LA MAISON DE RETRAITE PUBLIQUE JEAN COURJON : MODERNITE, CONFORT, ACCESSIBILITE
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LA MAISON DE RETRAITE PUBLIQUE JEAN COURJON : MODERNITE, CONFORT, ACCESSIBILITE Cabinet d’architecture « Atelier sur les quais » INAUGURATION LE 5 OCTOBRE 2012 À 11H - rue Mélina Mercouri à Meyzieu CONTACTS PRESSE Grégory Morel Emilie Chanu Directeur de cabinet Chargée de communication Tél. : 04 72 45 18 72 / 06 77 96 41 60 Tél. : 04 72 45 16 06 E-mail : gmorel@meyzieu.pro E-mail : emilie.chanu@meyzieu.fr
SOMMAIRE UNE CONSTRUCTION PLUTÔT QU’UNE RENOVATION 5 UN ÉTABLISSEMENT ANCRÉ DANS LA VILLE 6 DES LOCAUX MODERNES ET CONFORTABLES 7 DES SERVICES À LA CARTE 9 UN FINANCEMENT PARTENARIAL 10 LE DEVENIR DE L’ANCIEN ÉTABLISSEMENT 11
LA MAISON DE RETRAITE PUBLIQUE JEAN COURJON Le 21 décembre 2011, les résidents et les personnels de l’ancienne maison de retraite « le Château » ont emménagé dans leurs nouveaux locaux : un bâtiment spacieux, moderne et confortable situé à deux pas du centre aquatique « Les Vagues », du Parc République, de l’Espace Jean Poperen et du centre-ville. Le déménagement s’est fait petit à petit, avec le concours des familles, afin de favoriser une adaptation en douceur des résidents à leur nouveau cadre de vie. La maison de retraite publique Jean Courjon est un établissement public autonome géré par les Hospices civils de Meyzieu et doté d’un conseil d’administration présidé par le maire. La direction en est confiée à Sarah-Farida Zermane. 4 Photo : Alain Seveyrat
UNE CONSTRUCTION PLUTÔT QU’UNE RÉNOVATION Dès 2001, l’équipe municipale a exprimé le souhait d’offrir un meilleur confort aux résidents de la maison de retraite « le Château ». Construit au XIème siècle, le « Château », malgré les aménagements réalisés au fil des années, ne répondait plus aux nouvelles normes de sécurité en vigueur. Les études menées par la suite ont rapidement mis en évidence la nécessité d’opter pour la construction d’un nouveau bâtiment plutôt que pour la réalisation de travaux de rénovation coûteux. Cette option est validée en novembre 2004 par le conseil d’administration de la maison de retraite sous l’impulsion du maire de Meyzieu, Michel Forissier. En attendant la concrétisation du projet, les installations électriques du « Château » sont toutefois remises en conformité. Le projet de construction met aussitôt l’accent sur deux objectifs principaux : l’accessibilité du bâtiment et le confort des résidents et du personnel. Une fois l’emplacement acté, les travaux débutent en 2009. La première pierre est posée le 5 février 2010 par le maire de Meyzieu, Michel Forissier, en présence de Nora Berra, secrétaire d’Etat en charge des personnes âgées, d’André Bouttevillain, adjoint au maire délégué aux affaires sociales et aux personnes âgées et de Sarah-Farida Zermane, directrice de la maison de retraite publique. 5
UN ETABLISSEMENT ANCRÉ AU COEUR DE LA VILLE Ce bâtiment prend désormais place dans un quartier en plein renouvellement, à l’angle des rues Jean-Louis Barrault et Mélina Mercouri. Le nouvel emplacement a été choisi à l’unanimité, parmi les trois sites proposés, par les résidents eux-mêmes et leurs familles, conformément au souhait du maire. Sa proximité avec les commerces du centre-ville et des Plantées, le parc République, le pôle seniors et les structures culturelles et sportives est un atout incontestable. En effet, si les résidents appréciaient particulièrement la beauté des lieux du « Château », ils souffraient de son éloignement avec le cœur de la vie communale. Enfin, le terrain sur lequel s’implante aujourd’hui la maison de retraite publique étant plat, les déplacements des résidents sont amplement facilités. 6
DES LOCAUX MODERNES ET CONFORTABLES Installée sur un terrain de 7 900 m2, la maison de retraite offre un vrai confort aux résidents et des conditions de travail optimales aux personnels grâce à une organisation spatiale et des aménagements intérieurs adaptés et à des espaces verts de qualité. Elle compte 5 unités de vie : une unité pour les personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer, une unité pour les seniors alités et 3 unités plus classiques. Les espaces communs Ces dernières s’organisent autour d’espaces de vie et de circulation spacieux et lumineux : • un large parvis permettant le stationnement des visiteurs et l’accès du public au bâtiment, • une « rue » intérieure, au rez-de-chaussée et au 1er étage, desservant l’ensemble des unités de vie et facilitant le déplacement des personnes âgées et des employés, • des lieux de vie en communauté au rez-de-chaussée situés à proximité des unités de vie dédiées aux résidents alités ou souffrant de la maladie d’Alzheimer : des salles de restauration, un salon privé fermé, une salle à manger pour les résidents et leurs familles, des salles d’animation, six salons avec téléviseur, un patio… • des salles de soin, • une zone administrative réservée aux personnels avec des bureaux, des salles de repos, des vestiaires… La maison de retraite emploie une cinquantaine de personnes tous corps de métiers confondus. Les chambres Tout comme le « Château », la nouvelle maison de retraite compte 80 lits. Chaque résident dispose d’une chambre individuelle moderne et lumineuse équipée d’un lit médicalisé et d’une salle de bains avec toilettes et douche à l’italienne. Les chambres ont été pensées afin de permettre aux résidents de les personnaliser et de recréer un espace de vie intime et familier. Les résidents en couple bénéficient de chambres mitoyennes. 7
DES LOCAUX MODERNES ET CONFORTABLES L’unité de vie Alzheimer Cette unité propose 12 lits pour l’accueil des personnes atteintes d’Alzheimer. Construite autour d’un large espace central, sa conception facilite l’intégration des malades et le travail quotidien des personnels afin d’offrir un accompagnement de qualité. Les équipes soignantes et le cabinet d’architecte ont ainsi accordé une attention toute particulière à son aménagement. Ils ont opté pour une unité fermée comprenant des espaces privatifs (chambres individuelles), des espaces collectifs et sécurisés, un lieu de vie (cuisine, salle à manger, salon) et un jardin. Ce parti pris espère notamment faciliter la prise de repères dans l’espace pour les résidents. La touche « développement durable » La toiture de l’établissement comporte une terrasse accueillant des panneaux solaires qui servent notamment à l’alimentation en eau chaude sanitaire. Un effort particulier a par ailleurs été réalisé pour protéger les résidents des regards et des bruits extérieurs grâce à une isolation performante. 8
DES SERVICES À LA CARTE La vie des résidents est rythmée par de nombreux services et animations : • soins esthétiques (coiffure, pédicure) • restauration : les résidents peuvent en effet inviter leurs familles ou leurs amis à déjeuner dans une salle à manger dédiée à ces moments conviviaux • culte : des services religieux sont célébrés au sein de l’établissement et les personnes âgées ont la possibilité de recevoir la visite du ministre de leur culte • activités : une bibliothèque et des salons avec téléviseurs sont accessibles aux résidents qui peuvent également prendre part aux lotos et autres ateliers mémoire proposés chaque semaine par le personnel • animations ponctuelles : les anniversaires, les fêtes des pères et des mères, les fêtes de Noël et d’été ne sont bien sûr pas oubliés. L’association les « Sans Souci », constituée de membres du personnel et des familles, développe également des activités tout au long de l’année. 9
UN FINANCEMENT PARTENARIAL La construction de ce nouveau bâtiment, pour un montant total de 10,3 millions d’euros, a été permise par le concours de nombreux acteurs publics : • la Ville de Meyzieu par le don à titre gracieux du terrain de 7 900 m2 et le rachat de l’ancienne résidence du « Château » pour un montant de 2 337 000 euros. • l’Etat (via la Caisse Nationale de Solidarité Autonomie) par une subvention de 2 475 000 euros. • le conseil général du Rhône par une subvention de 240 000 euros. • la maison de retraite par un emprunt souscrit pour financer le reste du coût de la construction. L’établissement va pour cela bénéficier de prêts à taux 0 % de la Caisse de retraite – RSI (230 000 euros sur 15 ans) et de la Caisse Régionale de l’Assurance Maladie (552 405 euros sur 20 ans). 10
UNE RÉFLEXION SUR LE DEVENIR DE L’ANCIEN ÉTABLISSEMENT Désormais propriétaire du « Château », la Ville réfléchit à la destination qui sera donnée aux locaux. Son choix n’est, à ce jour, pas encore arrêté. 11
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