Les Français et la nomination d'Elisabeth Borne au poste de Première ministre - LEVEE D'EMBARGO : MERCREDI 18 MAI 2022 A 17H - Le Figaro
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Les Français et la nomination d’Elisabeth Borne au poste de Première ministre LEVEE D’EMBARGO : MERCREDI 18 MAI 2022 A 17H Sondage réalisé avec pour
Méthodologie Recueil Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par internet les 17 et 18 mai 2022. Echantillon Echantillon de 1 005 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération.
Précisions sur les marges d’erreur Chaque sondage présente une incertitude statistique que l’on appelle marge d’erreur. Cette marge d’erreur signifie que le résultat d’un sondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part et d’autre de la valeur observée. La marge d’erreur dépend de la taille de l’échantillon ainsi que du pourcentage observé. Si le pourcentage observé est de … Taille de l’Echantillon 5% ou 95% 10% ou 90% 20% ou 80% 30% ou 70% 40% ou 60% 50% 100 4,4 6,0 8,0 9,2 9,8 10,0 200 3,1 4,2 5,7 6,5 6,9 7,1 300 2,5 3,5 4,6 5,3 5,7 5,8 400 2,2 3,0 4,0 4,6 4,9 5,0 500 1,9 2,7 3,6 4,1 4,4 4,5 600 1,8 2,4 3,3 3,7 4,0 4,1 800 1,5 2,5 2,8 3,2 3,5 3,5 900 1,4 2,0 2,6 3,0 3,2 3,3 1 000 1,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 2 000 1,0 1,3 1,8 2,1 2,2 2,2 3 000 0,8 1,1 1,4 1,6 1,8 1,8 Lecture du tableau : Dans un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage observé est de 20% la marge d’erreur est égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dans l’intervalle [17,5 ; 22,5].
Principaux enseignements Les Français saluent la nomination d’une femme compétente mais craignent que cela ne fasse pas évoluer Macron et sa ligne politique 1) Un accueil positif mais sans état de grâce : 57% des Français sont satisfaits de la nomination d’Elisabeth Borne, c’est néanmoins 12 points de moins que lors de la désignation d’Edouard Philippe en mai 2017 (69%). 2) La nomination d’une femme à Matignon est vue comme une bonne chose mais le sentiment qui domine parmi les Français est que ce point est secondaire, que c’est surtout la politique qu’elle conduira qui compte (65%). 3) Excellence professionnelle contre difficultés relationnelles et manque de singularité politique : les Français saluent la nomination d’une personnalité ayant de l’autorité (71%), et compétente (69%) mais sont majoritaires à ne pas la juger sympathique (53%) ou proche des préoccupations des Français (57%) tout comme ils ne la trouvent pas capable de tenir tête à Emmanuel Macron (55%). 4) Alors qu’une rupture est attendue, 57% des Français considèrent que cette nomination est le signe qu’Emmanuel Macron n’a pas changé et ne veut pas diriger le pays différemment. ➢ Dans son analyse des réseaux sociaux, Véronique Reille-Soult de Backbone Consulting relève que la nomination d’une femme à Matignon a été saluée par les internautes mais au-delà de ce symbole, elle n’a pas suscité d’engouement particulier ni créé de dynamique en faveur de la majorité en vue des élections législatives.
Synthèse détaillée du sondage (1/5) Erwan Lestrohan, directeur Conseil Les Français saluent la nomination d’une femme compétente mais craignent que cela ne fasse pas évoluer Macron et sa ligne politique 1) Plus de 7 Français sur 10 sont capables de citer spontanément le nom de la nouvelle Première ministre (72%), une présence à l’esprit satisfaisante mais plutôt limitée pour une ministre en exercice de 2017 à 2022 Invités à donner le nom du nouveau Premier ministre nommé ce lundi par Emmanuel Macron, les Français ont plutôt bien su restituer spontanément son identité dans notre sondage. 61% d’entre eux ont notamment précisément indiqué qu’il s’agissait d’ « Elisabeth Borne » alors que 6% ont cité son nom et 5% un nom approximatif proche (Borde, Borgne, Borné...), soit 72% des Français ayant bien à l’esprit l’identité et la nomination de la nouvelle Première ministre, deux jours après sa désignation. Dans le détail, il est intéressant de noter que si 72% des Français ont globalement en tête le nom de la nouvelle cheffe du gouvernement, cette connaissance n’est pas répartie de façon égale selon les populations. En effet, les 18-24 ans (55%), les employés et ouvriers (65%) et les membres de foyers à bas revenus (61%) se sont montrés nettement moins au fait de sa récente nomination que les 65 ans et plus (80%), les cadres (86%) et les Franciliens (82%). En termes de comparaison historique, la capacité de 61% des Français à citer précisément « Elisabeth Borne » est satisfaisante. Elle se situe au niveau de la notoriété spontanée d’Edouard Philippe que nous mesurions 4 mois après son entrée à Matignon (62%). Mais ce résultat non-unanime dépeint aussi une certaine difficulté à marquer l’opinion pour une personnalité politique pourtant centrale des gouvernements du quinquennat 2017-2022 dont elle a été successivement ministre des Transports, de l’Ecologie et du Travail. Pour rappel, en juillet 2020, invités à juger la pertinence de sa nomination en tant que ministre du Travail, 45% des Français déclaraient encore qu’ils ne la connaissaient pas assez bien pour exprimer leur avis.
Synthèse détaillée du sondage (2/5) Erwan Lestrohan, directeur Conseil 2) Un accueil positif mais sans état de grâce : 57% des Français sont satisfaits de la nomination d’Elisabeth Borne comme « Première ministre », c’est 12 points de moins que lors de la désignation d’Edouard Philippe en mai 2017 (69%) Au-delà des grandes divergences électorales dont ils ont récemment fait preuve lors de la séquence présidentielle, il est important de souligner avant toute chose que les Français se montrent majoritairement positifs à l’égard de la nomination d’Elisabeth Borne qui soulève un consensus plutôt rare dans la période actuelle. 57% des Français sont satisfaits de sa nomination à Matignon et la satisfaction est plus élevée encore chez les Français pouvant avoir été sensibles idéologiquement à la nomination longtemps attendue d’une femme à ce poste majeur de l’exécutif (étudiants : 71%, cadres : 64%, femmes : 61%) ou encore à la désignation d’une figure connue et stable de la « Macronie » (retraités : 68%). Sur un plan plus politique, il est intéressant d’observer que la nomination d’Elisabeth Borne satisfait naturellement très fortement les sympathisants Renaissance (ex-LREM : 96%) et qu’elle recueille aussi bien la satisfaction majoritaire des sympathisants EELV (62%) et PS (58%) dans la gauche plus modérée que celle des sympathisants LR (69%) à droite. A l’inverse, l’insatisfaction est majoritaire chez les sympathisants des deux formations que les résultats de l’élection présidentielle ont positionnées comme les principales oppositions politiques au projet présidentiel (LFI : 31%, RN : 35%). Notons aussi que si la part majoritaire de Français satisfaits de cette nomination (57%) indique bien un accueil positif de l’opinion, ce niveau indique aussi un enthousiasme limité au vu de nos mesures antérieures. A titre de comparaison, 69% des Français estimaient en mai 2017 que la nomination d’Edouard Philippe était une bonne décision et 65% des Français avaient une bonne opinion de Jean-Marc Ayrault en tant que Premier ministre à son entrée à Matignon. Ces niveaux supérieurs laissent envisager que la réélection du président sortant joue en sa défaveur en termes de popularité et que la nouvelle locataire de Matignon ne devrait pas bénéficier de l’état de grâce qu’ont pu connaître ses prédécesseurs en début de mandat présidentiel.
Synthèse détaillée du sondage (3/5) Erwan Lestrohan, directeur Conseil 3) Les Français jugent que la nomination d’une femme à Matignon est une bonne chose mais le sentiment qui domine parmi eux est que ce point est plutôt secondaire, que c’est surtout la politique qu’elle conduira qui compte (65%) Comme le laissaient supposer les nombreuses études d’opinion conduites sur le sujet par le passé, la pertinence de la nomination d’une femme à Matignon ne fait aucun débat dans l’esprit des Français. 93% d’entre eux jugent que c’est une bonne chose contre uniquement 6% (et 9% des hommes) qui estiment que c’est une mauvaise chose (1% ne se sont pas prononcés). Pour autant, dans ce large satisfecit, le sentiment domine que la nomination d’une femme n’est pas une fin politique en soi : 65% des Français jugent que ceci est satisfaisant mais secondaire, que ce qui compte c’est la politique qu’Elisabeth Borne conduira alors que 28% estiment qu’en dehors de considérations politiques, c’est un symbole important dans l’absolu pour notre démocratie. Ce regard centré sur la politique qui sera menée, quel que soit le genre du Premier ministre, ressortait déjà dans notre sondage du 6 mai dans lequel 21% des Français déclaraient souhaiter que le futur Premier ministre soit une femme, 11% un homme alors que la grande majorité d’entre eux (68%) indiquaient que ceci leur était égal. Ainsi, 2/3 des Français (65%) indiquent que ce qui compte avant tout c’est la politique que mènera Elisabeth Borne et ce sentiment est naturellement plus partagé par les sympathisants de l’opposition (LR : 79%, LFI : 67%, RN : 71%) mais aussi et surtout par des populations probablement plus en attente de bénéfices des politiques publiques que sont les 50 ans et plus (70%), les indépendants (67%), les membres de foyers à bas revenus (68%), les demandeurs d’emploi (71%) et les salariés du secteur public (68%). Notons aussi par ailleurs que la part de Français saluant l’avancée démocratique que constitue en soi la nomination d’une femme à Matignon est plus importante que la moyenne nationale (28%) chez les cadres (37%), les moins de 35 ans (33%), les étudiants (33%), les Franciliens (32%) ou encore parmi les sympathisants PS (31%), EELV (38%) et Renaissance (49%).
Synthèse détaillée du sondage (4/5) Erwan Lestrohan, directeur Conseil 4) Excellence professionnelle contre difficultés relationnelles et manque de singularité politique : les Français saluent la nomination d’une personnalité ayant de l’autorité (71%), compétente (69%), solide (69%) et dynamique (68%) mais sont majoritaires à ne pas la juger sympathique (53%) ou proche des préoccupations des Français (57%) tout comme ils ne la trouvent pas charismatique (53%) et capable de tenir tête à Emmanuel Macron (55%) Le portrait que dresse notre sondage d’Elisabeth Borne à travers l’image qu’en ont les Français montre un profil assez clivé. Ils reconnaissent très majoritairement son excellence professionnelle. Ils sont 71% à considérer qu’elle a de l’autorité et 69% qu’elle est solide ou encore 68% qu’elle est dynamique. A travers ces niveaux très élevés et plutôt supérieurs à ceux mesurés pour ses prédécesseurs, les Français valident sa légitimité à diriger l’action gouvernementale et à occuper son poste, que l’on retrouve également dans le fait que 69% d’entre eux l’estiment compétente, un niveau supérieur de 16 points à celui que nous mesurions à l’égard d’Edouard Philippe en septembre 2017, 4 mois après son entrée à Matignon. Les Français se sont en revanche montrés plus réservés sur son « image relationnelle ». 51% d’entre eux la jugent ouverte au dialogue mais ce sentiment est très clivé politiquement : il varie de 30% chez les sympathisants LFI et 37% chez les RN à 54% chez ceux d’EELV et 53% chez ceux de LR et monte jusqu’à 85% chez ceux de Renaissance. Plus en retrait, 53% des Français estiment qu’Elisabeth Borne n’est pas sympathique et 57% qu’elle n’est pas proche de leurs préoccupations, deux critères relationnels sur lesquels elle recueille des jugements aussi critiques que le chef de l’Etat dont il s’agit des faiblesses d’image. Enfin, les Français se sont aussi montrés réservés sur la singularité politique de la nouvelle Première ministre. En termes de positionnement, 49% d’entre eux la jugent de gauche mais ce sentiment est surtout partagé par les sympathisants de la droite (59%) alors qu’il est très minoritaire chez ceux de la gauche (36%). Et si 53% ne la jugent pas charismatique, il faut surtout observer que pour une majorité de Français (55%) elle ne sera pas capable de tenir tête à Emmanuel Macron.
Synthèse détaillée du sondage (5/5) Erwan Lestrohan, directeur Conseil Ainsi, sa légitimité à Matignon n’est pas remise en cause par les Français mais Elisabeth Borne devra enrichir sa relation avec les Français pour renforcer leur bienveillance à son égard et nourrir plus fortement son positionnement et sa singularité politique sur lesquels son image est encore peu construite. 5) Pour 57% des Français cette nomination est le signe qu’Emmanuel Macron n’a pas changé et ne veut pas diriger le pays différemment que lors de son premier quinquennat Emmanuel Macron a annoncé lors de son discours d’investiture du 7 mai que le peuple français avait confié à un « président nouveau » un « mandat nouveau » et qu’il faudrait « tous ensemble inventer une nouvelle méthode, loin des rites et chorégraphies usées ». Mais alors que nous mesurions déjà la semaine dernière que 72% des Français pensaient qu’il n’allait pas changer sa façon de diriger le pays, la nomination d’une ministre fidèle de son premier quinquennat ne semble pas non plus de nature à véhiculer un sentiment de changement. Uniquement 42% des Français considèrent que la désignation d’Elisabeth Borne comme Première ministre est le signe qu’Emmanuel Macron a changé et veut diriger le pays différemment contre 57% de l’avis contraire. Et le sentiment que cette nomination n’annonce pas de rupture dans la politique présidentielle est particulièrement plus diffus au sein des populations qui ont le plus fortement exprimé leur désir de changements ces derniers mois que sont les 25-49 ans (60%), les demandeurs d’emploi (67%), les ouvriers (66%) et les habitants de petites villes (62%). Et sur un plan politique, l’opinion selon laquelle cette nomination prédit un certain statu quo de l’action du chef de l’Etat suscite un fort consensus chez les sympathisants LFI (73%) et RN (78%). Des jugements qui montrent qu’au-delà de la pertinence du profil politique d’Elisabeth Borne pour occuper Matignon, le réel enjeu pour l’exécutif en ce début de second mandat sera de pouvoir diffuser dans les prochains mois sa volonté de dépasser les « ratés » de l’exercice 2017-2022 et de repenser l’action gouvernementale pour la rapprocher des préoccupations des Français. Face à ce défi, on peut faire l’hypothèse que la reconduction d’une figure de l’équipe gouvernementale 2017-2022, considérée comme peu capable d’imposer ses vues au président, est plus de nature à constituer une faiblesse qu’un atout.
Synthèse de la résonance sur les réseaux sociaux Véronique Reille Soult – CEO de Backbone Consulting Sur les réseaux sociaux, la désignation d’une femme à Matignon a été saluée par les internautes mais au-delà de ce symbole, elle n’a pas suscité d’engouement particulier ni créé de dynamique en faveur de la majorité en vue des élections législatives L’annonce du choix par Emmanuel Macron d’Elisabeth Borne comme Première ministre a reçu un accueil globalement positif dans l’ensemble des conversations sur les réseaux sociaux. Cette annonce a même été majoritairement saluée dans un premier temps. Mais il faut souligner qu’aucune véritable dynamique n’a été observée depuis (à peine 350 000 messages en deux jours), et que le constat d’un faible engagement sur les réseaux sociaux suite à cette nomination est clair, comme l’illustre le fait que la majorité des commentaires soient circonscrits au cercle des journalistes et consultants politiques. Notons également qu’Elisabeth Borne demeure une inconnue pour beaucoup d’internautes. Dans l’ensemble, ils s’interrogent sur son parcours comme sur sa personnalité (les tendances de recherche sur les plateformes révèlent une réelle curiosité). Et auprès des internautes qui déclarent la connaître, les messages pointent un certain « changement dans la continuité », et le choix d’ « une femme certes, mais d’une femme qui était déjà là et qui n’a rien fait pour le changement climatique ». La nomination d’« une femme à Matignon » reste finalement la principale remarque formulée par les internautes, un symbole qui était fortement attendu et a soulevé de nombreux posts de satisfaction. Au-delà de ceci, la désignation de la nouvelle locataire de Matignon n’a pas déclenché pas de réel engouement mis à part le fait que son nom s’est retrouvé souvent détourné à travers des jeux de mots comme #BorneOut. Et cette nomination ne semble pas non plus avoir particulièrement dynamisé le camp de la majorité en vue des législatives. Comme le révèle notre index #LEGISLATIVES2022 depuis plusieurs semaines, la dynamique de campagne en vue de ces élections reste la propriété de Jean-Luc Mélenchon, qui continue de s’inviter dans les commentaires sur l’actualité. Son message sur son hypothétique nomination en tant que Premier ministre reste le plus repris des 7 derniers jours avec 31 200 interactions. Critiqué, raillé ou attendu, son mot d’ordre à l’attention de la récente Union de la gauche fonctionne encore et toujours, tout comme sa marque de fabrique consistant à occuper le terrain et tenir l’actualité sur l’ensemble des médias, On et Off.
Résultats du sondage
Notoriété d’Elisabeth Borne Pourriez-vous nous indiquer le prénom et le nom du nouveau Premier ministre ? Question ouverte Bonne réponse "Elisabeth Borne" 61% Seulement le nom "Borne" 6% Seulement le prénom "Elisabeth" 5% Noms approximatifs (Borde, Borgne, Borné…) 5% Ancien Premier ministre "Jean Castex" 3% Mauvais prénom (Christine, Isabelle, Carole, Béatrice…) 2% Sait que c'est une femme 2% Autres 2% (NSP) 14%
Satisfaction quant à la nomination d’Elisabeth Borne comme Première ministre En fait, le nouveau « Premier ministre » est une « Première ministre » et s’appelle Elisabeth Borne. Elle a été ministre dans tous les gouvernements sous la présidence d’Emmanuel Macron depuis mai 2017. Vous personnellement êtes-vous satisfait(e) ou insatisfait(e) de la nomination d’Elisabeth Borne comme « Première ministre » ? % Insatisfait(e) : 42% % Satisfait(e) : 57% (NSP) 1% Très satisfait(e) Très insatisfait(e) 9% 17% Plutôt satisfait(e) Plutôt insatisfait(e) 25% 48%
Satisfaction quant à la nomination d’Elisabeth Borne comme Première ministre selon la proximité partisane En fait, le nouveau « Premier ministre » est une « Première ministre » et s’appelle Elisabeth Borne. Elle a été ministre dans tous les gouvernements sous la présidence d’Emmanuel Macron depuis mai 2017. Vous personnellement êtes-vous satisfait(e) ou insatisfait(e) de la nomination d’Elisabeth Borne comme « Première ministre » ? % % Satisfait(e) Insatisfait(e) Ensemble des Français 9% 48% 25% 17% 1% 57% 42% Symp. FI 2% 29% 29% 39% 1% 31% 68% Symp. PS 14% 44% 34% 8% 58% 42% Symp.EELV 8% 54% 30% 8% 62% 38% Symp. Renaissance 30% 66% 2% 2% 96% 4% Symp. LR 16% 53% 22% 9% 69% 31% Symp. RN 5% 30% 32% 32% 1% 35% 64% Symp. Reconquête 2% 43% 29% 26% 45% 55% Très satisfait(e) Plutôt satisfait(e) Plutôt insatisfait(e) Très insatisfait(e) (NSP)
Regard porté sur la nomination d’une femme à Matignon Diriez-vous que la nomination d’une femme à Matignon est… ? (NSP) 1% Une mauvaise chose : 6% Une bonne chose et que c’est déjà, en soi, très important pour notre démocratie 28% Une bonne chose mais que c’est secondaire car ce qui compte c’est la politique qu’elle conduira 65%
Image détaillée d’Elisabeth Borne Pour chacun des qualificatifs suivants, dites-nous s’il s’applique plutôt bien ou plutôt mal à Elisabeth Borne ? Ayant de l'autorité 71% 26% 3% Compétente 69% 29% 2% Solide 69% 28% 3% Dynamique 68% 29% 3% Ouverte au dialogue 51% 47% 2% De gauche 49% 48% 3% Sympathique 45% 53% 2% Charismatique 44% 53% 3% Sera capable de tenir tête à Emmanuel Macron 42% 55% 3% Proche des préoccupations des Français 40% 57% 3% S'applique plutôt bien S'applique plutôt mal (NSP)
Image détaillée d’Elisabeth Borne selon la proximité partisane Pour chacun des qualificatifs suivants, dites-nous s’il s’applique plutôt bien ou plutôt mal à Elisabeth Borne ? LFI PS EELV Renaissance LR RN Reconquête Ayant de l'autorité 71% 61% 76% 81% 93% 88% 58% 56% Compétente 69% 50% 78% 84% 95% 91% 49% 63% Solide 69% 58% 75% 76% 94% 87% 51% 62% Dynamique 68% 54% 75% 75% 92% 83% 54% 69% Ouverte au dialogue 51% 30% 45% 54% 85% 53% 37% 48% De gauche 49% 27% 35% 46% 71% 69% 55% 72% Sympathique 45% 32% 44% 47% 80% 44% 32% 42% Charismatique 44% 30% 44% 47% 70% 48% 39% 28% Sera Sera capable capable de de tenir tenir têtetête à à Emmanuel Emmanuel MacronMacron 42% 27% 38% 48% 74% 47% 27% 16% Proche Proche des préoccupations des préoccupations des Françaisdes Français 40% 23% 27% 43% 84% 60% 24% 36%
Perception du changement d’Emmanuel Macron par la nomination d’Elisabeth Borne comme Première ministre Pensez-vous que la nomination d’Elisabeth Borne comme Première ministre est plutôt le signe qu’Emmanuel Macron a changé et veut diriger le pays différemment que lors de son premier quinquennat ? % Non : 57% % Oui : 41% (NSP) 2% Oui, tout à fait : 7% Non, pas du tout 27% Oui, plutôt 34% Non, plutôt pas 30%
Perception du changement d’Emmanuel Macron par la nomination d’Elisabeth Borne comme Première ministre Pensez-vous que la nomination d’Elisabeth Borne comme Première ministre est plutôt le signe qu’Emmanuel Macron a changé et veut diriger le pays différemment que lors de son premier quinquennat ? % Oui % Non Ensemble des Français 7% 34% 30% 27% 2% 41% 57% Symp. FI 6% 20% 31% 42% 1% 26% 73% Symp. PS 6% 30% 42% 22% 36% 64% Symp.EELV 47% 33% 17% 3% 47% 50% Symp. Renaissance 17% 61% 18% 4% 78% 22% Symp. LR 10% 47% 30% 12% 1% 57% 42% Symp. RN 5% 16% 32% 46% 1% 21% 78% Symp. Reconquête 14% 12% 21% 53% 26% 74% Oui, tout à fait Oui, plutôt Non, plutôt pas Non, pas du tout (NSP)
Résonance sur les réseaux sociaux
Résonance sur les réseaux sociaux Méthodologie Les données sont collectées par BACKBONE consulting et son équipe spécialiste de l’écoute et de l’analyse de l’opinion en ligne à l’aide des Social Media et du web. Pour effectuer leur analyse, ils utilisent les outils d’analyse de social media et de veille on line les plus pertinents pour leur requête que ce soit des outils propriétaires ou des outils du marché. Les principaux outils du marché utilisés sont seematik, visibrain et talkwaker. Seemantik : l’actualité décryptée grâce aux émotions. Une technologie d’analyse sémantique qui permet d’identifier et localiser les sujets montants qui feront l’actualité de demain. www.seemantik.com Visibrain : Logiciel de veille des médias en ligne. Outil de veille médiatique à l’ère de l’information massive et instantanée, grâce à une plateforme qui couvre tous les médias en ligne, en temps-réel, sans se laisser noyer par le bruit. http://www.visibrain.com/fr/ Une utilisation particulière, suite à des développement spécifiques, est effectuée avec l’outil Talkwalker Outil de veille pour suivre les conversations pertinentes des médias en ligne en temps réel à partir d’une seule interface, permet aussi de suivre les mentions sur un homme politique ou un sujet spécifique en effectuant une veille des réseaux sociaux comme Twitter, Facebook, Instagram, YouTube, Google+, TikTok, ainsi que les blogs, les forums et les sites d’actualité en ligne. http://www.talkwalker.com/fr/social-media-intelligence/
Visibilité Elisabeth Borne sur les réseaux sociaux entre le 11 et le 17 mai 2022 Source : Talkwalker / BACKBONE Consulting
Mots associés à Elisabeth Borne sur les réseaux sociaux en France les 16 et 17 mai 2022 Source : Talkwalker / BACKBONE Consulting
# associés à Elisabeth Borne sur les réseaux sociaux en France les 16 et 17 mai 2022 Source : Talkwalker / BACKBONE Consulting
Emojis associés à Elisabeth Borne sur les réseaux sociaux en France les 16 et 17 mai 2022 Source : Talkwalker / BACKBONE Consulting
Adjectifs associés à Elisabeth Borne sur les réseaux sociaux en France les 16 et 17 mai 2022 Source : Talkwalker / BACKBONE Consulting
Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux entre le 5 et le 11 mai 2022 1er message 32 000 interactions 2ème message 12 600 interactions 20 000 interactions Source : Talkwalker / BACKBONE Consulting
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