ALABAMA SONG Un projet de la Cie Coup de Poker 2020-2021 - Guillaume Barbot
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Un projet de la Cie Coup de Poker 2020-2021 ALABAMA SONG Texte de Gilles Leroy Adaptation et mise en scène Guillaume Barbot D’après le roman Alabama Song, prix Goncourt 2007 (édition Mercure de France) Avec Lola Naymark – Zelda Et Pierre-Marie Braye-Weppe – violon, guitare, jeu (psychiatre) Louis Caratini – piano, trompette, jeu (l’aviateur et les prétendants) Thibault Perriard – batterie, jeu (Francis Scott) Scénographie Benjamin Lebreton Chorégraphe Bastien Lefèvre Lumières Nicolas Faucheux Costumes Benjamin Moreau Son Nicolas Barillot
NOTES……………… « Je suis une salamandre : je traverse les flammes sans jamais me brûler. C’est de là que me vient mon nom» Il y a des femmes hors normes Il y a des destins hors normes Il y a des artistes hors normes Il y a des textes hors normes Voici Zelda Fitzgerald Et les mots de Gilles Leroy Une double rencontre qui bouleverse Zelda, femme de ? Zelda, puissante, ravageuse, libre, qui séduisante et garçonne dans un petit bal de l’Alabama terminera trente années plus tard brûlée vive dans un asile psychiatrique Zelda, danseuse assoiffée et infatigable Zelda, aux mots qui pulsent Zelda, témoin d’une époque fondamentale de l’histoire du jazz Zelda, amie des grande figures de la littérature américaine du 20ème siècle Zelda, romancière inclassable Zelda, Zelda, Zelda Zelda, femme de Francis Scott Fitzgerald l’auteur de Gatsby le magnifique ? Oui, et alors ? Déjà mariés, Zelda écrira ‘Accordez-moi cette valse’ en 1932, Francis écrira ‘Tendre est la nuit’ en 1934 : deux romans qui se font échos, deux romans qui se répondent à demi mots, deux romans qui traitent du même sujet d’autofiction : leur propre histoire d’amour. Cas assez unique dans la littérature… A travers l’adaptation du roman contemporain de Gilles Leroy, et quelques bribes projetées de la correspondance du couple Fitzgerald, voici ALABAMA SONG – Théâtre Concert pour une actrice et trois musiciens-acteurs, road movie haletant, swing effréné, confession intime vivante et hors la loi
RESUME DU ROMAN « J’aime le péril… les précipices… les dés qu’on jette étourdiment en pariant sa vie entière, et je n’attends même pas qu’ils aient fini de rouler pour décider de ma ruine. Me perdre, j’aime aussi à l’occasion. C’est moi. Rien ne m’en guérira. » Alabama, 1918. Quand Zelda, " Belle du Sud ", rencontre le lieutenant Scott Fitzgerald, sa vie prend un tournant décisif. Lui s'est juré de devenir écrivain : le succès retentissant de son premier roman lui donne raison. Le couple devient la coqueluche du Tout - New York. Mais Scott et Zelda ne sont encore que des enfants : propulsés dans le feu de la vie mondaine, ils ne tardent pas à se brûler les ailes... Gilles Leroy s'est glissé dans la peau de Zelda, au plus près de ses joies et de ses peines. Pour peindre avec une sensibilité rare le destin de celle qui, cannibalisée par son mari écrivain, dut lutter corps et âme pour exister... …………………………………….... Gilles Leroy est un écrivain français né en 1958. Après un baccalauréat scientifique, des études de lettres et divers jobs, il publie son premier roman en 1987. Il quitte Paris en 1995 pour s’installer dans un hameau du Perche. En 2007, il reçoit le prix Goncourt pour Alabama Song, qui connaîtra un grand succès en France et à l'étranger. Souvent récompensée, son oeuvre compte quinze romans, un recueil de nouvelles, deux pièces de théâtre et un essai autobiographique. …………………………… UN ROMAN AU THEATRE C’est un roman à l’oralité évidente Un roman de théâtre, une langue pour actrice Une prise de parole, un uppercut assumé Un verbe qui prend son élan et ne s’arrête plus Des paysages qui défilent Une course poursuite incessante Des notes de jazz qui retiennent leur souffle Le texte de Gilles Leroy, trois musiciens-acteurs, une salle de bal, Zelda au centre, et tout peut exister
MISE EN SCENE………………… « Je suis Zelda Sayre. La fille du Juge. La future fiancée du grand écrivain » Depuis plus de dix ans je m’engage dans des aventures parfois opposées. Je cherche à explorer de nouveaux univers, à ne pas rester en place. Mais ce qui me maintient debout et qui fait ciment à chaque fois : une langue, un swing, et une parole à l’origine non destinée au théâtre. A la lecture d’Alabama Song, tout y était. Comme une évidence. Un rythme, une musicalité, une voix puissante, une parole politique et féministe, et des questions qui me traversent de création en création : faut-il brûler franchement ou s’éteindre à petit feu ? Que veut dire vivre « à côté » ? « De côté » ? Qu’est-ce qui nous rend vivant, là, tout de suite, dans l’urgence ? Comment s’affirmer ? Rester vivant ? Zelda est une figure passionnante. Autant dans sa biographie, ses œuvres littéraires, que dans la fiction de Gilles Leroy. Un personnage brut, qui transperce l’air. Des mots qui jaillissent sans s’excuser. Une vie qui bouleverse. Un destin hors norme qui appelle à une rencontre à part avec le spectateur. Tous mes spectacles sont des rencontres. Et Zelda et Alabama Song sont avant tout une rencontre. Le célèbre couple Francis et Zelda a marqué l’histoire de la littérature américaine en traversant une période mythique du jazz. Le rapport créateur – créature est au centre de leurs œuvres. Une question politique d’autant plus du point de vue féminin. Question encore et toujours essentielle. Zelda est une femme. Zelda écrit. Zelda danse. Zelda boit. Zelda baise. Zelda hurle. Donc Zelda est folle... Cette terrible équation, alors que « me too » ou « la ligue du lol » font la une des journaux, donne de quoi débattre. Sans revendication ou militantisme. Mais à travers l’humain et l’histoire. Où en est-on aujourd’hui ? Où en suis-je, moi, artiste, dans mon rapport à l’autre ? Au féminin ? Lola Naymark, ma femme dans la vie, jouera justement Zelda. Comme une mise en abîme. Une prise de parole à deux voix. Qui est créateur ? Qui est créature ? Sur scène, une salle de bal qui deviendra salle de danse classique puis salle d’asile psychiatrique Au centre, Zelda. Une Zelda sauvage, une Zelda qui danse, qui chante, qui slame presque sa liberté de femme indépendante. Une Zelda que l’on rencontre de plein fouet, avec joie et insolence. Aux trois recoins de l’espace, trois musiciens qui l’accompagneront, et retraverseront à leur manière contemporaine le jazz des années 20 - 30 (Duke Ellington, King Oliver, Louis Amstrong…) – en gardant le swing, les percussions, le rythme haletant de cette musique. Ils seront aussi les voix de Francis Fitzgerlad, Edouard Jozan (l’amant aviateur de Zelda), et des psychiatres qui l’ont suivie sur toute la fin de sa vie - les voix d’hommes présentes dans le roman de Gilles Leroy. Des voix non pas réalistes, mais dans un travail musical, comme peuvent le faire des metteurs en scène comme Joris Lacoste ou Jacques Rebotier. En une heure et quart, sous forme de théâtre-concert, dans un rythme soutenu à la Whiplash (film de Damien Chazelle), on s’attachera à retranscrire les grandes étapes de la vie de Zelda, histoire débordante de vitalité et de rebondissements, tout en privilégiant l’intime. Se glisser dans les mots et les tremblements de Zelda. Ne pas en ressortir indemne.
NOTE D’INTENTION MUSICALE…………. Alabama Song est une histoire contrastée, faite de trop haut et de trop bas, de dynamiques incontrôlées. La musique jouera ici un rôle avant tout cardiaque : pouls et sentiments. Une pulsation profonde qui habite la moelle des os ; ce que l’acteur ne peut pas dire, peut ou ne peut pas endurer. Pour cette pièce, le jazz me semblait être l’évidence : c’est une musique qui fait le temps, le façonne, le fait danser ou le fait exploser. A l’image de cette époque, il est effervescent, éreintant, et nous fait oublier le Temps. Le défi esthétique consiste à jouer le jazz de cette époque avec le langage d’aujourd’hui. En prendre des souvenirs perdus dans les limbes et les faire rebondir sur les instruments du trio que nous avons choisi : Piano. Violon/Basse. Batterie. Par ce langage, le trio suivra le cœur de Zelda. Il n’y aura pas de version idéale, on traversera le spectacle entre standards revisités et improvisations avec l’actrice. Tenir ce pari musical : improvisation et composition. Pierre-Marie Braye-Weppe Influences / Références musicales : Duke Ellington : Caravan Billie Holliday : I didn’t know what time it was Max Roach : drum solo Thelonious Monk : Coming on the Hudson John Coltrane : Équinox Gil Scott Heron : Whitey on the moon Wayne Shorter/Chris Potter Kendrick Lamar : For free ? (Interlude) Ab-Soul : Ab-Soul’s Outro
EXTRAIT D’UN ARTICLE DU MONDE – novembre 2007 « Ne pas se soucier des poupées Ne pas se soucier du passé Ne pas se soucier de devenir grande Ne pas se soucier de ne pas être la première Ne pas se soucier de triompher» Le livre raconte à la première personne le événements connus, je me suis surtout efforcé destin de Zelda Sayre, l'épouse de Francis de lui rendre une voix personnelle. Scott Fitzgerald. Jusqu'ici la plupart des D'imaginer ses doutes, ses angoisses, ses biographes avaient fait davantage la part belle envolées. De combler les lacunes laissées par à ce dernier, laissant entendre que la folie et les écrits biographiques." les extravagances de Zelda auraient été pour lui un frein à la création. " C'est oublier que Comme cette passion amoureuse qu'elle vit Fitzgerald était largement aussi dans la quelques mois de 1925 sur la Côte d'Azur avec démesure. Il buvait comme un trou... Le côté un aviateur français, Edouard Jozan, dont elle ravageur de leur union a été vraiment fera l'essentiel de son unique roman Accordez- partagé." moi cette valse éd. Robert Laffont, 2000 "Divorce de ton rêve. Tout de suite", lui fait dire Gilles Leroy. Lucide réticence. Après des Zelda est une véritable héroïne, magnifique et fiançailles tumultueuses, ils se marieront à tragique. "Cela va jusque dans son New York en avril 1920, moins d'un mois après prénom, explique-t-il. Sa mère l'avait choisi la parution de L'Envers du parce qu'il était celui d'une Gitane dans un Paradis. Titre prémonitoire pour une vie de roman populaire américain de la fin du couple qui va se désagréger dans la célébrité XIXe, La Salamandre. Comme l'animal destructrice, l'alcool et les jalousies. mythique, on a le sentiment qu'elle traverse les flammes." De fait, on franchit avec elle une Alabama Song est le récit de ce long naufrage. succession d'épreuves. Fitzgerald pille ses En 1940, l'année de la mort de Scott, dans le écrits pour en faire ses propres textes, tente de cabinet du psychiatre de l'Highland Hospital l'empêcher de publier sous son nom, bride d'Asheville, où elle séjourne de son plein gré tant qu'il le peut son enthousiasme pour la après avoir été internée une vingtaine de fois, danse, pour la peinture. On lui dénie le droit Zelda se confie à rebrousse-mémoire. de s'occuper de sa fille. Tout cela entraîné par Douloureux retours dans son existence la psychose et le ressentiment. Zelda périra hoquetante. "Il s'agit bien ici d'un carbonisée dans l'incendie du Highland roman, souligne Gilles Leroy. J'ai relu Hospital à 47 ans. les livres, j'ai relu les lettres, mais, au-delà des
BIOS GUILLAUME BARBOT Formé comme acteur à l’ESAD (école nationale à Paris), Guillaume Barbot fonde la compagnie Coup de Poker en 2005 en Seine et Marne. Il en assure la direction artistique. Il y est auteur et metteur en scène d'une dizaine de créations dont dernièrement : CLUB 27 (Maison des Métallos, Théâtre Paris Villette, TGP à St Denis), NUIT (Prix des lycéens Festival Impatience 2015 au Théâtre National de La Colline), HISTOIRE VRAIE D’UN PUNK CONVERTI A TRENET (en tournée), ON A FORT MAL DORMI (Théâtre de Rond Point), AMOUR et HEROE(s) (Théâtre de la Cité Internationale). En 2019, ANGUILLE SOUS ROCHE (TGP et Tarmac), autre solo féminin sous forme de théâtre concert, diptyque avec ALABAMA SONG. Il développe un travail visuel et une écriture de plateau, à partir de matière non dramatique, mêlant à chaque fois théâtre et musique. Il est accompagné de différents artistes, rencontrés pour la plupart en écoles nationales. Ensemble, ils proposent un théâtre de sensation qui donne à penser, un théâtre politique et sensoriel. La compagnie a été en résidence au Théâtre de la Cité Internationale (2017), est associé au Théâtre de Chelles depuis 2015. Et la compagnie est artiste invitée pour trois ans au TGP à St Denis dès 2018. Elle est soutenue par la DRAC Ile de France, le CG77, et régulièrement par l’ADAMI, ARCADI, SPEDIDAM, CNV… Ses dernières créations sont coproduites par la Scène Nationale de La Ferme du Buisson (77). Il écrit également pour la littérature. Son premier roman « Sans faute de frappe » publié aux éditions d’Empiria, avec le photographe Claude Gassian. Il met en scène aussi dans l’univers musical : à l’opéra de Montpellier avec l’ensemble baroque Les Ombres, à Alfortville avec le chanteur Louis Caratini… Il est aussi co-directeur artistique des Studios de Virecourt, lieu de résidence pluridisciplinaire près de Poitiers qui défend la création originale. LOLA NAYMARK Lola Naymark est comédienne, auteure et metteure en scène. Diplômée d’un master en philosophie politique, elle intègre la Classe Libre du Cours Florent. Elle joue au cinéma sous la direction entre autres de F. Dupeyron, E. Faucher (Brodeuses : nommée aux césar du meilleur espoir féminin, prix Michel Simon, ...) et intègre la famille de R. Guédiguian avec qui elle travaille à plusieurs reprises (Au Fil d'Ariane, Une Histoire de fou, L'Armée du crime). … Au théâtre, elle travaille avec T. de Peretti, J. Malkovich, D. Long,... . Elle joue seule en scène La nuit je suis Robert de Niro, écrit par G. Barbot et mis en scène par Elsa Granat. Elle fonde la Cie L’Hôtel du Nord à Dunkerque et crée Pourtant elle m’aime à la SN du Bateau Feu en 2016. Sa deuxième mise en scène, Les rues n'appartiennent en principe à personne sera créée en octobre 2018 au Studio-Théâtre de Vitry et au CDN de Béthune.
PIERRE-MARIE BRAYE-WEPPE Violoniste depuis l’âge de 3 ans et demi. Titulaire d'un DFE de Violon et de Formation Musicale au Conservatoire de Fontainebleau, il s'attaque alors à l'improvisation David PATROIS au CA de Paris V où il obtiendra un CFEM Jazz et musiques improvisées. Elève de Didier LOCKWOOD pendant plusieurs années, diplômé du CMDL où il est aujourd’hui professeur principal, il multiplie les rencontres dans tous les domaines (Vincent Roca, Jean-Claude Casadesus, Maxim Vengerov, Romane, mais aussi François Rollin, Philippe Avron…) et se consacre à la scène au violon, à la guitare et divers instruments, ainsi qu'à la création de projets variés (jazz, classique, chansons, théâtre, arrangements, compositions). Il travaille avec la Cie Coup de Poker depuis 2008. Il a joué et composé les spectacles mis en scène par Guillaume Barbot : Gainsbourg moi non plus, En Vrac, Nos Belles, Club 27, Nuit, Michaux tranquille à la maison, L’Histoire vraie d’un punk converti à Trenet, ‘Amour’ et Heroe(s). Il travaille également pour le théâtre avec des metteurs en scène comme Marcus Borja (CNSAD), Yohan Manca (Le Carreau du Temple), Lola Naymark (SN de Dunkerque), Julien Barret (CDN d’Angers)… LOUIS CARATINI Louis Caratini suit une double formation, musicale et théâtrale. Il rentre à l'École Supérieure d'Art Dramatique de la Ville de Paris à 19 ans où il apprend de J-C. Cotillard, Nicolas Bouchaud, entre autres et en sort en 2008. Parallèlement, il apprend le piano classique dans l'enfance et se perfectionne en jazz au Conservatoire du IXème Arr.. En tant que comédien, il travaille avec des metteurs en scènes du théâtre privé (Alexis Michalik, Rémi Cotta...) et public (Dominique Richard, Guillaume Barbot, Nicole Genovese, Alan Boone...). En tant que chanteur, son projet personnel Méchants Sons naît en 2010 au Festival Off d'Avignon avec un premier EP. Il est finaliste de nombreux tremplins (Grand Zebrock, Festival Jacques Brel...) et lauréat du Carrefour de la Chanson grâce à son second EP Pour la Bonne Cause. Aussi metteur en scène, il collabore avec son père, le contrebassiste Patrice Caratini pour créer Nica's Dream, spectacle musical. Entre temps, il met en scène L'Appel D'Ereshkigal, opéra contemporain de B. Attahir puis Aragon en Chanson à partir des textes du poète. THIBAULT PERRIARD Au cours de ses études (musicologie à la Sorbonne, CNSMD de Paris), Thibault Perriard s'entoure de musiciens à l'avant-garde du jazz, et notamment au sein des groupes Slugged et OXYD. Ce dernier est nominé aux Django d'Or en 2010 et lauréat des tremplins Jazz à Vienne et des Trophées du Sunside où il décroche en tant que soliste une mention spéciale du jury. Une discographie éclectique ainsi que de nombreuses tournées en France et à l’étranger sont pour lui autant d’occasions de se produire avec des musiciens tels que Marc Ducret, Nelson Veras, Denis Guivarc’h, Laurent Cugny, Magic Malik, Giovanni Falzone, Jean-Charles Richard ou Mina Agossi. Il collabore avec des danseurs (Duo Physis avec la danseuse R. Ardeno), des vidéastes (Focus Collectif) et des metteurs en scène et acteurs dont plusieurs créations de Samuel Achache et Jeanne Candel (Le crocodile trompeur…). Enfin, il co-fonde en tant que guitariste, batteur et chanteur lead le groupe de brit- pop Tomboy.
PISTE D’ACTIONS CULTURELLES La compagnie Coup de Poker fait un travail de territoire très important à l’année, dans toute l’Ile de France. Ce projet s’inscrivant dans la continuité de nos précédentes créations, différents ateliers sont possibles à mener : . Atelier d’écriture et musique : travailler sur ce qu’est une biographie, écrire la vie de quelqu’un – existant ou imaginaire – puis mettre ce texte en musique grâce aux musiciens de la compagnie. Lire simplement son texte et sentir avec les musiciens la rythmique possible, le flot, le swing. Et créer petit à petit un vrai moment de théâtre musique complet. = cet atelier se fait autant dans les classes qu’en centre sociaux ou médiathèque / il est important de ne pas dépasser 15 participants par groupe . Rencontres autour de l’écriture du couple Fitzgerald . Atelier ou masterclass autour de ‘que veut dire et comment adapter un roman ?’
CONTACT Cie Coup de Poker ciecoupdepoker@gmail.com Catherine Bougerol Administration, diffusion 06 33 30 00 81
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