Covid 19 : Vers une convalescence douloureuse ? - Webinaire du 2 décembre 2020 - IEIF
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Les intervenants Pierre Schoeffler Richard Malle Virginie Wallut Senior Advisor IEIF et Global Head of Directeur Recherche et Conseiller du Research ISR immobilier Président BNP PARIBAS REAL LA FRANCAISE LA FRANCAISE ESTATE
Covid 19 Vers une convalescence douloureuse « La force qui est en chacun de nous est notre plus grand médecin » Hippocrate Béatrice GUEDJ – Pierre SCHOEFFLER 3
Perspectives économiques dans le monde Le retour du confinement en Europe durant l’automne en réponse à la deuxième vague de l’épidémie du Covid-19 avec les conséquences économiques qui s’en suivent accentue la fracture entre les grandes zones économiques et monétaires La croissance en Europe devrait chuter au 4ème trimestre, adoptant un profil en W, alors qu’elle continue d’être positive aux Etats-Unis avec un profil en marche d’escalier et d’être soutenue en Chine Malgré un taux de décès par habitant près du double de celui de l’Europe dans le sillage d’une troisième vague, les Etats-Unis sont sortis de la logique du confinement strict et généralisé, préférant l’adoption massive du télétravail, et l’Asie, Chine en tête, n’a connu qu’une vague, enrayée depuis le deuxième trimestre grâce à des mesures sanitaires drastiques, fruit des leçons tirés lors des dernières épidémies qui ont atteint la région Aux Etats-Unis, la victoire démocrate à la Présidentielle ne devrait pas changer fondamentalement la politique économique du pays L’absence de blue sweep tranquillise les investisseurs dans la mesure où la politique économique sera menée au centre de l’échiquier politique, sans mesure radicale comme une forte hausse des taux d’imposition qui pèserait sur l’investissement Dans le contexte actuel, le programme de dépenses budgétaires des démocrates est au contraire positivement perçu pour relancer l’économie américaine Les clefs des performances économiques des pays résident dans leur degré de vulnérabilité, conséquence directe de la répartition sectorielle de leur PIB, mais aussi dans leur capacité d’adaptation, dont le socle repose sur le degré de confiance des populations dans la gouvernance publique et les marges de manœuvre budgétaires Le keynésianisme est clairement revenu sur le devant de la scène comme un moteur déterminant de la croissance, et plus uniquement de relance 5
Relation entre activité et sévérité des restrictions sanitaires en S1 2020 Source : Oxford Covid 19 Government Response Tracker 8
Divergences de perspectives économiques en Europe Niveau de PIB comparé à 2019-Q4 Source : Commission Européenne 9
Perspectives de l’économie française Le nouveau confinement décrété en France à partir de fin octobre en réponse à la deuxième vague de pandémie impacte considérablement le rythme de la reprise économique mais la chute d’activité devrait être trois fois moindre que celle enregistré lors du premier confinement En conséquence la note finale du Covid-19 sur la croissance économique française en 2020 ne devrait pas trop s’alourdir : peut-être 3 points de PIB en moins que la prévision initiale à -9%, avec une inflation nulle La stratégie de stop and go est particulièrement néfaste pour la croissance potentielle à long terme car elle inhibe les agents économiques dans leurs décisions d’investissement et les incite à garder le maximum d’encaisses monétaires de précaution Le rebond spectaculaire de 18% de l’activité au troisième trimestre et la réactivité du marché de l’emploi, inhabituelle en France, sont néanmoins de bon augure La volonté de briser un enchainement de confinements par une politique stricte de contrôle sanitaire va peser sur la reprise en 2021 révisée de 2 points de PIB en moins que la prévision initiale à 8% Le bouclier de protection apporté par les aides publiques reste pour le moment très efficace : d’avril à septembre les inscriptions d’entrées en chômage ont chuté de 10% par rapport à la même période de 2019 et les défaillances d’entreprises ont chuté de 30%, à un plus bas depuis 15 ans L’allégement inéluctable du bouclier d’aides publiques à l’économie l’an prochain peut déboucher sur une vague de défaillances d’entreprise dans les secteurs les plus touchés par la crise sanitaire : transport, loisirs, commerces, hôtellerie, restauration 11
Retournement dans les services suite au deuxième confinement Source : Markit 12
Les plans de relance Le plan de relance européen de 750 milliards d’euros en discussion actuellement ne devrait commencer à porter ses fruits que lentement Même si les actions sont engagées rapidement, les versements ne seront essentiellement effectués qu’en 2023 et 2024 En revanche, le financement du plan ne devrait pas poser de problème, comme le montre l’engouement du marché pour les premières émissions de l’Union Européenne, renforçant la solidité de la monnaie unique Le plan de relance français de 100 milliards d’euros se heurte à la difficulté de déployer des mesures structurelles d’amélioration de la compétitivité à long terme quand les besoins de renflouement des activités sinistrées par les mesures sanitaires sont pressants De façon plus fondamentale, comment inciter des entreprises, endettées et aux prises avec une grande incertitude sur les marchés, d’investir et d’embaucher à court terme ? Un renforcement massif des fonds propres des entreprises sera nécessaire, sans doute par transformation d’une partie des « prêts garantis par l’Etat » en « prêts participatifs avec support de l’Etat » 13
Les mesures d’endiguement ont-elles une limite ? Que ce soit en Europe ou aux Etats-Unis, le schéma est le même : les Etats supportent les revenus des agents privés sous forme de prêts et de subventions et se financent à taux zéro de façon permanente auprès des banques centrales La BCE devrait annoncer en décembre un renforcement des mesures de soutien monétaire, vraisemblablement sous la forme de l’augmentation de l’enveloppe du Pandemic Emergency Purchase Programme d’actifs publics et de l’amplification des Targeted Longer Term Refinancing Operations III auprès des banques Ce schéma s’analyse au niveau des états comme un portage dans le temps du revenu des agents privés et au niveau des banques centrales comme un portage de dette publique financé par des créances monétaires privées Impression irréelle que les ressources financières sont illimitées Le support inconditionnel des administrations publiques à la perte de revenu liée aux mesures sanitaires connait un certain essoufflement, encore timide mais bien réel. Les ménages qui ont constitué une forte épargne de précaution risquent d’être mis plus fortement à contribution Les mesures d’endiguement, correspondant grosso modo à 20 % du PIB mondial, apparaissent comme le seul remède à la récession mondiale mais quels seront les effets secondaires ? En France, durant l’année 2020, les dépenses publiques vont représenter 64% du PIB, dont la moitié financé par emprunt, entrainant un déficit budgétaire de 11% du PIB et une dette publique portée à 120% du PIB en fin d’année Deux camps s’opposent : les investisseurs convaincus que cette mécanique produira beaucoup d’inflation à long terme versus ceux convaincus que la déflation est au bout du chemin. Les premiers pensent que la 14 confiance dans la monnaie va faiblir, les seconds que la confiance dans la dette va faiblir
Forte hausse de la masse monétaire en zone euro Source : BCE 15
Marchés financiers 16
Les marchés financiers plus réalistes que les médias ? Les marchés financiers ont dans l’ensemble réagi beaucoup moins violemment que lors de la crise Internet en 2001 ou de la crise financière globale en 2008 Le bear market sur les actions a duré trois semaines en mars-avril, une semaine fin octobre, celui suivant la crise Internet a duré quatre ans et celui suivant la crise financière globale deux ans et demi Sur les marchés d’actions, l’indice chinois CSI 300 est en hausse de 20% depuis le début de l’année, le S&P 500 est en hausse de 10% et l’indice Europe STOXX 600 est à peine inférieur de 7% après avoir plongé de 30 % Les perspectives d’un vaccin disponible rapidement ont provoqué un rally en novembre Le rebond des indices cache de profonds changement dans leur composition : les secteurs de la technologie et de la santé ont nettement progressé, les secteurs du tourisme et des transports ont reculé Sur le marché des dettes souveraines, les taux des emprunts d’Etat à 10 ans en France et en Allemagne sont 40 points de base en dessous de leur niveau de début d’année, le taux des US Treasuries à 10 ans est 100 points de base en dessous Sur le marché des obligations d’entreprise en Europe, le taux des obligations Investment Grade progresse de 70 points de base en Europe et celui des obligations High Yield de 210 points de base Les différences sectorielles sont très importantes Selon Moody’s, le taux de défaut des obligations High Yield au niveau mondial a doublé de 3,2 % en début d’année à 6,4 % fin septembre. Il devrait atteindre 7,8 % fin 2020 et 8,4 % fin mars 2021 17
Marchés immobiliers 18
Une valorisation incertaine en fin d’année L’exercice de valorisation des actifs immobiliers en fin d’année s’annonce particulièrement difficile dans un marché en évolution rapide et soumis à des changements structurels de long terme Le scénario d’un marché immobilier enjambant la crise sans trop de dégâts est mis à mal par la seconde vague d’automne mais remis en selle par l’annonce de vaccins efficaces Au niveau des loyers, les reports et abandons de loyer sont importants dans l’immobilier de commerces, un peu moins dans l’immobilier de bureaux où ils ne devraient pas dépasser globalement 15% sur l’année Simultanément les indices d’indexation ILAT et ILC devraient baisser de quelques % pendant quatre trimestres Au niveau des prix, le taux de capitalisation des actifs les plus Core, les bureaux Prime Paris QCA, ne semblent pas connaître d’inflexion. Les taux de capitalisation des marchés de bureaux plus périphériques ont décalé à la hausse de 20 à 50 points de base L’amplitude de la décompression est fonction de la combinaison offre disponible et spécialisation des marchés : les sous-marchés vulnérables au télétravail avec une vacance déjà élevée sont fortement sanctionnés Au niveau des volumes, l’activité d’investissement sur l’immobilier d’entreprise sur les 3 premiers trimestres est en baisse de 40% par rapport à 2019 et la demande placée de bureaux en Île-de- France de 45% Les levées de fonds institutionnels sont en retrait d’un tiers par rapport à 2019 19
Quel comportement de la prime de risque ? En début d’année, la prime de risque sur les bureaux Prime Paris QCA, exprimée comme l’écart entre le taux de capitalisation et le taux d’intérêt réel des OAT à 10 ans, était supérieure de 1 % à son niveau moyen observé depuis 1996 Le marché était à l’équilibre mais un équilibre instable caractérisée par une déviation très importante des fondamentaux par rapport à leurs moyennes de long terme Les taux d’intérêt réels peuvent remonter et compresser la prime de risque soit par hausse des taux d’intérêt nominaux (Etats-Unis), soit par apparition de déflation (Europe) La dispersion de la prime de risque locatif a fortement augmenté selon le secteur d’activité et la qualité des entreprises locataires Les marchés d’actions et de crédit envoient des signaux très clairs sur la divergence des primes de risque attachées aux différents secteurs économiques Durant le troisième trimestre, 15 000 entreprises de moins qu’en temps normal ont fait faillite. Ces entreprises « zombies », essentiellement des PME et des TPE, devraient disparaître rapidement La prime de risque d’obsolescence peut augmenter fortement sur les bâtiments présentant peu ou pas de flexibilité dans les usages, entrainant une vague de stranded assets La digitalisation à marche forcée dans le secteur des commerces et des bureaux avec le développement contraint du e-commerce et du télétravail, fortement encouragé par les pouvoirs publics, va exiger un effort d’adaptation du marché immobilier aussi intense que celui exigé sur les travailleurs salariés et indépendants 20
Un niveau global de prime de risque toujours satisfaisant 21
Mais en équilibre instable entre deux forces antagonistes de retour à la moyenne 22
Des signaux de marché relativement peu alarmants L’indice mensuel EDHEC IEIF de prix des SCPI investies en immobilier d’entreprise est à son niveau de début d’année L’indice a évolué dans une étroite bande horizontale rompant avec des années de croissance régulière à 1,5% par an Le rendement en capital de l’indice MSCI France pour le premier semestre est de -1,2% Il est de +0,7 % pour le segment de l’immobilier de service (hors hôtellerie), - 0,3 % pour le segment industriel, - 0,6 % pour le segment des bureaux et - 3,4 % pour le segment des commerces En Europe, les indices EPRA de prix de l’immobilier coté par segment ont nettement divergés L’indice Bureaux chute de 20% sur l’année, correspondant à une baisse de 10% de baisse de la valeur du patrimoine après correction de l’effet de levier financier sachant que la capitalisation boursière de l’immobilier coté était proche de la valeur d’actif net réévalué en début d’année. Ceci traduit une hausse de 40 points de base environ du taux de capitalisation ou une baisse de 10% des loyers ou encore un scénario intermédiaire entre les deux Une progression du taux de capitalisation de 40 points de base par augmentation de la prime de risque locatif a une traduction en termes de hausse de volatilité annuelle des prix de l’ordre de 10% 23
Malgré un fort rebond récent, l’immobilier coté en Europe reste déprimé Source : EPRA 24
Perspectives 25
Au-delà de la valse spectaculaire des fluctuations de PIB Quel est le niveau d’hystérésis des économies lors du retour à la normale sanitaire ? Le rebond de croissance va-t-il suivre une trajectoire exactement inverse à celle de son effondrement ? L’épargne accumulée va-t-elle aller dans la consommation et dans quelle consommation ? Quelle sera la marge de manœuvre budgétaire lorsque l’urgence sanitaire disparaitra ? Dans quelle mesure le potentiel de croissance à long terme a-t-il été entamé par les mesures de confinement de l’économie ? L’investissement en capital productif est bridé par la fragilisation des bilans des entreprises dans les secteurs qui ont le plus souffert : transport, tourisme, hébergement, restauration, loisirs Le capital humain a été préservé en grande partie sauf dans les secteurs susnommés mais la montée des inégalités va générer un climat de défiance qui va peser sur la diffusion de l’innovation Le capital organisationnel a été amélioré par l’adoption massive de la digitalisation dans le travail (télétravail) et les fonctions commerciales (commerce en ligne) La digitalisation à marche forcée de l’économie provoquée par la crise sanitaire, l’accélération de l’histoire en quelque sorte, va-t-elle modifier de façon structurelle les équilibres fondamentaux entre les différents secteurs immobiliers : bureaux, logements, logistique et commerce, et entre les différents territoires : métropoles, périurbain, villes moyennes, rural, voire l’organisation socio-économique ? La flexibilité des usages des bâtiments au cœur des solutions Va-t-on assister à une vague d’office bashing à partir du télétravail, analogue au retail bashing occasionné 26 par l’e-commerce ?
Tendances et perspectives des marchés de l’immobilier d’entreprise en Europe et en France Richard Malle – Global Head of Research BNP Paribas Real Estate 27
EUROPE TENDANCES COVID-19 CRE 360 COVID-19 ET SITUATION REPORT PERSPECTIVES SITUATION OUTBREAKAFTER LOCKDOWN SITUATION DES MARCHÉS DE L’IMMOBILIER D’ENTREPRISE REAL ESTATE PERSPECTIVES ECONOMIC SANITARYOUTLOOK MEASURES EN EUROPE ECONOMIC ET EN FRANCE OUTLOOK REAL ESTATE SUPPORT PERSPECTIVES SCHEMES OUTBREAK SITUATION CITY FOCUS OUTLOOK ECONOMIC SANITARY MEASURES SUPPORT SCHEMES RICHARD MALLE, GLOBAL RESEARCH 2 DÉCEMBRE 2020 Classification : Internal
FORTE BAISSE DES TRANSACTIONS AU T2 PUIS AU T3 19 PRINCIPAUX MARCHÉS DES BUREAUX EUROPÉENS* - 9 MOIS milliers sqm T1 T2 T3 9 000 -42% 8 000 Moyenne 10 ans: 6,837 7 000 6 000 5 000 T3/T3 4 000 -52% 3 000 T2/T2 -51% 2 000 T1/T1 1 000 -25% 0 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 * Central Paris, Central London, Berlin, Cologne, Düsseldorf, Francfort, Hambourg, Munich, Bruxelles, Barcelone, Madrid, Dublin, Milan, Rome, Luxembourg, Amsterdam, Varsovie, Prague, Source: BNP Paribas Real Estate Research. Bucarest. Classification : Internal
D E S P O I N T S H I S T O R I Q U E M E N T B A S AT T E I N T S E N 2 0 2 0 TRANSACTIONS DE BUREAUX EN EUROPE - SCÉNARIO CENTRAL • Transactions : • -42% en 2020 en Europe vs. 2019 / +23% en 2021 vs. 2020 • 2021 attendu en retrait de 18% par rapport à la moyenne décennale (2010-2019) Transactions (Million m²) 5,0 4,3 6 principaux marchés 4,5 allemands 4,0 Advisory 9 (11 villes) 3,5 3,4 3,5 3,8 3,4 3,1 Ile-de-France 3,0 3,2 3,2 "Central London" 2,5 2,5 2,9 2,7 2,3 2,4 2,4 2,0 2,1 2,1 * Berlin, Cologne, Düsseldorf, Francfort, 1,5 1,6 Hambourg, Munich 1,0 1,2 1,1 1,1 1,0 1,0 ** Bruxelles, Barcelone, Madrid, Dublin, 0,5 0,8 0,6 Milan, Rome, Luxembourg, Amsterdam, Varsovie, Prague, Bucarest 0,0 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
D E S T E N S I O N S H A U S S I È R E S S U R L’ O F F R E VACANCE DES BUREAUX EN EUROPE T3 2020 / T3 2019 HELSINKI TALLINN EUROPE – T3 2020 6.3% STOCKHOLM 12% OLSO CENTRAL LONDRES +90 bp 6% 7% 29 marchés RIGA 7.2% BERLIN +50 bp 18.9% VILNIUS GLASGOW HAMBOURG +40 pb vs. T3 2019 4.9% CENTRAL PARIS +140 bp - DUBLIN 3.9% 7.6% VARSOVIE AMSTERDAM -80 bp AMSTERDAM 8.5% COPENHAGUE DÜSSELDORF 9.6% BERLIN MADRID -40 bp LONDRES 5.6% BRUXELLES 8.2% 6.4% 2.1% PRAGUE MILAN +20 bp 7.2% FRANCFORT 7,2% MUNICH VARSOVIE +140 bp PARIS 3.5% 7.4% VIENNE 2.7% BUCAREST +10 bp 6.4% LUXEMBOURG 4.7% 8.1% BRUXELLES 5.4% MILAN 10.9% BUDAPEST DUBLIN +320 bp LYON 10.1% LUXEMBOURG -20 bp 5.9% LISBONNE MADRID 9% 6.7% BUCAREST +20 bp 6.4% 8.3% MARSEILLE ROME BARCELONE PRAGUE > 10% +210 bp 8 -10% 5 - 8% < 5% Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
L A H A U S S E D E L’ O F F R E R E S T E R A M A I T R I S É E TAUX DE VACANCE EN EUROPE - PRÉVISIONS % 25 20 15 10 5 0 2019 Vacance supplémentaire (2020-21) 2009 Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
ÎLE-DE-FRANCE : OFFRE NEUVE LIVRÉE EN 2020 4 8 O F F R E S N E U V E S E X I S TA N T E S O U L I V R É E S F I N 2 0 2 0 > 5 0 0 0 M ² E N Î L E - D E - F R A N C E Offre neuve existante ou livrée fin 2020 610 000 m² Part du secteur dans l’offre neuve existante ou livrée fin 2020 > 5 000 m² en volume 26% Croissant Ouest 22% La Défense 21% 1ères Couronnes Livraisons 2023 142 678 m² 18% Paris 13% 2ème Couronne Source : BNP Paribas Real Estate Classification : Internal
UN MARCHÉ FRANCILIEN À DEUX VITESSES TAUX DE VACANCE IMMÉDIAT ( T O U T E S S U R F A C E S ) – P R É V I S I O N S 2 0 2 0 - 2 0 2 1 Bulle Crise des Crise internet subprimes sanitaire 20 % 17,1% 18 % 16 % 13,9 % 1ère Couronne Nord 14 % 11,5 % 12,0 % 12 % La Défense 9,7 % 10 % 8,4% 9,3 % Île-de-France 8% 7,4 % 6,5% 6% 6,6 % Paris intramuros 4,8% 5,0 % 4,6%* 4% 4,7 % 4,0% 2% 2,2% * Hors coworking 0% 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 Source : BNP Paribas Real Estate Classification : Internal
S TA B I L I T É D E S L O Y E R S « P R I M E » LOYERS « PRIME » DES BUREAUX EN EUROPE T3 2020 vs T3 2019 HELSINKI CENTRAL LONDON = OLSO STOCKHOLM 444 TALLINN 695 210 +5% 486 BERLIN 192 VILNIUS HAMBOURG CENTRAL PARIS +2% RIGA 192 DUBLIN 384 282 VARSOVIE AMSTERDAM +2% AMSTERDAM 655 COPENHAGUE DÜSSELDORF 288 MADRID = LONDRES 460 BERLIN BRUXELLES 342 MILAN = 1 338 480 PRAGUE 315 FRANCFORT 276 VARSOVIE = 600 MUNICH PARIS 564 VIENNE 474 BRUXELLES = 900 LUXEMBOURG 306 300 BUCAREST 320 MILAN 228 BUDAPEST DUBLIN -2% LYON 600 LUXEMBOURG = 265 LISBONNE MADRID 450 BUCAREST = 336 MARSEILLE 288 435 ROME PRAGUE = BARCELONE > 600€ 400 – 600€ 300 – 400€ < 300€ Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
D E S C O R R E C T I O N S L I M I T É E S AT T E N D U E S LOYERS « PRIME » DES BUREAUX EN EUROPE Loyers « prime » Indice (100 = 2010) (m²/an au T3 2020 / 200 variation 2019/2021) Berlin (480€ / +2%) 180 Dublin (655€ / -9%) 160 Munich (474€ / +1%) Amsterdam (460€ / -3%) 140 Madrid (435€ / -4%) 120 Central London (1 211£ / -13%) Milan (600€ / -5%) 100 Bruxelles (315€ / 0%) 80 Prague (276€ / -4%) Central Paris (900€ / -3%) 60 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 Varsovie (288€ / -5%) Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
D E S L O Y E R S M O Y E N S D AVA N TA G E I M PA C T É S PARIS QCA - PRÉVISIONS 2020 - 2021 €/m²/an Bulle Crise des internet subprimes 1000 Loyers Prime 900 900 900 880 860 Loyers moyens 838 838 830 840 800 Loyers moyens 800 760 750 économiques réels 694 683 700 675 662 634 588 600 567 567 611 520 513 548 549 500 470 470 505 488 450 400 300 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 Source : BNP Paribas Real Estate Classification : Internal
DES LOYERS MOYENS ÉCONOMIQUES SOUS TENSION LA DÉFENSE - PRÉVISIONS 2020 - 2021 €/m²/an Bulle Crise des internet subprimes 700 656 Loyers Prime 610 Loyers moyens 600 580 575 568 550 Loyers moyens 540 540 540 530 économiques réels 520 505 500 472 476 463 468 454 454 435 436 417 417 410 433 395 400 418 385 354 331 335 336 300 323 305 291 270 200 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 Source : BNP Paribas Real Estate Classification : Internal
H A U S S E AT T E N D U E D E S M E S U R E S D ’ A C C O M PA G N E M E N T M E S U R E S D ’ A C C O M PA G N E M E N T – 1 2 D E R N I E R S M O I S ( T O U T E S S U R FA C E S – T 3 ) Boucle Nord 28% 1ère Couronne Nord Neuilly/ 33% Île-de-France La Défense Levallois 27% 23% 20% T3 2020 Péri Défense Paris QCA élargi Paris Centre Est 26% 13% 13% 18% 2019 Boucle Sud Paris Rive Gauche 21% 14% 19% 2018 1ère Couronne Sud 20% 2017 23% N.S : non significatif Classification : Internal
L E S D I S PA R I T É S D U T É L É T R AVA I L E N E U R O P E % de l’emploi Taux de télétravail élevé Taux de télétravail moyen Taux de télétravail faible total 100% 98% 96% 90% 95% 95% 90% 90% 91% 91% 80% 87% 87% 85% 84% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Travail à distance: habituellement Travail à distance: parfois Accès des ménages à Internet Source: Eurostat. Chiffres début 2020 Classification : Internal
T É L É T R AVA I L : S C É N A R I O E T I M PA C T S AT T E N D U S L’évolution du parc La baisse des de bureaux en volumes Europe sera commercialisés déterminante sur devrait rester l’impact de la maîtrisée vacance... TAUX DE TÉLÉTRAVAIL ESPACE / EMPLOYÉ Une augmentation du télétravail Mais pourrait être compensée en ... ainsi que l’impact devrait intervenir en Europe partie par davantage d’espace dédié sur les loyers à chaque employé EMPLOI DE BUREAU Ainsi que par la croissance attendue de l’emploi de bureau Classification : Internal
BAISSE DES INVESTISSEMENTS DEPUIS LE PRINTEMPS EUROPE +46% -38% FINLANDE +133% -70% EUROPE – 9M 2020 NORVEGE 69,3Mds € 80,3Mds € +17% -6% 150.0 Mds € SUEDE -15% / 9M 2019 +21% -35% PAYS BALTES T1 T2 + T3 -55% -10% DANEMARK 2020 vs 2019 2020 vs 2019 IRLANDE -5% -19% -9% -53% PAYS-BAS POLOGNE +80% -58% ALLEMAGNE +138% -40% Prévisions 2020 ROYAUME UNI BELGIQUE +68% -28% +36% -47% +107% -2% REP. TCHEQUE SLOVAQUIE -67% -65% +65% -3% 200 Mds € LUXEMBOURG +610% -61% AUTRICHE HONGRIE -31% par rapport à 2019 FRANCE -43% -59% -45% -55% ROUMANIE +48% -52% SUISSE -4% +84% -64% +71% Prévisions 2021 PORTUGAL +311% -37% ITALIE = -25% ESPAGNE 225 Mds € +21% -46% +13% par rapport à 2020 Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
DES VOLUMES HISTORIQUEMENT HONORABLES VOLUMES D’INVESTISSEMENT EN IMMOBILIER D’ENTREPRISE Volumes d’investissement (Mds €) 90 UK 80 73 Germany 70 Advisory 9 61 59 60 France 55 61 50 39 51 40 41 40 30 37 26 28 20 10 0 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 Advisory 9 (pays): Belgique, Rep. Tchèque, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Pologne, Roumanie, Espagne. Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
R É S I S TA N C E D E S TA U X « P R I M E » E N B U R E A U X T3 2020 vs T1 2020 BERLIN -5pb PARIS = HELSINKI AMSTERDAM +10pb 3.10 OSLO STOCKHOLM MADRID +25pb 3.75 3.30 6.00 TALLINN MILAN = GLASGOW 5.25 EDINBURGH 6.20 LONDRES = 4.75 COPENHAGUE RIGA DUBLIN 3.75 4.00 MANCHESTER HAMBOURG 5.80 LUXEMBOURG = 4.75 BERLIN 4.75 2.75 2.55 VILNIUS BIRMINGHAM LONDRES BRUXELLES = 4.60 3.50 FRANCFORT PRAGUE 2.75 4.50 VARSOVIE AMSTERDAM DUBLIN = 4.15 MUNICH LA HAYE 3.00 LILLE 3.80 2.55 BUDAPEST 5.20 PRAGUE +50pb 2.80 LUXEMBOURG 3.00 5.75 BUCAREST PARIS VIENNE 7.00 DÜSSELDORF VARSOVIE +10pb 4.50 2.90 ROTTERDAM TOULOUSE 3.50 3.30 BUCAREST = 4.50 LYON MILAN 3.90 2.95 LISBONNE MADRID 4.50 BRUXELLES ≤ 3% 4.25 3.50 MARSEILLE 4.00 COLOGNE 3.50 ROME 3-4% BARCELONE 3.80 4-6% LUXEMBOURG >6% Source: BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
D E S É V O L U T I O N S C O N T R A S T É E S PA R C L A S S E S D ’ A C T I F S TAUX DE RENDEMENT « PRIME » EN FRANCE % Évolution Bureau Commerce Logistique Alternatifs = sur les 9 derniers mois 5,50 5,00 5,00 4,50 4,50 4,50 4,15 = 4,25 = 4,00 4,00 4,00 = 3,90 3,90 = 3,60 = 3,75 = 3,50 3,50 3,25 = 3,00 = 3,00 2,80 2,50 = 2,00 Source : BNP Paribas Real Estate Classification : Internal
PERFORMANCE À 5 ANS DES ACTIFS EN EUROPE EUROPE – MOYENNE ANNUELLE 2020-2024 3,0% Logistique Allemagne Suède Croissance des loyers (moyenne annuelle 2020-2024) Bureau 2,0% Portugal Danemark Autriche Royaume-Uni Finlande Italie Allemagne 1,0% France Norvège Pologne Suède Finlande Belgique Pays-Bas Pays-Bas Belgique Espagne Finlande Autriche Danemark 0,0% Norvège Royaume-Uni Espagne Allemagne France Commerce Irlande Norvège Espagne Suède -1,0% France Royaume-Uni Portugal Pologne Italie Italie -2,0% Pays-Bas Irlande Danemark -3,0% -6,0% -4,0% -2,0% 0,0% 2,0% 4,0% Source : BNP Paribas Real Estate Research. Rendement en capital (moyenne annuelle 2020-2024) Classification : Internal
PERFORMANCE À 5 ANS DES ACTIFS EN FRANCE RENDEMENT GLOBAL – MOYENNE ANNUELLE 2020-2024 Rendement en capital 8% Marché des actifs « prime » Rendement locatif 6% Rendement global 4% 2% 0% -2% -4% Bordeaux Bordeaux France France Lille Lyon Île-de-France Ile-de-France Marseille France Bureaux Bureaux Logistique Logistique Bureaux Bureaux Bureaux Bureaux Commerce 8% Marché global des bureaux 6% 4% 2% 0% -2% -4% Lille Lille Bordeaux Bordeaux Marseille Marseille Lyon Lyon Paris Paris QCA QCA Île-de-France Ile-de-France La Défense La Défense Source : BNP Paribas Real Estate Research. Classification : Internal
La vision d’un gestionnaire d’actifs : La Française Virginie Wallut - Directeur Recherche et ISR immobilier La Française 28
GROUPE LA FRANÇAISE www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
LA FRANÇAISE EN UN COUP D’ŒIL 50,7 Mds € Expertises : Immobilier 550 en encours au 30/09/2020 Collaborateurs au 30/09/2020 & Actifs Financiers Investissements Durables Multi-boutique Crédit Mutuel couvrant toutes classes d’actifs asset manager Nord Europe Actionnaire SOURCE: LA FRANÇAISE, 30/09/2020 DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
LA FRANÇAISE UN ASSET MANAGER MULTI-BOUTIQUES SINGULIER PAR SES EXPERTISES EN IMMOBILIER ET ACTIFS FINANCIERS Direction Investissement Durable & Plateforme de recherche extra-financière Pilier actifs financiers Pilier Immobilier Plateforme Innovation Valeurs Financement mobilières alternatif FRANCE INTERNATIONAL Private Equity & Innovative Managers Plateforme Marketing et Commerciale commune DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
LA FRANÇAISE – PILIER IMMOBILIER DES ENCOURS EN FORTE PROGRESSION Evolution des encours Pilier ACTIFS IMMOBILIERS immobiliers Répartition des encours ENCOURS SOUS GESTION par secteur 25,3 Mds € en actifs financiers 3%2% 25,4 Mds € en immobilier 1% 2020 24,8 1% 2019 23,6 11% 6% 2018 19,2 50,7 Mds € 2017 16,2 12% 64% 2016 14,5 2015 13,2 2014 11,5 Bureaux Commerces Résidentiel Activités La clientèle internationale représente 2013 9,7 Vignobles Résidences gérées 22 % 2012 7,8 Hôtels Autre des encours sous gestion DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
NOTRE STRATÉGIE D’INVESTISSEMENT www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
LES CONVICTIONS DE LA FRANÇAISE Le bureau reste la classe d’actifs la plus liquide L’incontournable prise en compte des critères extra-financiers Diversification entre typologie d’actifs Diversification géographique Le retour de la rémunération des risques ouvre des opportunités d’investissement pour les stratégies value-add DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
LE BUREAU, CLASSE D’ACTIFS LA PLUS LIQUIDE CONCENTRATION DE LA DEMANDE SUR LES ACTIFS RÉPONDANT AUX NOUVEAUX USAGES Centralité Accessibilité Mixité urbaine Connectivité Flexibilité Modularité Boulevard Charles de Gaulle, Malakoff Parmentier,SOURCE: Paris 10 30/09/2020 LA FRANÇAISE, DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
L’INCONTOURNABLE PRISE EN COMPTE DES CRITÈRES ESG L’extra-financier est en passe de devenir un pilier de la valorisation des immeubles ➢ Réductions des consommations énergétiques et des émissions de CO2 ➢ Sécurité et santé des occupants ➢ Recours aux énergies renouvelables ➢ Implication de toutes les parties ➢ Un large éventail de services prenantes www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
DIVERSIFICATION ENTRE TYPOLOGIE D’ACTIFS Des actifs défensifs décorrélés des cycles économiques Résidentiel - Un équilibre offre/demande porteur dans les zones tendues Résidentiel géré - Une offre résidentielle ciblant des segments de population spécifique et offrant des taux de rendement proche de l’immobilier tertiaire Actifs santé - Une démographie favorable Résidence étudiante RSS Cesson- Babel community, Marseille Résidence étudiante, Bordeaux Gif sur Yvette Sévigné DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
DIVERSIFICATION GEOGRAPHIQUE Une reprise économique différenciée L’Allemagne: moteur économique de la zone euro Les Pays-Bas: les bienfaits du « confinement intelligent » Londres restera Londres … sur le long terme Danzigerkade 16, Am Seestern 5, Dusseldorf Bartholomew Close, Londres Porsche, Stuttgart Amstedam DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
LE RETOUR DE LA RÉMUNÉRATION DU RISQUE Commerce Un repricing entamé avant la crise sanitaire Rémunération du risque additionnel des actifs secondaires comparé aux actifs prime Actifs de tourisme 300 pbs Des poches résilientes moins dépendantes du 250 pbs tourisme international 200 pbs Locaux d’activité Impact positif des phénomènes de réindustrialisation 150 pbs et de relocalisation 100 pbs Conversion des bureaux obsolètes 50 pbs Reconstruire la ville sur la ville 0 pbs La Défense (?) mars-08 mars-09 mars-10 mars-11 mars-12 mars-13 mars-14 mars-15 mars-16 mars-17 mars-18 mars-19 mars-20 sept-07 sept-08 sept-09 sept-10 sept-11 sept-12 sept-13 sept-14 sept-15 sept-16 sept-17 sept-18 sept-19 sept-20 Un marché de grandes transactions qui a toujours su s’adapter DÉCEMBRE 2020 - IEIF 01/12/2020 www.la-francaise-com Document destiné aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF
Questions Réponses Pierre Schoeffler Richard Malle Virginie Wallut Senior Advisor IEIF et Global Head of Directeur Recherche et Conseiller du Research ISR immobiliers Président LA BNP PARIBAS REAL LA FRANCAISE FRANCAISE ESTATE
Les prochains rendez vous de l’IEIF
Mardi 8 décembre 2020 Immobilier Responsable : quelles tendances en 2020 ? Isabelle Clerc (AG2R La Mondiale) Véronique Donnadieu (ASPIM) Les Jean-Eric Fournier (Covivio et FSIF) Christian de Kerangal (IEIF) prochains Loïs Moulas (OID) rendez-vous IEIF Mercredi 16 décembre 2020 Financement de l'immobilier des professionnels : vers un resserrement des conditions de crédit ? Vladislava Iovkova (PwC Strategy&) Charles-Henri de Marignan (IEIF) Denis Moscovici (IEIF) Thierry BERNARD (Natixis) Gilles CASTIEL (SCOR Investment Partners) Olivier COLONNA D'ISTRIA (Socfim) Priscilla LE PRIELLEC (La Banque Postale)
Mercredi 27 janvier 2021 – 8h15 – 17h30 Webinaire – 2 décembre 2020 32
MERCI www.ieif.fr @IEIFinfo /company/ieif/
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