Atomic film Vivianne Perret - CONTACT ET INFORMATIONS La Manufacture de Livres
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Atomic film Vivianne Perret CONTACT ET INFORMATIONS La Manufacture de Livres presse@lamanufacturedelivres.com 01 45 66 90 08 Copyright 2021
MAGAZINE CULTURE 29 LA LIBERTÉ SAMEDI 24 JUILLET 2021 Dans Atomic Film, Vivianne Perret raconte les essais nucléaires dans le désert du Nevada, dont le souffle a fini par contaminer Hollywood UN VENT D’APOCALYPSE Et pourtant, c’est ce qui est arrivé, n’est-ce pas? Difficile de le nier. Dans le livre, il y cette phrase terrible: «Les vents, s’i soufflent, pourront sévir sur certain endroits où l’on trouve un segment d population de peu d’utilité…» Cette r marque figure dans un dossier déclass fié par l’administration Clinton. Elle e accessible à n’importe quel visiteur de Bibliothèque du Congrès, à Washingto «L’équipe comptait 220 personnes, don 91 ont développé un cancer» Vivianne Perr Vous avez mentionné précédemment qu peu de personnes étaient au courant. Pas même les puissants d’Hollywood puisque, à la même époque, on a tourné non loin de là Le Conquérant, avec John Wayne et Susan Hayward… On considère que l’équipe de tournage été exposée durant de longues semain à des radiations 400 fois supérieures la dose normale tolérée. L’équipe e question comptait 220 personnes et l faits sont glaçants: sur ce nombre, 9 ont développé une forme de cancer et 4 en sont morts, y compris John Wayne Certains protagonistes comme le réali sateur Dick Powell sont décédés peu d temps après le tournage mais d’autres John Wayne et Susan Hayward notam ment, bien plus tard. Est-on certain qu tous ces gens ont perdu la vie en raison de leur séjour là-bas? On sait qu’un développement de canc peut être lent. Ce n’est pas immédiat Dans le cas de Wayne, soyons clairs: il Un essai atomique dans le désert du Nevada, le 1er novembre 1951, dans le cadre de l’opération Buster-Jangle. DR brûlé la chandelle par les deux bout Personne ne peut affirmer avec certitu qu’il soit mort à cause de ce tournage. C symbolise le flou dans lequel on a laissé l’entier de la population. Comme elle LE CONQUÉRANT, qui est certain en revanche, c’est que s n’était pas mort d’un cancer, on ne pa n’y comprenait rien, qu’elle ne savait FILM MAUDIT lerait pas de Sous le vent, l’associatio pas réellement ce qui se passait, elle n’a Imaginez John Wayne grimé en guerrier créée par des citoyens de l’Utah. L’affai pas pu agir pour sa propre santé. Elle a mongol! Ce n’est pas facile et d’ailleurs per- aurait été enterrée… Là, le lien a par
UN VENT FIFF. Kim Jong-kwan présente à Fribourg son quatrième long- En vous lisant, on constate cependant D’APOCALYPSE Votre livre se lit comme un roman. Il en métrage, a le ton, leJosée. rythme.Interview dule Jusqu’à quel désertRaison réalisateur point du coréen,pour Nevada, laquelle véritable on laissaitdont figure les gens le souffle a fini par contami que les habitants Vous avezde l’Utah, pourtant mentionné précédemment que UN VENT K JEAN�PHILIPPE BERNARD assister de loin aux explosions, comme confrontés peuàde des drames personnels personnes étaient au courant. duvous cinéma indépendant êtes-vous inspirée deau Pays faits du matin réels? s’il calme. s’agissaitL 31simple feu d’artifice? d’un d’une rare Pasbrutalité, même lesont puissants d’Hollywood mis longtemps K JEAN�PHILIPPE BERNARD Ce n’est ni un livre d’histoire ni un véri- Absolument. Dans le livre, j’évoque le avant depuisque, réagir… à la même époque, on a tourné table L Explosif roman. Tout démarre Ce particomme pris medans permet cas de ce petit garçon exposé aux radia- N’oublions nonpasloin deces que là Le Conquérant, faits avec John se sont dérou- aussi Explosif un de ces de Lfilmsne pas Tout démarre transformer dont Hollywood comme dans les person- a le tions qui a reçu une dose d’insuline car lés dansWayne et Susan le contexte de laHayward… guerre froide. un nages secret: de ces en la fièrefilms question Amérique dont Hollywoodenvientsimples deaga-statis- le le docteur, qui n’avait jamais vu de cas Les Américains On considère étaient que l’équipe censés desau- avoir tournage a D’APOCALYPSE gner secret:tiques. la la Certaines guerre. fière Elle se Amérique familles prépare vient icide évoquées désor- ga- Un de essai atomique leucémie dans le désert auparavant, a pensé du Nevada, que vé le le 1ermonde. novembre été exposée1951, Superman dans durant le étaitde cadre longues leur desemaines l’opération Buste modèle. sont des condensés, des kaléidoscopes à des radiations 400 fois supérieures à CULTURE JEAN�PHILIPPE K mais gner la à mater, BERNARD guerre.si Elle le besoinse prépare s’en fait sen- désor- c’était un cas de diabète. L’enfant est Il était donc difficile d’envisager que Su- de maisl’ennemi tir, différentes à mater, qui personnes si le se besointerres’en ayant vécu fait sen- derrière le au mort de cette injection. Ce fait tragique perman la dose puisse normale tuer ses tolérée. propres L’équipe troupes. en tir, plus rideau Explosif deprès l’ennemi fer. les quiévénements. Raison L Tout démarre comme dans se terre derrière pour laquelle, Dansau le dé- symbolise le flou dans lequel on a laissé le LE CONQ question comptait 220 personnes et les faits sont glaçants: sur ce nombre, 91 29 roulement des faits, je n’ai rien inventé. l’entier de la population. Comme elle rideau undébut de cesdes début velles secret: de des films fer.dont années fièreannées labombes Raison Amérique 50, pour 50,vient atomiques, elle teste Hollywood elle teste laquelle, a leses nou- à ciel de ga- ses nou- ouvert, au n’y comprenait rien, qu’elle ne savait FILM MA ont développé une forme de cancer et 46 laLes autorités en sont morts, y compris John Wayne… gnervelles dans lebombes désert guerre. Elle duseavaient-elles atomiques, prépare à Nevada. ciel désor- connaissance ouvert, pas réellement ce qui se passait, LA LIBERTÉelle n’a Imaginez John dans des le risques désert encourus par la population? SAMEDI 24 JUILLET pas pu agir pour sa propre santé. Elle a 2021 mongol! Ce n’e mais àNonmater, loin dedu si le là,Nevada. besoin dans s’enla fait sen- région de St. tir,George, l’ennemi A l’exception quideselà, terre des derrière haut le qui gradés et des perdu ses biens, vu des proches mourir Certains protagonistes comme le sonne réali- n’y a cru Non loin Utah, une dans la région population de St. vi- rideau de fer. scientifiques Raison pour laquelle, responsables au du sateur Dick Powell sont décédés peu tant,deLe Conqu George, vait Utah, une paisiblement, population loin de la fureur quisite dud’es- et finalement sa foi dans le gouverne- vi- début des années 50, elle teste ses nou- temps après le tournage mais d’autres, monde, sais, vaitbombes les paisiblement, est personnes confrontée loin au courant deouvert, à ladesfureur dedu événe- ce qui ment s’est évaporée. duite par How velles atomiques, à ciel John Wayne et Susan Hayward notam- dans lesedésert monde, ments passait est inédits. étaient duconfrontée Les animaux Nevada. en trèsà des petit sont nombre. événe- déci- Dick Powell, a ment, bien plus tard. 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Ce n’est pas jusqu’à la fin immédiat… cependant que més tombée par du ciel. troupeaux A mesure entiers, deslefemmes livre, laj’évoque Dans le cas de Wayne, soyons clairs: il a ns le déserttombée tion accouchent cas de empire, du Nevada, du ce ciel. petit des d’enfants A mesure garçon envoyés le 1 novembre er que exposé du mort-nés, 1951, la gouverne-situa- aux radia- N’oublions pas que ces des dans le cadre de l’opération Buster-Jangle. DR faits se sont dérou- brûlé la chandelle par les deux bouts. clus, à moitié tiontions ment écoliers empire, débarquent tombent ades qui malades reçu envoyés pourune du gouverne- dose puisrépéter meurent d’insuline à la po- car lés dans le contexte de la guerre froide. Personne ne peut affirmer avec certitude Vegas, exigeai ment pulation après avoir débarquent le docteur, jouéqu’elle avec qui ne unepour n’avait risque sorte répéterrien.àCe dejamais neige la vupo- de cas Les Américains étaient censés avoir sau- qui qu’il soit mort à cause de ce tournage. mentCe«le film q pulation tombée du qu’elle ciel. A mesure ne risque que la rien. situa- Ce qui tion.ment doit doit Wayne Comme de s lequel on a laissé tion empire, être leucémie être c’était elle vrai, des unenvoyés vrai, débarque cas puisque auparavant, puisqueen de duces le gouverne- grand lelieux diabète. grand a pensé LE CONQUÉRANT, John que vé le monde. Superman était leur Johny est Il était donc difficile d’envisager que Su- pour L’enfant modèle. qui est certain en revanche, c’est les n’était pas mort d’un cancer, on queautres». ne s’il par- JP Wayne débarquent tourner débarque un film pour répéter àlieux en cesspectacle. àinjection. grand la po- pour y FILM MAUDIT YPSE , qu’elle nemort pulation savait qu’elle de cette ne risque rien. CeCe qui fait tragique perman puisse tuer ses propres troupes. lerait pas de Sous le vent, l’association tourner se passait, Tous ellevrai, n’aun film faitsàtroublants, cespuisque grand spectacle. dignes de Imaginez John Wayne grimé en guerrier créée par des citoyens de l’Utah. L’affaire doit être le grand John ropreWayne santé. Tous la plus Elle débarque ces a faits radicale en des troublants, ces fictions, lieux pourdignes sont y évo- de Et pourtant, mongol!c’est ce qui Ce n’est pasest arrivé, facile et d’ailleurs per- aurait été enterrée… Là, le lien a paru es proches la plus qués tourner avec mourir un radicale film tact à grandetdes fictions,par empathie spectacle. sont évo- l’histo- n’est-ce pas? sonne n’y a cru. Malgré son budget impor- évident aux yeux de l’opinion publique: qués Tous ces dans le rienne gouverne- avec tact faits Vivianne et empathie troublants,Perret dignes danspar del’histo- Atomic Difficile tant,de LeleConquérant, nier. Dansépopée le livre, il y a pro- bruyante il a servi la cause malgré lui. Il était John rienne la Film, plus radicale voyageVivianne des inoubliablePerret fictions, sontdans dans évo- Atomic l’arrière- cetteduite phrasepar terrible: Howard Hughes «Les vents,et réalisée s’ils par Wayne, l’acteur mythique, adulé, le pa- qués avecvoyage Film, tact et empathie inoubliable pardans l’histo- l’arrière- cour du rêve américain. Dick Powell, soufflent, pourronta connu unsur sévir échec retentissant certains triote ultime aussi. Est-ce que les Amé- rienne courVivianne du rêve américain. Perret dans Atomic state Film, cependant voyage inoubliable dans l’arrière- endroitslors de oùsal’on sortie dans un trouve les salles segment en 1956. de ricains ont tué leur propre symbole? On Utah,courpourtant Parmi du rêve les américain. protagonistes d’Atomic Film, Rapidement population de peuretiré de l’affiche, d’utilité…» Cettelere- film a peut se poser la question. L Parmi mes personnels on recenseles protagonistes aussi bien des d’Atomic stars holly- Film, marque ensuite figure été bloqué dans par son un dossier producteur déclassi- nt misParmion recense longtemps les protagonistes woodiennes aussi que des bien des stars d’Atomic anonymes. Film, holly- Lesquels fié par jusqu’à la fin des années l’administration Clinton. 70.Elle On est raconte woodiennes onvous recense ontaussi que bien des des anonymes. stars holly- Lesquels cependant que Hughes, lorsqu’ilde vivait poussée à écrire ce livre? accessible à n’importe quel visiteur la re- faits se vous woodiennes ontque sont dérou- Vivianne poussée des anonymes. Perret: à écrire Ce ce sontLesquels livre? clairement les clus, à moitié fou, dans un palace de Las vous ontfroide. poussée à écrire Bibliothèque du Congrès, à Washington. de la guerreVivianne autochtones. Perret: MesCece sontlivre? centres clairement d’intérêt les Vegas, exigeait qu’on lui projette régulière- Vivianne autochtones.Perret: Ce sont Mes clairement centres les d’intérêt nt censés avoir concernant sau- autochtones. Mes centres d’intérêtl’Amérique du Nord, ce ment «le film qui les tue tous, les uns après F Vivianne Perret, concernant n étaitconcernant leur sont modèle. l’entertainment l’Amérique l’Amérique du et les Nord, du Nord, Indiens. ce ce En les autres». JPB Atomic Film, Ed. La ’envisager sontsont l’entertainment que Su- m’intéressant l’entertainment àetlales et tribu les Indiens. des En Indiens. Paiute de En Manufacture de livres, es propres m’intéressant troupes. m’intéressant l’Utah, j’ai àdécouvert à la tribu la tribu desque des Paiute cesPaiute dederniers de 358 pp. l’Utah, l’Utah, j’ai j’ai figuraient découvert découvert parmique que lesces ces derniers derniers victimes de ces figuraient figuraient essais. parmi Dans parmi la les foulée, victimes les victimes j’ai de ces de ces appris qu’à la essais. Dans essais. la foulée, Dans j’ai appris la une foulée, qu’à la qu’à la j’ai appris même même époque, époque, une équipeéquipe d’Hollywood d’Hollywood mêmevenue était époque, une équipe là pour tourner d’Hollywood était venue là pour tourner un film.unEt film. Et était qu’elle qu’elle venue l’avait l’avait là pour payépayé tourner très cher… très cher… un film. Et qu’elle l’avait payé très cher… Votre Votrelivrelivre se litse comme un roman. lit comme Il en un roman. Il en a leVotre ton, lelivre se lit rythme. comme Jusqu’à unpoint quel roman. Il en vous a le ton, le rythme. Jusqu’à quel point a leêtes-vous ton, le rythme. Jusqu’à inspirée de quel point faits réels? Cevous vous êtes-vous n’est ni inspirée deunfaits un livre d’histoire êtes-vous inspiréeni réels? véri-réels? de faits Ce roman. table n’est ni Ceunparti livrepris d’histoire me permet Ce n’est ni un livre d’histoire ni un véri- table aussi de neroman. Ce partiles pas transformer pris ni un véri- me permet person- «L’équipe comptait table nages aussi tiques. roman. endequestion Ceenparti simples ne pas transformer aussiCertaines de ne pas transformer familles prisstatis- me permet les person- les person- ici évoquées 220 personnes, dont Un essai atomique dans le désert du Nevada, le 1er novembre 1951, dans le cadre de l’opération Buster-Jangle. DR nages en question en simples statis- sont des condensés, des kaléidoscopes statis- nages tiques. de tiques. différentes en question Certaines Certaines personnes en familles familles simples ayant vécu 91 ont développé ici évoquées Un essai atomique dans le désert du Nevada, le 1erer novembre 1951, dans le cadre de l’opération Buster-Jan évoquées Un essai atomique dans le désert du Nevada, le 1 novembre 1951, dans le cadre de l’opération Buster-Jang ici au sont plus des prèsdes sont de condensés, lescondensés, événements.des des Danskaléidoscopes un cancer» le dé- symbolise le flou dans lequel on a laissé kaléidoscopes LE CONQUÉRANT, de différentes roulement personnes des faits,personnes différentes ayant vécu je n’ai rien inventé. ayant vécu au de la population. Comme elle l’entier au FILM MAUDIT plus près les plus près Lesroulement les événements. événements. Dans autorités avaient-elles des faits, Dans le connaissance je n’ai rien len’y dé- inventé. symbolise dé-comprenait symbolise l’entier pas réellement de ce qui lequ’elle rien,le la se floudans flou dans population. passait, lequelon ne savait lequel Vivianne onaalaissé elle n’a Comme elle Perret laissé Imaginez John Wayne grimé en guerrier LECONQUÉR LE CONQUÉR desroulement des faits, risques encourus par lajepopulation? n’ai rien inventé. l’entier pas pu agir n’ypour depropre sa la population. comprenait santé. rien, Elle a Comme qu’elle ne elle savait FILMMAUDIT FILM mongol! Ce n’est pas facile et d’ailleurs per- MAUDI A Les l’exception autorités desavaient-elles et des perdu sesn’y haut gradés connaissance comprenait Vous biens, pas vu avez des proches réellement ce rien, mentionné qu’elle mourir qui se ne savait que précédemment passait, elle n’a sonne n’y a cru. 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CULVER PICTURES/COLLECTION DAGLI ORTI 5 6 ATOMIC FILM De Vivianne Perret, '# "!!*"$% La Manufacture de livres, 358 p., 20,90 €. ençait à ee trou- ui prend venus). lisser la dans sa moigna- C’ EST l’histoire d’un film qui n’a pas laissé un sou- venir mémorable aux cinéphiles et ce n’est rien de le dire ! Le Conquérant, voulu par le pro- sateur, Dick Powell, les acteurs principaux, John Wayne et Susan Hayward, étaient du nombre. Bien sûr, le Duke fumait comme un sa- peur. Et comme son patriotisme était grand, il n’accepta jamais de mettre en accusation les autorités M vantage ducteur mégalomane et hygiéniste américaines alors engagées dans qu’une Howard Hughes, à la tête du studio une course contre la montre avec RKO, est hélas plus intéressant par les Russes en matière de dévelop- petites sa dimension dramatique que par pement du feu nucléaire. no (« Le l’éclatante mise en scène de Dick On lit donc cette histoire améri- ue Dieu Powell ou l’interprétation de John caine sur deux plans, celui du film ir pour Wayne en impayable Gengis Khan ! et de ses stars et celui des anony- e serait Ce que raconte Vivianne Perret, mes. Peut-on comparer les déboi- rit à ré- c’est tout simplement l’un de ces res sentimentaux de John Wayne rnité au grands scandales sanitaires dont et de Susan Hayward, le mode de al d’At- les États-Unis se rendirent coupa- vie surréaliste de Howard Hughes ne rate bles en utilisant le désert du Neva- et de sa garde prétorienne compo- de foot- da et une partie de l’Utah comme sée de Mormons avec la tragédie n maga- terrain d’expérimentation pour la vécue par les tribus indiennes lo- recette bombe nucléaire au cours des an- cales ou les éleveurs ruinés ? de nées 1950. Le tout sans vraiment Le choix de la romancière se d ». tenir compte des retombées terri- justifie dans la mesure où les pre- nspire à fiantes pour les cultures, les trou- mières conséquences des essais portrait peaux et les êtres humains vivant à atomiques surviennent au mo- et d’un proximité. ment même où débute le tournage enquête du Conquérant. À l’époque, les que at- Une histoire américaine locaux avaient deux distractions : ui n’eut Il fut établi que sur les 220 person- suivre le tournage et apercevoir les emeure nes travaillant sur le film, prati- stars, ou s’approcher pour con- Elle est quement la moitié a développé templer le fameux champignon sa tom- dans les années qui ont suivi un sans savoir qu’il avait de fortes e signa- cancer et que sur ce nombre, la chances de raccourcir leur moitié y a succombé. Le réali- existence… � B. C.
«Atomic Film», le polar irradié de Vivianne Perret LA VIE EN NOIR - «The Duke» en personne! Alias John Wayne. De son vrai nom, justement, Duke Morrison, un petit gars de Winterset en Iowa. L’amour de ces stars mythiques effleu- re chaque page du roman de Vivianne Perret. Glamour, strass et paillettes. «Atomic Film» est une petite bombe à fragmentation hollywoodienne chez les mormons. Splendide. Quand on connaît la peur panique de ce dingue de Howard Hughes, pour tout ce qui se rapproche de près ou de loin d’un microbe, alors l’idée de produire un film au coeur de l’Utah à une époque où l’armée américaine, déguisée en docteur Folamour, faisait sauter les champignons nucléaires aussi souvent que ceux de Paris dans une poêle à frire, on se dit que oui, le milliardaire américain décidément ne tournait pas vraiment rond. Le pitch du film «Le Conquérant» n’est pas davantage rassurant : le cow-boy le plus célèbre du cinéma, symbole d’une Amérique conservatrice et patriote, allait incarner un chef guerrier mongol du XIIe siècle violent et frustre. The «Duke» en jupette..., 1,93m de haut, avec une allure de quaterback de football américain. De quoi troubler l’actrice pressen- tie pour le rôle féminin, Susan Hayward, elle-même pas à l’abri du ridicule, en princesse tartare. Le tournage aura lieu à St George, dans le sud-ouest de l’Utah, en terres mormones. A deux cents kilomètres de Nevada Priving Grounds, là où l’US Air Force fait joujou, mais à seulement quelques heures de route de Los Angeles. Après tout, les stars d’Hollywood n’aiment pas s’en éloigner. Mais un drame que toute cette troupe d’actrices et d’acteurs ignore totalement est en train de se jouer tout autant à leur barbe qu’à leur insu. La ra- dioactivité fait des ravages. Les essais qui ont commencé au Nevada en 1951 n’ont pas encore montré leur vraie nature. Les habitants de la bourgade tombent malades mais pour l’heure personne ne comprend rien. Faire fortune dans le minerai de la mort St George, ce n’est que quatre mille habitants. Mais ils sont très fiers de pouvoir dire que le premier temple de l’Eglise de Jésus-Christ des saints et des derniers jours a été construit chez eux. Un gigantesque bâtiment blanc vieux de trois-quarts de siècle. Les voies du Seigneur étant impénétrables, il se trouve que ce joli bled se situe aussi au cen- tre d’un nouvel eldorado américain qui couvre la majeure partie de quatre Etats, dont l’Utah. Des ranchers ont fait fortune dans la prospection d’uranium. Très impressionné, Bert Fisher, fermier de son état, s’est lui aussi mis en tête de faire fortune avec ce mine- rai de la mort. Ruth Fisher discute avec Irma Thomas. Qui étend son linge lavé pour la troisième fois. Cela fait trois jours qu’un nuage flotte au-dessus de leur tête. Ruth s’in- surge, tente de raisonner Irma, «mais enfin l’explosion a eu lieu à plus de 200 kilomè- tres d’ici.» Ce à quoi lui répond cette dernière : «Qu’est- ce que tu fais de l’annonce de rester à couvert diffusé avant-hier, lorsque la Commission Energétique Atomique (AEC)
s’est rendu compte que les vents poussaient les retombées de la détonation dans notre direction?» Elle n’a pas tort, Irma, les compteurs Geiger s’affolent, les bêtes tombent raides mortes, les cancers se multiplient. Mais que faire, l’évêque du coin affirme qu’il n’y a pas de danger et que le supposer reviendrait à éprouver des sentiments profon- dément anti-patriotiques et anti-américains. Et puis on n’allait tout de même pas laisser une avance aux Russes sur le plan technologique qu’ils pourraient ensuite utiliser pour bombarder le peuple américain. Sacrifiés sur l’autel du rêve américain L’insouciance alliée à la fabrication du mythe américain se heurtent de plein fouet à la réalité des expérimentations militaires. Le tour de force de l’auteure. On apprend pas mal des coucheries de ces femmes et hommes qui font rêver la planète entière. L’appât du gain, les magouilles délirantes de l’armée, Atomic Film se lit comme un sablier. Au compte-goutte. Il serait dommage d’en rater un grain. D’autant que l’équipe du film qui a achevé le tournage ne rentre pas à Hollywood les mains vides. «Ils emportaient avec eux soixante tonnes de sable de Snow Canyon pour les raccords cinématographiques.» A cette époque, John Wayne buvait comme un trou, fumait cinq paquets de cigarette par jour. Après, ce tournage, beaucoup sont morts d’un cancer. Bizarre? Enfin voyons, qu’est- ce que vous allez chercher! «On était en pleine guerre froide, la bombe était vitale pour équilibrer les forces.» Duke n’en démord pas, et puis de toute façon, ce n’était pas un foutu communiste. Irma, non plus. Mais en 1971, elle reçoit un courrier anonyme qui lui confirme ce qu’elle avait compris de manière empirique. Dès 1950, les rapports indi- quaient que le choix de Nevada pour faire des essais nucléaires ne serait pas sans consé- quences pour les habitants au-delà de cette zone. «Mais que de toute façon les radiations ne toucheraient qu’un segment de population de peu d’utilité.» Les éleveurs, les mor- mons et les indiens. Sacrifiés sur l’autel du rêve américain, de sa paranoïa et de son anti-communisme pri- maire. Tout ça raconté par la romancière avec un talent atomique. Atomic Film par Vivianne Perret, Editions La Manufacture de livres, 368 pages, 20,90 Euros.
Livres Atomic Film Vivianne Perret / La Manufacture du Livre 368 pages / 20,90 € / 1er avril 2021 Quand Hollywood explose, littéralement. Dans les années 1950, les États-Unis multiplient les essais nucléaires dans le désert du Nevada, diffusant des poussières radioactives partout dans la région, notamment dans l’Utah, près de la petite ville de Saint- George. C’est ici, en toute ignorance du danger, que Dick Powell et son producteur Howard Hughes décident de tourner Le Conquérant, épopée nanardesque sur l’ascension de Gengis Khan avec John Wayne et Susan Hayward, dont la moitié de l’équipe développera par la suite un cancer précoce. Une quarantaine de personnes n’en réchappent pas, dont les têtes d’affiche et le cinéaste. Vivianne Perret rejoue dans ce roman hyper-documenté le scandale des retombées atomiques qui ont éclaboussé Hollywood et l’Amérique au sens large, symbole d’une désillusion sur la toute-puissance protectrice du pays de l’Oncle Sam. Au-delà du scandale sanitaire, l’écrivaine et historienne livre surtout une déclaration d’amour à l’Âge d’or d’Hollywood, conscient d’être au crépuscule de son existence. Perret décortique le système hollywoodien, entre difficultés de productions et mélancolies de ses étoiles, offrant un aperçu de ce qui se cache derrière le glamour des tapis rouges. Les coulisses du tournage du Conquérant tiennent une place de choix, notamment l’omniprésence d’Howard Hugues derrière ce projet farfelu de biopic sur Gengis Khan à la sauce western, avec dans la peau du guerrier mongol l’icône suprême de l’Amérique, John Wayne. Le mythe John Wayne étant traité ici à travers l’homme, Marion Morrison (vrai nom du Duke), son rapport à l’industrie, au star-system et à l’Amérique de la Guerre Froide. Mais là où le roman passionne vraiment c’est dans son parallèle entre cet univers de cinéma et le sort des populations locales : fermiers, mormons, Indiens… Oubliés de l’Amérique, laissés-pour-compte, tous exposés pendant des mois aux essais nucléaires et victimes collatérales de la course à la bombe. Des personnages ébranlés dans leurs certitudes au fur et à mesure de l’évolution dramatique du nombre de malades, sans explication officielle. Le portrait sociologique dérive ainsi lentement vers le thriller paranoïaque. Quand les marginaux et Hollywood deviennent ensemble les victimes de l’Histoire. Tous, hélas, égaux face à la bombe. Voilà la fin irradiante du rêve américain selon Vivianne Perret. A.A.
Atomic Film de Vivianne Perret Chronique de Bruno Delaroque Une fois de plus, La Manufacture de Livres publie, avec ce roman de Vivianne Perret, un texte qui sort de l’ordinaire et se démarque. Le Nevada a toujours été un terrain de jeu mystérieux aux expériences diverses pour les Etats- Unis. La Zone 51 plus récemment et les essais nucléaires menés à partir des années 50 font de cet état des States un lieu vers lequel ont souvent convergé les regards et bien plus tard les in- terrogations. Viviane Perret, historienne, scénariste et férue de ce « grand » pays nous livre à travers le prisme de glorieux personnages, Howard Hughes et John Wayne pour les stars; et d’autres anonymes, Indiens, fermiers et Mormons ; une vison réelle et terrible des essais nucléaires des années 1950 du coté de L’Utah et du Nevada, mais pas que..... Ainsi en 1969, on découvrira qu’Howard Hughes, milliardaire aventurier, producteur de cinéma, et coureur de jupon invétéré, était complètement obnubilé par les microbes et finira tristement dans une espèce de folie dangereuse. Mais avant cela, nous aurons droit aussi à une peinture au vitriol du monde du 7ème Art avec ses stars cabotines, et les mondanités sous paillettes, une radiographie peu reluisante ! Pour rentrer dans le vif du sujet, non loin de là, les Peterson entame la transhumance de leur troupeau de moutons de 2500 têtes leur permettant de vivre à défaut d’être riches. Sauf que le cheptel semble frappé d’un mal mystérieux avec l’apparition de tâches blanches et des bêtes mettant bas prématurément des agnelets fantomatiques à la peau transparentes et présentant des difformités. Les frères Petterson ne sont pas les seuls à être frappés par ce mal, les éleveurs du coin ont tous le même problème. Nous sommes aux alentours du 19 Juin 1953, et l’histoire des essais nucléai- res en plein air dans le désert du Nevada est en marche depuis quelques temps. Le roman va se faire croiser Hollywood, ses stars, et les autochtones dont le destin sera triste- ment lié à tout jamais, par le fait d’être au mauvais endroit au mauvais moment. C’est une période où la peur du Communisme est totale avec la Guerre Froide et dans ces états de l’Ouest américain où la religion Mormon est très forte, on a une population d’indiens et d’éle- veurs. Les indiens déjà spoliés par les blancs avec le vol de leurs terres cent ans plus tôt vont subir la double peine. Le Dieu « Atome » commence à frapper hommes, femmes, enfants et bêtes, de toute sa puissance destructrice, vaporisant le territoire de son invisible aura de mort. Nevada Proving Grounds est un fleuron militaire, mais également à la base d’un scandale d’état, né de 1951 à 1953 avec des essais nucléaires à l’air libre et en « toute sécurité » accompagné d’ une communication assurant les populations d’un risque zéro. Mensonges à tous les niveaux!
Propagande toujours avec John Wayne la vedette en fer de lance anti-communiste et ventant les mérites de l’Américain qui se doit d’être un héros. Derrière la légende et les fastes des stu- dios de cinéma, il y a beaucoup à décrypter. De 1954 à 1956 alors que les ranchers se demandent ce qui est arrivé à leur troupeaux déci- més, à leurs amis, enfants et femmes, malades de maux mystérieux, on assiste à un grand cir- que médiatique, preuves à l’appui, que les essais nucléaires n’y sont pour rien. On va jusqu’à inventer de nouvelles maladies et syndromes pour cacher la vérité pourtant évidente, le tout avec une mauvaise foi rare et inégalée. Je ne peux m’empêcher de faire un certain parallèle avec la situation épidémique de « Covid » où on désigne le chaland ne respectant pas les geste barrières comme coupable. Pour cacher la « vraie » vérité on reporte et on fustige la responsabilité sur les autres. Ceux qui montrait du doigt les essais atomiques étaient vite traités de « communistes », comme on traite aujourd’hui de « complotistes » ceux qui réfutent nombres de données de la crise Covid. Ce livre c’est l’histoire d’un tournage maudit où la moitié de l’équipe de tournage a choppé des cancers, le grand John Wayne en premier. Ce film (« Le Conquérant ») tourné en extérieur à Saint George en 1953 restera comme celui où les équipes furent exposées pendant trois mois à la radioactivité de la bombe « Dirty Harry » du 19 Mai 1953 et où 91 personnes ont développé des formes de cancer sur les 220 que comptait l’équipe de tournage. Romancé et documenté, ce scénario remet en place l’histoire dans l’Histoire et apporte un éclairage édifiant sur ces gens sacrifiés. Que voulez vous, à part des fermiers, des indiens et une équipe d’Hollywood de passage, il n’y a à rien ! Un coup de cœur pour ce livre au plaidoyer explosif qui se lit comme un document et se dé- vore comme un thriller. Bravo à Vivianne Perret pour ce récit très intéressant qui fait la lumière sur beaucoup de choses . Pour aller plus loin sur WHOOZONE.COM
it Diana Frances Il n’a er. Cette jeune Mons vous ique, digne de la R entante de aux sp cratie – son père preuv omte – sera la 10e e du monde entier des F à 20 ans, elle Huns era le prince saison réputé s d’Angleterre. er du trône lui a Ça va leur g conco deux enfants, les s William et Harry, CH. LARTIGE/FTV Houa l sentimental Rocro dre. Divorcée Viller 6, Lady Di, la La Dé sse des cœurs, Saint- uvrait le bonheur A lire A écoute es bras de Dodi d quand le destin ha. Elle aurait eu cet été. Intoxication Gainsbourg, enc hollywoodienne A ndré Manoukian, piani C ’est un chapitre de l’histoire 12 standards signés Se e 30 anniversaire de sa mo du cinéma hollywoodien des années 1950 qui demeure accompagné de chanteuse méconnu. Et pourtant… Le trer avec six voix fabuleuse producteur Howard Hughes avait unes que les autres ! », s'ém demandé au réalisateur Dick Powell de revisiter la légende Adjani qui travailla avec Ga de Gengis Khan dans Le Conquérant. Premiers rôles : Frégé et Camélia Jordana. Q John Wayne et Susan Hayward, et le décor naturel du aux titres, c’est du classiqu désert du Nevada. Problème, des essais nucléaires mas- Javanaise, L’Eau à la bouch sifs se tiennent à côté. Le vent charrie les radiations Poinçonneur des Lilas, L’Ana jusque sur le tournage. Un drame sourd se joue qui Sous le soleil exactement, Je n’épargne pas les populations locales. L’autrice, érudite venu te dire que je m’en va historienne des Etats-Unis, nous plonge dans un passé Ce piano-bar est envoûtan Le mot opaque et fait de ce récit une aventure palpitante. X Atomic film, de Vivianne Perret, X Les Pianos de Gainsbou d’André Manoukian, Decca a semaine éd. La Manufacture de livres, 20,90 €. 15,99 €. NATU ésigner les géants Au cinéma ains de l’Internet, opté l’acronyme L’important, c’est la rose our Google, n, Facebook et d’aucuns ajoutent E ve Verne plus le c société ho un M pour d’employés oft). Voilà que rien en fleur ointe désormais elle pas u iales dans le Petit joli film q se 2022. Et de sur mesu S
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