PICASSO & LES MAITRES ESPAGNOLS - 2 MARS 2018 - 6 JANVIER 2019 - Les Baux-de-Provence
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PICASSO & LES MAITRES ESPAGNOLS GIANFRANCO IANNUZZI UNE RÉALISATION RENATO GATTO - MASSIMILIANO SICCARDI 2 MARS 2018 - 6 JANVIER 2019 Exposition réalisée avec le soutien Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols exceptionnel du 1
Pablo Picasso, Portrait de Dora Maar,1937, huile sur toile, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018; photo : © Bridgeman Images
SOMMAIRE Page 1 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Page 2 PARCOURS DE L’EXPOSITION IMMERSIVE Page 5 BANDE-SON DE L’EXPOSITION Page 6 BIOGRAPHIE DES ARTISTES Page 12 CULTURESPACES, PRODUCTEUR DE L’EXPOSITION Page 13 ÉQUIPE DE RÉALISATION Page 14 FLOWER POWER - LA CULTURE POP Page 16 LES CARRIÈRES DE LUMIÈRES, UN LIEU INSPIRÉ Page 17 AMIEX® : NOUVEAU VECTEUR DE DIFFUSION CULTURELLE Page 18 PICASSO MÉDITERRANNÉE, UNE INITIATIVE DU MUSÉE NATIONAL PICASSO-PARIS Page 19 VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE Page 23 INFORMATIONS PRATIQUES
PICASSO & LES MAÎTRES ESPAGNOLS 2 MARS 2018 - 6 JANVIER 2019 UNE PRODUCTION CULTURESPACES UNE RÉALISATION GIANFRANCO IANNUZZI, RENATO GATTO ET MASSIMILIANO SICCARDI Les Carrières de Lumières des Baux-de-Provence présentent leur nouvelle exposition numérique et immersive : Picasso et les maîtres espagnols. Du 2 mars 2018 au 6 janvier 2019, les chefs-d’œuvre numérisés de Picasso, Goya ou encore Sorolla, dialogueront en musique sur les immenses surfaces calcaires des Carrières. Véritable invitation au voyage, cette création multimédia inédite retracera un siècle de peinture espagnole pour une expérience artistique intense. L’exposition immersive, ancrée dans l’Espagne, réunit de grands maîtres de la peinture moderne espagnole. La première partie met en scène les portraits et scènes de vie quotidienne de Goya, Rusiñol, Zuloaga et Sorolla. La seconde partie se concentre sur Picasso, sans conteste l’un des grands maîtres et influenceurs de l’art du XXe siècle, et propose un panorama de la grande richesse créative de son œuvre. De la cour royale aux scènes champêtres de Goya, à travers les jardins enchanteurs de Rusiñol, les portraits de Zuloaga et les scènes en bord de mer du lumineux Sorolla, les visiteurs seront invités à prendre le large avant de plonger dans l’univers pictural foisonnant de Picasso et son œuvre magistrale. Les formes distinctives des Demoiselles d’Avignon (1907), les rose et bleu apaisants de La Flûte de Pan (1923), mais aussi la puissance hostile de Guernica (1937) et les rives méditerranéennes de La Joie de Vivre (1946) transporteront tour à tour le spectateur au cœur du génie créatif de l’artiste. Conçue comme une déambulation à travers l’art ibérique du XXe siècle, l’exposition numérique et immersive Picasso et les maîtres espagnols met en mouvement des milliers d’œuvres numérisées, qui s’animent aux moyens de l’équipement technique de pointe AMIEX®. Les parois calcaires blanches se métamorphosent ainsi en toiles de maître sous les faisceaux d’une centaine de projecteurs. Le visiteur est invité à se balader librement dans l’espace monumental des Carrières pour découvrir à son rythme les projections dynamiques qui l’entourent. Une sélection musicale vibrante participe à enrichir les émotions du promeneur, qui redécouvre les chefs-d’œuvre sous un angle unique, celui d’une expérience globale de l’art dématérialisé. Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 1
PARCOURS DE L’EXPOSITION IMMERSIVE Pablo Picasso, Deux femmes courant sur la plage (La course), 1922, Gouache sur contre-plaqué, MP78, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018; Photo : © Peter Willi / Bridgeman Images 1 - PROLOGUE L’exposition immersive s’ouvre sur un mécanisme de projection de cinéma, mettant en lumière des flashs de la vie de Picasso. Des extraits du film Le mystère Picasso d’Henri- Georges Clouzot, daté de 1955, le montre en train de peindre et dessiner, son pinceau constituant le prolongement presque naturel de son bras. 2 - PEINTRES ESPAGNOLS C’est avec les tableaux de Francisco de Goya que débute le voyage à travers les œuvres des grands maîtres espagnols. Ses portraits décorent les murs de l’ancien salon d’un palais espagnol. Par les fenêtres, apparaissent les paysages et scènes populaires que le peintre aimait à retracer dans la première phase de sa vie d’artiste. Au travers des arbres, les jardins ordonnés et fleuris de Rusiñol accueillent une fête andalouse. Des personnages aux costumes colorés remplissent l’espace et invitent à danser. Un dialogue s’établit entre les portraits aux références classiques de Zuloaga et ceux plus modernes et « impressionnistes » de Sorolla. Les tableaux balnéaires de Sorolla, surnommé le peintre de la lumière, mêlant pécheurs, nobles dames et jeux enfants clôturent ce cycle dédié aux peintres espagnols. 3 - JOIE DE VIVRE Picasso entre en scène avec La Joie de vivre (1946) et une série de linogravures. Légèreté et fantaisie, nouvelles inspirations, nouvel amour sont autant de sources d’inspiration pour un renouveau artistique. L’évocation de la fête sacrée et de la pastorale à l’antique se poursuit avec l’apparition de sa série Bacchanale. On y retrouve musiciens et danseurs ainsi que les personnages mythologiques qui lui sont chers, tels le centaure ou le faune. 2 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
Pablo Picasso, Les Demoiselles d’Avignon, 1907, Huile sur toile, Museum of Modern Art, New York © Succession Picasso 2018 ; Digital image : © The Museum of Modern Art, New York/ Scala, Florence 4 - PRIMITIF ET CUBISME La « Grande aventure » du Cubisme est marquée par différentes étapes. En 1907, Picasso achète grâce à Apollinaire, deux têtes ibériques en pierre. Il découvre les collections d’art africain au musée du Trocadéro et réalise lui même quelques sculptures en bois inspirées de cet archaïsme. Il peint Les Demoiselles D’Avignon précédées de nombreuses études : le cubisme est né. Picasso à 26 ans. Le terme « cubisme » est lancé par le critique Louis Vauxcelles dans la revue Gil Blas en commentaire d’une exposition de l’artiste Georges Braque à la galerie Kahnweiler. Une étroite amitié avec Braque née, d’où va émerger le cubisme analytique puis synthétique. La multiplication des points de vue devient la norme, les plans sont brisés en innombrables facettes, la forme homogène disparait totalement. C’est le temps des premiers collages. 5 - MYTHOLOGIE ET GUERNICA Picasso disait : « Si on marquait sur une carte tous les itinéraires par où je suis passé et si on les reliait par un trait, cela figurerait peut-être un minotaure ». Cette figure mythologique essentielle dans son œuvre se déploie sur les murs des Carrières. Ses expérimentations, menées en parallèle d’un engagement politique croissant de sa part, le conduiront à réaliser en 1937 son célèbre tableau Guernica. La toile immense est une violente critique à l’égard de la guerre. 6 - LES PÉRIODES BLEUE ET ROSE La « période bleue » débute en 1901 et doit son nom aux tons froids à dominante bleue que Picasso utilise. De retour à Paris, ses toiles, empreintes de mélancolie, suite au suicide de son grand ami Casagemas, mettent en scène les artistes, les pauvres et les laissés pour compte qui vivent en marge de la société. Il commence à signer ses tableaux du Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 3
Pablo Picasso, La lecture, 1932, Huile sur toile, MP137, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018 Photo : © Bridgeman Images nom de sa mère : PICASSO. En 1905 commence la « période rose » qui se caractérise par l’abandon de la palette bleu et la réintroduction progressive des autres couleurs et en particulier les tons d’ocre et de terre. C’est une période charnière, en marche vers le cubisme. 7 - LES ANNÉES 60 Picasso et Jacqueline se marient le 2 mars 1961. Pour ses 80 ans, Picasso est fêté dans le monde entier. Le visage de Jacqueline domine l’ensemble de la production peinte, gravée, sculptée. C’est le début d’une période de création frénétique et instinctive. Ces sujets sont multiples, entre mousquetaires, matadors, famille et maternité, la figure déstructurée constitue le noyau de sa production artistique des années 60. Son geste et ses couleurs éclatent sur la toile, les grands yeux des visages interpellent et traduisent la joie mêlée à l’angoisse de la mort. 8 - PORTRAITS DE FEMMES Picasso s’est considérablement inspiré de ses rencontres et d’autant plus de ses relations avec les femmes. Les portraits de ses compagnes sont nombreux et reflètent, à travers leurs différences, la diversité des sentiments de l’artiste à l’égard de ses muses. En 1937 par exemple, il crée de nombreux portraits de Dora Maar et de Marie-Thérèse, chacune dans une gamme de couleur et de codes de représentation spécifiques à leurs personnalités. Les courbes voluptueuses s’opposent aux angles tranchants, les couleurs vives et contrastées évoluent face aux tons doux et chauds. Toutes les périodes picturales de Picasso se retrouvent dans ces portraits de femmes… 4 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
BANDE-SON DE « PICASSO ET LES MAÎTRES ESPAGNOLS » Une série de morceaux ont été choisis pour rythmer la mise en mouvement des images de séquence en séquence et amplifier l’expérience émotionnelle de l’exposition immersive : - Séquence « Prologue » – Asturia pour piano de Isaac Albéniz - Séquence « Peintres espagnols » – Violin sonata la Primavera de Ludwig van Beethoven // Carmen - Entract de Georges Bizet // Placido Domingo de Malaguena Salarosa // Concert de Aranjuez (Bobby McFerrin) de Joaquin Rodrigo - Séquence « Joie de vivre » - Chatannoga (Andrews Sister) de Glenn Miller - Séquence « Primitif et cubisme » – Composition originale de Luca Longobardi // The Köln concert de Keith Jarret - Séquence « Mythologie et Guernica » – Syrinx de Claude Debussy // Quartet n°8 Akllegretto molto de Dmitri Shostakovitch // Quartet n°8 Largo de Dmitri Shostakovitch - Séquence « Les périodes bleue et rose » – Gnossienne n°1,2,3 de Erik Satie // Cuspide (Acquamarina) de Luca Longobardi - Séquence « Les années 1960 » – Respect (version studio) de Otis Redding - Séquence « Portraits de femmes » – Norma : Casta Diva de Vincenzo Bellini - Séquence « Epilogue » – Norma : Casta Diva (piano) de Vincenzo Bellini Avec la collaboration musicale de Luca Longobardi. Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 5
BIOGRAPHIES DES ARTISTES PABLO PICASSO (1881 – 1973) Le 25 octobre 1881, né Pablo Ruiz BLASCO à Malaga. A l’âge de 8 ans, Picasso peint son premier tableau à l’huile « le Picador ». En 1896 « La Première Communion » est présentée à l’Exposition des Beaux-Arts et de l’Industrie de Barcelone. Il s’installe dans son premier atelier à Barcelone puis s’installe à Madrid pour un bref passage à l’Académie San Fernando. A partir de 1899, Picasso partage ses ateliers avec l’artiste Casagemas à Barcelone puis à Paris. Il commence à signer ses tableaux du nom de sa mère : PICASSO et rencontre Max Jacob lors d’une exposition à la galerie Vollard. Au décès de son ami Casagemas en 1901 débute la période bleue. En 1904, Picasso s’installe définitivement à Paris au Bateau-Lavoir, 13 rue de Ravignan à Montmartre. Il fréquente les poètes Apollinaire et Salmon, et le marchand Uhde, au café parisien « Le lapin agile ». Il découvre le cirque Medrano et son monde marginal, c’est le début de la période rose. En 1905, Picasso rencontre les collectionneurs américains Gertrude et Léo Stein, et le russe Choutkine. Il visite l’exposition de sculptures ibériques préromane d’Osuna et de Cerro de los Santos au Louvre, révélation artistique, il peint le portrait de Gertrude Stein en 1906, c’est l’amorce du cubisme. Il achète grâce à Apollinaire, 2 têtes ibériques en pierre. Il découvre les collections d’art africain au musée du Trocadéro et réalise lui même quelques sculptures en bois inspirées de cet archaïsme, c’est le moment où Apollinaire lui présente Braque. Picasso peint « Les Demoiselles D’Avignon » précédées de nombreuses études : le cubisme est né. Picasso à 26 ans. En 1908, son étroite amitié avec Braque va faire émerger le cubisme analytique puis synthétique. L’année 1912 annonce ces premiers collages et ces recherches des papiers 6 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
collés. La galerie Thannhaüser à Münich lui organise sa première grande rétrospective en Allemagne. En 1917, il rencontre Olga Kokhlova, danseuse russe dans la troupe de Diaghilev et commence une étroite collaboration avec le monde du théâtre et des ballets. En 1918, il rencontre André Breton, et Paul Rosenberg devient son marchand. En 1925, Picasso participe à la 1ère exposition surréaliste galerie Pierre à Paris avec Arp, De Chirico, Max Ernst, Paul Klee, André Masson et Joan Miro. « Le Baiser » et « la danse » marquent le renouvellement de style et la fin du néo-classicisme. C’est le début des métamorphoses des corps féminins et plus particulièrement des baigneuses. En 1933, il se plonge dans le thème du Minotaure. En 1936, c’est la guerre civile en Espagne. Le 26 avril, les allemands bombardent la ville espagnole de Guernica. Le monde entier est sous le choc et Picasso a trouvé le sujet du tableau commandé pour le pavillon espagnol. Le 12 juillet, GUERNICA est exposée au pavillon espagnol de l’exposition Internationale à Paris. La même année, « Les Demoiselles d’Avignon » quittent la France, acquises par le MoMA de New York. En 1939, la seconde guerre mondiale éclate. Le MOMA offre une grande rétrospective itinérante aux Etats- Unis intitulé « Picasso, Fourty Years of his art », regroupant 344 œuvres choisies par Picasso dans sa propre collection dont Guernica et ses études. Il rencontre Françoise Gilot en 1943 et le Château Grimaldi d’Antibes devient l’atelier de Picasso. Il y travaille sur les plaques de fibrociment et de contreplaqué. Ce nouvel environnement lui inspire des sujets méditerranéens et mythologiques. Les faunes, centaures, musiciens dansent des bacchanales. C’est «La Joie de Vivre». En 1949 « la Colombe » de Picasso devient d’affiche du Congrès pour la Paix et ces sculptures comme «La Chèvre», illustrent l’élaboration ludique de sculptures à partir de matériaux divers. En 1955, Henri-Georges Clouzot réalise « Le Mystère Picasso », film m’étant en scène l’artiste pendant sa création. L’année 1959 marque une nouvelle exploration de la linogravure avec « Le Portrait de jeune fille d’après Cranach » mais aussi l’inauguration de la Chapelle de Vallauris décorée de la Guerre et la Paix ainsi que la collaboration au film de Cocteau « Le testament d’Orphée ». Les années 60 augurent une période de création frénétique et coloré. En 1966, ses 85 ans sont l’objet de nombreuses célébrations, Paris organise une importante rétrospective de toute son œuvre peinte et surtout sculptée au Grand et Petit Palais où le public lui fait un triomphe. Picasso meurt le 8 avril 1973 à Mougins à l’âge de 91 ans et est enterré au château de Vauvenargues. Visuel : Pablo Picasso, La joie de vivre, Antipolis, 1946, huile sur toile, Musée national Picasso-Paris, Antibes © Succession Picasso 2018 ; Photo : © Bridgeman Images Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 7
Francisco de Goya, Le parasol, 1777, Huile sur toile, Madrid, Museo del Prado © Prado, Madrid, Spain / Bridgeman Images FRANSISCO DE GOYA (1746 – 1828) Célèbre artiste espagnol, Francisco de Goya naît en 1746 et se fait rapidement remarquer pour la qualité de ses modèles pour la manufacture royale de tapisserie. Il réalise une soixantaine de cartons peints à l’huile de la taille des tapisseries à exécuter sous la direction du peintre Mengs. Ces dernières sont destinées au palais du Prado ou à l’Escorial afin d’habiller les chambres occupées par la famille royale. Elles sont avant tout décoratives comme le révèlent les sujets traités : loisirs champêtres, chasses, divertissements et jeux. Ces scènes souvent populaires suscitent rapidement l’admiration des connaisseurs et lui permettent d’obtenir le titre de peintre ordinaire du roi. C’est alors un peintre à succès : certains disent que l’artiste a, grâce à ses cartons, intégré les cercles artistiques madrilènes et celui de la Cour. Courtisan frivole, il renouvelle l’art du portrait à travers une formule personnelle inspirée de l’œuvre de Vélasquez et d’observations psychologiques accrues. Ses séries montrent par ailleurs des sujets galants et décoratifs (Le Parasol, 1777), des scènes de vie madrilènes parfois grinçantes et politiques, où la vérité des traits et l’exécution nerveuse gagne en importance. Victime d’une maladie en 1792, Goya échappe à la mort mais devient sourd, épreuve qui va profondément l’affecter. Isolé, il observe les bouleversements de son époque, les effets de la révolution française, et oriente désormais son œuvre vers la satire de la société et de la condition humaine comme en témoigne le recueil Les Caprices (1799), 80 estampes à l’eau fortes et à l’aquatinte. Peintre de la Cour en France lors des invasions napoléoniennes, il capture les atrocités du conflit franco-espagnol dans Les Désastres de la guerre (1810-1820). Ce versant sombre de sa création s’accentue ensuite lorsque, reclus dans la Quinta del Sordo – la maison du sourd, il crée ses Peintures noires, série cauchemardesque exécutée à même les murs. En désaccord avec l’état politique de son pays, Goya quitte l’Espagne pour la France en 1824 et meurt à Bordeaux en 1828. 8 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
Joaquin Sorolla y Bastida, Just out the sea, 1915, Huile sur toile, Madrid, Museo Sorolla © Museo Sorolla, Madrid, Spain / Index / Bridgeman Images JOAQUIN SOROLLA (1863 - 1923) Né à Valence en 1863, Joaquin Sorolla révèle un talent précoce pour le dessin et la peinture et entre à l’Académie royale des Beaux-Arts de San Carlos. A l’âge de 18 ans, il rejoint Madrid pour compléter sa formation en étudiant les tableaux de grands maîtres exposés au Prado avant de partir pour Rome en 1884 pour se familiariser avec les chefs-d’œuvre de la Renaissance. Dès ses débuts, il s’intéresse à la peinture en plein air et cherche à reproduire la lumière de la Méditerranée. Son voyage à Paris en 1885 est déterminant pour la suite de sa carrière notamment en raison de sa découverte du courant impressionniste. De retour à Madrid, l’artiste reste attentif au dessin et au travail de composition mais développe peu à peu un intérêt croissant pour les effets de la lumière. Le réalisme social de ses débuts laisse alors progressivement sa place à un luminisme accru dans ses tableaux. L’artiste éclaircit sa palette et travaille les nuances de blanc pour rendre au mieux la lumière et ses effets à travers ses thèmes de prédilection : le jardin, le littoral espagnol et ses habitants. Fort de son succès, il parcourt l’Europe et voit sa carrière jalonnée de prix et de grandes réalisations. Il est fait Chevalier de la Légion d’honneur en 1906 après une exposition chez le célèbre marchand d’art Georges Petit et restera pour ses contemporains et la postérité comme le plus grand des impressionnistes espagnols. Il meurt le 10 aout 1923, à Madrid. Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 9
Ignacio Zuloaga y Zabaleta, Comtesse de Noailles, 1913, Huile sur toile, Bilbao, Museo de Bellas Artes © Museo de Bellas Artes, Bilbao, Spain / Bridgeman Images IGNACIO ZULOAGA (1870 – 1945) Ignacio Zuloaga naît en 1870 au Pays Basque. Il expose dès 1887 et copie au Prado ceux qu’il considère comme ses maîtres : Zurbaran, Ribera ou Goya. Il s’installe à Paris en 1890, expose au salon, se rapproche d’artistes tels que Toulouse-Lautrec, Gauguin, Eugène Carrière et intègre la « Bande catalane » (Rusiñol, Utrillo et Casas). Son attachement à construire et simplifier les formes et sa filiation avec El Greco et Goya l’associent finalement à la réaction anti-impressionniste de 1890. L’artiste se spécialise peu à peu dans les scènes folkloriques espagnoles et l’art du portrait. Son retour en Andalousie entre 1895 et 1898 lui permet d’approfondir son étude de la lumière crue et le conduit à privilégier dans sa pratique les oppositions de teintes très fortes. Installé à Madrid à partir de 1898, il participe à de nombreuses expositions à l’étranger comme à New-York en 1908. Pendant la Première Guerre mondiale il organise des expositions au profit des alliés. Il maintient ensuite son activité de portraitiste pour laquelle il est unanimement apprécié et reconnu jusqu’à sa mort à Madrid en 1945. 10 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
Santiago Rusiñol i Prats, Glorieta II, Jardin à Aranjuez, Arbre II, 1907, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid © Bridgeman Images SANTIAGO RUSIÑOL (1861 – 1931) Santiago Rusiñol naît en 1861 au sein d’une riche famille industrielle barcelonaise. En dépit des pressions familiales, il se tourne dès son plus jeune âge vers la pratique artistique, choix qui l’amène à partir pour Paris en 1885. Après avoir intégré l’Académie Gervex puis l’Académie de la Palette, il s’installe à Montmartre et fréquente avec ses camarades espagnols Casas, Utrillo, Zuloaga le Café du Chat-Noir. Influencé par le japonisme et l’impressionnisme, il peint des scènes de rue, des portraits et des paysages. De retour à Barcelone, il fonde Els Quatre Gats en 1897, haut-lieu de rendez-vous de l’avant-garde artistique où se regroupent de jeunes artistes dont Pablo Picasso. Il est alors une figure majeure du modernisme espagnol et s’attache à défendre les particularismes régionaux. Il trouve sa véritable voie à travers le thème des jardins d’Espagne qu’il explore ardemment jusqu’à la fin de sa vie en 1931. Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 11
CULTURESPACES, PRODUCTEUR DE L’EXPOSITION CULTURESPACES, PRODUCTEUR D’AMIEX® « Notre vocation est d’aider les institutions publiques à mettre en scène leur patrimoine et à développer leur rayonnement culturel et touristique. Elle est aussi de démocratiser l’accès à la culture et de faire découvrir à nos enfants notre histoire et de notre civilisation, dans des sites culturels remarquables. » Bruno Monnier, Président-fondateur de Culturespaces Culturespaces anime et gère, avec éthique et professionnalisme, des monuments, musées et sites historiques prestigieux qui lui sont confiés par des institutions publiques et des collectivités. Après plus de 25 ans d’expérience, Culturespaces est le premier organisme privé dans la gestion des monuments et musées français, et l’un des premiers opérateurs européens culturels. Les sites mis en valeur et gérés par Culturespaces : - l’Atelier des Lumières (en 2018), - le Musée Maillol à Paris (depuis 2016), - l’Hôtel de Caumont - Centre d’Art, Aix-en-Provence (depuis 2015), - les Carrières de Lumières (depuis 2012), - la Maison Carrée, la Tour Magne et les Arènes de Nîmes (depuis 2006), - le Musée d’Art et d’Histoire et le Théâtre antique d’Orange (depuis 2002), - la Cité de l’Automobile à Mulhouse (depuis 1999), - le Musée Jacquemart-André à Paris (depuis 1996), - le Château des Baux-de-Provence (depuis 1993), - la Villa Ephrussi de Rothschild, Saint-Jean-Cap-Ferrat (depuis 1992). Culturespaces prend en charge la mise en valeur des espaces et des collections, l’accueil des publics, la gestion du personnel et de l’ensemble des services, la programmation culturelle et l’organisation complète des expositions temporaires, ainsi que la communication nationale et internationale des sites, avec des méthodes de management efficaces et responsables certifiées ISO 9001. Pour que la visite soit toujours un moment de plaisir, les équipes de Culturespaces placent la qualité de l’accueil et l’enrichissement culturel de tous les publics au coeur de leurs préoccupations. CULTURESPACES, 1ER OPÉRATEUR CULTUREL DANS LE SUD DE LA FRANCE Depuis plus de 25 ans, Culturespaces tisse des liens étroits avec les acteurs institutionnels et touristiques dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. S’appuyant sur sa connaissance des problématiques locales, Culturespaces monte de grands projets culturels qui créent une vraie dynamique au niveau des emplois et de la fréquentation des sites en développant leur notoriété. 12 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
ÉQUIPE DE RÉALISATION GIANFRANCO IANNUZZI Gianfranco Iannuzzi est concepteur d’espaces et spectacles immersifs. Il réaménage et réinvestit artistiquement des lieux multiples, en extérieur comme en intérieur. Ses créations sont fondées sur l’image, le son et la lumière utilisés comme medias d’expression sensorielle. RENATO GATTO Renato Gatto est enseignant de théâtre et assistant metteur en scène. Il dirige l’Accademia Teatrale Veneta, école pour la formation professionnelle de l’acteur à Venise. Il enseigne la technique vocale et participe au Projet Didactique du théâtre de la Fenice de Venise. MASSIMILIANO SICCARDI Massimiliano Siccardi est vidéaste et artiste multi média. Il a développé une activité de recherche et de production intégrant les nouvelles technologies dans les installations et les spectacles. Il travaille sur l’image animée et son intégration dans des performances artistiques et théâtrales. GINEVRA NAPOLEONI Ginevra Napoleoni est une artiste qui concentre sa recherche dans l’art vidéo. Son travail unit peinture, installations vidéo et performances artistiques live. Elle crée également des scénographies virtuelles pour le théâtre. LUCA LONGOBARDI Luca Longobardi est pianiste et compositeur. Il a ouvert le langage classique à l’expérimentation électronique. Il compose essentiellement pour la danse contemporaine, les performances artistiques et les installations multimedia. Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 13
FLOWER POWER - LA CULTURE POP UN VOYAGE IMMERSIF DANS L’UNIVERS GRAPHIQUE DES SIXTIES Entre deux projections de Picasso et les maîtres espagnols, sera présenté un programme court dédié à la quintessence du mouvement Flower Power. Les Carrières de Lumières se transformeront en une ville imaginaire où les spectateurs seront invités à flâner et à se perdre dans les pas de cette génération de la fin des années 1960. Le studio Danny Rose esquisse les différentes âmes des sixties : le « Flower Power » du mouvement Hippie avec son graphisme coloré, les fleurs et les slogans « peace and love » ; un hommage graphique à l’univers délirant de Srg. Pepper et Yellow Submarine ; le Pop Art avec une évocation originale qui en met en scène les codes utilisant l’imagerie de la culture de masse, objets du quotidiens, bande dessinée ; et un final qui célèbre les états de perception altérée avec l’Art optique et cinétique et l’iconographie psychédélique. Tous les courants de cette révolution culturelle qui devient « la Culture populaire » de cette époque se mettent en scène sur les murs des carrières : l’art, la mode, les symboles et les icones de cette génération plongent les spectateurs au cœur de cette formidable explosion créatrice. Chacun de ces univers à fait l’objet d’une création d’illustrations et animations originales qui s’inscrivent dans une narration immersive, pensée pour un lieu où l’on est plongé dans l’image. Dans les rues de cette ville imaginaire raisonne la musique formidable des sixties, du mythique album Sgt. Pepper des Beatles à la musique psychédélique de Jimmy Hendrix, en passant par les Rolling Stones, Simon and Garfunkel et les Beach Boys, un condensé de la diversité et créativité de cette époque. 14 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
DANNY ROSE Danny Rose est un studio de création visuelle qui conçoit et réalise des œuvres audiovisuelles immersives, dans des contextes divers tels que la projection architecturale, les installations interactives, la muséographie, le théâtre, la musique, l’Opéra, la mise en scène de l’espace public. Le studio Danny Rose se développe autour d’un collectif d’artistes, multidisciplinaires. Initié par Sergio Carrubba, concepteur, metteur en scène et Paola Ciucci, directeur artistique et projection designer dans les années 1990, le collectif a rassemblé au fil du temps des artistes visuels, plasticiens, musiciens, compositeurs, comédiens, code artistes, 3D designers. Aujourd’hui le noyau créatif se compose de Sergio Carrubba et Paola Ciucci, co-fondateurs de Danny Rose, et des artistes visuels Cédric Péri et Lucia Frigola. La démarche artistique du studio Danny Rose est centrée sur la création d’une expérience synesthésique et immersive, en développant un concept de narration sensorielle et en s’appuyant sur les dernières technologies de vidéo projection et de spatialisation du son pour transformer, mettre en scène l’espace et plonger le public au cœur de l’œuvre. Les dernières réalisations Danny Rose : - ORGANIC VIBRATIONS – VIVID SYDNEY 2017 Installation d’art numérique sur la façade du Musée d’Art Contemporaine de Sydney. AEAF GOLD AWARD Winner. - A DAY IN THE LIGHT – VIVID SYDNEY 2017 Installation immersive dans un espace urbain, dans laquelle les visiteurs deviennent partie intégrante de l’œuvre. L’œuvre a reçu une nomination à l’AEAF Award de Sydney. - THE BODY OF THE SEA – i LIGHT MARINA BAY - SINGAPORE Installation mapping 3D, à 360° sur la statue du Merlion à Singapour. L’œuvre a reçu une nomination au AEAF Award de Sydney. - THE MATTER OF PAINTING – VIVID SYDNEY 2016 Installation d’art numérique sur le Musée d’Art Contemporaine à Sydney. - MECHANISED COLOUR ASSEMBLAGE - VIVID SYDNEY 2015 Installation d’art numérique sur le Musée d’Art Contemporaine à Sydney, qui a remporté le Silver AEAF AWARD. - PLAY ME ! - VIVID SYDNEY 2014 Mapping 3D interactif sur la façade du Customs House Building à Sydney, qui a gagné le Judges Choice Award du DIGI Award 2015 à NYC. L’installation a également été présentée au Guangzhou International Light Festival 2014, et remporté le Creative Award. - MOVE YOUR BUILDING - VIVID SYDNEY 2013 Installation mapping 3D interactive sur la façade du Customs House Building. Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 15
LES CARRIÈRES DE LUMIÈRES, UN LIEU INSPIRÉ Au pied de la cité des Baux-de-Provence, au coeur des Alpilles, se trouve un lieu chargé de mystère : le Val d’Enfer. Ce vallon aux concrétions minérales exceptionnelles a inspiré les artistes depuis toujours : Dante y planta le décor de La Divine Comédie alors que Gounod y créa son opéra Mireille. Plus tard, Cocteau vient réaliser, au sein même des carrières, Le Testament d’Orphée. Une salle de projection lui est consacrée, un nouveau film y est projeté en 2017. LE TRAVAIL DE LA PIERRE Les Carrières du Val d’Enfer ont été creusées au fil des années pour extraire le calcaire blanc utilisé pour de nombreuses constructions dans la région de Saint-Rémy. Cette grande production de pierres obligea les carriers à modifier les techniques minières en utilisant des treuils et des puits menant à la surface. C’est pour cette raison que furent ouvertes des carrières dans cette partie des Alpilles. En 1935, la concurrence économique des matériaux modernes conduisit à la fermeture des Carrières. LA TRANSFORMATION DES CARRIÈRES Un lieu d’expérimentation et de diffusion culturelle Les Carrières de Lumières trouvent une nouvelle fonction grâce au génie visionnaire de Jean Cocteau. Emerveillé par la beauté de ces concrétions minérales exceptionnelles, il décide en 1959 d’y tourner Le Testament d’Orphée. Une salle de projection lui est par ailleurs consacrée. Cette transformation est confirmée en 1976 avec la création d’un nouveau projet destiné à mettre en valeur cet espace : il s’agissait d’utiliser les immenses murailles rocheuses comme supports pour sons et lumières. Pendant plus de 30 ans, les Carrières du Val d’Enfer ont accueilli ces spectacles audiovisuels qui s’inspiraient des recherches de Joseph Svoboda, l’un des grands scénographes de la seconde moitié du XXe siècle. En 2011, la ville des Baux-de-Provence confie à Culturespaces la gestion de ces célèbres carrières, dans le cadre d’une délégation de service public. Les Carrières du Val d’Enfer deviennent ainsi Carrières de Lumières, que le public est invité à découvrir depuis le 30 mars 2012. Les Carrières de Lumières s’affirment ainsi comme un lieu d’expérimentation transversale et de diffusion culturelle dont la programmation associe les grands noms de l’histoire de l’art au multimédia. Un centre d’art immersif devenu incontournable dans la région. 16 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
AMIEX® : NOUVEAU VECTEUR DE DIFFUSION CULTURELLE LA TECHNOLOGIE AMIEX® Les Carrières de Lumières constituent depuis leur ouverture en 2012, un lieu d’expérimentation formidable pour Culturespaces qui y a développé un concept de diffusion culturelle novateur : AMIEX® (Art & Music Immersive Experience). Il repose sur la conception d’une exposition multimédia unique en son genre, à partir de milliers d’images d’oeuvres d’art numérisées, diffusées en très haute résolution via la fibre optique et mises en mouvement au rythme de la musique pour dérouler un scénario plein de poésie. Pour le servir, le concept AMIEX® s’appuie sur une installation vidéo à la pointe de la technologie et un son spatialisé, adapté aux contraintes d’un lieu labellisé « Site naturel classé ». Le dispositif AMIEX® est en effet conçu sur-mesure pour épouser à la perfection le lieu qu’il investit, soit 7 000 m² de surfaces de projection atteingant jusqu’à 16 mètres de hauteur aux Carrières de Lumières. Avec cette installation hors-normes, le visiteur se trouve totalement immergé dans le spectacle, et embarqué dans un voyage fascinant en plein coeur d’univers artistiques variés. Dès la première seconde du spectacle, la technologie s’efface au profit de l’expérience artistique. DÉJÀ PRÈS DE 3 MILLIONS DE SPECTATEURS AUX CARRIÈRES DE LUMIÈRES 2017 2016 2015 Bosch, Brueghel, Arcimboldo Chagall, Michel-Ange, Léonard de Vinci, Fantastique et merveilleux Songes d’une nuit d’été Raphaël. Les géants de la Renaissance 555 000 visiteurs 560 000 visiteurs 513 000 visiteurs 2014 2013 2012 Klimt et Vienne, Monet, Renoir, Chagall Gauguin - Van Gogh, un siècle d’or et de couleurs Voyages en Méditerranée Les peintres de la couleur 483 000 visiteurs 373 000 visiteurs 239 000 visiteurs Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 17
PICASSO-MÉDITERRANÉE : UNE INITIATIVE DU MUSÉE NATIONAL PICASSO-PARIS « Picasso-Méditerranée » est une manifestation culturelle internationale qui se tient du printemps 2017 au printemps 2019. Plus de soixante institutions ont imaginé ensemble une programmation autour de l’oeuvre « obstinément méditerranéenne » de Pablo Picasso. À l’initiative du Musée national Picasso-Paris, ce parcours dans la création de l’artiste et dans les lieux qui l’ont inspiré offre une expérience culturelle inédite, souhaitant resserrer les liens entre toutes les rives. Pablo Picasso La Flûte de Pan Antibes, été 1923 Huile sur toile (205x174cm) MP79, Dation Pablo Picasso, 1979, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018 ; Photo : © RMN-Grand Palais / Jean-Gilles Berizzi Avec le soutien exceptionnel du Musée national Picasso-Paris 18 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE #1 Pablo Picasso : Les Demoiselles d’Avignon, 1907, huile sur toile, Museum of Modern Art, New York / Bridgeman Images ; Joaquin Sorolla, Promenade en bord de mer, 1909, huile sur toile ; L’enfant au bateau, 1909, huile sur toile © Musée Sorolla, Madrid / Index / Bridgeman Images ; Pablo Picasso, Portrait de Dora Maar, 1937, huile sur toile; Le rêve, 1932, huile sur toile, Musée national Picasso-Paris / Bridgeman Images ; Deux femmes courant sur la plage (La course), 1922, gouache sur contre-plaqué, Musée national Picasso-Paris / AKG Images © Succession Picasso 2018 #2 Pablo Picasso : Garçon à la pipe, 1905, Acrobate et jeune arlequin, 1905, huile sur toile, collection privée © Bridgeman Images ; La famille d’acrobates, 1905, Goteborgs Konstmuseum © Bridgeman Images ; Acrobate à la boule, 1905, Pushkin Museum Moscou © Bridgeman Images ; Famille de Saltimbanques, 1905, National Gallery of Art Washington © Washington, National Gallery of Art © Succession Picasso 2018 #3 Pablo Picasso : Nu et homme à la pipe (la conversation), 1968, huile sur toile, Lausanne, collection privée © AKG Images ; Le baiser, 1969, Homme au chapeau, 1971 huile sur toile, Musée national Picasso-Paris © Peter Willi / Bridgeman Images ; Torero II, 1971, Le peintre et son modèle, 1963, huile sur toile, collection privée © Bridgeman Images © Succession Picasso 2018 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 19
Pour l’utilisation des visuels de Picasso, la mention © Succession Picasso 2018 est obligatoire. Il est strictement interdit de recadrer, de couper, de faire une surimpression ou d’altérer les reproductions des œuvres de Pablo Picasso. Pour toute demande de reproduction dans un format supérieur à 1/4 de page, merci de bien vouloir contacter Picasso Administration : Elodie de Almeida Satan - elodie@picasso.fr 1 2 3 4 1 |Pablo Picasso, Guernica, 1937, huile sur toile, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid © Succession Picasso 2018; Photo : © BPK, Berlin, Dist. RMN-Grand Palais / Alfredo Dagli Orti 2 | Pablo Picasso, Acrobate à la boule, 1905, Huile sur toile, Musée Pouchkine, Moscou © Succession Picasso 2018 ; Photo : © Bridgeman Images 3 | Pablo Picasso, La lecture, 1932, huile sur toile, MP137, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018 ; Photo : © Bridgeman Images 4 | Pablo Picasso, La joie de vivre, Antipolis, 1946, huile sur toile, Musée national Picasso-Paris, Antibes © Succession Picasso 2018 ; Photo : © Bridgeman Images 5 | Pablo Picasso, Dame à l’éventail, 1909, Huile sur toile, inv. Pouchkine J 3320, Musée Pouchkine, Moscou © Succession Picasso 2018 ; Photo : © Bridgeman Images 20 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
5 6 7 8 9 10 6 | Pablo Picasso, Portrait de Dora Maar,1937, huile sur toile, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018; photo : © Bridgeman Images 7 | Pablo Picasso, Deux femmes courant sur la plage (La course), 1922, Gouache sur contre-plaqué, MP78, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018 ; Photo © Peter Willi / Bridgeman Images 8 | Pablo Picasso,Les Baigneuses, 1918, huile sur toile, Musée national Picasso-Paris © Succession Picasso 2018; Photo : © Bridgeman Images 9 |Pablo Picasso, Garçon à la pipe, 1905, huile sur toile, collection particulière © Succession Picasso 2018; Photo : © Private Collection / Bridgeman Images 10 | Pablo Picasso, Les Demoiselles d’Avignon, 1907, huile sur toile, Museum of Modern Art, New York © Succession Picasso 2018 ; Photo : © Bridgeman Images Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 21
11 12 13 14 11 | Francisco de Goya, Le parasol, 1777, huile sur toile, Madrid, Museo del Prado © Prado, Madrid, Spain / Bridgeman Images 12 | Joaquin Sorolla y Bastida, Maria, the pretty one, 1914, huile sur toile, Madrid, Museo Sorolla © Museo Sorolla, Madrid, Spain / Index / Bridgeman Images 13 | Joaquin Sorolla y Bastida, Just out the sea, 1915, huile sur toile, Madrid, Museo Sorolla © Museo Sorolla, Madrid, Spain / Index / Bridgeman Images 14 | Ignacio Zuloaga y Zabaleta, Comtesse de Noailles, 1913, huile sur toile, Bilbao, Museo de Bellas Artes © Museo de Bellas Artes, Bilbao, Spain / Bridgeman Images 22 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols
INFORMATIONS PRATIQUES ADRESSE Route de Maillane 13520 Les Baux-de-Provence HORAIRES Janvier, mars, novembre et décembre : 10h-18h Avril, mai, juin, septembre et octobre : 9h30-19h Juillet et août : 9h30-19h30 La librairie-boutique culturelle est ouverte aux horaires des Carrières. ACCÈS Les Carrières se situent à 800 mètres du Château-des-Baux, 15 km au nord-est d’Arles et à 30 km au sud d’Avignon. Les Carrières de Lumières sont entièrement accessibles aux personnes à mobilité réduite. CONTACT PRESSE Christelle Maureau Attachée de presse christelle@claudinecolin.com T. +33 (0)1 42 72 60 01 WEB http://carrieres-lumieres.com #LesMaîtresEspagnols Carrières de Lumières https://www.facebook.com/CarrieresDeLumieres @Culturespaces instagram.com/culturespaces @Culturespaces https://twitter.com/culturespaces LES PARTENAIRES DE L’EXPOSITION Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols 23
24 Dossier de presse - Picasso et les maîtres espagnols www.claudinecolin.com Tél. +33 (0)1 42 72 60 01 christelle@claudinecolin.com ChRisTeLLe MauReau CONTACT PRESSE www.carrieres-lumieres.com Tél. +33 (0)4 90 54 47 37 13520 Les Baux-de-Provence Route de Maillane Pablo Picasso, Les Demoiselles d’Avignon, 1907, huile sur toile , Museum of Modern Art, New York / Bridgeman Images ; Joaquin Sorolla, Promenade en bord de mer, 1909, huile sur toile ; L’enfant au bateau, 1909, huile sur toile © Musée Sorolla, Madrid / Index / Bridgeman Images ; Pablo Picasso, Portrait de Dora Maar, 1937, huile sur toile; Le rêve, 1932, huile sur toile, Musée national Picasso-Paris / Bridgeman Images ; Deux femmes courant sur la plage (La course), 1922, gouache sur contre-plaqué, Musée national Picasso-Paris / AKG Images © Succession Picasso 2017
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