BUT A STORM IS BLOWING FROM PARADISE (Una Tempesta dal Paradiso) OUVRE LE 11 AVRIL A LA GALLERIA D'ARTE MODERNA

 
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BUT A STORM IS BLOWING FROM PARADISE (Una Tempesta dal Paradiso) OUVRE LE 11 AVRIL A LA GALLERIA D'ARTE MODERNA
BUT A STORM IS BLOWING FROM PARADISE (Una Tempesta dal
Paradiso) OUVRE LE 11 AVRIL A LA GALLERIA D’ARTE MODERNA
DE MILAN
Cette exposition d’art contemporain du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord constitue la
huitième et dernière étape de la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative
LIEU : Galleria d’Arte Moderna di Milano (GAM)
ADRESSE : Villa Reale, Via Palestro 16, 20121 Milan, Italie
DATES : 11 avril — 17 juin 2018

(MILAN ET NEW YORK, le 9 avril 2018) — Du 11 avril au 17 juin 2018, la Galleria d’Arte Moderna (GAM) de
Milan, le Solomon R. Guggenheim Museum de New York et UBS présentent But a Storm Is Blowing from
Paradise : Contemporary Art of the Middle East and North Africa (Una Tempesta dal Paradiso: Arte
Contemporanea del Medio Oriente e Nord Africa) à Milan. Cette exposition est la dernière de la Guggenheim
UBS MAP Global Art Initiative, collaboration historique entre le Guggenheim et UBS. En matière de recherche
internationale, de constitution de collection et de présentation, il s’agit du projet le plus ambitieux jamais entrepris
par le musée. Unique en son genre, le programme MAP est résolument tourné vers les artistes. Il a vu le jour en
2012 et souligne l’engagement commun pris par le Guggenheim et UBS en faveur de la création contemporaine
et de l’éducation artistique par le biais de huit expositions internationales, de plus de 125 acquisitions, d’une
bourse d’études pour la formation de commissaires d’exposition dans trois grandes régions du monde, et de
nombreuses activités ouvertes au public.

L’exposition est organisée par Sara Raza, commissaire UBS MAP du Guggenheim pour le Moyen-Orient et
l’Afrique du Nord, en collaboration avec Paola Zatti, commissaire en chef de la Galleria d’Arte Moderna, et
Omar Cucciniello, commissaire de la Galleria d’Arte Moderna. Les artistes aux expressions très diverses qui y
participent sont issus d’une région en constante évolution ou de sa diaspora présente dans le monde entier et
expriment interrogations et critiques. Les œuvres de treize artistes explorent des thèmes qui s’entrecroisent — la
migration, les déplacements de populations, l’architecture, la géométrie et l’histoire — à l’aide de nombreux
supports : travail du papier, installation, photographie, sculpture, vidéo. But a Storm Is Blowing from Paradise a été
exposée pour la première fois au Guggenheim Museum en avril 2016.

« Cette exposition présente des idées complexes et des stratégies artistiques sans compromis, qui nourrissent la
réflexion sur une région du monde dont le rôle est crucial à l’époque actuelle », déclare Richard Armstrong,
directeur du Solomon R. Guggenheim Museum and Foundation. « Cette présentation à Milan, véritable point
d’orgue, célèbre l’extraordinaire influence d’un groupe d’artistes dont les œuvres et les idées ont contribué à
façonner l’art contemporain. Nous espérons que l’impact des œuvres elles-mêmes, les relations nouées grâce au
projet MAP et les idées exposées lors des multiples présentations continueront à résonner grâce à la portée
inégalée dont jouit MAP. Nous remercions UBS, notre collaborateur visionnaire, ainsi que nos collègues qui
travaillent au sein d’institutions partenaires dans le monde entier, parmi lesquels nos amis de la GAM. Grâce à
notre travail sur le terrain impliquant artistes, professionnels de l’art et public, nous pouvons raconter une histoire
de l’art moderne plus large et représenter l’art de notre époque plus fidèlement. »

« Le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord sont au cœur d’un changement mondial de grande envergure. Ils font
face à certains des problèmes les plus épineux de notre époque », affirme Fabio Innocenzi, responsable de l’Italie
chez UBS. « Nous sommes fiers de pouvoir participer à la présentation de cette exposition à la Galleria d’Arte
Moderna. Nous permettons ainsi à notre clientèle, à nos employés et au grand public de prendre part au débat
culturel sur la société et les grands problèmes actuels par le biais de l’art contemporain. Nous soutenons depuis
longtemps les initiatives culturelles dans le monde en général, et en particulier en Italie depuis plusieurs années.
Grâce à l’art contemporain, nous continuons de confronter des idées, des sources d’inspiration et des opinions
afin d’enrichir nos vies. »

Présentation de l’exposition
But a Storm is Blowing from Paradise, qui regroupe seize œuvres de treize artistes, est exposée dans la salle du
rez-de-chaussée de la GAM. Le titre de l’exposition vient d’une œuvre de Rokni Haerizadeh, qui fait référence à
un passage d’un essai du philosophe allemand Walter Benjamin. Le travail d’Haerizadeh (2010) intitulé But a
Storm is Blowing from Paradise est une suite d’œuvres sur papier basées sur des images tirées de sources
d’information grand public, que l’artiste s’est appropriées. En superposant des photographies de rassemblements
collectifs avec du gesso, de l’encre et de l’aquarelle, il transforme les individus en êtres hybrides, mi- animaux mi-
humains, et dépeint de manière grotesque la vision de plus en plus sombre des événements actuels que
propagent les grands médias.

D’autres œuvres remettent implicitement en cause les représentations actuelles du Moyen-Orient et de l’Afrique
du Nord, comme Latent Images, Diary of a Photographer, 177 Days of Performances (2015) de Joana Hadjithomas
et Khalil Joreige. Cette installation comprend 354 livres disposés sur 177 étagères en métal, supposés contenir les
descriptions écrites de clichés pris par un photographe fictif, Abdallah Farah, pendant la guerre du Liban. Cette
œuvre illustre la limite ténue entre la fabrication de mythes et la réalité.

Parmi les œuvres qui abordent le sujet brûlant de la migration des personnes et des idées, on trouve celle de
Gülsün Karamustafa, Create Your Own Story with the Given Material (1997) dans laquelle l’artiste a assemblé
trente chemises d’enfant en coton blanc et les a cousues les unes aux autres avec du fil noir. Cette composition
est une réflexion sur la détresse des enfants migrants en Turquie, qui ne sont pas assurés d'entrer de manière
sécurisée dans le pays ni de bénéficier ensuite de la liberté de circulation.

Récits fictifs et histoire s’entrecroisent dans la vidéo de Lida Abdul intitulée In Transit (2008). Dans cette œuvre,
un groupe de garçons joue aux environs de Kaboul, dans la carcasse éventrée d’un avion de guerre soviétique. Ils
sont occupés à essayer de la réparer avec du coton et de la corde, acte futile, mais résolument optimiste.
Ensemble, ces enfants deviennent une allégorie de l’apparente impossibilité de reconstruire l’Afghanistan, mais
aussi de l’idée d’Abdul selon laquelle « tout est possible lorsque tout est perdu ».

Disarm 1–10 (2013) d’Ahmed Mater offre une vision hybride du passé et du présent. Dix caissons lumineux
contiennent des photographies prises par l’artiste depuis la cabine d’un hélicoptère militaire saoudien qui repère
des pèlerins sans autorisation aux abords de La Mecque. L’œuvre fait apparaitre un paysage urbain soumis à de
rapides changements structuraux et sociaux. Heritage Studies #10 (2015) d’Iman Issa est la maquette en cuivre
d’une colonne, accompagnée d’une légende disant « Colonne de la Grande colonnade de Samarra, capitale
récemment fondée ». Elle réinterprète l’objet historique à une échelle intime.
L’architecture s’avère être un élément clef dans la naissance du modernisme dans cette zone géographique et
elle joue un rôle prépondérant dans plusieurs œuvres. Ainsi, Untitled (Ghardaïa) (2009) de Kader Attia
représente une maquette en semoule de couscous du site de Ghardaïa, classé patrimoine mondial de l’humanité,
dont les bâtiments traditionnels ont influencé Le Corbusier, architecte moderniste. Building (2009) de Susan
Hefuna se compose de neuf dessins suggérant à la fois des schémas cartographiques et des esquisses d’éléments
architecturaux comme le moucharabieh, cette fenêtre ajourée traditionnelle. Enfin, Banque Bannister, 2010
d’Hassan Khan reproduit sous forme de sculpture la rampe extérieure de la banque Misr, première banque
égyptienne détenue par un Égyptien. Study for a Monument (2013–16) d’Abbas Akhavan est une série de moules
en bronze de plantes indigènes du système fluvial du Tigre et de l’Euphrate, disposés au sol sur des draps blancs.
L’artiste y propose des idées alternatives sur la culture et la diffusion de l’image des monuments publics. Dans sa
série Paysages Tremblants, 2014–16, Ali Cherri présente des cartes aériennes d’Alger, de Damas, d’Erbil, de
Makkah et de Téhéran, tachées d’encre. Il met l’accent sur des lignes de fracture ayant entraîné des catastrophes
sismiques et les juxtapose à des cas de troubles politiques et de constructions architecturales. Ergin Çavuşoğlu
invite les visiteurs à marcher sur un dessin anamorphosé tracé à même le sol dans son installation Dust Breeding
(2011), conçue sur-mesure pour l’exposition. L’œuvre s’inspire de la maquette d’une usine de ciment en Turquie.
Les mouvements des visiteurs sont capturés par un moniteur placé à côté, grâce auquel ils semblent se tenir dans
une sculpture tridimensionnelle.

Artistes représentés dans l’exposition
    • Lida Abdul (née en 1973 à Kaboul ; vit et travaille à Los Angeles et à Kaboul)
    • Abbas Akhavan (né en 1977 à Téhéran ; vit et travaille à Toronto)
    • Kader Attia (né en 1970 à Dugny, France ; vit et travaille à Berlin)
    • Ergin Çavuşoğlu (né en 1968 à Targovichté, Bulgarie ; vit et travaille à Londres)
    • Ali Cherri (né en 1976 à Beyrouth ; vit et travaille à Beyrouth et à Paris)
    • Joana Hadjithomas et Khalil Joreige (tous deux nés en 1969 à Beyrouth ; vivent et travaillent à Beyrouth
         et à Paris)
    • Rokni Haerizadeh (né en 1978 à Téhéran ; vit et travaille à Dubaï)
    • Susan Hefuna (née en 1962 à Berlin ; vit et travaille à Düsseldorf)
    • Iman Issa (née en 1979 au Caire ; vit et travaille à New York)
    • Gülsün Karamustafa (née en 1946 à Ankara ; vit et travaille à Istanbul)
    • Hassan Khan (né en 1975 à Londres ; vit et travaille au Caire)
    • Ahmed Mater (né en 1979 à Tabuk, Arabie Saoudite ; vit et travaille à Djeddah, Arabie Saoudite)

Les œuvres de Lida Abdul, d’Ali Cherri et de Gülsün Karamustafa sont présentées pour la première fois dans le
cadre de l’initiative MAP.

Selon Sara Raza, « But a Storm Is Blowing from Paradise met en avant la formation du présent tout en
reconnaissant l’influence permanente du passé. Plusieurs artistes participant à l’exposition questionnent la
capacité qu’ont les « vérités » objectives à capturer de manière adéquate les réalités sociales de notre monde.
Leurs œuvres ont recours à des récits fictifs ainsi qu’à une imagerie fantastique et recèlent des idées cachées qui
remettent en cause les visions stéréotypées et ouvertement politisées qu’on a de cette zone géographique et de
son histoire. Des idées que l’on pourrait qualifier de « contrebande conceptuelle ». L’exposition envisage
également l’architecture comme un outil pour évoquer à la fois l’histoire coloniale et les conséquences de la
mondialisation et de la gentrification. Cette nouvelle installation à la Galleria d’Arte Moderna établit un dialogue
avec le patrimoine architectural du bâtiment lui-même et soulève la question urgente de la migration et du
déplacement des populations dans le monde entier, y compris en Italie et dans l’Europe entière. »
Pour Filippo Del Corno, adjoint au maire de Milan en charge de la Culture, « la Guggenheim UBS MAP Global
Art Initiative met en avant les nouveaux protagonistes de l’art contemporain en Europe et au-delà. La ville de
Milan poursuit le même objectif puisqu’elle encourage l’interculturalité tant dans le domaine artistique que social.
Milan est un centre idéal pour la pensée créatrice, c’est donc une destination naturelle pour un projet si
novateur. »

« Les thèmes que l’on retrouve dans cette exposition traitent les aspects les plus cruciaux du rapport de notre
société contemporaine avec le passé et le présent. La diversité des activités autour de l’exposition correspond à
l’esprit d’ouverture et de dialogue qui caractérise le discours culturel des musées de Milan », déclare Anna Maria
Montaldo, directrice des musées d’art moderne et contemporain de la ville de Milan.

« Ces dernières années, la GAM a organisé plusieurs projets dont la principale caractéristique était de se
concentrer sur l’art contemporain. Nous avons établi une comparaison intéressante entre la production
contemporaine et les collections du musée. De plus, ces projets ont permis de toucher des visiteurs d’horizons
différents et plus larges », explique Paola Zatti.

Activités publiques et pédagogiques
But a Storm Is Blowing from Paradise s’accompagne de nombreuses activités publiques et scolaires, avec un
programme très dense pour la semaine d’inauguration :
    • Une soirée de musique et de discussion avec l’Académie Barenboim-Said et le West-Eastern Divan
         Orchestra. Un concert de musique de chambre sera suivi d’une rencontre entre plusieurs membres de
         l’orchestre et Ergin Çavuşoğlu, artiste participant à l’exposition (11 avril).
    • Un séminaire à destination des étudiants de la Nuova Accademia di Belle Arti (NABA) avec l’artiste
         Gülsün Karamustafa, qui présente une œuvre dans l’exposition (13 avril)
    • Un festival de cinéma de deux jours accueilli par le cinéma Anteo Palazzo del Cinema, co-présenté par
         Reel Palestine et le Musée Guggenheim. On pourra y voir les films Ouroboros (2017) de Basma Alsharif
         et Electrical Gaza (2015) de Rosalind Nashashibi, ainsi qu’un ensemble de courts-métrages (14 et 15
         avril).

Pendant toute la durée de l’exposition, d’autres activités sont proposées aux publics adulte, familial et étudiant :
   • Un ensemble de tables rondes portant sur l’analyse du rôle des musées locaux et de la diplomatie
       culturelle et prenant l’exemple de Milan comme carrefour culturel.
   • Une série de visites guidées et d’ateliers à destination des publics adulte, familial et scolaire, organisés en
       partenariat avec ADMaiora, qui proposeront une interprétation interactive des thèmes de l’exposition.
   • Un livret d’activités en famille et un livret pédagogique pour les enseignants.
   • Des séminaires pour les étudiants de la Nuova Accademia di Belle Arti (NABA), accompagnés de
       visites guides publiques avec Ali Cherri, artiste, Ridha Moumni, historien de l’art, et AOUMM, le bureau
       d’architecte ayant réalisé la scénographie de l’exposition au GAM.
   • Un audioguide avec les commentaires de Sara Raza et de six artistes participant à l’exposition.

Pour en savoir plus, consultez gam-milano.com.

À propos de MAP
La Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative s’appuie sur la prestigieuse tradition d’internationalisme du
Guggenheim et sur l’engagement direct d’UBS en faveur de l’art contemporain et de l’éducation. Ce
programme contribue in fine à une compréhension plus riche et plus large de l’histoire de l’art moderne et
contemporain. Grâce à MAP, le Guggenheim a enrichi ses collections de plus de 125 nouvelles œuvres, par le
biais de collaborations étroites avec des artistes, des commissaires et des organisations culturelles d’Asie du Sud
et du Sud-Est, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Les partenariats avec des institutions
culturelles comme la Galleria d’Arte Moderna ont été au cœur de ce projet du début à la fin. Ils lui ont permis
d’avoir une plus grande portée artistique et de toucher le public à la fois dans les musées et sur Internet. Le
Guggenheim et UBS reconnaissent tous deux que l’art a le pouvoir de faire se rencontrer différentes
communautés, de les inspirer, de susciter des débats, d’enrichir le monde actuel et de participer à la construction
de celui de demain. Cette collaboration de longue date souligne un engagement mutuel en faveur des artistes
contemporains les plus novateurs en donnant davantage de visibilité à leurs œuvres dans le monde entier. Pour
plus d’informations sur les artistes, les commissaires et les expositions qui donnent vie à ces œuvres, consultez
guggenheim.org/MAP.

À propos de la Solomon R. Guggenheim Foundation
Créée en 1937, la Solomon R. Guggenheim Foundation s’est donné pour mission de promouvoir la
compréhension de l’art, en particulier moderne et contemporain, par le biais d’expositions, d’activités
pédagogiques, de programmes de recherche et de publications. La constellation de musées Guggenheim a vu le
jour dans les années 1970 lorsque la Collection Peggy Guggenheim de Venise a rejoint le Solomon R.
Guggenheim Museum de New York. Elle s’est depuis étendue et comprend aujourd’hui le Guggenheim Bilbao
(ouvert en 1997) et le Guggenheim Abu Dhabi (en cours de construction). La Guggenheim Foundation
continue de développer des collaborations internationales en faveur de l’art, de l’architecture et du design
contemporains au sein du musée et au-delà, avec notamment la Guggenheim Social Practice, la Guggenheim
UBS MAP Global Art Initiative et la Robert H. N. Ho Family Foundation Chinese Art Initiative. Pour en savoir
plus sur la Solomon R. Guggenheim Foundation, consultez le site guggenheim.org.

À propos de la relation d’UBS avec l’art contemporain
UBS, mécène historique de l’art contemporain, invite ses clients tout comme le grand public à participer à la
conversation internationale sur l’art et son marché mondial par le biais de la plateforme d’art contemporain de
l’entreprise. Outre la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative, UBS compte actuellement une longue liste
d’initiatives et de programmes portant sur l’art contemporain. Citons par exemple la collection d’art UBS, l’une
des collections d’entreprise les plus vastes et les plus importantes au monde en matière d’art contemporain, ou le
soutien de longue date que l’entreprise porte à Art Basel, foires internationales de premier ordre. UBS est le
principal partenaire mondial d’Art Basel à Bâle, Miami Beach et Hong Kong. À ces activités s’ajoute un certain
nombre de partenariats régionaux avec des institutions du domaine des beaux-arts, telles que la Fondation
Beyeler en Suisse, la Galleria d’Arte Moderna à Milan, le Nouveau Musée National de Monaco, le Louisiana
Museum of Modern Art au Danemark et la Art Gallery of New South Wales à Sydney. UBS fait profiter ses
clients de sa connaissance approfondie du marché de l’art et d’un accompagnement stratégique pour la gestion
de leurs collections d’art et la planification de leurs legs grâce à l’UBS Art Competence Center. De plus, le Art
Basel and UBS Global Art Market Report est publié chaque année. L’UBS Arts Forum réunit et met en lien des
personnes exceptionnelles dans le monde de l’art, tout en constituant un leadership intellectuel à la pointe de l’art
contemporain. Pour en savoir plus sur l’engagement d’UBS en faveur de l’art contemporain, consultez
ubs.com/art.

À propos de la Galleria d’Arte Moderna (GAM)
La Galleria d’Arte Moderna est un musée municipal consacré aux collections du XIXe siècle appartenant à la ville
de Milan. Avec le Museo del Novecento et le MUDEC – Museo delle Culture, elle fait partie des Musées d’Art
Moderne et Contemporain de la ville de Milan. Fondé en 1903 dans le Castello Sforzesco, le musée s’est installé
en 1921 dans la Villa Reale, construite pour Lodovico Barbiano di Belgiojoso par Leopoldo Pollack entre 1790 et
1796.
Les collections permanentes de la GAM regroupent environ quatre mille objets, des œuvres néoclassiques
jusqu’aux peintures divisionnistes et symbolistes du début du XXe siècle, en passant par divers mouvements du
XIXe siècle comme le romantisme, la scapigliatura et le réalisme. Le second étage du musée accueille deux
remarquables collections d’art du XXe siècle : la collection Grassi (donnée par Carlo et Nedda Grassi en 1958) et
la collection Vismara (donnée par Giuseppe Vismara en 1975).

# 1521/MAP30
9 avril 2018

Autres documents :
Pour les visuels, consultez guggenheim.org/pressimages
Mot de passe : presspass

guggenheim.org/MAP
@guggenheim
@gam_milano
@ubsglobalart
#GuggUBSMAP
#TempestaDalParadiso

Informations complémentaires
Luana Solla
My Com Factory
luana.solla@mycomfactory.com
+39 334 336 9695

Benedetta Rutigliano
My Com Factory
benedetta.rutigliano@mycomfactory.com
+39 349 775 7184

Pour toute demande concernant la Galleria d’Arte Moderna :
Il Comune di Milano,
c.gam@comune.milano.it

Service de presse de la ville de Milan :
Elena Conenna
elenamaria.conenna@comune.milano.it

Pour toute demande concernant UBS :
Tamsin Selby
tamsin.selby@ubs.com
Pour toute demande concernant le Guggenheim :
Lauren Van Natten
pressoffice@guggenheim.org

Note de la rédaction

Richard Armstrong, directeur du Solomon R. Guggenheim Museum and Foundation
Richard Armstrong dirige le Solomon R. Guggenheim Museum and Foundation depuis novembre 2008. Il
travaille en collaboration avec son personnel le plus chevronné pour développer au maximum les actions de la
fondation : gestion des collections permanentes, programmes d’expositions, acquisitions, documentation,
bourses d’études et conservation. Auparavant, Armstrong a été directeur Henry J. Heinz II du Carnegie
Museum of Art de Pittsburgh, où il avait également les casquettes de commissaire en chef et de commissaire des
expositions d’art contemporain. De 1981 à 1992, il a été commissaire au Whitney Museum of American Art de
New York, où il a organisé quatre biennales ainsi que plusieurs autres expositions.

Sara Raza, commissaire Guggenheim UBS MAP pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord
Sara Raza a été choisie comme commissaire Guggenheim UBS MAP pour le Moyen-Orient et l’Afrique du
Nord par un comité d’experts de renom originaires de cette zone géographique. Dans le cadre de sa résidence
au Guggenheim de New York, Sara Raza a monté la troisième phase de la Guggenheim UBS MAP Global Art
Initiative. Née à Londres en 1979, elle a étudié au Goldsmiths College de l’Université de Londres, où elle a
obtenu une licence en littérature anglaise et en histoire de l’art ainsi qu’un master en histoire et théorie de l’art.
Elle a ensuite poursuivi ses études en doctorat au Royal College of Art. Sara Raza a été commissaire sur des
expositions et des projets pour divers festivals et biennales à l’international, dont la Biennale de Tachkent avec
Quotations from Daily Life, à la Art Gallery of Uzbekistan (2011), celle de Venise avec l’événement collatéral
intitulé Rhizoma (generation in waiting) (2013) et le Baku Public Art Festival avec A Drop of Sky, au Yarat
Contemporary Art Space de Bakou, en Azerbaïdjan (2015). Elle a également été l’une des commissaires du
Bichkek International avec l’exposition In the Shadow of Fallen Heroes au Musée d’histoire de Bichkek et sur la
place Ala-Too, au Kirghizistan, en 2005. En 2008, Sara Raza a été commissaire des expositions de groupe Cult of
Personality et New Image Making, qui présentaient des projets d’artistes tels que Yael Bartana, Ergin Çavuşoğlu
ou Erbossyn Meldibekov lors du SH Contemporary de Shanghai. Elle a organisé plusieurs expositions pour le
Maraya Art Center de Charjah aux Émirats arabes unis, dont des présentations solo des œuvres d’Adel Abidin,
de Wafaa Bilal et de Mohammed Kazem, et des expositions de groupe comme Migrasophia (migration +
philosophy) (2012) et The Beginning of Thinking is Geometric (2013). Elle a participé à l’organisation de la
première exposition en Amérique du Nord de Shezad Dawood au Plug In ICA à Winnipeg (Canada) en 2010.
Elle a également piloté la première exposition d’Ergin Çavuşoğlu aux Émirats arabes unis, au Pavilion Downtown
de Dubaï en 2011.

Sara Raza a été responsable de l’action éducative au Yarat Contemporary Art Space de Bakou. Elle a été la
première responsable des programmes de commissariat au Alāan Artspace de Riyad et a travaillé comme
chargée des activités publiques de la Tate Modern de Londres de 2006 à 2008. Elle a été conseillère
pédagogique du CULTURUNNERS US tour (2013-2014), organisé par Edge of Arabia. Elle a été jurée lors de
l’Akbank Contemporary Artists Prize 2014
et a organisé l’exposition des artistes finalistes. Elle a proposé plusieurs candidats pour le Jameel Prize du
Victoria and Albert Museum (en 2012 et 2015) ainsi que pour le Future Generation Art Prize de la Victor
Pinchuk Foundation (en 2014). Sara Raza a reçu le prix du jeune commissaire décerné par le United Kingdom
Arts Council à la South London Gallery en 2004 ainsi que le 11e prix ArtTable New Leadership en 2016. Elle a été
finaliste du Walter Hopps Award for Curatorial Achievement en 2015. Elle écrit pour de nombreuses revues
d’art. Elle est secrétaire de rédaction de l’édition Asie centrale et occidentale de la revue ArtAsiaPacific. Elle est
l’auteure de Punk Orientalism : Central Asia’s Contemporary Art Revolution, qui sera publié en 2018 par la
MacKenzie Art Gallery (Canada).

Fabio Innocenzi, Responsable Italie chez UBS
Fabio Innocenzi est responsable Italie chez UBS, directeur d’UBS WM Market pour l’Italie et la péninsule
ibérique et directeur général d’UBS Europe SE. En novembre 2017, Il a été nommé président d’UBS Asset
Management (Italie) SGR S.p.A. Il est président du conseil d’administration et du comité directeur de l’AIPB
depuis 2016.

Par le passé, Fabio Innocenzi a dirigé le groupe Intesa SanPaolo dans le Nord-Est de l’Italie et la Cassa di
Risparmio del Veneto. De 2002 à 2008, il a été PDG du Banco Popolare et membre du comité d’exécution de
l’ABI. De 1993 à 2001, il a dirigé la gestion des actifs de l’Unicredit Group et a été PDG de Pioneer Investments
basé à Milan, Dublin et Boston. Dans le même temps, il était également vice-président d’Assogestiono,
l’association italienne des entreprises de gestion d’actifs. Il est l’auteur du livre Sables mouvants : le banquier
respectable existe-t-il ?, (Sabbie Mobili. Esiste un banchiere perbene?) publié en 2016 chez Codice Edizioni. Il est
diplômé de la Bocconi University de Milan.

Anna Maria Montaldo, directrice des musées d’art moderne et contemporain de la ville de Milan
Anna Maria Montaldo dirige le pôle art moderne et contemporain de la Ville de Milan, qui regroupe trois
institutions : la Galleria d’Arte Moderna, le Museo del Novecento et le MUDEC (Musée des Cultures). Elle a
auparavant dirigé les musées municipaux de Cagliari et a géré, entre autres, l’acquisition, la restauration et la
muséologie de la collection Ingrao, l’acquisition du fonds Ingrao ainsi que la conservation et la scénographie de
tous les musées municipaux de la ville. Elle a collaboré avec des institutions internationales comme le Musée de
l’Ermitage de Saint-Pétersbourg. En tant que présidente de l’Association Nationale des Musées Locaux et
Institutionnels (ANMLI), elle a contribué à l’amélioration et à la reconnaissance des musées municipaux italiens,
en collaborant avec le Conseil International des Musées (ICOM) et avec d’autres associations de musées.

Paola Zatti, commissaire en chef de la Galleria d’Arte Moderna
Paola Zatti est commissaire en chef de la Galleria d’Arte Moderna depuis 2011. Elle y dirige la rénovation des
équipements, un projet de nouvelle présentation des œuvres dans le musée (muséologie) et la restauration de
l’aile du bâtiment. Elle gère également l’action éducative ainsi que les expositions et les événements en lien avec
l’art contemporain. Historienne de l’art spécialiste des XIXe et XXe siècles, Paola Zatti a collaboré avec de
nombreuses institutions publiques et privées, en Italie comme à l’étranger (la Biennale de Venise, le FAI, le
Musée d’Orsay et le Musée de l’Armée par exemple). Elle a contribué à l’organisation de plusieurs expositions ou
projets pour des musées municipaux (collections historiques de la Ville de Milan, le Palazzo Morando et le
Palazzo Moriggia). Au sein de la GAM, elle a dirigé des publications et des expositions temporaires consacrées à
des artistes de renommée internationale et issus des collections du musée comme Alberto Giacometti, Medardo
Rosso ou Adolfo Wildt.
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