La chronique du maire: CANOPÉE ET COUVERT FORESTIER
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La chronique du maire: CANOPÉE ET COUVERT FORESTIER «La présence d’arbres et de couvert forestier dans les villes et les grandes régions métropolitaines favorise l’adaptation aux changements climatiques et engendre des bénéfices importants sur un ensemble de dimensions. Ils ont notamment des impacts positifs sur les paysages, la santé publique (qualité de l’air, réduction des îlots de chaleur, etc.), la gestion des eaux pluviales, le maintien de la biodiversité ou les économies d’énergie. » (Perspective Grand Montréal, no 40, septembre 2019) Bonne nouvelle pour Saint-Bruno-de-Montarville car la proportion de la canopée (part de la cime des arbres située à trois mètres et plus du sol) sur la superficie terrestre totale est passée de 36,6% (1 547 hectares) en 2011, à 37,9% (1 580 hectares) en 2015 et à 39,1% (1 653 hectares) en 2017, soit une augmentation de 2,5 % en six ans ou de 116 hectares. Pour l’ensemble de l’agglomération de Longueuil, (Saint-Bruno- de-Montarville, Boucherville, Brossard, Longueuil et Saint- Lambert), cette croissance aura été de 2,1% durant la même période (de 23,4% à 25,3%).
Le portrait est tout aussi positif pour le couvert forestier (définit comme l’ensemble des superficies boisées d’un demi- hectare et plus). Il constituait 33,3% de la superficie terrestre de Saint-Bruno-de-Montarville en 2017 (carte à gauche tirée du document cité plus haut) comparativement à 32,3% en 2015 et à 31,0% en 2011. Entre ces deux dates, le couvert forestier a gagné 96 hectares dans notre municipalité. À l’échelle de l’agglomération, le couvert forestier représentait en 2017 un peu plus de 18% de la superficie terrestre avec des gains dans chacune des municipalités entre
2011 et 2017. Ce sont certes de bonnes nouvelles mais il importe de savoir que seulement 7,2% de la superficie terrestre de l’agglomération de Longueuil fait partie d’aires protégées. Autrement dit, à peine 40% du couvert forestier de l’agglomération de Longueuil est en aires protégées. Cette proportion atteint toutefois 57% si on tient compte des autres mesures de conservation (bois et corridors forestiers métropolitains). Pour l’ensemble de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), le pourcentage en aires protégées de la superficie terrestre est de 3,1 %. Il est, par contre, de 59,7% en milieu aquatique pour un total combiné terrestre et aquatique de 10%. Nous sommes cependant bien loin de l’objectif de 17% de protection de ces milieux inscrit au Plan métropolitain d’aménagement et de développement de la CMM.
Autre bémol, parmi les superficies boisées identifiées à Saint-Bruno dans l’étude de la CMM, il y en a sept qui sont sous «tension». Ils appartiennent à des intérêts privés et leurs propriétaires souhaitent les développer. Ces sept terrains totalisent 46 hectares et ont une valeur imposable d’environ 10 millions de $. Les poursuites contre la Ville en lien avec ces projets s’élèvent présentement à plus de 65 millions de $. Il faut bien voir que la Ville de Saint-Bruno n’est pas un cas d’espèce en la matière. Plusieurs municipalités de la CMM font également l’objet de poursuites de la part de promoteurs immobiliers. À titre d’exemple, le maire de Boucherville, M. Jean Martel, me disait récemment que, pour sa municipalité, elles dépassaient les 160 millions de $. Dans un tel contexte, une ville ne peut agir seule. Elle doit pouvoir compter sur l’appui des autres municipalités. C’est ainsi que je participerai le 22 novembre prochain à une
rencontre cruciale qui portera sur les milieux naturels du Grand Montréal. Les défis à relever pour atteindre l’objectif de 17% de protection des milieux terrestre et aquatique pour le Grand Montréal sont colossaux. Pour y arriver, nous devrons nous doter des outils nécessaires sur les plans légal, judiciaire et financier. L’accroissement de la canopée est un élément incontournable dans la lutte aux changements climatiques. Martin Murray, maire de Saint-Bruno-de-Montarville Chronique précédente: URGENCE CLIMATIQUE Sur le même sujet: Bonne nouvelle: Augmentation de la canopée dans l’agglomération de Longueuil et la région métropolitaine Le COSTCO de Saint-Bruno le plus vert au Canada: plan et photos Le COSTCO Saint-Bruno qui ouvrira ses portes le 13 novembre et peut être fin octobre, sera selon Costco et grâce aux exigences de la ville en matière de verdissement, le magasin- entrepôt le plus «vert» au Canada: Le pourcentage de canopée pour le stationnement sera de
54% L’asphalte du stationnement sera recouvert d’une peinture spécialisée qui possède un indice de réflectance scolaire de 33 afin d’atténuer les îlots de chaleur La membrane de la toiture sera blanche afin d’atténuer les îlots de chaleur Préservation du boisé existant sur le boulevard Saint- Bruno et plantation pour le densifier Au total, 260 arbres seront plantés sur l’ensemble du projet (stationnement inclus). Comme le démontre nos photos, les travaux vont bon train et selon nos sources il est possible que l’ouverture soit devancée de quelques semaines.
La station service compter 24 pompes à essence Le pourcentage de canopée pour le stationnement sera de 54% COSTCO BUSINESS CENTER À SAINT-HUBERT
L’actuel magasin entrepôt de Saint-Hubert ne serait pas, selon nos sources détruit (à confirmer). Il abritera un magasin COSTCO BUSINESS CENTER. Bien que tout les membres de Costco pourront y être admis s’adressera principalement aux entreprises et clients institutionnel. On y retrouvera des aliments emballés en grosse quantité ou à la palette et tout ce qu’il faut pour équiper une cuisine professionnelle et pour les bureaux d’une entreprise. La marchandise sera aussi différente à 80% de celle que l’on retrouve dans les “COTSCO” entrepôt.
Alain Dubois & sources diverses Sur le même sujet: COSTCO Saint-Bruno ouvrira le 13 novembre Aussi dans LeMontarvillois: La première chronique du maire de Saint-Bruno, Martin Murray «URGENCE CLIMATIQUE» Pour obtenir les mises à jour de cette article et d’autres infos du LeMontarvillois.com abonnez-vous à notre page Facebook: https://www.facebook.com/Le.Montarvillois/ NOS MÉDIAS SOCIAUX Uniquement pour les montarvillois Groupe principal: Saint-Bruno-de-Montarville d’hier à aujourd’hui https://www.facebook.com/groups/Saint.Bruno.De.Montarville/ Groupe de “Petites annonces”: https://www.facebook.com/groups/petites.annonces.Saint.Bruno/ Groupe pour les offres et demandes d’emplois à Saint-Bruno-de- Montarville: https://www.facebook.com/groups/emplois.saint.bruno/ Groupe, Horticulture et Jardinage Saint-Bruno: https://www.facebook.com/groups/horticulture.saint.bruno/ POUR TOUS
Notre nouvelle page Spotted Saint-Bruno: https://www.facebook.com/SpottedSaintBruno/ Chronique du maire: URGENCE CLIMATIQUE (Première d’une série de chroniques périodiques où je traiterai d’enjeux, de défis et de projets municipaux en regard d’une vision que je veux partager avec vous. Je tiens ici à remercier Le Montarvillois de m’avoir offert gracieusement cet espace dans ce média numérique). Martin Murray, maire de Saint-Bruno-de-Mntarville URGENCE CLIMATIQUE Le 27 septembre dernier avait lieu la Marche mondiale pour le climat. À Montréal, cette marche a réuni entre 300 000 et 500 000 personnes. J’y étais comme de nombreux Montarvillois
pour signifier notre appui aux nécessaires changements et choix à faire face à ce qu’il nous faut maintenant qualifier d’URGENCE CLIMATIQUE. Sachant que la principale cause de la croissance des émissions de gaz à effet de serre est de nature anthropique (relatif à l’activité humaine) et que cette augmentation a un effet indubitable sur le climat, nous avons l’obligation d’agir, ne serait-ce que par simple souci de précaution. Il ne faut cependant pas céder au catastrophisme. Nous avons le pouvoir de modifier le cours des choses si chacun fait sa part, ce chacun allant de l’individu à l’action internationale, en passant par les municipalités, comme le montre le graphique ci-dessous. Les municipalités ont un grand rôle à jouer à cet égard et, partant, une grande responsabilité en matière de lutte aux changements climatiques. Elles ont, pour reprendre les termes de la Cour suprême du Canada, un rôle de «fiduciaire de l’environnement» (affaire Spraytech c. Hudson [2001] 2.R.C.S 241). Depuis 2013, et sous notre gouverne, plusieurs décisions ont été prises en matière environnementale. Elles se sont traduites, entre autres, par la conservation à perpétuité d’un peu plus de 9 hectares de milieux naturels, par le resserrement des règlements relatifs à l’abattage d’arbres dans les milieux naturels protégés, par le pilotage du dossier relatif à la protection et à la mise en valeur des Montérégiennes, dont fait partie le mont Saint-Bruno, par l’interdiction des sacs de plastique à usage unique, par la collecte et la valorisation des matières organiques et par l’interdiction des pesticides contenant des néonicotinoïdes en milieu urbain.
Des plates-bandes comestibles au centre-ville Par ailleurs, la Ville de Saint-Bruno a été la première ville au Québec à se doter d’une politique de Ville nourricière. Nous avons aussi fait adopter un plan de conservation des milieux humides et naturels et une politique de l’arbre avec, dans ce dernier cas, ajout en 2019 d’un budget annuel supplémentaire de 250 000 $. Et, depuis 2017, la Ville contribue à raison de 10 000 $ par année au Fonds des municipalités pour la biodiversité, les sommes investies par la municipalité étant réservées à des projets de notre municipalité, projets qui visent, comme son l’indique à protéger la biodiversité. Ces projets peuvent être réalisés seuls ou en lien avec d’autres municipalités. Saint-Bruno et Boucherville ont été les deux premières villes à adhérer à ce fonds qui s’accroît au rythme des contributions des villes participantes mais aussi d’apports externes à celles-ci. Depuis, plusieurs villes se sont jointes au mouvement.
Nous sommes cependant conscients que nous devons faire bien davantage. Au budget de 2019, un montant de 250 000 $ a été affecté précisément pour la lutte aux changements climatiques. Ce montant devait permettre à la Ville de se donner un plan d’action et de mettre en place des mesures visant à réduire nos GES. Le comité consultatif en environnement, composé de huit membres bénévoles de la communauté et d’une élue, y travaille assidûment sur ce plan d’action depuis quelques mois. Il est appuyé dans son travail par la division de l’environnement de la Ville. J’ai donc bon espoir que nous puissions présenter un tel plan d’action aux élus pour adoption d’ici la fin de l’année. Les défis qui nous attendent sont colossaux. Pour y faire face, nous devrons faire preuve d’audace et d’imagination, ce qui nous obligera à sortir des sentiers battus. Dans cette perspective, il nous faudra procéder à une analyse approfondie de tous nos outils d’aménagement du territoire et de gestion des déplacements afin de nous assurer qu’ils intègrent au premier rang de leurs préoccupations la réduction des émissions de GES et l’adaptation aux inévitables changements
climatiques. Qui plus est, il est primordial que toutes les décisions du conseil municipal aillent en ce sens. Pour ma part, et d’ici la fin de mon mandat en novembre 2021, j’en fait une priorité absolue. Il faut bien voir toutefois que la Ville, malgré toutes ses bonnes intentions, ne peut agir seule. En tant que citoyens, nous avons tous un rôle à jouer dans la «décarbonisation» de nos activités quotidiennes. Il importe pour ce faire d’adopter des habitudes de vie qui viennent réduire notre empreinte écologique. Qu’entendez-vous faire à cet égard au cours de la prochaine année ? Je sais très bien que vous allez me renvoyer la balle en me demandant ce que moi j’entends faire. J’ai déjà ma réponse mais je vous laisse le soin d’écrire les premiers… Martin Murray, maire de Saint-Bruno-de-Montarville
Le maire de Saint-Bruno, Martin Murray à la grande marche pour le climat Près d’un demi-million de personnes ont envahi les rues de Montréal à l’occasion de la grande marche pour le climat. Il s’agirait de la plus grande manifestation de l’histoire du Québec et du monde pour le climat.
«Le changement arrive, que vous l’aimiez ou non», a lancé aux décideurs politiques Greta Thunberg, lors de son discours clôturant la manifestation, Pour le maire de Saint-Bruno, Martin Murray, dont les préoccupations environnementales sont bien connus de ses concitoyens, “Le temps presse. Nous n’avons plus l’excuse de
ne pas savoir. 500 milles personnes de tous âges s’étaient donné rendez-vous à Montréal pour le dire haut et fort. Il faut agir sans attendre. J’entends mettre l’urgence climatique au centre de mes préoccupations d’ici la fin de mon mandat.” SUR LA PHOTO COUVERTURE: Martine Bousquet, Geneviève Brante, Isabelle Bérubé (conseillère district 2) , Vincent Fortier (conseiller district 5), Martin Murray (maire), deux citoyens de Saint-Bruno, Suzanne Girard et Bryan Osborne. (Fondation du Mont-Saint-Bruno) Bonne nouvelle: Augmentation
de la canopée dans l’agglomération de Longueuil et la région métropolitaine Le dernier numéro du bulletin Perspective Grand Montréal présente une analyse des plus récentes données sur la canopée et le couvert forestier de la région métropolitaine. On y apprend notamment que l’indice canopée métropolitain – part du territoire couvert par la cime des arbres – a poursuivi sa progression par rapport à 2011 (24,9 %) et 2015 (25,6%), et se situe maintenant à 26,2 %. Cette augmentation s’explique par le fait que les gains de canopée enregistrés ont été supérieurs aux pertes, et ce, dans chacun des cinq secteurs géographiques, soit les agglomérations de Montréal et de Longueuil, la ville de Laval et les couronnes Nord et Sud. Alors que les gains de canopée (+12 563 ha entre 2011 et 2017) sont principalement dus à la croissance des arbres, les pertes (-7 551 ha entre 2011 et 2017) résultent essentiellement du déboisement de parcelles en raison des changements d’utilisation du sol effectués au profit de l’agriculture, du développement urbain ou de l’agrandissement de carrières. Fait à noter, l’abattage d’arbres infestés par l’agrile du frêne,
de même que les efforts récents de plantation d’arbres ont, jusqu’à présent, eu un impact relativement limité sur l’indice canopée métropolitain. Toutefois, leur impact devrait s’accentuer au cours des prochaines années. Les arbres et les espaces verts engendrent des bénéfices importants et constituent des atouts indispensables pour permettre aux régions métropolitaines de s’adapter aux changements climatiques. Ils ont notamment des impacts positifs sur les paysages, la santé publique (qualité de l’air, réduction des îlots de chaleur, etc.), la gestion des eaux pluviales, le maintien de la biodiversité et les économies d’énergie. C’est pourquoi beaucoup d’efforts ont été déployés au cours des dernières années, et plus particulièrement depuis l’entrée en vigueur du Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD) en 2012, pour préserver le couvert forestier (portion de la canopée composée de boisés d’un demi- hectare et plus). Les données présentées dans le Perspective Grand Montréal démontrent d’ailleurs que 45 % de la superficie du couvert forestier bénéficie actuellement de ces efforts (aires protégées, mesures de conservation dans les bois et corridors forestiers métropolitains, etc.). De plus, certaines initiatives municipales viennent, de par les règlements de zonage, restreindre l’abattage d’arbres sains.
Évolution de l’indice canopée de chaque secteur du Grand Montréal pour les années 2011, 2015 et 2017 Source: Le bulletin de l’Observatoire Grand Montréal Saint-Bruno: Prêt gratuit d’une camionnette pour le transport des résidus verts Notre gouvernement municipal démontre une fois de plus (1) qu’il est à l’écoute des citoyens. Dans notre groupe Facebook «Saint-Bruno-de-Montarville-d’hier à aujourd’hui», un des membres et résidents de notre ville, Raynald Dulac (15/07) y avait souligné sa surprise de constater qu’il n’y avait aucune collecte de résidus verts et qu’il n’était pas évident de transporter ce type de déchets en voiture à l’écocentre. Sensibilisée à ce problème, la ville a été prompte à réagir en mettant en place un projet pilote qui permet à ses citoyens d’emprunter gratuitement une camionnette (pick-up) pour aller porter les résidus verts à l’écocentre.
“Lors de l’implantation de la collecte des matières organiques en janvier, la Ville de Saint-Bruno a misé sur le bac brun et sur l’herbicyclage pour supprimer les collectes de résidus verts durant la période estivale (mi-mai à la fin septembre). Toutefois, la Ville a entendu ses citoyens et reconnaît qu’une amélioration de service est nécessaire. Pour 2019, il est impossible d’ajouter des collectes porte-à-porte de résidus verts d’ici la date de reprise prévue à la fin septembre (consulter le calendrier municipal pour les dates par secteur). C’est pourquoi un service de dépôt de résidus verts à l’écocentre a été ajouté, il y a quelques semaines, pour pallier le surplus de résidus que certains citoyens peuvent avoir. Dans cette foulée, la Ville annonce maintenant une mesure supplémentaire: Pour la période du 24 juillet au 31 octobre 2019, un service gratuit de prêt d’une camionnette permettant aux citoyens d’apporter plus facilement leur surplus de résidus verts à l’écocentre. La camionnette est disponible, sur réservation, du lundi au jeudi non fériés de 16 h à 17 h 30 et les vendredis, samedis, dimanches et jours fériés de 13 h à 17 h 30 pour une durée maximale de 90 minutes. Pour réserver, il suffit de téléphoner au 450 645-2960 du lundi au vendredi entre 7 h 30 et 16 h 30. Les citoyens n’ont ensuite qu’à se présenter au comptoir de l’écocentre (600, rue Sagard) pour prendre possession de la camionnette à la date et à l’heure prévue.
Conditions être résident de Saint-Bruno-de-Montarville, être âgé de 21 ans ou plus, présenter une preuve d’assurance et un permis de conduire classe 5 valides (aucun permis probatoire accepté), ne pas quitter le territoire de Saint-Bruno avec la camionnette, déclarer tout dommage au véhicule survenu pendant la période de prêt, ne prêter le véhicule à personne d’autre et ne pas l’utiliser pour des fins commerciales. Un formulaire devra être signé à cet effet. Plus de détails: stbruno.ca/pret-camionnette En plus des résidus verts, les citoyens peuvent utiliser la camionnette pour apporter à l’écocentre toute matière y étant normalement acceptée. Dépôt à l’écocentre Les citoyens qui le souhaitent peuvent également apporter par leurs propres moyens leurs résidus verts à l’écocentre. Cette mesure est provisoire jusqu’à la reprise des collectes en septembre. Nombre de visites à l’écocentre
À noter que le nombre de visites gratuites à l’écocentre est fixé à 12 par année par adresse. Une fois le nombre maximal atteint, les citoyens doivent attendre à l’année suivante ou utiliser les services de récupération privés à leurs frais. Qu’est-ce qu’un résidu vert? Tel que défini dans le règlement municipal: les feuilles, les branches (tige avec ou sans feuilles), provenant de toutes les essences d’arbres et de retailles d’arbustes, d’un diamètre inférieur à 10 cm (4 pouces) et d’une longueur inférieure à 1,5 m, les résidus de tailles de haies et d’arbustes, d’élagage des arbres et broussailles, le chaume, les plantes d’intérieur incluant le terreau d’empotage. Aussi acceptés, mais devraient préférablement être déposés avec les matières organiques (bac brun): les résidus de jardinage, les fruits tombés des arbres, les rognures de gazon et d’herb Détails et conditions : stbruno.ca/pret-camionnette
LeMontarvillois.com & communiqué de la ville de Saint-Bruno- de-Montarville (1) fontaine adaptée aux bouteilles d’eau Une première fontaine adaptée aux bouteilles d’eau à Saint- Bruno Le 17 juin dernier LeMontarvillois.com publiait un article qui faisait part de l’initiative d’une jeune fille de 10 ans , Maxime Russel qui avait lancé un mouvement citoyen visant à offrir gratuitement le remplissage de bouteilles d’eau dans les commerces de la région. Dans cet article nous encouragions , entre autres, la ville de Saint-Bruno à aller de l’avant avec ce type d’initiative en installant des fontaines adaptées au remplissage de bouteilles d’eau. Hors la semaine dernière, la ville a annoncé qu’une première fontaine de ce type avait été installée à la Place du village. “Une fontaine d’eau fraîche à triple fonctions est maintenant disponible à la Place du Village. Les citoyens peuvent se désaltérer, remplir leur bouteille d’eau (gourde) et même permettre à leur animal de compagnie d’étancher sa soif! Une autre prendra place au cours de l’été au Lac du Village En installant ce type d’équipement, la Ville désire inciter les
Montarvillois à apporter leur gourde lors de leur participation aux évènements et ainsi éviter d’utiliser des bouteilles de plastique. On encourage ainsi les citoyens à éliminer l’utilisation de plastique dans leur vie. Les fontaines d’eau fraiche sont un bon moyen de réduire notre consommation de bouteilles de plastique. Hormis la Place du Village, on retrouve des fontaines à distribution simple dans les parcs suivants : Albert-Schweitzer; Bisaillon; Des Aviateurs; Des Bouleaux; De la Coulée; Des Pins; Duquesne; Élizabeth-Lochtie; Gabrielle-Roy; Grand carrefour giratoire; Jacques-Rousseau; Jolliet; Lucille-Teasdale; Marie-Victorin; Mgr-Gilles-Gervais; Pontbriand; Quincy-sous-Sénart; Rabastalière; Sommet-Trinité; Salaberry. LeMontarvillois.com & communiqué de la Ville de Saint-Bruno- de-Montarville Les problèmes d’eau potable à Saint-Bruno Dans le contexte des fréquents problèmes d’eau potable dans l’agglomération de Longueuil et à Saint-Bruno-de-Montarville, un citoyen a demandé de partager ce texte.
« …Citoyen de St-Bruno, je viens de lire sur le site Web de ma ville, dans un bulletin qui se veut rassurant, que celle-ci fait réaliser, conformément aux directives de la Direction de la Santé publique, une analyse hebdomadaire de l’eau. Dès qu’un problème est détecté, elle déclenche une alerte, avertit la population et fait des tests fréquents pour déterminer la fin de l’alerte. En principe, tout ça me rassure. Mais… Je comprends donc que si des bactéries E.Coli envahissent le réseau, il peut s’écouler 6 à 7 jours avant que l’analyse hebdomadaire détecte ce problème sérieux! Or dans les derniers mois, nous avons subi TROIS alertes! Il y en a une en ce moment. La Ville dit l’avoir détectée dimanche en fin d’après-midi mais nous avons été avisé par appel automatisé vers 19h donc après avoir bu pas mal d’eau (chaleur oblige) possiblement
contaminée à l’E.Coli hélas! Je comprends que la Ville a mis en place un système d’information rapide et qu’elle le déclenche aussitôt alertée mais on constate qu’il y a un délai, certes court mais quand même de quelques heures, entre le contact du labo à la Ville et le message à la population. Ma femme souffre de diarrhées fréquentes et lors d’un examen entre la 2e et la 3e alerte (en cours), on a détecté l’E.Coli dans son système. Elle est suivie par son médecin mais c’est très incommodant et inquiétant. Vous comprendrez donc notre préoccupation concernant l’eau qu’on nous dit sécuritaire dans notre Ville! Faut-il se fier à l’eau du robinet ou faut-il paradoxalement se tourner vers l’eau embouteillée? Je comprends qu’on ne peut atteindre en tout temps le risque zéro mais y aurait-il matière à examiner de plus près le risque présent depuis quelque temps
dans ma ville? Et pourrait-on nous expliquer s’il y a un problème particulier ici? Le cas échéant, Est-ce utopique d’espérer une solution définitive? Sauriez-vous svp enquêter et nous rassurer? Dans un cas d’alertes récurrentes comme on vit à St-Bruno, une analyse hebdomadaire, hors alerte, est-elle suffisante?… » Un citoyen de Saint-Bruno Une jeune fille de 10 ans part en guerre contre la consommation de bouteilles de plastique Maxime Russel, de Winsor, en Estrie a lancé une initiative visant à offrir gratuitement le remplissage de bouteilles d’eau dans les commerces de la région. Son initiative, RemplisVert a pris rapidement de l’ampleur. Non seulement plusieurs commerces de la région offrent maintenant ce service, mais des entreprises de Montréal et
Saint-Hubert ont exprimé leur désir d’adhérer à ce mouvement. Les entreprises qui y adhèrent doivent débourser 15 dollars pour obtenir un autocollant qui annonce leur participation au mouvement. Pour chaque autocollant vendu, la famille remet un don de deux dollars à la Fondation David Suzuki. École secondaire Mont-Bruno À Saint-Bruno, le dernier conseil d’établissement de l’école secondaire Mont-Bruno a pris une initiative qui va dans la même direction. Ainsi dès septembre prochain, il y sera impossible d’y acheter des bouteilles d’eau de plastique et des robinets spécialement adaptés seront installés afin de permettre aux élèves d’y remplir leur bouteille d’eau réutilisable. Promo: Le nouveau Spotted Saint-Bruno: https://www.facebook.com/SpottedSaintBruno/ Est-ce que la ville de Saint-Bruno, souvent à l’avant-garde dans ses politiques environnementales adaptera son tour les abreuvoirs et robinets de ses parcs et autres lieux publics pour faciliter le remplissage des bouteilles d’eau réutilisable et encouragera-t-elle les commerçants à adhérer au mouvement RemplisVert? Osons espérer que oui…
Alain Dubois Photo mise à l’avant: Mouvement RemplisVert Pesticides: Fini les néonicotinoïdes à Saint-Bruno Lors de la séance du 15 avril, les membres du conseil municipal de Saint-Bruno ont adopté à l’unanimité un règlement modifiant le Règlement 2007-13 sur l’utilisation des pesticides et des matières fertilisantes afin d’interdire l’usage de pesticides de la famille des néonicotinoïdes en milieu urbain. Compte tenu du danger qu’ils représentent pour les insectes pollinisateurs, le règlement adopté par la Ville s’étend aux cinq matières actives qui constituent les pesticides du groupe des néonicotinoïdes actuellement homologués au Canada. Ces derniers sont des pesticides systémiques qui, une fois appliqués, se distribuent dans toutes les parties de la plante, rendant cette dernière toxique pour les insectes, notamment les abeilles. Ainsi, il est désormais interdit d’appliquer des
néonicotinoïdes sur les pelouses, les arbres et les arbustes. Cette interdiction prévalait déjà dans certaines zones sensibles, comme à proximité des écoles et des garderies. De plus, la Ville n’applique aucun néonicotinoïde sur les pelouses et végétaux depuis plus de 25 ans. «Tout comme nos citoyens, nous sommes préoccupés par le déclin des abeilles. Un tiers des aliments retrouvés dans nos assiettes dépend de leur travail de pollinisation. Ainsi, nous croyons qu’il est important d’interdire tout néonicotinoïde en milieu urbain. Cette mesure s’ajoute aux autres actions qui ont vu le jour à Saint-Bruno visant à protéger les colonies d’abeilles: les ruches urbaines au parc du Frère-Marcel-Alary, l’hôtel à insectes au parc Duquesne et l’intégration de fleurs et arbustes favorisant les pollinisateurs sur le territoire de la ville», souligne le maire de Saint-Bruno, Martin Murray. Rappelons que cette décision s’inscrit dans le cadre de la Stratégie québécoise sur les pesticides 2015-2018 et de la modification du Code de gestion des pesticides du gouvernement du Québec, qui vise à restreindre davantage l’utilisation de pesticides. Depuis le 8 mars 2019, Québec interdit la vente et l’application de néonicotinoïdes sur les pelouses. Préservation des abeilles En 2015, pour contribuer à contrer le drastique déclin de la population mondiale des abeilles, la Ville a installé quatre ruches urbaines au parc du Frère-Marcel-Alary. Les ruches sont
entretenues par l’entreprise montarvilloise Miel Larüche, et produisent environ 40 kg de miel chacune par année. L’initiative a pour but de sensibiliser les citoyens à l’importance de leur apport pour l’agriculture et représente un geste concret de préservation de ces insectes essentiels à la diversité de notre alimentation. On compte parmi les néonicotinoïdes actuels : Acétamipride: commercialisé par Scotts et Bayer CropScience pour les formulations commerciales Suprême, Polysect, Bambi, Equinoxe etc. et principalement pour le traitement des arbres (fruitiers ou non), légumes, pomme de terre, tabac, rosiers etc. Clothianidine: commercialisée par Bayer CropScience, par exemple pour la formulation commerciale Poncho Dinotéfurane: utilisé par Mitsui Chemicals dans le Dinotefuran Imidaclopride: utilisé par Bayer CropScience dans le Gaucho utilisé par Bayer CropScience dans le Confidor Nitenpyrame: utilisé par Jiangsu Sword Agrochemicals dans le Nitenpyram Thiaclopride: utilisé par Bayer CropScience dans le Proteus ou Proteus (mention abeille), c’est-à-dire emploi autorisé durant la floraison
Thiaméthoxame: utilisé par Syngenta dans le Cruiser20; par Syngenta dans l’Actara21; par Syngenta dans le Luzindo22 Source: Communiqué ville de Saint-Bruno-de-Montarville et WIKIPEDIA Photo: Alain Dubois (libre de droit) Le lac du Moulin… asséché! Depuis le mois d’aout, les visiteurs du parc National du Mont Saint-Bruno sont confrontés à un triste spectacle, l’assèchement du lac du Moulin. Les travaux sur la digue du lac du Moulin et la chaude température que nous avons eue cet été ont dramatiquement baissé le niveau d’eau du lac. Ses travaux sont faits dans le but d’en assurer la mise aux normes de la digue. Nous ne savons pas qu’elles en seront les impacts sur la santé du lac mais plusieurs mesures ont été prises pour diminuer ceux-ci, tels que la mise en place d’un rideau de turbidité (pour assurer la clarté de l’eau), de même qu’une barrière de sédimentation qui empêchera l’accumulation de sédiments dans le lac. En tant que propriétaire de la digue du lac du Moulin, la Ville avait l’obligation de le mettre aux normes afin d’assurer une protection en cas de pluie déca millénaire (1/10 000 an) ou d’une crue extrême.
Des études réalisées à la demande de la Direction des barrages ont confirmé que ces travaux étaient requis. Les travaux ont été approuvés par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC), la Direction des barrages, le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec (MFFP), incluant la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ). LeMontarvillois.com; Communiqué, ville de Saint-Bruno-de- Montarville La maladie du chevreuil fou présente au Parc National du Mont-Saint-Bruno ? Cette semaine dans le groupe Facebook, Saint-Bruno-de- Montarville d’hier à aujourd’hui, une membre a décrit une rencontre avec un chevreuil aux comportements inhabituels: signes d’agressivité et de désorientation, salivation excessive… Or ces symptômes font partie d’une maladie qui vient d’apparaître chez les cervidés du Québec. Le 10 septembre 2018, un premier cas de cette maladie débilitante chronique des cervidés (“maladie du chevreuil fou” ou “du cerf zombie”) a été confirmé dans un élevage de la région des Laurentides. Des mesures sont actuellement mises en place au Québec pour contrôler tout risque associé à cette maladie.
Probablement non transmissible à l’humain Cette maladie du système nerveux peut aussi affecter les autres cervidés tels que, l’orignal, le wapiti et le cerf rouge. Elle est causée par des protéines anormales appelées prions. Contrairement à l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB – maladie de la vache folle), qui est aussi une maladie semblable la MDC n’est pas considérée comme une maladie transmissible à l’humain. À l’heure actuelle, il n’y a donc aucune preuve scientifique directe que la maladie peut se transmettre aux humains. Cependant, il est recommandé que tout tissu pouvant provenir d’un animal connu d’être infecté par la maladie débilitante chronique ne soit pas utilisé ou consommé par les humain. Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux ont mis en place des mesures pour réduire l’exposition des humains à des produits pouvant être contaminés par la maladie débilitante chronique. Ces mesures consistent à empêcher que des animaux infectés connus soient intégrés à la chaîne alimentaire. Santé Canada recommande d’éviter de consommer de la viande provenant d’animaux connus d’être infectés par des ESTs. Dans les régions où l’on a détecté la maladie débilitante chronique chez des cervidés sauvages, les chasseurs sont encouragés à prendre des précautions lorsqu’ils manipulent des carcasses et devraient envisager de faire tester ces animaux avant de manger la viande, de préparer des trophées ou de tanner les peaux. Les symptômes de la maladie débilitante chronique? Les animaux infectés par la maladie débilitante chronique peuvent présenter divers signes cliniques à mesure que la maladie endommage progressivement leur cerveau. Ces signes
comprennent les suivants : dépression difficulté à avaler salivation excessive soif accrue perte de coordination paralysie pneumonie isolement du reste du troupeau comportement inhabituel miction excessive perte de poids Les signes peuvent persister pendant des semaines, voire des mois, avant que l’animal meure. Cependant, certains animaux peuvent ne pas présenter de signes cliniques, à l’exception d’une pneumonie aiguë. Les animaux sont habituellement âgés de trois à quatre ans lorsque les signes cliniques apparaissent, mais on a observé des signes chez certains animaux aussi jeunes que 18 mois ou aussi vieux que 13 ans. Mode de transmission Chez les cervidés, la maladie peut être transmise par contact direct (entre les animaux) ou par contact indirect, par le biais de l’environnement (l’animal infecte un lieu, qui infecte à son tour un autre animal) . On croit que la transmission par contact direct se produit en raison de l’excrétion de l’agent infectieux par la salive, le lait et les excréments. La période d’incubation typique dure de 16 à 36 mois. Comment diagnostique-t-on cette maladie? On peut diagnostiquer la maladie de façon provisoire en s’appuyant sur les signes cliniques. On confirme habituellement le diagnostic en soumettant à des épreuves de
dépistage des tissus prélevés après la mort de l’animal infecté. Un résultat de test négatif ne garantit pas qu’un animal n’est pas infecté par la MDC, mais il le rend considérablement moins probable et peut réduire votre risque d’exposition à la MDC, par exemple par contact avec les tissus de cet animal Par ailleurs, il n’existe aucun traitement pour les animaux affectés par la maladie débilitante chronique. Il n’y a aucun vaccin pour prévenir l’infection. Il est important de signaler toute observation de cervidé présentant des signes pouvant être associés à la maladie à SOS Braconnage au 1 800 463-2191 Pour en savoir plus: WIKIPÉDIA NOTE: Il n’y a eu aucune confirmation officielle que le chevreuil aperçu dans le Parc National du Mont-Saint-Bruno souffrait de cette maladie. SOURCE: Publications du gouvernement du Québec et du gouvernement du Canada Par USDA photo by Scott Bauer — Image Number: K5437-3. http://www.ars.usda.gov/is/graphics/photos/may01/k5437-3.htm, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=245466
LEVÉE de l’avis d’ébullition pour Saint-Bruno-de- Montarville L’avis d’ébullition qui était en vigueur dans la ville de Saint-Bruno-de-Montarville et l’arrondissement de Saint-Hubert est maintenant levé, et ce, depuis hier soir. Il n’est donc plus nécessaire de faire bouillir l’eau avant de la consommer. L’ensemble des résultats de tests effectués à ce jour sur le réseau, en conformité avec le Règlement sur la qualité de l’eau potable, confirment que l’eau est propre à la consommation. Cet avis avait été émis à la suite de résultats d’analyse de laboratoire qui faisaient état de la présence de la bactérie E. coli dans un échantillon prélevé sur le réseau d’aqueduc. Les résidents touchés n’ont donc plus besoin de faire bouillir l’eau avant de la consommer. Avis d’ébullition d’eau pour Saint-Bruno-de-Montarville L’agglomération de Longueuil émet un avis d’ébullition d’eau pour la ville de Saint-Bruno-de-Montarville et l’arrondissement de Saint-Hubert. Cette mesure est nécessaire à la suite de résultats d’analyse de laboratoire qui font état de la présence de la bactérie E. coli dans un échantillon prélevé sur le réseau d’aqueduc.
Pour le secteur visé, il est obligatoire de faire bouillir l’eau pendant au moins une minute avant consommation. La Ville met aussi en garde les utilisateurs du danger d’utiliser de l’eau non bouillie pour la préparation des boissons et des aliments, le lavage des fruits et des légumes destinés à être mangés crus, la fabrication des glaçons et le brossage des dents, et ce, jusqu’à ce que la Ville de Longueuil informe les citoyens d’un retour à la normale. On peut utiliser l’eau du robinet non bouillie pour laver la vaisselle à l’eau chaude, en s’assurant de bien l’assécher; laver des vêtements et prendre une douche ou un bain. En ce qui concerne les jeunes enfants et les nourrissons, il est préférable de les laver à la débarbouillette afin d’éviter qu’ils n’avalent de l’eau et de s’assurer qu’ils ne portent pas d’objets trempés à leur bouche. Consultez la carte des secteurs visés Collecte des matières organiques à Saint-Bruno: livraison des bacs en octobre et début des collectes en janvier L’arrivée d’un service de collecte des matières organiques se concrétise à Saint-Bruno-de-Montarville, puisque durant le mois d’octobre, chaque immeuble résidentiel de trois logements et moins (maison unifamiliale, duplex et triplex) recevra un
bac brun de 240 litres. Pour chaque logement, ce bac contiendra : un bac de cuisine, un sac pour résidus alimentaires doublé en cellulose imperméable, un dépliant explicatif ainsi qu’une lettre. Économies… vertes! C’est dans un souci de protection de l’environnement et afin de lutter contre les gaz à effet de serre que le conseil municipal a décidé d’agir concrètement avec la collecte des matières organiques. «Offrir un milieu de vie durable, confortable et sain pour nos familles, nos enfants et petits-enfants, voilà qui est au cœur de notre engagement. La réduction des matières organiques s’ajoute aux nombreux efforts faits pour protéger l’environnement, comme la protection perpétuelle du Boisé Tailhandier, l’identification des bandes riveraines sur terrains municipaux, l’installation d’ilôts de récupération dans les lieux publics ainsi que le bannissement des sacs de plastique», souligne le maire de Saint-Bruno, monsieur Martin Murray. Isabelle Bérubé, conseillère responsable de l’environnement, ajoute: «Ce défi, nous devons le relever collectivement. À Saint-Bruno, plus de 6 000 tonnes de déchets prennent le chemin de l’enfouissement chaque année et la moitié sont des matières organiques. Avec cette nouvelle collecte, nous désirons récupérer ces résidus et les valoriser. Nous ne devons ménager aucun effort pour réduire nos déchets et le gaspillage alimentaire. La participation de tous les Montarvillois et Montarvilloises est essentielle. Chaque geste compte!» La Ville espère recueillir, au terme de la première année de collecte, environ 1 000 tonnes de résidus qui seront valorisés au lieu d’être enfouis. Rappelons que ce projet découle des
orientations du gouvernement du Québec qui visent le bannissement des matières organiques des sites d’enfouissement d’ici 2020. Début des collectes C’est à partir de janvier 2019 que les matières organiques seront collectées les mardis dans les immeubles résidentiels de trois logements et moins. Au total, 41 collectes sont prévues par année, soit : une collecte par semaine d’avril à novembre; une collecte aux deux semaines de décembre à mars. Les immeubles de plus de quatre logements ainsi que les institutions, commerces et industries pourront être desservis par la collecte des matières organiques en 2021. Cette nouvelle collecte entraînera des changements de fréquence et de journées de cueillettes des autres matières, et ce, dès janvier 2019. Horaire et fréquence des collectes Avril à fin novembre : tous les mardis Décembre à fin mars : un mardi sur deux
Les dates exactes de la collecte des matières organiques seront annoncées dans le nouveau calendrier annuel de la Ville de Saint-Bruno, qui sera distribué dans tous les foyers en décembre 2018. Comment placer le bac brun Tout comme pour le bac de recyclage, le bac brun doit être placé à partir de 19 h la veille de la collecte (lundi soir) ou avant 7 h la journée même (mardi) : sur votre terrain, en bordure de la rue ou du trottoir; poignées côté de la résidence. Aucune matière déposée à côté du bac ne sera collectée. Le bac roulant brun et le bac de cuisine doivent être laissés sur place lors d’un déménagement. Quoi mettre dans le bac? Trier, c’est simple! Avant de jeter vos résidus, voici trois questions à se poser : Ça se mange ou c’est une partie de quelque chose qui se mange? C’est du papier ou du carton souillé par des aliments? C’est un résidu vert? Si la réponse est « oui » à l’une de ces questions : c’est une matière à mettre au bac brun. Matières acceptées dans le bac brun Résidus alimentaires (crus ou cuits, sans emballage) Fruits et légumes, incluants noyaux et pelures Farine, sucre
Grains, filtres et sachets de café et thé Noix (de toutes sortes) Nourriture et poils d’animaux domestiques Œufs et coquilles Pains et céréales Pâtes alimentaires, riz, quinoa Produits laitiers solides (fromage, yogourt) Restants de table (incluant les desserts) Viandes, poissons et fruits de mer (incluant les os et les coquilles de crustacés) Papiers et cartons (souillés) Cartons d’aliments sans plastique (boîtes de pizza) Essuie-tout, papiers mouchoirs et serviettes de table Ficelle de fibre naturelle Journaux et circulaires Sacs en papier Vaisselle jetable compostable ou en carton Résidus verts (en petite quantité) Feuilles fraîches ou séchées Plantes avec ou sans fleurs Résidus de jardinage Rognures de gazon et d’herbe Matières refusées dans le bac brun (liste non exhaustive) Capsules de café à usage unique Essuie-tout enduits d’un produit de nettoyage Litières d’animaux Matières recyclables (plastique, papier propre, verre, métal) Médicaments, déchets biomédicaux Papier ciré, parchemin, d’aluminium, pellicule plastique Produits cosmétiques
Résidus de construction, de rénovation et de démolition Résidus domestiques dangereux Sacs de plastique conventionnels, compostables ou biodégradables Serviettes hygiéniques, couches et autres produits sanitaires Styromousse Vaisselle et ustensiles de plastique, de porcelaine ou de verre Trucs et astuces Au moment de cuisiner, garder le bac de cuisine à portée de main. Placer un sac de papier dans le bac de cuisine ou envelopper les matières dans de petits baluchons de papier journal avant de les déposer dans le bac de cuisine. Éviter de mettre des liquides dans le bac de cuisine. Congeler ou conserver au frais les restes de viande et les sortir le jour de la collecte. Transvider fréquemment le contenu du bac de cuisine dans le bac roulant brun. Mettre le bac au chemin à chaque collecte, même s’il ne contient que très peu de matières. À l’extérieur, mettre le bac roulant brun à l’ombre dans un endroit facile d’accès, à l’arrière ou sur le côté de la maison. Laver régulièrement le bac de cuisine et le bac de 240 litres avec du savon, du vinaigre ou un détergent doux. Source: Communiqué et infos ville de Saint-Bruno-de- Montarville
À Saint-Bruno: Surplus de potager à partager Issu du mouvement international initié à Todmorden en Angleterre, ce projet prône entre autre le partage des récoltes et la réduction du gaspillage alimentaire. Le jeudi de 14 h à 18h, venez nous rencontrer devant le Centre d’Action Bénévole Les P’tits Bonheurs. Il y aura des fruits et des légumes frais provenant des plates bandes comestibles de la ville mais aussi des jardins des p’tits bonheurs et de citoyens. Vous aurez également la chance de croiser Chloé, une étudiante qui sillonnera la ville avec son vélo et sa remorque chargée de beaux légumes à partager avec vous! Ce projet vise à accroître la consommation d’aliments frais et sains, réduire le gaspillage alimentaire et tisser des liens pour renforcer la solidarité sociale dans la Vallée. Cette initiative d’innovation sociale est inspirée du mouvement International Les Incroyables comestibles qui a commencé en 2008 à Todmorden au nord-ouest de l’Angleterre . Au plaisir de vous rencontrer! PS: L’activité est annulée en cas de grosse pluie. Marie-Ève Lépine Coordonnatrice en sécurité alimentaire, petite enfance,
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