6 conseils à connaitre avant de publier les photos de votre enfant sur les réseaux sociaux - e-Enfance
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
6 conseils à connaitre avant de publier les photos de votre enfant sur les réseaux sociaux Les fêtes de fin d’années approchent et avec elles, l’envie de partager les nombreux et heureux clichés de sa famille sur les réseaux sociaux. Si Instagram, Facebook, Snapchat et désormais Tik Tok sont des outils très utiles pour garder le contact avec sa famille et passer des moments amusants avec ses enfants, il est primordial d’en connaitre les risques. Pourquoi protéger ses enfants sur Internet ? Les photos de vos enfants peuvent se retrouver entre les mains de pédophiles. Clichés de plage avec juste un bonnet de noël, dans le bain avec une barbe en mousse ou une vidéo Tik Tok sur le dernier titre à la mode en crop top et talons hauts comme les “influenceuses”… ces clichés anodins pour vous, peuvent être une source d’excitation pour les pédophiles. Méfiance avant de les publier ! En outre, il est important de respecter le droit à l’image de votre enfant. L’image de votre enfant ne vous appartient pas ! En tant que parents, vous allez lui expliquer en grandissant l’importance de contrôler son droit à l’image. Comment lui expliquer convenablement si vous ne le respectez pas dès son plus jeune âge ? Comment protéger ses enfants sur les
réseaux sociaux ? En respectant les 6 conseils ci-dessous : 1. Demandez l’autorisation : si votre enfant est en âge de répondre, montrez lui le cliché avant de le poster. Cela lui montre le bon exemple. Il a dès le plus jeune âge conscience de son image et peut donner son avis sur son usage. Si il n’en a pas l’âge, réfléchissez avant de publier. Vous construisez sa e-réputation alors pensez à l’impact de votre photo dans 5 ou 10 ans ! 2. Cachez les visages : pensez à masquer les visages des mineurs sur les photos. Il est préférable de mettre un cliché de votre enfant de dos ou de profil afin que son visage ne soit pas clairement identifiable. Les réseaux sociaux proposent des filtres et des émoticônes permettant aujourd’hui de masquer facilement un visage. 3. Ne donnez pas son identité : sur internet, donner l’identité de son enfant est fortement déconseillé. Remplacez son nom et son prénom par un surnom. 4. Ne précisez pas les données de géolocalisation : évitez de mettre un lieu précis lorsque vous partagez une photo. N’oubliez pas, votre enfant peut facilement être localisé par n’importe qui si vous postez votre adresse, celle de son école ou la parc auquel vous vous rendez chaque mercredi ! 5. Ne partagez pas de situation ridicule et intime : comme vous, votre enfant n’a pas envie de s’exposer dans une situation gênante voire intime sur les réseaux sociaux. Il pourrait ensuite être victime de moqueries ou d’insultes. 6. Publiez dans un cadre restreint : les réseaux sociaux permettent tous aujourd’hui de régler ses paramètres de confidentialité et de créer des groupes restreints plutôt que de partager en masse voire pire en mode public. Dernière nouveauté par exemple, Instagram permet de définir un groupe “Amis proches” afin de restreindre l’accès de vos stories à un groupe défini.
Pour d’autres conseils, rendez-vous sur nos sites www.e-enfance.org ou www.netecoute.fr ou contactez Net Ecoute au 0 800 200 000. Visite de Brigitte Macron à l’Association e-Enfance et Net Ecoute : Les équipes de l’Association e-Enfance et du numéro national Net Ecoute ont eu l’honneur de recevoir la visite de Brigitte Macron. Elles ont eu l’occasion de présenter le quotidien de leurs actions pour lutter contre le cyberharcèlement et les problématiques des jeunes sur Internet. Nous avons pu partager avec elle nos missions de protection de l’enfance sur Internet, à travers nos actions de prévention, de sensibilisation et d’assistance menées grâce à nos interventions en milieu scolaire et au numéro national Net Ecoute 0 800 200 000.
© david atlan @datlanphoto ©david atlan @datlanphoto Engagée contre le harcèlement : Brigitte Macron poursuit ainsi son engagement contre le harcèlement. Très investie, la première dame se mobilise depuis 2017 et soutien les actions du Ministère de l’Education Nationale et des acteurs de la lutte contre toute forme de harcèlement et de discriminations. “Quand le président a été élu, beaucoup de courrier me sont parvenus avec des témoignages d’enfants et d’adolescents mais également des messages de parents très démunis face à cette souffrance engendrée par la violence du harcèlement !” Brigitte Macron, ex professeure de Français, également confrontée au harcèlement lors de ses années d’enseignement, confirme donc son engagement et continue à se mobiliser pour que cela change. Nous remercions Brigitte Macron pour son écoute, sa bienveillance et son soutien précieux à nos équipes.
Prévenir le jeu excessif : nouvelle campagne de la Française des jeux Afin de promouvoir le jeu responsable, la Française des Jeux lance une campagne digitale sous forme de 3 spots de 25 secondes à destination de ses 26 millions de joueurs. L’objectif : valoriser ses outils permettant de maitriser leur pratique. 3 spots = 3 outils pour sensibiliser 1. Le caméleon : ce spot met en avant l’outil “pastille de couleurs”. Les trois passages de couleurs du caméléon : vert, orange puis rouge symbolisent l’outil permettant d’évaluer sa pratique de jeu et les couleurs associées. 2. Le chien : ce spot met en avant l’outil d’auto-évaluation des comportements de jeu. Trop absorbé par son jeu, l’animal en vient à confondre sa patte et sa balle et se mort violemment ! La FDJ oriente les joueurs vers un test en ligne permettant d’identifier un comportement de jeu problématique, à risque ou sans risque. 3. La girafe et les lémuriens : ce spot met en avant l’intérêt pour les joueurs de fixer et de gérer ses limites de jeux. Comportement à risque, demander de l’aide Vous avez utilisé les ressources et outils disponibles de la FDJ et vous constatez que vous avez un rapport addictif avec les jeux d’argent ? Des associations et organismes peuvent
vous aider. SOS Joueurs service d’aide gratuits 09 69 39 55 12 + un forum sur le site sosjoueurs.org CRJE et IFAC Centre de référence sur le jeu excessif et Institut Fédératif des Addictions Comportementales. Informations sur le jeu pathologique. Site d’information et d’assistance en ligne, avec notamment un chat, un forum www.aide-info-jeu.fr + un annuaire des structures de soin en France, Guyane et Martinique. www.ifac-addictions.fr Santé Publique France Service téléphonique 7 jours/7 de 8h à 2h du matin. 09 74 75 13 13 www.joueurs-info-service.fr CRESUS Chambres Régionales du Surendettement Social Réseau innovant d’accompagnement et de prévention du surendettement 03 90 22 11 34 www.cresusalsace.org www.radiocresus.fr Addict’Aide Site d’information sur les addictions, dont l’Association e- Enfance est partenaire co-fondateur, avec une section spéciale Jeux de hasard et d’argent. Un annuaire des centres de soins est à votre disposition. La Française des jeux déconseille fortement la pratique en famille impliquant des mineurs des jeux d’argent. 11% des jeunes de 15 à 17 ans interrogés dans le cadre d’une étude ODJ/INPES 2014 ont un problème avec le jeu (contre 4,6% des
adultes). L’Association e-Enfance soutenue par la Française des jeux depuis plus de dix ans, rappelle l’interdiction du jeu d’argent des mineurs. Et qu’il est de la responsabilité de chacun de ne pas initier les plus jeunes à cette forme de divertissement. Pour plus d’informations, contactez nos conseillers Net Ecoute au 0 800 200 000 ou sur netecoute.fr Tik Tok : le réseau social préféré des ados Tik Tok n’est pas une nouvelle application et pourtant vous entendez beaucoup parler de ce phénomène ces dernières semaines. C’est en fait LE réseau social qui a racheté l’application Musically il y a quelques mois. Aujourd’hui, Tik Tok est utilisé par plus de 500 millions d’utilisateurs dont 2,5 millions en France. Tik Tok, a quoi ça sert ? C’est une application de playback qui permet la création de vidéos en mode Lip Syncing (synchronisation labiale en français). Les utilisateurs postent des vidéos d’environ 15 secondes sur lesquelles ils dansent, chantent en playback, jouent des scènes cultes de films et participent même à de nombreux challenges quotidiens. C’est aujourd’hui devenu la 3éme application la plus populaire chez les 12-14 ans. Même si l’âge pour s’inscrire est fixé à 13 ans, on note que, en France, plus de la moitié des collégiennes de 11 à 14 ans possèdent un compte sur l’application*.
Pourquoi on en parle ? Tik Tok a désormais une très grande influence chez les jeunes. Très axé sur l’image, le réseau social pousse ses utilisateurs à l’exhibition et peut pour les plus fragiles, avoir des conséquences dramatiques. On note également que les jeunes utilisatrices imitent leurs stars préférées (danseuse, chanteuse…) et adoptent des postures sexualisées et de fait, inadaptées à leur jeune âge. Le roi des rats, You Tubeur qui pointe réguliérement du doigt certains abus des réseaux sociaux, a notamment démontré dans l’une de ses vidéos, la présence de prédateurs sexuels qui n’hésitent pas à essayer d’entrer en contact avec de très jeunes filles via les commentaires des vidéos. Fort de ces constats, les associations de protection de l’enfance sur Internet comme e-Enfance, et la Police Nationale, appellent à la vigilance. [#ConseilsCyberl] Votre ado utilise #TikTok ? Attention, il est peut-être la cible de propositions sexuelles mal- intentionnées. S’il en est la victime, rendez-vous en commissariat pour porter plainte. L’auteur encourt 2 ans de prison et 30 000 € d’amende.https://t.co/I2XTU6S3iW — Police nationale (@PoliceNationale) November 19, 2018 Etre vigilant mais comment ? Votre enfant utilise Tik Tok et notre objectif n’est pas de diaboliser son usage. Comme pour beaucoup de réseaux sociaux, Tik Tok est une application de divertissement et le plus important est d’adopter les bons réflexes pour l’utiliser en sécurité. A noter que tous les réseaux sociaux sont interdits aux moins de 13 ans.
1. Dialoguez avec vos enfants et expliquez leur les risques auxquels ils s’exposent en publiant des vidéos publiques et parfois embarrassantes ou dénudées. Comme dans la rue et sur Internet en général, c’est également important de ne pas dialoguer avec des inconnus. Il est enfin fondamental d’insister sur les tenues et les positions parfois “délicates” à ne pas adopter dans un espace “public”. 2. Accompagnez vos enfants dans le paramétrage de la confidentialité de leur compte. Tik Tok permet de passer son compte en mode “Privé” et de définir les personnes avec qui on peut échanger ou entrer en contact. 3. Informez les sur les procédures de signalement. Si vos enfants rencontrent des utilisateurs malveillants ou douteux, il ne faut pas hésiter à signaler ces comportements.
Si vous rencontrez des difficultés pour accompagner votre enfant ou si vous vous sentez dépassé par une situation douteuse ou inappropriée sur Internet, contactez Net Ecoute au 0 800 200 000 (gratuit, anonyme et confidentiel). * Etude Génération Numérique Journée Internationale des Droits de l’enfant : 29 ANS ! Le 20 novembre 1989, l’Organisation mondiale des Nations Unies (ONU) adoptait la Convention Internationale relative aux droits de l’enfant (CIDE) afin de garantir des droits aux enfants du monde entier. 29 Ans de lutte de de combat pour que les droits des enfants
soient respectés partout dans le monde. MAIS aujourd’hui, en 2018, 265 millions d’enfants n’ont pas accès à l’école ! Tous les enfants devraient bénéficier des conditions optimales pour leur développement et leur épanouissement. Pour marquer cette journée, l’UNICEF nous invite à rejoindre le mouvement #GoBlue. Vous aussi arborez du bleu le 20 novembre 2018 pour afficher votre soutien à la cause des enfants. Nous vous invitons également à signer la pétition ici, et à partager en masse le clip réalisé pour l’occasion avec notamment les acteurs Millie Bobby Brown et Orlando Bloom. Cette opération intitulée “En bleu pour chaque enfant” invite tous ceux qui soutiennent l’UNICEF à se mobiliser en bleu pour chaque enfant, en portant des vêtements bleus ou en utilisant la couleur bleue, en témoignage de leur appui aux droits de l’enfant. « La Journée mondiale de l’enfance est une journée divertissante porteuse d’un message sérieux », affirme la jeune actrice. « Durant cette journée, nous encourageons tous les enfants à parler de ce qui compte pour eux, comme le fait de recevoir une éducation, de disposer d’espaces sûrs dans lesquels apprendre et jouer, et d’évoluer dans des environnements positifs. En nous mobilisant en bleu pour chaque enfant pour l’UNICEF lors de cette journée, nous demandons au monde entier d’offrir un avenir prometteur aux enfants. »
Journée Non Au Harcèlement 2018 – Sexting non consenti et revenge porn Aujourd’hui c’est la 6éme journée Non Au Harcèlement. Cette année, le ministère de l’Education Nationale a choisi de faire de la prévention sur le sexting non consenti et le revenge porn. Découvrez le clip de la campagne Non Au Harcèlement 2018 : Qu’est-ce que le revenge porn ou sexting non consenti ? Une photo c’est personnel, la partager c’est harceler ! Le sexting non consenti ou le revenge porn c’est partager des images à caractère sexuel d’une personne sans son consentement. Cela peut avoir des conséquences dramatiques sur celle ou celui qui en est victime. Diffusion de sexting non consenti : « les responsables, ce sont ceux qui (re)partagent et commentent méchamment ! » par Aurélie Latourès, du centre Hubertine Auclert « Ce qui est inadmissible et répréhensible dans le clip diffusé à l’occasion du 8 novembre 2018, c’est l’usage qui a été fait de ces images: à savoir à la fois leur diffusion sans le consentement mais aussi les repartages et les commentaires dégradants ou humiliants qui y sont associés, qui peuvent
contribuer à diffuser des rumeurs. Plutôt que de culpabiliser les filles pour ces contenus, il est important de replacer la responsabilité auprès du diffuseur et des relayeurs : diffuser des contenus sans l’accord de la personne est une atteinte à la vie privée, propager des rumeurs, des insultes, peut avoir des conséquences graves pour les victimes. Le consentement, c’est important aussi en ligne ! Le consentement est l’accord volontaire qu’une personne donne au moment de participer à une activité. En ligne, tout se passe très vite en un seul clic, en oubliant souvent le consentement ! Il est important que chacune et chacun restent libres de pouvoir s’exprimer sans crainte mais aussi libres de conserver sa vie privée et sa dignité. Partager une photo ou vidéo sans l’accord de la personne, c’est une atteinte à ses droits et à sa liberté : la loi condamne ces actes. » Que dit la loi concernant le Revenge Porn ? L’article 67 de la loi du 7 mars 2016 pour une République numérique (dite Loi Lemaire) est venu approfondir le code pénal en créant, sous les articles 226-1 et 226-2 (délit d’atteinte volontaire à l’intimité de la vie privée par transmission de propos tenus en privé ou par captation et diffusion d’image), un nouvel article 226-2-1 qui renforce les sanctions pénales dans les cas spécifiques de contenus à caractère sexuel. Ainsi, le caractère sexuel des contenus est une circonstance aggravante puisque le délit passe dans ce contexte d’un à deux ans de prison, et de 45 000 à 60 000 € d’amende. A retenir : La loi punit l’infraction de « Revenge Porn » indépendamment du point de savoir si la personne a donné son consentement à l’enregistrement initial de la vidéo ou des images. Le seul fait que la diffusion, notamment sur le réseau Internet, ait lieu sans le consentement de la personne suffit.
Comment faire face lorsqu’on est victime ? 1 – Garder une preuve 2 – Signaler le contenu Comment signaler sur Instagram, Facebook, Snapchat, Youtube) 3 – Appeler Net écoute N° VERT « NET ÉCOUTE » : 0800 200 000 Gratuit, anonyme, confidentiel et ouvert du lundi au vendredi de 9h à 19h Facebook lance le premier Fonds pour le Civisme en Ligne. Facebook France soutient les projets et initiatives contre le harcèlement et la haine et pour l’esprit critique en proposant le premier Fonds pour le civisme en ligne. En 2019, 1 million d’euros seront dédiés au soutien de plusieurs projets d’organisations française (associations, startups…). Lutter contre toute forme de haine, de harcèlement et d’intimidation. 40% des élèves français avouent avoir subi une agression en ligne. La nécessité de soutenir les acteurs qui contribuent à faire d’Internet un espace plus sûr est indéniable.
“Nous sommes convaincus que la lutte contre le harcèlement se gagnera si nous unissons nos forces avec les acteurs de terrain et les experts de cette problématique. Nous sommes ravis que l’initiative ait rassemblé un panel aussi large d’experts, et espérons qu’ensemble, nous pouvons agir de manière efficace sur ces enjeux de société. ” selon Julie de Bailliencourt, responsable de la politique de sûreté de Facebook. Ce fonds de civisme a pour objectif de financer des projets qui innovent dans la promotion de comportements responsables en ligne, sur les champs d’action suivants : – La lutte contre les discours de haine – La lutte contre le harcèlement – Le développement de l’esprit critique Chaque année, ce financement sera réparti par le comité d’experts entre 2 catégories de dotations : le Grand Prix, avec une dotation allant jusqu’à 200 000 euros, et les Projets, entre 10 et 12 chaque année, avec une dotation allant jusqu’à 80 000 euros chacun. Les projets lauréats sélectionnés seront dévoilés le 6 février prochain, à l’occasion du Safer Internet Day. Les porteurs de projets ont jusqu’au 15 décembre pour postuler et seront ensuite suivis et accompagnés dans la concrétisation de leurs objectifs tout au long de l’année. Non Au Harcèlement 2018 – Le Tournage Le 08 novembre c’est la journée Non au harcèlement. Retrouvez sur notre site dès le 08 novembre la vidéo de la campagne Non au harcèlement 2018.
Cette année, le clip abordera la thématique du sexting/revenge porn. En attendant de le découvrir, voici quelques photos du tournage (Source : Ministère de l’Education Nationale/NAH).
Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège.
Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège. Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège.
Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège.
Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège. Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège.
Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège.
Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège. Coulisses du tournage du court métrage : Lutte contre le Harcèlement au sein du collège.
Vous pouvez aussi lire