Into tHE WooDS - 2e Bureau

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Into tHE WooDS - 2e Bureau
Une exposition du 26 janvier
au 17 mars 2012
à la Galerie des Galeries

Into
the
woods
Laëtitia Badaut Haussmann
Sophie Bueno-Boutellier
Susan Collis
Marcelline Delbecq
Mimosa Echard
Alicja Kwade
Maria Loboda
Anne Laure Sacriste
Iris Van Dongen
Jessica Warboys
Anne Wenzel
Commissaire : Daria de Beauvais

              La Galerie des Galeries
              Galeries Lafayette
              40 boulevard Haussmann, 75009 Paris
Into tHE WooDS - 2e Bureau
Into the Woods
Du 26 janvier au 17 mars 2012               « Into the Woods » propose, entre romantisme contemporain et minimalisme
Vernissage le mercredi                      saturnien, une expérience esthétique mystérieuse. Imaginée comme
25 janvier 2012                             une promenade en forêt, cette exposition esquisse à travers le travail
                                            de onze artistes femmes, un paysage mental fantasmagorique. Peinture,
La Galerie des Galeries présente            sculpture, dessin, vidéo, œuvre sonore ou installation, les techniques
l’exposition « Into the Woods »,            employées sont multiples et amorcent un parcours énigmatique.
imaginée par Daria de Beauvais.             Réminiscences de contes de fées ou folklore sylvestre sont convoqués
                                            en filigrane et les œuvres surgissent comme des incantations.
Avec Laëtitia Badaut Haussmann,             Leur apparente obscurité offre de multiples passages dans des univers
Sophie Bueno-Boutellier,                    parallèles, où l’ensorcellement nous attend. Entre des semblants de rituels,
Susan Collis, Marcelline Delbecq,           un cabinet d’œuvres au noir et une dernière note alchimique, le visiteur
Mimosa Echard, Alicja Kwade,                se perd pour mieux se retrouver lui-même.
Maria Loboda, Anne Laure Sacriste,
Iris Van Dongen, Jessica Warboys,           Dans le cadre de cette exposition, un catalogue sera édité ainsi qu’une
Anne Wenzel.                                gravure en tirage limité, numérotée et signée par Anne Laure Sacriste.
                                            Ils seront mis en vente dès la mi-février à la librairie de la Galerie
                                            des Galeries et sur le site Internet de l’éditeur Bernard Chauveau
                                            (www.bernardchauveau-editeur.com).

                                            Née en 1977, Daria de Beauvais est actuellement curatrice au Palais
                                            de Tokyo. Elle mène en parallèle des activités de commissaire d’exposition
                                            indépendante, assurant entre autres la programmation de la Galerie
                                            Saint-Séverin à Paris.

Iris Van Dongen
« Into the Woods (After Bilibin) », 2004.
Courtesy Galerie Bugada & Cargnel, Paris.

                                            Contacts Presse :
La Galerie des Galeries                     Galerie des Galeries                    2e bureau
Galeries Lafayette                          Elsa Janssen, directrice                T: + 33 (0) 1 42 33 93 18
1er étage                                   T: +33 (0) 1 42 82 30 90                Caroline Comte
40 boulevard Haussmann,                     ejanssen@galerieslafayette.com          c.comte@2e-bureau.com
75009 Paris                                                                         Marie-Laure Girardon
-                                           Laurène Blottière,                      m.girardon@2e-bureau.com
Du mardi au samedi de 11 h à 19 h           chargée de la communication
Entrée libre                                et des publics
-                                           T: +33 (0) 01 42 82 35 76
T: + 33 (0) 1 42 82 81 98                   lblottiere@galerieslafayette.com
galeriedesgaleries@galerieslafayette.com
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« Could you be mine », 2010.
Résine, poudre de bronze, poudre d’or. 150 x 50 x 70 cm.
Courtesy de l’artiste et galerie Dohyang Lee, Paris.

laetitia badaut haussmann
Née en 1980 à Paris,                                 Exposition personnelle          Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Paris.
                                                     2011                            2011
Laetitia Badaut Haussmann raconte                    – « Working Backwards »,       – « C’est ainsi que finit le monde,
des histoires, s’inscrivant toujours                    Galerie Dohyang Lee, Paris      pas sur un bang, sur un murmure »,
dans le contexte plus général                                                           Transpalette, Bourges
de l’Histoire. Ses œuvres proposent
des scenarii élaborés qui prennent,                                                  2010
suivant le contexte, différentes                                                     – « Dynasty », Musée d’Art Moderne
formes : de la photo à la sculpture,                                                    de la ville de Paris et Palais de
de la vidéo à l’œuvre sonore.                                                           Tokyo, Paris
Le réel et de la fiction ne cessent                                                  – 55e Salon de Montrouge
de dialoguer, alors que la poésie
fait office d’arbitre entre les deux.                                                2009
L’artiste puise dans la littérature                                                  – « One day I will be a star »,
et le cinéma, qui forment un terreau                                                    Maison du livre, de l’image et
fertile, entrechoquant par la suite                                                     du son, Villeurbanne
différentes temporalités, construisant
des récits en négatifs.                                                              2006
                                                                                     – La Force de l’Art 01,
                                                                                        Grand Palais, Paris
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« The full moon’s meditation », 2010.
Laiton, feutre, boules de boue. 100 x 110 cm.
Courtesy Galerie Circus, Berlin.

SOPHIE BUENO-BOUTELLIER
Née en 1974 à Toulouse,                         Expositions personnelles (sélection)    Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Berlin.
                                                2011                                    2011
Le travail de Sophie Bueno-                     – « Rive Gauche », Kunstverein         – « There are two sides to every
Boutellier est autant influencé par                Langenhagen, Langenhagen                coin, and two sides to your face »,
la spiritualité que par la science.                                                        Galerie Xippas, Paris
L’artiste opère par petites touches             2010                                    – « Lumière noire », Staatliche
d’intuition, sous forme de narration            – « Les Adorateurs des Bêtes »,           Kunsthalle, Karlsruhe
codée, le sublime étant souvent                    Circus, Berlin
présent à travers des actions et                                                        2010
des matériaux très simples. Chaque              2009                                    – « HIC-l’exposition de La Forme
œuvre est polysémique et cherche                – « A knock on the window pane »,         des Idées », Villa Arson, Nice
à transmettre un message sensoriel.               Galerie Carlos Cardenas, Paris
À travers une association                                                               2009
de matériaux quasi alchimique,                  2008                                    – « L’image cabrée », 11e Prix Ricard,
un aspect à première vue très                   – « Oursin fossile », Present Future      Fondation d’entreprise Ricard,
minimal et une gestuelle artisanale,               Artissima, Turin                        Paris
elle offre au regardeur une
expérience presque métaphysique.                2007                                    2005
                                                – « Lunar Odyssey », Beton-Salon,      – « Paris-Londres : le voyage
                                                   Museums Quartier, Vienne                intérieur », Espace Electra,
                                                                                           Fondation EDF, Paris
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« Untitled », 2008.
Balai en bois, opales, turquoises, grenats, perles grain de riz, nacre, diamants noirs, diamants blancs,
perles d’eau douce, corail, onyx noir, marcassite. 127,5 x 37 x 11 cm. Pièce unique.
Collection particulière, New York. Photo Cedrick Eymenier.
Courtesy Seventeen, Londres et galerie frank elbaz, Paris.

SUSAN COLLIS
Née en 1965 à Édimbourg (Écosse),                        Expositions personnelles (sélection)              Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Londres.
                                                         2011                                              2011
Susan Collis est une magicienne                          – « So it goes », Lora Reynolds                  – « Echos », Musée Nissim
du quotidien. Elle sauve de l’oubli                         Gallery, Austin, Texas                            de Camondo, Paris
les rebuts, les objets qui trainent
dans les coins, pour leur donner                         2010                                              2010
un supplément d’âme à base                               – « I don’t love you anymore »,                  – « Les compétences invisibles »,
de matériaux d’exception : essences                         galerie frank elbaz, Paris                        Maison Populaire, Montreuil
de bois rares, métaux et pierres                         – « Since I fell for you »,
précieux s’agrègent en toute                                Ikon Gallery, Birmingham                       2009
discrétion à un balai, un parquet                                                                          – « Apparently Invisible »,
ou une vis – afin d’imiter                               2009                                                 The Drawing Center, New York
les irrégularités, salissures et autres                  – «Twice removed »,                              – « At Your Service », The David
marques d’usure de ces objets.                              Espacio Minimo, Madrid                            Roberts Foundation, Londres
L’artiste rend visible l’invisible                       – « For all the things we thought
en créant un équilibre entre                                we’d love forever », Seventeen,                2007
l’ordinaire et l’extraordinaire,                            Londres                                        – « Out of the Ordinary »,
dichotomie à l’origine de tout                                                                                The Victoria and Albert Museum,
son travail.                                                                                                  Londres
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« Waiting for the rain », 2006-2007.
Impression numérique sur papier archival mat. 21,6 x 30 cm.
Courtesy de l’artiste.

MARCELLINE DELBECQ
Née en 1977 à Evreux,                                  Expositions personnelles (sélection)   Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Paris.
                                                       2009                                   2011
La pratique de Marcelline Delbecq                      – « Camera Obscura »,                 – « BeirutBazar », Beirut Art Center,
part d’une réflexion sur l’image qui                      Galerie Xippas, Paris                  Beyrouth
la guide ensuite vers l’écriture, sous                 – « Shadows », Chert Gallery,
forme d’excursions hors-champs                            Berlin                              2010
et de monologues intérieurs.                                                                  – « Philosophers and workers »,
Les potentialités cinématographiques                   2008                                      Skolkovo, Moscou
de l’écriture lui permettent de créer                  – « Daleko », Musée Zadkine,
des fictions perdues entre passé et                      Les Arques                           2009
présent. Sa voix évoque des visions                                                           – « Lapses », Fri Art Centre d’Art
chimériques, mettant en scène                          2007                                      Contemporain, Fribourg
des situations à la lisière de la fiction              – « Audio in the Elevator »,
et de la mémoire. Installations                          Art in General, New York             2008
sonores, photographies, films ou                                                              – « Persona », Parc-Saint Léger,
publications génèrent un territoire                    2006                                      Pougues-Les-Eaux
mental évanescent qui met chaque                       – « Ext.17 », Swiss Institute,
fois en jeu la question du regard.                        New York                            2007
Marcelline Delbecq présente                                                                   – « Airs de Paris »,
à l’occasion d’« Into the Woods »                                                                Centre Pompidou, Paris
une œuvre sonore dans le couloir
d’accès à la Galerie des Galeries.
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« Batman », 2010.
Série de 8 sculptures en grès émaillé.
Dimensions variables (environ 20 x 30 cm chaque).
Courtesy de l’artiste.

MIMOSA eCHARD
Né en 1986 à Alès,                                  Exposition personnelle          Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Paris.
                                                    2010                            2011
Mimosa Echard pratique le dessin                    – « Pour changer de forme »,   – « I’ve Zine the Darkness »,
et la sculpture, utilisant un vocabulaire              exposition de diplôme,          galerie Dieschönestadt, Halle
de formes simples voire archaïques                     Ensad, Paris                 – Salon d’art abstrait « Réalités
(bâton, grotte), mais aussi                                                            Nouvelles », Parc Floral de Paris
de personnages emblématiques
(Batman, Humpty Dumpty).                                                            2010
Elle construit un corpus d’œuvres                                                   – 8es Rencontres internationales
fonctionnant par séries, dialoguant                                                    de mosaïque, Chartres
les unes avec les autres, avec
quelques fils directeurs tel que                                                    2009
le cercle. À la fois étranges et                                                    – « Monbijou », Weißensee
humoristiques, à base de matériaux                                                     Kunsthochschule, Berlin
naturels (bois brûlé, céramique                                                     – « Hey, das ist mein Yogurt! »,
émaillée), les objets de Mimosa                                                        galerie WIR, Berlin
Echard apparaissent comme autant
de signaux rétro-futuristes.
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« Andere Bedingung (Aggregatzustand 6) », 2009.
Acier, cuivre, verre, miroir, fer, sept éléments.
Photo Roman März. Courtesy Johann König Gallery, Berlin.

ALICJA KWADE
Née en 1979 à Katowice (Pologne),                    Expositions personnelles (sélection)    Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Berlin.
                                                     2011                                    2010
Les œuvres d’Alicja Kwade souhaitent                 – « Alicja Kwade », Oldenburger        – « Wystawa », Museum of Modern Art,
conserver leur mystère et dévient                       Kunstverein, Oldenburg                  Varsovie
toute supposition qui pourrait être                                                          – « Silent Revolution », K21,
faite à leur sujet. D’un point de vue                2010                                       Düsseldorf
formel, elles semblent d’abord très                  – « Broken away from Common
minimalistes, mais l’artiste se plait                   Standpoints », Museion at            2009
à détourner, déformer ou multiplier                     Peep-Hole, Milan                     – « Spatial Works », Färgfabriken,
les objets usuels qu’elle utilise.                   – « Probleme massereicher Körper »,       Stockholm
Ses gestes sèment le doute et                           Westfälischer Kunstverein, Münster   – « Pragmatismus & Romantismus »,
l’ambigüité, créant une étrangeté                                                               Fondation d’Entreprise Ricard,
qu’on ressent dès le premier regard :                2009                                       Paris
la perception est souvent altérée,                   – « Grenzfälle fundamentaler
comme invitée à passer de l’autre                       Theorien »,                          2008
côté du miroir, là où les choses                        Galerie Johann König, Berlin         – « Endless Sphere »,
ne sont jamais tout à fait ce qu’elles                                                          Center of Contemporary Art, Kiev
devraient être.                                      2008
                                                     – « Von Explosionen zu Ikonen »,
                                                       Hamburger Bahnhof,
                                                       Museum für Gegenwart, Berlin
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« Ancient Art & Ritual », 2010.
Trois branches d’arbre (bambou, magnolia, olivier), chaîne en or.
Dimensions variables.
Courtesy galerie schleicher+lange, Paris/Berlin.

MARIA LOBODA
Née en 1979 à Cracovie (Pologne),                       Expositions personnelles (sélection)      Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Londres.
                                                        2011                                      2011
Tout en refusant la nostalgie,                          – « Dynamite Winter Palace »,            – « Based in Berlin », Hamburger
Maria Loboda s’intéresse beaucoup                         Galerie schleicher+lange, Paris            Bahnhof – Museum für Gegenwart,
aux héritages culturels du passé.                                                                    Berlin
Ses œuvres s’inspirent d’objets                         2010                                      – « Récits anamorphiques »,
obsolètes ou de sciences occultes,                      – « In the Autumn the Electricity           Frac Pays de la Loire, Carquefou
trouvant leurs origines dans                               withdraws into the Earth again
le folklore, le mysticisme ou                              and rests », Krome Gallery, Berlin     2010
la métaphysique. Peindre les murs                       – « New thoughts old forms »,            – « The Plurality of One »,
de la couleur de l’univers, officiellement                 Bielefelder Kunstverein, Bielefelder      Monitor Gallery, Rome
définie par des scientifiques ; offrir                  – « Degli Spirit/Other Activites »,
au regard un cryptogramme, dont                            IMO, Copenhague                        2009
le code est perdu depuis le Moyen                                                                 – « The Object of Attack »,
Âge ; transformer en sculpture                          2008                                         The David Roberts Art Foundation,
un alphabet fictionnel : l’artiste                      – « No Way Out », Anna Helwing              Londres
propose des énigmes à déchiffrer,                          Gallery, Los Angeles                   – « Heavens », 2e Biennale d’Athènes
voire des pièges à éviter.
Into tHE WooDS - 2e Bureau
« Reverse Island », 2010.
7 paravents, acrylique sur panneaux de bois, dimensions variables.
Vue d’installation, Musée d’Art Moderne de Saint-Étienne Métropole.
Photo Yves Bresson.
Courtesy de l’artiste.

ANNE LAURE SACRISTE
Née en 1970 à Paris,                                   Expositions personnelles (sélection)   Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Paris.
                                                       2010                                   2010
Figure du romantisme contemporain,                     – « Reverse Island »,                 – « Variations autour du ténébrisme »,
Anne Laure Sacriste travaille par                         Musée d’Art moderne, St Étienne        Micro-Onde, Vélizy-Villacoublay
séries à partir de l’idée de Nature                    – « Madame Duvauçay au miroir »,      – « Miroirs noirs »,
dans sa dimension la plus inquiétante.                    Galerie Saint-Séverin, Paris           Fondation d’Entreprise Ricard,
Ses peintures, gravures et dessins                     – « Et in Arcadia ego II »,              Paris
invitent au recueillement et à la                         Musée de la Roche-sur-Yon
contemplation, le regard se perdant                                                           2009
dans des étendues obscures ou                          2008                                   – « Memento Mori »,
iridescentes d’eau ou d’arbres.                        – « Paradis artificiels »,               FRAC Haute Normandie,
Baignant dans une atmosphère                              Chung King Project, Los Angeles        Sotteville-lès-Rouen
onirique, ses œuvres semblent être
l’insaisissable décor d’un rêve disparu.               2007                                   2008
Ces paysages restent en nous comme                     – « Disparition », Espace Art         - « Visions nocturnes », La Galerie,
une persistance rétinienne, un mystère                   Contemporain, La Rochelle               Noisy-le-Sec
entraperçu et impossible à oublier.
                                                                                              2007
                                                                                              – « L’île de Paradis »,
                                                                                                 Jeu de Paume, Paris
« Into the Woods (After Bilibin) », 2004.
Crayon, crayon gras, aquarelle, fusain sur papier. 210 x 150 cm.
Courtesy Galerie Bugada & Cargnel, Paris.

IRIS VAN DONGEN
Née en 1975 à Tilburg (Pays-Bas),                      Expositions personnelles (sélection)   Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Berlin.
                                                       2009                                   2010
Dans ses grands portraits au pastel                    – «The Curse of the Monk », Galerie   – « Get Behind Me and Push »,
et au fusain, Iris Van Dongen                             Bugada & Cargnel, Paris                Peres Projects, Berlin
s’inspire autant de l’histoire de l’art                - « Suspicious », Stedelijk Museum,   – « Arrivals and Departure_Europe »,
que des photos de mode, voire                             Schiedam                               Mole Vanvitelliana, Ancona
de l’esthétique des tatouages ou
du rock. Ses personnages féminins                      2008                                   2009
empruntent des poses dignes de top                     – «The Ejaculation of the Demon »,    – « Wall Rockets, Contemporary
models dans des contextes plus que                        The Breeder, Athènes                   Artists and Ed Ruscha »,
mystérieux, à la limite de l’au-delà.                  – «The Mistery Zone », Galerie           Albright Knox Museum, Buffalo
Ces héroïnes offrent au regard                            Diana Stigter, Amsterdam            – « Ophelia », Museum voor
des scènes chargées de symboles                                                                  Moderne Kunst, Arnhem
et de mélancolie, entre le merveilleux                 2005
et le rationnel ; elles apparaissent                   – « She’s The Night »,                2008
comme des abstractions, ou des                            Künstlerhaus Bethanien, Berlin      – « In the Shadows, Images of
personnages issus de la mythologie.                                                              the New Pop Romantism »,
                                                                                                 Kunstverein Wolfsburg, Wolfsburg
« Caves of light », 2007.
Super 8 transféré sur DVD, noir et blanc, son, 5’54,
musique originale Morten Halvorsen.
Courtesy Gaudel de Stampa, Paris.

JESSICA WARBOYS
Née en 1977 au Royaume-Uni,                            Expositions personnelles (sélection)   Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Londres et Paris.
                                                       2011                                   2011
Chacune des œuvres de Jessica                          – « Land & Sea », Le Crédac,          – « Au loin une île ! », Frac Aquitaine,
Warboys est à la fois un indice                           Ivry-sur-Seine                         Bordeaux
de ce qui sera et une relique de                       – « Te Motutapu a Taikehu »,          – «Tableaux », Le Magasin,
ce qui a été. Les avant-gardes                            BF15, Lyon                             Centre National d’Art
artistiques et les mythes fondateurs                                                             Contemporain, Grenoble
se croisent, le théâtre et l’architecture              2010
s’entrelacent, sous forme d’associations               – « Ballad of the Green Hoop »,       2010
d’idées et d’images. L’artiste met                        South London Gallery, Londres       – « Monsieur Miroir », 12e Prix Ricard,
en scène des rituels sous forme                                                                 Fondation d’Entreprise Ricard,
de poème, film, objet ou performance.                  2009                                     Paris
Des formes géométriques simples                        - « Parasol », Galerie Gaudel
sont à la fois des sculptures autonomes                   de Stampa, Paris                    2009
et des éléments de décor, résumant                                                            – 54e Salon d’art contemporain
parfaitement le crédo de l’artiste :                   2008                                      de Montrouge
tout est dans tout.                                    – « Le Chant du Rossignol »,
                                                          Fonderie Darling, Montréal          2008
                                                                                              – « Ne pas jouer avec des choses
                                                                                                 mortes », Villa Arson, Nice
« Untitled (Stag) », 2005.
Installation avec peinture murale, céramique vernissée, encre de Chine, 165 x 140x 170 cm.
Vue de l’exposition « Sweet Life », TENT, Rotterdam.
Collection S.M.A.K., Musée Municipal d’Art Contemporain, Gand (Belgique).

ANNE WENZEL
Née en 1972 à Schüttorf (Allemagne),                   Expositions personnelles (sélection)      Expositions collectives (sélection)
vit et travaille à Rotterdam.
                                                       2011                                      2011
Le désastre est une source                             – « Black White Gold »,                  – « Pearls of the North »,
d’inspiration primordiale pour                            De Nederlandsche Bank,                    Palais d’Iéna, Paris
Anne Wenzel. Catastrophes                                 Amsterdam
naturelles ou attentats lui fournissent                                                          2010
la matière de ses sculptures                           2010                                      – « Sydney Myer Fund Australian
de céramique noire, agrégats                           – « Requiem of Heroism »,                   Ceramic Art Award », Shepparton
de matière à la fois informes et                          Museum Boijmans van Beuningen,            Art Gallery, Shepparton
délicatement ciselés. Objets et                           Rotterdam
animaux semblent tout autant                                                                     2009
liquéfiés que calcinés ; monument                      2009                                      – « Desilusional Virtuosity »,
aux morts ou gibier agonisant                          – « Bright Solitude », Akinci Gallery,     Stedelijk Museum, Schiedam
apparaissent comme des décombres                          Amsterdam
d’un présent apocalyptique.                            – « Nocturne », Tatjana Pieters          2008
Ses œuvres sont des métaphores                            gallery, Gand                          – « Presentation Collection »,
de nos peurs individuelles,                                                                         S.M.A.K., Gand
et montrent que la réalité peut                        2008
dépasser nos pires cauchemars.                         – « This is what you want – this is      2007
                                                          what you get », Municipal Museum       – « Prix de Rome », Witte de With,
                                                          of Modern Art, Hertogenbosch              Rotterdam
Événement
                                       à venir :
                                       Sortie du catalogue
                                       de l’exposition
La Galerie des Galeries est un lieu    « Into the Woods »
d’exposition permanent. Située         Bernard Chauveau Éditeur
au 1er étage du Lafayette Coupole,     Mi-février 2012
la Galerie des Galeries a pour
ambition de faire découvrir
aux visiteurs des Galeries Lafayette
les talents d’aujourd’hui et de
demain. Constituée de quatre
expositions par an autour de
la création française et
internationale, sa programmation
cherche à mettre en valeur
la transversalité qui existe entre
la mode, les arts plastiques et
le design, disciplines qui inspirent
depuis toujours les Galeries
Lafayette.
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