www.ujf-grenoble.fr/JAL - Mémoire de stage : Site Internet de - Jardin Alpin du Lautaret
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Département informatique 2ème année Michaël ROCHE Matthieu CUNZI Mémoire de stage : Site Internet de www.ujf-grenoble.fr/JAL I.U.T. 2 Grenoble juin - 1999
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 REMERCIEMENTS Nous tenons tout particulièrement à remercier les personnes qui nous ont accueillis : ª Paul MANDARON (directeur de l’UFR de biologie de l’Université Joseph Fourrier) et Loïc THOMAS (responsable administratif de l’UFR): Pour nous avoir intégré au sein de leur UFR et nous avoir permis d’effectuer notre stage dans les meilleures conditions. ª Serge ALLERMOZ (ingénieur informatique et administrateur réseau) Pour avoir mis à notre disposition les moyens « matériel et logiciel » utilisés lors de notre stage. ª Stéphane PERRIER (objecteur de conscience et créateur du site de l’UFR) Pour ses conseils sur l’utilisation de WebExpert et plus généralement pour le développement de site web. ª Jeanine DI MARCO (gestion des enseignements, scolarité DEA BCM) Pour son aide précieuse lors de la rédaction de ce rapport. ª Le personnel de l’UFR : - Frank THOMAS - Marie-José THOMAS - Annick DIFRENZA - Anna CORRAL - Sophie AIME-BLANC - Anne-Marie DORNE - Marie-France REYNIER - Christophe VALENCIN - Jean-Paul BLANQUINI Pour leur bonne humeur et leurs avis d’utilisateurs. 1
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Mais aussi toute l’équipe de la Station Alpine du Lautaret : Pour leur aide et leur soutien au cours de toutes les étapes du stage ª Serge AUBERT (Directeur du Chalet Laboratoire) Pour sa motivation et son investissement personnel tout au long de notre stage. ª Rolland DOUZET (Responsable botanique) Pour son aide précieuse lors de la réalisation de la visite. ª José LESTANI (Responsable horticole) Pour le choix des photographies et ses explications quant à l’organisation des rocailles. ª Philippe CHOLER (Directeur-Adjoint du Jardin Alpin) Pour avoir su réunir l’équipe pour les réunions. Nous voulions aussi remercier Mr Gérard CADEL pour son œuvre et ses magnifiques photographies. Merci à Eric FONTENAS notre responsable de stage à l’IUT pour ses corrections et ses conseils pour l’édition de ce rapport. Nous adressons un remerciement tout spécial à Joëlle COUTAZ (responsable de l’équipe IIHM du laboratoire CLIPS de l’IMAG) pour nous avoir trouvé ce stage, nous avoir fourni une méthode de conception et pour l’intérêt qu’elle a porté à notre travail. 2
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 SOMMAIRE Introduction.................................................................5 I. Analyse du problème ..................................................9 1. Cahier des charges............................................................. 9 a) Objectifs généraux et critères de succès ................................................ 9 b) utilisateurs cibles.................................................................................. 10 c) Spécification technique de la plate-forme d’accueil ........................... 11 d) Requis non fonctionnels ...................................................................... 12 e) Tâches les plus importantes ................................................................. 12 f) Contraintes imposées par le cahier des charges .................................. 14 2. Outils utilisés................................................................... 14 a) présentation de WebExpert v3............................................................. 14 b) Présentation de javascript1.1 ............................................................... 15 II. Conception et réalisation ..........................................17 1. Objectifs généraux de conception ................................... 17 2. Structure du site............................................................... 18 a) Présentation de la racine du site........................................................... 18 b) Arborescence des répertoires............................................................... 19 3. Navigation au sein du site ............................................... 20 a) Navigation globale du site ................................................................... 21 b) Navigation parallèle............................................................................. 23 ª Les infos-pratiques et l’actualité :..................................................... 23 ª L’histoire :......................................................................................... 23 ª La visite :........................................................................................... 24 c) Navigation locale ................................................................................. 31 ª L’actualité de la station..................................................................... 32 4. Contenu et présentation des pages................................... 34 a) Contenu de la page d’accueil............................................................... 34 ª Aperçu de la page d'accueil .............................................................. 36 b) Contenu de la partie visite ................................................................... 37 ª Aperçu de la partie visite .................................................................. 37 c) Contenu de la partie histoire ................................................................ 38 ª Aperçu de la partie histoire............................................................... 38 III. Déroulement de l’étape de conception ...................39 1. Etape de conception pour la partie visite......................... 39 a) Première approche ............................................................................... 39 3
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 b) Seconde approche ................................................................................ 40 c) Vers une solution ................................................................................. 40 2. Etape de conception pour la page d’accueil .................... 41 a) Première approche ............................................................................... 41 b) Seconde approche ................................................................................ 42 c) Troisième approche.............................................................................. 43 d) Vers une solution ................................................................................. 43 Conclusion ................................................................44 Bibliographie ............................................................47 Annexes ....................................................................48 Â Code de la colonne de navigation : .................................................... 49 Â Code de la page d’accueil : ................................................................ 56 4
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 INTRODUCTION A la fin du 19ème siècle, le professeur Lachmann, alors titulaire de la chaire de botanique à la faculté des sciences de Grenoble, créa le jardin du Lautaret, situé à 2050 mètres d’altitude sur un site de 2000 m2 célèbre pour sa richesse florale, après avoir été à l’origine de celui de Chamrousse (1892) et de Villar d’Arène (1895). Le jardin du Lautaret ouvre en 1899. Il abrite une collection systématique de 500 espèces des Alpes occidentales et des « rocailles », constituées de rochers rapportés de diverses zones alpines comme les Pyrénées ou l’Himalaya. C’est à cette époque que les échanges de graines commencent. Le professeur Lachmann meurt en 1908 et son successeur à la chaire de botanique à la faculté des sciences de Grenoble, le professeur Mirande, poursuivra son œuvre en enrichissant le jardin qui contient plus de 1500 espèces en 1913. Cependant, tout est remis en cause fin 1913, en effet l’administration des ponts et chaussées, désirant améliorer la liaison Lautaret Galibier, décide de faire passer une route en plein milieu du jardin. Pour sauver les collections, le professeur Mirande n’a d’autres choix que de déplacer le jardin mais l’Université n’a pas les moyens pour entreprendre une telle opération. C’est alors qu’intervient Léon Auscher, l’un des responsables du Touring Club de France et admirateur du jardin, qui va obtenir une aide de 30000 francs pour son déplacement sur le site actuel situé à 2100 mètres d’altitude sur une surface de 20000 m2 offrant un panorama unique sur le Briançonnais, le Grand Galibier, le Combeynot et sur les glaciers de la Meije. L’architecte paysagiste Ginet s’occupe des plans du nouveau jardin. De 1914 à 1919, malgré la guerre, le projet prend forme, et le 5 août 1919 c’est son inauguration officielle. Le nouveau jardin comporte dans sa partie supérieure, un chalet entièrement construit en pierre. Dans la grande salle qui constitue le rez-de- chaussée est installé, pour la distraction et l’instruction du touriste, un musée ethnographique, œuvre de Henri Müller, qui représente, à l’aide de meubles et d’objets d’art anciens et régionaux, la reconstitution d’un intérieur haut-alpin. Le reste du chalet est consacré à la science, et en particulier aux recherches biologiques. 5
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 le jardin en 1920 La maintenance de ce vaste jardin et des locaux à 2100 mètres d’altitude demande des moyens dont ne dispose pas le Chef de Culture, M. Prével. En 1942 « … le chalet devient peu à peu inhabitable…les rocailles se dégradent », M. Prével envisage de réduire le jardin des deux tiers et de le fermer au public pendant 3 ou 4 ans. Quelques années plus tard, en 1944, lors des combats de la libération, il sera fusillé avec plusieurs dizaines de personnes. Après ces événements tragiques, la reconstitution des rocailles et la remise en état des installations vont s’effectuer lentement, sous la direction de Madame Kofler, professeur de physiologie végétale, puis de Monsieur Ozenda, professeur de biologie végétale à l’Université Joseph Fourier de Grenoble (UJF). Un chef de culture, Monsieur Ruffier-Lanche, excellent botaniste, enrichit les collections, qui compteront plus de 5000 espèces du monde entier, alors que ce nombre s’était réduit à 200 en 1950. Cependant, bien qu’à cette époque les responsables du jardin soient encore handicapés par le manque de personnels et de moyens, leur motivation était toujours aussi présente. Alors progressivement une équipe va se constituer au sein de l’Unité de Formation et de Recherche de biologie (UFR de biologie) de l’Université Joseph Fourier qui nomme en 1981 un directeur (M. G. Cadel) et un responsable horticole (M. J. Lestani). Par ailleurs en 1985 un exposé, présenté par M. R.Bligny, suscite un regain d’intérêt des scientifiques pour l’étude des plantes de montagne. 6
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Très vite le projet d’installer un laboratoire au Lautaret voit le jour et reçoit un accueil encourageant du Conseil Général des Hautes Alpes et de l’Université Joseph Fourier. Le Chalet-laboratoire est inauguré en 1989 et M. Bligny (Directeur de Recherches au CNRS) en est nommé Directeur : La Station Alpine du Lautaret est née. Ce chalet est un laboratoire d’altitude unique en Europe. Il est doté d’équipements permettant d’étudier l’écologie et la physiologie des plantes alpines, natives du Lautaret ou cultivées au Jardin Alpin. Le chalet laboratoire accueille des étudiants et des chercheurs français et étrangers. Les résultats obtenus sont publiés dans des journaux scientifiques internationaux. Au jardin Alpin du Lautaret sont cultivées plus de 2000 espèces de plantes des montagnes de diverses régions du monde. Elles sont présentées de façon pédagogique en fonction de leur origine géographique et de leur écologie. Le Jardin Alpin contribue à la conservation de cette biodiversité par la multiplication de plantes en danger d’extinction. Le Jardin Alpin assure également une mission de formation d’étudiants en horticulture et en botanique. Le jardin Alpin est géré par l’Université Joseph Fourier mais aussi par l’Association des Amis du Jardin Alpin du Lautaret (AJAL) qui assure un soutien financier supplémentaire par leurs subventions et la perception de droits d’entrée. En 1998 le jardin commence enfin a être reconnu en obtenant le label des «Jardins Botaniques de France et des Pays Francophones ». Cependant une telle distinction n’est pas connue du public et malgré tous ces efforts pour faire perdurer le site du Lautaret et améliorer la richesse esthétique et botanique du jardin, sa notoriété reste encore trop locale et n’est donc pas à la mesure du travail fourni. C’est pour palier à ces problèmes que l’équipe de la Station a trouvé intéressante l’idée de créer son propre site Internet, l’année même où l’on fête le centenaire du jardin. C’est aussi un moyen moderne et économique d’en faire la promotion. 7
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Notre travail a donc consisté à étudier en détail les besoins de la Station Alpine puis à mettre en place le site. Nous débuterons donc notre étude par la rédaction du cahier des charges où sont rassemblés : les différentes attentes des commanditaires et leurs critères de succès, l’identification des utilisateurs cibles, les spécifications techniques des machines des utilisateurs, les impératifs du site n’ajoutant pas de fonctionnalités supplémentaires, et enfin la définition des tâches les plus importantes. Ensuite nous présenterons les outils utilisés au cours du stage c’est à dire WebExpert v3 et Javascript 1.1. Dans un deuxième temps, nous présenterons l’aboutissement de notre conception en définissant les objectifs généraux de conception, et en présentant la structure du site, sa navigation interne, le contenu des pages, et leur aspect. C’est en quelque sorte la définition du produit que nous avions prévu de mettre en place. Enfin nous présenterons le déroulement, étape par étape, de la conception du site, issu des nombreuses réunions avec l’équipe du Lautaret. 8
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 I. Analyse du problème Avant de se lancer dans la génération de pages il était primordial de savoir quels étaient les buts d’un tel site. Il s’agissait donc de débuter le stage par l’étude des attentes des commanditaires puis par l’identification des futurs utilisateurs et de leurs préférences. 1. Cahier des charges Le cahier des charges a pour but de préciser de manière formelle l’orientation de notre projet et d’en fixer les priorités de manière à planifier et concevoir sa réalisation. Nous commencerons par présenter les objectifs d’un tel projet, puis nous identifierons les utilisateurs visés et leur type de machine. Enfin nous présenterons les qualificatifs souhaités du site (requis non fonctionnels), les tâches les plus importantes à effectuer lors d’une visite et nous définirons les contraintes que nous impose ce cahier des charges. a) Objectifs généraux et critères de succès • Les motivations des commanditaires sont : → de diffuser la connaissance c’est à dire de fournir des supports aux personnes voulant faire de l’initiation à la botanique ou à l’horticulture (but pédagogique). → de présenter les chercheurs grenoblois en tant qu’acteurs importants en matière de biologie alpine (but de notoriété). → d’augmenter le nombre de visiteurs pour l’initiation à la visite du jardin (but financier) et à l’horticulture. → d’établir de nouveaux contacts : avec des collectionneurs ou des botanistes susceptibles d’échanger des graines, avec des chercheurs (ou des personnes travaillant sur les mêmes sujets), avec des étudiants intéressés par un stage au sein de l’équipe, et enfin d’augmenter le nombre d’adhésions à l’AJAL (les Amis du Jardin Alpin du Lautaret) (but de communication). 9
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 → d’améliorer l’image de marque que les responsables politiques (locaux et nationaux) et les décideurs scientifiques (CNRS, Ministère, etc.) ont de la station (but de promotion). • Les bénéfices attendus : - augmenter : → la fréquentation du jardin d’au moins 10 %. → le nombre de partenaires pour les échanges de graines d’environ une centaine. → les crédits octroyés à la Station. - Susciter de nouvelles demandes de stages supplémentaires notamment de la part des étrangers. - doubler : → le nombre d’adhésions à l’AJAL (s’élevant actuellement à environ 150 membres). • Définition des priorités : Le but premier est d’accroître la fréquentation du jardin afin de conforter les finances du jardin pour d’éventuels nouveaux développements (salle d’accueil, personnel supplémentaire, budget de communication, etc.). La seconde priorité est d’établir de nouveaux contacts afin d’améliorer la qualité du jardin (diversité des plantes) et augmenter les échanges de connaissances entre équipes de recherche. Ensuite un objectif de notoriété pour promouvoir les chercheurs grenoblois sur le plan local, national et international. Enfin vient l’aspect pédagogique pour faire naître chez les plus jeunes l’envie de mieux connaître la nature (but à plus long terme). b) utilisateurs cibles • Les visiteurs potentiels (le grand public) qu’il faut inciter à venir sur le terrain pour visiter le jardin : ils doivent donc trouver dans le site un échantillon de la beauté du jardin leur laissant entrevoir la richesse des lieux, savoir facilement quand et comment accéder au jardin et en 10
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 connaître son actualité, notamment les activités prévues exceptionnellement à l’occasion du centenaire. • Les chercheurs, intéressés par l’actualité scientifique du laboratoire, c’est à dire les thèmes de recherche, les futurs colloques, les projets, les publications de l’équipe travaillant au Lautaret. Aussi ils doivent pouvoir contacter facilement le personnel du laboratoire (mise en place de collaborations). • Les stagiaires potentiels doivent pouvoir disposer d’un moyen d’information sur les divers stages possibles en horticulture, en botanique et en recherche, et de contacter les personnes chargées de les animer. • Les collectionneurs qu’il faut rapidement aiguiller vers les informations qui les intéressent c’est à dire l’index-seminum (liste de graines disponibles) et les personnes qu’ils doivent contacter pour effectuer des échanges. • Les institutionnels de la botanique (Jardins Botaniques, Conservatoires) qui, comme les collectionneurs, sont intéressés par des échanges de graines, doivent facilement trouver l’index-seminum et les coordonnées des personnes à contacter. • Les enseignants qui trouveront matière à illustration pour leurs cours, et les coordonnées des personnes à contacter pour organiser une visite avec leurs élèves. • Les non-francophones doivent pouvoir trouver une version du site (miroir) ou un résumé dans une langue qui leur est familière. c) Spécification technique de la plate-forme d’accueil Il s’agit là de définir l’équipement minimum requis pour visiter le site. Les seules obligations pour visiter le site de la Station Alpine du Lautaret sont : • d’avoir un navigateur Internet supportant les cadres (frames) et étant capable d’interpréter le javascript1.1 (minimum Netscape 3.0 ou Internet explorer 3.0). 11
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 • d’avoir une définition d’affichage supérieure ou égale à 800/600 pixels. d) Requis non fonctionnels • Attrayant : le site doit se présenter comme une vitrine du jardin, de l’UFR de biologie et de l’Université Joseph Fourier. Il doit donc livrer une image agréable du Lautaret auprès du grand public comme des chercheurs étrangers et des responsables politiques. • Incitatif : Il faut donner envie de visiter le jardin en présentant de belles photographies de paysages et de plantes. • Non-exhaustif : en effet il ne faut surtout pas que l’utilisateur puisse se satisfaire d’une visite uniquement virtuelle. • Innovant : le site de la Station Alpine du Lautaret doit être original pour se démarquer des autres sites Internet présentant des jardins botaniques. • Facile à utiliser : l’interface doit être intuitive et synthétique pour permettre au « grand public » de naviguer facilement au sein du site. • Evolutif : On doit facilement pouvoir réactualiser les pages du site de la Station Alpine du Lautaret sans changer sa structure. e) Tâches les plus importantes • Savoir ce qu’il faut connaître du jardin : - visualiser de belles photographies des plantes et des paysages du Lautaret. - découvrir l’organisation du jardin (rocailles thématiques). • Découvrir l’histoire de la station : - connaître l’historique du jardin c’est à dire les faits marquants de sa naissance à aujourd’hui (en effet son histoire est encore méconnue du public car beaucoup de données sont introuvables comme les anciens textes et les anciennes photographies). 12
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 - savoir depuis quand et pourquoi un laboratoire unique en Europe s’est implanté au Lautaret. • Connaître la situation géographique du jardin, (de la station) : - Disposer d’un petit plan permettant d’accéder à la station (accompagné des horaires d’ouverture et des tarifs du jardin). • Connaître les faits marquants de la station : - les activités proposées à l’occasion du centenaire du jardin. - les thèmes évoqués lors du prochain colloque (septembre 2000) et comment y participer. - Connaître les diverses apparitions du jardin ou du laboratoire à la télévision et dans la presse. • Connaître les thèmes de recherche du laboratoire : - Etre informé des publications du personnel du chalet-laboratoire, et leurs collaborations. - être mis en contact avec les personnes adéquates. • Pouvoir trouver l’interlocuteur ad’hoc : - Dans le cadre d’un stage : le responsable du domaine qui intéresse l’utilisateur. - pour faire des échanges de graines : à c’est à dire accéder facilement à l’index seminum afin de savoir quelles plantes (et graines) sont proposées à l’échange. à et de pouvoir transmettre un petit formulaire permettant de demander des échanges. - pour partager ses résultats avec les chercheurs du laboratoire du Lautaret. • AJAL : information sur l’association et bulletin d’adhésion à celle-ci. 13
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 f) Contraintes imposées par le cahier des charges Etant donné les caractéristiques des différents utilisateurs, certaines contraintes nous sont imposées par le cahier des charges. En effet il est impératif que les pages du site soient interprétables par un maximum de navigateurs Internet dans la mesure où il est destiné au grand public. De plus, même si les différentes pages du site doivent répondre à un même standard, le style de rédaction sera différent et variera en fonction des personnes qui seront susceptibles de les lire. Par exemple les pages concernant la recherche contiendront parfois des termes propres au « jargon » des chercheurs en biologie alpine alors que les pages présentant l’histoire du jardin auront un style plus simple qui sera compréhensible par tous. 2. Outils utilisés Au vu des nécessités de portabilité et de compatibilité avec un maximum de navigateurs Internet nous avons choisi de nous limiter à html version 3.2 et javascript 1.1 . Pour réaliser ce site on a mis à notre disposition un logiciel de conception de pages Internet : WebExpert v3 a) présentation de WebExpert v3 Même si ce logiciel peut facilement être considéré comme un logiciel de conception au même titre que ‘Frontpage’ ou ‘Netscape Composer’, WebExpert v3 ne présente pas du tout la même approche de la création de pages web. Ainsi, avec ce logiciel, le concepteur travaille sur le code HTML et non sur le rendu de ce dernier. WebExpert n’autorise pas la production du code d’une page à partir d’un dessin de cette page, en ce sens il ne génère pas de code HTML. Par contre les balises dont on a besoin peuvent être générées au coup par coup. 14
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 WebExpert est donc un éditeur de texte amélioré, pas un logiciel de conception à part entière. - Présentation de l’interface : Onglets de catégories de fonctions (html, java, javascript, dhtml, etc.) Actions sur une portion de code (justifier à gauche, etc.) Onglets correspondants aux fichiers sur lesquels on travaille. Raccourci permettant d’insérer des caractères spéciaux . Arborescence des liens et des fichiers sources utilisés dans la page Code source de la page . Navigateur interne permettant un aperçu au fur et a mesure . b) Présentation de javascript1.1 Le JavaScript est un langage orienté objet, utile pour le développement d'applications Internet. Les navigateurs Netscape 3.0 ou plus et Microsoft Internet Explorer 3.0 ou plus interprètent le JavaScript qui est transcrit directement dans les documents HTML. Dans une application client du navigateur, le JavaScript reconnaît et réagit aux demandes de l'utilisateur (événements), tel qu'un clic sur le bouton de la souris, le passage de la souris au-dessus d'un lien, etc... 15
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Par exemple, le JavaScript peut s'avérer utile pour valider certaines informations entrées dans un formulaire, tel qu'un numéro de téléphone ou une adresse électronique. La page HTML possédant la fonction Javascript appropriée va interpréter le texte rentré par l'utilisateur et l'avertir, en affichant un message d'erreur, si les informations entrées sont invalides. Ecriture d'une fonction JavaScript : La conception d'une fonction JavaScript nécessite une certaine connaissance de ce langage de programmation, il existe une syntaxe standard pour insérer du code JavaScript dans un document HTML. Cette insertion nécessite deux implantations : - La déclaration des fonctions en utilisant la balise : ... qui spécifie le commencement et la fin des déclarations de fonction SCRIPT. L'attribut LANGUAGE est obligatoire à moins que l'attribut SRC soit présent. Il spécifie le type de langage du script. (Actuellement, il y a deux types de langage, le JavaScript et le VBScript). ... L'attribut SRC est optionnel et indique l'URL (l’adresse web relative au fichier HTML courant) où est situé le code (script). - Comme événement en utilisant la commande HTML appropriée : Dans ce cas il faut insérer le code à l'intérieur d'une commande HTML, comme un attribut. L'événement fera appel à une fonction JavaScript lorsque la commande HTML est activée. La syntaxe habituelle est la suivante: Exemple: 16
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 II. Conception et réalisation 1. Objectifs généraux de conception • L’utilisateur doit pouvoir se repérer à tout moment sur le site. • Le site doit être adapté à la langue de l’utilisateur, il faut donc faire des pages en : Anglais car c’est la langue internationale. Espagnol car la station projette de mettre en place des liens avec l’Amérique du Sud, dont les plantes sont encore peu représentées au jardin. Allemand car c’est la langue de nombreux pays de l’arc Alpin (Allemagne, Autriche, Suisse, Italie du nord). Italien car l’Italie se situe proche du Lautaret (50 Km) et compte- tenu de la création prochaine d’une Université Franco-Italienne à Grenoble. • La page d’accueil doit être accessible de toutes les pages du site. • La navigation doit être standardisée au sein du site (par exemple un menu récurrent). • L’utilisateur doit à tout moment savoir où il en est de sa visite du jardin. • L’utilisateur doit pouvoir accéder directement aux pages concernant les événements phares, notamment le programme du centenaire du jardin. • Le site doit être évolutif pour que les informaticiens qui seront chargés de sa mise à jour puissent facilement faire des modifications. 17
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 2. Structure du site La structure « physique » du site c’est à dire l’arborescence des répertoires doit être choisie en fonction des nécessités définies lors de l’étape d’analyse. En effet le site devant être évolutif, il faut donc pouvoir facilement situer une page en fonction de son contenu. Pour cela, nous avons choisi de placer les pages dans des répertoires, chacun d’eux représentant un fragment du site. Chaque partie du site est en fait une page logique, c’est à dire un groupement de pages traitant du même thème. Les différentes parties du site sont définies en fonction des liens présents à la racine : a) Présentation de la racine du site histoire accueil recherche infos-pratiques environnement visite actualités contacts : page logique : lien logique D’après ce schéma, le site comporte 7 grandes parties : histoire, infos- pratiques, visite, actualités, contacts, environnement et recherche. 18
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 b) Arborescence des répertoires L’arborescence des répertoires est en fait la retranscription directe de nos choix de conception ¾ Les grandes parties Nous en déduisons donc que la racine du site présente un dossier pour chaque grande partie. D’où l’arborescence ci-contre : ¾ Les images On peut noter qu’un répertoire Images est présent à la racine du site. Ce dossier nous permet de classer les images utilisées par la page d’accueil (photos, logos…). Nous avons opté pour une généralisation de cette structure pour qu’à tout endroit du site un tel répertoire soit présent. Ainsi toute image d’une page est placée dans le chemin relatif à la page courante : « Images/nom_image.jpg » De ce fait la structure est la suivante : chaque répertoire à son propre sous-répertoire « Images ». 19
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 ¾ Cas particulier : la visite Pour la partie concernant la visite c’est un peu différent car elle comporte une beaucoup plus grande quantité d’images que de pages HTML. Les images de la visite sont classées en plusieurs catégories : - Zones géographiques (provenance des plantes) - Monuments et infrastructures - Points de vues généraux Nous avons donc choisi de construire l’arbre de la visite de la manière décrite ci-contre, c’est à dire un dossier pour les points de vues, un dossier pour chaque zone géographique ou de construction, et un dossier « Images » pour les images utilisées dans toutes les pages de la visite (images utilisées pour la navigation au sein de cette partie). Une fois la structure définie, il faut s’intéresser à la manière de se déplacer à l’intérieur du site. En effet la conception de la navigation est très importante car elle détermine la facilité d’utilisation du site. 3. Navigation au sein du site La navigation au sein du site est en fait très variable et n’est pas traitée de la même manière selon la partie du site que l’on est en train de visiter. 20
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 En effet, les diverses branches de l’arborescence ne sont pas destinées aux mêmes utilisateurs (par exemple la visite est prévue pour le grand public alors que l’index seminum s’adresse uniquement à des spécialistes). De ce fait, on peut distinguer trois niveaux de navigation dont le premier est la navigation globale qui permet à l’utilisateur de changer de section principale du site (branches émanant de la racine) et qui est commune à toutes pages d’une section du site. Le second est la navigation parallèle : elle sert à naviguer entre les sous-sections d’une section (par exemple la navigation au sein de la visite du jardin). Enfin vient la navigation locale pour se déplacer à l’intérieur d’une page. a) Navigation globale du site ¾ Conception : Pour pouvoir aisément changer de partie, lors de l’exploration du site, nous avons mis en place un menu général récurrent qui est présent dans toutes les pages du site (sauf la page d'accueil) sous la forme d’un cadre en haut de la page : info-pratiques menu général environnement histoire actualités visite recherche contacts : cadre présent sur chaque page P : page par défaut de la partie P : lien hypertexte 21
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 On retrouvera donc dans le menu les 7 liens principaux ainsi qu’un retour à l’accueil. Pour pouvoir se repérer (pour savoir dans quelle section on se trouve) le lien correspondant à la partie que l’on visite sera clignotant. De plus l’apparence de ce menu devra rappeler la racine du site : c’est pourquoi nous avons choisi de lui appliquer le même fond que celui de la page d’accueil. Voilà donc l’aspect du menu : ¾ réalisation : Les conséquences de telles spécifications sont importantes au niveau de la programmation. En effet chaque grande partie du site devra avoir son propre menu (c’est à dire son propre fichier menu.html) pour permettre le clignotement du lien lui correspondant. Le clignotement d’une portion de texte se fait en plaçant cette portion de texte entre les balises et . Pour faire un lien hypertexte on place le texte (ou l’image) qui va servir de lien entre les balises et Donc le code d’un lien clignotant du menu sera par exemple : visite Le mode « _top » permet d’afficher la nouvelle page en détruisant tous les cadres présents. De plus toutes les pages du site doivent être définies par un fichier HTML mettant en place les cadres de la page. Pour cela, on remplace le corps du fichier (partie du fichier HTML définie par les balises et ) par la définition des cadres : 22
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Les cadres sont configurés selon le sens dans lequel il partage la page : ROWS=« 30,* « » signifie que la page est partagée à l’horizontale, que la partie du haut a une taille de 30 pixels et le second cadre occupe le reste de la page (on peut aussi spécifier la taille en pourcentage de la page). Ensuite il faut affecter à chaque cadre un nom permettant de l’identifier comme NAME=« menu » et un fichier HTML qui sera le contenu du cadre : SRC=« menu.html » . b) Navigation parallèle La navigation globale a permis de dégager 7 sections. Nous allons donc décrire les relations internes entre les différentes pages d’une partie. Contacts, recherche et environnement ne sont pas encore définis du fait que nous n’avons pas encore suffisamment d’informations quant à la nature de leurs contenus. ª Les infos-pratiques et l’actualité : Les infos-pratiques et l’actualité ne représentent qu’une seule page, il n’y a donc pas de navigation parallèle pour ces parties. ª L’histoire : ¾ Conception : Pour la partie histoire on dispose de six documents distincts ; il y aura donc six liens vers ces documents : historique du menu de notice jardin l’histoire biographique discours texte de Mirmande Gignoux histoire du Labels laboratoire 23
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 ¾ Réalisation : Pour réaliser le menu de la partie histoire on procède de la même manière que pour le menu général, c’est à dire que l’on définit un cadre supplémentaire permettant la navigation entre ces documents. Ce menu s’ajoute à la page de définition des cadres pour cette partie. Il suffit pour cela, d’imbriquer les blocks FRAMESET pour partager le cadre qui nous intéresse : ª La visite : La navigation de la visite est la partie de notre travail la plus complexe. C’est la partie qui nous a pris le plus de temps tant en prototypage qu’en recherche d’informations sur la programmation en javascript. ¾ Conception : En effet dans un souci de réalisme nous voulions permettre aux internautes d’être libre de visiter le jardin comme bon leur semble. C’est à dire de pouvoir suivre la visite guidée à l’instar de ce qui se passe réellement ou encore d’accéder directement à n’importe quelle page de la visite selon deux méthodes : • L’une plutôt ludique consistant à cliquer sur une zone d’une petite carte du jardin pour la visiter. • L’autre plus systématique permettant de choisir une étape de la visite guidée dans un menu déroulant. 24
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 On en déduit le graphe de navigation suivant : Carte du jardin ou Page 1 menu déroulant Page n … … Page i-1 Page i Page i+1 Précédent Suivant i est le numéro de la page courante et n celui de la dernière. : moyen de navigation interne aux pages de la visite : page de la visite : lien Remarque : la visite du jardin peut se faire de façon cyclique, il faut donc fixer dans la visite la page n comme la précédente de la page 1, et la page 1 comme la suivante de la page n. Ce graphe présente la particularité d’être symétrique et transitif, ceci montre bien que de l’une de ces pages on puisse aller directement à n’importe quelle autre page de la visite. 25
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 La colonne de navigation (ci-contre) présente la carte du jardin qui est l’image cliquable, le menu déroulant permettant de choisir une étape de la visite et les flèches précédent et suivant qui serve à suivre la visite guidée. On voit aussi une petite planisphère où figurent des points de couleurs qui n’est pas un moyen de navigation mais qui figure ici dans un but informatif, les couleurs des points rappellent celles des zones de la carte et permettent donc de connaître les origines géographiques des plantes de ces rocailles. Cependant cette image est provisoire car trop peu explicite, à terme elle deviendra dynamique et ne présentera que l’origine de la zone que l’on visite. ¾ Réalisation : Â Structure de donnée utilisée : Pour effectuer ces trois modes de visite nous avons choisi d’utiliser un tableau d’URL et une variable entière position, qui nous permettra de nous situer dans la visite. - tableau d’URL : il faut donc définir celui-ci grâce à la fonction javascript CreerArray() : function CreerArray() { this.length = CreerArray.arguments.length; for (var i = 0; i < this.length; i++) this[i+1] = CreerArray.arguments[i]; } Cette fonction va donc placer dans le tableau toutes les URL dont on a besoin pour la visite, et ce dans l’ordre normal de visite tel qu’il est proposé au jardin. 26
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Le premier élément du tableau étant la page par défaut explicitant les différentes façons de naviguer au sein de la visite. Le tableau doit être valable pour toutes les méthodes de navigation et surtout dès que la colonne de navigation est visible de l’utilisateur, c’est pour cela que sa déclaration doit être incluse dès le chargement du fichier dans la balise pour cela on utilise l’événement javascript onLoad qui permet d’appeler la fonction de création du tableau au chargement du fichier colonne.html (c’est le fichier source de la colonne de navigation au sein de la visite ). De plus il faut impérativement tester la version du navigateur grâce à la fonction : VersionNavigateur() pour savoir si le javascript est supporté, dans le cas contraire on enverra l’internaute vers une version de la visite sans javascript (voir extension du site). - variable position : La variable position est un entier destiné à repérer la position de l’utilisateur dans la visite par exemple : si position vaut ‘ i ’ alors on est à la ième étape de la visite. Â Programmation de la navigation : 27
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 - Le menu déroulant d’URL : Le menu déroulant d’URL est une fonctionnalité indirecte du langage HTML, en effet c’est un formulaire auquel on a ajouté des fonctionnalités javascript il se déclare de la manière suivante : -Zones- Etats unis Cairn de Scott ……………… point de vue(4) Alpes chaque entité utilisée ici, c’est à dire un formulaire( ) et un menu déroulant ( ), à un nom permettant de l’identifier dans des fonctions javascript. Le contenu des balises du menu déroulant est une liste d’options (une liste de destination possible) : Japon l’attribut value est la valeur de l’option, donc dans notre cas l’URL du fichier correspondant à l’étape en question. Le texte à droite de la balise option est le texte qui sera affiché dans le menu. A chaque fois que l’utilisateur changera la sélection dans ce menu (événement onChange), on mettra à jour la variable position et on changera le fichier associé au corps du document (changement d’étape dans la visite). Le code javascript pour effectuer une telle opération est le suivant : onChange= "if (form.liste1.selectedIndex != 0) {parent.corps.location = form.liste1.options[form.liste1.selectedIndex].value; position=form.liste1.selectedIndex;} else alert('Veuillez faire un choix au menu.')"> 28
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Dans le cas où l’internaute clique sur le texte par défaut (-zones-) on affichera une boite de messages lui demandant de faire un choix : - la visite guidée (navigation grâce aux flèches précédente et suivante) : Lorsque l’internaute va cliquer sur une flèche pour changer d’étape de la visite le fichier associé au corps de la page va changer, il faut donc incrémenter (respectivement decrémenter) la position courante dans le tableau par la fonction incremente (respectivement decremente) : incremente(index_fichier_courant) (respectivement decremente(index_fichier_courant)). Pour incrémenter : Il faut que cette fonction teste si le fichier courant est le dernier élément du tableau et dans ce cas le fichier à afficher sera associé à la seconde URL du tableau (variable position mise à 1). function incremente(les_liens) { if (position
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 function decremente(les_liens) { if (position>1) position--; else position=les_liens.length-1; } Il faut ensuite changer le fichier du cadre correspondant au corps du document (le nom du cadre a été défini dans le FRAMESET et son nom est « corps ») en affectant au cadre l’URL désirée par l’appel suivant : parent.corps.location=liens[position+1] L’appel de ces fonctions se fera à l’intérieur de la balise par l’événement « onclick », qui signifie que si l’on clic sur le lien (ici une image), la page suivante (ou précédente) va être affichée dans le corps du document. - La carte cliquable (image MAP) : Lorsque l’internaute va utiliser la carte pour naviguer, il va cliquer sur une zone de l’image. Au moment de son clique on devra donc mettre à jour l’élément sélectionné dans le menu déroulant d’URL et la variable position : onclick="zones.liste1.selectedIndex=13;position=13" Une image MAP se code comme suit : Aussi il faut définir les zones cliquables, pour cela il faut insérer les déclarations de zones entre les balises et . 30
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Il y a trois possibilités de formes : - zone polygonale : dans ce cas les coordonnées (attribut : coords) sont définies par : "x1, y1, x2 ,y2, …. , x(n-1), y(n-1), x(n), y(n)" ou x et y sont les coordonnées en pixels des points du polygone. l’attribut href défini le fichier cible et target le cadre visé - zone circulaire : Pour ce type de zone, le cercle est défini par trois entiers : les deux premiers sont les coordonnées en pixels du centre et le troisième est le rayon (en pixels) - zone rectangulaire : Dans ce cas (que nous n’avons pas utilisé) l’attribut coords représente les coordonnées du coin haut gauche et du coin bas droit du rectangle. c) Navigation locale La navigation locale concerne trois pages de notre site : historique.html (qui présente l’historique du jardin), actualite.html (qui présente les actualités de la station) et les pages provisoires de résumé en version étrangère. Il s’agit de textes longs, nécessitant la mise en place d’un sommaire pour favoriser la navigation au sein de ces pages. 31
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 ª L’actualité de la station ¾ Conception La page d’actualité est composé de trois sous-parties donc il y aura trois liens dans le sommaire de cette page. sommaire de l’actualité Actualité Colloque médiatique 2000 Centenaire du jardin : parties de la page actualite.html : sommaire accessible de toute la page ¾ Réalisation L’utilisation d’un sommaire nécessite la création d’un fichier de cadres supplémentaires définissant deux cadres, l’un pour le menu et l’autre pour le corps du document. Il est nécessaire de définir des marqueurs internes dans le fichier actualite.html par l’intermédiaire de la balise avec l’attribut name. Par exemple : L’implémentation des liens dans le sommaire se fera alors pour cet exemple : ª L’historique du jardin ¾ Conception 32
IUT2 Grenoble – Département Informatique Deuxième année – Juin 1999 Le sommaire de l'historique va présenter les différentes parties de ce texte (premier jardin, transfert, période sombre, le jardin actuel) et un retour au début de la page. Retour en le haut de sommaire de jardin page l'historique actuel premier transfert période jardin sombre : parties de la page actualite.html : sommaire accessible de toute la page La programmation de la page historique du jardin est similaire à celle de la partie actualité avec l'utilisation d'un nouveau cadre et de l'attribut name de la balise . ª Les versions étrangères provisoires ¾ Conception Le sommaire des versions étrangères présente les différentes parties du résumé (le jardin botanique, le laboratoire, les collaborations et les personnes de la station à contacter) et un retour en haut de la page. Quelle que soit la langue, le texte a la même structure. En effet, pour chaque version étrangère, il s'agit d'une traduction d'un résumé en français. retour en sommaire de chaque version les contacts haut de la page étrangère le jardin le les collaborations botanique laboratoire : parties de la page actualite.html : sommaire accessible de toute la page 33
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