Actualités Prép'art Paris Décembre 2017/Janvier/Février 2018
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Actualités Prép’art Paris Décembre 2017/Janvier/Février 2018 Nouvelles expositions : César Au Centre Pompidou jusqu’au 26 mars 2018 Il y a vingt ans mourait César, l’un des plus illustres et des plus méconnus artistes de son temps. Illustre, il l’avait été à l’âge de 25 ans, lorsque, « monté » à Paris en 1944, il avait mis au point sa technique des « fers soudés ». Méconnu, il l’était : la faconde et la manière d’être affichées en public cachaient une difficulté à se satisfaire des seules œuvres qui avaient fait son succès. Loin d’être l’homme des « Fers soudés », « Compressions », « Empreintes » et « Expansions », César était resté attaché à une idée de la sculpture peuplée d’un bestiaire et de figures humaines qu’il voulait à l’égal de celles des maîtres admirés. Moderne, César l’avait été à l’instar des Nouveaux Réalistes, rejoints en 1960. Inventif, guidé par la seule logique du matériau, attaché à incarner son temps, il rejouait son œuvre en gestes novateurs et décisifs qui firent sa notoriété. Obsession Marlène (Pierre Passebon collectionneur) A la M.E.P. jusqu’au 22 février 2018 Pierre Passebon, admirateur éclairé et insatiable collectionneur, a réuni aujourd’hui plus de deux-mille photographies de Marlene Dietrich, icône du XXe siècle incroyablement moderne et intemporelle. La MEP présente près de deux-cents photographies issues de cette imposante collection.
Degas Danse Dessin : Hommage à Degas avec Paul Valéry Au Musée d’Orsay jusqu’au 25 février 2018 A l'occasion du centenaire de sa mort, le musée d'Orsay rend hommage à Edgar Degas (1834- 1917) avec une exposition dont le fil conducteur est l'ouvrage méconnu de l’écrivain, poète et penseur Paul Valéry (1871-1945). L'amitié de plus de vingt ans de Degas et de Valéry a, en effet, donné lieu à un texte publié aux éditions Vollard en 1937, Degas Danse Dessin. Tout à la fois intime et universel, il offre une évocation poétique et fragmentaire de la personnalité du peintre et de son art, et comme une méditation sur la création. Constance Guisset Design, Actio ! Au Musée des Arts Décoratifs jusqu’au 11 mars 2018 Le musée des Arts décoratifs donne carte blanche à la designer et scénographe Constance Guisset pour une rétrospective consacrée à ses 10 années de création. « Constance Guisset Design, Actio ! » invite le visiteur à explorer l’univers de celle qui est devenue, en quelques années, une figure du design français.
La belle vie numérique A l’espace Fondation Edf jusqu’au 18 mars 2018 Depuis la fin des années 1980, le « numérique » a transformé irrémédiablement nos vies mais également la démarche artistique à travers le monde. L’exposition proposée par La Fondation Groupe EDF et le commissaire Fabrice Bousteau, tente de capter un instantané de notre époque insaisissable et questionne la scène artistique actuelle. Ian Kiaer : Endnote, tooth Au Musée d’Art Moderne de Paris jusqu’au 4 mars 2018 Endnote, tooth est un projet initié depuis plusieurs années par Ian Kiaer qui prend des formes diverses selon les occurrences et qui s’appuie sur les concepts utopistes de l’architecte Frederick Kiesler (1890- 1965). Celui-ci avait imaginé à la fin des années 40 un ensemble architectural non réalisé (rassemblant des espaces domestique, professionnel et de loisirs) en forme de dent humaine Tooth House. Poursuivant ici ses recherches autour des architectures modernistes, Ian Kiaer prend comme point d’ancrage le restaurant panoramique Monsanto construit sur les hauteurs de Lisbonne en 1968 par l’architecte Chaves da Costa. Cette construction se voulait l’emblème de la modernité vue par la dictature d’Estao Novo (Etat Nouveau portugais 1933-1974). Conçu comme un édifice de luxe et de domination, le bâtiment aujourd’hui abandonné est devenu un lieu à usage alternatif.
Sheila Hicks : Au-delà, 2017 Au Musée d’Art Moderne de Paris jusqu’au 1 juin 2018 Née en 1934 à Hastings, Nebraska, Sheila Hicks vit et travaille à Paris depuis 1964. Après avoir pratiqué la peinture, elle élargit son champ de création par l’utilisation de matières souples, en s’inspirant de l’art ancestral du textile. Enveloppées, tissées, brodées, nouées ou torsadées, ses œuvres, constituées de fibres naturelles et issues de recherches industrielles, oscillent entre dimension sculpturale, picturale et spatiale. Depuis 1956, elle s’intéresse au tissage des civilisations précolombiennes et applique leur structure très complexe à son propre langage artistique. Chaque création représente pour elle une expérience nouvelle et intense de la couleur, formant ainsi des associations infiniment poétiques. Globes. Architecture & sciences explorent le monde A la Cité de l’Architecture et du patrimoine jusqu’au 26 mars 2018 Voilà l’architecture présentée dans une très belle posture : un savoir et un métier à la croisée des arts et des sciences. « Globes. Architecture et sciences explorent le monde » montre comment les architectes furent acteurs de la découverte du monde, porteurs d’aspirations universelles, concepteurs de monuments du savoir. Comment ils inventèrent les premiers observatoires ou planétariums, ajustant leurs connaissances à celles des scientifiques pour relever un défi constructif : édifier de grands volumes sphériques. En 90 pièces majeures, l’exposition raconte l’épopée de bâtiments spectaculaires, porteurs d’un projet humaniste de conquête et de transmission du Savoir, et les aventures d’architectes au destin exceptionnel, tour à tour compagnons des scientifiques, utopistes à leur compte, comme C. N. Ledoux, metteurs en scène du Pouvoir comme aussi parfois inventeurs-bateleurs des Expositions universelles.
Patrice Chéreau : Mettre en scène l’opéra A la Bibliothèque-Musée de l’Opéra jusqu’au 3 mars 2018 Metteur en scène, cinéaste et acteur, Patrice Chéreau (1944-2013) a profondément marqué le paysage artistique de ces dernières décennies. Parallèlement à son travail théâtral, il se lance très tôt dans la mise en scène d’opéra. Après des débuts remarqués au Festival de Spolète et à l’Opéra de Paris, il s’impose sur la scène internationale à l’occasion du centenaire du Festival de Bayreuth, avec une production historique de la Tétralogie de Wagner dirigée par Pierre Boulez. À travers une centaine de documents issus des collections de la BnF, de l’IMEC et de collections privées (manuscrits, correspondance, dessins, maquettes, photographies…), l’exposition invite à explorer les processus de création mis en oeuvre pour l’opéra et interroge la spécificité du travail de Chéreau pour la scène lyrique : direction des chanteurs, dialogue avec les chefs d’orchestre, concepteurs lumières et costumes. Elle confronte aussi les diverses influences artistiques qui sous-tendent le choix des décors, conçus avec le scénographe Richard Peduzzi comme de véritables agents du drame en train de se jouer. Inventons la métropole du Grand Paris Au Pavillon de l’Arsenal exposition jusqu’au 4 mars 2018 800 m2 consacrés au Grand Paris avec plans et maquettes.
Effets spéciaux : Crevez l’écran ! A la Cité de l’Industrie exposition jusqu’au 19 août 2018 Sous la direction de Réjane Hamus-Vallée, maître de conférences à l’université d’Évry Val d’Essonne, centre Pierre Naville, et membre du comité scientifique de l’exposition. Les trucages de cinéma sont aussi vieux que le cinéma lui-même. L’essor des technologies numériques a contribué ces trente dernières années à donner aux effets spéciaux leurs lettres de noblesse. Des « films à trucs » du magicien Georges Méliès à la surenchère visuelle des productions contemporaines, les effets réussis se ressentent, mais ne se voient pas. Procédés optiques et dessinés, prothèses transformant le visage des acteurs, panoplies costumées, animatroniques de monstres, effets visuels décoiffants, effets sonores fabriqués, la gamme des illusions et artifices utilisés dans le cinéma est très large. Quelles sont les techniques employées ? Quels étaient les procédés utilisés dans les débuts du cinéma ? Quelle place ont pris aujourd’hui ces effets spéciaux dans la chaîne de production d’un film ? Comment les acteurs les ressentent-ils et comment les spectateurs les perçoivent-ils ? Les Faits du hasard : arts numériques Au 104 jusqu’au 4 mars 2018 Accidents artistiques intentionnels et relecture poétique d’une société technologique perçue à l’heure du numérique sont au cœur de la prochaine exposition centrale de la Biennale internationale des arts numériques au CENTQUATRE-PARIS, Les Faits du hasard. Une façon pour l’homme de reprendre la main sur la machine ?
Expositions toujours d’actualité : André Derain 1904-1914. La décennie radicale Au Centre Pompidou du 4 octobre 2017 au 29 janvier 2018 Le Centre Pompidou présente André Derain 1904 - 1914. La décennie radicale, un nouveau regard porté sur l’œuvre de cet artiste majeur du 20e siècle, avec pour ambition de retracer les étapes du parcours de l’artiste avant-guerre, moment où le peintre participe aux mouvements d’avant-garde les plus radicaux. Quelques ensembles exceptionnels sont réunis pour l’exposition : la production estivale de 1905 à Collioure, la série des vues de Londres et les très grandes compositions autour des thèmes de la danse et des baigneuses. L’art d’André Derain n’a pas donné lieu à de grandes monographies depuis la rétrospective que le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris a consacré à son œuvre en 1994, soit depuis plus de vingt ans. Ce peintre français a joué un rôle moteur et intellectuel dans l’éclosion des deux grandes avant- gardes du début du 20e siècle, le fauvisme et le cubisme. Etranger résident : la collection Marin Karmitz A la Maison Rouge du 15 octobre 2017 au 21 janvier 2018 Cette collection, patiemment réalisée depuis une trentaine d’années, est la dernière réalisation et production de cet homme plus connu pour les films qu’il a aidé à mettre au monde et pour les salles de cinéma MK2 qui ont transformé les quartiers de Paris où elles se sont implantées. Ayant commencé sa carrière comme cinéaste, c’est en cinéaste qu’il a imaginé la présentation des centaines de photographies, tableaux, sculptures, dessins, vidéos exposés à cette occasion. L’exposition est un scénario qui entremêle plusieurs histoires. Comme toute collection, celle-ci forme un autoportrait en creux du collectionneur, chaque œuvre nous en dit un peu plus sur ses centres d’intérêts, convergents ou divergents en apparence.
Albert Renger-Patzsch : Les choses Au Jeu de Paume du 17 octobre 2017 au 21 janvier 2018 Indépendamment du rôle qu’il joua dans la Nouvelle Objectivité – mouvement artistique apparu en Allemagne au début des années 1920 –, Albert Renger-Patzsch (1897-1966) est aujourd’hui considéré comme l’une des figures les plus importantes et les plus influentes de l’histoire de la photographie du XXe siècle. L’exposition rend hommage à ce photographe hors norme et permet de redécouvrir la postérité d’une œuvre qui nous invite à réfléchir sur la nature de la photographie et sur son potentiel artistique et spéculatif dans le contexte de l’art et de la culture contemporaine. D’une simplicité et d’une originalité extrêmes, la photographie de Renger- Patzsch a ceci de particulier qu’elle repose sur un style documentaire privilégiant la sobriété et l’immédiateté du réalisme, qui, pour lui, sont des caractéristiques fondamentales de la représentation photographique. Dada Africa, sources et influences extra-occidentales Au Musée de l’Orangerie du 18 Octobre 2017 au 19 février 2018 Dada, mouvement artistique foisonnant et subversif, naît à Zurich pendant la Guerre de 14-18 et se déploie ensuite à travers plusieurs foyers, Berlin, Paris, New York... Par leurs œuvres nouvelles – poésie sonore, danse, collages, performance –, les artistes dadaïstes rejettent les valeurs traditionnelles de la civilisation, tout en s’appropriant les formes culturelles et artistiques de cultures extra- occidentales, l’Afrique, l’Océanie, l’Amérique. Le Musée de l’Orangerie propose une exposition sur ces échanges en confrontant œuvres africaines, amérindiennes et asiatiques et celles, dadaïstes, de Hanna Höch, de Jean Arp, de Sophie Taueber-Arp, de Marcel Janco, de Hugo Ball, de Tristan Tzara, de Raoul Haussmann, de Man Ray, de Picabia… Ainsi seront évoquées les soirées Dada, avec plusieurs archives, film de danse et documents sonores, musicaux, mais aussi la diversité, l’inventivité et la radicalité des productions Dada – textiles, graphisme, affiches, assemblages, reliefs en bois, poupées et marionnettes – face à la beauté étrange et la rareté d’œuvres extra-occidentales, statue africaine Hemba, masque africain de Makondé, masque Hannya du Japon, proue de pirogue de guerre maori...
Picasso 1932 année érotique Au Musée Picasso du 10 octobre 2017 jusqu’au 11 février 2018 Le 15 juin 1932, Pablo Picasso fait la « une » : Tériade publie une interview de l’artiste dans l’Intransigeant alors que doit s’ouvrir la rétrospective de son œuvre à la galerie Georges Petit . Tandis que le critique l’introduit en annonçant, « On trouvera ici l’expression de quelques-unes de ses idées qui ne sont pas seulement d’un peintre mais d’un homme. », Picasso délivre une de ses affirmations les plus célèbres : « L’œuvre qu’on fait est une façon de tenir son journal. » L’une et l’autre de ces phrases renvoie à la dimension humaine et biographique de l’œuvre de Picasso qui prend, en effet, au cours de cette année 1932, une importance de plus en plus prégnante. Goscinny et le cinéma, Astérix, Lucky Luke et Cie A la Cinémathèque Française du 4 octobre 2017 au 4 mars 2018 À l’occasion du quarantième anniversaire de la disparition de René Goscinny, la Cinémathèque française et La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image d’Angoulême, en partenariat avec l’Institut René Goscinny, ont souhaité lui rendre hommage en concevant une grande exposition consacrée aux influences du cinéma sur son travail, ainsi qu’à sa propre œuvre cinématographique. Cette exposition explorera les rapports constants et ô combien féconds entre un scénariste de génie et l’objet de sa rêverie préférée : le cinéma. L’art du pastel de Degas à Redon Au Petit Palais du 15 septembre au 8 avril 2018 L’exposition permet de découvrir les fleurons de la collection avec des œuvres de Berthe Morisot, Auguste Renoir, Paul Gauguin, Mary Cassatt et Edgar Degas, des artistes symbolistes comme Lucien Lévy-Dhurmer, Charles Léandre, Alphonse Osbert, Émile-René Ménard et un ensemble particulièrement remarquable d’œuvres d’Odilon Redon, mais aussi l’art plus mondain d’un James Tissot, de Jacques-Émile Blanche, de Victor Prouvé ou Pierre Carrier-Belleuse.
Irving Penn Au Grand Palais du 21 septembre au 29 janvier 2018 L’année 2017 célèbre le centenaire de la naissance d’Irving Penn, l’un des plus grands photographes du XXe siècle. En partenariat avec le Metropolitan Museum of Art de New York, le Grand Palais rend hommage à cet artiste talentueux, célèbre pour ses photographies de personnalités majeures telles que Pablo Picasso, Yves Saint Laurent, Audrey Hepburn, Alfred Hitchcock, etc. Son travail se caractérise par une élégante simplicité et une rigueur remarquable, du studio jusqu’au tirage auquel Penn accorde un soin méticuleux. Resté fidèle à la photographie de studio, il crée, dans chaque portrait, une véritable intimité avec son modèle, qui constitue la signature d’Irving Penn. Gauguin l’alchimiste Au Grand Palais du 11 Octobre au 22 janvier 2018 Paul Gauguin (1848-1903) est l’un des peintres français majeurs du XIXe siècle et l’un des plus importants précurseurs de l’art moderne. L’exposition du Grand Palais retrace son étonnante carrière, dans laquelle il a exploré les arts les plus divers : peinture, dessin, gravure, sculpture, céramique, etc. Les chefs-d’œuvre réunis mettent en avant le travail de l’artiste sur la matière ainsi que son processus de création : Gauguin va bâtir son art sur la répétition de thématiques et de motifs récurrents. Women House A la Monnaie de Paris du 20 octobre au 28 janvier 2018 Women House est la rencontre de deux notions : un genre – le féminin – et un espace – le domestique. L'architecture et l'espace public ont été masculins, tandis que l'espace domestique a été longtemps la prison, ou le refuge des femmes : cette évidence historique n'est pourtant pas une fatalité et l'exposition Women House nous le montre. Elle rassemble sur 1000 m2 et dans une partie des cours de la Monnaie de Paris, 40 artistes femmes du XXe et XXIe siècle qui se saisissent de ce sujet complexe et mettent la femme au centre d'une histoire dont elle était absente.
Être moderne : Le MOMA à Paris A la Fondation Louis Vuitton du 11 octobre au 5 mars 2018 Une sélection de 200 œuvres, provenant des six départements du MoMA - peintures, sculptures, dessins, estampes, photographies, films, œuvres numériques, performances, objets d'architecture et de design - et reflétant l'histoire de l'institution et de ses collections, remplira entièrement le bâtiment de Frank Gehry. Organisée conjointement par les deux institutions, l'exposition a été «pensée en relation avec l'architecture et les espaces du bâtiment de la Fondation Louis Vuitton, offrant un parcours historique sur ses quatre étages». Pop Art – Icons that matter Au Musée Maillol du 22 septembre au 21 janvier 2018 Initiée par la célèbre sculptrice et mécène Gertrude Vanderbilt Whitney (1875-1942), la collection du Whitney Museum of American Art de New York offre une véritable anthologie de l’art américain du XXe siècle et XXIe siècle, dont des pièces maîtresses du « Pop Art » : peintures, sculptures, sérigraphies... Des figures majeures du mouvement Pop Art, Robert Rauschenberg et Jasper Johns, aux sculptures et toiles monumentales de Claes Oldenburg, Tom Wesselmann, James Rosenquist et Alex Katz, en passant par les sérigraphies d’Andy Warhol, les peintures de Jim Dine et de Roy Lichtenstein, l’exposition présente une soixantaine d'œuvres du Pop Art américain de l’après-guerre, du début des années 60 à la fin des années 70. Elisabeth Ballet : « Tout En Un Plus Trois » Au Mac Val d’Ivry du 21 octobre au 25 février 2018 Née en 1957 à Cherbourg, diplômée de l’ensba, pensionnaire de la Villa Médicis en 84-85, enseignante à l’Ensad, Élisabeth Ballet travaille, depuis le milieu des années 80, autour des formes et conditions d’apparition de la sculpture dans sa relation à l’espace. Le dispositif sculptural est, chez elle, exploré de fond en comble.
Expositions dans les galeries : • « Your brain is my bedroom » à la Galerie Les filles du Calvaire jusqu’au 1 janvier 2018 • Petrit Halilaj : « Abetare (Fluturat) » à la Galerie Kamel Mennour jusqu’au 27 janvier 2018 • Tadashi Kawamata : « Nest » à la Galerie Kamel Mennour jusqu’au 26 janvier 2018 • Waltercio Caldas à la Galerie Xippas jusqu’au 3 février 2018 • Jan Voss : « Ratures et pas de côté » à la Galerie Lelong jusqu’au 20 janvier 2018 • « Hétérotopies, architectures habitées » à la Galerie Christian Berst Art Brut jusqu’au 20 janvier 2018 • Iliya & Emilia Kabakov à la Galerie Thaddaeus Ropac jusqu’au 24 février 2018 • Gilbert & George : « The Beard Picture » à la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin jusqu’au 20 janvier 2018 • Ali Cherri : « Dénaturé » à la Galerie Imane Farès jusqu’au 16 février 2018 Voir les autres actualités des galeries sur le site : https://www.fondation-entreprise-ricard.com/GmeGalleries
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