ALICE WONDERLAND présenté par Casalibus - CONTE MUSICAL ABSURDE ET FANTASTIQUE

 
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ALICE WONDERLAND présenté par Casalibus - CONTE MUSICAL ABSURDE ET FANTASTIQUE
ALICE WONDERLAND                                                                                                               présenté par Casalibus

	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  	
  D	
  ‘	
  	
  après	
  les	
  aventures	
  d’Alice	
  aux	
  pays	
  des	
  merveilles	
  de	
  LEWIS	
  	
  CARROLL	
  

CONTE MUSICAL ABSURDE ET FANTASTIQUE
ALICE WONDERLAND présenté par Casalibus - CONTE MUSICAL ABSURDE ET FANTASTIQUE
LES RÊVEURS
ADAPTATION rocambolesque SINAN BERTRAND & VINCIANNE
                                         REGATTIERI

                         MISE en rêve VINCIANNE REGATTIERI

                  CLÉ DE SOL en fou majeur PATRICK LAVIOSA

                         VERS luisants ANTONIO DE CARVALHO

                 FOURRURES et dentelles MONIKA REGATTIERI

                MAGIE en bouillon de cube MARJOLAINE AMBRE

LES BELLES ET LES BÊTES
                 Florie Auclerc Vialens Alexandre Bonstein
 Laurent Conoir Lupi Lauri Léo Messe Bianca ou Iliana
                                                                    	
  
     Les comédiens de Magnus Casalibus sont des espèces rares.
       En provenance de diverses        réserves naturelles, ils
     excellent dans l’art de                              jouer.
  Tous certifiés label                  rouge, les fauves sont
       comédiens,
         chanteurs                     circassiens, musiciens .

   Passionnants et                      labellisés insolents, ils
  se sont faits les                    crocs sur les scènes les
 plus prestigieuses                             en France et à
        l’étranger.
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Charles Ludwig Dodgson, alias Lewis Carroll
                                               	
  
  Né le 27 janvier 1832 dans le Cheshire et mort le 14 janvier
1898, victime de la bière et de la drogue. Il avait un esprit tordu,
         obsédé parle thème du renversement des choses.

     Son environnement familial lui valut des années d’analyses
     psychologiques. Professeur de mathématiques, expert en
                          photographie.

  Il finit auteur de poèmes.

  ALICE AUX PAYS
  DES MERVEILLES
  est mondialement                  	
  	
  
  connu. Ce conte
  allégorique et fantasque
  a inspiré des adaptations
  littéraires et
  cinématographiques tels
  que Matrix ou Le Magicien

    d’Oz. Comment une histoire                                    aussi
    rocambolesque a t elle pu être                            imaginée
            par un cerveau aussi                           rationaliste
                            ?

L’œuvre raconte le voyage
invraisemblable d’une petite                                     fille
dans un monde sans aucune
logique apparente, où la dualité est mise en
scène dans toutes les situations : illusion ou réalité ?

  Visible, invisible ? Cruelle ou merveilleuse enfance ? Se perdre ou
                                                          se trouver ?
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L'ADAPTATION
        L’adaptation, fidèle au génie de Carroll, est déjantée,
         musicale, électrique et poétique. Réunissant chants,
           énigmes, philo, jeux de mots hilarants. Ce conte
      schizophrène et absurde laisse transparaitre deux mondes
            qui s’opposent et s’emboitent tout à la fois.

                                    NOTE DE MISE EN RÊVE
La mise en scène plonge l’OEIL du spectateur dans un monde en 3
    Dimensions. Dans le même temps, des artifices propre au
    théâtre créent des possibilités de zoom et de grand angle
 accentuant les effets d’optique propres à chacun. Le public n’est
alors plus simplement spectateur, il est partiellement aspiré dans
  ce monde afin que sa logique et tous ses sens soient sollicités.

  Ainsi, un pont est jeté entre les rives du monde d’Alice et le
                              notre.
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LES COSTUMES sont inspirés du XIXe siècle et du dandysme.
Dans le monde « réel » d’Alice, les tons alternent noir, blanc et
or.   Ressort   une   impression     globale   d’images     sépia.

Dans le monde « merveilleux » de la petite fille, les tons virent
aux pastels écrasés façon macarons Ladurée.

                                        LES PERSONNAGES
                                        sont une galerie de
                                        protagonistes complexes
                                        mais s’avèrent tous
                                        intéressants par leur
                                        non-conformisme. Ils
                                        interpellent nos repères.

                                        Ils sont aussi des
                                        caricatures bien léchées
                                        de notre monde, pas si
                                        lointain du pays d’Alice :
                                        un lapin blanc stressé par
                                        le Temps après lequel il
                                        court, un chapelier en
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savant fou d’une impertinence bien trempée dans son thé vert, une
reine cachant une obsession maladive du pouvoir absolu…

LES LUMIERES guident le chemin à emprunter par Alice, en
créant des focales sur le parcours initiatique de l’héroïne.

 Le spectateur a l’impression de déambuler dans

un labyrinthe et de suivre un chemin caché.

LA MUSIQUE l’architecture sonore est classique, baroque barrée
et les compositions originales chantées sont principalement inspirées
du Dr Dee et de Damon Albarn.

Ainsi fait t-elle danser ensemble logique, raison, folie, esprit,
cruauté, merveille.

VINCIANNE REGATTIERI
Des l’âge de douze ans, elle étudie           le théâtre, le chant et la
danse à « L’Académie                              Internationale de la Danse
de Paris». Elle poursuit sa                      formation avec «LE ROY
HART THEATER» à Londres. À                       NEW YORK, elle obtient
une bourse d’étude à l’école                     PLURIDISCIPLINAIRE
«STEPS».

De retour en France, elle est                   engagée par Alain Marcel
pour jouer dans la comédie musicale «Kiss      Me Kate » au théâtre
Mogador et au grand théâtre de Genève. Elle    joue dans «CHANTECLER»
d’Edmond Rostand, mis en scène par JÉRÔME SAVARY avec JEAN CLAUDE
DREYFUS et Agnès Soral au THÉÂTRE NATIONAL DE CHAILLOT. Dans «LA
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MAISON TELLIER» de Maupassant puis dans «N’OUBLIE PAS BOB MORANE»
au THÉÂTRE DU VOLCAN. La Compagnie Fracasse l’engage pour jouer «LE PETIT
D’ARTAGNAN» dans LES TROIS MOUSQUETAIRES. Elle y pratique l’escrime et
l’équitation durant six mois de préparation. Elle interprète Agnès dans «L’ÉCOLE
DES FEMMES DE MOLIÈRE», joue aux FOLIES BERGÈRE la comédie musicale
«NINE» D’après L’œuvre de Fellini, mise en scène par l’italien Saverio Marconi, puis
dans «HAIR» à MOGADOR. Elle joue avec et sous la direction de Jean Claude
Brialy, «MON PÈRE AVAIT RAISON» de Sacha Guitry. L’année suivante dans «LA
PÉRICHOLE» mise en scène par Jérôme Savary au théâtre NATIONAL DE
CHAILLOT, puis dans «IRMA LA DOUCE» avec Clotilde Courau. Elle est également
récitante pour les livres disque jeune public chez Acte Sud.

À l’OPÉRA DE LIÈGE et à l’opéra d’Avignon, elle est soliste dans la comédie
musicale «TITANIC», mise en scène par Jean Louis Grindat. En 2007, elle joue
dans «AMPHITRYON» et dans «LE MÉDECIN MALGRÉ LUI» de Molière. Puis
dans «PANIQUE À BORD», pièce de Stéphane Laporte mis en scène par Agnès
Boury.

En tant que METTEUR EN SCÈNE Vincianne monte : «BEAUCOUP DE BRUIT
POUR RIEN» au TNC AU THÉÂTRE DU RANELAGH et à la COMÉDIA, «LA
TEMPÊTE» au THÉÂTRE SYLVIA MONFORT et «LE SONGE D’UNE NUIT
D’ÉTÉ» pour le FESTIVAL D’AVIGNON, le THÉÂTRE DU RE NARD et pour le
FESTIVAL SHAKESPEARE de Neuss en Allemagne.

À Berlin, Vincianne monte «AS YOU LIKE IT» de Shakespeare pour la
SHAKESPEARE COMPANY BERLIN puis «LES PRÉCIEUSES RIDICULES» d’après
Molière pour le Festival d’Anjou et le Festival d’Avignon. Elle écrit une pièce pour
les femmes «LES HÉROÏNES» En 2008, elle met en scène pour le Festival
d’Anjou, et au THÉÂTRE SIlVIA MONTFORT, «LES MILLE ET UNE NUITS».

Elle écrit avec Alain Sizey et met en scène «LE GRAND JOURNAL DU
FESTIVAL» pour Avignon 2009, puis au CABARET SAUVAGE «LE
MAHABARATHA» en 2010.

Elle met en scène «LE FESTIVAL DU FUTUR COMPOSE» à la Mairie de Paris, à la
villette. En 2011, elle co-écrit l’adaptation avec Alain Sizey, de «ROMÉO &
JULIET» premier prix du jury au festival d’Angers et prix du festival off
Avignon 2014

 Un FILM documentaire sur son travail avec des artistes autistes, de Fred Soupa,
est sorti au cinéma. Il s’intitule “NOS PLUSIEURS”. Arte vient de choisir sa CIE
pour un documentaire sur Shakespeare.
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MAGNUS CASALIBUS
Magnus Casalibus est une compagnie de théâtre pluridisciplinaire. En plein air,
dans les bois, sur des places de villages aussi bien que dans des théâtres
traditionnels, voici près de 14 ans que ses spectacles tournent à travers la
France, l’Allemagne, l’Italie, la Suisse, la Belgique…

Toujours en effervescence, Magnus Casalibus se compose d’artistes, venus de
tous les univers pour explorer une forme de jeu inouï, un théâtre des cinq
sens. Populaire, festif et musicales, ses adaptations ébouriffantes de grands
classiques ont fait sa notoriété. Une liberté de ton et d’expression unique
faite de musique, de masques, de verbes, de costumes bigarrés, de danses,
d’acrobaties

L’interactivité avec le public, la liberté communicative, l’énergie débordante
font de chaque spectacle de Magnus Casalibus un espace privilégié de création,
d’imagination et de rêves.

La Cie a reçu le premier prix du festival d’Angers et le prix du festival
d’Avignon OFF en 2014

LA PRESSE
BEAUCOUP DE BRUIT POUR RIEN
Les	
  interprètes	
  chantent	
  et	
  dansent	
  avec	
  un	
  brio	
  décapant.	
  JOSHKA	
  SCHIDLOW.TÉLÉRAMA	
  

C’est	
  intelligent,	
  bien	
  fait,	
  distrayant,	
  on	
  sort	
  plutôt	
  heureux.	
  JEAN-­‐LUC	
  JEENER.	
  FIGAROSCOPE	
  

Une	
  représentation	
  délirante	
  qui	
  donne	
  à	
  cette	
  œuvre	
  classique	
  des	
  allures	
  de	
  fable	
  
contemporaine.	
  JOAN	
  AMZALLAG.	
  FRANCE	
  SOIR	
  

Allez	
  voir	
  ce	
  spectacle	
  éclatant,	
  joyeux,	
  vivant.	
  C’est	
  certain,	
  il	
  fera	
  beaucoup	
  de	
  bruit	
  et	
  ce	
  ne	
  
sera	
  pas	
  pour	
  rien.	
  MARIE-­‐CÉLINE	
  NIVIÈRE.	
  PARISCOPE	
  

Délirante,	
  loufoque	
  et	
  jubilatoire,	
  cette	
  délicieuse	
  adaptation	
  conjugue	
  avec	
  bonheur	
  
l’impertinence,	
  et	
  l’inventivité.	
  GÉRALDINE	
  THOMAS.	
  LE	
  PARISIEN	
  

C’est	
  pétillant,	
  drôle	
  et	
  délirant.	
  LARA	
  RUHIER.	
  ZURBAN	
  

Ce	
  spectacle	
  qui	
  devrait	
  faire	
  grand	
  bruit	
  est	
  un	
  bijou	
  vibrionnant	
  d’invention,	
  de	
  délire	
  et	
  de	
  
vitalité,	
  une	
  fête	
  des	
  mots,	
  des	
  sens	
  et	
  des	
  senteurs.	
  MYRIEM	
  HAJOUI.	
  À	
  NOUS	
  PARIS	
  

C’est	
  du	
  Shakespeare	
  relu	
  par	
  les	
  Monty	
  Python.	
  JEAN-­‐PIERRE	
  SIMÉON.	
  L’HUMANITE	
  
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LA TEMPETE
Surprenant,	
  drôle,	
  gênant.	
  ASSIA	
  RABINOWITZ.	
  LE	
  FIGARO	
  

Porté	
  par	
  une	
  mise	
  en	
  scène	
  endiablée	
  et	
  détonante,	
  ce	
  spectacle	
  alliant	
  théâtre,	
  chorégraphie	
  
et	
  chant	
  laisse	
  une	
  impression	
  de	
  nouveauté	
  et	
  séduit	
  par	
  les	
  perspectives	
  qu’il	
  laisse	
  entrevoir.	
  
ARTHUR	
  GEORGES.	
  VSD	
  

Une	
  Tempête	
  baroque	
  et	
  très	
  moderne	
  à	
  la	
  fois	
  qui	
  emporte	
  l’adhésion	
  et	
  apporte	
  l’euphorie.	
  
PHILIPPE	
  ESCALIER.	
  D.A	
  INFOS	
  

Vaillants	
  moussaillons	
  d’un	
  spectacle	
  pluriel,	
  les	
  comédiens	
  captent	
  dans	
  un	
  éclat	
  de	
  pure	
  
énergie,	
  les	
  arrières	
  mondes	
  qui	
  pullulent	
  derrière	
  le	
  verbe	
  shakespearien.	
  MYRIEM	
  HAJOUI	
  À	
  
NOUS	
  PARIS	
  

C’est	
  très	
  rock	
  n’	
  roll	
  !.	
  Avec	
  cette	
  merveilleuse	
  troupe	
  de	
  comédiens,	
  Shakespeare	
  fait	
  feu	
  de	
  
tout	
  bois.	
  Quel	
  souffle	
  !	
  MARIE-­‐CÉLINE	
  NIVIÈRE	
  PARISCOPE	
  

On	
  retrouve	
  avec	
  plaisir	
  son	
  goût	
  pour	
  les	
  cavalcades	
  et	
  les	
  provocations,	
  cette	
  jubilation	
  
permanente,	
  partagée	
  par	
  l’ensemble	
  de	
  cette	
  jeune	
  troupe.	
  STÉPHANE	
  BUGAT.	
  L&A	
  
SPECTACLES	
  

LES PRÉCIEUSES RIDICULES OU LE Molière MUSIC HALL
SHOW
Entre	
  grandeur	
  et	
  décadence,	
  de	
  quoi	
  étirer	
  ses	
  zygomatiques	
  et	
  accroître	
  sa	
  perception	
  de	
  
l’humaine	
  mascarade.	
  LE	
  DAUPHINÉ	
  

La	
  jeune	
  compagnie	
  Casalibus	
  (...),	
  ambulante	
  comme	
  l’était	
  à	
  l’origine	
  la	
  troupe	
  de	
  comédiens	
  
du	
  «père»	
  de	
  Tartuffe	
  ou	
  de	
  Scapin,	
  a	
  remis	
  cette	
  pièce	
  au	
  goût	
  du	
  jour,	
  l’a	
  modernisée	
  à	
  la	
  
mode	
  des	
  années2000.	
  (...)	
  Même	
  le	
  public	
  est	
  associé	
  à	
  ces	
  pitreries	
  de	
  haut	
  vol.	
  La	
  bonne	
  
humeur	
  et	
  la	
  passion	
  de	
  la	
  frêle	
  Vincianne	
  Regattieri,	
  qui	
  signe	
  cette	
  satire,	
  ont	
  apporté	
  un	
  
sacré	
  coup	
  de	
  fraîcheur	
  au	
  Festival	
  d’Anjou.	
  LA	
  NOUVELLE	
  RÉPUBLIQUE	
  

Avec	
  trois	
  fois	
  rien	
  de	
  moyens,	
  mais	
  un	
  plaisir	
  de	
  jouer	
  gros	
  comme	
  ça,	
  la	
  formidable	
  troupe	
  
des	
  Précieuses	
  ridicules	
  est	
  parvenue	
  (...)	
  à	
  renouer	
  avec	
  la	
  force	
  comique	
  du	
  théâtre	
  de	
  
Molière.	
  Magique	
  !	
  (...)	
  Les	
  six	
  comédiens	
  de	
  la	
  compagnie	
  Casalibus	
  ne	
  reculent	
  devant	
  rien	
  :	
  à	
  
l’évidence,	
  l’esprit	
  du	
  fameux	
  «Illustre	
  Théâtre»	
  leur	
  importe	
  bien	
  plus	
  que	
  la	
  lettre	
  !	
  Molière	
  
lui-­‐même	
  disait	
  à	
  propos	
  des	
  Précieuses	
  ridicules	
  «qu’une	
  grande	
  partie	
  des	
  grâces	
  qu’on	
  y	
  a	
  
trouvées	
  dépendent	
  de	
  l’action	
  et	
  du	
  ton	
  de	
  la	
  voix».	
  À	
  ce	
  propos,	
  on	
  ne	
  peut	
  que	
  saluer	
  la	
  
performance	
  des	
  six	
  comédiens,	
  vraiment	
  formidables.	
  »	
  LE	
  COURRIER	
  DE	
  L’OUEST	
  

Entre	
  théâtre	
  et	
  music-­‐hall,	
  les	
  acteurs	
  s’en	
  donnent	
  à	
  cœur	
  joie	
  pour	
  pousser	
  la	
  chansonnette	
  
dans	
  des	
  accoutrements	
  sortis	
  de	
  nulle	
  part.	
  Les	
  Précieuses	
  sont	
  en	
  tongs	
  à	
  paillettes,	
  les	
  
marquis	
  et	
  autres	
  vicomtes	
  en	
  bottines	
  à	
  semelles	
  compensées...	
  Une	
  satire	
  caricaturale,	
  
loufoque	
  et	
  délirante,	
  une	
  troupe	
  d’acteurs	
  qui	
  s’amuse,	
  et	
  qui	
  nous	
  fait	
  partager	
  ce	
  moment	
  
de	
  plaisir.	
  FRANCE	
  BLEU	
  

LE SONGE D'UNE NUIT D'ÉTÉ
ALICE WONDERLAND présenté par Casalibus - CONTE MUSICAL ABSURDE ET FANTASTIQUE
Les	
  huit	
  comédiens	
  de	
  la	
  Cie	
  Casalibus	
  réussissent	
  des	
  prodiges	
  d’inventivité	
  gestuelle	
  et	
  
sonore.	
  V.	
  Régattieri	
  réussit	
  le	
  pari	
  d’un	
  théâtre	
  total	
  et	
  réjouissant.	
  Que	
  demander	
  de	
  plus	
  ?	
  
H.KUTTNER,	
  THEATRE	
  MAGAZINE	
  

Voilà	
  une	
  performance	
  d’acteurs	
  franchement	
  vivifiante	
  P.	
  VAVASSEUR,	
  LE	
  PARISIEN	
  

On	
  rit	
  plutôt	
  de	
  bon	
  cœur...	
  JP.SIMÉON,	
  L’HUMANITE	
  

Vincianne	
  Regattieri,	
  metteur	
  en	
  scène,	
  métamorphose	
  un	
  joyau	
  ancien	
  en	
  parure	
  iconoclaste	
  
formidablement	
  vivante.	
  Du	
  théâtre	
  de	
  foire	
  rigoureux	
  qui	
  rejette	
  les	
  lois	
  de	
  la	
  bienséance	
  et	
  
c’est	
  tant	
  mieux.	
  JL.	
  CHARLES,	
  LA	
  MARSEILLAISE	
  

Déroutant	
  !	
  JM.	
  COLIADIT,	
  LA	
  PROVENCE	
  

Voilà	
  donc	
  une	
  mise	
  en	
  scène	
  dynamique,	
  imaginative,	
  qui	
  cache	
  derrière	
  une	
  apparente	
  
légèreté,	
  le	
  travail	
  virtuose	
  de	
  tous	
  les	
  comédiens	
  C.KRAIF,	
  REVUE	
  SPECTACLE.COM	
  

Débordant	
  d’énergie,	
  ce	
  Songe	
  d’une	
  nuit	
  d’été	
  là	
  a	
  toutes	
  les	
  chances	
  de	
  faire	
  passer	
  un	
  
moment	
  agréablement	
  revigorant...	
  C.BASTIDON,	
  LA	
  MARSEILLAISE	
  

Il	
  est	
  permis	
  de	
  violer	
  le	
  théâtre	
  à	
  condition	
  de	
  lui	
  faire	
  de	
  beaux	
  enfants...	
  C’est	
  ce	
  que	
  je	
  me	
  
disais	
  l’autre	
  soir	
  en	
  sortant	
  du	
  Théâtre	
  du	
  Renard,	
  dans	
  le	
  IVème	
  arrondissement	
  de	
  Paris,	
  si	
  
enthousiasmé	
  par	
  le	
  spectacle	
  auquel	
  je	
  venais	
  d’assister	
  (...)	
  avec	
  une	
  troupe	
  aussi	
  allègre-­‐	
  
ment	
  délirante,	
  désinhibée,	
  pétaradante	
  et	
  inventive	
  que	
  la	
  Compagnie	
  Casalibus	
  et	
  un	
  metteur	
  
en	
  scène	
  tel	
  que	
  Vincianne	
  Regattieri	
  qui	
  a	
  su	
  tirer	
  le	
  meilleur	
  parti	
  de	
  l’originalité	
  
architecturale	
  des	
  lieux.	
  (...)	
  Il	
  s’en	
  dégage	
  une	
  énergie	
  rare	
  au	
  théâtre,	
  et	
  particulière	
  aux	
  
troupes	
  qui	
  se	
  donnent	
  sans	
  réserve,	
  de	
  manière	
  si	
  communicative	
  et	
  avec	
  une	
  telle	
  sincérité	
  
qu’on	
  en	
  ressort	
  revigoré.	
  PIERRE	
  ASSOULINE	
  LE	
  MONDE.FR	
  

Les	
  huit	
  comédiens	
  de	
  la	
  Cie	
  Casalibus	
  reprennent	
  leur	
  production	
  du	
  «Songe	
  d’une	
  nuit	
  d’été»	
  
de	
  Shakespeare,	
  crée	
  en	
  2002	
  dans	
  le	
  Off	
  du	
  Festival	
  d’Avignon.	
  Cette	
  version	
  très	
  
contemporaine	
  avait	
  été	
  saluée	
  par	
  la	
  critique	
  et	
  pour	
  cause	
  :	
  avec	
  un	
  texte	
  réactualisé	
  souvent	
  
drôle	
  et	
  une	
  mise	
  en	
  scène	
  «	
  sucrée	
  salée	
  »,	
  pleine	
  de	
  gourmandise,	
  les	
  artistes	
  jouent	
  au	
  sens	
  
propre	
  du	
  terme.	
  Le	
  public,	
  lui,	
  se	
  régale.	
  PARIS	
  ÉTUDIANT.	
  

(...)	
  La	
  C°	
  Casalibus,	
  animée	
  du	
  doigt	
  de	
  fée	
  de	
  Vincianne	
  Regattieri,	
  nous	
  offre	
  un	
  «Songe	
  d’une	
  
nuit	
  d’été»	
  des	
  plus	
  réjouissants.	
  (...)	
  Les	
  comédiens,	
  par	
  leur	
  fougue,	
  leurs	
  talents	
  variés,	
  leurs	
  
aptitudes	
  à	
  changer	
  d’emplois	
  dans	
  un	
  jeu	
  des	
  plus	
  inventifs,	
  nous	
  ont	
  littéralement	
  convaincus	
  
et	
  même	
  séduits.	
  PARISCOPE.	
  (Coup	
  de	
  cœur.)	
  

Grâce	
  au	
  jeu	
  d’acteurs	
  épatant	
  et	
  précis,	
  la	
  pièce	
  devient	
  une	
  performance	
  artistique	
  subtile,	
  
ludique	
  et	
  intelligente.	
  La	
  mise	
  en	
  scène	
  de	
  Vincianne	
  Regattieri	
  nous	
  surprend	
  tout	
  au	
  long	
  du	
  
spectacle.	
  D’une	
  grande	
  inventivité,	
  les	
  costumes	
  et	
  l’utilisation	
  du	
  décor	
  participent	
  à	
  
l’alchimie	
  de	
  ce	
  conte	
  jubilatoire,	
  sauvage	
  et	
  brillant.	
  

Nous	
  sommes	
  décidément	
  gâtés	
  par	
  cette	
  rentrée	
  théâtrale	
  :	
  voilà	
  encore	
  un	
  spectacle	
  d’une	
  
qualité	
  et	
  d’une	
  créativité	
  inouïes.	
  Il	
  y	
  a	
  de	
  la	
  magie	
  dans	
  ce	
  Shakespeare	
  et	
  l’atmosphère	
  est	
  
baignée	
  par	
  un	
  brin	
  de	
  folie...	
  Et	
  quand	
  le	
  songe	
  prend	
  fin,	
  on	
  n’a	
  qu’une	
  seule	
  envie,	
  que	
  cette	
  
nuit	
  recommence...	
  REGARD	
  EN	
  COULISSES.COM	
  

UN	
  SONGE	
  FLAMBOYANT.	
  Une	
  mise	
  en	
  scène	
  jubilatoire.	
  (...)	
  Extraordinaire	
  fantaisie	
  d’une	
  
gestuelle	
  joyeusement	
  délirante,	
  fruit	
  d’une	
  imagination	
  et	
  d’une	
  érudition	
  débordantes.	
  Un	
  
vrai	
  régal	
  dont	
  on	
  sort	
  revigoré.	
  LE	
  PARISIEN	
  

La	
  «	
  mise	
  en	
  chimère	
  «	
  de	
  Vincianne	
  Regattieri,	
  splendide	
  horloge	
  profite	
  joliment	
  de	
  
l’architecture	
  en	
  balcons	
  de	
  la	
  salle	
  pour	
  offrir	
  une	
  féerie	
  créative	
  et	
  maîtrisée	
  de	
  bout	
  en	
  bout.	
  
JOURNAL	
  DU	
  DIMANCHE	
  

Jonglant	
  avec	
  talent	
  entre	
  les	
  fragments	
  originaux	
  du	
  texte,	
  souvent	
  chantés,	
  et	
  l’intrusion	
  d’un	
  
langage	
  moderne,	
  abrupt	
  et	
  scandaleux,	
  cette	
  adaptation	
  ignore	
  les	
  convenances	
  et	
  les	
  règles	
  
les	
  plus	
  élémentaires	
  de	
  la	
  pudeur.	
  Le	
  mélange	
  est	
  détonnant,	
  hilarant	
  et,	
  fatalement,	
  très	
  
séduisant.	
  (...)	
  L’un	
  des	
  secrets	
  de	
  la	
  réussite	
  de	
  cette	
  adaptation,	
  c’est	
  également	
  les	
  multiples	
  
visages	
  des	
  membres	
  de	
  la	
  compagnie.	
  Acteurs,	
  bien	
  sûr,	
  mais	
  aussi	
  chanteurs,	
  musiciens,	
  
danseurs,	
  voir	
  même	
  acrobates,	
  ils	
  excellent	
  dans	
  l’art	
  de	
  transgresser	
  les	
  frontières	
  artistiques,	
  
pour	
  construire,	
  sous	
  nos	
  yeux,	
  un	
  spectacle	
  multiformes.	
  Un	
  tourbillon	
  d’excentricité	
  auquel	
  
on	
  ne	
  peut	
  résister.	
  I.	
  TÉLÉ	
  

Mais	
  qu’a-­‐t-­‐elle	
  donc	
  la	
  Regattieri	
  pour	
  nous	
  embobiner	
  comme	
  ça	
  ?	
  Un	
  sens	
  de	
  l’extravagance	
  
fellinien,	
  une	
  verve	
  baroque	
  et	
  surtout	
  cette	
  fameuse	
  vertu	
  d’imprévisibilité	
  (...)	
  Une	
  heure	
  
trente	
  d’exquise	
  folie.	
  À	
  NOUS	
  PARIS	
  

On	
  ne	
  voit	
  pas	
  tous	
  les	
  jours	
  un	
  Shakespeare	
  aussi	
  endiablé.	
  (...)	
  Tout	
  est	
  réjouissant	
  dans	
  ce	
  
spectacle	
  qui	
  a	
  transformé	
  une	
  œuvre	
  classique	
  sans	
  la	
  trahir	
  et	
  ajouté	
  une	
  richesse	
  toute	
  
nouvelle	
  et	
  imaginative	
  à	
  une	
  pièce	
  déjà	
  parfaite.	
  L’ARCHE	
  

Romeo & Juliet
FESTIVAL	
  D’ANJOU	
  :	
  ROMÉO	
  &	
  JULIET	
  OBTIENT	
  LE	
  PRIX	
  DU	
  JURY	
  

Véritable	
  révélation	
  du	
  Festival	
  d’Anjou,	
  Roméo	
  &	
  Juliet	
  emporte	
  tout	
  naturellement	
  le	
  premier	
  
prix	
  du	
  concours	
  des	
  compagnies	
  

La	
  version	
  rock	
  présentée	
  par	
  la	
  compagnie	
  Magnus	
  Casalibus,	
  à	
  la	
  limite	
  de	
  la	
  comédie	
  
musicale,	
  n’est	
  pas	
  passée	
  inaperçue.	
  Véritable	
  coup	
  de	
  cœur	
  de	
  cette	
  63e	
  édition	
  du	
  festival	
  
d’Anjou,	
  lequel	
  ne	
  présentait	
  de	
  création	
  propre,	
  ce	
  véritable	
  spectacle	
  a	
  soufflé	
  un	
  véritable	
  
coup	
  de	
  jeune	
  sur	
  ce	
  festival	
  soixantenaire	
  et	
  d’aucuns	
  aimeraient	
  qu’il	
  y	
  ait	
  plus	
  de	
  
présentations	
  de	
  ce	
  style.	
  

Dès	
  vendredi	
  soir,	
  	
  les	
  paris	
  allaient	
  bon	
  train	
  en	
  faveur	
  de	
  la	
  compagnie	
  Magnus	
  Casalibus	
  et	
  
son	
  incroyable	
  Roméo	
  &	
  Juliet.	
  

Les	
  jeunes	
  comédiens,	
  danseurs	
  et	
  acrobates	
  de	
  Magnus	
  Casalibus	
  empochent	
  la	
  coquette	
  
somme	
  de	
  20	
  000	
  euros	
  laquelle	
  devrait	
  leur	
  permettre	
  de	
  monter	
  un	
  nouveau	
  spectacle	
  a	
  
présenter	
  lors	
  d’une	
  prochaine	
  édition	
  du	
  Festival	
  d’Anjou	
  YANNICK	
  SOURISSEAU	
  -­‐	
  LE	
  8	
  JUILLET	
  
2012	
  

FESTIVAL D’ANJOU : UNE VERSION TRÈS « MÂLE » DE ROMÉO ET
JULIET

L’œuvre de Shakespeare ne prend pas une ride, mieux elle s’adapte sans difficulté
au monde contemporain. Pour preuve l’interprétation

de la troupe Magnus Casalibus présentée hier soir sur les planches du Plessis-Macé.
Une version très punk rock, bestiale, et surtout un retour aux sources puisque
cette version est entièrement jouée par des hommes.

ROMÉO ET JULIET VERSION ROCK DE LA TROUPE MAGNUS CASALIBUS

Les observateurs l’auront remarqué, Juliet s’écrit au masculin », déclarait hier soir
Nicolas Briançon en présentant l’interprétation de la troupe Magnus Casalibus de
Roméo et Juliet. Entièrement jouée par des jeunes hommes au physique androgyne
cette pièce n’est pas une ode à l’homosexualité, mais un retour aux sources du
théâtre Élisabéthain où le rôle des femmes était tenu par des hommes.

Roméo et Juliet, version Magnus Casalibus, c’est presque un opéra rock et autant le
dire tout de suite ça décoiffe, tant dans la bande son dans laquelle on retrouve
beaucoup musiques de groupes anglais des

années 70, mais aussi des comédiens, danseurs et chanteurs qui n’hésitent pas à se
déplacer dans la foule, pour interpeller directement les spectateurs.

Roméo et Juliet, ça ne se regarde pas, ça se vit et ça s’écoute, tantôt tragique,
tantôt burlesque avec quelques phrases à deux balles sorties tout droit de la
chanson populaire. « Donne-moi ta main », dit un comédien, « et prend la mienne »,
lui répond l’autre. Ça fait rire dans les gradins et ça détend l’atmosphère.

Pour le reste, même si l’interprétation reste assez libre et si les personnages
viennent tout droit du registre du mouvement contestataire britannique « punk »,
l’histoire est la même que dans la version d’origine. Roméo et Juliet vont lutter,
contre leur famille respective, pour avoir le droit de s’aimer, mais cette fois aux
delà des sexes et des conventions sociales, avant de mourir et de se retrouver dans
l’au delà, pour l’éternité.

Pour donner encore plus de bestialité, On s’habille et on s’exhibe sur scène en
totale liberté, dans une partition totalement ouverte, les acteurs jouant sur scène
comme ils pourraient le faire sur le trottoir d’un quartier populaire de Londres ou
d’ailleurs.
Les costumes, les masques et les lumières révèlent progressivement le caractère et
la force des différents personnages, jusqu’au crépuscule décisif lorsque les deux
principaux protagonistes, meurent dans un amas de caisse et de ferraille que vient
coiffée une guirlande lumineuse.

L’atmosphère est parfois sordide, mais ne dénature pas cette œuvre
shakespearienne, bien au contraire. Bien dans son époque cette jeune troupe
totalement débridée se donne sans compter, osant les artifices les plus déroutants
et quelques pirouettes acrobatiques assorties de belles tirades burlesques.
YANNICK SOURISSEAU - LE 4 JUILLET 2012

HELGA BITTNER NEWSPAPER : NEUSS-GREVENBROICHER-ZEITUNG - LE
18 JUIN2012

(TRADUIT DE L’ALLEMAND)

«Dans la version concentrée de la metteuse en scène Vincianne Regattieri, Romeo
et Juliette n’ont pas le droit de s’aimer, tout comme Romeo et Jules (aux yeux de
beaucoup de gens). La manière dont la régie et les acteurs composent avec cette
ambiguïté est tout simplement impressionnante. Les costumes de Monika Regattieri
avec leurs allusions aux shows de travestis, la scène dépouillée avec juste quelques
porte-vêtements et de grosses malles, les balades et les chansons rock comme
provenant d’un enregistrement et le jeu des six acteurs sont parfaitement en
accord, comme une véritable chorégraphie. Tantôt, Romeo et Juliet jouent de telle
façon qu’on ne remarque pas que Juliette est un homme – le sentiment qui les unit
est telle ment pur et intensif. Tantôt de toutes petites nuances – souvent dans
l’ambiance – mettent l’accent sur le fait qu’il s’agit de deux personnes du même
sexe. Et cependant la mise en scène reste toujours sur la voie. Il s’agit toujours de
la force de l’amour qui donne une énergie jusque là insoupçonnée quand cet amour
doit s’affirmer face à son environnement. Et s’il le faut jusque dans la mort. Et
comme les éléments comiques de la scène sont exploités avec délectation, cette
représentation théâtrale est chaque minute dans un équilibre parfait.»
LA FICHE TECHNIQUE
Spectacle tout public à partir de 6 ans        Durée 1H20

Dimensions du plateau : 5 mètres long Et 4 mètres de
profondeur minimum

                CONTACT 06.10.45.78.07

   Mail : magnuscasalibus@free.fr www.casalibus.com
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