De quoi dépendent les taux de change?

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De quoi dépendent les taux de change?
• Si déficit dans les échanges extérieurs  M>X
  demande de devises étrangères contre la
  monnaie nationale > offre de devises étrangères
  contre monnaie nationale dépréciation  les X
  sont favorisées et les importations sont freinées
• Si le taux d’intérêt augmente par rapport à celui
  d’un autre pays il devient plus rentable de
  placer dans la monnaie de ce pays et donc
  appréciation de la monnaie de ce pays.
• Si un pays connaît une inflation plus forte que
  dans les autres, la monnaie de ce pays est moins
  demandée et donc il y a dépréciation.
Théorie des parités de pouvoir d’achat
                (ppa)
• Mode de calcul de taux de changes théoriques
• Equivalence entre le pouvoir d’achat d’une unité
  monétaire d’un pays et le pouvoir d’achat de n
  unités monétaires d’un autre pays.
• Si le pouvoir d’achat de 100euros dans la zone
  euro équivaut au pouvoir d’achat de 90dollars
  aux USA  1euro=0.9dollar en ppa
• Cette méthode est utilisée car les taux de change
  de marché sont trop marqués par les
  mouvements spéculatifs.
La balance des paiements
• Document qui recense l’ensemble des
  opérations effectuées pendant une année par
  les agents résidents avec les non résidents. Ce
  document est élaboré selon le principe de la
  comptabilité en partie double. Une opération
  (1 importation) donne lieu à deux écritures
  une en réelle (dans la ligne importation) et
  l’autre dans le compte financier. Le document
  est donc naturellement équilibré aux erreurs
  et ommissions près.
Les différents soldes
• X de biens – M de biens  solde de la balance
  commerciale
• Revenus revenus du travail reçus de l’étranger
  ou versés à des non résidents et les revnus du
  capital (intérêts et dividendes reçus ou versés
  au RdM)
• Transferts courants versements à des
  organismes internationaux, ou envois d’argent
  privés
• Dans le compte de capital remises de dettes et
  achat et vente de brevets
• Somme du solde du compte de capital et solde du
  compte des transactions courantes = capacité de
  financement de la Nation (si >0  le RdM a
  augmenté ses dettes vis à vis de de la Franxce
  plus que la France ne l’a fait face au RdM)
• Compte financier:
- Investissements directs (IDE) Achats ou la
  création d’entreprises dans le but déxercer une
  influance durable sur la gestion de l’entreprise
  (achat d’au moins 10% des droits de vote ou du
  capital social d’une entreprise)
- Investissement de portefeuille achat de titres
  dans un but de placement (souvent spéculatif)
• Autres investissements = opérations de crédit
• Avoirs de réserve = variation des réserves en
  devises.
• Par une importation de bien est notée dans la
  ligne importation de bien et aussi dans la ligne
  avoirs de réserve avec le signe opposé
1) Le libre échange, une source de croissance
• Le libre échange est l’échange de biens et de
   services à l’international sans que ces biens et
   service soient taxés ou sans qu’il y ait de
   barrières aux échanges
a) Le libre échange permet des gains de
    productivités en approfondissant la division
    internationale du travail
Adam Smith prône le libre échange car quand
un pays a un avantage absolu (c’est à dire qu’il
produit moins cher que les autres pays) il a
intérêt à se spécialiser dans cette production, à
l’exporter et à importer les autres produits.
Si un pays n’a pas d’avantage absolu, il n’a pas
 intérêt à s’ouvrir au commerce international.

- La théorie des avantages comparatifs David
  Ricardo (1772-1823)
Dans le tableau pris en exemple par Ricardo, le
Portugal a un avantage absolu dans le vin et
dans le drap et donc l’Angleterre n’a pas intérêt
à faire du commerce international si on suit la
théorie des avantages absolus de Smith.
Ricardo développe une autre théorie.
• Hypothèse: Le travail est immobile au niveau
  international et mobile au niveau national.
• Hypothèse: Coût du produit = quantité de
  travail nécessaire pour produire le pdt
• En Angleterre avec 1 unité de vin on peut
  obtenir 1,2m de drap
• Au portugal avec 1 unité de vin on peut
  obtenir 0,88m de drap
 Le Portugal a intérêt à se spécialiser dans le
vin et à l’échange avec l’Angleterre contre du
drap car il va obtenir plus de drap que si il le
produit lui même. Son coût relatif vin/drap est
moins cher dans le vin.
• L’Angleterre a un coût relatif plus faible dans le
  drap et donc elle a intérêt à se spécialiser dans
  le drap.
• Un pays gagne à se spécialiser dans la
  production pour laquelle ses avantages
  comparatifs sont les plus grands et donc ses
  coûts les plus faibles.
 Le pays gagne alors en productivité car il se
spécialise dans un seul domaine
- La théorie des dotations factorielles Hecksher
  Ohlin Samuelson
Hypothèse: les facteurs de production (travail et
capital) sont immobiles au niveau international
(par exemple cela veut dire qu’il néxiste pas
d’IDE)
Les pays ont intérêt à se spécialiser dans les
production utilisant les facteurs de production
qu’ils possèdent en abondance et à importer les
productions pour lesquelles ils sont faiblement
dotés en facteurs de production.
Cela amène à une égalisation des
   rémunérations des facteurs de production au
   niveau mondial
Un pays se spécialise dans une production qui
utilise bcp le facteur wk  la demande
d’emplois va augmenter dans ce pays alors que
l’offre de travail reste contante et parallèlement
on importe des produits qui sont fortement
dotés en facteur capital  le prix relatif du
travail augmente et le prix relatif du capital
diminue + inverse dans le pays partenaire 
égalisation des rémunérations
• Les théories traditionnelles du commerce
  international (Ricardo, HOS) n’expliquent pas
  le commerce intra-branche (commerce de
  produits similaires)
b) Le libre échange permet les économies
   d’échelle et la production à moindre coût
• Le libre échange permet une extension des
  marchés (les marchés s’agrandissent) et donc
  cela permet de réaliser des économies
  d’échelle c’est-à-dire que le coût moyen
  diminue au fur et à mesure que la production
  augmente. En effet les coûts fixes (capital mais
  également dépenses de RD) peuvent être
  étalés sur plus d’unités produites et donc en
  moyenne une unité coûte de moins en moins
  cher à produire.
• Le libre échange permet de stimuler la
  concurrence et donc de stimuler l’innovation
  car les entreprises doivent perpétuellement
  lutter pour conserver ou gagner des parts de
  marché sur le territoire national et à
  l’international. Cela permet également une
  baisse des coûts (car innovation de procédés)
  et une plus grande satisfaction des
  consommateurs (car plus de produits
  nouveaux à leur disposition).
c) Le libre échange permet un plus large
         choix pour le consommateur
• Les produits sont différenciés c’est-à-dire que
  certaines de leurs caractéristiques sont
  légèrement modifiées.
• Par exemple verticalement il y a des produits
  haut de gamme, moyen de gamme et bas de
  gamme.
Ou horizontalement en modifiant l’image du
  produit par la publicité ou les services qui lui
  sont attachés
• Les consommateurs ont un goût pour la
  différence et donc le libre échange leur
  permet de trouver les produits en exacte
  correspondance avec leurs désirs  ils sont
  plus satisfaits car les produits ne sont pas
  homogènes.
• Le libre échange en stimulant la concurrence
  et en permettant les économies d’échelle
  amène à une baisse des prix et donc une
  meilleure satisfaction du consommateur.
• Une spécialisation au départ donne alors un
  avantage cumulatif qui rend impossible
  l’arrivée d’un nouveau concurrents car les
  firmes en place sont plus compétitives.
• Les nouvelles et les anciennes théories du
  commerce international ne s’opposent pas
  mais expliquent des choses différentes.
• Dans les anciennes, la spécialisation explique
  les échanges de produits différents.
• Dans les nouvelles, ce sont les échanges qui
  expliquent la spécialisation. En effet, les
  échanges et l’extension des marchés
  provoquent une spécialisation.
2) l’intérêt du protectionnisme
a) Les outils du protectionnisme
Le protectionnisme est un ensemble de
pratiques qui cherchent à protéger une
économie nationale des effets de la concurrence
internationale. Le but est d’établir des obstacles
à la libre circulation des marchandises.
Il y a des barrières tarifaires et les barrières non
tarifaires.
• Barrières tarifaires : elles modifient l’arbitrage
  entre produits nationaux et produits étrangers
  en modifiant les prix relatifs:
- Les droits de douane taxes prélevées sur les
  importations  augmentation du prix des
  produits importés
- Les subventions soit à la production, soit aux
  exportations qui permettent de baisser le prix
  des produits nationaux
• Barrières non tarifaires: mesures qui limitent les
  échanges sans modifier le prix des biens et des
  services
- Quotas d’importations: l’Etat limite les quantités
  d’un bien importable.
- Normes environnementales, sanitaires, de sécurité…
  très strictes et la complexité des démarches
  administratives
- Contrats d’exécution locale: réglementation selon
  laquelle une certaine partie d’un produit doit être
  exécutée à l’intérieur d’un pays
Le pays peut également manipuler son taux de change
pour favoriser ses exportations et rendre plus chère les
importations
b) Les justification du protectionnisme
-Les pièges du libre échange: toutes les
spécialisations ne se valent pas
Les spécialisations dans les matières premières
ne sont pas forcément efficaces. Le marché est
rapidement saturé et donc les termes de
l’échange se dégradent.
Les termes de l’échange sont égaux au rapport
entre l’indice des prix des exportations sur
l’indice des prix des importations. Ils servent à
comparer l’évolution du prix des exportations
par rapport à celui des importations.
• Le prix de certaines matières premières (par
  exemple produits tropicaux) baisse sans
  entraîner une forte augmentation de la
  demande (car l’élasticité prix est faible) le
  prix des X va diminuer alors que le prix des M
  augmete ou reste constant  les termes de
  l’échange se dégradent  cela ne permet de
  financer les importations de capital qui
  permettrait au pays de changer de
  spécialisation
• Le problème se pose d’autant plus que le pays
  est monoproducteur et donc très soumis aux
  variations de prix.
• Le transfert de technologie en provenance de
  l’étranger peut ne pas être profitabe car il
  demande au préalable une accumulation de
  capital humain. C’est un choix politique qui
  n’est pas fait par tous les pays du fait de leur
  instabilité politique ou du manque de
  ressources ou des choix politiques.
• Faible d´éducationForte dotation en main
  d’oeuvre pas qualifiée spécialisation dans
  les secteurs intensifs en md’o pas qualifiée 
  aug de la md’o pas qualifiée pas d’incitation
  à la formation et brain drain faible niv
  d’education
• De plus certains pays ont dû faire appel au
  financements extérieurs pour financer leurs
  projets de développement (acheter du capital
  fixe) et ont connu une crise de la dette dans
  les années 1980/1990 suivie d’interventions
  du FMI et de la Banque Mondiale pour
  assainir les finances (Politiques d’ajustement
  structurel PAS).
 Les effets bénéfiques du LE ne sont pas
  automatiques et donc il peut y avoir des
  raisons au protectionnisme.
- Le protectionnisme éducateur
• Idée de List (1789-1846) il faut laisser le temps aux
   insdustries naissantes d’apprendre et de se
   développer pour accéder au niveau de compétitivité
   des pays les plus avancés
• Cette stratégie a été appliquée dans les politiques
   commerciales stratégiques ensemble de mesures
   prises par les Etats pour développer des activités
   jugées nécessaires de façon à réduire la dépendance
   vis à vis de l’extérieur.
Ces activités vont être protégées de la concurrence
internationale le temps qu’elles atteignent une
production suffisante pour étaler les coûts et faire des
EE et qu’elles réalisent des économies d’apprentissage.
• L’Etat agit par plusieurs moyens: subventions,
  commandes, protection du marché…
• Par exemple Airbus a été aidé par l’Union
  Européenne pour pouvoir concurrencer Boeing sur
  les marchés internationaux.
• Les semi-conducteurs ont été un secteur aidé aux
  USA et au Japon dans les années 60.
• Les risques:
- Maintenir la protection et laisser des secteurs
  inefficaces qui seraient condamnés à disparaître mais
  qui représentent quand même des emplois pour une
  région  choix politique
- Risque de repli généralisé et de guerre commerciale
Conclusion 2): La stratégie de substitution d’exportations et de
   remontée des filières
Stratégies utilisées par Hong Kong, Corée du sud, Taïwan,
   Singapour, Chine…
La remontée de filières est une stratégie consistant à partir de la
   production d’un produit donné à développer sur le territoire
   national l’activité de production des unités de production
   intervenant en amont de la production de ce produit  le but
   est d’avoir la filière complète.
Le but est d’exporter des biens ou des services avec un contenu
   technologiques de plus en plus fort. La stratégie de
   substitution des exportations consiste à promouvoir les X de
   pdts manufacturés en remplacement d´X de pdts primaires ou
   substitution de pdts à fort contenu techno aux X à fort
   contenu en main d’œuvre.
• Les Dragons asiatiques ou la Chine ont profité
  au départ de leur avantage comparatif la main
  d’œuvre relativement formée et à faible coût.
  Ils ont développé les industries textile puis ont
  remonté les filières à l’abri des barrières
  douanières.
• Les entreprises qui ont investi dans ces pays
  ont été incitées à faire des transferts de
  technologie. Ceux-ci ont permis à ces pays
  d’imiter puis d’innover eux-mêmes.
• L’insertion de ces pays dans le CI a été souvent
  cité en exemple des bienfaits du LE
  (institutions internationales).
• Il ne faut pas oublier les conditions
  particulières de ces pays:
- Taux d’épargne intérieure relativement élevé
  qui permet au départ de financer la croissance
  sans faire appel à des capitaux étrangers
- Niveau d’éducation relativement important de
  la population
- Les importations ont été limitées au départ et
  la libéralisation s’est fait progressivement
- Etat (installé depuis longtemps) a mené une
  politique active en subventionnant certains
  secteurs et en servant de support à l’activité
3) Les institutions internationales l’ouverture à tout prix
a) Les insertions réussies dans le CI face aux principes
    du consensus de Washington
Le GATT (General agreement on tariffs and trade) a été
    mis en place en 1947. C’était des cycles de
    négociations portant sur les règles du CI et la baisse
    des obstacles aux échanges.
Le dernier cycle de négociation du GATT a donné
    naissance à l’Organisation Mondiale du Commerce
    en 1995. C’est une organisation permanente dont le
    conseil se réunit tous les 2 ans et un organe de
    règlement des différends (ORD).
• Les avancées obtenues par le GATT:
- Code de bonne conduite en matière de CI: pas
  de subvention, pas de dumping (prix
  artificiellement bas)
- Base: multilatéralisme avec clause de la nation
  la plus favorisée  un avantage commercial
  accordé a un partenaire doit être étendu à
  tous les autres partenaires (exception pour les
  zones de LE, unions douanières…)
Baisse des droits de douane importante
  depuis 1947 (40%  5%) et environ 40% des
  marchandises circulent sans droit de douane.
Fin des contingentements (quotas)
• Actuellement les cycles de négociations
  portent sur des secteurs de plus en plus
  sensibles (agriculture, services) et peinent à
  avancer car ce sont des secteurs stratégiques
  pour les Etats.
• Le Fonds monétaire international est un
  organisme créé en 1945 et qui a l’origine
  devait veiller à l’application des règles de
  Bretton Woods. Depuis la fin de BW, le FMI
  s’applique à fournir des aides aux pays qui en
  ont besoin et à prévenir les crises financières.
  La Banque Mondiale finance les grands projets
  dans les pays en développement.
Le consensus de Washington
• Nom donné aux politiques d’inspiration
  libérales (plans d’ajustement structurels)
  préconisés par le FMI et la BM dans les années
  1980-1990 face aux difficultés de paiement de
  certains pays (Mexique…)
• Ces politiques étaient basées sur l’austérité
  (baisse des dépenses publiques),
  privatisations et libéralisation (du commerce
  extérieur notamment)
 Baisser la demande intérieure pour restaurer
  l’équilibre des échanges extérieurs
• Ces politiques ont été critiquées car elles ont
  amenées à un désengagement de l’Etat qui a
  provoqué une explosion des inégalités sans
  véritable développement.
b) L’après consensus de
              Washington
• Les politiques de seconde génération ont
  essayé de favoriser des mesures en faveur du
  capital humain mais également des mesures
  faites pour avoir un cadre institutionnel
  efficace (rendre l’environnement plus
  prévisible pour favoriser l’insvestissement).
• Ont été mises en place des politiques
  spécifiques pour réduire la pauvreté.
• Les mesueres restent quand même libérales.
II les stratégies internationales des
              entreprises
1) Un changement des firmes transnationales
Une multinationale ou firme transnationale est
    une entreprise nationale possédant des
    filiales de production dans plusieurs pays.
Si une société possède 50% du capital d’une
    autre entreprise, celle ci est alors une filiale
    de la première  contrôle majoritaire
Mais une entreprise peut avoir une part
    suffisante pour avoir le contrôle ou pas
a) Une production de plus en plus mondialisée
 Période       stratégie        objectif        Nature de     Type
                                                la filiale    d’intégration
 début 1920’s Approvisionne     Se fournir en   Plantation,   Verticale en
              ment              matière         extraction    amont
                                première
 Jusqu’aux     Stratégie de     Production sur Usines         Verticale en aval
 années 1960   marché           le lieu        produisant
                                d’exportation  des
                                               produits
                                               similaires,
                                               filiales
                                               relais
 Après années Rationalisation   Profiter des   Filiales       Division
 60           du processus      avantages      ateliers       internationale
              de production     comparatifs de                du processus de
                                chaque pays                   production
• Les entreprises ont des produits vendus dans
  plusieurs pays mais qui sont surtout fabriqués
  dans plusieurs pays :le processus est divisé,
  réparti entre les pays en fonction de leurs
  avantages comparatifs- l’entreprise garde la
  maîtrise de l’ensemble du processus 
  division international du processus de
  production permise par la baisse des coûts de
  transport (utilisation du conteneur
  notamment) et par les NTIC
Les firmes échangent énormément avec clients
  et fournisseurs mais également avec les filiales
  des produits en cours de fabrication
  environ 30% des échanges internationaux
  de la France
  cela sort de la logique de marché et cela
  peut gonfler ou sous estimer la valeur des
  exportations et des importations
  l’intérêt des firmes est que le libre échange
  joue à plein et qu’aucune règle n’entrave les
  échanges . Les firmes multinationales ont
  profité du libre échange pour se développer et
  veulent développer le libre échange pour se
  développer.           .
• Compétitivité : capacité d’une entreprise ou
  d’un pays à conserver ou à gagner des parts
  de marché
• Deux types de compétitivité: prix (capacité à
  proposer des prix plus bas que les
  concurrents) et hors prix (capacité à distinguer
  à différencier ses produits des concurrents)
Compétitivité hors prix
Compétitivité prix               • Différenciation des produits c’est
                                     à dire modification d’une ou
• Prix des facteurs de               plusieurs caractéristiques du
  production:                        produit pour le distinguer de celui
- Prix du capital                    des concurrents (pub, marque,
                                     délais de livraison, SAV...)
- Coût unitaire du travail
                                 Soit horizontale (variétés proches
  (salaires, charges sociales,   d’un produit homogène)
  productivité du travail)       Soit verticale (gamme de produits
• Fiscalité                      différentes en fonction du pouvoir
                                 d’achat du consommateur)
• Droits de douane
                                 Dépend de l’innovation et de la
• Prix des consommations         capcité d’adaption à la demande
  intermédiaires
• Taux de marge
• Cours de la monnaie
Comment une entreprise choisit-
     elle une localisation?
• En fonction des coûts de production 
  marières premières pas chères, des facteurs
  de production pas chers, des fournisseurs pas
  chers...
• En fonction de la taille des marchés  être
  plus pro
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