que les partisans de Trump ne se présentent aux bureaux de vote avec des armes à feu
pour effrayer les démocrates afin qu’ils ne votent pas. Cette désinformation sans fondement vous dit tout ce que vous devez savoir sur la façon dont Jankowicz utilisera le pouvoir du Conseil de gouvernance de la désinformation. L’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a affirmé que Jankowicz était une « experte » avec des « qualifications étendues » pour son nouveau poste. Le secrétaire du DHS, Alejandro Mayorkas, l’a qualifiée d’« éminemment qualifiée, une experte renommée dans le domaine de la désinformation ». « Et neutre ? » demanda l’intervieweur. « Absolument. » Mais même le Wall Street Journal peut voir que cette nomination partisane radicale à une nouvelle institution radicale est une conception délibérée des démocrates pour contrôler ce que vous êtes autorisé à voir et à entendre. Le DHS a pris la décision de former un conseil pour « examiner les questions de confidentialité et de liberté civile pour le contenu en ligne » l’année dernière, mais le fait que le Disinformation Governance Board ait été officiellement lancé juste après le discours d’Obama et deux jours après que l’achat de Twitter par Musk a été annoncé, n’est probablement pas un hasard. Pour la gauche, lorsqu’un doigt lâche son étau sur Big Tech, sa réponse est le « Ministère de la Vérité » du département bien armé de la Sécurité intérieure. Les gauchistes ont beaucoup de travail de censure à faire. L’immigration clandestine est hors de contrôle. Des faits covid sortent. Des informations sur le vaccin covid sont publiées. Des fraudes éhontées de plusieurs types ont été commises à la vue de tous dans tout le pays le soir des élections 2020. Des informations émergent selon lesquelles le FBI a joué un rôle important dans l’incitation à la violence lors de la manifestation du 6 janvier.
Le commentateur conservateur Jack Posobiec a déclaré que Musk « ne s’est pas contenté d’acheter une entreprise, il a acheté des preuves ». Que ce soit son intention ou non, posséder Twitter pourrait signifier posséder des preuves que les gauchistes radicaux censurent et bannissent les conservateurs depuis des années. Nous pouvons nous attendre à des révélations choquantes si et quand Musk prend Twitter privé et reprogramme la plate- forme pour permettre la liberté d’expression. Le monde pourrait bien avoir un aperçu de ce que fait Twitter, et cela lui donnerait un aperçu de ce que fait la gauche radicale. Des démocrates aux socialistes en passant par les communistes, les gauchistes ciblent la liberté d’expression depuis des années. Le politiquement correct est passé d’une idée absurde à accepter à un facteur majeur dans notre politique et notre culture. De temps en temps, vous entendrez des démocrates dire des choses positives sur la « liberté d’expression ». Mais ce droit donné par Dieu fait partie du côté originel, constitutionnel et conservateur de la guerre culturelle. Le côté progressiste, socialiste et communiste de la guerre rejette fondamentalement la Constitution, le droit à la liberté d’expression et les croyances sur Dieu qui sous-tendent finalement tout le concept de droits inaliénables. Ils n’y croient pas au départ. Les gauchistes radicaux ne veulent pas d’un débat où les meilleurs faits peuvent gagner. Comme tout le reste dans notre société, ils veulent utiliser l’information comme une arme. Ils veulent que leurs adversaires soient réduits au silence. Nous voyons bien jusqu’où la gauche radicale est prête à aller pour maintenir son emprise sur le pouvoir. Dans son article de 2018 « Sauver l’Amérique de la gauche radicale — temporairement », mon père, le rédacteur en chef de La Trompette Gerald Flurry,
a écrit : « Si Hillary Clinton avait été élue, les tendances destructrices qui se sont déroulées pendant la présidence d’Obama se seraient poursuivies sans contrôle, et elles se serait sûrement intensifié. Beaucoup de gens – dont moi – pensent que cela aurait signifié la fin de notre république constitutionnelle ! » À l’époque, ce point de vue aurait pu sembler extrême. Je ne pense pas que le président Obama était un grand leader, ont peut-être pensé certains. Mais détruire notre république ? Vraiment ? La guerre contre Twitter et la désinformation en général donne un aperçu de la justesse de mon père. La gauche radicale est sur le point de transformer ce bastion historique de la liberté en une nation totalement différente. Ce n’est rien de moins que miraculeux qu’Elon Musk soit allé aussi loin qu’il l’a fait dans sa tentative de restaurer la liberté d’expression. Mais la gauche riposte avec audace de diverses manières, jusqu’à et y compris un Conseil de gouvernance de la désinformation. Le prophète Daniel a dit qu’un Antiochus des temps de la fin « jetterait la vérité par terre » (Daniel 8:12). Cela s’applique à un dirigeant destructeur qui a utilisé son pouvoir sur l’Église de Dieu pour la détruire. Mais cela s’applique également à ce qui se passe en Amérique en ce moment. Barack Obama était à l’épicentre de l’effort de la gauche radicale pour empêcher la réélection de Donald Trump, et il est à l’épicentre de l’effort pour empêcher les gens de le découvrir. C’est pourquoi ses alliés politiques et ses organisations ciblent Twitter. Stephen Flurry Rédacteur exécutif, laTrompette.com
Elon Musk : « Nous invoquons le démon avec l’intelligence artificielle » Elon Musk a averti que l’intelligence artificielle pourrait être notre plus grande menace existentielle et estime qu’il devrait y avoir une certaine surveillance réglementaire aux niveaux national et international, lors d’un discours lors du symposium du centenaire du département d’aéronautique et d’astronautique du MIT le 24 octobre 2014. « Je pense qu’il faut faire très attention à l’intelligence artificielle. Si je devais deviner quelle est notre plus grande menace existentielle, c’est probablement ça. Nous devons donc être très prudents avec l’intelligence artificielle. De plus en plus de scientifiques pensent qu’il devrait y avoir une certaine surveillance réglementaire, peut-être au niveau national et international, juste pour s’assurer que nous ne faisons pas quelque chose de très stupide. Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. Dans toutes ces histoires où il y a le gars avec le pentagramme et l’eau bénite, c’est comme ouais il est sûr qu’il peut contrôler le démon. Ça n’a pas fonctionné. » Le directeur général de Tesla a déjà mis en garde contre l’intelligence artificielle, tweetant qu’elle pourrait être plus dangereuse que les armes nucléaires.
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