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Russell westbrook paul george carmelo anthony

Très (trop) souvent critiqué ces dernières années, l’ailier star des Los Angeles Clippers tient pour la nouvelle génération une réputation de joueur arrogant, incapable de faire gagner son équipe. Faire ce constat, c’est pourtant oublier quel merveilleux joueur est PG. Un leader important, doté de qualités physiques exceptionnelles. En somme, un
athlète de grande classe. Tout, ou presque, a commencé en 2018. Paul George rejoignait OKC après sept saisons passées à Indiana, pour rejoindre son ami Russell Westbrook. Si les débuts n’étaient pas tonitruants, le Thunder parvenait à se qualifier aisément en Playoffs, et affrontait le Jazz au premier tour. Face à Utah, Oklahoma City était largement
favori. Russell Westbrook demeurait MVP en titre, Paul George montait en puissance et Utah avait comme principale arme un rookie du nom de Donovan Mitchell. Pourtant, rien ne se passait comme prévu et à l’issue d’une série riche en « trash talk » et en tension, ce sont bien Rudy Gobert and co qui décrochaient la timbale, au bout de six matchs.
Dans cette dernière rencontre décisive justement, Paul George fait partie des joueurs vivement critiqués, et à juste titre, pour son médiocre 2/16 au tir durant ses 45 minutes passées sur le terrain. Moqué malgré les performances Vexé, PG13 décidait alors de passer à la vitesse supérieure l’année suivante. Désormais sans Carmelo Anthony, mais
toujours entouré par Westbrook, l’ailier laissait exploser son talent et le fruit de son travail acharné durant toute la saison. Ses stats ? 28 point par matchs, accompagnés de 8,2 rebonds, 4,1 passes et 2,2 interceptions. Il s’agit d’ailleurs de ses meilleurs chiffres en carrière dans chacune de ces catégories, excepté les passes décisives. Sur une autre
planète, George fait partie des favoris au titre de MVP. Mais il échouera sur le podium, derrière Giannis et Harden. N’empêche que PG gardait en tête son objectif ultime : celui d’aller chercher une bague. Et c’est, une nouvelle fois, sur le ton du « trash-talk » et du chambrage sur les réseaux sociaux que la série du premier tour face aux Blazers de
Damian Lillard se déroulait. Et si ce que tout le monde retiendra de cette série est le buzzer beater légendaire du meneur des Blazers sur la tête de George, beaucoup de monde oublie que l’ailier réalise une superbe série, à base de 28,6 points et 8,6 rebonds. Mais l’ego de PG a parlé, et le fantasque sera moqué pour ses déclarations d’après-match,
où il assénait un aussi mythique que regrettable : « C’était un mauvais shoot » en conférence de presse. Sûrement pas le meilleur de ses moves. Cette attitude lui a valu beaucoup de moqueries et a même déclenché chez certains une vague anti-PG. D’autant plus que, désormais catalogué comme un mauvais perdant, George rejoignait directement
Kawhi Leonard pour former un duo de feu aux Clippers. Un changement d’équipe qui n’arrangeait pas sa réputation. Après une saison marquée par l’apparition du coronavirus, Blazers et Clippers se retrouvaient dans la bulle d’Orlando. Les Angelinos l’emportaient grâce à deux lancers manqués de Lillard en fin de match. George, accompagné par
Beverley et Morris, se « vengeait » alors de la saison précédente, en se moquant du meneur, sur le terrain et sur les réseaux sociaux. Le clash repartait de plus belle sur Instagram. Paul George, Damian Lillard et Patrick Beverley se disputent sur Instagram Il n’y a aucun doute face au fait que ce beef entre George et Lillard a définitivement dégradé la
perception de George par les fans NBA. Ces derniers préféraient se ranger du côté du Blazer, fidèle à sa franchise et qui donne l’impression de la porter, plutôt que du côté du Clipper, qui venait de rejoindre une nouvelle équipe pour former une superteam. Passé du côté des méchants, George n’avait alors aucune chance d’éviter les moqueries dès
qu’il manquait quelque chose. Et ces Playoffs 2020 n’allaient rien arranger. La parfaite victime Favoris pour une finale en forme de derby contre les Lakers, les Clippers devaient passer par la case Nuggets avant de se rendre chez l’ennemi. Mais rien ne s’est passé comme prévu. Alors qu’ils menaient 3-1 dans la série et 80-67 à la fin du troisième
quart-temps du Game 5, Kawhi Leonard et les siens ont incroyablement choke et laissé passer la série. Un scénario fou, que les fans n’ont bien sûr pas tardé à utiliser comme nouveau prétexte pour moquer Paul George. Il faut dire que l’ailier a réalisé une de ses pires séries en post-season et a marqué l’auditoire par ce shoot du corner qui n’attrapait
que la planche. Le cruel karma ultime a été celui de son surnom. Lui qui s’était surnommé Playoffs P en 2018, avant la série face au Jazz, en subissait maintenant les conséquences. Playoffs P devenait ainsi Pandemic P ou « Playoffs Pi » pour son 3/14 au shoot dans le Game 4. Ce qui poussait les fans à le chambrer, c’est qu’en plus, PG13 a du
répondant et possède lui-même un ADN de trash-talker et de flambeur. C’est un bon client pour les moqueries, tout simplement parce qu’il réagit. Au contraire d’un Kawhi Leonard par exemple, qui ne se laisse transpercer par aucune émotion. Il n’empêche que si la saison 2020-21 était charnière pour l’avenir des Clippers, l’impopularité de Paul
George devenait de plus en plus forte. Critiqué pour son load management, ou pour certains matchs manqués, l’ailier ne se laissait tout de même pas faire et alignait une belle saison. En Playoffs, malgré les nombreuses difficultés, il parvient à mener son équipe en finale de conférence, aux côtés de Kawhi, pour la première fois de l’histoire de la
franchise. Mais Leonard se blesse au genou et déclare forfait pour la série face aux Suns. C’est alors à PG d’endosser seul le rôle de leader de l’équipe. Et il le fait plutôt très bien. Lui qui réalise sur le papier une excellente campagne de post-season continue de montrer l’exemple sur le terrain. Mais malgré ses très belles performances (28,7 points,
10,5 rebonds et 5,5 passes de moyenne sur la série) et plusieurs actions de classe (cassage de cheville sur Chris Paul), il est accusé de ne pas être clutch et de s’effacer dans les derniers quarts-temps. Les Clippers s’inclinent sans démériter, mais Paul George reste critiqué et demeure le super-méchant, dont tout le monde aime moquer les moindres
faits et gestes. De super-héros à super-méchant En être arrivé là, c’est oublier qu’avant d’être ce supposé super-méchant, Paul George était un super-héros. Avant de porter OKC, comme en 2019 ou de porter les Clippers en finale de conférence en 2021, le septuple All-Star, l’avait déjà fait avec Indiana, il y a plus de cinq ans. Et à l’époque, le regard
des gens était tout autre. Jeune et rempli de talent, George était celui qui brillait pour amener sa franchise loin en Playoffs. Déjà, il faut expliquer quel genre de joueur il était et reste aujourd’hui. Un véritable fantasque. Ultra athlétique du long de ses 203cm, Young Trece est un dunkeur spectaculaire. Le genre de gars à faire lever les foules en
réussissant en plein match un 360. Excellent scoreur, il shoote aussi beaucoup derrière l’arc. Et pour pimenter le tout, il peut même le faire du logo, alors qu’il reste 24 secondes sur l’horloge. Le tout chewing-gum en bouche et en faisant le geste « calma » avant de tirer. Cette attitude lui serait aujourd’hui peut-être reprochée, mais à l’époque, elle
l’élevait au rang de superstar pleine d’insouciance. Enfin, adepte de la grosse défense, il était adoré pour son hustle et sa combativité sur le terrain. Sous le maillot des Pacers, et au-delà de ses gestes fantastiques, Paul George obtenait des résultats sur le terrain. Il était LE franchise player qui amenait Indiana jusqu’en finale de conférence, où elle a
fait douter le grand Heat du trio James-Wade-Bosh. D’ailleurs, le fait que George, le héros de tout un état, combattait Lebron James, alors vu comme un super-vilain après avoir rejoint Miami, participait à le rendre populaire. 2014, année charnière Après un premier échec en 2012 contre la superteam avec un Paul George qui apprenait encore, les
Pacers retrouvaient Miami en 2013. Désigné MIP de la saison, PG, qui portait à l’époque le numéro 24, s’offrait alors un duel avec Lebron. En finale de conférence, il a fallu sept matchs pour départager les deux franchises, alors même que le Heat était à son prime. Clutch au Game 3 et très bon sur l’ensemble de la série, George continuait de
progresser malgré l’échec. Il est alors revenu encore plus fort en 2014, une nouvelle fois en finale de conférence face au Heat. Et cette fois, George s’est offert une série épique, avec en point d’orgue ce Game 5 incroyable où, en feu, il plantait 37 points et portait à lui seul sa franchise. Auteur de plusieurs actions mémorables, il laissait alors en vie
son équipe, menée 3-1. Mais une nouvelle fois, Miami était trop fort et accède pour la quatrième année de suite en finale NBA. L’été qui suit cette amène défaite, et alors qu’il était une superstar adorée par les fans NBA, George participait à la préparation des États-Unis pour la Coupe du Monde. Malheureusement, à l’entraînement, il se fracturait
violemment le tibia et péroné de sa jambe droite. Et alors que beaucoup l’annonçaient perdu pour le haut-niveau, il parvenait à revenir en avril 2015 et impressionnait quant à ses performances. Son éthique de travail est alors reconnue et PG est adoré. Plusieurs saisons passent et malgré certaines grosses performances, George sentait qu’il lui fallait
sortir de sa zone de confiance et quitter Indiana pour accrocher une bague. C’est ainsi qu’il rejoignait OKC, et que son image changeait aux yeux des fans. Anciennement adoré par tout l’auditoire NBA, Paul George est maintenant un joueur souvent moqué sur les réseaux sociaux. Joueur fantasque, qui fait partie de ceux qui donnent envie de se lever
la nuit pour regarder un match de basket, il a vu son image radicalement changer au fil de sa carrière. À l’image d’un Lebron James, héros à Cleveland, devenu vilain à Miami, puis redevenu icône par la suite, ou de Kevin Durant plus récemment, PG parviendra-t-il à redevenir cette superstar adorée et respectée ? Peut-être après la bague, qui sait…
After one season, the Oklahoma City Thunder’s Big Three of Russell Westbrook, Paul George, and Carmelo Anthony has been separated. OKC opted to trade away Carmelo Anthony and acquire Dennis Schroder nearly one month after re-signing Paul George to a long-term deal. After the season Anthony had with the Thunder, it was almost a foregone
conclusion that he would be traded, waived, or bought out before the start of the following season. Re-signing George only further meant that Anthony would not be on the roster with the Thunder competing for a title, and so a deal was made as soon as all parties were satisfied. With Anthony out of the picture, George was able to collect his thoughts
and express his true feelings on playing alongside the 10-time NBA All-Star. Via Michael Lee of Yahoo Sports: “As much as I loved playing with Melo and having Melo alongside us, I understand the decision of both sides,” George said. “It just didn’t work. It didn’t work.” In his lone season with the Thunder, Anthony averaged just 16.2 points (career-
low), 5.8 rebounds, and 1.3 assists (career-low) per game on just 40.4 percent shooting (also a career-low). Anthony is now likely headed to the Rockets, where he’ll have another opportunity to success alongside James Harden and Chris Paul. Meanwhile, the Thunder are looking like a solid team having added another ball-handler in Schroder to their
second unit. Carmelo AnthonyPaul GeorgeThunder Pour les articles homonymes, voir Paul et George. Paul George Paul George en octobre 2013. Fiche d’identité Nom complet Paul Clifton Anthony George Nationalité États-Unis Naissance 2 mai 1990 (31 ans)Palmdale, Californie Taille 2,03 m (6′ 8″) Poids 100 kg (220 lb) Surnom PG-13Playoff PYoung
Trece Situation en club Club actuel Clippers de Los Angeles Numéro 13 Poste Ailier Carrière universitaire ou amateur 2008-2010 Bulldogs de Fresno State Draft de la NBA Année 2010 Position 10e Franchise Pacers de l'Indiana Carrière professionnelle * SaisonClubMoy. pts 2010-20112011-20122012-20132013-20142014-20152015-20162016-
20172017-20182018-20192019-20202020-2021Pacers de l'IndianaPacers de l'IndianaPacers de l'IndianaPacers de l'IndianaPacers de l'IndianaPacers de l'IndianaPacers de l'IndianaThunder d'Oklahoma CityThunder d’Oklahoma CityClippers de Los AngelesClippers de Los Angeles07,812,117,421,708,823,123,721,928,021,523,3 Sélection en équipe
nationale ** 2014- États-Unis * Points marqués dans chaque club dans le cadre de la saison régulière du championnat national. ** Points marqués pour l’équipe nationale en match officiel. modifier Paul George, né le 2 mai 1990 à Palmdale en Californie, est un joueur américain de basket-ball évoluant au poste d'ailier. Biographie Pacers de l'Indiana
(2010-2017) Paul George est issu de l'université d'État de Californie à Fresno, évoluant dans l'équipe des Bulldogs. Il est sélectionné au 10e rang de la Draft 2010 de la NBA par les Pacers de l'Indiana. George signe son contrat avec les Pacers le 1er juillet 2010 pour deux ans et un montant de 3,9 millions de dollars[1]. Saison 2010-2011 Lors de sa
saison rookie en 2010-2011, il affiche des statistiques de 7,8 points, 3,8 rebonds et une interception par match. Les Pacers passent de 32 victoires en saison régulière à 37 et se qualifient pour les playoffs, huitième place de la Conférence Est, mais perdent la première série quatre à un contre les Bulls de Chicago. Saison 2011-2012 Lors de la saison
2011-2012, Paul George continue sa progression avec cette saison 12,1 points, 5,6 rebonds et 2,4 passes de moyenne par match. Il participe au concours de dunk en 2012 à Orlando lors du NBA All-Star Game 2012. Les Pacers finissent la saison avec 42 victoires pour 24 défaites et éliminent au premier tour des playoffs le Magic d'Orlando avec
Dwight Howard blessé. Au second tour, ils sont éliminés en six matchs par le futur champion, le Heat de Miami. Saison 2012-2013 Sélectionné au NBA All-Star Game 2013, il est champion de la Division Centrale en 2013. Sa bonne saison avec les Pacers, troisième de la conférence Est, est récompensée au terme de la saison par un titre de NBA Most
Improved Player (joueur ayant le plus progressé)[2]. Lors du premier match de playoffs opposant son équipe aux Hawks d'Atlanta, il réussit le premier triple double de sa carrière, 23 points, 11 rebonds et 12 passes, malgré un mauvais pourcentage de réussite, 3 sur 13 aux tirs mais avec un 17 sur 18 aux lancers-francs[3],[4]. Les Pacers, menés par
George et le pivot Roy Hibbert, réussissent un très bon parcours lors des playoffs NBA 2013. Ils éliminent les Hawks d'Atlanta de Josh Smith et d'Al Horford quatre manches à deux, puis ils battent également en six matchs les Knicks de New York avec une formidable défense de George sur le meilleur marqueur de la ligue, Carmelo Anthony (aussi
blessé à l'épaule). Ils sont ensuite éliminés en finale de conférence en sept matches par le Heat de Miami. Saison 2013-2014 Paul George en mars 2014 George commence la saison 2013-2014 en étant nommé meilleur joueur de la semaine de la conférence Est (semaine du 4 au 11 novembre 2013) avec des moyennes de 24,8 points, 7,5 rebonds et 3,8
passes décisives[5]. Il est ensuite récompensé pour ses bonnes performances ainsi que pour l'excellent parcours d'Indiana (15 victoires et une défaite), par le titre de joueur du mois de novembre de la Conférence Est[6]. Il est sélectionné pour participer au All-Star Game 2014. Il termine la saison régulière avec des moyennes de 21,7 points, 6,8
rebonds et 3,5 passes décisives et son équipe finit première de la saison régulière au sein de la conférence Est. Au premier tour des play-offs, les Pacers affrontent les Hawks d'Atlanta. Indiana remporte la série quatre à trois après avoir été mené trois à deux. Paul George réalise des moyennes de 23,9 points, 10,7 rebonds, 4,6 passes décisives et 2,7
interceptions. En demi-finale, les Pacers l'emportent quatre à deux face aux Wizards, et se font éliminer par le Heat en finale de conférence sur le même score. Paul George fait partie de l'équipe des États-Unis qui se prépare à la Coupe du monde de basket-ball. Le 1er août, il se blesse très gravement, se fracturant le tibia et péroné de sa jambe
droite, lors d'un match de préparation. Opéré peu après, son indisponibilité est évaluée de neuf à douze mois[7],[8]. Saison 2014-2015 Après sa convalescence, George joue son premier match de la saison le 5 avril 2015. Il joue au total 6 rencontres de saison régulière pour 8,8 points de moyenne. Les Pacers ne participent pas aux playoffs. Saison
2015-2016 Lors du match d'ouverture de la saison des Pacers de l'Indiana, le 28 octobre, George marque 17 points à 4 sur 17 aux tirs et prend 12 rebonds dans la défaite 106 à 99 contre les Raptors de Toronto. Après le match, il critique publiquement les arbitres et écope d'une amende de 10 000 dollars[9]. Le 6 novembre, il marque 36 points lors de
la victoire 90 à 87 contre le Heat de Miami. Trois jours plus tard, il marque 27 points, dont 19 (son record en carrière) dans le premier quart-temps, et conduit les Pacers à la victoire 97 à 84 contre le Magic d'Orlando. Le 24 novembre, George marque 40 points et rentre sept tirs à trois points (sur un total de 19 pour l'équipe, le record de la franchise)
lors de la victoire 123 à 106 contre les Wizards de Washington[10]. Le 29 novembre, il compile 39 points (dont 5 sur 10 à trois points), 4 rebonds et 2 interceptions en 37 minutes[11]. Il est ensuite élu MVP de la dernière semaine de novembre avec 37,3 points, 6,7 rebonds, 2,3 passes à 57% aux tirs et à 3 points[12]. Le 3 décembre, George est nommé
meilleur joueur des mois d'octobre et novembre de la Conférence Est avec des moyennes de 27,2 points (meilleur marqueur de la conférence Est et 4e de la NBA), 8,1 rebonds, 4,4 passes décisives et 1,6 interceptions[13],[14]. Durant cette période, les Pacers commencent la saison par 3 défaites consécutives mais enchaînent ensuite onze victoires en
treize matches ; début décembre, leur bilan est de 11 victoires sur 16 matches. Deux jours plus tard, le 5 décembre, il bat son record de points en carrière avec 48 unités lors de la défaite 122 à 119 après prolongation chez le Jazz de l'Utah[15]. Le 18 décembre 2015, après la victoire contre les Nets de Brooklyn, il critique de nouveau l'arbitrage[16] et
écope d'une amende de 35 000 dollars[17]. Le 14 février 2016, il participe au NBA All-Star Game 2016 où il marque 41 points, à un point derrière le record de Wilt Chamberlain en 1962[18]. Le 5 mars, il marque 38 points à 13/22 au tir et prend 6 rebonds lors de la victoire 100 à 99 contre les Wizards de Washington[19]. Le 19 mars, il marque 45
points lors de la défaite 115 à 111 chez le Thunder d'Oklahoma City. George aide les Pacers à retrouver les playoffs en terminant à la 7e place de la conférence Est avec une bilan de 45 victoires et 37 défaites. Le 16 avril 2016, George joue son premier match de playoffs depuis 2014 et marque 33 points lors de la victoire au premier match du premier
tour contre les Raptors de Toronto[20]. Lors du cinquième match, George marque 39 points malgré la défaite de son équipe qui permet aux Raptors de mener la série 3 victoire à 2. Les Pacers perdent la série en sept matches. Supporter de la WNBA et du basket-ball féminin, Paul George offre 5 000 places pour assister à la dernière rencontre de
saison régulière de Tamika Catchings[21]. Saison 2016-2017 George en défense sur LeBron James en février 2017 Le 26 octobre 2016, lors du match d'ouverture de la saison des Pacers, George marque 25 points dans la victoire des siens 130 à 121 après prolongation contre les Mavericks de Dallas. Le 1er novembre, il marque 30 points dont les 12
derniers de son équipe pour donner la victoire aux Pacers 115 à 108 contre les Lakers de Los Angeles. Le 10 décembre, il bat son record de points de la saison avec 37 unités dont 13 dans le quatrième quart-temps, pour aider les Pacers à s'imposer 118 à 111 contre les Trail Blazers de Portland. Le 29 janvier 2017, il marque 33 points dans la victoire
120 à 101 contre les Rockets de Houston, battant son record de matches consécutifs à plus de 30 points avec quatre de suite. Le 15 mars 2017, il rentre six paniers à trois points et marque 27 de ses 39 points en seconde mi-temps dans la victoire 98 à 77 contre les Hornets de Charlotte. Le 2 avril 2017, il marque 43 point dans la défaite 135 à 130
après une double prolongation contre les Cavaliers de Cleveland. Le 14 avril 2017, il est nommé joueur du mois d'avril de la conférence Est. George tourne ce mois-là avec des moyennes de 32,8 points, 8,2 rebonds et 4,5 passes décisives durant lequel les Pacers ont un bilan de 5 victoires et 1 défaite et parviennent à se hisser à la 7e place de la
conférence Est pour la sixième fois en sept saisons. Lors du match 3 du premier tour des playoffs contre Cleveland le 20 avril, George marque 36 points, prend 15 rebonds (son record de prises en carrière en playoffs) et distribue neuf passes décisives, à une unité de réaliser son second triple-double en playoffs. Après avoir mené 74 à 49 à la mi-temps,
les Pacers vont s'incliner 119 à 114 et sont menés 3 victoires à 0 dans la série. Ils sont éliminés au match suivant. Thunder d'Oklahoma City (2017-2019) Le 1er juillet 2017, il est transféré au Thunder d'Oklahoma City contre Victor Oladipo et Domantas Sabonis[22]. Le Thunder réalise une saison 2017-2018 inégale où les trois joueurs majeurs (Russell
Westbrook, George et Carmelo Anthony) ne parviennent pas toujours à jouer collectivement. L'équipe se qualifie pour les playoffs et est éliminée par le Jazz de l'Utah. Le 1er juillet 2018, George signe un contrat de 4 ans (3 ans puis une année optionnelle) et 137 millions de dollars avec le Thunder[23]. Clippers de Los Angeles (depuis 2019) En juillet
2019, Paul George rejoint les Clippers de Los Angeles : il est échangé contre Shai Gilgeous-Alexander, Danilo Gallinari et plusieurs choix de draft[24]. En décembre 2020, George signe un contrat sur 4 saisons (de 2021 à 2025) avec les Clippers pour 190 millions de dollars[25]. Style de jeu Comme Kawhi Leonard, Trevor Ariza ou encore Robert
Covington, Paul George est un ailier défenseur. Ses mains actives et sa lucidité défensive lui permettent d'intercepter un grand nombre de ballons. Grâce à sa très bonne mobilité en défense, il peut contenir tous les postes extérieurs (meneur de jeu, arrière et ailier). En plus d'être un très bon défenseur, Paul George est très adroit, avec 38,6 % de
réussite à trois points (sur la saison 2018-2019, jusqu'à mi-janvier) et manie très bien le ballon. Palmarès En club Champion de la Division Centrale en 2013 avec les Pacers de l'Indiana. En sélection nationale Médaille d'or aux Jeux olympiques de 2016. Distinctions personnelles Premier cinq NBA en 2019[26] Troisième cinq NBA en 2013, 2014, 2016,
2018 et 2021[26] Deuxième cinq des Rookie en 2011[27]. 7 sélections au NBA All-Star Game en 2013[28], 2014, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2021. NBA Most Improved Player (joueur ayant le plus progressé) en 2013[29]. Premier cinq défensif en 2014 et 2019[30]. Deuxième cinq défensif de la NBA en 2013 et 2016[30] Joueur du mois de la Conférence
Est en novembre de la saison 2013-2014[31]. Trois fois joueur de la semaine de la Conférence Est, du 9 au 15 décembre de la saison 2012-2013, du 4 au 10 novembre et du 13 au 19 janvier de la saison 2013-2014[32]. 3e au trophée du MVP de la saison 2018-2019. Statistiques Universitaires gras = ses meilleures performances Saison Équipe Matchs
Titul. Min./m % Tir % 3pts % LF Rbds/m. Pass/m. Int/m. Ctr/m. Pts/m. 2008-2009 Fresno State 34 34 34,6 47,0 44,7 69,7 6,24 1,85 1,74 1,00 14,32 2009-2010 Fresno State 29 29 33,2 42,4 35,3 90,9 7,24 3,03 2,21 0,83 16,79 Carrière 63 63 33,2 44,7 39,6 80,3 6,69 2,40 1,95 0,92 15,46 NBA Saison régulière Meilleure progression de l'année gras = ses
meilleures performances Saison Équipe Matchs Titul. Min./m % Tir % 3pts % LF Rbds/m. Pass/m. Int/m. Ctr/m. Pts/m. 2010-2011 Indiana 61 19 20,7 45,3 29,7 76,2 3,67 1,07 1,02 0,43 7,80 2011-2012 Indiana 66 66 29,7 44,0 38,5 80,2 5,59 2,38 1,64 0,58 12,09 2012-2013 Indiana 79 79 37,6 41,9 36,2 80,7 7,63 4,16 1,80 0,65 17,43 2013-2014 Indiana
80 80 36,2 42,4 36,4 86,4 6,78 3,54 1,89 0,28 21,71 2014-2015 Indiana 6 0 15,2 36,7 40,9 72,7 3,67 1,00 0,83 0,17 8,83 2015-2016 Indiana 81 81 34,8 41,8 37,2 86,0 6,95 4,06 1,88 0,36 23,14 2016-2017 Indiana 75 75 35,9 46,1 39,4 89,8 6,60 3,35 1,60 0,35 23,67 2017-2018 Oklahoma City 79 79 36,6 43,0 40,1 82,2 5,66 3,33 2,04 0,49 21,95 2018-
2019 Oklahoma City 77 77 36,9 43,8 38,6 83,9 8,16 4,13 2,21 0,44 28,04 2019-2020 L.A. Clippers 48 48 29,6 43,9 41,2 87,6 5,67 3,85 1,42 0,42 21,52 2020-2021 L.A. Clippers 54 54 33,7 46,7 41,1 86,8 6,65 5,19 1,15 0,44 23,31 Carrière 706 658 33,5 43,6 38,4 84,7 6,41 3,49 1,70 0,44 20,22 All-Star Game 7 3 25,8 51,4 42,4 100,0 3,86 3,29 1,43 0,00
20,14 Mise à jour le 12 mai 2021 Playoffs Saison Équipe Matchs Titul. Min./m % Tir % 3pts % LF Rbds/m. Pass/m. Int/m. Ctr/m. Pts/m. 2011 Indiana 5 5 26,6 30,3 23,1 87,5 5,00 1,00 1,40 2,00 6,00 2012 Indiana 11 11 33,7 38,9 26,8 78,6 6,64 2,36 1,64 0,36 9,73 2013 Indiana 19 19 41,0 43,0 32,7 72,7 7,42 5,05 1,32 0,47 19,2 2014 Indiana 19 19 41,1
43,8 40,3 78,9 7,63 3,84 2,16 0,37 22,58 2016 Indiana 7 7 39,3 45,5 41,9 95,3 7,57 4,29 2,00 0,71 27,29 2017 Indiana 4 4 42,9 38,6 42,9 86,7 8,75 7,25 1,75 0,25 28,00 2018 Oklahoma City 6 6 41,9 40,8 36,5 86,1 6,00 2,67 1,33 0,67 24,67 2019 Oklahoma City 5 5 40,8 43,6 31,9 81,6 8,60 3,60 1,40 0,20 28,60 Carrière 76 76 39,0 42,3 36,1 80,9 7,25
3,86 1,67 0,55 20,07 Dernière mise à jour effectuée le 24 avril 2019. Records sur une rencontre en NBA Les records personnels de Paul George en NBA sont les suivants[33],[34] : Records personnels de Paul George Type de statistique Saison régulière Playoffs Record Adversaire Date Record Adversaire Date Points 48 @ Jazz de l'Utah 5 décembre
2015 41 @ Suns de Phoenix 28 juin 2021 Paniers marqués 19 @ Nuggets de Denver 1er février 2018 15 2 fois Paniers tentés 33 @ Cavaliers de Cleveland 2 avril 2017 28 2 fois Paniers à 3 points réussis 10 @ Heat de Miami 1er février 2019 8 Jazz de l'Utah 15 avril 2018 Paniers à 3 points tentés 17 @ Pelicans de La Nouvelle-Orléans 14 février 2019
15 3 fois Lancers francs réussis 17 @ Trail Blazers de Portland 7 mars 2019 17 Hawks d'Atlanta 21 avril 2013 Lancers francs tentés 20 @ Trail Blazers de Portland 7 mars 2019 18 2 fois Rebonds offensifs 5 2 fois 4 3 fois Rebonds défensifs 16 Kings de Sacramento 3 novembre 2012 16 Suns de Phoenix 26 juin 2021 Rebonds totaux 17 Kings de
Sacramento 3 novembre 2012 16 2 fois Passes décisives 12 2 fois 12 Hawks d'Atlanta 21 avril 2013 Interceptions 7 @ Rockets de Houston 10 janvier 2016 6 2 fois Contres 4 3 fois 4 @ Bulls de Chicago 18 avril 2011 Balles perdues 7 10 fois 7 2 fois Minutes jouées 50 Jazz de l'Utah 22 février 2019 47 @ Heat de Miami 22 mai 2013 Double-double : 137
(dont 32 en playoffs) Triple-double : 4 (dont 1 en playoffs) Dernière mise à jour : 29 juin 2021 Détail des triple-doubles de Paul George N° Date Adversaire Score Points Rebonds Passes décisives Interceptions Contres Note 1 13 février 2013 Bobcats de Charlotte V 101-77 23 12 12 2 0 2 21 avril 2013 Hawks d'Atlanta V 107-90 23 11 12 1 1 Playoffs :
1er match du 1er tour de la Conférence Est 3 21 mars 2014 Bulls de Chicago V 91-79 10 12 10 1 0 4 11 février 2019 Trail Blazers de Portland V 120-111 47 12 10 2 0 Son coéquipier Russell Westbrook a aussi réalisé un triple-double pendant ce match (21 points, 15 rebonds et 11 passes décisives) Salaires Année Équipe Salaire 2010-2011 Pacers
2 238 360 $ 2011-2012 Pacers 2 406 240 $ 2012-2013 Pacers 2 574 120 $ 2013-2014 Pacers 3 282 003 $ 2014-2015* Pacers 15 925 680 $ 2015-2016 Pacers 17 120 106 $ 2016-2017 Pacers 18 314 532 $ 2017-2018 Thunder 19 508 958 $ 2018-2019 Thunder 30 560 700 $ Total Gains 111 930 699 $ 2019-2020 Clippers 33 005 556 $ 2020-2021 Clippers
35 450 412 $ 2021-2022 Clippers 37 895 268 $ Note : * Pour la saison 2014-2015, le salaire moyen d'un joueur évoluant en NBA est de 4 500 000 $[35]. Pour approfondir Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : Paul George, sur Wikimedia Commons Liste des meilleurs marqueurs en NBA en carrière. Liste des meilleurs marqueurs à trois
points en NBA en carrière. Liste des meilleurs marqueurs à trois points en NBA en Playoffs. Liste des meilleurs intercepteurs en NBA par saison. Liens externes Ressources relatives au sport : Proballers (en) Basketball Reference (joueurs de la NBA) (en) Basketball Reference (joueurs hors-NBA) (en) DraftExpress (en) ESPN (National Basketball
Association) (en) Eurobasket (joueurs) (en) Fédération internationale de basket-ball (en) National Basketball Association (en) Olympedia (en) RealGM (joueurs) (en) SRCBB (joueurs) (en) Paul George Site officiel (en) You worry about LeBron, I'll worry about 2much4u and Mookie Références ↑ (en) Mike Wells, « Paul George Signs with Pacers », sur
indystar.com, 1er juillet 2010 ↑ Dimitri Kucharczyk, « Paul George élu Most Improved Player », 2013 (consulté le 23 avril 2013) ↑ « Les Spurs font le boulot face aux Lakers », sur lequipe.fr, 22 avril 2013 ↑ Yann Lachendrowiecz, « Indiana domine Atlanta avec un triple-double de Paul George », sur basketsession.com, 21 avril 2013 ↑ (en) « Pacers'
George, Suns' Markieff Morris named Players of the Week », sur nba.com, 11 novembre 2013 (consulté le 13 novembre 2013) ↑ « Paul George et Kevin Durant joueurs du mois », sur eurosport.fr (consulté le 9 décembre 2013) ↑ Arnaud Gelb, « Horrible ! Paul George se brise la jambe droite en deux », Basket USA, 2 août 2014 ↑ Fabrice Auclert,
« Paul George opéré avec succès, mais absent toute la saison prochaine ? », Basket USA, 2 août 2014 ↑ Emmanuel Laurin, « Paul George à l’amende pour avoir critiqué l’arbitrage », sur basketusa.com, 30 octobre 2015 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Emmanuel Laurin, « Le MVP de la nuit : Paul George (40 points, 8 rebonds, 4 passes) », sur
basketusa.com, 25 novembre 2015 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Fabrice Auclert, « Le MVP de la nuit : Paul George prophète en son pays (39 pts, 5/10 à 3-points) », sur basketusa.com, 30 novembre 2015 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Fabrice Auclert, « Joueurs de la semaine : Kevin Durant et Paul George récompensés », sur basketusa.com, 30 novembre
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un énorme Paul George (48 pts) », sur basketusa.com, 6 décembre 2015 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Dimitri Kucharczyk, « Paul George s’en prend aux arbitres », sur basketusa.com, 19 décembre 2015 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Fabrice Auclert, « Grosse amende pour Paul George », sur basketusa.com, 20 décembre 2015 (consulté le 3 juin 2016) ↑
Arnaud Gelb, « All-Star Game : une pluie de records et le doublé pour Russell Westbrook », sur basketusa.com, 15 février 2016 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Jeremy Le Bescont, « Le MVP de la nuit : Paul George en ébullition à Washington (38 points, 6 rebonds) », sur basketusa.com, 6 mars 2016 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Dimitri Kucharczyk, « Le MVP
de la nuit : Paul George (33 points, 6 passes) dompte les Raptors », sur basketusa.com, 17 avril 2016 (consulté le 3 juin 2016) ↑ Shaï Mamou, « Le beau geste de Paul George pour une star WNBA », basketsession.com, 16 septembre 2016 (consulté le 17 septembre 2016) ↑ Emmanuel Laurin, « Paul George transféré à Oklahoma City contre Victor
Oladipo et Domantas Sabonis ! », 1er juillet 2017 (consulté le 1er juillet 2017) ↑ Jeremy Le Bescont, « Paul George rempile au Thunder pour quatre ans ! », Basket USA, 1er juillet 2018 ↑ Fabrice Auclert, « L’autre tremblement de terre : Kawhi Leonard rejoint les Clippers… avec Paul George ! », Basket USA, 6 juillet 2019 ↑ Fabrice Auclert, « Paul
George prolonge pour 190 millions de dollars aux Clippers ! », Basket USA, 10 décembre 2020 ↑ a et b (en) « All-NBA & All-ABA Teams », sur basketball-reference.com ↑ (en) « NBA & ABA All-Rookie Teams », sur basketball-reference.com ↑ (en) « 2013 NBA All-Star Game Box Score - West 143, East 138 », sur basketball-reference.com ↑ (en) « NBA
& ABA Most Improved Player Award Winners », sur basketball-reference.com ↑ a et b (en) « NBA & ABA All-Defensive Teams », sur basketball-reference.com ↑ (en) « NBA Players of the Month », sur basketball-reference.com (consulté le 1er décembre 2014). ↑ (en) « NBA Players of the Week », sur basketball-reference.com (consulté le 1er décembre
2014). ↑ (en) « Paul George Career Bests », sur basketball.realgm.com ↑ (en) « Paul George Stats », sur espn.com ↑ Emmanuel Laurin, « Expérience, salaire, taille, poids… La carte d’identité de la NBA en 2014/15 », sur basketusa.com, 10 novembre 2014 (consulté le 1er juillet 2017) Portail du basket-ball Portail des États-Unis Portail des Afro-
Américains Ce document provient de « 2 Éphémérides du sport Mai 1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31                   2 avril 2 juin Chronologies thématiques Éphéméride général Croisades Ferroviaires Disney modifier Le 2 mai (122e jour de l'année ou 123e en cas d'année bissextile) en sport. 1er mai en
sport - 2 mai en sport - 3 mai en sport Événements XIXe siècle 1876 : (Baseball) : Ross Barnes des Chicago White Stockings tape le premier home run (coup de circuit) de l’histoire de la NAPBBP. 1878 : (Baseball) : début du deuxième championnat de l'International Association avec douze équipes : Auburn, Binghamton Crickets, Brooklyn Blues,
Buffalo Bisons, London Tecumsehs, Manchester Reds, New Bedford Whalers, New Haven Elm Citys, Pittsburgh Alleghenies, Rochester Flour Citys, Syracuse Stars et Worcester Reds. The New York Clipper présente l'IA comme une Ligue majeure. XXe siècle de 1901 à 1950 1914 : (Athlétisme) : Edward Beeson établit un nouveau record du monde du
saut en hauteur à 2.01 mètres. 1915 : (Football) : l'Athletic Bilbao remporte la Coupe d’Espagne face à l’Espanyol Barcelone, 5-0. 1920 : (Football) : le FC Barcelone remporte la Coupe d’Espagne face à l’Athletic Bilbao, 2-0. 1926 : (Rugby à XV) : le Stade toulousain remporte la finale du championnat de France 11-0 face à l'USA Perpignan. (Sport
automobile) : au Grand Prix automobile de Tripoli, victoire du Français François Eysserman sur une Bugatti. 1937 : (Rugby à XV) : le CS Vienne remporte la finale du championnat de France 13-7 face à l'AS Montferrand. 1937 : (Football) : Bologne FC 1909 devient champion d’Italie. 1943 : (Rugby à XV) : le SU Agen gagne la finale de la Coupe de
France de rugby à XV face au Stade bordelais UC, 11-4. 1948 : (Sport automobile) : au Grand Prix automobile des Nations couru sur le Circuit des nations de Genève, victoire de l'Italien Giuseppe Farina sur une Maserati. XXe siècle de 1951 à 2000 1953 : (Football) : Blackpool FC remporte la Coupe d'Angleterre face à Bolton Wanderers, 4-3. 1962 :
(Football) : le Benfica Lisbonne remporte la finale de la Coupe d'Europe des champions européens face au Real Madrid, 5-3. 1976 : (Sport automobile /Formule 1) : au Grand Prix automobile d'Espagne couru sur le Circuit du Jarama, victoire du Britannique James Hunt sur une McLaren-Ford. 1978 : (Football) : l'AS Monaco est sacré champion de
France. 1981 : (Sport automobile /Rallye automobile) : arrivée du Tour de Corse et victoire du Français Bernard Darniche et de son copilote Alain Mahé sur une Lancia Stratos HF. 1998 : (Football) : le Paris Saint-Germain remporte la finale de la Coupe de France face au RC Lens, 2-1. 1999 : (Sport automobile /Formule 1) : au Grand Prix automobile
de Saint-Marin qui se déroulait sur le circuit Enzo et Dino Ferrari, victoire de l'Allemand Michael Schumacher sur une Ferrari. XXIe siècle 2004 : (Football) : le Milan AC est sacré champion d'Italie. 2007 : (Tennis) : Roger Federer et Rafael Nadal s'affrontent lors de La bataille des surfaces, sur un court hybride mi-terre battue et mi-gazon. 2015 :
(Boxe /Championnat du monde) : Floyd Mayweather domine Manny Pacquiao en championnat des welters à Las Vegas. L'Américain s'est imposé face au Philippin sur décision unanime. (Cyclisme sur piste /Record de l'heure) : le Britannique Alex Dowsett bat sur le vélodrome de Manchester, le record de l'heure en parcourant 52,937 km. (Football
/Ligue 1) : le RC Lens est officiellement rétrogradé en Ligue 2. (Football /Ligue 2) : déjà assuré de rejoindre l'élite avant la 35e journée, Troyes s'est adjugé ce samedi le titre de champion de la Ligue 2 en s'imposant sur le terrain de Nîmes (1-2). (Football /Championnat d'Écosse de football) : le Celtic Glasgow remporte son 46e titre de champion
d'Écosse. (Football /Championnat d'Italie de football) : grâce à une victoire 1-0, les Turinois remportent leur 31e titre de champion d’Italie, le quatrième de suite. (Rugby à XV /Coupe d'Europe de rugby à XV) : au terme d’une finale époustouflante, le RC Toulon remporte la Champions Cup au détriment de Clermont (24-18). (Squash) : pour la première
fois de son histoire, l'équipe de France masculine devient championne d'Europe de Squash. 2016 : (Football /Premier League) : Tottenham devait s'imposer à Chelsea pour retarder le sacre de Leicester. Les Spurs, qui menaient 2-0 à la pause, ont craqué en se faisant rejoindre en fin de match (2-2). Le titre des Blue Army est désormais officiel.
(Snooker /Championnat du monde) : l'Écossais Alan McManus devient champion du monde de snooker en battant le Chinois Ding Junhui (18-16). (Voile) : départ des vingt-quatre concurrents de la Transat anglaise en solitaire de Plymouth au Royaume-Uni pour rallier New York aux États-Unis[1]. Naissances XIXe siècle 1834 : John C. Heenan, boxeur
anglais. († 28 octobre 1873). 1876 : Willy Arend, cycliste sur piste allemand. Champion du monde de cyclisme sur piste de la vitesse 1897. († 25 mars 1964). 1880 : Marquis Horr, athlète de sprint américain. Médaillé d'argent du disque grec et de bronze du lancer de disque aux Jeux de Londres 1908. († 1er juillet 1955). 1883 : Alessandro Cagno,
pilote de course automobile italien. († 23 décembre 1971). 1887 : Eddie Collins, joueur de baseball américain. († 25 mars 1951). 1892 : Pierre Chayriguès, footballeur puis entraîneur français. (21 sélections en équipe de France). († 19 mars 1965). XXe siècle de 1901 à 1950 1903 : Benjamin Spock, rameur puis pédiatre américain. Champion olympique
en huit aux Jeux de Paris 1924. († 15 mars 1998). 1927 : Víctor Rodríguez Andrade, footballeur uruguayen. Champion du monde de football 1950. Vainqueur de la Copa América 1956. (42 sélections en équipe nationale). († 19 mai 1985). 1935 : Luis Suárez Miramontes, footballeur puis entraîneur espagnol. Champion d'Europe de football 1964.
Vainqueur des Coupe des clubs champions 1964 et 1965. (32 sélections en équipe nationale). Sélectionneur de l'équipe d'Espagne de 1988 à 1991. 1941 : Francesco Scoglio, entraîneur de footballeur italien. Sélectionneur de l'équipe de Tunisie de 1998 à 2001 puis de l'équipe de Libye en 2002. († 3 octobre 2005). 1942 : Jacques Rogge, skipper et
joueur de rugby puis médecin du sport et dirigeant sportif belge. (10 sélections avec l'équipe de Belgique de rugby). Président du CIO de 2001 à 2013. 1948 : Giuseppe Perletto, cycliste sur route italien. XXe siècle de 1951 à 2000 1957 : Hervé Laurent, skipper français. 1958 : Giuseppe Dossena, footballeur puis entraîneur italien. Champion du monde
de football 1982. (38 sélections en équipe nationale). 1962 : Jean-François Bernard, cycliste sur route puis consultant TV français. Jimmy White, joueur de snooker anglais. 1963 : Philip Collin, pilote de course automobile américain. 1967 : Masami Kageyama, pilote de course automobile japonais. 1969 : Brian Lara, joueur de cricket trinidadien. (131
sélections en test cricket). 1975 : David Beckham, footballeur anglais. Vainqueur de la Ligue des champions 1999. (115 sélections en équipe nationale). Christophe Kempé, handballeur français. Champion olympique aux Jeux de Pékin 2008. Champion du monde de handball 2009. Champion d'Europe de handball 2006. (178 sélections en Équipe de
France de handball). Nathalie de Sayn-Wittgenstein-Berlebourg, cavalière de dressage danoise. Médaillée de bronze du dressage par équipes aux Jeux de Pékin 2008. 1976 : Guzel Khubbieva, athlète de sprint ouzbèke. Championne d'Asie d'athlétisme du 100 m 2011 1977 : Kalle Palander, skieur finlandais. Champion du monde de ski alpin du slalom
1999. 1978 : Melvin Ely, basketteur américain. Mike Weaver, hockeyeur sur glace canadien. 1979 : Cyril Akpomedah, basketteur français. (1 sélection en équipe de France). Jason Chimera, hockeyeur sur glace canadien. 1980 : Pierre-Luc Gagnon, skateboardeur canadien. Monika Michalik, lutteuse polonaise. Médaillée de bronze des -63 kg aux Jeux
de Rio 2016. Championne d'Europe de lutte des -59 kg 2003, des -63 kg 2005, 2009 et 2017. Reïna-Flor Okori, athlète de haies franco-équatoguinéenne. Lassaad Ouertani, footballeur tunisien. (6 sélections en équipe nationale). († 4 janvier 2013). Fabrice Pancrate, footballeur français. Brad Richards, hockeyeur sur glace canadien. 1981 : Tiago,
footballeur portugais. Vainqueur de la Ligue Europa 2012. (66 sélections en équipe nationale). 1983 : Tina Maze, skieuse alpine slovène. Médaillée d'argent du super-G et du slalom géant aux Jeux de Vancouver 2010 puis championne olympique de la descente et du slalom géant aux Jeux de Sotchi 2014. Championne du monde de ski alpin du slalom
géant 2011, du super-G 2013 puis de la descente et du combiné 2015. Daniel Sordo, pilote de rallye automobile espagnol. (1 victoire en Rallye). 1984 : Thabo Sefolosha, basketteur suisse. (16 sélections en équipe nationale). Rémi Talès, joueur de rugby français. (24 sélections en équipe de France). 1985 : Kyle Busch, pilote automobile de NASCAR
américain. Vainqueur du NASCAR Cup Series 2019. Aleksandr Galimov, hockeyeur sur glace russe. († 12 septembre 2011). Ashley Harkleroad, joueuse de tennis américaine. Sarah Hughes, patineuse artistique individuelle américaine. Championne olympique aux Jeux de Salt Lake City 2002. 1986 : Siham Hilali, athlète de fond marocaine. Amandine
Leynaud, handballeuse française. Médaillée d'argent aux Jeux de Rio 2016. Médaillée d'argent au Mondial de handball féminin 2009 et 2011 puis championne du monde féminin de handball 2017. Médaillée de bronze au CE de handball féminin 2016 puis championne d'Europe féminin de handball 2018. (202 sélections en Équipe de France). 1987 :
Filip Filipović, joueur de water-polo serbe. Médaillé de bronze aux Jeux de Pékin 2008 et aux Jeux de Londres 2012 puis champion olympique aux Jeux de Rio 2016. Champion du monde de water-polo 2009 et 2015. Champion d'Europe de water-polo masculin 2003, 2006, 2012, 2014, 2016 et 2018. Kris Russell, hockeyeur sur glace canadien. 1988 :
Katarina Krpež, handballeuse serbe. (142 sélections en équipe nationale). Jamie Skeen, basketteur américain. 1989 : Allison Pineau, handballeuse française. Médaillée d'argent aux Jeux de Rio 2016. Médaillée d'argent au Mondial de handball féminin 2009 et 2011 puis championne du monde féminin de handball 2017. Médaillée de bronze au CE de
handball féminin 2016 puis championne d'Europe féminin de handball 2018. (231 sélections en Équipe de France). 1990 : Erwin Feuchtmann, handballeur germano-chilien. (65 sélections avec l'équipe du Chili). Francesco Friedrich, bobeur allemand. Champion olympique du bob à quatre et deux aux Jeux de Pyeongchang 2018. Champion du monde de
bob par équipes mixtes 2011, par équipes mixtes et bob à deux 2013 et 2015, de bob à deux 2016 et 2020, de bob à deux et à quatre 2017 et 2019. Paul George, basketteur américain. Floria Gueï, athlète de sprint française. Championne d'Europe d'athlétisme du relais 4 × 400 m 2014, médaillée d'argent du 400 m et du relais 4 × 400 m aux CE
d'athlétisme 2016 puis du relais 4 × 400 m aux CE d'athlétisme 2018. Erasmo Ramírez, joueur de baseball nicaraguayen. 1991 : Patrick Bevin, cycliste sur route néo-zélandais. Layshia Clarendon, basketteuse américaine. 1992 : María Teresa Torró Flor, joueuse de tennis espagnole. 1993 : Owain Doull, cycliste sur piste et sur route britannique.
Champion olympique de la poursuite par équipes aux Jeux de Rio 2016. 1994 : Yasin Ozay, lutteur de gréco-romaine français. 1996 : Julian Brandt, footballeur allemand. Ibrahim Cissé, footballeur franco-sénégalais. François Kamano, footballeur guinéen. (26 sélections en équipe nationale). Wesley Sena, basketteur brésilien. 1997 : Marc Polmans,
joueur de tennis australien. 1998 : Anders Dreyer, footballeur danois. Jonathan Ikoné, footballeur français. XXIe siècle Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Décès XIXe siècle Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment
faire ? XXe siècle de 1901 à 1950 1914 : Alfred Stratford, 60 ans, footballeur anglais. (1 sélection en équipe nationale). (° 5 septembre 1853). 1918 : Ernie Parker, 34 ans, joueur de tennis australien. Vainqueur de l'Open d'Australie 1913. (° 5 novembre 1883). XXe siècle de 1951 à 2000 1955 : Charles Mantelet, 60 ans, cycliste sur route français.
Vainqueur de Paris-Tours 1918. (° 10 novembre 1894). 1966 : Jean Rossius, 75 ans, cycliste sur route belge. (° 27 décembre 1890). 1977 : Jean-Claude Lebaube, 39 ans, cycliste sur route français. (° 22 juillet 1937). 1985 : Attilio Bettega, 32 ans, pilote de rallye automobile italien. (° 19 février 1953). 1986 : Henri Toivonen, 29 ans, pilote de rallye
automobile finlandais. (° 25 août 1956). 1992 : Mike Karakas, 80 ans, hockeyeur sur glace canadien. (° 12 décembre 1911). 1998 : Justin Fashanu, 37 ans, footballeur britannique. (° 19 février 1961). XXIe siècle 2001 : Georges Dard, 82 ans, footballeur français. (3 sélections en équipe de France). (° 28 juin 1918). 2005 : Theofiel Middelkamp, 91 ans,
cycliste sur route néerlandais. champion du monde sur route en 1947. (° 23 février 1914). 2009 : Albert Goutal, 90 ans, cycliste sur route français. (° 1er décembre 1918). Jack Kemp, 73 ans, joueur de foot U.S. puis Homme politique américain. Secrétaire au Logement et au Développement urbain des États-Unis de 1989 1993.(° 13 juillet 1935). 2011 :
Shigeo Yaegashi, 78 ans, footballeur puis entraîneur japonais. Médaillé de bronze aux Jeux de Mexico 1968. (44 sélections en équipe nationale). (° 24 mars 1933). 2012 : Junior Seau, 43 ans, joueur de foot U.S. américain. (° 19 janvier 1969). 2019 : Imen Chatbri, 37 ans, athlète tunisienne. (° 7 février 1982). Michel Crauste, 84 ans, joueur de rugby à
XV puis dirigeant sportif français. Vainqueur des tournois des Cinq Nations 1959, 1960, 1961 et 1962. (62 sélections en équipe de France). (° 6 juillet 1934). Leonard Kelly, 91 ans, joueur puis entraîneur de hockey sur glace canadien. Vainqueur de la Coupe Stanley en 1952, 1954 et 1955 avec les Red Wings de Détroit et en 1962, 1963, 1964 et 1967
avec les Maple Leafs de Toronto. (° 9 juillet 1927). Patrick Vacher, 70 ans, footballeur français. (° 14 novembre 1948). Articles connexes Le 2 mai dans tous les domaines. Notes et références ↑ « Météo correcte attendue pour le départ », sur Sport24, 2 mai 2016 (consulté le 17 octobre 2020). Portail du sport Ce document provient de « .
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