La gazette du Bataillon de renfort Aux jeunes engagés de la 2e BB
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La gazette du Bataillon de renfort
Aux jeunes engagés de la 2e BB…
CFIM du Valdahon n°37 du 07 mai 2019
C’est du courage qu’il vous a fallu pour supporter fin de semaine dernière les caprices de la
météo !
Bravo à tous ceux qui ont participé à la collecte au bénéfice du Bleuet de France.
Encouragés par vos cadres, vous continuez de vous former, de vous instruire pour pouvoir
être prêts, le moment voulu, à participer à votre mesure et sous d’autres cieux, aux
prochaines victoires.
Ne baissez pas les bras, n’ayez pas peur !
LCL Emmanuel DESACHY Bonne lecture.
« Le courage »
Mon cher camarade,
Le général de Gaulle jugeait les hommes selon trois caractères, essentiels à ses yeux : l’instinct, l’imagination et le
courage. Aujourd’hui, j’ai choisi de vous parler du courage.
C’est d’autant plus nécessaire que le courage est parfois regardé avec suspicion par certains de nos contemporains.
Son odeur de poudre et son panache l’ont, de facto, remisé - pensent-ils - au rang des valeurs quelque peu
désuètes, pour ne pas dire inutiles, voire dangereuses.
Ceux-là ne connaissent pas le vrai visage du courage ! Le vrai courage ne pavoise pas. Il ne fanfaronne pas. Il ne
recherche ni le feu des projecteurs, ni celui de la mitraille. Il ne s’attache pas aux honneurs.
C’est, avant tout, dans les petites victoires du quotidien qu’il trouve son sens et son épaisseur. C’est là qu’il se
forge, qu’il se construit. Dans notre for intérieur, nous le savons : derrière chacune des petites victoires contre
nous-mêmes, notre courage est à l’œuvre.
Napoléon avait coutume de dire : « le vrai courage, c’est celui de trois heures du matin ! ». Celui des heures
froides et longues ; celui des heures de garde nocturne que vous connaissez bien. Celui qui vous tient éveillé, pour
veiller et protéger.
Le visage du courage a des traits qui ne trompent pas. Il se reconnaît à coup sûr.
1er trait : le cœur. Le mot même de « courage » vient du cœur, cor en latin. Il faut du cœur pour vaincre sa peur et
se porter, sans calcul, au-devant de ce qui est difficile. Sans élan du cœur, point de courage. Cela ne signifie pas,
pour autant, absence de prudence. « Un parachutiste est audacieux mais il ne saute jamais sans parachute ».
2e trait : la force. Chez le soldat, elle allie force physique et force d’âme. Entre les deux, la force d’âme tient la
première place ; elle commande et maîtrise la force physique. Elle permet à la force de ne jamais basculer dans la
violence ou la témérité stérile. Parfois même, la force d’âme permet à la force physique de se reconstruire ; je
pense, ici, à nos blessés et à leurs familles qui mènent ce combat de la reconstruction avec tant de courage.
3e trait : la résistance. Celle qui permet, si nécessaire, de tenir bon contre les vents dominants. Celle qui préfèrera
toujours les convictions aux évidences ; la fermeté à la lâcheté ; la vérité à l’ambiguïté. En cela, le courage ne
s’oppose pas à la discipline, pas plus qu’à la loyauté, qui rime avec vérité. Nos armées ont besoin d’hommes et de
femmes dotés d’un véritable courage intellectuel et capables de tenir une position pour le service du bien
commun. Tenir la position, ce n’est pas être immobile ; c’est être debout ! Le visage du courage a des traits qui ne
trompent pas. Il se reconnaît à coup sûr.
Enfin, j’ajoute pour terminer que le courage est la seule vertu qu’on ne peut imiter. Impossible de faire semblant !
Continuez à en faire preuve. En opérations comme dans la vie de tous les jours. En situation de guerre ou en temps
de paix. Le courage est une condition indispensable à toute victoire même si elle n’est pas suffisante.
par le GAR de Villiers, (ancien commandant de la 2e BB et ancien CEMA), le 13 janvier 2017
1
Vers l’obtention du béret
La semaine a commencé par l’entretien (peinture des
stéles) de la nécropole de Rougemont. Tout le monde a
fait son travail dans la joie et la bonne humeur.
S1 13e
Régiment
du Génie
Renforcement musculaire, footing et cours étaient au Contingent :
programme une fois rentré au Quartier. AVRIL 2019
Nous avons été formés à la manipulation de notre
armement puis nous avons effectué un tir au SITTAL.
Nous avons terminé cette formation par le passage des
tests pratiques et théoriques qui valident notre CATI1
(Certificat d’Aptitude au Tir de niveau 1).
Nous avons réalisé une course d’orientation pour nous
perfectionner à la lecture de carte et l’utilisation de la
boussole. Des balises étaient dispersées dans tout le
régiment et nous avions une heure pour les retrouver.
Lors du terrain section nous avons découvert le combat
et les actes réflexes du combattant.
Nous avons terminé ce premier mois d’engagement par
la marche au béret. Nous avions hâte de réaliser les
12km pour avoir notre coiffe.
Cette semaine a été longue mais nous nous sommes
donnés à fond.
2
De la découverte à la restitution
Le début du cycle commence bien, au programme :
S2
Notre premier séance de natation, en effet, une séance
de 50 mètres nage libre suivis de 10 mètres d’apnée
nous a été demandée.
Les jours suivants, nous avons été amenés à faire notre Régiment
première course d’orientation. Au total 20 balises
devaient être poinçonnées en 45 minutes maximum. De Marche
Dans la même journée, notre premier test théorique de Du Tchad
30 questions qui résumaient les diverses leçons
apprises depuis le début de notre formation. Les
résultats sont encourageants car la moyenne de la
section est de 14,97.
Dans la continuité de ce cycle, nous nous sommes Contingent :
rendus au SITTAL afin de nous familiariser avec le AVRIL 2019
FAMAS. Séance attractive et enrichissante.
Sport et encore du sport: au menu : course à pied,
piscine, TIOR, cross fitt, corde et renforcement
musculaire. Des séances qui nous ont permis à toutes et
à tous de renforcer notre cuirasse qui sera bientôt
marquée par l’ancre d’or.
Pour cette deuxième sortie terrain, nous nous y
sommes rendu en marchant 4 kilomètres jusqu’à
atteindre notre zone de bivouac. Ce terrain nous a
permis de mettre en application les actes reflexes du
combattant plus en patrouille légères d’observation où
nous avons dû progresser en utilisant tous nos sens,
l’écoute, l’observation et la discrétion. Au petit matin,
plusieurs ateliers ont été mis en œuvres par les chefs de
groupe afin de nous faire restituer les 12 actes réflexes.
Enfin une marche de 6 kilomètres pour finaliser cette
sortie terrain qui nous a rendu plus rustique.
Prochaine étape : la marche pour obtenir le bérets.
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Le groupe 2
Ce deuxième cycle a été particulièrement intense :
S3
Pour démarrer, nous avons mis en pratique les
cours ISTC lors de notre premier tir au SITTAL.
16e
Bataillon
de
Chasseurs
Contingent :
AVRIL 2019
Nous avons commencé à apprendre les
bases des Techniques d’Intervention
Opérationnelle Rapprochées.
La collecte de fonds pour le Bleuet de France /
l’Office National des Anciens Combattants lors de
laquelle la population a été particulièrement
généreuse.
Un bivouac tactique et un apprentissage des
actes reflexes rendu difficile par une météo qui
a mis notre moral à rude épreuve.
Et enfin la marche de 12km, au bout de laquelle nous attendaient notre béret noir et notre cor de chasse !
4
Les Chasseurs à l’avant !
Un cycle intense
La section termine un cycle très marquant et intense. Nous avons
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commencé par le nettoyage de la nécropole de Rougemont. C’était une
journée forte en émotion qui nous a permis de prendre du recul sur le
sens de notre engagement et d’entretenir la mémoire de nos anciens.
13e
Régiment
du Génie
Contingent :
MARS 2019
Parcours d’obstacles, lancer de grenades, apprentissage de la fouille,
tests sportifs, les jours passent et ne se ressemblent pas.
Enfin, nous avons eu un terrain dans des conditions rustiques avec de
la neige!
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Toujours plus haut, toujours plus loin !
Intense, c’est ce qui décrirait le mieux ce cycle ! Les activités
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de ces semaines passées ont été nombreuses et variées: tir,
marche et combat. Pas à pas, nous progressons !
16e
Bataillon
de
Chasseurs
Contingent :
MARS 2019
Notre instruction militaire s’intensifie. Après une première
découverte du parcours d’obstacles, nous sommes partis
pour notre 4ème sortie terrain apprendre à faire du combat
en trinôme, la base même de notre futur métier au
Bataillon d’Acier ! Nous avons commencé aussi à découvrir
le point de contrôle et ses subtilités, que nous reverrons en
FTS.
Enfin, ce cycle a aussi été l’occasion de réfléchir à notre
engagement et de participer au devoir de mémoire à nos
anciens, en contribuant aux travaux de peinture des stèles
de la nécropole de Rougemont.
Les sections tournantes rendent hommage
aux Rochambelles.
7
Départ du CC1 Geoffrey
C’est après 11 ans de service que le CC1 Geoffrey quitte l’institution. Il a franchi une dernière fois
l’entrée du Camp encadrée par une haie d’honneur.
8
Fin de formation pour le contingent de février 2019
(16e BCP-501e RCC-RMT)
9
Majors de promotion du contingent de février 2019
EVI Madyassa – 18 ans – EVI Allan – 20 ans – EVI Ayoub – 18 ans –
combattant TTA combattant TTA combattant TTA
EVI Vincent – 21 ans – EVI Lucas –19 ans – EVI Clement –18 ans –
Tireur char Leclerc Opérateur tourelle Opérateur tourelle
10
EVI Xavier – 19 ans – EVI Léo – 19 ans – EVI Maxime – 19 ans –
Combattant TTA Combattant TTA Combattant TTARemise des AFFIM au contingent de février 2019
présidée par le COL WACHE, COL ADJ de la 2e BB
11Gros plan sur …
Le 8 mai 1945
En 1939, l'armée allemande, commandée par Hitler,
envahissait la Pologne. C'était le début de la Seconde Guerre
mondiale. Elle a duré 6 ans. Tous nos grands-pères et toutes
nos grands-mères s'en souviennent. Presque toute l'Europe
était aux mains des Allemands.
Au début de la guerre, les hommes se battaient contre les
Allemands. Pendant ce temps-là, les femmes travaillaient dans
les usines pour fabriquer des armes. Mais cela n'a pas suffi. En
1940, l'armée allemande avait envahi la Belgique, la France, le
Luxembourg. Bref, presque toute l'Europe. Il y a eu beaucoup
de morts : 40 millions dont beaucoup dans les camps de
concentration. C'était des endroits dans lesquels des
prisonniers (civils et militaires, grandes personnes et enfants)
étaient tués, enfermés, battus et travaillaient jusqu'à la mort.
Des Français, des Belges et des Polonais réfugiés en Angleterre
ont préparé avec les Américains, les Anglais et les Canadiens
une grande bataille pour libérer l'Europe. Avec les Russes, on
les appelait les "Alliés". Ils ont commencé par les côtes de
l'Afrique, puis la Sicile et l'Italie. La dernière grande bataille a
commencé le 6 juin 1944 par un grand débarquement sur les
plages de la Normandie.
Le 8 mai 1945, l'Allemagne capitulait (elle acceptait d'être
battue). L'Europe était libérée. Et depuis, les pays alliés et les
allemands se sont réconciliés, ils ont fait la paix...
C'est la fin de la seconde guerre mondiale en Europe que l'on
fête le 8 mai.L’info du mois
Le porte-avion Charles de Gaulle
Le Charles de Gaulle est un porte-avions de la Marine
nationale française dont il est le bâtiment majeur et la pièce
maîtresse. Il est le premier et unique bâtiment de combat
de surface à propulsion nucléaire construit en Europe
occidentale. La France est, en 2018, le seul pays en dehors
des États-Unis à avoir terminé la construction d'un porte-
avions à propulsion nucléaire
La construction du Charles de Gaulle a débuté
le 25 novembre 1987.
La structure fut assemblée en avril 1989 aux chantiers navals
de la DCN, à Brest. Achevé en mai 1994 le porte-avions était
alors, avec un déplacement de 42 500 tonnes, le plus lourd
bâtiment de guerre lancé en Europe de l'Ouest depuis le
porte-avions HMS Ark Royal de 1950.
Le nom initialement choisi en 1986 était Richelieu, nom
traditionnel dans la Marine française pour ses bâtiments
importants, honorant la mémoire du duc et cardinal de
Richelieu, homme politique illustre de l'histoire de France.
Mais le projet a été renommé Charles de Gaulle l'année
suivante par le Premier ministre de l'époque, Jacques Chirac.
Long de 261 m et large de 64 m,
il déplace 42 500 tonnes. La construction du Charles de Gaulle a représenté 25 % de la
Il peut embarquer 1 900 personnes, marins de charge de travail de la DCN-Brest entre 1990 et 1996 et le
l’équipage, du groupe aérien et de l’état-major chantier a mobilisé entre 1 000 et 1 200 personnes selon les
embarqué. périodes pour 13 millions d'heures de travail, 2 millions
d'heures d'études et 11 millions d'heures la construction.
C'était alors l'un des plus grands chantiers de France32.
Le budget du programme Charles de Gaulle est de près de 3
milliards d’euro, dont les deux tiers pour la construction du
porte-avions, soit environ 2,2 milliards de dollars US à
comparer aux 4,3 milliards de dollars américains du porte-
avions USS Ronald Reagan qui est entré en service la même
année.
Cuisines et équipements de confort
Les 2 cuisines et les salles de restauration (carré amiral, carré officiers, carré des officiers-mariniers supérieurs,
carré des officiers-mariniers subalternes, cafétéria équipage sont servies par 73 personnes dont 2 brigades de 15
cuisiniers chacune ;
Les menus sont les mêmes pour tous les membres d'équipage quel que soit leur grade13;
Les 1 000 m3 d’entrepôt permettent de stocker 315 tonnes de vivres qui permettraient de tenir 45 jours en totale
autonomie sans ravitaillement de pétrolier-ravitailleur. La consommation quotidienne est de 500 kg de légumes
frais, 400 kg de fruits frais, 600 kg de viande, 500 kg de farine pour produire 500 kg de pain et 10 000 petits pains.
Des viennoiseries sont produites le dimanche.Le saviez-vous?
On en mange souvent, même si certains ne sont pas
forcément bons pour notre santé.
Gros plan sur un aliment qu’on aime quand même :
le HAMBURGER
En France,
Un hamburger (initialement hamburg-er, soit « En 2012, selon une étude du cabinet NPD, les
galette de Hambourg » en allemand, et non Français consomment 14 hamburgers en
pas « galette de jambon » en anglais) ou par restauration par an et par personne, ce qui les
aphérèse burger, est un sandwich d'origine place en quatrième position mondiale et en
allemande, composé de deux pains de forme deuxième position en Europe, juste derrière les
ronde (bun) généralement garnis de viande Britanniques9.
hachée (généralement du bœuf) et de
crudités, salade, tomate, oignon, cornichon Cette étude révèle la propension du burger à
(pickles), de fromage, et de sauce… sortir du périmètre de la restauration rapide
vendant des burgers à bas prix pour se lancer
Ce plat célèbre dans le monde entier est, dans les enseignes françaises de burger premium
depuis les années 1950, un des emblèmes de (Five Guys, Steak 'n Shake, Big Fernand) de type
la culture et de la cuisine américaine, ainsi que restauration traditionnelle.
de la restauration rapide (avec les sandwich,
sandwich américain, hot-dog, pizza, kebab…). Selon une étude du cabinet Gira Conseil portant
sur la consommation du hamburger en France en
« Hamburger » fait référence à la ville de 2013, 75 % des restaurants traditionnels français
Hambourg, en Allemagne. Il n'existe aucun (110 000 au total) proposent au moins un
rapport étymologique entre le hamburger et le hamburger à leur carte et pour un tiers de ces
jambon (ham, en anglais), puisque le nom de la restaurants, il est devenu le leader de la gamme
ville de Hambourg a une étymologie de plat, devant l’entrecôte, les grillades ou les
différente2. Il est courant en Allemagne de poissons10.
nommer les spécialités culinaires selon leur ville
d'origine. Le Berliner (beignet fourré de En 2015, 1,23 milliard de sandwiches jambon-
confiture), le Frankfurter (hot-dog) et le Bremer beurre ont été vendus en grande surface ou dans
(sorte de pain au poisson dénommé en anglais les boulangeries contre 1,19 milliard de
Fishburger), respectivement originaires de hamburgers, ce qui permet au cabinet de prévoir
Berlin, Francfort-sur-le-Main et Brême, en sont que le jambon-beurre sera détrôné par le
trois autres exemples. hamburger l'année suivante. En 2016, le
hamburger est devenu le sandwich préféré des
La recette a probablement été importée aux français devant le jambon-beurre et le pain pita
États-Unis par des immigrés allemands vers le
milieu du XIXe siècle. Il s'agissait à l'origine d'un Ce burger est vendu à Las Vegas au restaurant Fleur by
steak servi avec un accompagnement de Hubert Keller et coûte 5000 dollars (4700 euros). Il est
sauces. composé de bœuf de Kobé, une viande japonaise reconnue
comme l’une des meilleures et des plus chères au monde.
Nommé le FleurBurger 5000, ce burger est considéré
comme le plus chère au monde. Il contient également des
truffes noires, du fois gras et une sauce faite à partir de
truffes blanches.
A ce prix
là, mieux
vaut 14
prendre
son temps
pour
l’avaler?
Quel est cet objet?
Envoyer votre réponse à :
ludivine.beauchamps@intradef.gouv.fr
La solution et le nom des gagnants
seront indiqués dans la prochaine gazette.
Il s’agissait dans le numéro 36,
d’une pièce d’un franc
Bravo et merci à ceux qui ont répondu :
CIRFA Le Havre : CC1 Eddy
CIRFA Ajaccio : ADJ Philippe
BUREAU DE GARNISON : ADC Catherine
CSN Mayotte : CC1 Jean-Michel
CIRFA Mayotte : CC1 Loris
SAUGEAIS : CC1 Jérémy
15
CIRFA Compiègne : CC1 RichardPour le service de la France,
en faisant nôtre l'esprit Leclerc :
Ne me dites pas que c'est impossible !
Directeur de la publication : LCL DESACHY Emmanuel
Conception/réalisation : CNE Claude L. / ADJ Elodie V. /CCH1 Ludivine B.
Crédits photos : Bataillon de renfort / CFIM 2BB
Bataillon de renfort / CFIM de la 2e Brigade Blindée / 25800 VALDAHON 16Vous pouvez aussi lire
