Formel/Informel - 08A&B Espaced'artChailliouxFresnes94 - Espace d'art Chaillioux Fresnes 94
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Formel/Informel
09-11-19 21-12-19
108A&B
___ Espace d’art Chaillioux Fresnes 94
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Formel/Informel ....................................................................... 3
Nicola Bonessa ......................................................................... 8
Élodie Boutry .......................................................................... 12
Vincent Creuzeau .................................................................... 16
Soumisha Dauthel .................................................................. 20
Maëlle Labussière ................................................................... 24
Dominique Liquois ................................................................. 28
Matthieu Pilaud ...................................................................... 32
Serge Saunière ......................................................................... 36
L’Espace d’art Chaillioux Fresnes 94 ..................................... 41
En couverture :
Dominique Liquois, Oiseaux déguisés 8, 2018
Juin 2019
© Espace d’art Chaillioux Fresnes 94, 2019
7 rue Louise Bourgeois – 94260 FRESNES
contact@art-fresnes94.fr
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Formel/Informel
Nous voulions, depuis longtemps, organiser une exposition sur le thème de l’art abstrait
contemporain pour montrer que, malgré un évident retour à la figuration, cette forme
d’expression reste encore bien vivace et riche dans la diversité de ses modes et tech-
niques. Nous avons choisi les œuvres de huit plasticiens, couvrant deux générations,
pour montrer que ces artistes ne sont en rien des conservateurs ni des réactionnaires
mais que chacun, à sa façon, innove, chamboule les conventions ou les redéfinit…
Une des difficultés majeures a été de trouver un titre pour cette exposition. En effet,
si la plupart des observateurs s’accordent assez facilement pour reconnaître qu’une
œuvre est abstraite, cette notion reste très intuitive et formuler une définition précise de
ce qu’est l’abstraction n’en demeure pas moins une gageure.
Dans un des chapitres liminaires de son monumental ouvrage en cinq volumes L’art
abstrait, Michel Seuphor écrit: « J’appelle art abstrait tout art qui ne contient aucun rappel,
aucune évocation de la réalité observée, que cette réalité soit ou ne soit pas le point de
départ de l’artiste. » Si cette définition reste assez large, elle n’en est pas moins très discu-
table. On sait, par exemple, que certaines des œuvres abstraites de Mondrian résultent de
la réduction progressive de l’image d’un pommier à ses lignes essentielles. Le rappel et
l’évocation de l’arbre sont bien présents, même s’ils ne sont pas toujours perceptibles
pour qui ne connaît pas la genèse de l’œuvre.
Dans sa thèse Abstraktion und Einfühlung, Wilhelm Worringer oppose abstraction et em-
pathie, la première notion étant associée à une certaine forme de primitivisme ou à ce
qu’il désignera sous le terme d’expressionnisme, la seconde au réalisme : « tout comme le
désir d’empathie en tant que base de l’expérience esthétique trouve sa satisfaction dans la
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beauté organique, le désir d’abstraction trouve sa beauté dans les formes inorganiques
renonçant au vivant, dans le cristallin, bref, dans toute régularité et nécessité abstraites. »
Pour Worringer, le moteur de l’abstraction est l’angoisse. Cependant, beaucoup des ar-
tistes que l’on qualifie volontiers d’abstraits ne sont pas des angoissés.
L’opposition entre abstrait et concret a alimenté bien des querelles. Dans l’unique numé-
ro de la revue Art Concret, Theo Van Doesburg écrivait, en 1930 : « peinture concrète et
non abstraite, parce que rien n’est plus concret, plus réel qu’une ligne, qu’une couleur,
qu’une surface. » Pour lui, l’œuvre concrète doit être « entièrement conçue et formée par
l’esprit avant son exécution ». Elle doit viser à la « clarté absolue » en excluant toute ex-
pression subjective et « la construction du tableau, aussi bien que ses éléments, doit être
simple et contrôlable visuellement. »
Le terme non-figuration est tout aussi ambigu. La non-figuration s’oppose aux courants
picturaux qui l’ont précédée – réalisme, impressionnisme, surréalisme… – dont l’objet
était la figuration de thèmes empruntés au monde réel ou à l’imaginaire de l’artiste. En
cela, la non-figuration récuse, dans un même mouvement, Kandinsky, dont l’univers pic-
tural, bien qu’intérieur, est très réel, la peinture gestuelle, dont les adeptes assurent que
les traces du geste de l’artiste constituent une réalité tangible, les matiéristes qui font
l’apologie de la réalité de la matière, les paysagistes abstraits…
Nous avons donc rejeté tous ces vocables et avons fini par opter pour l’opposition
entre formel et informel, deux axes qui, sans le définir ni le circonscrire, permettent de
structurer le champ de la création communément désignée comme abstraite… On re-
trouve ici, actualisée au XXIe siècle, la fameuse confrontation entre abstractions chaudes
et froides des années 1950. Ce choix est évidemment critiquable, mais il fallait trancher et
nous l’avons fait…
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La peinture de Nicola Bonessa part d’un substrat figuratif, progressivement masqué par
des jeux de superposition de matières et de couleurs, appliquées dans des mouvements
rapides, amples et nerveux. Le résultat est explosif mais reste parfaitement cohérent dans
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sa construction, laissant imaginer, çà et là, des fragments anatomiques, un visage, une
silhouette, dont le spectateur peut se demander s’il s’agit d’une image subliminale ou de
l’interprétation subjective d’aléas formels et chromatiques générés par le geste de l’artiste.
La filiation de ses œuvres est à rechercher dans une synthèse décapante des apports de
CoBrA et de l’expressionnisme abstrait américain.
Élodie Boutry appréhende la peinture comme vecteur de stimulation et de plaisir réti-
nien. La débarrassant de ses supports traditionnels, elle la projette dans l’espace. Ses cou-
leurs franches, ses lignes brisées aux angles aigus s’imposent. Tels des rochers venus
d’ailleurs, surfaces lisses et rugueuses alternent pour former un motif. L’artiste ques-
tionne ainsi la frontière mince entre peinture et sculpture. Ses installations se caractéri-
sent par un choix de couleurs vives, exacerbées, dans des constructions aux angles vifs et
aigus concentrant toutes les teintes de leur environnement. L’académique planéité du
support n’est plus opérante. Elle fait sortir formes et couleurs du plan. Elles viennent
s’inscrire sur des objets en volume, semant le doute sur la nature de son travail : peinture
ou sculpture ? Finalement, peu importe : son approche ludique s’affranchit facétieuse-
ment des catégories.
La peinture de Vincent Creuzeau est un hommage sensuel et gourmand à la matière
picturale. Ses toiles affichent des superpositions de couches de matière généreuses, pro-
visoirement figées. Elles peuvent évoquer le développement organique de l’écorce d’un
arbre, les strates de coulées de laves volcaniques, la corrosion de structures métalliques
ou les dépôts de limons sur une terre devenue aride… Si ce n’est que la couleur s’invite
au rendez-vous dans ces formes de palimpsestes qui matérialisent la profondeur d’un
geste, la mémoire d’une action plastique, la durée de la réflexion de l’artiste, la résurgence
de brèves fulgurances difficiles à enfouir et à oublier… Bref, l’épaisseur palpable d’une
existence humaine et sensible…
Chez Soumisha Dauthel, comme chez ses aînés de Supports / Surfaces, on constate
l’importance égale accordée aux matériaux, aux gestes de l’artiste et à l’œuvre résultante,
la recherche d’un sujet, qu’il soit universel ou anecdotique, étant reléguée au second plan.
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Son travail se singularise cependant par son exubérance. Son généreux foisonnement
s’exprime de façon évidente dans la profusion des couleurs mais aussi et surtout dans
une recherche permanente de nouvelles techniques et procédés picturaux, comme si elle
s’appliquait à en épuiser les infinies possibilités pour atteindre les frontières extrêmes des
territoires de la peinture. Dans ce qu’on ne peut appeler autrement qu’une fabrique
d’images, elle peint, découpe, colle, assemble, grave, réplique, décale, dessine, numérise,
adapte des prises de vue photographiques, imprime sur des autocollants… Et bien
d’autres choses encore…
Maëlle Labussière développe des réseaux de lignes, tracées dans un geste obsessionnel,
rehaussées de couleurs vives qui suscitent de fascinantes interférences optiques. Elle éli-
mine la question du champ pictural en pratiquant une forme de all-over qui repousse les
limites du tableau au-delà de ses bornes géométriques. Elle ne s’appuie pas sur la répéti-
tion obsessionnelle d’un module unique, mais développe plutôt un processus de type
génésique, à caractère fractal, où les autosimilarités suscitent une forme de vertige, celui
de la mise en abîme. Les lignes parallèles ou légèrement obliques se combinent pour
créer des battements optiques qui animent et font vivre le plan du support. Quand l’œil
arrive à se concentrer sur un des traits et à le suivre, il constate de légères imperfections
dans sa linéarité, des décrochements, des petits détours pour éviter des obstacles inexis-
tants, des rapprochements et des écartements avec ses voisins… Accidents, voulus ou
subis, qui évitent la froideur impersonnelle et sans âme que généreraient des parallèles
parfaites.
Dans ses peintures comme dans ses créations en volume, Dominique Liquois intègre
des modèles formels qui appartiennent à divers registres, naturels ou technologiques,
présents ou passés, réels ou fantasmés. Elle les dénature par le recours à des couleurs
vives, parfois acidulées, puis les assemble par collage, juxtaposition, superposition, liga-
ture ou couture, sans souci d’échelle, pour créer des univers ludiques et joyeux dans les-
quels toute référence aux éléments d’origine s’efface au profit d’une unité d’ensemble.
De ce point de vue, la peinture de Dominique Liquois peut être considérée comme une
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résurgence du baroque, un baroque qui aurait été expurgé de tout pathos, de toute velléi-
té ostentatoire ou démonstratrice, au profit de la seule forme, de ses interactions avec ses
voisines et avec son environnement. Il en résulte un mouvement, un dynamisme, obtenu
sans recourir aux vieilles ficelles de la gestualité. En cela, sa démarche se rapproche de
celle de Shirley Jaffe qu’elle a beaucoup fréquentée.
Les sculptures de Matthieu Pilaud sont, selon les mots de l’artiste, des métamorphoses de
l’objet. Quelles que soient leurs dimensions originelles, ces objets sont reconstruits selon
un rapport d’échelle qui a l’homme pour référent. Si le bois est son matériau de prédilec-
tion, il recourt aussi à d’autres matières premières – métal, élastomères, caoutchouc… –
dans une approche qui combine les savoir-faire traditionnels et les ressources de
l’ingénierie contemporaine avec ses outils numériques. Il convoque ainsi mathématiques,
géomorphologie, topographique, modélisation, sérialité et impression 3D… en renfort
des pratiques artisanales traditionnelles de découpe, taille, empreinte, moulage, fonte…
Les œuvres résultantes interrogent le spectateur qui est invité à en découvrir le sens, la
raison d’être, leur énergie latente…
Serge Saunière est un chantre du noir et blanc, dans la lignée de la peinture chinoise et
de la calligraphie. Ses compositions ne singent cependant pas l’exotisme. Elles s’ancrent
bel et bien dans une tradition occidentale, notamment dans celle de la peinture hollan-
daise classique, qui cultive et valorise les contrastes d’ombres et de lumière et, surtout,
ces zones ni noires ni colorées, ce gris, ce ni ni où tout peut advenir. Les lavis de Serge
Saunière sont aussi musicaux, non pas dans une écriture rythmique à lecture horizontale,
mais dans cette riche verticalité chromatique qui sublime la musique de Messiaen et des
compositeurs dit spectraux. Mutatis mutandi, Serge Saunière pourrait être le Gérard Grisey
des arts plastiques.
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Nicola Bonessa
Né à Turin, en 1969
Vit et travaille à Neuilly-Plaisance
nicolabonessa.com
nbonessa@free.fr
Expositions personnelles 2015 Artcité, Fontenay-sous-Bois
2018 Espace Icare, Issy-les-Moulineaux 2013 macparis, Paris
2016 Dipingere, Cloître des Billettes, Paris 2012 Salon des Réalités Nouvelles, Paris
Centre Culturel des Jonquières, Paris Parcours de l’art, Avignon
2011 Galerie L’Inhumaine, Limoges 2011 Festival International EGO,
2009 JUN Gallery, New York Musée Beaux-Arts, Cherkasy Ukraine
Galerie du Crous Beaux-Arts, Paris 2008 Peintures, APACC, Montreuil
2006 Centre d’Arts Plastiques Albert Chanot, Clamart 4 Z’arts,
2005 Galerie Guigon, Paris Centre d’arts plastiques Albert Chanot, Clamart
2004 Galerie du Crous Beaux-Arts, Paris Grand Prix de peinture de Saint-Grégoire, Rennes
2003 Médiathèque Alexandre Dumas, Villers-Cotterêts 2007 Color, Broadway Gallery, New York
2001 Espace Libre Montparnasse, Paris Next Art Gallery, Cortona, Italie
2000 Cloître des Billettes, Paris 2006 Novembre à Vitry, prix de peinture, Vitry-sur-Seine
Face à face, ateliers de la Source, Villarceaux
Expositions collectives (sélection) 2005 Novembre à Vitry, prix de peinture Vitry-sur-Seine
2019 Chaos, Salon de Sèvres Festival egO,
2018 FIAAC en Pouilly, Pouilly-sur-Loire Musée d’Art Moderne Medellìn, Colombie
Cloître des Billettes, Paris 2004 Galerie Guigon, Paris
Salon des Réalités Nouvelles, Parc Floral, Paris Prix de peinture Antoine Marin, Arcueil
Ministère de la Culture, Paris 2003 Extra-Muros, Espace 148, Alfortville
2017 Puls’art, Le Mans 2002 Végétal, Château d’Oléron
2016 macparis, Paris 2001 Découvertes, Galerie Phal, Paris
Corps & graphie, Rotonde du Sel, Sèvres Salon de Montrouge
Ex-Natura, Mezzanine de l’Hôtel de Ville, Sèvres
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Sans titre, 2018
peinture acrylique sur toile, 130 x 100cm
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Sans titre (diptyque), 2019
peinture acrylique sur toile, 162 x 260 cm
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Sans titre, 2018
peinture acrylique sur toile, 200 x 180cm
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Élodie Boutry
Née à Évreux, en 1982
Vit et travaille entre Paris et la Normandie
www.elodieboutry.com
elodieboutry@yahoo.fr
Diplômée de l’École régionale des Beaux-Arts de Rouen, 2005
Élodie Boutry a pour discipline de référence la peinture qu’elle applique en motifs abstraits : rayures, cercles, pois... Elle fixe
avec précision une règle du jeu comme protocole de création, qu’elle s’amuse à contourner pour donner vie à ses sculptures.
Expositions personnelles récentes
2019 Archipel, 3CHA, Châteaugiron, Bretagne
2018 Même pas peur – Cosmicisme #2, Le Volume, Vern-sur-Seiche
2017 Cosmicisme, Pile-Pont-Expo, Saint-Gervais-les-Bains
2016 Colors in the Barn, Tourny
PANORAMA, Horizons “Arts-Nature” en Sancy, La Roche Nité, Valbeleix
2015 L’Art dans les Chapelles, Saint Tugdual, Quistinic
2014 Élodie Boutry, Chez Marion Vidal, Paris
L’Art dans les Chapelles, Saint Tugdual, Quistinic
2013 Sauvage, Cheongju Art Studio, Corée-du-Sud
That’d be just Tippy Tops... And with a twist of colors, if you please... Old boy !, 2Angles, Flers
Expositions collectives récentes (sélection)
2020 Parcours de sculptures, Évreux
2019 Musée d’art contemporain CMOA, Cheongju, Corée-du-Sud
Le Jardin des Arts, Châteaubourg
2018 Mon Beau Sapin, Atelier Aubry/Yano, Lille
15 ans, 2Angles, Flers
Aux Bords des Paysages #3, Le grand Pic Saint-Loup, Col de Fambétou et route du Triadou
10ans déjà, Galerie Réjane Louin, Locquirec
Cité idéale #1, Abbaye royale de Fontevraud
Grand Air, Saumur
The Way through The Color, Gallery Son, Tongyeong, Corée-du-Sud
2017 La peinture s’installe, Centre d’art Rosa Bonheur, Chevilly-Larue
macparis automne, Paris
The Way trough Color, Galerie Uhn, Séoul, Corée-du-Sud
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Cocotte #1, 2015
papier, peinture acrylique et crayon de couleur, environ 50 x 55 x 30 cm
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Fragments N°8 – Sous-Boi, 2019
peinture acrylique et crayon de couleur sur bois, 24 x 30 cm
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Cocotte #5, 2017
papier, peinture acrylique et crayon de couleur, environ 70 x 55 x 30 cm
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Vincent Creuzeau
Né à Paris, en 1958
Vit et travaille à Wissous
vincent.creuzeau@ hotmail.fr
Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris
Enseigne à l’École d’Arts de Fresnes
Crédit : Jean-Claude Planchet
Expositions personnelles Foires
2015 MACC, Fresnes 2015 Karlsruhe
2012 La Blanchisserie Boulogne-Billancourt 1997 Gand, Galerie Zurcher
2008 L’Atelier Blanc, Villefranche-de-Rouergue 1997 FIAC, Galerie Zurcher
1996 Galerie Zurcher, Paris
1995 Hôtel du Département de Vendée, Salons
La Roche-sur-Yon 1988 Montrouge
1992 Galerie Valleix 1985 Montrouge
1991 Galerie Valleix 1981 Germinations, Biennale Paris-Berlin,
Centre d’art Camille-Lambert, Juvisy-sur-Orge commissariat Georges Boudaille
Expositions collectives Musées
2014 Espace Charlotte Norberg 1985 Montrouge
2015 MACC, Fresnes 1983 Montrouge
2016 Galerie Brun-Léglise, Paris 1980 Musée des Arts Décoratifs
Poser – Déposer, Paris
2012 20 ans de la MACC, Fresnes
2009 Connivence, Espace Eugène Beaudouin, Antony
2005 Orangerie du Sénat, Paris
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Sans titre, 2019
huile sur toile, 18 x 12 cm
Crédit : Jean-Claude Planchet
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Sans titre, 2019
huile sur toile, 23 x 19 cm
Crédit : Jean-Claude Planchet
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Sans titre, 2019
huile sur toile, 25 x 20 cm
Crédit : Jean-Claude Planchet
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Soumisha Dauthel
Née à Saint-Raphaël, en 1960
Vit et travaille à Paris
soumishadauthel.com
www.instagram.com/soumishadauthel
www.soumishadauthel.com
Master Art – Recherche, Paris Sorbonne I, 2013
Licence Arts Plastiques, Paris Sorbonne I, 2013
Membre de la Casa Velázquez – Peinture, 1985-1986
Licence Lettres modernes et Art, Aix en Provence, 1980
Institut des Études Politiques, Aix en Provence, 1978
Expositions personnelles 2014 Espace privé, Reims
2019 Valerius Art Gallery, Luxembourg 2012 Art en Capital - Salon du dessin, Paris
G/ART/EN - Art Gallery, Côme, Italie 1994 Chapelle de l’ancien hôpital, Tonnerre
Galerie Luc Berthier, Paris 1993 Galerie Toner, Paris
2016 Galerie HCE - Cour Intérieure, Saint-Denis 1990 Artistes à Suivre,
1988 Passages, Centre d’Art Contemporain, Troyes École Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Paris
1987 Galerie Novart, Madrid, Espagne Centre d’Art Contemporain - Maison Cantoisel,
1986 Centre Culturel – Installation, Troyes Joigny
1985 Passages, Centre d’Art Contemporain, Troyes 1988 Galerie Diart, Madrid, Espagne
Expositions collectives Publications
2018 Valerius Gallery, Luxembourg Biennal Edition Art Habens, mars 2019
macparis automne, Paris Aesthetica Magazine, février-mars 2019
2018 21e Exposition Internationale YNGSPC, Interview par Kate Mothes, 2018
Woman made Gallery, Chicago, USA ARTIT - Revue numérique, décembre 2018
Il est interdit d’interdire, Château de Saint-Auvent Georges Quidet, texte de l’exposition à la Galerie HCE -
2017 Oh my dog, Galerie 3W, Reims Cour Intérieure, 2016
2015 Art Olympia, Ō-shima Écomusée, Tokyo, Japon Louis Doucet - Subjectiles VI - Essais critiques, 2015
2014 Journées du patrimoine européen, Marc Pierret, L’Atelier Cantoisel 1981-2001, 2001
Église Saint-Gilles, Étampes Jean-Pierre Thiébaut, revue Eighty, 1990
Le masque dans tous ses états, Roger Balboni, catalogue de l’exposition, Passages,
Château de Saint-Auvent Centre d’Art Contemporain, Troyes, 1988
Travaux sur papier NYCIII,
Galerie Jeffrey Leder, New York, USA
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My thoughts of you, 2019
peintures assemblées, 170 x 100 cm
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Witchcraft, 2019
peintures assemblées, 140 x 90 cm
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Open up, 2019
peintures assemblées, 220 x 110 cm
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Maëlle Labussière
Née à Antony, en 1966
Vit et travaille à Alfortville
maellelabussiere@orange.fr
Diplômée de l’École Nationale Supérieur des Beaux-Arts de Paris, 1991
Enseigne à l’École d’Arts de Fresnes
Expositions personnelles 2017 Simple Action, Gallery Choi,
2018 En Combinaison, Galerie Axelle Gaussen, La Rochelle en duo avec Taekwan Oh, Séoul
2017 Sans Façon, Galerie Réjane Louin, Locquirec Échec et Mat, avec Pierre Corthay,
2014 Travaux de ville, MACC, Fresnes invitation Moments Artistiques de Christian Aubert, Paris
Supervue, à l’invitation de la Galerie AL/MA, 2016 macparis printemps, Paris
Hôtel Burrhus, Vaison-la-Romaine Galerie Axelle Gaussen, avec C. Briand-Picard,
3 Days in Paris, Galerie Réjane Louin, V. Selleret, G. Goutal, La Rochelle
à l’invitation de la Galerie Polaris 2015 Trois, avec E. Boutry et L. Papouin, à l’invitation
2012 À la ligne, Galerie Laure Roynette, Paris d’A. & L. Doucet, Galerie O. Nouvellet, Paris
Bande à part, Galerie Réjane Louin, Locquirec Repeat Please !, Galerie Réjane Louin, Locquirec
2011 Quant au Livre, Galerie Martainville, Corpssproc, carte blanche à Annick & Louis Doucet,
École Régionale des Beaux-Arts de Rouen Fondation Zervos, Vézelay
2010 Galerie AL/MA, Montpellier Identité de Genre, à l’invitation de Camille Pontailler,
2009 Galerie AL/MA, Montpellier Galerie Art Cade, Marseille
Galerie Réjane Louin, Locquirec 2014 Rencontre n°43, avec Annie-Paule Thorel
2006 Galerie AL/MA, Montpellier et Soizic Stokvis, La Vigie, Nîmes
2005 Galerie Corinne Caminade, Paris Regard sur la jeune Abstraction contemporaine,
Moments Artistiques, invitation de Christian Aubert, Paris Galerie le Corbusier, Trappes
2003 Galerie Corinne Caminade Du mot à l’image au mot, Maison de la poésie, Guyancourt
2002 Galerie AL/MA, Montpellier 2013 Où est passée la peinture ?, Fontenay-sous-Bois
2001 Galerie Corinne Caminade, Paris Le Geste et la Couleur, École d’art Gérard Jacot,
La Galerue, Fontenay-sous-Bois hors les murs du 19, CRAC, Montbéliard
1999 Galerie Corinne Caminade, Paris 2012 Atmosphère de Transformation, Espace JFP, Paris
1998 L’art dans les Chapelles, chapelle Saint-Tugdual, Quistinic 2011 Le Papier à l’œuvre, Cabinet d’Arts Graphiques,
1995 Galerie du Forum Saint-Eustache, salle de la Chapelle, musée du Louvre, Paris
présentée par Jan Voss, Paris 2010 Œuvres récentes, galerie Réjane Louin, Locquirec,
À voir de près ou de Louin, Galerie Réjane Louin,
Expositions collectives récentes (sélection) Locquirec
2018 10 ans, Galerie Réjane Louin 2009 Un cabinet de dessins, Galerie Réjane Louin, Locquirec
L, Château de Rentilly, Frac Île-de-France 2008 Qui a peur de la couleur?, Frac Haute-Normandie,
Sotteville-lès-Rouen
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Table de travail, 2019
encre sur papier, 50 x 65 cm
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Plié déplié, 2014
encre sur intissé, vue d’atelier
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Plié déplié, 2014
encre sur intissé, 80 x 80 cm
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Dominique Liquois
Née à Talence, en 1957
Vit et travaille à Paris
www.dominiqueliquois.com
contactable via son site Internet
Tôt dans son parcours, Dominique Liquois appréhende l’art comme une ouverture sur un espace d’expérimentations et de
réflexions. Pendant ses études universitaires, elle s’intéresse à l’art contemporain d’Amérique Latine et devient membre d’un
collectif d’artistes qui, à Mexico, réalisent des performances multimédia.
C’est quand elle découvre l’abstraction américaine que la peinture concentre désormais toute son attention. Puis d’autres
techniques ou matériaux comme le tissu imprimé, les objets ou la céramique, entrent peu à peu en dialogue avec la peinture.
Sa pratique est guidée par des intérêts multiples allant des sciences naturelles aux expressions artistiques populaires, à l’art
décoratif, tout cela se joignant dans diverses tentatives formelles pour exprimer la complexité instable et fragile du vivant.
Depuis 1990 elle participe à de nombreuses expositions, notamment à la galerie Jean Fournier, à la MACC de Fresnes, au
Frac-Auvergne, au Dix-neuf Centre régional d’art contemporain de Montbéliard, à l’H du Siège à Valenciennes, à la Vigie
Centre d’art de Nîmes, à la BAT, Offramp Gallery, Pasadena, à la galerie Pascal Gabert.
De 2004 à 2010, elle travaille à des sérigraphies originales dans l’atelier d’Éric Seydoux qui présente son travail dans plusieurs
foires, comme la FIAC et Art Paris.
Certaines de ses œuvres font partie de collections privées et de la collection du Frac-Auvergne
Expositions récentes (sélection)
2018 Collectionner, le désir inachevé, Musée des Beaux-Arts d’Angers
2018 Univers Insulaires – Dominique Liquois, Orangerie du Château de Sucy-en-Brie
2015 O’en couleur – D. Liquois, J. Jouannais, Collégiale Sainte-Croix, Loudun
2014 BAT, Offramp Gallery, Pasadena, USA
2013 20 ans de la MACC, Fresnes
L’autre, EAC Camille-Lambert, Juvisy-sur-Orge
2012 Sous l’Amazone coule un fleuve, 40 artistes de la collection Frac Auvergne
2011 Dominique Liquois, Conflicto Barocco, EAC Camille-Lambert, Juvisy-sur-Orge
2010 Transfrontaliers, le Dix-neuf, Centre régional d’art contemporain, Montbéliard
Le temps vers, Yves Klein Archives, Paris
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L’oiseau de feu, 2019
peinture acrylique sur toile, 100 x 65 cm
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Oiseaux déguisés 3, 2018
peinture acrylique sur toile, 46,5 x 55 cm
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Oiseaux déguisés 8, 2018
peinture acrylique sur toile, 100 x 100 cm
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Matthieu Pilaud
Né à Annecy, en 1981
Vit et travaille à Ivry-sur-Seine
matthieupilaud.com
mpilaud@gmail.com
Matthieu Pilaud, développe majoritairement une pratique d’œuvres monumentales in situ. Ses différentes résidences (3bisf,
Aix-en-Provence ; 2Angles, Normandie ; Ateliers Silex, Québec ; Domaine de Kerguéhennec, Bretagne...) ou expositions
(Vent des Forêts, Les Hortillonnages d’Amiens, L’art dans les Chapelles...) qu’il a réalisées sont toutes le produit de rapports dyna-
miques et sensibles avec le lieu. Ses œuvres sont, par leur processus de réalisation et le contexte dans lequel elles s’inscrivent,
des tentatives d’élaboration de formes hybrides liées au végétal, à l’animal, à la forme organique et scientifique.
Il tente, également à travers des pièces comme les Encorbellements, le Carré des âmes ou encore Turbin, de convoquer les sens et
l’instinct joueur du spectateur et d’essayer, tout en respectant des règles et un protocole de construction précis, d’amener le
public, à la manière d’un enfant, d’être acteur de son imaginaire. Ainsi, les formes sont souvent traversables, parfois prati-
cables, habitables... Elles impliquent fréquemment le corps, l’expérience personnelle.
Il a aussi participé à plusieurs expositions internationales, notamment à l’institut d’architecture KRVIA, à Mumbai en Inde,
au SKC pour Hybrid Object, à Belgrade, en Serbie, au Xcoma, lors de Wood & Fire, à Xi’an, en Chine, et aux Ateliers Silex pour
Faufilage au Talweg à Trois-Rivères, au Québec.
Récemment il a eu une exposition personnelle au 3bisF, centre d’art d’Aix-en-Provence.
De plus, depuis 2013, il contribue à un projet autour d’un manège itinérant et praticable pour l’espace public avec le collectif
des Fondeurs de Roue.
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Fascia, 2017
bois, cuir et sandows, 450 x 400 x 260 cm
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Cerf-volant, 2018
Placage de chêne, 350 x 150 x 120 cm
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Selfies, 2019
cuir, dimensionsVariables
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Serge Saunière
Né à La Grand’Combe, en 1947
Vit et travaille à Pontault-Combault
sauniere.serge@gmail.com
Études d’arts plastiques à l’École Nationale des Beaux-Arts de Paris, 1972
A enseigné à l’École d’Architecture de Versailles, 1999-2012
Expositions personnelles (depuis 2010) 2015 Art en Capital – Comparaisons, Paris
2018 Maison des Arts, Bages-d’Aude Scènes d’estampe, Château du Val Fleury,
2017 Galerie 48, Lyon Gif-sur-Yvette
Prieuré Saint-Vincent, Chartres Scènes d’estampe, Mairie du Ve arrondissement, Paris
2016 macparis, Paris Cap sur les Arts, Perros-Guirec (invité d’honneur)
2014 macparis, Paris Théâtre Charles Dullin, Grand Quevilly
2013 Ondes Parallèles, Musée d’Art et d’histoire, Meudon (invité d’honneur)
Médiathèque, Meudon la Forêt 2014 Salon des Beaux-Arts, Hôtel de Ville de Garches
(avec Bertrand Creac’h, sculpteur) (invité d’honneur)
Victoria’s Gallery, Paris Galerie Art Aujourd’hui, Paris
(avec Bertrand Creac’h, sculpteur) Salon des Réalités Nouvelles, Paris
Galerie Terres d’Écritures, Grignan Réalités Nouvelles Hors les Murs, Pékin
(signature avec Charles Juliet) Art en Capital – Comparaisons, Paris
2012 Victoria’s Gallery, Paris Takamatsu, Japon
2011 Centre d’Arts Plastiques Albert Chanot, Clamart Mosaïques, Pont-Sainte-Marie
(avec Daniel Lacomme ) 2013 Art en Capital – Comparaisons, Paris
2010 Galerie Ka & Nao, Grenoble Galerie Schwab, Carte blanche à
macparis, Paris Christian Noorbergen
2012 [GAUTIER&Co] – Regard sur une collection,
Expositions collectives (depuis 2010) Centre d’art Albert Chanot, Clamart
2018 Musée de l’Archerie et du Valois, Crépy-en-Valois 2011 Un souffle venu d’Asie, Abbaye de Beaulieu
2017 Salon 49Regards, Trézé 2010 20 ans Éditions Voix d’Encre,
Manif Estampe Collection [GAUTIER&Co], Paris Bibliothèque d’études et d’information, Grenoble
2016 Salon 49Regards, Trézé
Entre blanc et noir, Galerie Art Aujourd’hui, Paris
Multiples – Collection [GAUTIER&Co],
Les Moyens du Bord, Morlaix
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Sans titre, 2016
peinture acrylique sur toile de lin, 162 x 130 cm
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Sans titre, 2016
peinture acrylique sur toile de lin, 195 x 130 cm
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Sans titre, 2016
encre sur papier extrême-oriental, 43 x 43 cm
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L’Espace d’art Chaillioux Fresnes 94
Histoire
L’Espace d’art Chaillioux Fresnes 94 est un équipement communal de la ville de Fresnes hébergé dans le bâ-
timent qui accueille aussi l’école d’art(s) municipale. Il doit son nom à la famille Chaillioux, qui a joué un rôle
important dans la vie de Fresnes et, plus spécifiquement à Laurence Chaillioux qui a légué, en 1987, des biens
immobiliers à la ville pour l’ouverture d’un musée ou d’un centre d’art. Il a ouvert, dans sa forme actuelle, en
avril 2018. Sa gestion est assurée par la commune de Fresnes.
Missions
L’Espace d’art Chaillioux Fresnes 94 a vocation de présenter toutes les formes d’expression plastique con-
temporaine : peinture, dessin, gravure, sculpture, photographie, vidéo, installation, performance… Il organise de
4 à 6 expositions annuelles, dans chacun des deux espaces.
L’Espace d’art Chaillioux Fresnes 94 attache une importance essentielle à la médiation auprès de tous les pu-
blics, scolaires notamment, de Fresnes et du Val-de-Marne, en organisant des événements, conférences et visites
commentées à destination de ces publics.
Programmation
La programmation de l’Espace d’art Chaillioux Fresnes 94 est assurée bénévolement par un comité composé
comme suit :
la maire de Fresnes ou son/sa représentant(e) :
un représentant de l’association sans but lucratif mac2000, organisatrice des manifestations bisannuelles
macparis, soutenue par le Ministère de la Culture, l’Adagp, Société des Auteurs dans les Arts Gra-
phiques et Plastiques, et quelques mécènes privés ;
un représentant de l’association sans but lucratif Cynorrhodon – FALDAC pour la promotion de la
création plastique contemporaine ;
un représentant de l’école d’art(s) de Fresnes ;
deux ou trois personnes cooptées pour leurs compétences en matière de création plastique contempo-
raine.
Le commissariat des expositions est assuré bénévolement par Hervé Bourdin, artiste plasticien fresnois, président
de mac2000, et par Louis Doucet, membre de C-E-A (Commissaires d’Exposition Associés) / Association fran-
çaise des commissaires d’exposition, président de Cynorrhodon – FALDAC.
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www.art-fresnes94.fr
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