Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont

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Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Benjamin Sabatier

              Access to Tools                               Work In Progress
              oeuvres récentes                             oeuvres 2002 - 2012
            42 rue de Montmorency                           44 rue de Montmorency

                                           expositions
                                 du 27 janvier au 24 février 2018

                                           vernissage
                                  samedi 27 janvier de 18h à 21h

42 - 44 rue de Montmorency - 75003 Paris     www.bertrandgrimont.com      +33 (0)1 42 78 46 51
ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h       info@bertrandgrimont.com     +33 (0)6 85 45 01 30
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Exposition ACCESS TO TOOLS

					        1 - Présentation de l’exposition

					        2 - «Concrete Utopia» par Sally Bonn

					        3 - Visuels

				   Exposition WORK IN PROGRESS

					        1 - Présentation de l’exposition

					        2 - Visuels

				   CV et presse
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Benjamin SABATIER
                                   Exposition ACCESS TO TOOLS
                                     27 janvier - 24 février 2018

La nouvelle exposition personnelle de Benjamin Sabatier à la Galerie Bertrand Grimont a tous les
traits d’un Manifeste.

Dans l’espace de la galerie, Benjamin Sabatier déploie un ensemble d’oeuvres récentes (sculptures,
objets, dessins, documents...) dévoilant un rapport à la création qui couvre tout à la fois une théorie
sociale, économique et politique, que l’artiste définit sous le terme «d’autoconstruction».

Le titre de l’exposition ACCESS TO TOOLS, clin d’oeil au célèbre Whole Earth Catalog publié en
1968 par Stewart Brand, dont la première page est exposée à l’entrée de la galerie, en condense
les enjeux. Véritable bible de la contre-culture, cet ouvrage est un bricolage visuel dans lequel des
conseils pratiques se mélangent à des visions d’avenir. L’intention de Brand était de fournir des «outils
d’accès» et d’éducation afin que les lecteurs trouvent leur propre inspiration, forment leur propre
environnement et partagent leurs expériences.
Le terme tools (qui doit beaucoup à Ivan Illich) concentre parfaitement l’esprit pragmatique qui fonde
le travail de Benjamin Sabatier. Adepte du Do It Yourself, il fait de l’expérience le pivot du savoir en
mettant sur un pied d’égalité l’action pratique et le concept.

L’oeuvre de Sabatier dépasse ainsi la simple pratique du «bricolage» pour devenir une forme de
théorie en actes, où gestes, modes de vie et actions «construisent» de la pensée. Par cela il rend
visible l’idée qu’apprendre c’est faire et que tout un chacun est doté d’une capacité constructive et
inventive.
Aujourd’hui, le besoin de créer, le besoin d’indépendance, le besoin de fonder un savoir-faire autonome
et personnel, poussent les individus à inventer des solutions pour réaliser un maximum de choses par
eux-mêmes. Notre civilisation du «tout prêt», du «tout fait», est aussi celle du bricolage, de l’auto-
constructeur, de la «perruque» ouvrière, du mécanicien amateur, de l’inventeur et du créateur.. C’est
à l’image de « l’homme ordinaire » décrit par Michel de Certeau dans L’invention du quotidien, que
Benjamin Sabatier «bricole» avec et dans l’économie dominante.

Qu’il taille des crayons pendant 35h, crée la structure de production d’oeuvres en kit IBK, s’empare de
l’histoire ouvrière et militante de la ville de Besançon, réévalue les utopies du Mouvement moderne ou
déploie une oeuvre sculpturale marquée par une esthétique du chantier, Benjamin Sabatier interroge
de manière récurrente le concept de travail, qui fonctionne comme étalon dans une démarche
cherchant avant tout à inscrire l’art dans un contexte socio-économique plus large.
Son vocabulaire artistique se compose de matériaux bruts et accessibles ­brique, béton, ustensiles
de bricolage, carton, scotch, etc. - qu’il manipule dans le cadre de processus de fabrication lisibles,
évacuant toute référence au geste héroïque du sculpteur au profit d¹une certaine littéralité où se
révèle au premier regard le fonctionnement de l’oeuvre. Cette « fulgurance », qui n’en demeure pas
moins polysémique, rend ainsi facile et possible sa reproduction par tout un chacun.
Entre questionnements politiques et formels, relectures des principes constructivistes et des thèses
de Walter Benjamin, le travail de Benjamin Sabatier, en invitant le spectateur à devenir lui-même
producteur, s’envisage dès lors à l’aune des théories alternatives et émancipatrices du Do it Yourself.
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Benjamin SABATIER
                                    Exposition ACCESS TO TOOLS
                                      27 janvier - 24 février 2018

«Concrete Utopia» par Sally Bonn, philosophe de l’art

Dans l’atelier de Benjamin Sabatier, on navigue entre des tables surchargées de documents, de
caisses, de piles de livres de bricolage et de théorie, et d’outils, d’œuvres emballées dans du papier
bulle ou d’autres en attente de l’être, des établis sur lesquels sont posés d’autres outils, mais ceux-là
sont en béton et la surface de l’établi est grise, lisse et creusée à l’endroit des outils, qui ont marqué
de leur poids la surface. Epinglées au mur, des images de sacs de béton posés sur des tréteaux et
d’une grande étagère en bois dont quelques étages sont occupés par des tiroirs de béton à poignée.
Au détour d’un meuble encombré, d’épaisses portions de troncs d’arbres superposées d’où paraît
s’écouler à l’horizontal une matière grise, comme une flaque. Le bois est lisse sans écorce, il a été
longuement travaillé.

Tout est là : le faire, le geste, le travail en cours, le travail de l’œuvre, et de la pensée, l’œuvre prête
à quitter l’atelier. Lorsque les pièces se déplacent pour occuper l’espace dégagé de la galerie, autre
chose se joue sous nos yeux. D’autres circulations dans l’espace du travail et dans l’espace de
l’œuvre. D’autres agencements, d’autres formulations. Le désordre de l’atelier fait place à la netteté
des matériaux, la blondeur du bois, la profondeur du gris du béton, sa pesanteur, figurée par les outils
creusant leur place dans le lit de béton. Ces formes sont à la fois molles et figées, arrêtées dans leur
mouvement d’expansion. Ce qui apparaît alors, ce sont leurs qualités : lisse, brillant, doux, brut, dense,
sensible, lourd ou léger. Elles appellent le toucher, la main. Et elles y renvoient. Comme elles appellent
la manipulation et le jeu de construction. Nous sommes là dans l’univers et le vocabulaire du savoir-
faire, du métier, du chantier : matériaux simples mais essentiels pour qui veut agir.

La question que se pose Benjamin Sabatier n’est pas seulement : que peut-on faire ? mais plus
concrètement (et faut-il redire ici qu’en anglais le béton se dit concrete) que peut-on faire de ses
mains ici et maintenant ? Ou encore, et de manière plus générale, faire, pour quoi ? Question qui
entraîne dans son sillage celle de ce qu’est une œuvre d’art dans un monde d’objets inutiles. Si l’on
ne veut pas, plus ajouter à la masse des marchandises, une marchandise supplémentaire, peut-être
que l’œuvre d’art doit retrouver son sens à travers son utilité ou du moins son usage. À la fois dans
le moment du geste et dans celui de sa monstration. Les œuvres de Benjamin Sabatier invitent à
faire usage de nos mains, retrouver notre capacité à transformer les choses, et donc, peut-être, le
monde. Ses matériaux simples et utiles invitent à faire soi-même (le Do It Yourself dont son travail
s’est inspiré), à reprendre la main sur le réel et sur le possible.

La réflexion politique sur le capitalisme tardif part du constat d’une société de plus en plus administrée
et soumise aux impératifs économiques du marché. Cette situation historique est le sujet d’une vive
interrogation sur la position de l’artiste et le bien-fondé d’une pratique vouée, a priori, à venir gonfler
le flot grandissant des
marchandises artistiques. On peut, comme l’avait fait certains artistes conceptuels, choisir de ne
plus produire d’objets. Mais, aujourd’hui, on peut aussi réinvestir ou se réapproprier le monde de la
fabrication, celui de l’apprentissage et de la transmission comme le fait Benjamin Sabatier (la pratique
d’enseignant de l’artiste joue un rôle important dans l’idée d’une mise à disposition et de partage
des moyens de production de l’art).
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Dans un texte intitulé « L’auteur comme producteur » Walter Benjamin interrogeait selon une
perspective matérialiste les rapports entre l’art et la politique à l’aune des rapports de production.
Il se posait la question de la fonction d’une œuvre dans « le contexte social vivant », sachant que les
rapports sociaux sont conditionnés

par les rapports de production. La mission de l’artiste est d’intervenir activement. L’artiste doit donc
être « opérant », inventer des alternatives, leur donner forme.

Le travail de Benjamin Sabatier est en cela une prise de position politique et libertaire par rapport
à la consommation de masse, une proposition qui s’inscrit dans une grande et belle histoire des
utopies mais, ici, l’utopie se veut concrète – celle des possibles de l’autonomie manuelle, de ce qu’il
appelle l’autoconstruction. Elle propose des modes de vie et de faire.

Réinvestir le travail de la main, associer savoir-faire et savoir de l’art dans une nouvelle perspective
esthétique, celle d’une poïétique, ce sont ces alternatives que propose Benjamin Sabatier.
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Benjamin SABATIER
Exposition ACCESS TO TOOLS
  27 janvier - 24 février 2018

      Benjamin Sabatier
       Sans titre, 2017
       Béton et métal
       64 x 66 x 8 cm
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Benjamin SABATIER
Exposition ACCESS TO TOOLS
  27 janvier - 24 février 2018

      Benjamin Sabatier
       Sans titre, 2017
        Béton et métal
      46 x 46 x 10, 5 cm
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Benjamin SABATIER
Exposition ACCESS TO TOOLS
  27 janvier - 24 février 2018

       Benjamin Sabatier
      TOOL BOX I, 2017
  Boîte en plastique et béton
       21,5 x 29 x 5 cm
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Benjamin SABATIER
                                 Exposition WORK IN PROGRESS
                                  du 27 janvier - 24 février 2018

Parallèlement à l’exposition ACCESS TO TOOLS, la Galerie Bertrand Grimont présente dans son
deuxième espace (au 42 rue de Montmorency) une seconde exposition personnelle de Benjamin
Sabatier intitulée « WORK IN PROGRESS ». Elle présentera une sélection d’oeuvres emblématiques
qui ont marqué le travail de l’artiste et ses recherches.

Des fameuses « peintures en kit IBK » à réaliser soi-même à l’aide de punaises, assemblages de bacs
à glaçon accueillant des papiers compressés, colonnes d’empilement de scotch colorés, étais de chan-
tier écrasant des pots de peinture... l’ensemble des œuvres présentées à la Galerie Bertrand Grimont
mettent en lumière la grande cohérence et la force d’un travail qui se veut toujours mouvement.

Pour la Galerie Bertrand Grimont, présenter un ensemble de travaux rétrospectifs et le confronter à
une exposition des œuvres les plus récentes de l’artiste, permet de révéler les évolutions, les glisse-
ments, les ruptures d’une pratique qui se conçoit avant tout comme un Trajet. Benjamin Sabatier aime
d’ailleurs à dire qu’ « une œuvre, c’est le parcours d’une vie ».
Benjamin Sabatier - Galerie Bertrand Grimont
Etai VII, 2012
Etai, pot de peinture en métal, acrylique et résine sur socle en medium peint
                Hauteur réglable (240 - 330 cm) x 36 x 36 cm
IBK’s Scotch Tower X, 2012
superposition de divers rubans adhésifs
           240 x 16 x 16 cm
Aquarium, 2012
Béton, plâtre et bois
 170 x 50 x 50 cm
CV

                                           Presse

42 - 44 rue de Montmorency - 75003 Paris   www.bertrandgrimont.com    +33 (0)1 42 78 46 51
ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h     info@bertrandgrimont.com   +33 (0)6 85 45 01 30
Curriculum Vitae

Né en 1977 au Mans
Vit et travaille à Paris

Représenté à Paris par la Galerie Bertrand Grimont.
Depuis 2007, il enseigne les arts-plastiques à l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Résidences
2016-2017 Ecole Supérieure des beaux-Arts TALM, Angers, fr
2012-2013 « Coopérative de Recherches », Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand, fr
2012 « Art and Work », University of Sheffield, uk
2011 « Contrat Social », Institut des Beaux Arts de Besançon, fr

Formation
2016 Thèse de doctorat «L’art à l’épreuve du travail», Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Paris
2001 Agrégation d’arts plastiques
2000 DEA, Arts et Sciences de l’art, Université de Rennes 2, fr

Expositions personnelles (Sélection)

2018
-Work In Progress, Galerie Bertrand Grimont, Paris
-Access to Tools, Galerie Bertrand Grimont, Paris

2017
-Wandlung, The Grass Is Greener Gallery, Leipzig, de
-Autoconstruction, Ecole Supérieure des beaux-Arts TALM, Angers, fr

2016
-Mode d’emploi, Galerie Catherine Issert, Saint Paul, fr
-One Piece at a Time, Galerie Bertrand Grimont, Paris

2015
-FormWork, Snap projects, Lyon, fr

2014
-Storage, Galerie Jousse Entreprise, Paris, fr

2013
-Reinforced Concrete, Bodson Gallery, Brussels, be

2012
-Hard Work, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris, fr (cat.)

2011
-A bientôt j’espère, Centre d’art contemporain Le pavé dans la marre,
Besançon, fr (cat.)
-Do It Yourself, Bodson-Emelinckx Gallery, Bruxelles, be

2010
-Platform (performance), Centre Pompidou, Paris, fr
2009
-Manifeste, Point Ephémère, Paris, fr
-Chantier, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris, fr

2008
-Super Partycles, MAK, mak-nite, Vienne, at

2007
-2 Pack Age, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris, fr

2005
-S.A.V., Galerie Jérôme de Noirmont, Paris, fr (cat.)

2003
-Peinture en Kit, Noirmont Prospect, Paris, fr (cat.)

2002
-35h de travail, (performance/cur. L.Gauthier), Palais de Tokyo, Paris, fr

Expositions collectives (Sélection)

2017
-Friends & Family, Galerie Eva Hober, Paris, fr (cat.)
-Between abstraction and figuration, Dauwens & Beernaert Gallery, Bruxelles, be
-Le paradoxe du cartel (cur. Isabelle de Maisonrouge), Galerie Valérie Delaunay, Paris, fr
-La bibliothèque fantastique, (cur. Antoine Lefebvre), Plana casa Festival, Sao Paulo, br
-Moi & les autres, Galerie Catherine Issert, Saint Paul, fr
-Summer Screening, H Space Gallery, Cleveland, us
-Karma, Galerie Bertrand Grimont, Paris, fr
-Construire déconstruire (cur. Renato Casciani), Delta Studio artist run space, Roubaix, fr
-Faire Chantier (cur. Isabelle Lévénez), CAPA - Centre d’Arts Plastiquesd’Aubervilliers, fr
-Where (cur. Paul Raguenes), Espace OÙ - Lieu d’exposition pour l’art actuel, Marseille, fr
-Au hasard (cur. Snap-Projects), La villa Balthazard, Valence, fr
-Red Houses, Galerie Metropolis, Paris, fr

2016
-Les réenchantements, Galerie Bertrand Grimont, Paris, fr
-Déformation professionnelle, Galerie Paris-Beijing, Paris, fr
-Vestiges Ephémères, Espace d’art contemporain HEC, Jouy-en-Josas, fr
-Sessions, Backslash Gallery, Paris, fr
-Virage, Galerie De Roussan, Paris, fr
-Not really really (cur. Frédéric de Goldschmidt and Agata Jastrząbek), Goldschmidt Collection, Bruxelles, be
-Le pied dans le plat (cur. Stéphanie Airaud), La Forme, Le Havre, fr

2015
-Un-Formed (cur. Snap Projects), PS Projectspace, Amserdam, nl
-La possibilité d’une collection, Galerie Catherine Issert, Saint Paul, fr
-Fiac Hors les Murs, Musée nationale d’Histoire naturelle, Jardin des Plantes, Paris
-Equilibre instable, Musée des Archives Nationales, Paris
-A-Rena di Anacapri (cur. G-Sergio), D/A/C denominazione artistica condivisa, Capri, it
-Grey Library (cur. A-Levebvre), White night, Galeria Posiblia, Bucarest, ro
-Toile de Jouy – Regards contemporains, Espace d’art contemporain HEC, Jouy-en-Josas, fr (cat.)
-Soon (cur. Snap Projects), Quincaillerie Vander Eycken, Brussels, be
-Return on Investment, Immanence, Paris, fr
-Miniature Museum, Gemeentemuseum Den Haag, La Haye, nl
-Obsession, Maison particulière Art Center, Bruxelles, be

2014
-Cabinet de curiosités (cur. A-Lefebvre), Undercurrent Projects, New York
-Wish you where here, Galerie Catherine Issert, Saint Paul, fr
-Economie Humaine (cur. Paul Ardenne), Espace d’Art Contemporain HEC, Jouy-en-Josas, fr (cat.)
-Summer Show 2, Galerie Catherine Issert, Saint Paul, fr
-Summer Show 1, Galerie Catherine Issert, Saint Paul, fr
-Stalactica (cur. Sven Jorgensen), Ramapano – Galerie utopia, Quincaillerie Vander Eycken, Brussels
-Raw Materials, Städtische Galerie Delmenhorst, de
-Monument, Sainsbury Centre for Visual Arts, Norwich, uk
-Cookbook Dreams and Inflatable Futures,(Cur. Arts & Sciences Projects), Guest Spot @ The Reinstitute,
Baltimore, us
-On/Out of Work, SNAP Projects, Lyon, fr
-Business Model (cur. Isabelle de Maison Rouge), La Vitrine AM, Paris
-Raw Materials, Städtische Galerie, Bietigheim-Bissingen, de (cat.)

2013
-Accrochage, Galerie Jousse Entreprise, Paris, fr
-FIAC, Hors Le Murs, Berges de Seine, Paris, fr
-De leur temps 4, (ADIAF), Centre d’Art Le hangar à bananes, Nantes, fr (cat.)
-MakeSHIFT(S) (cur. Petra Bungert), Columna 2, Vienne, fr (cat.)
-Les aventures de la vérité – Peinture et philosophie : un récit (cur. B-H Lévy), Fondation Maeght, Saint Paul de
Vence, fr
-Rêves d’Architecture (cur. Fabienne Fulchéri), Espace de l’Art Concret, Mouans-le-Sartroux, fr
-Steel and Freedom (cur. Lara Pan), Otto Zoo Galleria, Milan, it
-Épures, Le 7.5 - Isabelle Suret, Paris, fr

2012
-Cibles, Musée de la Chasse et de la Nature, Paris, fr (cat.)
-Temps Etrangers, Mains d’Oeuvre, Saint-Ouen, fr (cat.)
-21×29,7, Galerie De Roussan, Paris, fr
-Raw Materials – Vom Baumarkt ins Museum , Museum für Konkrete Kunst, Ingolstadt, de (cat.)
-Blank generation (cur. Richard Conte, Jacinto Lageira), Salon de Montrouge, fr (cat.)
-Subject / Matters, Collection Goldschmidt, Bruxelles, be
-Figures du sommeil, Galerie municipale Jean-Collet, Vitry-sur-Seine, fr (cat.)
-One Piece at a Time (Mosta-Heirt, Sabatier, Varini, Verjux), Point Ephémère, Paris, fr

2011
-Cadavre exquis, Centre d’art contemporain, Le Pavé Dans la Mare, Besançon, fr
-Paint B.A.L., L’Adresse Musée de La Poste, Paris, fr (cat.)
-Une proposition, Kanal20-Atelier, Bruxelles, be
-White walls, red floors, black corners, collection Goldschmidt, Bruxelles, be
-An Obscure Taxonomy (of noble lines), Atelier fine art gallery, Addis Ababa, et
-Already-made?, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris, fr

2010
-Survival Kit 2, Centre for contemporary art, Riga, lv (cat.)
-Macadam, studio 13/16, Centre Pompidou, Paris, fr
-Enfin (cur. M-Okonski), Zbiornik Kultury, MIK, Cracovie, pl
-« Qui vive? », II Moscow International Biennale for Young Art, Moscou, ru (cat.)
-Manifestez-vous! (performances), Centre Pompidou / Le 104, Paris, fr
-Le pire n’est jamais certain (cur. C-Debize), ESAMM, Metz, fr (cat.)
-Production – Destruction = Expenditure, Spool pool and The Sinai Desert Canoe Club, Londres, gb
-La Bibliothèque Fantastique – Soirée Performances (cur. A-Lefèbvre), Palais de Tokyo, Paris, fr

2009
-Christmas Palm (cur. Martin Kowalik), Freies Museum, Whiteconcepts, Zero project, The absence of Art, Berlin,
de
-Nous ne vieillirons pas ensemble (cur. Label Hypothèse), Galerie Ofr, Paris, fr (cat.)
-Fonction critique (cur. Manuel Fadat), Aperto, Montpellier, fr (cat.)
-Toutes les couleurs sont autorisées à condition que cela n’empêche pas le commerce, Musée d’art contemporain,
Szczecin, pl (cat.)
-Influence pop, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris, fr
-Parcours mixtes, Galerie Michel Journiac, Université de Paris 1, Paris , fr

2008
-MIRfestival (cur. C-Galanopoulou), Athènes, gr (cat.)
-The Art Parade, Deitch Projects, New York, us
-All colours permitted as long as they don’t interfere with business
(cur. Wodek), Art Center BWA, Katowice, pl (cat.)

2007
-Gartenparty (cur. Janina Falkner), MAK, Vienne, at
-Art Miami, Miami Beach Convention Center, us
-L’esperienza della transformazione, Civica Galleria d’Arte Moderna, Gallarate, it
2006
-XVème Biennale de Paris (cur. Alexandre Gurita), Paris, fr (cat.)
-The Art Gallery of Knoxville, Knoxville Tennessee, us

2005
-1955-2005, Salon du Cinquantenaire – Montrouge, fr (cat.)

2004
-Sculpture, FIAC, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris, fr

2003
-Ma petite entreprise, Abbaye Saint André, Centre d’Art Contemporain, Meymac, fr (cat.)

2002
-Les jeux dans l’art du XXe siècle, Le Bellevue, Biarritz, fr ; La Lonja, Palacio de Montemuzo, Saragosse, es (cat.)
-Manifeste (cur. L-Gauthier), Connexe 02, Maison des Métallos, Paris, fr

Collection and Foundation

-Artothèque de la Maison du livre, de l’image et du son, Villeurbanne, fr
-Espace d’art contemporain de HEC, Jouy-en Josas, fr
-Fondazione Ghisa Art Collection, Locarno, Suisse
-Miniature Museum Ria & Lex Daniels, Amsterdam, nl
-FRAC Haute-Normandie, fr
-Collection Société Générale, Paris, fr
-Latvian Centre for Contemporary Art, Riga, lv
-Civica Galleria d’Arte Moderna, Gallarate, it
ArtReview, mai 2014
Benjamin Sabatier, Storage
Art in America, Octobre 2012
Benjamin Sabatier «Hard Work»
Art in America, Octobre 2012
Benjamin Sabatier «Hard Work»
Tecknikart, octobre 2009
Benjamin Sabatier
by Marie Maertens
International Auctionneers, Autumn 2007
Benjamin Sabatier, Mass Consumption Under Ice
by Catherine Rebois
DAM N°12, August 2007 (Europe edition)
The Kit Kid (A step-by-step guide to creation)
by Jesse Brouns
DAM N°12, August 2007 (Europe edition)
The Kid Kit (A step-by-step guide to creation)
by Jesse Brouns
ParisArt.com, février-mars 2005
Benjamin Sabatier, S.A.V.
Par Flore Poindron

Après son exposition « Peintures en Kit », durant laquelle Benjamin Sabatier proposait de réaliser des œuvres
d’art à partir d’un modèle et d’éléments prêts à l’emploi, il poursuit avec « S.A.V. » sa petite entreprise critique
sous le label IBK (International Benjamin Kit).
Si le vocabulaire inspiré du merchandising et les matériaux prolongent une réflexion très actuelle sur les notions
d’économie et de travail appliquées à l’art, les pièces à l’esthétique minimaliste et formaliste interrogent le pro-
cessus de création et de transformation de l’œuvre.
Dans ce « service après vente » où la confusion entre geste artistique et geste commercial est renforcée par
la nature d’espace marchand de la galerie, Benjamin Sabatier renouvelle son offre de « peintures en kit ». Tout
en fidélisant le public et la clientèle, il pastiche des marques comme IKEA, distributeur d’éléments de mobilier à
agencer soi-même, et s’inscrit dans l’héritage des ready-made de Duchamp. Au-delà du dispositif marchand, c’est
le processus créatif en tant que transformation et de recyclage d’objets qui est interrogé.
Tout comme chez Mathieu Mercier, la réhabilitation du bricolage permet d’envisager sous un angle critique la
relation entre industrie, art et artisanat, mais aussi le statut de l’artiste.
Les peintures en kit expérimentent en effet de nouveaux rapports entre l’artiste et son collectionneur. En faisant
réaliser certaines de ses pièces par d’autres prestataires, Benjamin Sabatier se pose en chef d’entreprise et ex-
plore l’interpénétration des univers de production et de consommation.
Mais, tandis que Mathieu Mercier fournit des modèles d’habitation ou de design standard pour en révéler les
failles, Benjamin Sabatier incite le visiteur à devenir un artiste par procuration, notamment avec les « Peintures-
réclames IBK » réalisées dans un style emprunté aux catalogues de vente.
Au moyen de simples punaises à fixer au mur pour former un motif, des outils et un manuel de montage, il est
proposé au visiteur de re-créer des œuvres qui se réfèrent ironiquement à une histoire de l’art : « Pointillisme
proto-pop », « Pointillisme néo-dada », « Suprématisme post-moderne », etc.
S’agit-il d’une dénonciation de l’illusoire démocratisation de l’art ? d’un scepticisme avant-gardiste ? ou d’un ma-
nifeste anti ou procapitaliste ? Chef d’entreprise redoutable, main d’œuvre exploitée, consommateur comblé ou
abusé, collectionneur dans le vent, Benjamin Sabatier parodie à sa manière tous ces rôles et joue sur les poncifs
associés à leurs représentations.
Reposant sur les principes de rentabilité et d’efficacité, créer devient ici une activité concrète, mais aussi une ac-
tivité de plus en plus abstraite, consistant à re-fabriquer à partir de modèles stylistiques combinés. Le produit fini
est un objet unique, retravaillé et débarrassé de sa valeur d’usage. Alors que Duchamp se contente de déplacer
un urinoir ou une roue de bicyclette dans l’espace muséal, Benjamin Sabatier fait subir de nombreuses altérations
aux objets extraits du quotidien. L’œuvre consiste en un recyclage matériel et culturel que Benjamin Sabatier
nomme « packaging culturel ».
A côté des « Peintures en kit », les sculptures, peintures et installations constituent d’autres suggestions. Elles sont
constituées de déchets industriels : des sachets plastiques, papier chewing-gum et packaging alimentaires aux
résonances pop, encastrés dans des panneaux ou littéralement plâtrés, apparaissent comme des motifs picturaux
abstraits.
Les colonnes, les rondins, et les grands panneaux muraux frappent par leur esthétique épurée et l’harmonie de
leurs matières et couleurs. Seuls les titres (Colonne La Redoute II, Rondin les 3 Suisses) et un regard méticuleux
révèlent qu’ils sont faits de papiers chiffonnés, extraits de catalogues de vente par correspondance.
Les associations tactiles et colorées mettent en évidence les propriétés plastiques de la matière semblant relever
de gestes élémentaires, comme les monticules (Tas sur palette I) ou les bacs à glaçons surdimensionnés formant
d’immenses all-over ( Bacs, 212 x 484 cm).
Ces objets industriels, en fin de cycle privés de toute fonction utilitaire et saisis dans l’instant de la contemplation,
apparaissent dans leur qualité brute, et constituent d’admirables artifices qui renouent avec leur origine.
L’Oeil, Avril 2003
Un art version Ikea
par Nathalie le Foll
Mouvement, mai-juin 2003
Peintures en Kit
par Léa Gauthier
ParisArt.com, juin-juillet 2003
Peinture en kit
Par Caroline Lebrun

Avec la « peinture en kit », Benjamin Sabatier nous met quelques minutes dans la peau d’un artiste contempo-
rain en nous conviant à une séance de bricolage artistique. Toutefois, la possibilité de la série est limitée à trois
exemplaires par… respect du client.
« Avec le peinture en kit IBK, vous aussi, offrez-vous quelques minutes de modernité dans la peau d’un artiste
contemporain ». Invitation à l’ouvrage : Benjamin Sabatier nous convie à une séance de bricolage artistique.
Une vidéo explicative, sur le modèle des émissions de téléachat, nous accueille à l’entrée de l’exposition. Une
mère de famille, de retour des courses, commence la démonstration. En construisant sa propre œuvre d’art, elle
nous livre le mode d’emploi de la peinture en kit IBK. Une voix off commente et détaille les actions en soulignant
l’absence de difficulté de l’opération. Somme toute, il suffit de suivre méticuleusement les recommandations.
Tout d’abord, choisir avec soin l’emplacement de l’œuvre et préparer l’espace. Ensuite placer le patron et le per-
forer avec précision aux endroits indiqués. Les marques serviront de guide à l’emplacement des punaises. Pour
finir, il n’y a plus qu’à retirer le patron et à enfoncer les punaises en procédant ligne par ligne. Attention, la tête de
punaise ne doit pas être trop enfoncée et l’ensemble doit présenter une certaine planéité.
Une fois l’œuvre effectuée, vient le temps de la contemplation : « L’œuvre se déploie devant vous et il ne reste
plus qu’à convier quelques amis et connaissances pour admirer votre travail ».
Vient aussi le temps de pénétrer dans l’exposition. La mise en situation télévisuelle est relayée par une mise en
espace très soignée des œuvres. L’efficacité du propos est assurée par le fort contraste entre la mise en scène
parodique du film et la scénographie épurée de l’exposition.
Au centre de la salle, une vitrine est consacrée aux outils de fabrication : sachets de punaises répartis par cou-
leurs, « punaiseur IBK », emballage en carton constituent le « kit peinture IBK ». Le concept est exposé. Il fait
partie intégrante de l’œuvre.
L’accrochage étudié de la série Pointillisme abstrait donne également le ton : alignement parfait des œuvres, va-
riation subtile des couleurs. Les carrés s’imbriquent et se déclinent : passage du « bleu et rouge » au « rose et
jaune », du « jaune et vert » au « vert et rouge » puis au « bleu et rose ». La reprise d’une même couleur d’un
cadre à l’autre avec le glissement discret du rouge au rose en début et en fin d’accrochage donnent équilibre et
harmonie à l’ensemble.
Pas de difficultés, certes, pour monter ces œuvres mais un soin particulier accordé à l’espace. Si le principe du kit
ne change pas, c’est la géographie de l’œuvre qui varie et qui lui donne sa particularité. « Réalisez votre rêve en
devenant dans votre espace, l’artiste d’un jour ». L’appropriation de l’espace est un élément essentiel.
D’ailleurs, Benjamin Sabatier ne pousse pas la standardisation jusqu’au bout. Même si le concept IBK est déclina-
ble, le catalogue « mode d’emploi » publié à l’occasion de l’exposition précise : « Si le mode de production des
Peintures en Kit permet la multiplication en série de chacune des pièces, IBK s’engage à ne jamais fournir plus
de trois exemplaires d’un même modèle. L’œuvre d’art n’est pas un objet en série, IBK le sait et respecte son
client ».
Label de qualité, argument de vente, la spécificité de chaque pièce est mise en valeur à travers une disposition
raffinée des œuvres.
Paris Match avril 2003
Mosaiques.... de punaises
par Elisabeth Couturier
Press articles

2016
-DELAURY Vincent, «Benjamin SABATIER», L’oeil du collectionneur - Galeries, L’OEIL n° 693, septembre

2014
-AZIMI Roxana, «When art imitates business», The Guardian, Weekly, 26 september
-AZIMI Roxana, «L’art des affaires», Le Monde, 6 - 7 septembre
-BOUTET DE MONVEL Violaine, “Benjamin Sabatier: Storage”, ArtReview (London), vol. 66 no. 5, summer
(solo)
-MILLIARD Coline, «Paris Gallery Beat : Six must-see shows this may», Artnet News, 15 mai
-CRENN Julie, «Business Model - Entreprises d’artistes», Art press n°410, avril
-KELLER Bettina, «Der Baumarkt als Inspirationsquelle», in Südthüringen, de, 8 mars
-RIOUX Christophe, «L’artiste comme entrepreneur», Le Quotidien de l’Art, n° 543, 14 février
-FRONZ Hans-Dieter, «Warum Kunstler in den Baumarkt gehen», in Badische Zeitung, de, 11 février
-AZIMI Roxana, «Le business en modèle», Le Nouvel Economiste, 31 janvier
-BERTHIER Florence, «Les artistes managers et/ou stratèges se révèlent dans la vitrine am», Inluencia.net, jan-
vier
-ROMANACCE Aurélie, «Le Business de l’Art», Arts Magazine n°84, février

2013
-AZIMI Roxana, «Claude Parent, Yves Klein et les rêves d’architectures», Le Quotidien de l’Art n° 429, 26 juillet
-SIMENC Christian, «Un rêve d’architecture», Le Journal Des Arts n°395, juillet - septembre
-BLANKAERT Marie-Claire, «Chez Florence Baudoux, Néo-féminin», ELLE Décoration n° 216, avril
-DE ROCHEBOUËT Béatrice, «Réinventer la «Party Arty», Figaroscope, février
2012
-ROMANACCE Aurélie, «Les artistes de demain en grand format», in Arts Magazine n°70, fr, Novembre
-FRANKLIN Paul B., «Benjamin Sabatier», in Art in America magazine, us, october (solo)
-HURWITZ Laurie, «Benjamin Sabatier», in Art News , us, september (solo)
-ADDLEMAN Kate, «Brute Materials», ARTslant, us, june (solo)
-PORTIER Julie, «Le droit à la paresse», le quotidien de l’art, n°219, 19 septembre
-PIODA Stéphanie, «La rive droite fait sa nocturne», Marché de l’Art, Beaux-Arts magazine, N° 336, juin
-»Chantier Sabatier», Air France magazine, juin (solo)
-DE ROCHEBOUËT Béatrice, «Le travail selon Benjamin Sabatier», Figaro Scope, fr, mai (solo)
-PORRET Karine, «Benjamin Sabatier, l’esthétique du Labeur», Stiletto magazine, mai (solo)
-PIODA Stéphanie, «Du côté des Musées», Beaux-Arts magazine, N° 331, janvier (solo)

2011
-ANDRIKIAN Yves, «A bientôt j’espère», Est Républicain, 25 novembre (solo)
-»A bas le vieux monde», Magazine Poly, novembre (solo)
-LEBLANC Stéphane, «Facéties Artistiques», 20 minutes, fr, 16 mars
-DE SANTIS Sophie, «Already-Made?», Le Figaro, fr, 22 février

2010
-RONDELET Simone, «Nature revisited», Luxos magazine, it, été

2009
-WESSANG Adeline, «Benjamin Sabatier», noblahblah.org, fr, décembre (solo)
-MAERTENS Marie, «Art & Economie», Technikart, hors-série art contemporain, fr, octobre
-DEDET Frédérique, «L’élu : Benjamin Sabatier», Point de Vue, n°3170, fr, avril (solo)
-ROUILLÉ André, «L’entreprise : matériau et formes esthétiques», édito n° 274, Paris-art.com, fr, avril
-FADAT Manuel, «Correspondance avec Benjamin Sabatier», Appendices n°3, fr, mars (solo)
-BIANCHI Stefano, «Influence Pop», Cool mag n°32, it, printemps
2008
-FAUST Valérie, «Artistes et grandes cuvées», Le Figaro magazine, n° 20016, fr, décembre (solo)
-SENALDI Marco, «L’Età dell’Imballaggio», Impackt - Contenitori e Contenuti, it, automne (solo)
-HELFAND Jessica , «Second in a Series : Completions», Design Observer, us, septembre

2007
-REBOIS Catherine, «Mass consumption under ice», International Auctioneers, automne (solo)
-BROUNS Jesse, «The Kit Kid, a step-by-step guide to creation», DAM, n°12, juillet-août (solo)
-DOUAIRE Pierre-Evariste, «2Package», Paris-art.com, fr, juin (solo)
-DOUAIRE Pierre-Evariste, «Interview», Paris-art.com, fr, avril (solo)
-PERESSON Olivia, «Quand l’art s’emballe», Le Parisien, fr, 10 mai (solo)

2005
-GRENIER Alexandre, «Un vrai boulot !», Pariscope, n°1919, fr, mars (solo)
-POINDRON Flore, «S.A.V.», Paris-art.com, fr, février-mars (solo)

2003
-RAMADE Bénédicte, «Esprit d’entreprise», L’Oeil, n°552, fr, novembre
-LEBRUN Caroline, «Peinture en Kit», Paris-art.com, fr, juin-juillet (solo)
-GAUTHIER Léa, «Peinture en kit», Mouvement, n°22, fr, mai-juin (solo)
-LE FOLL Nathalie, «Un art version Ikea», L’Oeil, n°546, fr, avril (solo)
-COUTURIER Elisabeth, «Mosaïque de…punaises», Paris Match, n°2814, fr, 24-30 avril (solo)

Solo exhibitions catalogues

2016 That’s all Folks (texte de Bruno TRENTINI), Centre culturel d’Anglemont, édition ville des Lilas.
2014 SABATIER Benjamin, Entretien en Kit, End édition, Metz.
2012 SABATIER Benjamin, Do it yourself, de A à Z, éditions Janninck, coll. « l’art en écrit », Paris.
2012 Hard Work (texte de Jacinto LAGEIRA), édition Galerie Jérôme de Noirmont, Paris.
2011 A BIENTOT J’ESPERE (textes de Laurent DEVEZE et Raphaël BRUNEL), co-édition ÉRBAet Le Pavé
Dans La Mare, Besançon.
2008 FRAGILE (textes de Marie CANET et Marco SENALDI), édition ville d’Issoire.
2005 S.A.V. (texte de Sébastien JUY), édition Galerie Jérôme de Noirmont, Paris.
2003 Peinture en Kit (texte de Léa GAUTHIER), édition Galerie Jérôme de Noirmont, Paris.

Livres et Catalogues collectifs

2017 « L’art à l’épreuve du travail », dans Art et Mondes du Travail, actes de colloque, publication DGCA/Mi-
nistère de la Culture et de la communication, fr
2015 Esthétique du Don, de Marcel Mauss aux arts contemporains, (dir. J-Lageira et A-Lontrade), Figure de l’art
28, Puppa, Pau, fr
2015 Penser le changement climatique (dir. JM Bonnisseau), publications de la Sorbonne, Paris, fr.
2015 Economie humaine (dir. Paul Ardenne), publication EAC HEC, Jouy-en-Josas, fr.
2014 Art Interview #1, (dir. DOUAIRE Pierre-Evariste), Les voix de l’art contemporain, Paris, fr.
2014 Du travail ! (dir. S-Bonn et A-Leduc), Le Salon n°7, Ecole supérieur d’Art de Lorraine, Metz, fr
2013 Le travail à l’oeuvre, École Supérieur d’Art de Clermont Métropole, fr
2013 De leurs temps (4), Coproduction ADIAF & Musée des beaux-arts de Nantes, Silvana
Editoriale, fr.
2013 Sytème DIY. Faire soi-même à l’heure du 2.0, ( dir. DELPRAT Etienne ), ed. Alternatives,
Paris, fr.
2013 Le Grand Magasin Surréaliste, (dir. MARTIN Nicolas), ed. Palette, Paris, fr.
2012 Temps étrangers, Mains d’Oeuvre / Université de Paris IV, fr.
2012 Raw Materials, Vom Baumarkt ins Luseum, Kerber Art, Ingolstadt, de.
2012 Blank Generation, (dir. CONTE Richard et LAGEIRA Jacinto), Edition Ville de Montrouge, fr.
2012 Figures du Sommeil, (CERAP Université de Paris 1) Galerie Municipale Jean Collet, Edition Ville de Vitry-
sur-Seine, fr.
2011 ARTISTES & ENTREPRISES, Co-édition ERBA/ART&FLUX, fr
2011 Maison en Kit, (dir.) VERGNOT-KRIEGE Claude, collection « Anarchitecture », Editions Alternatives, fr.
2010 « Qui Vive? », II Moscow International Biennale for Young Art, Moscou, ru
2010 Nous ne vieillirons pas ensemble, Edition Label Hypothèse, fr
2010 Les choses dont nous ne savons rien encore, Université Paris IV, CNAP, Point Ephémère, Paris, fr.
2010 Le pire n’est jamais certain, la création à l’épreuve des risques majeurs, (dir. CONTE Richard, DEBIZE
Christian), Edition de l’Esamm et Université de Paris 1, fr.
2009 Loving the Alien, mak nite, MAK, Wien, at.
2009 Fonction Critique, Edition Aperto, fr
2009 Festival inSPIRACJE / Space, Szczecin, pl
2008 All colours permitted as long as they don’t interfere with business, Art Center BWA, Katowice, pl.
2008 Les Entreprises critiques, Cité du design édition, Saint Etienne, fr
2008 MIRfestival 08, Athenes, gr
2007 XVème Biennale de Paris, Edition Biennale de Paris, fr
2005 1955-2005, Salon du Cinquantenaire – Montrouge, Edition ville de Montrouge, fr
2003 Ma petite entreprise, édition du Centre d’Art Contemporain de Meymac, fr.
2002 Les Jeux Dans l’Art du XXe Siècle, éditions de La Différence, fr.
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