BUT A STORM IS BLOWING FROM PARADISE (Una Tempesta dal Paradiso) OUVRE LE 11 AVRIL A LA GALLERIA D'ARTE MODERNA
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BUT A STORM IS BLOWING FROM PARADISE (Una Tempesta dal Paradiso) OUVRE LE 11 AVRIL A LA GALLERIA D’ARTE MODERNA DE MILAN Cette exposition d’art contemporain du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord constitue la huitième et dernière étape de la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative LIEU : Galleria d’Arte Moderna di Milano (GAM) ADRESSE : Villa Reale, Via Palestro 16, 20121 Milan, Italie DATES : 11 avril — 17 juin 2018 (MILAN ET NEW YORK, le 9 avril 2018) — Du 11 avril au 17 juin 2018, la Galleria d’Arte Moderna (GAM) de Milan, le Solomon R. Guggenheim Museum de New York et UBS présentent But a Storm Is Blowing from Paradise : Contemporary Art of the Middle East and North Africa (Una Tempesta dal Paradiso: Arte Contemporanea del Medio Oriente e Nord Africa) à Milan. Cette exposition est la dernière de la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative, collaboration historique entre le Guggenheim et UBS. En matière de recherche internationale, de constitution de collection et de présentation, il s’agit du projet le plus ambitieux jamais entrepris par le musée. Unique en son genre, le programme MAP est résolument tourné vers les artistes. Il a vu le jour en 2012 et souligne l’engagement commun pris par le Guggenheim et UBS en faveur de la création contemporaine et de l’éducation artistique par le biais de huit expositions internationales, de plus de 125 acquisitions, d’une bourse d’études pour la formation de commissaires d’exposition dans trois grandes régions du monde, et de nombreuses activités ouvertes au public. L’exposition est organisée par Sara Raza, commissaire UBS MAP du Guggenheim pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, en collaboration avec Paola Zatti, commissaire en chef de la Galleria d’Arte Moderna, et Omar Cucciniello, commissaire de la Galleria d’Arte Moderna. Les artistes aux expressions très diverses qui y participent sont issus d’une région en constante évolution ou de sa diaspora présente dans le monde entier et expriment interrogations et critiques. Les œuvres de treize artistes explorent des thèmes qui s’entrecroisent — la migration, les déplacements de populations, l’architecture, la géométrie et l’histoire — à l’aide de nombreux supports : travail du papier, installation, photographie, sculpture, vidéo. But a Storm Is Blowing from Paradise a été exposée pour la première fois au Guggenheim Museum en avril 2016. « Cette exposition présente des idées complexes et des stratégies artistiques sans compromis, qui nourrissent la réflexion sur une région du monde dont le rôle est crucial à l’époque actuelle », déclare Richard Armstrong, directeur du Solomon R. Guggenheim Museum and Foundation. « Cette présentation à Milan, véritable point d’orgue, célèbre l’extraordinaire influence d’un groupe d’artistes dont les œuvres et les idées ont contribué à façonner l’art contemporain. Nous espérons que l’impact des œuvres elles-mêmes, les relations nouées grâce au projet MAP et les idées exposées lors des multiples présentations continueront à résonner grâce à la portée inégalée dont jouit MAP. Nous remercions UBS, notre collaborateur visionnaire, ainsi que nos collègues qui travaillent au sein d’institutions partenaires dans le monde entier, parmi lesquels nos amis de la GAM. Grâce à
notre travail sur le terrain impliquant artistes, professionnels de l’art et public, nous pouvons raconter une histoire de l’art moderne plus large et représenter l’art de notre époque plus fidèlement. » « Le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord sont au cœur d’un changement mondial de grande envergure. Ils font face à certains des problèmes les plus épineux de notre époque », affirme Fabio Innocenzi, responsable de l’Italie chez UBS. « Nous sommes fiers de pouvoir participer à la présentation de cette exposition à la Galleria d’Arte Moderna. Nous permettons ainsi à notre clientèle, à nos employés et au grand public de prendre part au débat culturel sur la société et les grands problèmes actuels par le biais de l’art contemporain. Nous soutenons depuis longtemps les initiatives culturelles dans le monde en général, et en particulier en Italie depuis plusieurs années. Grâce à l’art contemporain, nous continuons de confronter des idées, des sources d’inspiration et des opinions afin d’enrichir nos vies. » Présentation de l’exposition But a Storm is Blowing from Paradise, qui regroupe seize œuvres de treize artistes, est exposée dans la salle du rez-de-chaussée de la GAM. Le titre de l’exposition vient d’une œuvre de Rokni Haerizadeh, qui fait référence à un passage d’un essai du philosophe allemand Walter Benjamin. Le travail d’Haerizadeh (2010) intitulé But a Storm is Blowing from Paradise est une suite d’œuvres sur papier basées sur des images tirées de sources d’information grand public, que l’artiste s’est appropriées. En superposant des photographies de rassemblements collectifs avec du gesso, de l’encre et de l’aquarelle, il transforme les individus en êtres hybrides, mi- animaux mi- humains, et dépeint de manière grotesque la vision de plus en plus sombre des événements actuels que propagent les grands médias. D’autres œuvres remettent implicitement en cause les représentations actuelles du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, comme Latent Images, Diary of a Photographer, 177 Days of Performances (2015) de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige. Cette installation comprend 354 livres disposés sur 177 étagères en métal, supposés contenir les descriptions écrites de clichés pris par un photographe fictif, Abdallah Farah, pendant la guerre du Liban. Cette œuvre illustre la limite ténue entre la fabrication de mythes et la réalité. Parmi les œuvres qui abordent le sujet brûlant de la migration des personnes et des idées, on trouve celle de Gülsün Karamustafa, Create Your Own Story with the Given Material (1997) dans laquelle l’artiste a assemblé trente chemises d’enfant en coton blanc et les a cousues les unes aux autres avec du fil noir. Cette composition est une réflexion sur la détresse des enfants migrants en Turquie, qui ne sont pas assurés d'entrer de manière sécurisée dans le pays ni de bénéficier ensuite de la liberté de circulation. Récits fictifs et histoire s’entrecroisent dans la vidéo de Lida Abdul intitulée In Transit (2008). Dans cette œuvre, un groupe de garçons joue aux environs de Kaboul, dans la carcasse éventrée d’un avion de guerre soviétique. Ils sont occupés à essayer de la réparer avec du coton et de la corde, acte futile, mais résolument optimiste. Ensemble, ces enfants deviennent une allégorie de l’apparente impossibilité de reconstruire l’Afghanistan, mais aussi de l’idée d’Abdul selon laquelle « tout est possible lorsque tout est perdu ». Disarm 1–10 (2013) d’Ahmed Mater offre une vision hybride du passé et du présent. Dix caissons lumineux contiennent des photographies prises par l’artiste depuis la cabine d’un hélicoptère militaire saoudien qui repère des pèlerins sans autorisation aux abords de La Mecque. L’œuvre fait apparaitre un paysage urbain soumis à de rapides changements structuraux et sociaux. Heritage Studies #10 (2015) d’Iman Issa est la maquette en cuivre d’une colonne, accompagnée d’une légende disant « Colonne de la Grande colonnade de Samarra, capitale récemment fondée ». Elle réinterprète l’objet historique à une échelle intime.
L’architecture s’avère être un élément clef dans la naissance du modernisme dans cette zone géographique et elle joue un rôle prépondérant dans plusieurs œuvres. Ainsi, Untitled (Ghardaïa) (2009) de Kader Attia représente une maquette en semoule de couscous du site de Ghardaïa, classé patrimoine mondial de l’humanité, dont les bâtiments traditionnels ont influencé Le Corbusier, architecte moderniste. Building (2009) de Susan Hefuna se compose de neuf dessins suggérant à la fois des schémas cartographiques et des esquisses d’éléments architecturaux comme le moucharabieh, cette fenêtre ajourée traditionnelle. Enfin, Banque Bannister, 2010 d’Hassan Khan reproduit sous forme de sculpture la rampe extérieure de la banque Misr, première banque égyptienne détenue par un Égyptien. Study for a Monument (2013–16) d’Abbas Akhavan est une série de moules en bronze de plantes indigènes du système fluvial du Tigre et de l’Euphrate, disposés au sol sur des draps blancs. L’artiste y propose des idées alternatives sur la culture et la diffusion de l’image des monuments publics. Dans sa série Paysages Tremblants, 2014–16, Ali Cherri présente des cartes aériennes d’Alger, de Damas, d’Erbil, de Makkah et de Téhéran, tachées d’encre. Il met l’accent sur des lignes de fracture ayant entraîné des catastrophes sismiques et les juxtapose à des cas de troubles politiques et de constructions architecturales. Ergin Çavuşoğlu invite les visiteurs à marcher sur un dessin anamorphosé tracé à même le sol dans son installation Dust Breeding (2011), conçue sur-mesure pour l’exposition. L’œuvre s’inspire de la maquette d’une usine de ciment en Turquie. Les mouvements des visiteurs sont capturés par un moniteur placé à côté, grâce auquel ils semblent se tenir dans une sculpture tridimensionnelle. Artistes représentés dans l’exposition • Lida Abdul (née en 1973 à Kaboul ; vit et travaille à Los Angeles et à Kaboul) • Abbas Akhavan (né en 1977 à Téhéran ; vit et travaille à Toronto) • Kader Attia (né en 1970 à Dugny, France ; vit et travaille à Berlin) • Ergin Çavuşoğlu (né en 1968 à Targovichté, Bulgarie ; vit et travaille à Londres) • Ali Cherri (né en 1976 à Beyrouth ; vit et travaille à Beyrouth et à Paris) • Joana Hadjithomas et Khalil Joreige (tous deux nés en 1969 à Beyrouth ; vivent et travaillent à Beyrouth et à Paris) • Rokni Haerizadeh (né en 1978 à Téhéran ; vit et travaille à Dubaï) • Susan Hefuna (née en 1962 à Berlin ; vit et travaille à Düsseldorf) • Iman Issa (née en 1979 au Caire ; vit et travaille à New York) • Gülsün Karamustafa (née en 1946 à Ankara ; vit et travaille à Istanbul) • Hassan Khan (né en 1975 à Londres ; vit et travaille au Caire) • Ahmed Mater (né en 1979 à Tabuk, Arabie Saoudite ; vit et travaille à Djeddah, Arabie Saoudite) Les œuvres de Lida Abdul, d’Ali Cherri et de Gülsün Karamustafa sont présentées pour la première fois dans le cadre de l’initiative MAP. Selon Sara Raza, « But a Storm Is Blowing from Paradise met en avant la formation du présent tout en reconnaissant l’influence permanente du passé. Plusieurs artistes participant à l’exposition questionnent la capacité qu’ont les « vérités » objectives à capturer de manière adéquate les réalités sociales de notre monde. Leurs œuvres ont recours à des récits fictifs ainsi qu’à une imagerie fantastique et recèlent des idées cachées qui remettent en cause les visions stéréotypées et ouvertement politisées qu’on a de cette zone géographique et de son histoire. Des idées que l’on pourrait qualifier de « contrebande conceptuelle ». L’exposition envisage également l’architecture comme un outil pour évoquer à la fois l’histoire coloniale et les conséquences de la mondialisation et de la gentrification. Cette nouvelle installation à la Galleria d’Arte Moderna établit un dialogue avec le patrimoine architectural du bâtiment lui-même et soulève la question urgente de la migration et du déplacement des populations dans le monde entier, y compris en Italie et dans l’Europe entière. »
Pour Filippo Del Corno, adjoint au maire de Milan en charge de la Culture, « la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative met en avant les nouveaux protagonistes de l’art contemporain en Europe et au-delà. La ville de Milan poursuit le même objectif puisqu’elle encourage l’interculturalité tant dans le domaine artistique que social. Milan est un centre idéal pour la pensée créatrice, c’est donc une destination naturelle pour un projet si novateur. » « Les thèmes que l’on retrouve dans cette exposition traitent les aspects les plus cruciaux du rapport de notre société contemporaine avec le passé et le présent. La diversité des activités autour de l’exposition correspond à l’esprit d’ouverture et de dialogue qui caractérise le discours culturel des musées de Milan », déclare Anna Maria Montaldo, directrice des musées d’art moderne et contemporain de la ville de Milan. « Ces dernières années, la GAM a organisé plusieurs projets dont la principale caractéristique était de se concentrer sur l’art contemporain. Nous avons établi une comparaison intéressante entre la production contemporaine et les collections du musée. De plus, ces projets ont permis de toucher des visiteurs d’horizons différents et plus larges », explique Paola Zatti. Activités publiques et pédagogiques But a Storm Is Blowing from Paradise s’accompagne de nombreuses activités publiques et scolaires, avec un programme très dense pour la semaine d’inauguration : • Une soirée de musique et de discussion avec l’Académie Barenboim-Said et le West-Eastern Divan Orchestra. Un concert de musique de chambre sera suivi d’une rencontre entre plusieurs membres de l’orchestre et Ergin Çavuşoğlu, artiste participant à l’exposition (11 avril). • Un séminaire à destination des étudiants de la Nuova Accademia di Belle Arti (NABA) avec l’artiste Gülsün Karamustafa, qui présente une œuvre dans l’exposition (13 avril) • Un festival de cinéma de deux jours accueilli par le cinéma Anteo Palazzo del Cinema, co-présenté par Reel Palestine et le Musée Guggenheim. On pourra y voir les films Ouroboros (2017) de Basma Alsharif et Electrical Gaza (2015) de Rosalind Nashashibi, ainsi qu’un ensemble de courts-métrages (14 et 15 avril). Pendant toute la durée de l’exposition, d’autres activités sont proposées aux publics adulte, familial et étudiant : • Un ensemble de tables rondes portant sur l’analyse du rôle des musées locaux et de la diplomatie culturelle et prenant l’exemple de Milan comme carrefour culturel. • Une série de visites guidées et d’ateliers à destination des publics adulte, familial et scolaire, organisés en partenariat avec ADMaiora, qui proposeront une interprétation interactive des thèmes de l’exposition. • Un livret d’activités en famille et un livret pédagogique pour les enseignants. • Des séminaires pour les étudiants de la Nuova Accademia di Belle Arti (NABA), accompagnés de visites guides publiques avec Ali Cherri, artiste, Ridha Moumni, historien de l’art, et AOUMM, le bureau d’architecte ayant réalisé la scénographie de l’exposition au GAM. • Un audioguide avec les commentaires de Sara Raza et de six artistes participant à l’exposition. Pour en savoir plus, consultez gam-milano.com. À propos de MAP La Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative s’appuie sur la prestigieuse tradition d’internationalisme du Guggenheim et sur l’engagement direct d’UBS en faveur de l’art contemporain et de l’éducation. Ce programme contribue in fine à une compréhension plus riche et plus large de l’histoire de l’art moderne et
contemporain. Grâce à MAP, le Guggenheim a enrichi ses collections de plus de 125 nouvelles œuvres, par le biais de collaborations étroites avec des artistes, des commissaires et des organisations culturelles d’Asie du Sud et du Sud-Est, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Les partenariats avec des institutions culturelles comme la Galleria d’Arte Moderna ont été au cœur de ce projet du début à la fin. Ils lui ont permis d’avoir une plus grande portée artistique et de toucher le public à la fois dans les musées et sur Internet. Le Guggenheim et UBS reconnaissent tous deux que l’art a le pouvoir de faire se rencontrer différentes communautés, de les inspirer, de susciter des débats, d’enrichir le monde actuel et de participer à la construction de celui de demain. Cette collaboration de longue date souligne un engagement mutuel en faveur des artistes contemporains les plus novateurs en donnant davantage de visibilité à leurs œuvres dans le monde entier. Pour plus d’informations sur les artistes, les commissaires et les expositions qui donnent vie à ces œuvres, consultez guggenheim.org/MAP. À propos de la Solomon R. Guggenheim Foundation Créée en 1937, la Solomon R. Guggenheim Foundation s’est donné pour mission de promouvoir la compréhension de l’art, en particulier moderne et contemporain, par le biais d’expositions, d’activités pédagogiques, de programmes de recherche et de publications. La constellation de musées Guggenheim a vu le jour dans les années 1970 lorsque la Collection Peggy Guggenheim de Venise a rejoint le Solomon R. Guggenheim Museum de New York. Elle s’est depuis étendue et comprend aujourd’hui le Guggenheim Bilbao (ouvert en 1997) et le Guggenheim Abu Dhabi (en cours de construction). La Guggenheim Foundation continue de développer des collaborations internationales en faveur de l’art, de l’architecture et du design contemporains au sein du musée et au-delà, avec notamment la Guggenheim Social Practice, la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative et la Robert H. N. Ho Family Foundation Chinese Art Initiative. Pour en savoir plus sur la Solomon R. Guggenheim Foundation, consultez le site guggenheim.org. À propos de la relation d’UBS avec l’art contemporain UBS, mécène historique de l’art contemporain, invite ses clients tout comme le grand public à participer à la conversation internationale sur l’art et son marché mondial par le biais de la plateforme d’art contemporain de l’entreprise. Outre la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative, UBS compte actuellement une longue liste d’initiatives et de programmes portant sur l’art contemporain. Citons par exemple la collection d’art UBS, l’une des collections d’entreprise les plus vastes et les plus importantes au monde en matière d’art contemporain, ou le soutien de longue date que l’entreprise porte à Art Basel, foires internationales de premier ordre. UBS est le principal partenaire mondial d’Art Basel à Bâle, Miami Beach et Hong Kong. À ces activités s’ajoute un certain nombre de partenariats régionaux avec des institutions du domaine des beaux-arts, telles que la Fondation Beyeler en Suisse, la Galleria d’Arte Moderna à Milan, le Nouveau Musée National de Monaco, le Louisiana Museum of Modern Art au Danemark et la Art Gallery of New South Wales à Sydney. UBS fait profiter ses clients de sa connaissance approfondie du marché de l’art et d’un accompagnement stratégique pour la gestion de leurs collections d’art et la planification de leurs legs grâce à l’UBS Art Competence Center. De plus, le Art Basel and UBS Global Art Market Report est publié chaque année. L’UBS Arts Forum réunit et met en lien des personnes exceptionnelles dans le monde de l’art, tout en constituant un leadership intellectuel à la pointe de l’art contemporain. Pour en savoir plus sur l’engagement d’UBS en faveur de l’art contemporain, consultez ubs.com/art. À propos de la Galleria d’Arte Moderna (GAM) La Galleria d’Arte Moderna est un musée municipal consacré aux collections du XIXe siècle appartenant à la ville de Milan. Avec le Museo del Novecento et le MUDEC – Museo delle Culture, elle fait partie des Musées d’Art
Moderne et Contemporain de la ville de Milan. Fondé en 1903 dans le Castello Sforzesco, le musée s’est installé en 1921 dans la Villa Reale, construite pour Lodovico Barbiano di Belgiojoso par Leopoldo Pollack entre 1790 et 1796. Les collections permanentes de la GAM regroupent environ quatre mille objets, des œuvres néoclassiques jusqu’aux peintures divisionnistes et symbolistes du début du XXe siècle, en passant par divers mouvements du XIXe siècle comme le romantisme, la scapigliatura et le réalisme. Le second étage du musée accueille deux remarquables collections d’art du XXe siècle : la collection Grassi (donnée par Carlo et Nedda Grassi en 1958) et la collection Vismara (donnée par Giuseppe Vismara en 1975). # 1521/MAP30 9 avril 2018 Autres documents : Pour les visuels, consultez guggenheim.org/pressimages Mot de passe : presspass guggenheim.org/MAP @guggenheim @gam_milano @ubsglobalart #GuggUBSMAP #TempestaDalParadiso Informations complémentaires Luana Solla My Com Factory luana.solla@mycomfactory.com +39 334 336 9695 Benedetta Rutigliano My Com Factory benedetta.rutigliano@mycomfactory.com +39 349 775 7184 Pour toute demande concernant la Galleria d’Arte Moderna : Il Comune di Milano, c.gam@comune.milano.it Service de presse de la ville de Milan : Elena Conenna elenamaria.conenna@comune.milano.it Pour toute demande concernant UBS : Tamsin Selby tamsin.selby@ubs.com
Pour toute demande concernant le Guggenheim : Lauren Van Natten pressoffice@guggenheim.org Note de la rédaction Richard Armstrong, directeur du Solomon R. Guggenheim Museum and Foundation Richard Armstrong dirige le Solomon R. Guggenheim Museum and Foundation depuis novembre 2008. Il travaille en collaboration avec son personnel le plus chevronné pour développer au maximum les actions de la fondation : gestion des collections permanentes, programmes d’expositions, acquisitions, documentation, bourses d’études et conservation. Auparavant, Armstrong a été directeur Henry J. Heinz II du Carnegie Museum of Art de Pittsburgh, où il avait également les casquettes de commissaire en chef et de commissaire des expositions d’art contemporain. De 1981 à 1992, il a été commissaire au Whitney Museum of American Art de New York, où il a organisé quatre biennales ainsi que plusieurs autres expositions. Sara Raza, commissaire Guggenheim UBS MAP pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord Sara Raza a été choisie comme commissaire Guggenheim UBS MAP pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord par un comité d’experts de renom originaires de cette zone géographique. Dans le cadre de sa résidence au Guggenheim de New York, Sara Raza a monté la troisième phase de la Guggenheim UBS MAP Global Art Initiative. Née à Londres en 1979, elle a étudié au Goldsmiths College de l’Université de Londres, où elle a obtenu une licence en littérature anglaise et en histoire de l’art ainsi qu’un master en histoire et théorie de l’art. Elle a ensuite poursuivi ses études en doctorat au Royal College of Art. Sara Raza a été commissaire sur des expositions et des projets pour divers festivals et biennales à l’international, dont la Biennale de Tachkent avec Quotations from Daily Life, à la Art Gallery of Uzbekistan (2011), celle de Venise avec l’événement collatéral intitulé Rhizoma (generation in waiting) (2013) et le Baku Public Art Festival avec A Drop of Sky, au Yarat Contemporary Art Space de Bakou, en Azerbaïdjan (2015). Elle a également été l’une des commissaires du Bichkek International avec l’exposition In the Shadow of Fallen Heroes au Musée d’histoire de Bichkek et sur la place Ala-Too, au Kirghizistan, en 2005. En 2008, Sara Raza a été commissaire des expositions de groupe Cult of Personality et New Image Making, qui présentaient des projets d’artistes tels que Yael Bartana, Ergin Çavuşoğlu ou Erbossyn Meldibekov lors du SH Contemporary de Shanghai. Elle a organisé plusieurs expositions pour le Maraya Art Center de Charjah aux Émirats arabes unis, dont des présentations solo des œuvres d’Adel Abidin, de Wafaa Bilal et de Mohammed Kazem, et des expositions de groupe comme Migrasophia (migration + philosophy) (2012) et The Beginning of Thinking is Geometric (2013). Elle a participé à l’organisation de la première exposition en Amérique du Nord de Shezad Dawood au Plug In ICA à Winnipeg (Canada) en 2010. Elle a également piloté la première exposition d’Ergin Çavuşoğlu aux Émirats arabes unis, au Pavilion Downtown de Dubaï en 2011. Sara Raza a été responsable de l’action éducative au Yarat Contemporary Art Space de Bakou. Elle a été la première responsable des programmes de commissariat au Alāan Artspace de Riyad et a travaillé comme chargée des activités publiques de la Tate Modern de Londres de 2006 à 2008. Elle a été conseillère pédagogique du CULTURUNNERS US tour (2013-2014), organisé par Edge of Arabia. Elle a été jurée lors de l’Akbank Contemporary Artists Prize 2014
et a organisé l’exposition des artistes finalistes. Elle a proposé plusieurs candidats pour le Jameel Prize du Victoria and Albert Museum (en 2012 et 2015) ainsi que pour le Future Generation Art Prize de la Victor Pinchuk Foundation (en 2014). Sara Raza a reçu le prix du jeune commissaire décerné par le United Kingdom Arts Council à la South London Gallery en 2004 ainsi que le 11e prix ArtTable New Leadership en 2016. Elle a été finaliste du Walter Hopps Award for Curatorial Achievement en 2015. Elle écrit pour de nombreuses revues d’art. Elle est secrétaire de rédaction de l’édition Asie centrale et occidentale de la revue ArtAsiaPacific. Elle est l’auteure de Punk Orientalism : Central Asia’s Contemporary Art Revolution, qui sera publié en 2018 par la MacKenzie Art Gallery (Canada). Fabio Innocenzi, Responsable Italie chez UBS Fabio Innocenzi est responsable Italie chez UBS, directeur d’UBS WM Market pour l’Italie et la péninsule ibérique et directeur général d’UBS Europe SE. En novembre 2017, Il a été nommé président d’UBS Asset Management (Italie) SGR S.p.A. Il est président du conseil d’administration et du comité directeur de l’AIPB depuis 2016. Par le passé, Fabio Innocenzi a dirigé le groupe Intesa SanPaolo dans le Nord-Est de l’Italie et la Cassa di Risparmio del Veneto. De 2002 à 2008, il a été PDG du Banco Popolare et membre du comité d’exécution de l’ABI. De 1993 à 2001, il a dirigé la gestion des actifs de l’Unicredit Group et a été PDG de Pioneer Investments basé à Milan, Dublin et Boston. Dans le même temps, il était également vice-président d’Assogestiono, l’association italienne des entreprises de gestion d’actifs. Il est l’auteur du livre Sables mouvants : le banquier respectable existe-t-il ?, (Sabbie Mobili. Esiste un banchiere perbene?) publié en 2016 chez Codice Edizioni. Il est diplômé de la Bocconi University de Milan. Anna Maria Montaldo, directrice des musées d’art moderne et contemporain de la ville de Milan Anna Maria Montaldo dirige le pôle art moderne et contemporain de la Ville de Milan, qui regroupe trois institutions : la Galleria d’Arte Moderna, le Museo del Novecento et le MUDEC (Musée des Cultures). Elle a auparavant dirigé les musées municipaux de Cagliari et a géré, entre autres, l’acquisition, la restauration et la muséologie de la collection Ingrao, l’acquisition du fonds Ingrao ainsi que la conservation et la scénographie de tous les musées municipaux de la ville. Elle a collaboré avec des institutions internationales comme le Musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg. En tant que présidente de l’Association Nationale des Musées Locaux et Institutionnels (ANMLI), elle a contribué à l’amélioration et à la reconnaissance des musées municipaux italiens, en collaborant avec le Conseil International des Musées (ICOM) et avec d’autres associations de musées. Paola Zatti, commissaire en chef de la Galleria d’Arte Moderna Paola Zatti est commissaire en chef de la Galleria d’Arte Moderna depuis 2011. Elle y dirige la rénovation des équipements, un projet de nouvelle présentation des œuvres dans le musée (muséologie) et la restauration de l’aile du bâtiment. Elle gère également l’action éducative ainsi que les expositions et les événements en lien avec l’art contemporain. Historienne de l’art spécialiste des XIXe et XXe siècles, Paola Zatti a collaboré avec de nombreuses institutions publiques et privées, en Italie comme à l’étranger (la Biennale de Venise, le FAI, le Musée d’Orsay et le Musée de l’Armée par exemple). Elle a contribué à l’organisation de plusieurs expositions ou projets pour des musées municipaux (collections historiques de la Ville de Milan, le Palazzo Morando et le Palazzo Moriggia). Au sein de la GAM, elle a dirigé des publications et des expositions temporaires consacrées à des artistes de renommée internationale et issus des collections du musée comme Alberto Giacometti, Medardo Rosso ou Adolfo Wildt.
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