BLOCK - DOSSIER PEDAGOGIQUE - Cie La Boîte à sel - Le Pôle
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RENSEIGNEMENTS Samedi 20 novembre à 10h Scolaires : lundi 22 et mardi 23 octobre, à 9h15, 10h45 et 14h30 Au PÔLE, Le Revest-les-Eaux Théâtre d’objets sonores connectés TOUT PUBLIC DÈS 3 ANS DURÉE : 40min Tarifs : Bénéficiez du tarif scolaire : 6€ / élève L’enseignant et les accompagnateurs, dans la limite de l’encadrement légal, sont invités. Pour tous renseignements, veuillez contacter l’équipe des relations avec les publics : Julia Lecoubet de Boisgelin : 04.94.93.83.51 ou par mail julia@le-pole.fr
Chers professeurs, Une représentation de théâtre est un évènement unique. Elle ne bondit pas spontanément sur la scène, même si c’est ce que les artistes veulent nous faire croire. Avec des mots, des gestes, de la musique et des accessoires, les artistes font apparaître leurs images intérieures dans l’espace. Derrière les instants de beauté et d’émotion se cachent des jours, des semaines, voire des mois de dur labeur. Une sortie au spectacle vivant ne se consomme pas mais se vit. Elle n’a de sens que si elle devient un moment de rencontre entre l’artiste et le spectateur. Quand le spectateur de- vient spect-acteur. Être spect-acteur s’apprend avant, pendant et après le spectacle. Nous vous proposons dans ce dossier quelques outils pour apprendre avec les jeunes spectateurs à voir et à concevoir la sortie au spectacle vivant comme une expérience durable. Nous nous réjouissons de recevoir vos commentaires et vos questions, ainsi que des dessins ou des lettres. Nous sommes à votre entière disposition pour plus de renseignements. Nous vous souhaitons, à vous et à vos élèves, une rencontre stimulante et enrichissante avec les arts vivants !
AVANT PROPOS En théâtre d’objet, souvent, il suffit d’un regard, d’un geste de l’interprète, sans que l’objet ne soit forcément mis en mouvement. Et déjà on projette la vie. Dans le grand chantier sonore de BLOCK, tout peut prendre vie, tout est potentiellement vivant, habité. Et ces constructions d’espaces ur- bains plastiques et sonores, ne sont pas gratuites, elles sont un mode d’appréhension du réel, elles permettent à la personne d’apprivoiser son espace, d’apprendre la maîtrise de ce qui l’entoure. Comme l’enfant qui est habitué à ce que le monde lui soit récalcitrant. Et pour l’interprète qui s’aventure sur scène, cela redevient vrai à nouveau. Car le plateau confronte l’interprète à l’espace, à son propre corps dans cet espace, et souvent aussi aux objets qui s’y trouvent. Se tissent alors entre son corps et ces objets de multiples possibilités de jeu selon la place et le statut qu’il décide de leur attribuer. Enfin les blocks sont des surfaces de projection très fortes pour le spectateur, leur petite dimension leur confère un aspect inoffensif, gadget et sympathique, et c’est par leur nombre et leur puissance d’évocation qu’ils renversent les codes et suscitent le mouvement du public vers eux et l’empathie. Une femme découvre sous un casque de chantier le premier block : un petit cube translucide de 7cm3 muni d’une enceinte. Le premier son émis par ce block est un bip, bip de sécurité, bip technologique, qui soudain s’emballe et que la femme - dans une tentative de retour au calme - manipule et déclenche contre sa volonté une réaction en chaine. D’autres blocks se mettent en route avec leurs sons propres : bip de recul de camion, moteurs de voitures, sirènes, crissement de roues... Le jeu de la ville peut commencer : construction métaphorique d’un monde, d’une société, d’un individu et par là même une façon d’appréhender le monde. Cependant la créatrice ne semble pas avoir tout à fait conscience de l’envergure de cette nouvelle entreprise lors de ce commen- cement qui lui donnerait presque des allures de « grande architecte ». Car les blocks révèlent de multiples possibilités, celle de la faire basculer d’un univers à un autre, de révéler un détail infime dans un grand tout sonore, de faire surgir soudain une ville embouteillée, un chantier, une pluie - que toute nouvellement coiffée - cette cheffe de “chantier” cherche à organiser, pour mieux donner à entendre, par jeu, puis par jubilation, et bientôt par volonté de maitrise et de prise de pouvoir. S’engage une forme d’émancipation des blocks qui résistent aux sollicitations de leur créatrice et découvrent peu à peu le libre arbitre. Ils agissent seuls et de par cette autonomie deviennent les propres acteurs de leur univers qui s’en trouve modifié. Ils accèdent à une forme de conscience de leur état, de leur statut et donc à la possibilité de le faire évoluer. Les blocks tiennent la place, investissent leur territoire et construisent un monde émancipé jusqu’à exclure leur créatrice, vo- lontairement ou non, elle n’y a en tout cas juste plus sa place. Comme un parent dont les enfants auraient grandi trop vite, une autorité destituée, ou bien une personne mise au banc d’une société à laquelle elle appartenait pourtant la veille. Comment cette humaine va t’elle accepter de lâcher son obsession de maîtrise et inventer une autre forme de relation ? Qu’aura-t’elle appris et com- pris? Quel va être son nouveau statut à elle alors que les blocks n’ont plus besoin d’elle ? Comment exister désormais ? Il y a bien entendu d’innombrables réponses à cette question et j’attends du travail de plateau d’apporter la matière à décider de la façon dont mon personnage et les blocks vont se réunir, se rejoindre, faire un ensemble, composé de toutes leurs singularités. Je penche vers un travail choral, de voix humaines, soixante voix auxquelles s’ajoutera celle de mon person- nage, mais je n’écarte aucune surprise qui pourra naître du travail au plateau. Mon expérience à venir d’interprète au plateau avec 60 objets sonores connectés mettra en jeu très concrètement toutes les questions que j’aborde dans la dramaturgie : quid de ma maîtrise à moi ? De leur résis- tance à eux ? De leur puissance d’évocation et de leur invention ? Comment être à la hauteur ? Quel langage corporel vais-je être amenée à développer pour exister avec eux ? Quoi de plus riche et jubilatoire que d’éprouver son sujet de façon aussi empirique ! Pour une marionnettiste c’est évidemment une occasion unique et, outre l’intérêt de travailler avec ces étonnants blocks, il me semble que c’est bien cette mise en abîme du propos, très concrète et sincère qui proposera une expérience de spectacle inédite pour le public. Céline Garnavault - metteuse en scène et interprète
LE SPECTACLE Une interprète marionnettiste et soixante haut-parleurs, objets connectés : les blocks, dessinent et composent en grande proximité avec le public les architectures sonores et lumineuses de villes en mutation. BLOCK, aborde le thème de la construction (de soi ?) de la ville qui se déploie, se dé- multiplie, mute en permanence, change ses perspectives (et notre regard ?) et devient un espace (le nôtre ?) un jour apprivoisé et le lendemain étranger à nouveau. Les blocks sont en apparence des pièces de construction, inertes, transparentes, presque vides hormis quelques fils, et un circuit imprimé que l’on distingue derrière l’enceinte ronde en façade. Ils sont des boîtes, des boîtes à son, concrètes et rudimentaires alimentées par des batteries, comme des boîtes à meuh, qui ne fonctionnent que si on les retourne. Leur synchronicité - action de la main / réaction sonore du block est efficace, drôle, et simple. Rien de sorcier donc. On maîtrise. Puis ils se démultiplient, et par le nombre commencent à faire masse, leurs sons se complexifient, se développent, s’enchevêtrent et projettent le public dans d’autres espaces et d’autres temps. De même, l’interprète traverse avec eux des architectures de plus en plus compliquées : construc- tions plastiques, villes lumineuses, bruyantes, grouillantes d’activité, sans pourtant qu’aucune fi- gure humaine n’y apparaisse jamais... Il faut maintenant trier, organiser, et tenir en ordre de marche cette “chose” urbaine en constante mutation, tenter de diriger, de contenir ce qui s’échappe, et ce volume sonore qui ne se maîtrise plus... Mais que fait l’architecte quand après tant d’efforts la ville qu’elle a créée ne dort plus et l’empêche de prendre du repos ? Quand les blocks soudain ne lui obéissent plus, résistent par le son, l’inertie, la vibration, la lumière ? Et si soudain les blocks se rebellaient ? Ne serait-ce pas une révolution ? Qu’est-ce donc qui les animerait ? Comment se comprendre et construire autre chose ensemble ? Autant de questions que nous souhaitons explorer dans une dramaturgie du corps, de l’objet et du son innovante, ludique, poétique, toujours inattendue et restant la plus ouverte possible pour que se déploient les projections et l’imaginaire des spectateurs. Céline Garnavault - metteuse en scène et interprète de BLOCK
LA COMPAGNIE La compagnie La Boîte à sel pratique un théâtre d’explorations plastiques et pluridisciplinaires, influencé par les installations d’art et le théâtre de marionnette contemporain. Depuis sa fondation en 2000, quinze spectacles et des installations sont nés sous l’impulsion de la créatrice Céline Garnavault. La Boîte à sel collabore avec des artistes étrangers et ses créations sont jouées en France et à l’international : Belgique, Pays-bas, Canada, Brésil, Inde. La compagnie propose des installations artistiques et multimedia (Icare in situ, Boomer, Galerie). Elle mène également des projets participatifs en lien avec les habitants des territoires de Nouvelle Aquitaine et de Bretagne et imagine avec eux des objets artistiques singuliers : street art, livre, documentaire radiophonique et créations sonores. La Boîte à sel est implantée à Bordeaux. En compagnonnage avec le Théâtre Ducourneau – Scène conventionnée d’Agen de 2015 à 2017, elle est désormais en partenariat avec Très Tôt Théâtre - Scène conventionnée de Quimper pour deux saisons. Vice-présidente de l’association Scènes d’enfance – Assitej France en 2017 et 2018, Céline Garnavault a été réélue au Conseil d’administration en juin dernier. Le 11 juillet 2017, elle dirigeait une performance théâtrale et musicale pour Avignon, enfants à l’honneur, dans la cour d’honneur du Palais des papes. L’EQUIPE Mise en scène et jeu : Céline Garnavault Invention et conception des blocks : ©Thomas Sillard Création sonore : Thomas Sillard Collaboration artistique : Frédéric Lebrasseur et Dinaïg Stall Composition musicale : Frédéric Lebrasseur Développement des blocks : Raphaël Renaud Création lumière et régie plateau : Luc Kerouanton Scénographie : Céline Garnavault Réalisation décor : Daniel Peraud
QUELQUES PISTES À EXPLORER AVANT LE SPECTACLE 1- SE PRÉPARER AU SPECTACLE Evoquer le type de spectacle : cirque, concert, théâtre, théâtre musical, théâtre d’objets,… et le genre: drame, comédie, tragédie, pièce classique, adaptation, œuvre contemporaine,… Jouer le bon / le mauvais spectateur ; les 3 qualités / les 3 défauts Le titre BLOCK et l’affiche du spectacle Regarder ensemble la photo qui illustre le spectacle et la décrire : qui voit-on ? Comment cette personne est-elle habillée ? Est-ce habituel ? À quel(s) métier(s) cela fait-il référence (casque vs chemise) ? Que fait-elle ? Quel(s) objet(s) ? Connaissent-ils cet objet ? Qu’est-ce que cela leur évoque (fils, enceinte) ? Le titre : que nous dit-il sur le spectacle ? Qu’est-ce que peut être ce « block » ? Regarder de nouveau la photo : quel élément est mis en avant ? Pour ce spectacle, nous parlons de théâtre d’objets sonores connectés. Cette notion n’est peut-être pas évidente pour les tout-petits mais leur expliquer que les blocks sont de petits hauts parleurs qui vont émettre différents bruits. À l’issue du spectacle la compagnie propose systématiquement un bord plateau “surprise” avec un block un peu particulier… 2 - TRAVAILLER SUR LE SPECTACLE Les blocks du spectacles Ce sont de petits cubes translucides de 7cm3 muni d’une enceinte.
Les bruits de la ville Regarder le teaser du spectacle : quel(s) élément(s) visible(s) sur la photo précédemment étudiée retrouvons-nous ? Où se trouve la personne ? Que tient-elle dans les mains ? Quelle action fait-elle avec cet objet ? Quel(s) son(s) cet objet fait-il ? Qu’est-ce que cela nous indique sur l’univers du spectacle (univers citadin) ? Quel(s) autre(s) son(s) lié(s) à cet univers connaissent-ils ? Qu’est-ce que cela leur évoque comme « jeu » qu’ils pourraient connaître ? Leur montrer la vidéo d’une boîte à meuh classique. En ont-ils chez eux ? Ces boîtes font-elles toujours le même bruit? Montrer des boîtes à meuh qui ont un fonctionnement un peu différent. Sur cette vidéo, nous écoutons des cris d’animaux individuellement puis collectivement. Écouter, s’écouter, écouter l’autre Dans ce spectacle, l’univers sonore est important. Comment réussir à se concentrer sur un seul son ? Réussir à créer des situations d’écoute. Activité : demander aux enfants de garder le silence pendant quelques minutes et leur demander d’écouter leur environnement, le monde sonore qui les entoure (classe, cour, etc). Suite à ce moment d’écoute collectif, demander aux enfants quel(s) bruit(s) ils ont entendu. Localiser les sources sonores, faire des hypothèses sur leurs causes, sur les objets, les voix, les matériaux et les gestes qui peuvent les produire. Autre possibilité : fermer les yeux, un enfant parle, les autres doivent deviner de qui il s’agit. Trouvent-ils leur univers sonore plutôt silencieux ou bruyant ? Pourquoi ? Activité : leur demander de mimer, de trouver un geste pour illustrer un des bruits perçus. S’amuser à leur demander de le faire collectivement (chacun avec un geste et un bruit différent ou, selon le nombre d’enfants, former des petits groupes). Créer une chorégraphie collective. Dans le spectacle, il est question d’organisation des blocks comme l’organisation d’une société. Il est question de « vivre ensemble ». Activité : expérimenter en demander aux enfants de construire collectivement une tour/un bâtiment à l’aide de cubes. Observer comment s’organise le groupe. Pistes de travail proposées par le Théâtre du Grand Bleu de Lille 3- POUR ALLER PLUS LOIN Quelques références bibliographiques • Les grandes villes du monde de Emmanuelle Ousset et Aurélie Abolivier • Popville de Anouck Boisrobert, Joy Sorman et Louis Rigaud • Dans la Ville d’Isabelle Mignard, Marie Parade et Robert Barborini • Une ville au fil du temps de Anne Millard et Steve Noon • Vers la ville de Eric Battut • Cool architecture de Simon Armstrong
APRES LE SPECTACLE Suggestions pour parler du spectacle 1- SE REMÉMORER LE SPECTACLE Suggestions pour parler du spectacle : Vous venez d’assister à un spectacle de : théâtre, danse, marionnette... ? Qu’avez-vous ressenti quand vous êtes entrés dans le théâtre ? Avez-vous remarqué des éléments du décor ? Pouvez-vous décrire le décor ? Pouvez-vous vous exprimer sur le décor ? Sur sa valeur esthétique. ? C’est quoi la valeur esthétique ? Dîtes si vous l’avez trouvé beau ou non. Si vous pourriez l’imaginer autrement. Procéder à une restitution : exprimer son ressenti (à l’écrit, à l’oral, par le dessin, etc.) et l’argumenter fait partie intégrante de la formation du jeune spectateur. Conserver une trace du concert (photos, dessins, écrits, etc.) afin que les élèves gardent un souvenir de leur parcours culturel. 2- APPROFONDIR CE QU’ON A VÉCU Quel rythme les élèves ont-ils perçu à la fin ? (rythme accéléré par la multiplication progressive des blocks une soixantaine) Ont-ils reconnu des situations qu’ils connaissaient, avaient déjà vécues (embouteillage, pluie, etc) Quelle(s) histoire(s) se sont-ils racontées (possibilité de dessiner les histoires) Une balade dans une ville animée, une course de voitures, le sauvetage d’un chat, une nuit sous un ciel étoilé, etc. Quel(s ) son(s) de la ville ont-ils reconnus ? Bip de recul d’un camion, moteurs de voiture, sirènes de police et d’une ambulance, crissement de roues, hélicoptère, sonnette de vélo, klaxons, outils de chantier comme un marteau piqueur ou une scie circulaire, etc . Il y a également des bruits de la nature comme l’orage ou la pluie, le miaulement d’un chat. Comment savions nous quel block était activé ? Présence d’une petite lumière sur le devant du block. Qu’ont-ils pensé de l’attitude de la cheffe de chantier ? Qu’a-t-elle voulu faire avec les blocks? Tout d’abord, elle a permis d’organiser les bruits. Dans un premier temps, c’était un jeu pour elle puis elle a souhaité les maîtriser, les contrôler, prendre le pouvoir. Les blocks sont-ils restés sous son contrôle? Que s’est-il passé ? Il y a une révolution de ces blocks qui souhaitent être autonomes, libres. Qu’ont-ils pensé du block 61 ? C’est lui qui a déclenché le « dysfonctionnement», l’émancipation des blocks. Activités : • Chaque enfant choisi un son, un bruit qu’il peut faire avec son corps (sa bouche, ses mains, ses pieds,…). Un(e) chef(fe) d’orchestre est choisi(e) et dirige les différents sons (avec une variation d’u volume possible) comme dans le spectacle. Il est également possible d’enregistrer des sons et de jouer avec. • Demander aux enfants de dessiner une ville (celle où ils vivent ou une imaginée). Leur demander d’ajouter tous les éléments importants qui s’y trouvent ou qu’ils aimeraient y trouver. Ou leur faire écouter un environnement sonore à dessiner selon ce qu’ils imaginent. Pistes de travail proposées par le Théâtre du Grand Bleu de Lille
PARCE QUE VOTRE PAROLE EST ESSENTIELLE... Le dossier pédagogique est un outil que nous mettons à votre disposition pour vous donner des éléments pertinents sur le spectacle et la compagnie qui l’a créé. Nous vous proposons des pistes pédagogiques sous formes d’ateliers, d’exercices ou d’expériences à réaliser avec votre classe. Nous vous suggérons également une courte bibliographie qui vous permet d’aller plus loin sur les thèmes ou les sujets abordés par le spectacle. Nous vous laissons le soin de vous emparer de ces éléments pour sensibiliser les enfants avant le spectacle ou encore pour prolonger l’expérience après la représentation. Nous souhaitons avoir votre avis, connaitre votre ressenti sur les spectacles que vous êtes venus voir. De plus, le regard que vous portez sur les propositions artistiques est essentiel. L’équipe du PÔLE vous invite à partager vos réflexions sur les spectacles. Vos avis et vos témoignages seront étudiés avec une grande attention. Afin d’entretenir avec vous une relation toujours plus proche en vue de partager nos idées, nous nous tenons à votre disposition après chaque spectacle en allant à la rencontre de vos élèves dans les établissements scolaires afin d’échanger vos impressions, répondre à vos interrogations et engager ensemble de nouvelles perspectives. Pour tous renseignements, veuillez contacter l’équipe des relations avec les publics : Julia Lecoubet de Boisgelin : 04.94.93.83.51 ou par mail julia@le-pole.fr
LE PÔLE, scène conventionée d’interêt national Tél. 0800 083 224 (appel gratuit) 60, boulevard de l’Egalité – 83200 Le Revest-les-Eaux www.le-pole.fr– info@le-pole.fr
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