Variole de Bill Gates : la grande répétition de 2021 - Riposte ...

 
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Variole de Bill Gates : la grande répétition de 2021 - Riposte ...
Variole de Bill Gates : la
grande répétition de 2021

                          Bill Gates

    Son attitude corporelle semble nous dire : « Nous vous
injecterons d’une manière ou d’une autre ! Vous n’aurez pas le
                          choix ! »

   Tout comme ils l’avaient fait pour la fausse pandémie du «
C19 » dès 2017, en mars 2021, les adeptes officiels de la
dépopulation humaine de la planète, avec des « moyens civils »
(voir notre éditorial du 26 mai 2022), ont financé la
simulation d’une « attaque » de « la variole de Bill Gates »,
autrement appelée « variole du singe » ou en anglais, «
Monkeypox ».

   Cette simulation a été réalisée en collaboration avec la
Conférence de Munich sur la sécurité (« Münchner
Sicherheitskonferenz » – Forum annuel consacré aux questions
de sécurité internationale qui se tient à l’hôtel Bayerischer
Hof à Munich – Allemagne) et le soutien et la participation du
« Nuclear Threat Initiative » (NTI).

   Avec la coopération de la Conférence de Munich et de la «
Hoover Institution » de l’Université de Stanford (Californie –
États-Unis), le « Nuclear Threat Initiative » (NTI) est fondé
en 2001 par les membres du Parti démocrate des États-Unis, Sam
Nunn (qui a présidé la « Commission des services des armées »
du Sénat des États-Unis) et Ted Turner (qui a fondé les
chaînes de télévision CNN et TBS et qui estime que nous ne
devrions pas être plus de 2 milliards d’êtres humains sur la
planète).

   Les « quatre cavaliers de l’apocalypse nucléaire » que sont
aux États-Unis l’ancien secrétaire d’État George P. Shultz,
l’ancien secrétaire à la Défense William J. Perry, l’ancien
secrétaire d’État Henry A. Kissinger et le sénateur Sam Nunn
seront en 2001 les grands architectes du « Nuclear Threat
Initiative ».

La Conférence de Munich sur la sécurité est fondée en 1963 par
l’éditeur allemand Ewald-Heinrich von Kleist-Schmenzin sous le
 nom de « Wehrkundetagung » (« Conférence sur le savoir de la
                         défense »).

   Bill Gates et Ted Turner aux avant-postes de la « monkeypox
», avec le « Good Club », la Conférence de Munich, la « Hoover
Institution » et le « Nuclear Threat Initiative ».

                           Bill Gates (à gauche) et Ted Turner
                          (à droite)

   Avec Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg et
Oprah Winfrey, Bill Gates et Ted Turner sont deux membres
influents du « Good Club » qui ne cesserait de convaincre les
gouvernements occidentaux et les organismes internationaux de
la nécessité de réduire la population mondiale.

    Après la fausse pandémie au « C19 », ils ont réussi à
placer auprès des mêmes gouvernements des pays occidentaux la
« monkeypox » que nous préférons appeler la variole de Bill
Gates.

   L’intégralité de cette simulation aurait été financée par
la fondation « Open Philanthropy Project » avec un budget
alloué de 8,5 millions de dollars.

   La fondation « Open Philanthropy Project » fut créée en
2017 par un partenariat entre « Good Ventures », la fondation
de Tuna et Moskovitz, et GiveWell (contrôleur d’organismes
caritatifs fondé par Holden Karnofsky et Élie Hassenfeld).
Elle est actuellement dirigée par Holden Karnofsky et ses
principaux donateurs sont Cari Tuna et Dustin Moskovitz.

  270 millions de morts en 18 mois.

   Le développement du scénario de cette simulation et sa
planification ont été dirigés par le « Bureau de la politique
scientifique et technologique de la Maison-Blanche », sous le
contrôle d’Andrew Hebeler.

   Après avoir été directeur adjoint du « Bureau de la
coopération scientifique et technologique » du Département
d’État américain et, de 2013 à 2015, directeur adjoint pour
les menaces biologiques et chimiques du « Bureau de la
politique scientifique et technologique de la Maison-Blanche »
sous l’administration Obama, Andrew Hebeler serait « director
and lead scientist for global biological policy and programs »
(« Directeur responsable scientifique des programmes
biologiques mondiaux ») du « Nuclear Threat Initiative »
(NTI).
Le très discret et compétent Andrew
                           Hebeler

   Le scénario managé d’une main de maître par Andrew Hebeler
prévoyait que quelques cas de « variole de Bill Gates »
(monkeypox), détectés à partir du 15 mai 2022, se transforment
en 18 mois en une terrible pandémie avec 40 % de la population
mondiale infectée (3 milliards de cas détectés) et plus 270
millions de morts.

   L’objectif officiel de cette simulation était d’étudier le
renforcement nécessaire des grands systèmes mondiaux afin de
prévenir et de répondre aux menaces biologiques à hautes
conséquences.

   L’objectif réel, semble avoir été celui de rendre encore
plus opérationnel et plus efficace qu’avec le « C19 », les «
recommandations » de « va xi nation » des populations, en
particulier la « va xi nation » des plus fragiles.

   Le scénario qui doit nous terroriser encore plus que celui
de la fausse pandémie au « C19 » que l’on doit aux mêmes «
architectes » de la terreur sanitaire.

   L’attaque de la variole de Bill Gates a été planifiée dès
décembre 2020 (période du début des injections des « va x ins
» tueurs de Pfizer & Co.) lors d’une réunion d’experts
américains sur la sécurité nationale qui a été organisée par
le Nuclear Threat Initiative (NTI) et vraisemblablement sous
l’autorité d’Andrew Hebeler.

   Parmi les experts convoqués (exclusivement originaires des
États-Unis) par le NTI, se trouvaient des membres
d’organisations du gouvernement fédéral des États-Unis
(Département de la sécurité intérieure), USAID (Agence des
États-Unis pour le développement international), Département
d’État, Université de la Défense, John Hopkins, Harvard TH
Chan School of Public Health, Department of Health and Human
Services (voir page 27 du rapport à se procurer en ligne et
dans lequel il est précisé afin de brouiller les pistes, que «
Ces experts ont participé en tant qu’individus – et non en
tant que représentants de leurs organisations respectives – et
ils n’approuvent pas nécessairement les recommandations de ce
rapport. »)

   Après cette première réunion de décembre 2020, il s’est
ensuivi l’agenda que nous avons pu reconstituer en recoupant
diverses informations :

     Mars 2021 : Simulation, lors d’une table ronde organisée
     par la Conférence de Munich sur la sécurité, de la
     réaction que les autorités étatiques et internationales
     doivent prendre en urgence afin de faire face à une
     pandémie fictive due à une nouvelle souche du virus
     appelé « monkeypox ». Le point de départ est fixé dans
     le scénario au 15 mai 2022.
     Le 4 novembre 2021 : Bill Gates alerte publiquement les
     gouvernements du très sérieux risque de l’apparition
     d’une pandémie de « monkeypox ».
     Mi-mai 2022 :
           Lancement de la campagne de propagande sur les
           risques très importants de la survenue d’une
           pandémie de « monkeypox » dont on signale
           l’apparition de cas dans différents pays
           occidentaux (ceux qui ont terrorisé leurs
           populations avec la fausse pandémie du « C19 »).
           Commercialisation de « va x ins » qui sauveront
           l’humanité de « la variole de Bill Gates »
           (monkeypox).
Contrairement à la réunion de 2020 qui s’est tenue
exclusivement avec des experts américains spécialisés dans
divers domaines de la sécurité nationale, les autres
événements réunirent des dirigeants de l’industrie
pharmaceutique, des experts de la « Gates Foundation », du «
Wellcome Trust », de l’OMS, de l’ONU, auxquels se sont joints
des représentants de la Commission européenne, du Parti
communiste chinois et de plusieurs pays africains (ces
participants auraient eu des décennies d’expérience combinée
dans les domaines de la santé publique, de l’industrie
biotechnologique (ingénierie biogénétique), de la sécurité
internationale et de la philanthropie…

   Quelques précisions sur le recours à des simulations
scénarisées de pandémies

   Ce serait la Fondation Rockefeller qui aurait initié le
recours à la « planification de scénarios » comme « moyen de
mener à bien la « gouvernance mondiale » » (dans le rapport
Rockefeller de 2010 : « Scénarios pour l’avenir de la
technologie et du développement international », plusieurs
scénarios de gouvernance mondiale de pandémies ont été
envisagés (mesures de contraintes, avec la « va xi nation »
sur toute la population de la planète).

  « Lock Step »

   Page 18 de ce rapport publié après la grande répétition
générale de la fausse pandémie de la « grippe porcine H1N1 »
de l’hiver 2009-2010, on trouve la simulation scénarisée
autour d’une nouvelle souche virale de la grippe et intitulée
« Lock Step » (comme il leur est difficile de nous terroriser
avec ce que nous connaissons depuis des millénaires, il leur
faut sans cesse inventer de nouvelles menaces).

  « The Clade X Table Top Simulation »

   Citons également en 2018 l’événement « The Clade X Table
Top Simulation » qui eut lieu au John Hopkins Center for
Health Security et qui était une simulation illustrative des
décisions stratégiques de haut niveau à prendre par le
gouvernement des États-Unis et par l’ensemble des
gouvernements des États occidentaux afin de prévenir une
pandémie.

  « Event 201 »

   « The Clade X Table Top Simulation » a été suivi en octobre
2019 par le célèbre « Event 201 » qui eut également lieu au
Johns Hopkins Center for Health Security.

   L’« Event 201 » doit sa célébrité au fait que son scénario
concernait une épidémie coronavirale intitulée « 2019-nCoV ».

                              *

   « Monkeypox » : et si des scientifiques chinois de Wuhan
étaient dans le coup, comme pour le « C19 » ?

   Selon ce que nous déduisons d’une étude publiée le 28
février 2022 par « Virologica Sinica » (revue internationale
sur la recherche de pointe en virologie), l’Institut de
virologie de Wuhan aurait créé par génie génétique (c’est nous
qui le déduisons) un génome artificiel (génome naturel modifié
par génie génétique) du désormais célèbre virus « monkeypox »
qui serait détectable grâce aux fameux tests PCR.

    Autre intérêt pour les milliardaires mondialistes qui
œuvrent à la dépopulation humaine de la planète afin de rester
entre eux, c’est que cette création pourrait faire du «
monkeypox » un « agent pathogène contagieux », c’est-à-dire,
bien plus contagieux que ne le serait le virus naturel (c’est
nous qui le déduisons).

   Si une vraie pandémie à la « variole de Bill Gates » devait
frapper grâce à ce génome artificiel du virus du monkeypox,
les milliardaires mondialistes disposeraient de deux armes
redoutables pour réduire la population humaine sur la planète
: le virus génétiquement modifié et les « va x ins » tueurs à
l’ARNm dont ils vont sans doute rapidement nous expliquer
qu’ils protègent à 99 % de la variole de Bill Gates.

                  « Virologica Sinica » est le journal officiel de la
                     Société chinoise de microbiologie et l’étude
                   concernée a pour titre « Assemblage efficace d’un
                  grand fragment de génome du virus Monkeypox en tant
                 que modèle qPCR à l’aide d’une recombinaison associée
                  à la transformation basée sur la double sélection »
                 («Efficient Assembly of a Large Fragment of Monkeypox
                  Virus Genome as a qPCR Template Using Dual-Selection
                   Based Transformation-Associated Recombination»).

                  Le rédacteur en chef de la revue est la professeur
                 Zheng-Li Shi et l’article porte les signatures de Lei
                   Yang, Lingqian Tan, Leshan Li, Qiuhong Liu, Xiang
                   Guo, Yuan Zhou, Rongjuan Pei, Xinwen Chen et Yun
                 Wang, qui sont des chercheurs du « Wuhan Institute of
                  Virology Center for Biosafety Mega-Science, Chinese
                          Academy of Sciences, Wuhan, China ».
   Depuis la découverte en 1958 et jusqu’à la semaine du 15
mai 2022, période pendant laquelle devait surgir une pandémie
de « variole de Bill Gates » selon la simulation organisée le
4 novembre 2021 par la Conférence de Munich sur la sécurité et
le « Nuclear Threat Initiative » (NTI), il n’y avait jamais eu
« d’épidémies » de « monkeypox » (variole de Bill Gates) en
dehors de l’Afrique      (toutes    jugulées     avec    de   simples
antibiotiques).

Pierre Lefevre

Libre Consentement Éclairé

Sources

Bill Gates et l’infertilité du sperme humain, cliquez sur « La
BBC en a parlé ».

Interview de Bill Gates avec Jeremy Hunt, cliquez sur « Une
attaque terroriste à la variole du singe ».
Wuhan également dans le coup de la « variole du singe »,
cliquez sur « Le laboratoire P4 de Wuhan aurait assemble des
souches virales de la « variole du singe » (« monkeypox ») ».

« Lock Step Scenario » de la Fondation Rockefeller, cliquez
sur « La Fondation Rockefeller avait-elle tout prévu dès
2010 ? »

Simulation réalisée par la Conférence de Munich sur la
sécurité et le « Nuclear Threat Initiative » (NTI).
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