2019-2020 Solistes Européens Luxembourg

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2019-2020 Solistes Européens Luxembourg
2019-2020
   LUNDI 25 NOVEMBRE 2019
        Rencontre SEL A-II

                                                           © Jean M. Laffitau

                                  Ernie Hammes Group
                              Ernie Hammes, trompette
                               David Ascani, saxophone
                             Pierre-Alain Goualch, piano
                             Boris Schmidt, contrebasse
                                     Niels Engel, drums
                       Solistes Européens, Luxembourg
                              Christoph König, direction

                                           Cahier n°233
2019-2020 Solistes Européens Luxembourg
2019-2020 Solistes Européens Luxembourg
RENCONTRE SEL A-II

LUNDI 25 NOVEMBRE 2019
20h00 Philharmonie Luxembourg, Grand Auditorium
Ernie Hammes Group :
Ernie Hammes, trompette, David Ascani, saxophone, Pierre-Alain Goualch, piano,
Boris Schmidt, contrebasse, Niels Engel, drums
Solistes Européens, Luxembourg
Christoph König, direction

  Bach et le jazz – Avent pour les casse-cous
  Advent für Unerschrockene – Advent for the undaunted
  Ernie Hammes (*1968) : Concertino n°1 pour trompette piccolo,
                         orchestre de chambre et quintette de jazz
  Création mondiale, oeuvre dédiée aux Solistes Européens, Luxembourg

  Johann Sebastian Bach (1685-1750)
  Concerto brandebourgeois n°4 en sol majeur BWV 1049
  Allegro - Andante - Presto

  Ernie Hammes (*1968) : Booboo

  Johann Sebastian Bach (1685-1750)
  Concerto brandebourgeois n°3 en sol majeur BWV 1048

                                   ******************

  Ernie Hammes (*1968) : Tuna Melt

  Ernie Hammes (*1968) : West End Ave.

  Johann Sebastian Bach (1685-1750)
  Suite n°2 pour orchestre en si mineur BWV 1067
  Ouverture - Rondeau - Sarabande - Bourrée - Polonaise - Menuet - Badinerie

  > Durée approximative des oeuvres : 9’-17’-7’-10’***6’-7’-20’ <

          Le concert de ce soir sera diffusé par la Radio 100,7 le 5 février 2020 dans
          l’émission Soirée Philharmonique.
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Bach revisité, Bach interpellé
Jean-Sébastien Bach, mort en 1750, nous est surtout bien connu depuis… le 11 mars 1829,
quand Félix Mendelssohn fit interpréter à Berlin sa Passion selon saint-Matthieu ! C’est qu’en
effet, après sa mort, celui qu’on a appelé le Cantor de Leipzig a connu un long purgatoire avant
de s’imposer – et avec quel éclat – sur les scènes musicales du monde entier.
Aujourd’hui, il est, comme on dit, incontournable !
Je ne vais pas m’étendre ce soir sur ces éclipses totales qu’ont connues tant et tant de compo-
siteurs, qui nous semblent eux aussi incontournables aujourd’hui. Non, ce qui m’intéresse et
qui est absolument remarquable, c’est comment la musique de Bach a inspiré toutes sortes de
musiciens représentatifs d’un autre type de musique, le jazz particulièrement.
L’inspirateur en quelque sorte de cette tendance est le jazzman français Jacques Loussier
(1934-2019), avec son trio Play Bach. Comme on peut le lire sur Wikipedia : « Grâce à la qua-
lité des arrangements de Loussier, le concept séduit les auditeurs et le succès est durable : 7
millions de disques vendus, 15 ans de tournées et plusieurs disques d’or en France et à l’étran-
ger. Dans les années 1960-1970, Loussier aura donné plus de 3 000 concerts, et a déclaré
trouver dans l’album Play Bach «une bonne façon de faire revivre le compositeur allemand» ».
Une autre « adaptatrice » célèbre de Bach est Wendy Carlos (née en 1939), une compositrice
américaine de musique électronique, qui en a réalisé une adaptation pour un synthétiseur
modulaire Moog avec son disque Switched-On Bach / Bach allumé-Bach branché, un amusant
jeu de mots sur la transcription électrique et la mise au goût du jour du vénérable ancêtre.
Bach était-il « jazzy » ? C’est ce que pense le chroniqueur musical André Manoukian : « Bach
est jazz. Il organise l’improvisation. On notait la musique pour se rappeler ce qu’on jouait
parce qu’il n’y avait pas de magnétophones à l’époque, mais les musiciens baroques se je-
taient des noms de cadences portant en elles une grille et une rythmique, et, comme les
jazzmen d’aujourd’hui, improvisaient pendant des heures. Un jour que Bach arrive chez le roi
de Prusse Frédéric II, épuisé par un long voyage, celui-ci, sans lui laisser le temps de se repo-
ser, lui joue un thème de sa composition à la flûte. Bach s’assied et se met à improviser une
fugue à trois voix qu’il remet ensuite au roi sous le nom d’…»Offrande musicale» ».
Mais bien d’autres s’en sont emparés. Ainsi, et très étrange, I want you Bach, une proposition
des « Humanophones », qui prétendaient « éveiller des rencontres artistiques et humaines
autour des percussions corporelles et de la voix ». La Techno aussi s’en est mêlée avec le
groupe Electric Rescue. Signalons encore les envolées du pianiste Edouard Ferlet (à retrouver
sur YouTube).
Ce soir, il y aura « confrontation » : Christoph König et ses SEL vont nous faire entendre les ver-
sions originales de deux Concertos Brandebourgeois et d’une Suite de Bach, le Ernie Hammes
Group nous en proposant des échos, et concluant par une œuvre originale qui réunit l’ancêtre
et ses « interlocuteurs ».

Stéphane Gilbart

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    Johann Sebastian Bach (1686-1770)
    Concertos Brandebourgeois n° 3 et n° 4
    C’est à Coethen, en mars 1721, que Jean-Sébastien Bach envoie au margrave Christian Ludwig
    de Brandebourg, l’oncle du roi de Prusse Frédéric Guillaume Ier, ses Six Concerts avec plusieurs
    instruments. Malheureusement, le margrave ne les fait pas interpréter, les jugeant trop diffi-
    ciles pour les musiciens de sa cour.
    Ce qui est remarquable, c’est la surprenante diversité de ces pièces, liée aux effectifs dont
    Bach disposait lors de leur composition à Coethen.
    Le Concerto n° 3 en sol majeur est pour 3 violons, 3 altos et 3 violoncelles, des instruments
    qui, écrit Marc Vignal, « appartiennent à la même famille, s’opposent, se répondent et se
    mêlent en un parfait équilibre, tout en dégageant un sentiment de puissance et de plénitude.
    Les neuf parties de cordes se rejoignent pour former un tutti, ou se divisent en groupes, ou
    laissent s’échapper un soliste ».
    Le Concerto n°4 en sol majeur est pour cordes et continuo, deux flûtes et violon solistes. Un
    violon qui donnera à entendre au milieu du concerto « « d’éblouissantes triples croches vir-
    tuoses ». Il faut aussi signaler « la richesse exceptionnelle du finale et souligner sa luminosité
    bienfaisante ».

     Evénements contemporains: 1721
     • A Saint-Pétersbourg, le tsar Pierre Ier se fait proclamer empereur de l’Empire de Russie
     • A Köthen, Johann Sebastian Bach épouse en second mariage la chanteuse de chambre
        princière Anna Magdalena Wilcke.

    Brandenburgisches Konzert Nr. 3 BWV 1048
    Brandenburgisches Konzert Nr. 4 BWV 1049
    Ursprünglich überschrieb Johann Sebastian Bach seine sechs Konzerte in der damalig üb-
    lichen höfischen Sprache, dem Französischen, wie folgt: „Six Concerts avec plusieurs inst-
    ruments“.
    Erst nachträglich, zur Zeit, wo er Kapellmeister am Köthener Hof bei seinem großen Gönner
    Fürst Leopold war, stellte er alle sechs Konzerte zu einer Sammlung zusammen, um sie so
    dem Markgrafen Christian Ludwig zu Brandenburg-Schwedt, Prinz von Preußen zu widmen,
    welchen er in Berlin kennengelernt hatte, als er sich dort in den Jahren 1718 und 1719 im
    Auftrag des Köthener Hofes aufhielt, um über den Kauf eines neuen Cembalos zu verhandeln.
    Die sechs Konzerte sind alle in verschiedenen Lebensabschnitten Johann Sebastian Bachs ent-
    standen, zum Teil sogar wohl bereits zu seiner Weimarer Amtszeit (1708–1717), und beziehen
    sich in keiner Hinsicht aufeinander. Sie sind keine Solokonzerte, sondern eigentlich concerti
    grossi, und es fällt auf, dass jedes der sechs Konzerte anders besetzt ist, und auf diese Weise,

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die Sammlung einen Musterkatalog von Bachs Möglichkeiten als Instrumentalkomponist dar-
stellt.
Die sechs Konzerte, nachdem Bach sie ausgiebig überarbeitet hatte, wurden dem Markgrafen
zu Brandenburg im Frühjahr 1721 überbracht und wurden im Nachhinein dann, als “Bran-
denburgische Konzerte“ bekannt.
Die Gewissenhaftigkeit, mit der Bach an die Überarbeitung der Partituren der sechs Konzerte
heranging, und überhaupt, die Wertschätzung, die er den Konzerten bei ihrer Zusammenstel-
lung entgegenbrachte, bevor er sie dem Markgrafen schickte, deuten ohne Zweifel darauf hin,
dass Bach sich von dieser Widmung ganz sicher einiges versprach, wie u. U. einen weiteren
Hofkapellmeister-Titel und die, in dem Fall damit verbundenen lukrativen Kompositionsauf-
träge .
Unter normalen Umständen hätte Bach wohl auch der Erlaubnis seines Arbeitgebers bedurft,
um die am Köthener Hof entstandenen Werke einem anderen Fürsten zu widmen, aber in die-
sem speziellen Fall gab es keinen Grund an Leopolds Einverständnis zu zweifeln, ja man kann
sogar davon ausgehen, dass die Initiative zu der Widmung wahrscheinlich vom Fürsten selbst
ausgegangen war, da beide Fürsten sehr eng befreundet waren.
Leider aber wagte das Orchester des Widmungsträgers nicht einmal den Versuch, die sechs
Werke selber aufzuführen, sodass Johann Sebastian Bach mit seiner Köthener Hofkapelle die
sechs Brandenburgischen Konzerte am Hof von Köthen aus der Taufe hob.

 Zeitgenössische Ereignisse: 1721
 • In Sankt Petersburg lässt sich Zar Peter I. zum Kaiser des Russischen Kaiserreiches
   ausrufen
 • In Köthen heiratet Johann Sebastian Bach in zweiter Ehe die Fürstliche Kammersän-
   gerin Anna Magdalena Wilcke.

Brandenburg concertos Nos. 3 & 4
Before moving to Leipzig in 1723, Johann Sebastian Bach was employed for six years as com-
poser and director of music at the court of Prince Leopold of Anhalt-Cöthen. They were some
of the best and most productive years of his life. Conditions in Cöthen were almost ideal:
Leopold loved music and was himself an accomplished player of the violin, viola da gamba
and harpsichord. His court musicians were excellent, meaning Bach could entrust them with
complex music. Some of his best-known instrumental works, including the Brandenburg Con-
certos, date from the Cöthen years.
The Concertos are named after Margrave Christian Ludwig of Brandenburg – but they were
not written for him. Bach had met the Margrave in 1719 in Berlin, where Leopold had sent him
to oversee the making of a harpsichord. The Margrave, himself a keen amateur musician, had
commissioned Bach to write him a set of concertos to be played at his own court. Surprisingly
perhaps, Bach only complied with the prince’s „request“ two years later. In what is known as

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    the “Dedication Copy”, a score handwritten by Bach himself, dated 29 March 1721, and of
    less than total musical authority (it contains corrections and mistakes), Bach admits to having
    received “His Highness’s orders a couple of years ago”.
    According to British musicologist Robert Thurston Dart, the six concertos of the Dedication
    Copy (six was the standard number for a set of works) “form part of the large repertory of
    chamber music which Bach wrote for performance on Sunday evenings during the winter at
    the ducal court of Cöthen”. They were not originally conceived as a cycle but Bach returned to
    the pieces, making a number of changes, when needing to compile the set for the Margrave.
    The order of their composition is thought to be Nos. 6, 3 and 1 in 1718, No. 2 in 1719, and
    Nos. 4 and 5 in 1720. They were written with particular instruments in mind – Leopold’s court
    included enough good musicians to make this possible, with some of them playing several
    instruments. They reflect the Italian concerto, then in fashion, alternating passages for groups
    of instruments (ripieno) and passages for soloists; but they are also stamped with Bach’s un-
    mistakable musical personality: his counterpoint writing, his range of orchestral colour.
    Bach took his original scores with him when he left Cöthen to take up his post as Cantor, or
    director of music, of the Lutheran Church of St Thomas in Leipzig, where he would spend the
    last years of his life. The manuscripts were copied there, among others, by Christian Friedrich
    Penzel (1737-1801), a student at the Thomasschule and amateur composer, whose copies of
    Concertos 1, 2, 3 and 5 are dated 1760, and bear the note “Penzel’s copy after the original.” In
    the absence of the originals, they are considered important primary sources.
    Over the years, ideas have changed as to how Bach’s music should be performed; the concer-
    tos have been played on period and modern instruments and in formations ranging from small
    chamber group to full orchestra.

    No. 3 in G major, BWV 1048
    No. 3 [Allegro] – Allegro – is scored for strings (3 violins, 3 violas. 3 cellos) and continuo. In the
    solo passages of the intricate first movement, the theme passes between the three groups of
    instruments, which then join together in the ripieno sections. Two chords marked adagio, fol-
    lowed by a pause, separate the two allegro movements in Bach’s original version. It is unclear
    what the composer intended here and many performers add a cadenza or a slow movement
    from another of his works. In the thrilling second Allegro, the three groups of soloists enter
    in quick succession, imitating each other, fugue-like, with the movement constantly gaining
    in intensity.

    No. 4, in G major, BWV 1049
    No. 4 is scored for solo violin, two recorders, strings and continuo and is in the usual three
    movements: Allegro – Andante – Presto. The score specifies flauti d’echo, usually taken to
    mean treble recorders, which are sometimes replaced by flutes. The first movement is dom-
    inated by the soloists, their musical conversation punctuated by chords from the strings; the
    virtuoso violin part includes spectacular runs of (demi)semiquavers. The second movement is
    stately and dance-like, with the three soloists in dialogue with the whole group. The third is a

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fast extended fugue, including another virtuoso passage for violin and building to a powerful
climax – Bach at his most exhilarating.

 Contemporary events 1721:
 • Georg Philipp Telemann is appointed director of music in Hamburg.
 • Johann Sebastian Bach marries his second wife, Anna Magdalena, on 3 December.
 • Death on 22 February of Johann Christoph Bach (born 1642), organist and elder brother
    of Johann Sebastian.

Suite n° 2 pour orchestre, en si mineur, BWV 1067
Quand on parle de Suite, il s’agit d’une suite de partitions de danses.
Bach en a composé de plusieurs types : pour violon et pour violoncelle seuls, et pour clavecin
(Suites Françaises, Suites Anglaises, Partitas ou Suites Allemandes). Pour orchestre, il y en a
quatre, qu’il a qualifiées d’Ouvertures.
La Suite n° 2 est pour flûte traversière, cordes et continuo. Elle inscrit l’enchaînement des
danses dans un ordre particulier : après une Ouverture, un Rondeau au rythme de gavotte,
une Sarabande, dont Marc Vignal écrit, que son « aisance expressive masque la science la
plus stricte », une Bourrée I sur une basse obstinée de quatre notes, une Bourrée II offerte
à la flûte, une Polonaise où la flûte peut encore briller, un Menuet et la célèbre Badinerie
conclusive.

 Evénements contemporains : 1730
 • Le Prince Electeur Frédéric-Auguste de Saxe, roi de Pologne, dit “le Fort“ organise
   du 31 mai au 28 juin ses grandes manoeuvres de Zaithain pour 48 princes invités et
   leurs militaires venus de toute l’Europe pour leur présenter la force de son armée
   et la splendeur de la culture saxonne.

Orchestersuite Nr. 2 BWV 1067
Von allen Orchestersuiten, die Johann Sebastian Bach schrieb, sind nur noch vier erhalten
(BWV 1066-1069), und keine dieser vier trägt weder Überschrift, noch Namen.
Jede besteht aus mehreren Sätzen, wobei der erste Satz, die sogenannte Ouvertüre, bei allen,
der bei weitem umfangreichste Satz ist, und die kürzeren, darauffolgenden, eine freie Folge
von verschiedenen Tänzen sind, wie z.B. die bei Bach so häufig auftauchenden “Gigue” und
“Allemande” oder aber auch andere, wie “Forlane”, Réjouissance” oder “Badinerie”, Namen,
die sonst von Bach eigentlich kaum verwendet wurden.

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     Da die vier Kompositionen unabhängig voneinander überliefert sind, kann man nicht von
     einem Zyklus sprechen; auch gibt es von keiner der vier Suiten noch irgendwie autographe
     Partituren - lediglich sind nur Abschriften von Einzelstimmen erhalten.
     Dies erschwert natürlich die Datierung, wann genau Bach die Suiten komponierte, aber sicher
     ist einzig und allein, dass er sie im Rahmen seiner Konzerte mit dem Collegium Musicum in
     Leipzig aufführte.
     Dieses Ensemble, dessen Leitung Johann Sebastian Bach im Jahre 1729, sechs Jahre nach sei-
     ner Ernennung zum Thomaskantor in Leipzig, zusätzlich zu seinen Verpflichtungen an der Tho-
     maskirche übernommen hatte, war 1702 vom damaligen Studenten der Rechtswissenschaf-
     ten Georg Philipp Telemann gegründet worden und bestand vorwiegend aus Studenten und
     anderen Universitätsangehörigen, die alle nur zu ihrem eigenen Vergnügen spielten und nicht
     etwa zu ihrem Broterwerb. Sie trafen sich wöchentlich zu öffentlichen Proben und Konzerten
     im Kaffeehaus von Gottfried Zimmermann, dem sogenannten Zimmermannschen Kaffeehaus.
     Für Bach war es ein willkommener Ausgleich zu seinen vielen Kirchenmusikverpflichtungen in
     seinen drei Leipziger Kirchen, für dieses Ensemble viel Instrumentalmusik zu schreiben, so wie
     er das zwischen 1717 und 1723 während seiner Zeit am Köthener Hof auch tat.
     So z.B. schrieb er einige seiner Cembalokonzerte speziell für das Collegium Musicum, dies vor
     allem, um seinen Söhnen Wilhelm Friedemann und Carl Philipp Emanuel die Gelegenheit zu
     geben, sich als Solisten am Cembalo mit einem guten Ensemble vorzustellen.
     Dass nun aber alle vier Orchestersuiten von Bach speziell für dieses Ensemble neu komponiert
     wurden, ist unwahrscheinlich und lässt sich auch mangels Dokumenten nicht mehr genau
     feststellen.

      Zeitgenössische Ereignisse: 1730
      • Der sächsische Kurfürst August der Starke, gleichzeitig König von Polen, hält vom
        31. Mai bis 28. Juni vor 48 geladenen europäischen Fürsten und deren Militärs das
        sogenannte Zeithainer Lustlager in der Nähe der sächsisch-brandenburgischen
        Landesgrenze ab, eine grandiose Truppenschau, verbunden mit Darstellung königli-
        cher Pracht. Das Zeithainer Lustlager stellt allerdings nicht nur die militärische Leis-
        tungsfähigkeit Sachsens, sondern auch den hohen Stand der sächsischen Kunst und
        Kultur zur Schau.

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Suite No. 2 in B minor, BWV 1067
Overture – Rondeau – Sarabande – Bourrées 1 and 2 – Polonaise (lentement) and Double –
Menuet – Badinerie.
Musicologists’ dating of Bach’s four orchestral suites has changed over the years and uncer-
tainty still reigns. Many however now believe that they date not from his time at Cöthen
(except possibly no. 1) but from his Leipzig years, with Nos. I and 3 probably written around
1725, No. 4, several years later, and No. 2, about 1739. If true, this would make Suite No. 2 in
B minor one of the last, if not the last, of Bach’s orchestral works.
In addition to the religious music he was obliged to write for the Thomaskirche, Bach also
composed instrumental works for Leipzig’s Collegium Musicum, a concert society of some
40 instrumentalists and singers, students and professionals. The Collegium gave free weekly
concerts all year round in one of the city’s coffee houses, meaning Bach had to provide them
with a considerable amount of music. Some works of this period were adapted, wholly or
partly, from earlier pieces – which accounts for the uncertainty about dates of composition.
From the end of the 17th century, the long-established German orchestral suite began to
reflect Italian and French influences. Bach called his suites “ouvertures”, after the movements
with which French composers introduced their suites of dances. Using the term “suite” avoids
confusion with their opening movements, also named “ouvertures”. The French influence is
present in the form of the ouverture – a stately dance with its characteristic dotted rhythm, a
fast section and brief reprise of the first theme –, and in the dances themselves, chosen from
the French repertoire. The suites feature different dances but all include one or more pairs of
dances, with the first being reprised after the second.
Suite No. 2 follows the model of the “concert overture” made popular by Bach’s contempo-
rary, Georg Philipp Telemann (1681-1767), featuring a solo flute, accompanied by strings and
continuo. In the rondeau, sarabande and menuet, the flute and first violins play together,
producing passages of almost spectral music. In the ouverture, the second bourrée and the
double (fast central section) of the polonaise, the flute is given a virtuoso solo part – as also in
the brilliant final dance, the badinerie.
In Bach’s suites we catch a glimpse of a particular moment of European cultural history. Albert
Schweitzer said: “In the dance styles of these suites, a piece of a forgotten world of grace and
elegance survives into our time. The charm of these pieces lies in the perfection with which
strength and grace pervade them.”

 Contemporary events 1739:
 • First performances in London of Handel’s oratorios “Israel in Egypt” and “Saul”.
 • Leopold Mozart, father of Wolfgang Amadé, is expelled from the Benedictine Uni-
   versity of Salzburg in September for “poor attendance”.
 • Death on 27 May of Johann Gottfried Bernhard Bach, organist, (born 1715) son of
   Johann Sebastian.

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     Ernie Hammes (*1968)
     West End Ave.
     « Cette pièce a été composée en 2018 pour « Evolution », le dernier CD du Ernie Hammes
     Group. Elle décrit en quelque sorte l’ambiance d’un dimanche après-midi à New York, plus
     précisément dans un parc près de la West End Avenue, ou j’ai passé de merveilleux moments
     lors de mes études. »
     Die Komposition entstand 2018 für die Aufnahme der letzten CD der “Ernie Hammes Group
     ‘Evolution’”, und sie beschreibt die Atmosphäre an einem Sonntagnachmittag in New York,
     genauer gesagt, in einem Park in der Nähe der West End Avenue, wo ich (Ernie Hammes)
     während meines Studiums wundervolle Momente verbrachte.
     “This work was composed for the Ernie Hammes Group’s latest CD, “Evolution”, in 2018. The
     piece evokes the atmosphere of a Sunday afternoon in New York, or more precisely in a park
     near West End Avenue, where I spent some wonderful moments during my studies.”

     Booboo
     « Une oeuvre écrite à l’occasion de la naissance de Niels, mon premier fils. Elle tente de décrire
     et de faire ressentir tout le bonheur et toutes les émotions qu’il nous fait vivre tous les jours. »
     Diese Komposition, welche ich anlässlich der Geburt meines ersten Sohnes Niels schrieb,
     beschreibt dans ganze Glück und sämtliche Gefühle, welche der Kleine uns jeden Tag gibt.
     “Booboo was written following the birth of my son Niels; it describes all the joy, the different
     emotions he inspires in us every day.”

     Tuna Melt
     « Cette composition décrit le Tuna Melt, un de mes snacks préférés à New York. »
     Diese Komposition beschreibt einen meiner Lieblingssnacks, den Tuna Melt, welcher in New
     York kreiert wurde.
     “This piece describes one of my favourite snacks, also discovered in New York, the “Tuna Melt”.”

     Concertino n°1 pour trompette piccolo, saxophone soprano et quintette de jazz
     « Cette pièce est le résultat d’une commande passée par les SEL à l’occasion de ce concert «Bach
     meets Jazz». Elle commence par un mouvement totalement classique, dans le style d›un concer-
     to baroque pour trompette piccolo, saxophone soprano, quintette de jazz et bien sûr les SEL.
     Après la présentation du thème classique, la musique opte pour le style jazz : le même thème
     revient en effet dans le style jazz, avec des improvisations tout à fait typiques du genre, mais avec
     toutefois des interventions des cordes, pour en arriver à une conclusion laissée à l’orchestre. »
     Das Werk, welches im Auftrag der “Solistes Européens, Luxembourg” für das Konzert “Bach
     meets Jazz” vom 25. November 2019 für Piccolotrompete, Sopransaxophon, Jazzquintett und
     Orchester geschrieben wurde, beginnt mit einem ganz klassischen Satz, im Stil eines Barock-
     konzertes. Nach der Vorstellung des klassischen Themas geht die Musik in Jazz über, und man

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hört anschließend dasselbe Thema gespielt von den Streichern mit Improvisationen und Einlagen
der Jazzband, um zum Schluss wieder zum eigentlich klassischen Thema zurückzukehren.
“The concertino was specially commissioned by the SEL for this evening’s concert. The first
movement is classical in conception, taking the form of a baroque concerto for piccolo trum-
pet, soprano sax, jazz quintet and orchestra – the Solistes Européens, of course! After a clas-
sical presentation of the main theme, the music switches to jazz mode, and the same theme
appears with improvisation and string interventions from the quintet, before returning to a
classical statement of the theme, with which the work ends.”

Français : Stéphane Gilbart, Ernie Hammes
Deutsch : Georges Backes
English : Ariel Wagner

Ernie Hammes, trompette
Ernie Hammes a étudié la musique classique au Luxembourg et en France avant de rejoindre
le Luxembourg Army Concert Band en 1987 pour devenir leur trompette principale. En 1991,
il commence ses études de jazz avec Ack Van Rooyen au Conservatoire de La Haye (NL). En
1997, il se rend à New York pour étudier à la Manhattan School of Music avec Lew Soloff. Il y
reçoit le «Downbeat Student Music Award» pour ensemble de jazz et big band
En 2008, il fut nominé aux prix Eurodjango dans la catégorie «Masters of Jazz».
Ernie peut être entendu comme animateur sur plus de 40 enregistrements de différents
genres musicaux et a enregistré 7 CD sous son propre nom : « FESTIVAL » (1997), « STE-
PWISE » (2000), « Night Lights », (2005), « Trumpet Classics » (2005), « Freed & Feier » (2007),
« SANFRANCHA » (2011) et «Evolution» (2017).
Ernie a joué en tant que sideman ou soliste dans plus de 35 pays du monde avec e.a. Paul
Anka, Youssou N‘Dour, The New York Voices, Chaka Khan, The Supremes, Diane Schuur, May-
nard Ferguson et Big Bop Nouveau, le Dizzy Gillespie All Star Big Band, le Duke Ellington Or-
chestra, Carla Bley et Steve Swallow Big Band, Brussels Jazz Orchestra, Michel Camilo, Philip
Catherine, Slide Hampton, James Moody, Jon Faddis, Randy Brecker, Lew Soloff, Claudio Roditi,
Bob Mintzer, Dave Liebmann, Idris Muhammad, Amina Figarova, Claude Bolling, Blechscha-
den, école de musique jazz de Manhattan, ... ainsi que de nombreux orchestres européens.
Ernie Hammes studierte klassische Musik in Luxemburg sowie in Frankreich, bevor er 1987
zur Luxembourg Army Concert Band wechselte und deren Solotrompete wurde. 1991 begann
er sein Jazzstudium bei Ack Van Rooyen am Konservatorium von Den Haag (NL). 1997 ging er
nach New York City, um an der Manhattan School of Music bei Lew Soloff zu studieren. Eben-
falls 1997 erhielt Ernie den „Downbeat Student Music Award“ für Jazzensemble und Big Band.
2008 Nominierung für die Eurodjango Awards in der Kategorie „Masters of Jazz“.
Ernie ist als Sideman auf über 40 Aufnahmen in verschiedenen Musikgenres zu hören und hat
7 CDs unter seinem eigenen Namen aufgenommen: „FESTIVAL“ (1997), „STEPWISE“ (2000),
„Night Lights“ (2005), „Trumpet Classics“ (2005), „Freed & Feier“ (2007), „SANFRANCHA“
(2011), „Evolution“ (2017).

                                                                                                   13
RENCONTRE SEL A-II

     Ernie trat unter anderem als Sideman oder Solist in über 35 Ländern weltweit auf. Paul Anka,
     Youssou N‘Dour, die New York Voices, Chaka Khan, die Supremes, Diane Schuur, Maynard Fergu-
     son und Big Bop Nouveau, die All Star Big Band von Dizzy Gillespie, das Duke Ellington Orches-
     tra, Carla Bley und Steve Swallow Big Band, Das Brüsseler Jazzorchester, Michel Camilo, Philip
     Catherine, Slide Hampton, James Moody, Jon Faddis, Randy Brecker, Lew Soloff, Claudio Roditi,
     Bob Mintzer, Dave Liebmann, Idris Muhammad, Amina Figarova, Claude Bolling, Blechschaden
     und die Manhattan School of Music Jazz Orchester ... sowie mit Europäischen Orchestern.
     Ernie Hammes studied classical music in Luxembourg as well as in France before he joined the
     Luxembourg Army Concert Band in 1987 to become their principal trumpet. In 1991 he start-
     ed his jazz studies with Ack Van Rooyen at the Conservatory of The Hague, (NL). In 1997, he
     went to New York City to study at the Manhattan School of Music with Lew Soloff. He received
     the “Downbeat Student Music Award” for jazz ensemble and big band.
     In 2008 nominee for the Eurodjango awards in the category “Masters of Jazz”.
     Ernie can be heard as a sideman on over 40 recordings in various music genres and he re-
     corded 7 CD’s under his own name: “FESTIVAL” in 1997, “STEPWISE” in 2000, “Night Lights”
     in 2005, “Trumpet Classics” in 2005, “Freed & Feier” in 2007, “SANFRANCHA” in 2011 and
     “Evolution” in 2017.
     Ernie performed as sideman or soloist in over 35 countries worldwide with a.o. Paul Anka,
     Youssou N’Dour, The New York Voices, Chaka Khan, The Supremes, Diane Schuur, Maynard Fer-
     guson & Big Bop Nouveau, the Dizzy Gillespie All Star Big Band, the Duke Ellington Orchestra,
     Carla Bley & Steve Swallow Big Band, Brussels Jazz Orchestra, Michel Camilo, Philip Catherine,
     Slide Hampton, James Moody, Jon Faddis, Randy Brecker, Lew Soloff , Claudio Roditi, Bob
     Mintzer, Dave Liebmann, Idris Muhammad, Amina Figarova, Claude Bolling, Blechschaden,
     Manhattan School of Music Jazz Orchestra...as well as with many European orchestras.

     David Ascani, saxophone
     David Ascani est un jeune saxophoniste et compositeur luxembourgeois. Il a commencé à
     jouer du saxophone à l’âge de 6 ans et a débuté son parcours musical au Conservatoire de la
     Ville d’Esch-sur-Alzette. En 2013, il a commencé ses études de jazz au Koninklijk Conservato-
     rium Brussel avec le saxophoniste John Ruocco et depuis 2014 à la Hochschule für Musik Saar
     avec Georg Ruby, Wollie Kaiser et Oliver Strauch. Il joue comme animateur dans différents
     groupes, comme le groupe Ernie Hammes. Avec son propre groupe, le David Ascani Quartet,
     il joue ses propres compositions de manière moderne, sans oublier les racines du jazz.
     David Ascani ist ein junger luxemburgischer Saxophonist und Komponist. Er begann mit 6 Jahren
     Saxophon zu spielen und begann seine musikalische Laufbahn am Konservatorium der Stadt
     Esch-sur-Alzette (L). 2013 begann er sein Jazzstudium am Koninklijk Conservatorium Brussel (B)
     bei dem Saxophonisten John Ruocco und seit 2014 an der Hochschule für Musik Saar (D) bei
     Georg Ruby, Wollie Kaiser und Oliver Strauch. Er spielt als Sideman in verschiedenen Gruppen,
     wie der Ernie Hammes Group. Mit seiner eigenen Gruppe, dem David Ascani Quartet, spielt
     er seine eigenen Kompositionen auf moderne Weise, ohne die Wurzeln des Jazz zu vergessen.

14
RENCONTRE SEL A-II

David Ascani is a young Luxembourgish saxophonist and composer. He started playing
the saxophone at the age of 6 and started his musical way at the Conservatoire de la Ville
d’Esch-sur-Alzette(L). In 2013 he started his jazz studies at the Koninklijk Conservatorium Brus-
sel (B) with saxophonist John Ruocco an since 2014 at the Hochschule für Musik Saar (D) with
Georg Ruby, Wollie Kaiser and Oliver Strauch. He plays as a sideman in different Groups, like
the Ernie Hammes Group. With his own Group, the David Ascani Quartet, he plays his own
compositions in a modern way, without forgetting the roots of jazz.

Pierre-Alain Goulach, piano
Pierre-Alain Goualch est né dans une famille de musiciens. En 1995, il remporte le concours de
piano jazz à Toulon (F). Il est classé parmi les 25 musiciens les plus prometteurs de sa génération
dans le monde. Pierre-Alain a joué plusieurs fois avec a.o. David Linx, Randy Brecker, Nicolas Fol-
mer, Philippe Catherine, Stéphane Beldmondo et André Ceccarelli presque partout en Europe, au
Canada, aux États-Unis et au Brésil.
On peut l’entendre sur plus de 40 albums différents, en tant que leader ou animateur.
Pierre-Alain Goualch stammt aus einer Musikerfamilie. 1995 gewinnt er den Piano Jazz Wett-
bewerb in Toulon (F). Er gilt als einer der 25 vielversprechendsten Musiker seiner Generation
weltweit. Pierre-Alain spielte mehrere Touren mit a.o. David Linx, Randy Brecker, Nicolas Folmer,
Philippe Catherine, Stephane Beldmondo und André Ceccarelli in fast ganz Europa, Kanada, USA
und Brasilien.
Er ist auf über 40 verschiedenen Alben entweder als Leader oder als Sideman zu hören.
Pierre-Alain Goualch is born in a musicians family. In 1995 he wins the Piano Jazz competition in
Toulon (F). He is rated as one of the 25 most promising musicians of his generation worldwide.
Pierre-Alain played several tours with a.o. David Linx, Randy Brecker, Nicolas Folmer, Philippe Cath-
erine, Stephane Beldmondo and André Ceccarelli almost all over Europe, Canada, USA and Brazil.
He can be heard on over 40 different albums either as a leader or as a sideman.

Niels Engel, drums
Dès l’âge de 3 ans, le Luxembourgeois Niels Engel a suivi un parcours passionné d’autodidacte
pour apprendre la batterie. À 16 ans, il entre au département des percussions d’Esch-sur-Al-
zette et termine le programme en seulement 3 ans. La même année, il remporte la Médaille
d’Or au Concours Jeunes Solistes Européens au Luxembourg. En 2007, il entre au célèbre «Ko-
ninklijk Konservatorium» à La Haye. À partir de 2009, il termine ses études au Conservatorium
van Amsterdam avec Martijn Vink et Marcel Serierse, et ses études de maîtrise à Cologne
avec son mentor Jonas Burgwinkel. Niels a remporté un certain nombre de compétitions en
tant que sideman, telles que: Princes Christina Concours aux Pays-Bas; les Grote Prijs van
Nederland; le European Burghausen Jazz Award en Allemagne et le Sibiu Jazz Competition en
Roumanie. Niels a enregistré plus d’une douzaine d’albums avec des artistes tels que Pol Belar-
di, Jérôme Klein, Ernie Hammes, David Laborier, l’Orchestre National de Jazz de Luxembourg,
l’Orchestre de Jazz du Luxembourg, Marc Mangen, Matiss Cudars, Beam, etc.
Niels enseigne aux conservatoires d’Esch-sur-Alzette et du Luxembourg.

                                                                                                        15
RENCONTRE SEL A-II

     Seit seinem dritten Lebensjahr baute der Luxemburger Niels Engel einen leidenschaftlichen Auto-
     didakt-Weg auf, um Schlagzeug zu lernen. Mit nur 16 Jahren trat er in die Schlagzeugabteilung
     in Esch-sur-Alzette ein und beendete das Programm in nur 3 Jahren. Im selben Jahr gewann
     er die Médaille d‘Or au Concours jeunes Solistes Européens in Luxemburg. In 2007 machte er
     seinen Bachelor-Abschluss im Koninklijk Konservatorium in Den Haag. Ab 2009 beendete er sein
     Studium am Conservatorium van Amsterdam bei Martijn Vink und Marcel Serierse, und sein
     Masterstudium in Köln bei seinem Mentor Jonas. Niels gewann eine Reihe von Wettbewerben
     als Sideman, darunter: die Princes Christina Concours in den Niederlanden; die Grote Prijs van
     Nederland; der European Burghausen Jazz Award in Deutschland und der Sibiu Jazz Competi-
     tion in Rumänien. Seitdem hat Niels über ein Dutzend Alben mit Künstlern wie Pol Belardi, Jé-
     rôme Klein, Ernie Hammes, David Laborier, dem Nationalen Jazzorchester von Luxemburg, dem
     Luxemburger Jazzorchester, Marc Mangen, Matiss Cudars, Beam usw. aufgenommen.
     Niels ist ein leidenschaftlicher Pädagoge an den Konservatorien von Esch-sur-Alzette und in
     Luxemburg.
     Since the age of 3 Niels Engel played drums at home on his father’s drum set and established a
     passionate autodidact path of learning the drums. At the age of only 16 he entered the drum
     department in Esch-sur-Alzette and finished the program in just 3 years. That same year, he won
     the Médaille d’Or au Concours Jeunes Solistes Européens in Luxembourg. He started his bachelor
     degree in 2007 at the renowed “Koninklijk Konservatorium” in The Hague. From 2009 he finished
     his studies at the Conservatorium van Amsterdam with dutch drum master Martijn Vink and Mar-
     cel Serierse and his master studies in Cologne with his mentor Jonas Burgwinkel. Niels won a
     number of competitions as a sideman such as: the Princes Christina Concours in the Netherlands;
     the Grote Prijs van Nederland; the European Burghausen Jazz Award in Germany and the Sibiu
     Jazz Competition in Romania. Since then, Niels has recorded over a dozen albums with artists such
     as Pol Belardi, Jérôme Klein, Ernie Hammes, David Laborier, Orchestre National de Jazz de Luxem-
     bourg, Luxembourg Jazz Orchestra, Marc Mangen, Matiss Cudars, Beam, etc..
     Niels is a passionate educator at both the conservatories of Esch-sur-Alzette and Luxembourg.

     Boris Schmidt, contrebasse
     Boris Schmidt est né au Luxembourg. Il a commencé par jouer du saxophone, puis du piano
     et de l’harmonie. Autodidacte à la basse électrique depuis 1999, il n’a commencé qu’en 2002
     à se mettre à la contrebasse, que lui a ensuite enseignée Marc Demuth. La contrebasse est
     rapidement devenue son instrument de prédilection. A partir de 2003, Boris suit des cours
     au Conservatoire royal de Den Haag et a obtenu son baccalauréat en musique en 2007. Il est
     principalement actif comme musicien de jazz dans le Benelux, mais s’aventure également dans
     différents domaines musicaux, comme par exemple la musique ancienne avec le groupe l «Ar-
     peggiata» avec lequel il se rend depuis plus de dix ans dans des lieux prestigieux tels que Walt
     Disney Concert Hall (Los Angeles), Wigmore Hall (Londres) ou Carnegie Hall (New York). Il en-
     seigne aussi occasionnellement des ateliers de jazz en Belgique. Boris a joué avec notamment
     Erwin Vann, Michel Pils, Ro Gebhardt, Didier Lockwood, Eef Albers, Randy Brecker, Félix Sim-
     taine, Steve Houben, Philippe Jaroussky, Wolfgang Muthspiel, Gianluigi Trovesi ...
     Boris Schmidt wurde 1983 in Luxemburg. Er begann mit Saxophon, bald folgten Klavier und
     Harmonie. Seit 1999 als E-Bass-Autodidakt tätig, begann er erst 2002 mit dem Kontrabass, der
     ihm von Marc Demuth beigebracht wurde. Der Kontrabass wurde schnell zu seinem bevorzug-
16
RENCONTRE SEL A-II

                  Den Handysgeck
ten Instrument, und ab 2003 besuchte Boris Unterricht am Königlichen Konservatorium von
Den Haag (NL) und erwarb 2007 seinen Bachelor of Music. Heute ist er hauptsächlich als Jazz-
musiker im Be-Ne-Lux-Gebiet tätig, wagt sich aber auch in verschiedene musikalische Bereiche
wie zum Beispiel die Alte Musik mit der Gruppe l ‚Arpeggiata‘, mit dem er seit über zehn Jahren
die renommiertesten Veranstaltungsorte wie die Walt Disney Concert Hall (Los Angeles), die
Wigmore Hall (London) oder die Carnegie Hall (New York) bereist. Gelegentlich unterrichtet er
auch Jazz-Workshops in Belgien.
Zu den Musikern, mit denen Boris aufgetreten ist, gehören Erwin Vann, Michel Pils, Ro Geb-
hardt, Didier Lockwood, Eef Albers, Randy Brecker, Felix Simtaine, Steve Houben, Philippe Ja-
rousski, Wolfgang Muthspiel, Gianluigi Trovesi ...
Boris Schmidt was born in Luxembourg. He started out with saxophone, soon followed by piano
and harmony. Self-taught on electric bass since 1999, it was not until 2002 that he got started on
double-bass, which was then taught to him by Marc Demuth. The double bass quickly became
his instrument of choice, and from 2003 on, Boris has attended lessons at the Royal Conserva-
tory of Den Haag and obtaining his bachelor of music degree in 2007. He is now mainly active
as a jazz musician in the Be-Ne-Lux area, but also ventures into different musical realms like for
example early music with the group “l’Arpeggiata” with which he has been touring most prestig-
ious venues like Walt Disney Concert Hall (Los Angeles), Wigmore Hall (London) or Carnegie Hall
(New York) for over ten years. He also occasionally teaches jazz workshops in Belgium.
Musicians Boris has performed with include Erwin Vann, Michel Pils, Ro Gebhardt, Didier Lock-
wood, Eef Albers, Randy Brecker, Felix Simtaine, Steve Houben, Philippe Jaroussky, Wolfgang
Muthspiel, Gianluigi Trovesi ...

                              Den Handysgeck
  Martin Fengel

                                                                                                     17
RENCONTRE SEL A-II

     A Wonderful Music Experience
     When is the last time you looked at the in-        how immense and impres-
     ner workings of a clock or at the inside of the    sive the music really was.
     screens that dominate our lives? - Something       I realized how dynamic a
     that seems so simple and tangible, is complex      music piece could be as
     and dynamic if looked at closely enough.           soon as I would recognize
     For me, assisting at the rehearsal of the “So-     sections that the conduc-
     listes Européens, Luxembourg” Orchestra on         tor had changed and prac-
     March 17, 2019 gave me this same notion.           ticed at the rehearsal. The
     Music is often taken for granted, and its com-     one part in particular I
                                                        could notice the most progression in was when
     plexity is often overlooked. With the popula-
                                                        it was only the piano and the timpani playing
     rization of steaming and downloading, people
                                                        together in Beethoven’s piano concerto. Ori-
     see it as mundane, rather than picking it apart
                                                        ginally, it sounded very off-beat and almost
     and appreciating each individual piece. Being
                                                        sloppy. It caught me off guard because it stuck
     able to witness both the rehearsal and the
                                                        out the most within the movement. However,
     concert allowed me to gain a better understan-
                                                        in the concert it was pristine and flawless and
     ding of classical music and the ability to look
                                                        it was a unique opportunity to see this kind of
     at music as a dynamic and complex machine.         change in such a professional group of musi-
     Prior to the concert, it was amazing to see the    cians.
     tinkering of every individual moving part to in-   Overall, getting to see the orchestra both
     crease the efficiency and cohesiveness of the      practice and perform was eye opening and
     complex machine. As the conductor would            increased my appreciation for classical mu-
     change specific notes and dynamics, my ap-         sic. Although technology may be the downfall
     preciation for the completed piece only grew.      of music, they are much the same; dynamic,
     Just as a programmer makes minor changes in        complex, and underappreciated. While I so-
     code to improve the computers efficiency, the      metimes look at music as customary, I have
     conductor works with each individual instru-       learned to look further into the inner workings
     ment fixing minuet mistakes. It was astonishing    of each piece, and appreciate the sheer talent
     to see the violinists practice the movement of     required to make such a masterpiece. We may
     their bows and to hear the plucking of each        not take apart our computers to see how they
     string individually on all of the instruments.     work or remove the face of our watch, howe-
     Being able to hear the pianist individually wi-    ver, it is important to remember that these
     thout the accompaniment of the orchestra           things took years of development, and really
     emphasized his talent, as well as emphasized       are a spectacle of human achievement. I now
     the importance of each musician individually.      know music is the same, and that is why I ap-
     If I would not have witnessed the rehearsal, I     preciated this wonderful musical experience.
     would just have looked at the piece as a whole
     and not at the individual musicians.
     The concert itself was a complete masterpiece.                                  Kevin HANSBAUER
     The passion of each musician was projected                                      Student at MUDEC
     through their instruments with the guidance             J.E. Dolibois European Center, Differdange,
     of the conductor. Hearing the piece as a whole,                                        Luxembourg
     rather than just small exerpts made me realize                    MIAMI UNIVERSITY, OXFORD, OH

18
RENCONTRE SEL A-II

Christoph König, Chef d’Orchestre Principal et Directeur Musical

Christoph König est un chef d’orchestre à l’intelligence et à la musicalité profondes. Sa direction
d’orchestre est énergique et inspirée ; attaché à une collaboration musicale sérieuse, il tient à
proposer une programmation diversifiée. Christoph König est souvent engagé comme chef invité :
Staatskapelle Dresden, Orchestre National Danois, Orchestre Philharmonique des Pays-Bas, Or-
chestre de Paris, Royal Philharmonic Orchestra, Orchestre National de la BBC du Pays de Galles, Or-
chestre de la Radio norvégienne, Mozarteum de Salzbourg, Beethoven Orchester Bonn, Stuttgarter
Philharmoniker, Sinfonieorchester St Gallen, Dresdner Philharmoniker, Orchestre Symphonique de
Barcelone, Tampere Philharmonic, Orchestre de la Radio de Madrid (RTVE), Orchestre et choeur de
Madrid, Orquesta de Euskadi, Orchestre Symphonique de Nouvelle Zélande, Orchestre de Chambre
de la BBC écossaise, les orchestres symphoniques de Pittsburg, Toronto, Houston, Cincinnati, India-
napolis, Baltimore, Vancouver, Oregon, Colorado, Adélaïde et Bournemouth, les orchestres philhar-
moniques de Los Angeles, Calgary, Milwaukee, du New Jersey, de la Radio Sarroise, de la BBC et de
Malaisie, ainsi que le Royal Philharmonic Orchestra.

Christoph König ist ein Dirigent von tiefer Musikalität und Intelligenz. Seinen Dirigierstil könnte
man als energetisch und inspirierend bezeichnen; auffällig sind seine Ernsthaftigkeit in der musi-
kalischen Zusammenarbeit, sein Interesse an abwechslungsreicher Programmgestaltung und sein
Engagement für zeitgenössische Musik. Christoph König hat daneben viele Verpflichtungen als
Gastdirigent. In der letzten Zeit dirigierte er die Staatskapelle Dresden, das Dänische National-Or-
chester, das Nederlands Philharmonisch Orkest, das Orchestre de Paris, das Royal Philharmonic
Orchestra, BBC National Orchestra of Wales, das Norwegische Radio-Sinfonieorchester, Mozarteum
Orchester Salzburg, Beethoven Orchester Bonn, Stuttgarter Philharmoniker, Sinfonieorchester St
Gallen, Dresdner Philharmoniker, Sinfonieorchester Barcelona, Tampere Philharmonic, Radiosinfo-
nieorchester RTVE in Madrid, Orquesta y Coro de la Comunidad de Madrid, Orquesta de Euskadi,
New Zealand Symphony Orchestra, das BBC Scottish Symphony Orchestra, die Symphonieorches-
ter Pittsburgh, Toronto, Houston, Cincinnati, Indianapolis Baltimore, Vancouver, Oregon, Colorado,
Adelaide, Bournemouth, die Philharmonieorchester Los Angeles, Calgary, Milwaukee, New Jersey,
Malaysia, BBC, Kuala Lumpur und Royal Philharmonic.

Christoph König is a conductor of deep intelligence and musicality. His conducting is marked by
an energetic and serious approach to musical collaboration and a commitment to thoughtful and
stimulating programming. König is in demand as a guest conductor. Recent performances have
included engagements with the Staatskapelle Dresden, Orchestre de Paris, Danish National Sym-
phony, Netherlands Philharmonic, Royal Philharmonic Orchestra, BBC National Orchestra of Wales,
Norwegian Radio Orchestra, Mozarteum Orchestra Salzburg, Beethoven Orchester Bonn, Stuttgart
Philharmonic, Sinfonieorchester St Gallen, Dresden Philharmonic, Barcelona Symphony, Tampere
Philharmonic, Radio Orchestra (RTVE) in Madrid, Orquesta y Coro de la Comunidad de Madrid,
Orquesta de Euskadi, Scottish Chamber Orchestra, the BBC Scottish Symphony Orchestra, New
Zealand, Pittsburgh, Toronto, New Jersey, Houston, Cincinnati, Indianapolis, Baltimore, Vancouver,
Oregon, Adelaide, Bournemouth, Milwaukee and Colorado Symphony Orchestras, the Deutsche
Radio Phiharmonie Saarbrücken, Los Angeles, Calgary, Malaysia Philharmonic orchestras, Royal Phil-
harmonic Orchestra.

                                                                                                       19
RENCONTRE SEL A-II

           Sous le Haut Patronage de Son Altesse Royale le Grand-Duc
                      Président d’Honneur : Jacques Santer
               Christoph König, Directeur musical et chef titulaire

     Depuis leur premier concert le 22 septembre 1989,       Sie haben ein großes Repertoire, das auch Werke
     ces musiciens originaires des meilleurs orchestres      zeitgenössischer Komponisten umfasst.
     du vieux continent se réunissent régulièrement à        In jeder Saison organisieren die SEL Konzerte zur
     Luxembourg pour des répétions, des concerts et          Nachwuchsförderung unter dem Motto «From one
     des enregistrements, et partent aussi en tournée.       generation to the other».
     Les Solistes Européens, Luxembourg ont réalisé plus     Dieses Orchester, dessen Aktivitäten vom Ministe-
     de 120 CD, entre autres chez Sony Classical, Chan-      rium für Kultur, der Stadt Luxemburg, dem Fonds
     dos, Naxos et Rubicon.                                  Culturel National, und zahlreichen Mäzenen unter-
     Sur initiative du Ministère de la Culture, ils créent   stützt werden, ist somit zweifellos einer der wesent-
     chaque saison une œuvre commandée à un com-
                                                             lichen Pole des luxemburgischen Musiklebens.
     positeur résident : Roland Wiltgen (2011), Ivan Bou-
     mans (2012), Marco Pütz (2013 et 2014), Jeannot
     Sanavia (2015), Luc Grethen (2016), Tatsiana Zelian-    These musicians are Europeans from the best or-
     ko (2017) et Roland Wiltgen (2018). Depuis l’arrivée    chestras of the old continent who have been meet-
     de Christoph König, ils ont élargi leur domaine à des   ing regularly in Luxembourg – their first concert was
     compositeurs contemporains.                             on 22 September 1989 – for recitals, concerts and
     Soucieux également de promouvoir l’avenir de la         recordings. They also tour.
     musique, les SEL organisent chaque saison des           Each season in Luxembourg, they offer their faithful
     concerts qui mettent en valeur de jeunes talents        public regular concerts on Monday evenings in the
     prometteurs, aussi bien luxembourgeois qu’étran-        Philharmonie. They have accompanied the most
     gers, notamment avec le cycle Camerata à la Phil-       renowned soloists and captivated both audiences
     harmonie.                                               and critics in the major European musical centres.
     Cet orchestre, dont les activités sont soutenues par    In May 2004, they performed at the UN in New York
     le Ministère de la Culture, la Ville de Luxembourg et   on the occasion of the EU enlargement.
     le Fonds Culturel National, ainsi que de nombreux       The SEL have recorded more than 120 CDs (SEL Clas-
     mécènes, est un des pôles majeurs de la vie musi-       sics, Sony Classical, Chandos, Naxos and Rubicon).
     cale luxembourgeoise.
                                                             For the past years, they have been playing each
                                                             season a work commissioned by the Ministry of
     Diese Musiker aus vielen europäischen Ländern und       Culture: Ivan Boumans (2012), Marco Pütz (2013),
     Orchestern spielen regelmäßig gemeinsam bei Kon-        Marco Pütz (2014), Jeannot Sanavia (2015), Luc
     zerten und Aufnahmen in Luxemburg. Am 22.Sep-
                                                             Grethen (2016), Tatsiana Zelianko (2017) and Ro-
     tember 1989 fand das erste Konzert statt. Sie gehen
                                                             land Wiltgen (2018).
     auch regelmäßig auf Tournee.
                                                             Eager to promote the future of music, each season
     In Luxemburgs neuer Philharmonie geben sie in
     jeder Saison zwei Konzertzyklen. Die Musiker ha-        the Solistes Européens, Luxembourg organize con-
     ben bereits namhafte Solisten begleitet und sind        certs for young talents, both from Luxembourg and
     in den großen Konzerthallen Europas aufgetreten.        abroad.
     Im Mai 2004 haben sie bei der UNO in New York           This orchestra, whose activities are supported by
     konzertiert, um die Erweiterung der EU feierlich zu     the Ministry of Culture and the City of Luxembourg,
     begehen.                                                as well as by numerous corporate sponsors, is one
     Sie haben mehr als 120 CDs, unter anderem die bei       of the brightest stars in Luxembourg’s classical mu-
     Sony Classical, Chandos, Naxos und Rubicon aufge-       sic galaxy.
     nommen.

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RENCONTRE SEL A-II

ORCHESTRE
Premiers violons                                   Altos                         Contrebasses
Klaidi Sahatci                                     Ana Bela Chaves               Botond Kostyák
Yvetta Slezakova                                   Petra Vahle                   Eduardo Rodriguez
Gilles Henry                                       Győző Mate
Rodica Kostyák                                     Sophie Urhausen*              Flûtes
Giuseppe Mengoli                                                                 Fruzsina Varga
                                                   Violoncelles                  Dóra Haraszti
Seconds violons                                    Alexander Kaganovsky          Dóra Király
Janet Krause                                       Mikael Ericsson               Clavecin
Maria Ericsson-Vlach                               Teodor Brcko                  Anne Galowich
Alexander Poljakov
Karel Stadtherr
* Avec le soutien du fonds stART-up de l’Oeuvre Nationale de Secours Grande-Duchesse Charlotte

Les musiciens réunis pour ce concert sont issus des orchestres suivants :
Berner Symphonieorchester, Gustav Mahler Jugendorchester, Orfeo Orchestra, Residentie Orkest Den
Haag , Orchestre de Paris, Orchestre National de Lyon, Philharmonie Essen, Prague Philharmonia, Prague
Symphony Orchestra, Recurring Company, Sinfonieorchester Basel, Tonhalle Orchester Zürich, Ungarisches
Radio-Sinfonieorchester, Vlach Quartet Prague

  MUSIC
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IMPRESSUM

     Editeur                                          XXXI E SAISON MUSICALE 2019/2020
     Solistes Européens, Luxembourg a.s.b.l.          SOLISTES EUROPÉENS, LUXEMBOURG a.s.b.l.
     B.P. 74, L-2010 Luxembourg                       Sous le Haut Patronage de Son Altesse Royale le Grand-Duc,
     tél.: 46 27 65, fax: 22 98 14                    Jacques Santer, Président d’Honneur
     e-mail: info@sel.lu
     www.sel.lu                                       Conseil d’Administration
                                                      Jérôme Wigny, Président,
     Direction                                        Eugène Prim, Directeur Général,
     Eugène Prim, Directeur Général                   Georges Backes, projets pédagogiques,
     Anne Pierron, Directeur Administratif            Anne Brasseur, relations publiques,
     Christoph König, Directeur Musical               Guy Castegnaro,
                                                      Stéphane Gilbart, relations avec les medias,
     et chef d’orchestre principal
                                                      Martine Reicherts,
                                                      Michael Vareika,
     Coordination                                     Jean Wenandy, conseiller musical,
     Anne Pierron, e-mail: selux@pt.lu                Hugo Woestmann
     Weprint, e-mail: info@weprint.lu
                                                      Commissaire aux comptes
     Rédaction                                        Paul Bleser
     Stéphane Gilbart, Georges Backes, Ariel Wagner
                                                      Membres associés
                                                      Georges Backes, Paul Bleser, Anne Brasseur, Guy
     Publicité                                        Castegnaro, Alain de Muyser, Stéphane Gilbart, Emile
     Solistes Européens, Luxembourg a.s.b.l.          Kraemer (membre fondateur), José Olavarrieta,
                                                      Eugène Prim, Valerio Ragazzoni, Martine Reicherts,
     Photos                                           Romain Schintgen, Michael Vareika, Jean Wenandy
     Jean M. Laffitau                                 (membre fondateur), Marie-Anne Werner, Jérôme
                                                      Wigny, Hugo Woestmann
     Conception graphique                             AMIS DES SOLISTES EUROPÉENS,
     Sophie Ensel                                     LUXEMBOURG
                                                      Votre soutien nous honore et nous encourage.
     Réalisation                                      Si vous souhaitez nous aider à développer au mieux
     Weprint                                          nos activités, vous pouvez faire un don à l’a.s.b.l.
     7a, rue de Bitbourg                              Solistes Européens, Luxembourg.
     L-1273 Luxembourg                                BCEE: LU54 0019 1000 3599 2000
     tél.: 43 84 86-1                                 BILL: LU33 0022 1076 9640 0000
     www.weprint.lu                                   BGLL: LU58 0030 4362 9826 0000
                                                      CCPL: LU59 1111 0961 8356 0000
                                                      CCRA: LU65 0090 0000 6443 3022
     Enregistrements
     Marco Battistella jr., ingénieur du son          DONS: Par décret Grand-Ducal, l’asbl Solistes Euro-
     Maurice Barnich, prise de son                    péens, Luxembourg a été déclarée d’utilité publique
                                                      en date du 23.12.2005. Tout donateur peut déduire
                                                      de son revenu imposable la totalité des dons virés
                                                      aux nombreuses associations reconnues d’utilité pu-
                                                      blique, ceci pour un montant cumulé au moins égal
                                                      à 125 € par année d’imposition et dans la limite de
                                                      250 € ou de 10% du revenu imposable. La déduction
                                                      doit être demandée à la ligne 79 «Libéralités» de la
                                                      déclaration d’impôt.
                                                      Les organisateurs se réservent le droit de modifier le
                                                      cas échéant les programmes et les dates.

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