HERVÉ DI ROSA Détours du monde 1998-2011 - du 2 juillet au 2 octobre 2011 L'Isle-sur-la-Sorgue
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HERVÉ DI ROSA du 2 juillet au 2 octobre 2011 L’Isle-sur-la-Sorgue Détours du monde 1998-2011 Exposition organisée par la Ville de L'Isle-sur-la-Sorgue en partenariat avec la Galerie Louis Carré & Cie dossier de presse - Juin 2011 ©Pierre Schwartz
Sommaire «Hervé Di Rosa - Détours du monde» p-3 Interview d’Hervé Di Rosa par Philippe Bouchet p-4 à 7 Biographie p-8 à 10 oeuvres autour du monde p 11 à 14 Expositions personnelles p 15 à 18 Campredon - Centre d’art p-19 Informations, Contacts & autour de l’exposition p-20 ©Pierre Schwartz
«Hervé Di Rosa - détours du monde» 3 Pour l’été 2011, la ville de L’Isle-sur-la-Sorgue vous invite à découvrir une grande rétrospective consacrée au peintre français (cofondateur de la Figuration Libre) : Hervé Di Rosa. Du 2 juillet au 2 octobre 2011, l’exposition intitulée «Hervé Di Rosa – Détours du monde, 1998-2011» rassemble une soixantaine d’œuvres (toiles, bois gravés, bâches, sequins) réalisées au Mexique, Cameroun, Haïti, Paris, Israël, Miami et Séville, entre 1998 et 2011. Conçue en étroite collaboration entre l’artiste, la Galerie Louis Carré & Cie et le centre d’art Campredon, l’exposition présente également des sculptures en bronze, bois et résine, et une série de carnets de voyages, d’aquarelles et de dessins. C’est en 1993 qu’Hervé Di Rosa entreprend son tour du monde durant lequel il s’inscrira dans un métissage artistique liant les techniques locales à sa vision picturale de globe-trotter passionné. Ainsi, tout au long de son aventure, il réalise une série de travaux utilisant les cultures et les modes d’expression de chaque pays où il séjourne. «À chaque escale, Hervé Di Rosa est avec les artistes du pays comme il est dans son atelier. Seulement, il fait son travail avec leurs moyens. Il n’apprend pas leurs pratiques, ni ne se soumet à leurs traditions. Il se plie à leurs règles. Il travaille dans leurs ateliers, avec leurs méthodes. Il met leurs savoir-faire au service de ses dessins. Il travaille avec eux.» Jean Seisser, catalogue de l’exposition «DirosAfrica» Vernissage le vendredi 1er juillet à partir de 18h ©Pierre Schwartz
Interview Hervé Di Rosa par Philippe Bouchet 4 « Associé au mouvement de la Figuration libre des années 80 dont il est l’un des créateurs majeurs, Hervé Di Rosa compte aujourd’hui parmi les artistes les plus reconnus de sa génération. Ses oeuvres narratives aux vives tonalités sont en effet connues de tous et attestent d’une richesse d’inspiration hors du commun. Drôle, parfois caustique, le message qu’il délivre laisse souvent place à un humanisme teinté de poésie sociale, tout à la fois issu de son quotidien et de sa culture multiple. Alimentant sa motivation de peindre, rythmant son parcours créatif, l’itinérance géographique dont il a fait le choix depuis les années 90 est devenue l’inaltérable moteur de son oeuvre et contribue à faire de lui une figure atypique, incontournable de la scène artistique française.» Philippe Bouchet // Extrait du catalogue « L’Atelier d’Hervé Di Rosa » Collection Ateliers d’Artistes, Thalia Edition Édité à l’occasion de l’exposition : «Hervé Di Rosa, détours du monde 1998 - 2011». Philippe Bouchet est historien de l’art et commissaire d’exposition. Ses centres d’intérêt très variés l’ont conduit à écrire aussi bien sur des figures historiques que sur des artistes d’aujourd’hui. Chez Thalia Édition, il a dirigé la publication d’une monographie de référence sur Charles Lapicque pour laquelle il a reçu le prix Bordin de l’Académie des beaux-arts en 2009. Dans la collection « Ateliers d’Artistes », il a publié un ouvrage sur Serge Mansau. Ph. B. : À revoir la chronologie, on constate qu’au moment où tu fais ton apparition sur la scène artistique, en 1981, tu n’as toujours pas d’atelier. Alors que tu es associé au mouvement de la Figuration libre avec Rémi Blanchard, François Boisrond et Robert Combas, c’est aussi le temps des premières expositions personnelles. Pourtant, tu peignais essentiellement de petites oeuvres, profitant parfois d’espaces prêtés par des amis pour entreprendre de plus grandes toiles. As-tu encore aujourd’hui cette capacité à travailler dans des conditions très différentes, souvent inconfortables ? H. Di R. : Plus qu’une capacité, c’est ma démarche créatrice même qui se caractérise par mon goût pour le nomadisme. Ph. B. : Ton premier long séjour à l’étranger date de 1983 lorsque, bénéficiaire d’une bourse de la villa Médicis hors les murs, tu passes une année à New York. Quels souvenirs en gardes-tu ? H. Di R. : Celui d’un moment formidable ! Je peux dire que j’y ai retrouvé mes repères, ceux de la culture rock, des comics. La ville n’était pas celle d’aujourd’hui évidemment, elle était moins aseptisée, il y avait encore les quartiers avec les dealers, le monde des paumés et des drogués, les prostituées et les travestis, les soirées underground où l’on croisait Andy Warhol et Jean- Michel Basquiat [...]. Mais, finalement, ce qui m’intéresse dans l’atelier, c’est l’endroit où il se trouve car la situation est plus importante que sa grandeur. Ph. B. : Comment perçois-tu le partage dans ce qui est devenu, peu à peu, un projet global ? H. Di R. : Je le vois comme un échange de savoirs et de savoir-faire, à l’exact opposé du monde tout de même très unilatéral dans lequel nous vivons. Ce sont toujours les mêmes qui donnent, toujours les mêmes qui prennent, surtout dans l’art me semble-t-il ! Plus que tout, ce qui m’intéresse, c’est le changement permanent, la surprise qui intervient dans mon œuvre [...]. Je me suis beaucoup interrogé avant de réaliser que la liberté pouvait être amenée, certes par de nouvelles pratiques de ma part, mais surtout par la main de l’autre. C’est en ce sens que je parle de surprise, quand la main de l’artisan intervient dans mon travail, qu’elle lui insuffle son énergie. J’aime aussi l’idée qu’il puisse s’emparer de mon inspiration en la réinterprétant. Ce n’est pas toujours le cas, mais il y a des endroits où l’interaction joue à plein et d’autres lieux où cela ne marche pas car la culture, les règles et les traditions ne s’y prêtent absolument pas. En revanche, partout, la curiosité domine. On imagine mal à quel point il y a dans tous ces pays un désir de savoir, d’échanger, de questionner, un intérêt pour Paris, pour la France. ©Pierre Schwartz Kippot, 2010
Interview Hervé Di Rosa par Philippe Bouchet 5 Ph. B. : L’appropriation successive de ces nouvelles techniques t’oblige-t-elle à repenser tes images ? H. Di R. : En effet, la technique induit le style. En Afrique du Sud par exemple, lorsque j’ai travaillé avec des artisans à une série de travaux de vannerie en câbles de téléphone, les « Baskets-mandalas », cela m’a obligé à modifier mes images pour qu’elles soient réalisables, qu’elles s’adaptent aux formes, rondes en l’occurrence. Finalement, ce qui me séduit, c’est le hasard et l’incidence du geste d’une autre personne que je ne contrôle pas. Parfois, il y a une volonté de ma part de ne pas maîtriser totalement la situation du point de vue technique pour laisser mon oeuvre dériver vers autre chose. À mes débuts, je ne me préoccupais ni du support ni de la technique. Désormais, la rencontre de techniques ancestrales avec le langage contemporain qui est le mien, basé sur une forte culture urbaine, favorise aisément le renouvellement de ma peinture et de ma sculpture. Ph. B. : Peut-on dire que les techniques acquises au fil du temps se nourrissent les unes les autres ? H. Di R. : En fait, j’ai longtemps pensé les choses assez cloisonnées avant de m’apercevoir que ce n’était pas si vrai. Il m’arrive d’employer dans certaines oeuvres des techniques auxquelles j’ai été initié dans le passé, comme la technique pyramidale de la tempera qui a resurgi dans des séries assez récentes à l’univers totalement décalé. Je l’ai constaté ces dernières années, avec les « Di Rosa Classic », lorsque j’ai redonné vie aux personnages que je ne peignais plus depuis des années, mais qui vivaient en moi, me servant intellectuellement pour mille choses. En étant attentif, on peut constater que mes nouvelles séries, depuis 2006 ou 2007, bénéficient de toutes les pratiques de peinture différentes que j’ai pu expérimenter depuis près de vingt ans. Elles me servent aujourd’hui et mon idéal serait qu’un tableau résume un jour ma démarche, concentre des techniques différentes pour rappeler ma vision du monde et mon nomadisme. Ph. B. : Comment l’as-tu préparé ce nomadisme ? H. Di R. : D’une manière très pragmatique, en fonction de mes envies, j’ai listé des endroits, rassemblé une importante documentation, acheté de nombreux livres que je collectionne par ailleurs. Certains projets, comme le Mexique, ont demandé dix ans pour se concrétiser, parce qu’il fallait trouver un chef de projet sur place, quelqu’un qui connaisse bien les artisans locaux, qui comprenne le projet. Cela repose aussi sur les rencontres et les opportunités, sur le cheminement de ma vie. En rentrant à Paris, après avoir passé quatre ans à Miami, j’ai commencé les premières peintures de la série « Paris nord », réalisant tout à la fois que cette ville m’était aussi étrangère que Mexico ou Miami, qu’elle allait constituer une nouvelle étape, qu’elle était belle aussi. Le nomadisme n’est pas une fin en soi, je tente de me renouveler, de rebondir sur d’autres idées, d’autres pratiques qui me plaisent. Ph. B. : Cette itinérance géographique a-t-elle engendré chez toi une nouvelle façon de travailler ? Immigration Building, 2004 ©Galerie Louis Carré & Cie
Interview Hervé Di Rosa par Philippe Bouchet 6 H. Di R. : Dès que j’ai commencé ce tour du monde, j’ai renoué avec la plus grande diversité des pratiques dans des lieux très différents, parfois en collaborant avec des équipes techniques de dix personnes dans d’immenses ateliers, à d’autres moments en déroulant ma toile, seul dans une chambre d’hôtel ou sous une tente bédouine, en plein désert. Il peut s’agir d’un projet léger, peu coûteux, qui me permet toute liberté d’action et de création, ou au contraire d’une entreprise nécessitant du matériel adapté, une assistance lourde, des budgets relativement importants, comme quand j’ai fait des sculptures en résine avec d’énormes moules. En définitive, tout m’intéresse. Je ne souhaite ni m’enfermer dans un mode de production, ni être catalogué. Au fond, je ne m’impose aucune règle. Je sais simplement que j’ai toujours eu du mal à être seul dans mon atelier, raison pour laquelle à mes débuts j’ai travaillé avec François [Boisrond], Robert [Combas], Louis [Jammes] ou mon frère Buddy pendant dix ans. Puis, à partir de 1993, j’ai eu beaucoup de collaborateurs à chacune de mes étapes dans les différents pays où j’ai voyagé, où je me suis installé pour vivre. Personnellement, je ne crois pas du tout à l’idée de l’artiste éclairé qui cultive seul son génie, au-dessus des autres, alors que je suis fasciné à l’idée que l’on puisse travailler ensemble en partageant ses idées. La réflexion vient du partage et je ne pense pas que l’on puisse réfléchir seul. On focalise très vite sur soi, ses problèmes, ses passions, on a du mal à capter les énergies. L’art est au contraire une manière de participer au monde, d’en livrer une juste vision. Ph. B. : Peux-tu me dire quelques mots des principales étapes de ton parcours à travers le monde ? H. Di R. : Bien sûr, l’idée de condenser un récit aussi long est séduisante. Pour la Bulgarie, en 1993, c’est le désir d’aller à la rencontre d’une nouvelle culture, de m’initier à une technique ancestrale émanant de la grandeur de Byzance, celle de la peinture à l’oeuf utilisée pour les icônes, qui a été le moteur de ma motivation. J’y voyais la possibilité de visiter à ma façon les croyances contemporaines. J’ai trouvé en Roumène Kirinkov, restaurateur de la Galerie nationale de Sofia, un pédagogue remarquable. Cela a amené la deuxième étape, celle du Ghana dont la logistique a été assurée par mon ami Jean Seisser. Là, je voulais aborder une technique qui fasse la jonction entre le monde traditionnel et le monde occidental. Utilisant des couleurs glycérophtaliques industrielles, j’y ai peint, dans l’atelier d’Almighty God à Kumasi, entouré de sa dizaine d’apprentis et élèves, des panneaux de bois directement inspirés des enseignes publicitaires, celles des coiffeurs, des garagistes, des rôtisseurs ou des cordonniers. J’ai puisé également dans les panneaux commerciaux, les publicités, les lettrages et les calligraphies locales. Le soir, sur le lit de l’hôtel, je dessinais sur le bois à l’encre de Chine les xylogravures de la « Suite africaine », reprenant les thèmes notés la journée sur mes carnets. ©Pierre Schwartz Atelier, 2010
Interview Hervé Di Rosa par Philippe Bouchet 7 Ph. B. : À l’image de ces deux étapes, as-tu abordé chaque fois une nouvelle technique ? H. Di R. : Oui, de manière presque systématique. C’est ce qui me motive. Parexemple, mon séjour au Bénin en 1995 m’a permis de toucher au textile. Je réalisais des épures sur calque et je traçais des patrons en carton avant que les artisans ne découpent et cousent des lés de coton suivant la pratique traditionnelle des tisserands des anciens rois D’Aborney. Ce n’était plus de la peinture, je revenais à Matisse et à ses papiers collés qui m’avaient tant émerveillé. L’année suivante, à Addis Abeba, j’ai constaté que les médecins éthiopiens soignaient leurs patients en leur donnant des rouleaux d’images faites sur des cuirs tannés, très fins, ce qui m’a incité à peindre à l’acrylique sur des peaux de chèvre et de zébu tendues sur de gros châssis en bois. En 1997, en Corse, je me suis familiarisé avec la pratique a fresco. Puis, je suis retourné au Vietnam à plusieurs reprises, pendant plusieurs années, afin de parfaire mon apprentissage des panneaux de laque incrustés de nacre dans l’atelier du maître Lê Nghiêm, au bord des rizières de Binh Duòng. C’est là que j’ai découvert la technique du pochoir qui m’a servi quelques années plus tard, à Miami et à Paris. L’Afrique du Sud a apporté une nouvelle fois l’alternance à la peinture puisque j’ai utilisé, comme le font les artisans zoulous, des câbles de téléphone pour des travaux de vannerie et des perles en verre pour des tableaux, là encore en étroite collaboration avec plusieurs personnes. Enfin, dans l’Ouest camerounais, en pays bamoun, j’ai travaillé dans des fonderies traditionnelles pour produire des bronzes à l’aspect de métal brut, des sculptures de différentes tailles réalisées d’après mes dessins. Ph. B. : Certaines étapes ne se sont-elles pas prolongées au-delà de la période initialement prévue ? H. Di R. : C’est en effet le cas pour le Mexique où j’ai vécu plusieurs années, mais aussi pour Miami et Séville aujourd’hui. Mexico est une ville que j’ai visitée dès 1983 et je l’ai tout de suite aimée. Pour moi, elle incarne très fortement la capitale des arts modestes, le lieu où se concentre une multitude de pratiques artisanales et par conséquent d’objets très divers liés aux Aztèques : des masques, des arbres de vie… Cet univers m’a donné l’envie de m’approprier ces savoir-faire et a nourri mon travail pendant plusieurs années, notamment mon goût pour le modelage de la terre. Quant à Miami, j’ai eu le sentiment d’arriver dans une ville sans passé, une ville de carte postale née de l’épanouissement de l’économie touristique, incarnant elle aussi à sa manière un autre versant de l’art modeste, un monde familier pour moi, celui des comics et de la bande dessinée. Mais ce sont les paysages cachés de Miami, son architecture vernaculaire, les lieux les plus banals que je fréquentais au quotidien, les quartiers de Little Haïti, qui ont inspiré les « Miami Landscape » aux compositions simples, plastiquement neutres. Et si le rêve américain a trouvé à s’incarner dans mon travail, ce sont les sculptures en résine, matériau de Disneyland et des décors de film, qui lui ont donné vie. Ph. B. : Avec les toiles de Miami, puis celles de la série « Paris nord », n’es-tu pas devenu un peintre de paysages ? H. Di R. : C’est probablement l’une des facettes inattendues de mon travail le plus récent. Dans les oeuvres de Miami, il y a des personnages qui habitent l’espace alors qu’ils ont quasiment déserté les rues de Paris. J’ai rarement fait des portraits, mais, à présent, j’ai très envie de m’attaquer à ce genre, un des plus importants de l’histoire de l’art. Quand le ferai-je ? J’espère que l’une des prochaines étapes de mon itinérance géographique m’en donnera l’occasion, qui sait ? ©Pierre Schwartz Mont des oliviers, 2010
Biographie autour du monde 8 1959 Naissance à Sète (Hérault). 1978 Reçu au concours d’entrée de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris. Ses personnages apparaissent pour la première fois dans deux publications du magazine « Charlie Mensuel » dirigé par Georges Wolinski. 1979 Peint une série de petites oeuvres sur papier intitulée «À travers le monde » aujourd’hui jugée comme les signes annonciateurs de son parcours futur à travers les continents. 1981 ©Pierre Schwartz Membre du groupe de la Figuration libre qui rassemble Rémi Blanchard, François Boisrond et Robert Combas. 1982 Premières expositions personnelles dans des galeries à Amsterdam, Düsseldorf et Paris. Développe ses personnages qui peuplent désormais sa peinture et constitueront au fil du temps la « Diromythologie », univers complexe mêlant la bande dessinée, la culture de l’image, l’art classique et la création contemporaine. 1983 Lauréat de la fondation Médicis, part à New York pour une année. 1984 Rencontre et travaille avec Keith Haring, Chuck Nanney et Kenny Scharf. Expositions personnelles dans des galeries new-yorkaises. Rentre en France pour peindre la « Dirosapocalypse », immense toile dans laquelle disparaissent ses personnages mythiques devenus à ses yeux trop présents. 1986 ©Pierre Schwartz Première exposition rétrospective au Groninger Museum aux Pays-Bas. 1987 Avec son frère Richard et Hervé Perdriolle, crée la Dirosarl qui produit des objets Di Rosa (figurines, chaussettes, pull-overs, blocs-notes, assiettes, tapis, bijoux, montres, T-shirts, etc.). 1989 Première collaboration avec des artisans d’un autre continent à l’occasion de la réalisation de deux sérigraphies dans un atelier publicitaire de Tunis. Son travail y trouve un nouvel élan. 1990 Ouverture à Paris de la boutique-galerie d’Art modeste qui regroupe ses activités de création, d’édition et d’exposition. 1992 Entame la série « Autour du monde » où chaque voyage dans un pays est l’occasion de produire des oeuvres en rapport avec les cultures et modes d’expressions locaux auxquels il est très attentif. ©Pierre Schwartz
Biographie autour du monde 9 1993 Séjourne à Sofia (Bulgarie), première étape de son tour du monde, et s’initie aux techniques classiques de l’icône dans l’atelier de restauration de Roumène Kirinkov. Apprend le maniement des couleurs à la détrempe à l’oeuf pour ses « Dirosaïcônes ». Se rend au Ghana, deuxième étape de son itinéraire aléatoire, dans l’atelier d’Almighty God Art Works à Kumasi. 1995 Au Bénin, troisième étape de son périple, réalise une série d’appliqués. Fait également un premier séjour au Vietnam qui deviendra la septième étape de son voyage autour du monde. Travaille des panneaux de laque enrichis d’incrustations de nacre et de coquilles d’oeuf chez le maître laqueur Lê Nghiêm à Binh Dùong. 1996 ©Pierre Schwartz Addis Abeba, en Éthiopie, devient la quatrième étape de son parcours. En recourant aux techniques locales, peint sur des peaux de zébu tendues sur des cadres en bois d’eucalyptus. Séjour à la Réunion pour préparer une mosaïque en scories volcaniques et débris de corail blanc destinée à la médiathèque de la ville de Saint-Pierre 1997 Effectue plusieurs séjours au Vietnam afin de poursuivre le travail entrepris dans l’atelier du maître Lê Nghiêm. À l’occasion de la sixième étape, à Patrimonio en Haute-Corse, guidé par Joseph Orsolini, il s’initie à la peinture à fresque.Se rend également en Afrique du Sud pour y préparer une série de travaux de vannerie en câbles de téléphone tels qu’en font les artisans zoulous. Part au Mexique pour y préparer un séjour. 1998 À la maison de la Culture d’Amiens (Somme), une exposition réunit pour la première fois des oeuvres réalisées au cours des six premières étapes de son tour du monde. Séjourne à Durban, en Afrique du Sud, huitième étape de son périple autour du monde, afin de poursuivre les travaux de vannerie en câbles de téléphone et les tableaux de perles avec les artisans locaux. ©Pierre Schwartz 2000 Dans la ville de la Havane, dessine sur les pierres lithographiques du Taller du arte grafico, autrefois spécialisé dans l’impression des bagues et des étiquettes des boîtes de cigarettes. En Afrique du Sud, achève les «Baskets-mandalas» en tressage de câbles et les tableaux de perles. Ses travaux autour du monde sont présentés à la 5e Biennale d’art contemporain de Lyon, «Partages d’exotisme». Retourne au Mexique où il décide de s’installer. Avec Bernard Belluc, fonde à Sète le musée international des Arts modestes (MIAM), lieu destiné à mettre en regard l’art contemporain et d’autres formes d’expressions artistiques plus marginales. 2001 Vit et travaille désormais à Mexico. Peint à la manière des ex-voto mexicains ou des muralistes et élabore avec des artisans de la ville de Métepec des «arbres de vie» en terre cuite peinte. Le musée de Gravelines présente la presque totalité des estampes «Impressions autour du monde» réalisées parallèlement à ses peintures durant ses différents séjours du tour du monde. Crée ses premiers «molas» (tissus cousus) en Colombie. ©Pierre Schwartz
Biographie autour du monde 10 2002 Expositions itinérantes des oeuvres mexicaines dans les musées d’Oaxaca, Monterry, Merida, Puebla et Mexico. Avec «Hervé Di Rosa. Tout un monde.», le centre d’Art et d’Histoire de Vascoeuil retrace les dix étapes de son parcours. S’installe en Floride, à Miami Beach, douzième étape de son voyage tour du monde. 2003 Entreprend la série des paysages de Miami, des sculptures en résine de polyester et les premières «Miami Pieces», suite de petites oeuvres sur papier de différentes techniques. À Foumban, dans l’ouest du Cameroun, nouvelle étape de son tour, réalise avec les artisans bamouns une série de plus de cent sculptures en bronze à la cire perdue selon une technique très ancienne des bronziers de cette région. ©Pierre Schwartz 2004 Avec la communauté haïtienne de Miami, entreprend une série d’oeuvres réalisées suivant la technique des «vaudous flags» haïtiens, préfiguration de la quatorzième étape autour du monde à Port-au-Prince. 2005 Exposition à New York à la Galerie Haim Chaïm: « Hervé Di Rosa. The Solo group Show ». Exposition à la Galerie Louis Carré & Cie à Paris : « Hervé Di Rosa. Autour du monde, 12e étape : Miami Beach ». 2007 Retour à Paris. Dans son nouvel atelier parisien, commence les premiers tableaux de la série « Paris nord ». Dans des oeuvres signées «Di Rosa Classic», réinterprète dans le même temps les personnages de la «Diromythologie» disparus de ses peintures en 1984. Au Musée botanique de Bruxelles, au musée Denis-Puech de Rodez (Aveyron) et à l’espace MC2a à Bordeaux (Gironde), exposition « DirosAfrica » où ses oeuvres cotoient objets populaires et traditionnels venus des différents lieux visités. «Tout l’oeuvre peint de Hervé Di Rosa» au musée de l’Abbaye Sainte-Croix des Sables d’Olonne (Vendée) propose une nouvelle lecture de son travail. 2008 À la Maison des arts de Bagneux (Hauts-de-Seine), « Le monde est à nous » réunit des oeuvres sur papier réalisées durant ses nombreux voyages. Exposition des sculptures réalisées au Cameroun: « Hervé Di Rosa. Autour du Monde 11e étape, Foumban » à la galerie AD à Béziers (Hérault). 2009 Revient sur l’île de la Réunion pour achever le cabinet de curiosités commencé quelques années plus tôt au Lieu d’art contemporain (LAC) de la fondation Mengin-Lecreulx à la Ravine des Cabris sur la commune de Saint-Pierre. Lors d’une mission exploratoire au Canada, découvre la scène artistique de Winnipeg. Quitte Paris pour Séville où il installe un nouvel atelier. 2010 Exposition de ses premières oeuvres numériques à la galerie d’Eric Linard à La Garde-Adhémar (Drôme). 2011 Poursuit son travail entre Séville et Paris tout en programmant de nouvelles ©Pierre Schwartz étapes à son itinérance géographique : Jérusalem et Tel Aviv. Il coproduit l’exposition «My Winnipeg» avec le musée international des Arts modestes (MIAM) et La Maison rouge, dont il est un des trois commissaires.
œuvres autour du monde 11 Amoureux et mariachis, 2002 Mexique CONTACT PRESSE Romane Dargent Agence Sylvia Beder Communication Culture Tel. : 01 42 18 09 41 communication@sylviabeder.com www.sylviabeder.com ©Galerie Louis Carré & Cie Robot, 2009, bois, Robot japonais, 2008, bronze, 62 x 33,5 x 23,5 cm 25,5 x 16,9 cm Cameroun ©Galerie Louis Carré & Cie ©Galerie Louis Carré & Cie Robot tête tube, 2008, bronze, Robot scarifié, 2008, bronze, 35,5 x 19,5 x 13 cm 31,5 x 14 x 12,5 cm ©Galerie Louis Carré & Cie ©Galerie Louis Carré & Cie
œuvres autour du monde 12 Israël Mont des oliviers, 2010, acrylique sur toile 141 x 160 cm courtesy Galerie Keza ©Pierre Schwartz Jérusalem, 2010, acrylique sur toile 141 x 160 cm coll.privée, Paris ©Pierre Kippot, 2010, courtesy Galerie Keza, acrylique Atelier, 2010, collection privée, Schwartz sur toile 141 x 160 cm acrylique sur toile 128 x 173 cm ©Pierre Schwartz ©Pierre Schwartz Miami Immigration Building, 2004 Suite $495, 2003 ©courtesy Galerie Louis Carré & Cie ©courtesy Galerie Louis Carré & Cie
œuvres autour du monde 13 Kwik Stop, 2004, acrylique et polyuréthane sur toile, Containers, 2005, acrylique et polyuréthane sur toile, 91 x 122 cm ©courtesy Galerie Louis Carré & Cie 91 x 122 cm ©courtesy Galerie Louis Carré & Cie Truck Rentalls, 2004, acrylique et polyuréthane sur toile, 61 x 122 cm ©courtesy Galerie Louis Carré & Cie Print Rite Co, 2005, acrylique et polyuréthane sur Thai Food, 2005, acrylique et polyuréthane sur toile, 121 x 152 cm toile, 121 x 152 cm ©courtesy Galerie Louis Carré & Cie ©courtesy Galerie Louis Carré & Cie
œuvres autour du monde 14 Paris Derrière la rue des Panoyaux, 2009, acrylique sur toile et vernis 168 x 79 cm Place des fêtes, 2009, acrylique sur toile et vernis, 110 x 160 cm ©Galerie Louis Carré & Cie ©Galerie Louis Carré & Cie Noël, 2009, acrylique sur Rue Léon, 2009, acrylique toile et vernis, 168 x 79 cm Ciné Sex, 2009, acrylique sur toile et vernis, 90 x 180 cm sur toile et vernis, 110 x 50 cm ©Galerie Louis Carré & Cie ©Galerie Louis Carré & Cie Rue Gérando , 2009, acrylique sur toile et vernis 100 x 200 cm ©Galerie Louis Carré & Cie ©Galerie Louis Carré & Cie
Expositions personnelles 15 1981 Amsterdam, galerie Swart. Düsseldorf, galerie Eva Keppel. 1982 Düsseldorf, galerie Eva Keppel, « Sauvage ». Amsterdam, galerie Swart. Paris, galerie Gillespie-Laage-Salomon, Robot, 2009 « Dr Tube, Hank, Mimi, la Pêteuse, Raoul, ? Question Mark, Mr V. ». 1983 New York, Barbara Gladstone Gallery (photos Louis Jammes). Paris, galerie Gillespie-Laage-Salomon. Amsterdam, galerie Swart. Flaines, centre d’Art contemporain. 1984HORAIRES NewDuYork, Tony mardi auShafrazi dimancheGallery, « Ils arrivent tous par air, terre, mer ». Londres, De 10h à 13h et de 14h30 à «18h30 Robert Fraser Gallery, Dirozoo ». Saint-Paul-de-Vence, ouverture excpetionnelle le lundi 15 Issert. galerie Catherine août 2011 1985TARIFS Paris, galerie Visites deGillespie-Laage-Salomon, l’exposition « Di Rosa Magazine ». Amsterdam, galerie Général : 6€ Swart. Réduit (étudiants, groupe de 10 personnes) : 5€ 1986Gratuit : L’Islois, chômeurs, Rmistes, personnes à Groningen, mobilitéGroninger réduite et Museum, « Les moins de 14 ansAventures d’Hervé (hors groupe et Richard Di Rosa.» scolaire) Anvers, galerie 121. Conférence et visite guidée Nice,Général galerie :Le Chanjour, « Hervé et Richard Di Rosa ». 7,20€ Sète, Réduit : 5,10€Valéry, musée Paul « Les (Rmiste, Aventures chômeurs, PMR,d’Hervé et Richard Di Rosa ». L’Islois) Groupes scolaires : 26,90€ 1987Visite en famille : 8€ Paris, galerie Laage-Salomon, « La Forme, le Concept et la Figure ». Montpellier, CONTACT Artothèque (rétrospective d’estampes) et salle St-Ravy Sofia (peintures), «Viva Di Rosa CAMPREDON ShowCentre » (Di Rosa d’Art Magazine no 3). 20, rue du Docteur Tallet 1988L’Isle-sur-la-Sorgue San campredon@mairie-islesurlasorgue.fr Francisco, Wolf Schulz Gallery, « The Di Rosa Brothers ». Lausanne, galerie Rivolta, « Di Rosa 88 ». www.mairie-islesurlasorgue.fr Liège, Cirque divers, « Diros Pornos Show ». Sierre, Hôtel de ville, « Hervé et Richard Di Rosa », festival international de la BD. Paris, musée des Enfants du musée d’Art moderne de la ville de Paris, « Viva Di Rosa ». 1989 CONTACT PRESSE Cavaillon, CentreDargent Romane culturel, « Viva Di Rosa ». Vitrolles,Agence Office municipal de la culture, « Viva Di Rosa ». Sylvia Beder Montbéliard, centre d’Art contemporain, Communication Culture « Viva Di Rosa ». Mulhouse, musée des Beaux-Arts, Tel. : 01 42 18 09 41 « Hervé et Richard Di Rosa », monde, communication@sylviabeder.com première étape ». Frontignan, Musée, « Les Di Rosa et l’art modeste ». www.sylviabeder.com Patrimonio, fondation Orenga de Gaffory, « Di Rosa chez Orenga ». Paris, Fiac-Grand Palais, galerie Louis Carré & Cie, « Spleen et Idéal ».
Expositions personnelles 16 1994 Aubigny-sur-Nère, Bibliothèque municipale, « L’Alphabet Di Rosa ». Cayenne, Drac, « Hervé Di Rosa. Estampes et aquarelles ». Montpellier, Préfecture, « Hervé Di Rosa. Un invité en plus ». Paris, fondation Coprim, « À Jules Verne, Hervé Di Rosa.» Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Hervé Di Rosa. Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Suame Junction, Kumasi (Ghana) ». Amsterdam, galerie Reflex, « Richard Di Rosa, beelden en Hervé Di Rosa, schilderijen ». 1995 Andorre, sala d’exposicions del Govern, « Di Rosa Andorra ». Bruxelles, galerie Bastien, « Hervé & Richard Di Rosa ». Los Angeles, Louis Stern Fine Arts, « Hervé Di Rosa, Paintings & Works on Paper ». Cotonou, Sixième Sommet de la francophonie, « Hervé Di Rosa et Robot, 2009 Romuald Hazoumé, les pays de la francophonie ». 1996 Paris, musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie, «Romuald Hazoumé et Hervé Di Rosa, géographie tapissée ». Limoges, galerie du C.A.U.E., « Hervé Di Rosa : livres, estampes et voyages autour du monde ». Saint-Yrieix-la-Perche, salle Attane, « Hervé Di Rosa : livres, estampes et voyages» Paris, espace Hérault, « Hervé Di Rosa et les 49 cantons de l’Hérault ». Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Asmara Road, Addis Abeba (Éthiopie) ». 1997 Amiens, Maison de la chasse, « Les Di Rosa et le Gibier d’eau ». Amiens, Le Grand Wazoo, « Di Rosa atypique ». Sérignan, espace Gustave Fayet, « Hervé Di Rosa. Travaux d’Afrique ». Balaruc-le-Vieux, salle polyvalente,« Les Di Rosa et le Gibier d’eau ». Blois, musée de l’Objet, « Di Rosa et l’art modeste ». Marchin, « Rétrospective des estampes ». 1998 Amiens, Maison de la culture, « Autour du monde. Hervé Di Rosa ». Paris, hôtel Square, « Autour du Mondial ». Patrimonio, domaine Orenga de Gaffory, « Hervé Di Rosa. Di Rosa Corsica ». Paris, musée en Herbe/Jardin d’acclimatation, « Africabrak. Hervé Escale à Merida ». Paris, Fiac-espace Eiffel-Branly, galerie Louis Carré & Cie, « Tuong Binh Hiêp, Binh Dùong (Viêt Nam) ». Saint-Léonard-de-Noblat, espace Denis-Dussoubs, «Hervé Di Rosa ». Le Cailar, maison Mathieu et mas du Pont-de-Laute, «Hervé Di Rosa, du Viêt Nam au Cailar ». 1999 Bastia, centre culturel Una Volta, « Una Volta, Di Rosa in Corsica ». Annecy, Bonlieu scène nationale, « Hervé Di Rosa sur scènes ». 2000 Chambéry, carré Curial ; Grenoble, parc Paul-Mistral ; Blois ; Maubeuge ; Istres, berges de l’étang de l’Olivier, « Dirosatlas 2000 ». Crans-sur-Sierre, Grand Hôtel du golf, « 2 000 têtes pour l’an 2000 ». Orléans, collégiale Saint-Pierre-le-Puellier, « Impressions de voyage ». Paris, musée en Herbe, « Vietnamabrak ». Montpellier, banque Dupuy de Parseval, « Les cantons de l’Hérault ». Durban, The Bat Center ; Johannesburg, Standard Bank Gallery, « Dirozulu ». L’Isle-sur-la-Sorgue, hôtel Donadéï de Campredon, « Hervé Di Rosa, Peintre ? ».
Expositions personnelles 17 2001 Gravelines, musée du Dessin et de l’Estampe originale, « Hervé Di Rosa, impressions autour du monde ». Mexico D.F., Museo de la Ciudad, réalisation d’une carte gigantesque sur le mur d’une des salles d’exposition. Angers, salle Chemellier, « Bons baisers de partout », abbaye Ronceray, « Le monde de l’homme », centre régional d’Art textile, « Mes tissages », château d’Angers, « Dirosapocalypse ». Nantes, festival de l’Erdre (gravures). 2002 Oaxaca, museo de Arte contemporaneo, « Mexique 10e étape - Escale à Oaxaca ». Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Hervé Di Rosa. Sierra Leona 370, Robot, 2009 México D.F. (10e étape du tour du monde) ». Vascoeuil, château, centre d’Art et d’Histoire, « Hervé Di Rosa. Tout un Monde ». Conques, festival, « Exposition d’estampes ». Monterrey, bibliothèque Magna « Raúl Rangel Frías » de la universidad autónoma de Nuevo León, « Mexique 10e étape - Escale à Monterrey ». Merida, galerie du théâtre Peón Contreras, « Mexique 10e étape - Escale à Merida ». Mexico D.F., Antiguo palacio del Arzobispado, centro histórico, « Mexique 10e étape - Escale à Mexico ». Vailhan, Salle des fêtes, hameau Saudadier, association « Arts Vailhan » (Blasons de l’Hérault). Vailhan, atelier 37, hameau de Trignan, association « Arts Vailhan » (Éditions du Vietnam). Bruxelles, Dewart gallery. Paris, Fiac-Paris-expo, Pasnic Éditeur (gravures). 2003 Lyon, galerie Iufm/Confluence(s), « Les Voyages en papier d’Hervé Di Rosa ». Paris, L’Entrepôt, « Hervé Di Rosa. Les Voyages en papiers. Les René ». Aix-en-Provence, espace Sextius, « Hervé Di Rosa. Autour du monde, 10e étape Mexico ». 2004 Aix-en-Provence, galerie Susini, « Hervé Di Rosa. Les Érotiques ». Paris, galerie Speerstra, « Crash/H. Di Rosa collaboration ». Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Hervé Di Rosa. Sierra Leona 370, México D.F. (10e étape de tour du monde - 2e partie) ». Villeneuve-d’Ascq, ferme d’En-Haut, Maison folie, « Hervé Di Rosa, Autour du monde, 10e étape : Mexique ». Paris, galerie Arts Factory, « Le Tour du monde en dirovision ». 2005 New York, galerie Haim Chanin Fine Art, « Hervé Di Rosa. The Solo Group Show ». Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Hervé Di Rosa. Miami Landscape. Autour du monde, 12e étape : Miami Beach ». Collioure, galerie du Tenyidor, « Le Monde sauvage d’Hervé Di Rosa ». Montceau-Les-Mines, L’Embarcadère, centre de Culture et de Congrès, « Autour du monde ». Miami Beach, Bass Musem of Art, « Crack House ».
Expositions personnelles 18 2006 Tunis, musée de la Ville de Tunis, palais Kheireddine, « Retour à Tunis ». Seoul, Dr. Park Art Gallery, « Korea Fantasia ». Bobigny, Mairie, nouvelle salle des mariages, « Dire oui à Bobigny ». Châtellerault, galerie de l’Ancien Collège, école d’Arts plastiques, « La Série mexicaine ». Miami Beach, Bass Musem of Art, « Made in Miami ». Châtillon-sur-Seine, Maison des arts, « Hervé Di Rosa. Dirosafrica ». Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Changements d’adresses ». Santa Fé, Evo Gallery, « Made in Miami». 2007 Le Havre, école des Beaux-Arts, « Dirographie ». Bruxelles, Le Botanique, « Dirosafrica ». Bruxelles, Dewart gallery, « Bons Baisers d’Afrique et du Mexique ». Bruxelles, Espace Art 22, « Les Hétéronymes de Hervé Di Rosa ». Aigues-Mortes, chapelle des Capucins, « La Vie des pauvres ». Rodez, musée Denys-Puech, « Dirosafrica ». Casablanca, Villa des arts, « Autour du monde. Hervé Di Rosa ». Les-Sables-d’Olonne, musée de l’Abbaye Sainte-Croix, « Tout l’oeuvre Robot, 2009 peint ». Fontenoy, centre d’Art contemporain, château de Tremblay, « Leçon d’anatomie grotesque en Puisaye ». Parly, centre d’Art graphique de la métairie Bruyère, « Leçon d’anatomie grotesque en Puisaye ». Bordeaux, MC2a (Migrations culturelles Aquitaine Afriques), « Dirosafrica ». Béziers, AD Galerie, « Hervé Di Rosa Classic ». 2008 Pauillac, château Lynch-Bages, « Les Festins cosmopolites d’H. Di Rosa ». Frontignan-la-Peyrade, Musée municipal, « La Leçon d’anatomie grotesque d’Hervé Di Rosa ». La Baule, galerie Jean-Charles et Marcel Billy, « Grotesque ». Béziers, AD Galerie, « Hervé Di Rosa. Autour du monde 11e étape, Foumban ». Bagneux, Maison des arts de Bagneux, « Le monde est à nous ». 2009 Saint-Ouen, Espace 1789, « Foumban Saint-Ouen ». La Ravine-des-Cabris – Saint-Pierre (île de la Réunion), Lieu d’art contemporain, « Retour à La Réunion ». Paris, Pinacothèque de Paris, « Carte blanche à Hervé Di Rosa. Hommage à Maurice Utrillo ». Avignon, galerie des Augustins, « Hervé Di Rosa en Avignon ». La Baule, galerie Jean-Charles et Marcel Billy, « Hervé Di Rosa 2009 ». Lyon, galerie Iufm/Confluence(s), « Hervé Di Rosa extra-large ». Serris, espace La Vallée, « Hervé Di Rosa ». Oyonnax, centre culturel Aragon, salle Gustave Miklos, « Hervé Di Rosa. Les Robots du Noun ». Paris, galerie Louis Carré & Cie, « Hervé Di Rosa. Autour du monde, 17e étape : Paris nord ». 2010 Arles, Saint-Laurent, Le Capitole, « H. Di Rosa Autour du monde ». Eyzines, centre d’Art contemporain, « Work in progress ». La Garde-Adhémar, espace Main-Forte, « Numérique Di Rosa ». 2011 Paris, Drawing Now-Carrousel du Louvre, AD Galerie. Paris, Art Paris-Grand Palais, AD Galerie.` L’Isle-sur-la-Sorgue, Campredon Centre d’art «Hervé Di Rosa, détours du monde 1998-2011»
Campredon - Centre d’art 19 Campredon - Centre d’art ©Studio JPVC L’hôtel Donadéï de Campredon est une belle demeure du XVIIIe siècle en partie protégée au titre des Monuments Historiques depuis 1979. Il a été édifié en 1746, le long de l’actuel quai Frédéric-Mistral, pour Charles-Joseph de Campredon, membre d’une vieille famille de propriétaires terriens dont les origines remontent au XIVe siècle. Les plans en furent commandés à Esprit-Joseph Brun. Architecte L’Islois de grand talent, on lui doit de nombreuses réalisations à L’Isle-sur-la-Sorgue, mais aussi à Aix-en-Provence et à Marseille, le château Borély en particulier. Présentant une façade sur la rue et une autre sur le jardin, l’hôtel de Campredon déploie une belle architecture pleine d’équilibre sur trois niveaux. L’élégante fontaine, au fond du jardin, est due à Jean-Ange Brun. L’hôtel a été vendu le 18 janvier 1865 par le Marquis de Lespine, héritier des Campredon, aux religieuses de Saint-Charles. Acquis par la ville en 1978, il a été restauré avec l’aide du Conseil Général de Vaucluse.
Informations & Contacts Autour de l’exposition 20 HORAIRES Du mardi au dimanche De 10h à 13h et de 14h30 à 18h30 ouverture excpetionnelle le lundi 15 août 2011 TARIFS Visites de l’exposition Général : 6€ Réduit (étudiants, groupe de 10 personnes) : 5€ Gratuit : L’Islois, chômeurs, Rmistes, personnes à mobilité réduite et moins de 14 ans (hors groupe scolaire) Conférence et visite guidée Général : 7,20€ Réduit : 5,10€ (Rmiste, chômeurs, PMR, L’Islois) Groupes scolaires : 26,90€ Visite en famille : 8€ CONTACT CONTACT CONTACT PRESSE Communication Ville de L’Isle-sur-la-Sorgue CAMPREDON Centre d’Art Romane Dargent Tel. : 04 90 38 79 31 / 04 90 38 79 36 20, rue du Docteur Tallet Agence Sylvia Beder communication@mairie-islesurlasorgue.fr L’Isle-sur-la-Sorgue Communication Culture campredon@mairie-islesurlasorgue.fr Tel. : 01 42 18 09 41 www.mairie-islesurlasorgue.fr communication@sylviabeder.com www.sylviabeder.com Autour de l’exposition PROJECTION D’UN FILM DE PIERRE SCHWARTZ à l’auditorium VISITES EN FAMILLE Samedis 23 juillet et 24 septembre (14h30-17h) VISITES GUIDÉES Samedis 9 et 16 juillet / 6, 13 et 20 août / 10 et 17 septembre pour les « Journées du Patrimoine » et 1er Octobre (15h-16h) ATELIER JEUNE PUBLIC Mini-stage les mardi 12 et mercredi 13 juillet (14h30-16h30) VISITE GUIDÉE POUR LES ENSEIGNANTS Mercredi 7 septembre (14h30-15h30) VISITES DÉCOUVERTES DE L’EXPOSITION pour les scolaires à partir du 8 septembre Renseignements et inscriptions au 04.90.38.17.41 CONCERTS « DÉTOURS DU MONDE » Vendredi 12 août : «Concert Mandingue» Groupe «Mali Dembé» Musique Mandingue (Mali-Guinée) - De 20h à 21h : visite de l’exposition «Hervé Di Rosa» et concert dans la cour à 21h - Tarif 5 euros. Samedi 13 août : dans le cadre de la «Nuit des chineurs», organisée durant la Foire Internationnale Brocante & Antiquités, Duo Oud/Percussions (Musique orientale d’aujourd’hui teintée d’influences jazz) - Visite de l’exposition «Hervé Di Rosa» et concert dans la cour à 21h - Entrée libre.Soirées organisées par le service culture de la Ville. OUVERTURE EXCEPTIONNELLE Lundi 15 août durant la Foire Internationale Brocante & Antiquités.
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