" TIEMPOS " Ricardo Torres - LETRAS / PAROLES
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« TIEMPOS » Ricardo Torres LETRAS / PAROLES Traduction : Véronique Dessen Torres / Ricardo Torres HERMANO MENTIRAS SOLO PARA USTEDES DOS ELLA HORIZONTE SIN FIN PETITE VALSE DE AMOR EL BESO MI PAIS SOLO ESO ME IMPORTA MOMENTOS SUENOS JUANA TE QUEDASTE FUNKY JOKO
HERMANO Frère Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres Les frères, les proches, interpelés sur l’hier et l’aujourd’hui : la vie, la musique qui s’invite, le bar du coin, les amis, les parfums de fumées, les nouvelles du jour… Hermano,… no te quedes sin cantar Frère… ne reste pas sans chanter Cuidado,… no te quedes sin bailar Attention…. ne reste pas sans danser La vida,…. Es como una maldición La vie…est une malédiction Si olvidas….de cantarle una canción…. Si tu oublies… de lui chanter une chanson Hermano,… en la esquina de aquel bar Frère… dans le coin d’un bar Perfumes, … lo del humo va a llegar Parfums… celui de la fumée arrive Memorias, … del canilla a gritar Mémoires… du crieur de journaux Noticias, … mala onda va anunciar Nouvelles… mauvaises nouvelles qu’il va annoncer Yo no me quedo sin ir Je ne reste pas sans avancer Reuniones, de amigos al salir Amis réunis quand je sors No sé si voy a vivir Je ne sais pas si je vais vivre Suficientemente, para todo escribir….. Suffisamment pour tout écrire Hermano,…ahora si que ya llego Frère… maintenant si, je suis arrivé El Tiempo,…de tres horas menos que vos Le temps… trois heures de moins que toi Papeles,…mi carnaval frio sin voz Papiers…. Mon carnaval froid sans voix Un cuero,…de un repique que sono Un cuir… d’un tambour qui a sonné Hermano,… improviso con mi voz Frère… j’improvise avec ma voix Canciones,…escritas con pregón Des chansons… pleines de déclamations Con Sentido,…como la del Sabalero Avec du sens… comme celle du Sabalero Cuando cantaba,…con su murga y su tambor Lorsqu’il chantait… avec sa Murga et son tambour Yo no me quedo sin ir Je ne reste pas sans avancer Reuniones, de amigos al salir Amis réunis quand je sors No sé si voy a vivir Je ne sais pas si je vais vivre Suficientemente, para todo escribir… Suffisamment pour tout écrire
MENTIRAS Mensonges Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres A ceux qui prétendent être des gens bien, à ceux qui se ventent de faire le bien, à ceux qui mentent, aux escrocs qui oublient de réfléchir à la complexité de la vie Cuando te miro de frente Quand je te regarde en face Te veo la envidia… la envidia que te dà Je vois ton envie, l’envie que tu as De ver como la gente De voir comment les gens La gente que vive, luchando ademàs Les gens qui vivent, et puis qui luttent Cuentas que sabes de vida Tu prétends que tu connais la vie Aquella que exije de tener que remar Celle qui exige de ramer Mientras los otros la ponen Pendant que les autres avancent Vos con tus mentiras te vas a estafar Toi avec tes mensonges tu vas les escroquer Son mentiras, son mentiras...no màs… Ce sont des mensonges, des mensonges, rien d’autre Te las crees, te las crees… de màs… Tu les crois, tu les crois de trop Agarraste…el camino… al revés… Tu as pris le chemin à l’envers Te robaste muchas vidas….lo sé…. Tu t’es volé plusieurs vies, je le sais Y ahora dando vueltas Et maintenant, tu te retournes Buscando verdades tratando agarrar Cherchant des vérités, essayant de les attraper Te ahogas con ella, herramienta maldita Tu te noies avec lui, outil maudit Es tu vuelta en la mesa tenés que pagar C’est ton tour de te mettre à table, tu dois payer Es hora, que en esta nueva vida Il est temps, dans cette nouvelle vie Pases a la cuenta, y tener que pagar Que tu passes à l’addition, et que tu aies à payer A aquellos que bien les robaste A ceux que tu as bien volés Y ahora te toca tener que abnegar Maintenant c’est à toi de te renier
SOLO PARA USTEDES DOS Seulement pour vous deux Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres Berceuse à mes deux filles… qu’elles l’écoutent même quand… je ne serai plus là. Duerman mis dos lunas Dormez mes deux lunes No teman que manana mi sol no esté Ne craignez pas que demain mon soleil ne soit plus là Queda aún mucho tiempo Il reste encore beaucoup de temps Para amarse y amanecer Pour s’aimer et partager l’aurore Seguir hamacando el tiempo Continuer à bercer le temps Y no importar de lo que hacer Et ne pas s’inquiéter de quoi faire Poner plumas en vuestros sueños Mettre des plumes dans vos rêves Fortaleza de amor y querer. Forteresse d’amour et aimer Dejen llevarles en mi barca de amor Laissez moi vous emmener dans ma barque d’amour Para alejarles del miedo y dolor Pour vous éloigner de la peur et de la douleur Dejen llevarles en mi barca de amor Laissez moi vous emmener dans ma barque d’amour Y cantarles un arrorro…. Et vous chanter une berceuse Solo para Ustedes Dos Seulement pour vous deux Y cantarles un arrorro…. Et vous chanter une berceuse Solo para Ustedes Dos Seulement pour vous deux Mi canto llegará del más allá Mon chant viendra de l’au-delà Dejando el perfume y halo de mi voz Laissant le parfum et le halo de ma voix Acariciando sus recuerdos y temor Caressant vos souvenirs et votre crainte Con mis manos, mis cuerdas y mi tambor. Avec mes mains, mes cordes et mon tambour
ELLA Elle Letra y Música (Paroles et Composition) : Ricardo Torres Amour, solitude et temps qui passe… aux côtés de la Femme Sin ti no queda nada para ver....Mujer Sans toi il ne reste rien à voir… Femme Sin ti no queda nada para descubrir...Mujer Sans toi il ne reste rien à découvrir… Femme Y el infinito queda huéfano de amor Et l’infini se fait orphelin d’amour Y sin ti tampoco valgo nada… todo eso es temor Sans toi je ne vaux plus rien non plus, tout ceci est une crainte Sin tu vientre la vida està perdida...Mujer Sans ton ventre la vie est perdue … Femme Sin tus ojos ciega queda mi vida....Mujer Sans tes yeux aveugle est ma vie … Femme Y el destino de mi tiempo queda huerfano de amor Et le destin de mon temps se fait orphelin d’amour Y sin tu mano en mi no puedo llegar, todo es dolor Et sans ta main sur moi je ne peux pas arriver, tout est douleur Dulce es quien te afferra y fuértemente te ama Il est doux celui qui t’agrippe et t’aime fortement Transformando con tu gesto, una brisa en poema Transformant avec ton geste, une brise en poème Amo ta mano que hiere mi debilidad J’aime ta main qui blesse ma faiblesse Tu palabra qui triunfa y tu beso que lastima Ta parole qui triomphe et ton baiser douloureux Sin tu perfume me pierdo en el mundo… Mujer Sans ton parfum je me perds dans le monde… Femme Sin tus caricias dura es mi piel… Mujer Sans tes caresses dure est ma peau … Femme Y mi cuerpo flotando… Huérfano de amor Et mon corps flottant, orphelin d’amour Y sin tu fuerza mi cuerpo se pierde en el terror Et sans ta force mon corps se perd dans la terreur Jamás te prendes de la gracia de un sueño, Jamais tu ne t’accroches à la grâce d’un songe De un reflejo cuyo encanto expirante se prolonga, A un reflet dont l’enchantement affaiblissant se prolonge De un eco en el cual la memoria vuelve y se suma A un écho dans lequel la mémoire revient et s’agrège Jamas palideces a la cercania de mi atardecer… Jamais tu ne palis à l’approche de mon crépuscule Ella… Ella… Ella… Ella… Elle… Elle… Elle… Elle…
HORIZONTE SIN FIN Letra y Música (Paroles et Composition) : Ricardo Torres Pensées permanentes, entêtantes, sur ma terre d’origine, l’horizon sans fin El viento sopla regando Le vent souffle arrosant Con su brisa mi cara… Avec sa brise mon visage Trayendo los recuerdos marrones Apportant les souvenirs marrons* De ese mar de adentro…. De cette mer intérieure Horizonte, sin fin…. Horizon sans fin Su arena se glisa en mis pies Son sable s’immisce entre mes pieds Con sus manos blancas me atrae Avec ses mains blanches il m’attire Me habla y me toca dicièndome, Il me parle et me touche en me disant No te vayas…. Ne t’en vas pas Horizonte, sin fin…. Horizon sans fin No puedo màs dormir Je ne peux plus dormir Sin pensar en ti… Sans penser à toi No puedo despertar Je ne peux plus me réveiller Sin saber de ti… Sans savoir ce que tu deviens Estrella que brilla y me guia Etoile qui brille et qui me guide Desde su infinito Depuis son infini Dibujando un puente blanco Dessinant un pont blanc Para caer en sus Brazos… Pour tomber dans ses bras Horizonte, sin fin…. Horizon sans fin Y cuando te encuentro te amo Et quand je te retrouve je t’aime Como si fuera la ùltima vez… Comme si c’était la dernière fois Tus ramas me abrazan, me apretan Tes branches m’embrassent, m’enlacent Deseando retener mi piel Cherchant à retenir ma peau Tu sangre corre en mis venas Ton sang coule dans mes veines Y donde este, me atraés Et où que je sois, tu m’attires Para decirme de nuevo Pour me dire de nouveau Vos sos de aqui y vén… Tu es d’ici et viens Horizonte sin fin…. Horizon sans fin * ce marron fait référence au Rio de la Plata, estuaire qui par endroit, parait aussi large qu’une mer… mais de couleur marron.
PETITE VALSE DE AMOR Petite valse d’amour Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres Mouvements et odeurs de désirs amoureux Cielo y luna pegados de amor Ciel et lune collés d’amour Hoja erizada por un ruizeñor Page hérissée par un rossignol Brisa enlazada por el temor Brise enlacée par une crainte Lluvia tibia abrazada al vapor Pluie tiède enrobée de vapeur Mi rostro en tu pelo deseando tu olor Mon visage dans ta chevelure désirant ton odeur Mi pecho en tu espalda buscando el sudor Ma poitrine dans ton dos cherchant la sueur Tus ojos perdidos llevando estupor Tes yeux perdus amenant la stupeur Mi mano en tu vientre rozando arrullador Ma main en ton ventre effleurant, roucoulant No…me dejes solo, hasta el final Non… ne me laisse pas seul, jusqu’à la fin No…abandones ahora tu grito al quemar N’abandonne pas maintenant ton cri, qui brûle Aquella letra ronca de poema sin paz Ce vers aphone de poème sans paix Buscando un motivo, laberinto y tristeza sin màs… Cherchant une raison, labyrinthe et tristesse sans plus… Como barro en mis dedos te siento fallar Comme la boue dans les doigts je te sens défaillir Perdiendo el sentido como vida sin mar Perdant le sens comme une vie sans mer Como piedra rondana me siento hamacar Comme un galet je me sens bercé Y en la sal de tu piel me dejo arrullar Et dans le sel de ta peau je me laisse roucouler
EL BESO Le baiser Letra y Música (Paroles et Composition) : Ricardo Torres Baiser, quête de volupté Abre tu ventana…. Ouvres ta fenêtre Para descubrir que es lo que ! Pour découvrir ce que … Queda en tí sin ganas Ce qu’il reste en toi sans envie De poder decir donde De pouvoir dire où Esta…la…. C’est la Ver…dadera soledad Véritable solitude En…ti… En toi Quedara otra verdad Restera une autre vérité Si no sientes nada… Si tu ne sens rien Cuando en tu mano esta en mí pecho Quand ta main est sur ma poitrine Que bien con ganas C’est qu’avec bien de l’envie Está en aquel que dice se trouve celui qui dit Que…no… Qu’on ne Debe estar ahi doit pas être là Sin…el… Sans … lui No puedes construir Tu ne peux pas construire La verdad, es… lo que me queda ahora La vérité est ce qui me reste maintenant Lle…vando solo…el recuerdo de un beso Amenant seulement le souvenir d’un baiser Deja…que…entre…mi vida en tí… Laisses qu’entre ma vie en toi Deja…que…entre..tu beso en mi… Laisses qu’entre ton baiser en moi Si consigo el beso Si je trouve le baiser Aquel que estará siempre apretado Celui qui sera toujours accroché à moi Allí en mi lecho Ici dans ma couche Dejando el perfume emborrachan….do Laissant le parfum m’enivrer Mis ojos al verte ir Mes yeux virer au vert Mi cuerpo… Mon corps Vibra a tu sentir Vibre à te sentir
MI PAIS Mon pays Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres Ode à « mon pays », l’Uruguay : couleurs, images, odeurs, sons… En mi pais…las nubes son trojas… Dans mon pays, les nuages sont morceaux De algodon De coton Que hamacan un cielo azul… Qui bercent un ciel bleu Con rayos de luz… Avec des rayons de lumière Que dan a mi gente su tez marron… Et donnent aux gens leur teinte marron Ese es mi pais C’est celui-là mon Pays Gente que viene…de todos lados mezclando Des gens qui viennent de tous cotés se mélangeant El gaucho y el indio Le gaucho et l’indien El Negro y el Blanco, multicolor… Le noir et le blanc, multicolore Arco iris de ojos que miran Arc en ciel d’yeux qui regardent Hacia el mismo lugar Vers le même endroit Ese es mi Pais…. C’est celui-là mon Pays Playas blancas Plages blanches Mar azul… Mer bleue Campos verdes… Champs verts Piel Marron Peau marron Cuerda y clave… Corde et clave Negro el tambor Noir le tambour Hermano de sangre Frère de sang Lucha y dolor Lutte et douleur Y es asi… Et c’est comme ça Que Brilla en mi bandera Que brille sur mon drapeau Un sol feliz Un soleil heureux Orgullo de mi tierra Orgueil de ma terre Aferrando mano con mano Agrippant main dans la main Guitarra y tamboril Guitare et tambour
SOLO ESO ME IMPORTA C’est cela qui m’importe Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres Lâcher prise, oublier tout ce qui n’importe pas et vivre Sentirte en un segundo, respirar el olvido Te sentir en une seconde, respirer l’oubli Como si toda de una, fuera a desaparecer… Comme si tout d’un coup, il allait disparaître No saber, donde estamos, ni quienes somos Ne pas savoir, où nous sommes, qui nous sommes Poder, empezar de nuevo, sin saber porque… Pouvoir, commencer de nouveau, sans savoir pourquoi Solo eso me importa…. C’est cela qui m’importe... Captar cuando tus ojos, pestanean el instante Capter quand tes yeux clignent l’instant Y créer que tu mirada, se ahoga en mis palabras Et croire que ton regard se perd dans mes paroles Perderme en tus cabellos, embriagado de perfume Me perdre dans tes cheveux, saoul de parfum Poder empezar de nuevo, sin decir porquè… Pouvoir recommencer, sans dire pourquoi Solo eso me importa…. C’est cela qui m’importe... Poder gritar al mundo, sin que nadie me escuche Pouvoir crier au monde, sans que personne ne m’écoute Saber Cuando llueve y cuando abraza el calor Savoir quand il pleut et quand enrobe la chaleur Escuchar, una nueva cancion de un poeta muerto Ecouter, une nouvelle chanson d’un poète mort Mirar el màs allà…. Regarder l’au-delà Solo eso me importa…. C’est cela qui m’importe... Caminar en una nube, y olvidar lo de atràs Marcher sur un nuage, et oublier ce qui est derrière Conversar con el sol, de su espejo nocturno Discuter avec le soleil de son miroir nocturne De su novia la Luna, vestida de diurno De sa fiancée la lune, vêtue diurne Poder, empezar de nuevo, sin pedir porquè… Pouvoir recommencer, sans demander pourquoi Solo eso me importa….. C’est cela qui m’importe... Si me despierto un dia, ayùdame a partir Si je me réveille un jour, aides moi à partir No me dejes màs vivir, soportando esta ironia Ne me laisse plus vivre, à supporter cette ironie Permiteme construir, esta cobardia Permets moi de construire, cette lâcheté Y poder empezar de nuevo, sin decir porquè… Et pouvoir recommencer, sans dire pourquoi Solo eso me importa…. C’est cela qui m’importe...
MOMENTOS Moments Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres Ecrire, raconter ses erreurs, parler des chemins erratiques… moments de solitude, entre amour et rage, entre ferveur et folie Un papel gastado, sobre mi mesa Un papier usé, sur ma table De tanto escribir De tellement écrire Un papel gastado de tanto decir Un papier usé de tellement dire Te amo y te amo, mucho màs… Je t’aime et je t’aime, encore plus… Una mano atada de tanto apretar Une main attachée de tellement appuyer La tinta manchando y mezclando L’encre qui tache et qui se mêle Mis lágrimas, de grito y de rabia A mes larmes de cri et de colère Te quiero decir, simplemente Je veux te dire, simplement Que me equivoqué de camino Que je me suis trompé de chemin Escribí la mala página J’ai écrit la mauvaise page De locura, y de temor De folie, et de crainte Son momentos, sin vos Ce sont des moments, sans toi Son momentos, sin vos… Ce sont des moments, sans toi Y es asi que pasa el tiempo Et c’est ainsi que passe le temps En mi pluma, y en mi papel Dans ma plume, et sur mon papier Borroneando las misma paginas Raturant les mêmes pages De locura y de fervor De folie et de ferveur Mis ojos fijos, en el reloj Mes yeux fixes, sur l’horloge Tiempo que pasa Temps qui passe Sin vos, sin vos Sans toi, sans toi Te quiero decir, simplemente Je veux te dire, simplement Que me equivoqué de camino Que je me suis trompé de chemin Escribí la mala página J’ai écrit la mauvaise page De locura, y de temor De folie, et de crainte Son momentos, sin vos Ce sont des moments, sans toi Son momentos, sin vos… Ce sont des moments, sans toi Son momentos de locura y de amor sin vos Ce sont des moments de folie et d’amour sans toi Son momentos….son momentos… Ce sont des moments… ce sont des moments
SUENOS Letra y Música (Paroles et Composition) : Ricardo Torres J’ai rêvé…d’une sirène qui nous ramènerait la vie, les rires, la paix. Une utopie. La espuma llega en la arena L’écume se répand sur le sable Trayendo la memoria del mar Apportant la mémoire de la mer Y el sueño de una Sirena perdida Et le rêve d’une Sirène perdue Esperando un amor… encontrar Attendant … un amour Si su aleta marca la arena Si sa nageoire marque le sable Muestra que se va transformar Montre qu’elle va se transformer Piensa que tal vez en la tierra On pense que peut être dans la terre Un alma nueva va llegar Une nouvelle âme va arriver Si tu la ves caminar, y cantar Si tu la vois marcher, et chanter Si tu la ves en la calle reir y bailar Si tu la vois dans la rue rire et danser Es..porque se puede aún soñar C’est parce qu’on peut encore rêver Es..porque se puede aún esperar C’est parce qu’on peut encore espérer Y que no todo siga igual…. Que tout ne soit pas toujours pareil Si ella se siente perdida Si elle se sent perdue Dale tu mano y verás Donnes lui ta main et tu verras Que sus sueños son los que llevan Que ses rêves sont ceux qui portent Deseos de amor y de paz.. Désirs d’amour et de paix El viento sopla hacia dentro Le vent souffle vers l’intérieur Devolviendo las olas al mar Rendant les vagues à la mer Para que en la orilla no quede Pour que sur la rive ne reste La prueba de mi sueño…al final !! Que la preuve de mon rêve… à la fin Si tu la ves caminar, y cantar Si tu la vois marcher, et chanter Si tu la ves en la calle reir y bailar Si tu la vois dans rue rire et danser Es..porque se puede aún sonar C’est parce qu’on peut encore rêver Es..porque Se puede aùn esperar C’est parce qu’on peut encore espérer Y Que no todo siga igual…. Que tout ne soit pas toujours pareil
JUANA Juana Letra y Música (Paroles et Musique) : Ricardo Torres Aux femmes qui donnent leur vie pour la vie. A Juana Doña, militante communiste sous Franco, condamnée à mort puis à la prison, où elle enseigna clandestinement aux femmes à lire, écrire, compter, pendant près de 30 ans. A Juana, cette voisine d’enfance, qui, comme tant d’autres femmes, éleva ses filles dans l’effort du travail quotidien et dans une grande pauvreté. Se quedo sin nada, Cuando en la parada Elle est restée sans rien, quand à l’arrêt de bus Habian nuevas carras y sola se encontro Il y avait des têtes nouvelles et elle s’est retrouvée seule Y en la subida, se sintio perdida Et lors de la montée, elle s’est sentie perdue Porque la burguesa alli la ignoro Parce que la bourgeoisie, là, l’a ignorée Y que le vas hacer…. Et que veux tu faire… La vida es una porqueria La vie est une ordure Te tienes que esconder, Tu dois dissimuler La vida es una loteria La vie est une loterie Llegando al trabajo, dandole a todo tajo Arrivant au travail, se démenant sur toutes les tâches Juancita se puso a coser Juancita se mit à coudre Porque al otro dia, llevando sus mandrajos Parce que le lendemain, portant ses guenilles Entrar a su trabajo, ella no va poder Entrer à son travail, elle ne va pas pouvoir Y que le vas hacer… Et que veux tu faire Ella es una mujer de trapos C’est une femme de torchons El cansancio la va vencer, La fatigue va l’atteindre Le queda ya muy poco rato…. Il ne lui reste déjà plus beaucoup de temps La tristeza de Juana…. La tristesse de Juana Es la de Millones C’est celle de millions Ojos, Perdidos, de luto, Oscuro Les yeux, perdus, de deuil obscur Sueno olvidado, amor perdido Le rêve oublié, l’amour perdu OOOO Mujer….ooo Mujer…. Oooh, Femme… Oooh Femme… El sueno que tiene juana, es una damajuana Le rêve de Juana, c’est une bonbonne Llena de Kerosén y asi hacer de comer Pleine de Kérosène pour pouvoir faire à manger Pero quizà que un dia, no le den màs las ganas Mais peut être qu’un jour, elle n’aura plus l’envie Comer solo miseria el sistema va romper De manger seulement la misère, et le système va exploser Y que le vas hacer…. Et que veux tu El sistema se lo traga todo Le système s’avale tout Mismo si no lo quiere ver Même si tu ne veux pas le voir Està siempre en el mismo lodo Il est toujours dans la même gadoue Vida, perdida, esperando el final Vie perdue, attendant la fin Pierde su piel, tendida de sal Perd sa peau, tendue de sel Unas, negras, de tierra y sangre Ongles, noirs, de terre et de sang Ropas, viejas, zapato ahujereado Vêtements, vieux, chaussures trouées OOO Mujer…o Mujer… Oooh, Femme… Oooh Femme…
TE QUEDASTE T’en est resté là Letra y Música (Paroles et Composition) : Ricardo Torres Rupture … s’éloigner de celui qui déçoit No me queda nada, para decirte Il ne me reste rien à te dire No me queda nada, para darte Il ne me reste rien à te donner Cuanto tiempo llevas, sin hablarme Combien de temps sans me parler ? Cuanto tiempo llevas, sin verme Combien de temps sans me voir ? No puedo más escuchar, tus mentiras Je ne peux plus écouter tes mensonges No puedo más curar, tus heridas Je ne peux plus soigner tes blessures La ignorancia… de tu pasado L’ignorance de ton passé Ni recuerdos te han quedado T’as même pas su garder les souvenirs Te quedaste…te quedaste… T’en es resté là… t’en es resté là No me queda nada…para darte Il ne me reste rien à te donner No me queda nada…para mostrarte Il ne me reste rien à te montrer Es un dolor…verte del otro lado C’est une douleur de te voir de l’autre côté Es un dolor…verte aferrado… C’est une douleur de te voir agrippé No puedo màs mirar…Tu vida sin visión… Je ne peux plus regarder ta vie sans vision No puedo màs soportar…Tu vida de télévisión Je ne peux plus supporter, ta vie de télévision Hablando…por procuración Parlant par procuration Revindicando…una impresión Revendiquant… une impression Te quedaste…Te quedaste… T’en es resté là… t’en es resté là No te queda nada…no, no… Il ne te reste rien, non non, …
FUNKY JOKO Letra (Paroles) : Ricardo Torres - Música (Musique) : Richard Nicolas Amour fusion, quotidien fusion, invitation à sa moitié, funky et « jokoso » (rigolo) Si pudiese… Si je pouvais Formar parte de ti, seria tus làgrimas Etre une partie de toi, je serais tes larmes Porque son echas en tu cuerpo Parce qu’elles sont faites dans ton corps Nacer en tus ojos, vivir en tus mejillas Naître en tes yeux, vivre dans tes paumettes Morir en tus labios. Mourir dans tes lèvres Si pudiese, Si je pouvais En un momento tenerte En un moment t’avoir Y en un minuto enamorarte….. Et en un instant te faire tomber amoureuse No tienes idea Tu n’as pas idée Lo que séria yo sin ti… De ce que je serais sans toi… Estar sin tus manos finas Etre sans tes mains fines Con mi Funky Joko Avec mon Funky Joko Si pudiese Si je pouvais Alcanzar el sol, por ti me quemaria Atteindre le sol, pour toi je me brûlerais Ofreciendo flores de esplandor En offrant des fleurs étincelantes El Invierno huérfano quedaria L’hiver resterait orphelin Y en verano solo tu calor yo tendria. Et en été, j’aurais seulement ta chaleur Si pudiese, Si je pouvais, Papel de cuarto seria Je serais un papier peint Y ser testigo … de tu Tristeza y alegria Et être témoin de ta tristesse et de ton bonheur
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