LE MARCHÉ EUROPÉEN A RELANCÉ LA PRODUCTION DES USINES ESPAGNOLES EN SEPTEMBRE - CCFA

 
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LE 17H00                                       22/10/2020

LE MARCHÉ EUROPÉEN A RELANCÉ LA PRODUCTION DES USINES ESPAGNOLES EN
SEPTEMBRE
Tirée par la demande sur les marchés étrangers, la production de véhicules en Espagne a progressé
de 12,2 % en septembre, à 262 589 unités, indique l’ANFAC (Association des constructeurs),
soulignant sur le marché intérieur, cependant, ne montrait pas de signes fermes de reprise (- 13,5 % en
septembre).

Par types de véhicules, la production de voitures particulières a augmenté de 13,1 % en septembre, à
206 638 unités, portant le volume pour les neuf premiers mois de 2020 à 1 208 858 unités, en baisse
de 27,4 %. La production de SUV s’est établie à 166 unités en septembre et à 5 870 unités sur neuf
mois (- 80,8 %).

La production de véhicules utilitaires a, quant à elle, totalisé 322 503 unités au cours des neuf premiers
mois de l’année, en baisse de 25,2 %.

S’agissant de la production de véhicules “alternatifs”, l’Espagne produit actuellement 6 modèles de
véhicules électriques, 3 modèles hybrides rechargeables et 4 modèles au gaz naturel. Au cours des
neuf premiers mois de l’année, la production de véhicules alternatifs a représenté 5,6 % de la
production totale, contre 2,34 % en 2019.

La production de véhicules électriques, notamment, a fait un bond de 153,1 % sur neuf mois, à 27 949
unités (dont 21 955 voitures). La production de véhicules hybrides rechargeables a atteint 44 137
unités sur neuf mois et celle de véhicules hybrides non rechargeables s’est établie à 4 054 unités (-
38,2 %). La production de véhicules au gaz naturel a quant à elle reculé de 57 % sur neuf mois, à 13
423 unités.

L’Anfac prévoit désormais pour l’ensemble de l’année 2020 une baisse de la production totale de
véhicules en Espagne comprise entre 20 et 25 %.
Les exportations de véhicules ont par ailleurs totalisé 1 317 052 unités au cours des neuf premiers
mois de 2020, en baisse de 24 %, avec toutefois une croissance de 20,1 % sur le seul mois de
septembre, à 235 133 unités.

EL MUNDO (22/10/20)

Par Juliette Rodrigues

LE GROUPE PSA SE DOTE D’UNE « BUSINESS UNIT » DÉDIÉE AUX UTILITAIRES LÉGERS
Les trois marques du Groupe PSA proposant des véhicules utilitaires légers, en l’occurrence Peugeot,
Citroën et Opel, bénéficient depuis le 1er septembre 2020 d’une « business unit » commune qui doit
les accompagner dans le développement de leurs volumes en France. Cette nouvelle structure est
dirigée par Fayçal Hemia, ex-directeur de Peugeot Algérie. C’est à l’occasion des e-conventions
menées avec les représentants des réseaux des trois marques que sa création a été officialisée.

L’objectif de PSA est de devenir l’acteur de référence dans ce domaine spécifique. « Notre ambition est
d’atteindre, voire de dépasser, la part de marché qui est aujourd’hui la nôtre sur le marché des VUL au
niveau global, à savoir 35 % avec nos trois marques. Nous devons donc être en mesure de doubler
notre activité sur le VUL transformé », explique M. Hemia. La mission sera également d’accompagner
le réseau sur l’électrification des VUL.

A terme, la division mobilisera une équipe de 25 personnes, dont environ un tiers évolueront sur le
terrain pour la partie animation réseaux. PSA est actuellement en phase de recrutement, l’idée étant
d’être pleinement opérationnel fin 2020, début 2021.

JOURNALAUTO.COM (22/10/20)

Par Alexandra Frutos

LE PARC D’AUTOMOBILES CHINOIS A ATTEINT 275 MILLIONS D’UNITÉS EN SEPTEMBRE
Le parc de véhicules de la Chine s’élevait à environ 365 millions d’unités fin septembre, dont
275 millions d’automobiles, selon le ministère chinois de la Sécurité publique. Au troisième
trimestre, 9,03 millions de véhicules à moteur ont été immatriculés, soit une croissance robuste de
20,5 % par rapport à la même période en 2019 et une hausse de 8 % par rapport au trimestre
précédent. Au cours des trois premiers trimestres, le volume de véhicules nouvellement immatriculés a
augmenté de 2,4 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 23,16 millions d’unités.

GASGOO.COM (22/10/20)

Par Alexandra Frutos

CRUISE ET GM VOUDRAIENT DÉPLOYER DES VOITURES AUTONOMES SANS VOLANT NI
PÉDALES
La société américaine Cruise spécialisée dans la conduite autonome a annoncé le 21 octobre qu’elle
chercherait avec son actionnaire majoritaire General Motors à obtenir le feu vert des instances
réglementaires américaines dans les prochains mois pour pouvoir déployer un petit nombre de Cruise
Origin sans volant ni pédales.

Parallèlement, la société retirera une demande d’exemption déposée auprès de l’agence américaine en
charge de la sécurité routière (NHTSA) en janvier 2018 pour déployer un nombre limité de véhicules
autonomes similaires basés sur la plateforme de la Chevrolet Bolt.

La NHTSA, qui a passé quinze mois à examiner la demande de General Motors avant de solliciter les
commentaires du public, a déclaré qu’elle “examinerait la nouvelle demande lorsqu’elle l’aura reçue”.

Cruise a dévoilé l’Origin, qui peut accueillir confortablement quatre passagers, au mois de janvier.
General Motors prévoit de mettre le véhicule en fabrication à Detroit à la fin de 2021 ou au début de
2022.

REUTERS (21/10/20)

Par Frédérique Payneau

DES FORD MONDEO AUTONOMES VONT ÊTRE TESTÉES À OXFORD
Le projet de mobilité Endeavour, soutenu par le gouvernement britannique, va commencer à tester
sa flotte de voitures autonomes de niveau 4. Six Ford Mondeo autonomes vont circuler à Oxford
pendant six mois. Des essais auront également lieu à Londres, où deux itinéraires sont prévus, et dans
une autre grande ville britannique qui sera confirmée prochainement.

Les essais visent à expérimenter la conduite autonome dans différents environnements urbains et à
aider les autorités locales et les communautés à se préparer au lancement de services de mobilité
utilisant les véhicules autonomes.

Lancé en septembre 2019, le projet Endeavour regroupe les sociétés de technologies Oxbotica, DG
Cities et Immense, qui ont été rejointes récemment par le laboratoire de recherche sur les transports (
TRL), l’institution britannique de normalisation (BSI) et le conseil du comté d’Oxford. Il est financé en
partie par le Centre des véhicules connectés et autonomes (CCAV) et Innovate UK.

AUTOCAR (22/10/20)

Par Frédérique Payneau

JLR VA TESTER DES MATÉRIAUX LÉGERS
Jaguar Land Rover a annoncé qu’il allait tester des matériaux légers pour de futurs modèles, dans le
cadre d’un projet de recherche d’une durée de deux ans. Les matériaux seront testés dans des
conditions extrêmes en Amérique du Nord, afin d’évaluer leur longévité et leur qualité.

Le projet de recherche illustre l’engagement du constructeur britannique à développer “des matériaux
légers, durables et robustes, pour [ses] futurs véhicules”, a déclaré Matt Walters, ingénieur en chef de
l’entreprise.

AUTOCAR (22/10/20)

Par Frédérique Payneau

LA RENAULT TWINGO ELECTRIC POURRAIT REPRÉSENTER 30 % DES VENTES DU
MODÈLE
La Renault Twingo Electric pourrait représenter jusqu’à 30 % des ventes du modèle. La grille tarifaire
de la petite citadine s’échelonne, hors bonus, de 21 350 à 26 450 euros. Ainsi, la version cœur de
gamme, qui devrait être la finition Zen à 24 250 euros, se retrouve au prix (bonus déduit) d’une version
thermique à boîte automatique, avec un TCO plus compétitif. De quoi inciter les clients à franchir le
pas, d’autant que les acquéreurs privilégient actuellement, dans 40 % des cas, la finition haute Intens.
De plus, Renault va proposer une offre de LLD sur 37 mois à 99 euros par mois avec la possibilité,
durant l’année, d’avoir un autre véhicule durant 30 jours.

Avec une batterie de 22 kWh, la Twingo Electric annonce de 190 km d’autonomie selon le cycle WLTP
et même 270 km sur le seul cycle City WLTP. Le temps de recharge peut être réduit à 1h30 avec une
borne en 22kW, mais pour la grande majorité des clients, qui auront installé une wallbox (7,4 kW), il
faudra 4 heures (cela peut grimper à 15 heures sur une prise domestique). Le moteur de 60 kW (81 ch)
et 160 Nm de couple, venant de l’usine française de Cléon et toujours posé sur le train arrière, offre un
agrément et des performances largement à la hauteur de la circulation urbaine et péri-urbaine. Même
sur la balance, le bilan est bon. En effet, malgré 165 kg de batterie, la Twingo ne prend que 135 kg,
avec un poids total à vide compris entre 1 111 et 1 168 kg.

Les premières livraisons de cette Twingo Electric sont attendues pour le mois de novembre.

JOURNALAUTO.COM (21/10/20)

Par Alexandra Frutos

UBER VOUDRAIT RACHETER FREE NOW
La publication allemande Manager Magazin a rapporté le 21 octobre qu’Uber avait proposé de
racheter Free Now, la société de services de mobilité détenue à parité par BMW et Daimler, pour plus
d’un milliard d’euros.

BMW a confirmé que des discussions avaient lieu.

AUTOMOBILWOCHE (21/10/20)

Par Frédérique Payneau
GILLES LE BORGNE ÉVOQUE L’ÉLECTRIFICATION DE L’OFFRE DE RENAULT
Gilles Le Borgne, directeur de l’ingénierie de Renault, indique que « le mouvement [d’électrification des
véhicules] est clairement lancé », mais qu’il sera progressif. « Chez Renault, nous sommes dans le bon
tempo, avec les remarquables solutions E-Tech, 200V ou 400V, pour des applications compactes,
légères et peu chères, et avec CMF-EV […]. Les véhicules 100 % électriques [BEV et PHEV] devraient
représenter 15 % des ventes en 2025, puis 30 % en 2030 », explique-t-il.

« La nouvelle Mégane, qui sera présentée fin 2021, inaugurera nos nouvelles solutions électrifiées.
Nous garderons des offres diesel au catalogue, mais nous n’en développons plus de nouvelles. Et
après 2025, si on se fie aux réglementations, tous les véhicules thermiques seront ‘hybridisés’, à
différents degrés. On se dirige vers la fin du diesel », ajoute le dirigeant.

AUTO-INFOS.FR (21/10/20)

Par Alexandra Frutos

PLASTIC OMNIUM S’EST REDRESSÉ AU TROISIÈME TRIMESTRE
Plastic Omnium a vu son activité se redresser au troisième trimestre, avec un chiffre d’affaires en
baisse de 3,1 %, à près de 2,1 milliards d’euros, alors qu’il avait plongé de 30 % au premier semestre,
a annoncé le groupe dans un communiqué. « Des signes de reprise clairs ont été observés au 3ème
trimestre », souligne l’équipementier (31 000 salariés), qui produit des éléments extérieurs de
carrosserie (notamment des pare-chocs), des réservoirs de carburant et des systèmes de dépollution
de véhicules. « L’évolution du marché automobile reste néanmoins incertaine à court terme et inégale
selon les régions », ajoute-t-il.

Le chiffre d’affaires a reculé de 4,7 % en Europe et 10,9 % en Amérique du Nord, mais renoue avec la
croissance en Asie (+ 3,4 %), tiré par la Chine, la Corée du Sud, l’Inde et la Thaïlande.

Sur les neuf premiers mois de 2020, le chiffre d’affaires de Plastic Omnium s’est établi à 5,3 milliards
d’euros, en baisse de 22,2 % par rapport à la même période il y a un an (- 20,9 % à taux de change
constants).

Plastic Omnium anticipe pour l’ensemble de l’année 2020 une « surperformance modérée de son
activité par rapport à une production automobile mondiale dont les variations mensuelles, telles
qu’estimées par les principaux instituts de prévisions, restent très volatiles ». Il confirme ses prévisions
pour le second semestre d’une marge opérationnelle d’au moins 4 %, d’un EBITDA d’au moins 10 % et
d’un cash-flow libre d’au moins 250 millions d’euros. Pour l’année 2020, le groupe prévoit un EBITDA
supérieur à 8 % du chiffre d’affaires consolidé et une marge opérationnelle positive.

La production automobile mondiale, notamment au quatrième trimestre, « dépendra de l’évolution de la
crise sanitaire, de l’impact des différentes mesures nationales de soutien et de la gestion par les
constructeurs d’automobiles de leurs stocks de fin d’année », estime le groupe.

Il applique un plan d’économies de 240 millions d’euros par an d’ici à fin 2022, « pour tenir compte
d’une hypothèse où la production automobile mondiale ne retrouverait pas ses niveaux d’avant crise
(92 millions de véhicules) avant 2024/2025 ».

« Les équipes de Plastic Omnium accomplissent un travail remarquable pour flexibiliser l’outil industriel
et adapter nos opérations à une production automobile volatile et dont le redressement se fera
lentement au cours des prochaines années », a déclaré Laurent Favre, directeur général de
Compagnie Plastic Omnium SE. Le groupe veut profiter du lancement de nouveaux véhicules 100 %
électriques et accélérer dans l’hydrogène, énergie pour laquelle il compte présenter sa stratégie le 25
novembre.

AFP (22/10/20)

Par Alexandra Frutos

LE CNPA DEMANDE AU GOUVERNEMENT DE RENONCER PROVISOIREMENT À
L’ALOURDISSEMENT DES TAXES AUTOMOBILES
Le CNPA (Conseil national des professions de l’automobile) considère que la situation économique et
sociale actuelle, dominée par la crise sanitaire, devrait clairement inviter le gouvernement et le
Parlement à renoncer provisoirement aux mesures consistant à alourdir la taxation automobile.
Indépendamment de l’impératif d’inscrire la filière et la consommation automobile dans une trajectoire
de transition écologique, c’est avec une grande réserve que le CNPA accueille les mesures en
discussion.

AM-TODAY.COM (21/10/20)

Par Alexandra Frutos

L’ILE-DE-FRANCE MET EN ŒUVRE UN VASTE PROGRAMME DE VERDISSEMENT DE SA
FLOTTE D’AUTOBUS
L’Ile-de-France s’est lancée dans un vaste programme de verdissement de sa flotte d’autobus, pour ne
plus faire circuler dans dix ans que des véhicules fonctionnant au biogaz ou à l’électricité, un effort se
montant à plus de quatre milliards d’euros.

Pour l’autorité organisatrice Ile-de-France Mobilités (IDFM), l’objectif est d’avoir 100 % de véhicules
propres en 2025 pour la zone dense (Paris, villes de petite couronne et grandes villes de grande
couronne), et en 2029 pour toute la région.
Il va falloir remplacer d’ici là les 8 700 autobus diesel – sur 10 300 – qui circulent encore dans la région.
Sur les 4 700 bus de la RATP qui desservent la zone centrale, 3 300 roulent au gazole. « Pour nous,
l’enjeu est énorme puisqu’il est de diminuer de moitié nos émission de CO2 à l’horizon 2025. Trois
quarts des gaz à effet de serre sont générés par la traction, et trois quarts de la traction, c’est les bus »,
a souligné le 21 octobre la présidente de la RATP Catherine Guillouard.

La Régie et Ile-de-France-Mobilités – qui finance – ont déjà attribué aux constructeurs français
HeuliezBus, Bolloré et Alstom un marché portant sur quelque 800 bus électriques, pour 400 millions
d’euros.

« On travaille ensemble sur le plus gros appel d’offres ‘ever’ [jamais vu], de 2 100 bus, 1 400 biogaz et
700 électriques », a remarqué la dirigeante lors de la visite d’un dépôt de bus en voie d’électrification à
Paris. Le montant pourrait atteindre 1,4 milliard d’euros.

L’objectif est pour la RATP de disposer en 2025 de 2 200 bus au biogaz (contre 250 actuellement) et 1
500 électriques (contre 150), en plus de ses 1 000 hybrides.

IDFM achète parallèlement des véhicules pour la grande couronne via la Centrale d’achat du transport
public.

On considère comme « propres » les bus électriques, au biogaz ou hybrides (diesel et électrique).
« Des enquêtes ont montré que dans les embouteillages, ce qui arrive parfois à Paris, l’hybride polluait
autant que le diesel », a relevé à ce propos Valérie Pécresse, présidente du conseil régional et d’IDFM.
Si elle a décidé de ne plus acheter de bus hybrides, il en reste 1 200 dans la région, dont 1 000 à la
RATP.

Ces véhicules devraient disparaître à leur fin de vie vers 2030, selon le directeur général d’IDFM
Laurent Probst. A cette échéance, la région prévoit 70 % de bus au bioGNV et 30 % d’électriques.

L’hydrogène sera pour plus tard, même si des expérimentations ont commencé à Jouy-en-Josas
(Yvelines). « Ce n’est pas pour tout de suite, la chaîne industrielle n’est pas prête », a jugé Mme
Guillouard.

La RATP a notamment 25 dépôts à convertir pour 600 millions d’euros, et il y en a 28 autres en grande
couronne, dont la transformation coûtera 105 millions.

AFP (21/10/20)

Par Alexandra Frutos

LE CHIFFRE D’AFFAIRES DE LISI A CHUTÉ DE 30,4 % AU TROISIÈME TRIMESTRE
Lisi a vu son chiffre d’affaires reculer de 30,4 % au troisième trimestre, à 286,7 millions d’euros, encore
pénalisé par la crise sanitaire liée à la Covid-19, une chute toutefois moins violente que celle subie lors
des trois mois précédents. D’avril à juin, ses revenus avaient subi de plein fouet les effets de la
pandémie pour s’effondrer de 45,9 %, en raison de la fermeture de presque tous les sites des clients
du groupe à partir du 15 mars.
Dans le détail, la branche Lisi Aerospace, principale activité du groupe, a vu son chiffre d’affaires
encore chuter de 41,4 % au troisième trimestre, à 137,5 millions d’euros, alors que le secteur aérien
mondial est l’un des principaux touchés par la crise.

L’activité de la branche Lisi Automotive a quant à elle plongé de 14,3 %, à 121 millions d’euros,
affichant une moins mauvaise santé qu’au deuxième trimestre (- 60,1 %), à la faveur des mesures de
soutien décidées pour l’industrie automobile, notamment en Europe.

Enfin, la division Lisi Médical affiche une baisse de 21,5 %, à 28,4 millions d’euros.

Sur les neuf premiers mois de l’année, les revenus de Lisi ont atteint 923,4 millions d’euros, en repli de
28,9 %. Le groupe confirme ses mesures de réduction des coûts annoncées durant l’été, qui
affecteront « notamment le résultat net du second semestre ». Il compte maintenir une rentabilité
opérationnelle positive et un flux de trésorerie libre « de bon niveau ».

AFP (21/10/20)

Par Alexandra Frutos

LE BÉNÉFICE NET TRIMESTRIEL DE TESLA A PLUS QUE DOUBLÉ
Tesla a annoncé qu’il avait dégagé au troisième trimestre un bénéfice net de 311 millions de dollars,
multiplié par plus de deux, pour un chiffre d’affaires de 8,8 milliards de dollars, en progression de 39
%. Le constructeur américain de véhicules électriques a été rentable pour le cinquième trimestre
consécutif, malgré la crise du coronavirus. Outre des livraisons en hausse de 43 %, il a profité des
revenus générés par les crédits d’émissions. Ceux-ci ont presque triplé et atteint 397 millions de dollars.

Elon Musk, directeur général de Tesla, a confirmé l’objectif de l’entreprise de livrer 500 000 véhicules
dans le monde cette année.

M. Musk a par ailleurs confirmé le lancement de tests pour le nouveau système d’aide à la conduite
“Full Self-Driving”. “On commence doucement et avec beaucoup de précautions car le monde est un
endroit complexe et imprévisible”, a-t-il souligné.

AFP (22/10/20)

Par Frédérique Payneau

GENERAL MOTORS A DÉVOILÉ LE HUMMER EV
General Motors a présenté le 21 octobre la nouvelle génération du Hummer, un gros pick-up
électrique musclé qui a été développé en dix-huit mois et sera lancé l’an prochain.
L'”Edition 1? du GMC Hummer EV, dotée d’un moteur d’une puissance de 1 000 ch et disponible à
partir de 113 000 dollars, sera mise en fabrication à l’automne 2021. Une deuxième version proposée à
partir de 99 995 dollars, le Hummer EV 3X, suivra un an plus tard environ. La version la moins chère du
modèle, dont les tarifs démarreront à 79 995 dollars, doit entrer en production au printemps 2024.

La première année de production du nouveau Hummer est déjà vendue, a indiqué le constructeur
américain.

LESECHOS.FR (21/10/20), REUTERS (22/10/20)

Par Frédérique Payneau

TOYOTA CONSERVE LA TÊTE DU CLASSEMENT DES MARQUES MONDIALES LES PLUS
VALORISÉES DANS LE SECTEUR AUTO
Toyota conserve cette année encore la tête du classement des marques mondiales les plus valorisées
dans le secteur automobile publié par le cabinet Interbrand, devant Mercedes et BMW.

Cette année, le classement est marqué par une chute des notes pour l’ensemble des constructeurs,
hors Hyundai. Toyota conserve la tête de ce classement (le groupe est valorisé à 51,6 milliards de
dollars), devant Mercedes et BMW.

En plus de résultats financiers solides, Toyota profite aussi d’une bonne image avec une longue
expérience dans l’hybridation et le retour d’une gamme de produits orientés “plaisir” (GT86, Supra, GR
Yaris, GR Super Sport…), qui ont eu droit au feu vert de la direction grâce à un bon positionnement de
Toyota en matière de CO2.

Au classement général, tous secteurs confondus, Apple, Amazon et Microsoft occupent, dans l’ordre,
les trois premières places.

CARADISIAC (21/10/20)

Par Juliette Rodrigues

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Par Olivier Debras

LA VOLKSWAGEN ID.3 A OBTENU CINQ ÉTOILES AUX ESSAIS EURO NCAP
La Volkswagen ID.3 électrique a obtenu la note maximale de cinq étoiles aux essais de choc et de
sécurité Euro NCAP.

L’ID.3, qui inaugure la plateforme modulaire MEB du groupe Volkswagen, affiche de bons résultats
dans toutes les catégories : 87 % pour la protection des piétons, 89 % pour celle des enfants, 71 %
pour les usagers vulnérables de la route et 88 % pour les aides à la conduite.

AUTOPLUS.FR (21/10/20)

Par Frédérique Payneau

HONDA A CONCLU UN ACCORD AVEC L’ETAT DE L’ARIZONA DANS LE CADRE D’UNE
ENQUÊTE SUR LES AIRBAGS TAKATA
Honda a conclu un accord avec l’Etat de l’Arizona dans le cadre d’une enquête sur les coussins
gonflables défectueux Takata.

L’accord porte sur 5 millions de dollars, a déclaré le procureur général de l’Etat, Mark Brnovich.

Les gonfleurs des sacs gonflables Takata ont été liés à au moins 15 décès aux Etats-Unis dans des
véhicules Honda, y compris un décès en août à Mesa, en Arizona, dans une Honda Civic de 2002.

À ce jour, Honda a remplacé plus de 16 millions de gonfleurs de sacs gonflables Takata défectueux
dans ses véhicules et fait plus de 294 millions de tentatives individuelles pour contacter les
propriétaires et les exhorter à faire remplacer leurs gonfleurs.

Takata avait plaidé coupable en 2017 pour des accusations de fraude criminelle aux Etats-Unis pour
avoir trompé les constructeurs d’automobiles sur la sécurité de ses gonfleurs d’airbags.

REUTERS (21/10/20)

Par Juliette Rodrigues

CONTINENTAL NE SERA PAS RENTABLE AU TROISIÈME TRIMESTRE
Continental a annoncé le 21 octobre qu’il afficherait un résultat net et un résultat d’exploitation négatifs
au titre du troisième trimestre en raison de charges exceptionnelles. Le manufacturier et équipementier
allemand a précisé dans un communiqué qu’il comptabiliserait une charge de dépréciation de 649
millions d’euros et des charges de restructuration de 687 millions d’euros.

La restructuration des activités devrait entraîner de nouveaux coûts au quatrième trimestre dont le
montant n’est pas encore déterminé, a ajouté Continental.

REUTERS.COM (21/10/20)

Par Frédérique Payneau
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